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Voici l'image le plus parlant (je pense) de l'article de Nature que tu as cité en lien.

 

Si tous les schémas que nous avons vus par le passé, représentaient des faisceaux bien concentrés, dans le cas présent, le faisceau ici est assez large pour faire un image en ombre chinois.

 

2015-04-20-webastro_interference-photons-poubelle-1

 

Avec l'édit suivant, ai-je bien compris ?

 

2015-04-20-webastro_interference-photons-poubelle-2

 

Si j'ai bien compris, c'est la piste rouge qui est suivie par des photons étant passés autour du découpe en carton.

 

Comme dans l'interféromètre de Zhender, les photons/onde partent d'un canon laser en haut à gauche et se divise en le miroir BS1.

Le composant NL1 prend chaque "photon" et le divise en deux photons d'énergie très différentes.

  • une à énergie élevée matérialisé par le trait jaune
  • une à énergie faible matérialisé par le trait rouge

 

Les photons à énergie faible sont trop faibles pour être détectables en pratique. Mais ils restent détectables "en théorie".

 

Si ils passent par le chemin d + puis autour du carton, ils peuvent interférer avec "eux-mêmes" passés par le miroir "b" + NL2 et sont donc individuellement indétectables.

 

Du coup, les photons sortant par la piste jaune sont autorisés d'interférer aussi.

 

Si, par contre, un photon a suivi telle trajectoire qu'il impacte la découpe en carton, alors son jumeau devient théoriquement détectable et en mesure de vendre la mèche. Il pourrait dénoncer en public "Vous autres ondes, je vous ai eues. D'abord, tu es vraiment un photon, et ensuite, je peux dire par où tu es passé"

 

Dans la crainte d'une telle dénonciation calomnieuse, l'interférence ne se fait pas sur la zone ces cibles correspondant au carton.

 

mes excuses pour anthropomorphisme.

 

Et (toujours sujet à confirmation par le lecteur) ces cibles peuvent bien être de type matrice ccd, à condition de ne pas avoir de lentille convexe devant: On a le droit de capter un image réel, mais pas d'image virtuel.

 

Qui veut bien corriger ou compléter la description ?

 

PS consonances étranges et coïncidence de nom. Mais le physicien Anton Zeilinger bâtit sur l'interféromètre de... mach Zehnder. bizarre, non ?

 

PS2 Selon ce que l'on répond, j'aurais une question. Pourquoi ne pas adapter l'expérience de la gomme quantique à choix retardé en mettant le découpe en carton sur le trajet long. Ce serait encore plus spectaculaire...

 

L=5 507

Modifié par Paul_Wi11iams
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Les pipelettes du sujet

Les pipelettes du sujet

Posté (modifié)
9951068-une-teleportation-reussie-sur-25-km-de-distance.jpg[s]
Une téléportation réussie sur 25 km de distance

réussi peut-être, mais on risque de se faire remarquer lorsqu'il faut retourner à pied sur 25km pour récupérer ses habits. Et tant que le moyen de transport n'est pas fiabilisé, il y a aussi le risque de perdre des morceaux pendant le voyage aller

.

et dans le monde du 21e siècle, je parlais de quoi en #61 ?

 

Ah oui, le diagramme pour les photons.

Modifié par Paul_Wi11iams
Posté

Bien sur il y'a une différence parmi d'autres, l'objet ici n'est touché par aucun rayon.

 

Si, il est touché par les photons rouges même si ce n'est pas eux qu'on utilise pour créer l'images, mais les jaunes intriqués.

 

J'ai le souvenir d'un article qui expliquait comment faire l'image d'un objet sans envoyer de photons dessus (et je ne le retrouve pas) mais ce n'est pas le cas ici.

Posté
Si, il est touché par les photons rouges même si ce n'est pas eux qu'on utilise pour créer l'images, mais les jaunes intriqués.

 

J'ai le souvenir d'un article qui expliquait comment faire l'image d'un objet sans envoyer de photons dessus (et je ne le retrouve pas) mais ce n'est pas le cas ici.

 

 

Rappelez-vous, les photons rouges qui ont frappé le pochoir ne se sont jamais rendus au détecteur et les jaunes ceux qui se sont dirigés vers le détecteur n’ont jamais frappé la découpe.

 

Le fait que les photons rouges aient frappé le pochoir n'est pas une mesure alors ?

Posté (modifié)
[...] l'objet ici n'est touché par aucun rayon.

 

Si, il est touché par les photons rouges même si ce n'est pas eux qu'on utilise pour créer l'images, mais les jaunes intriqués.

 

Oui, la cible est touchée.

 

Le fait que les photons rouges aient frappé le pochoir n'est pas une mesure alors ?

 

Si, en quelque sorte. Soit un photon est arrêté par l'objet en forme de chat, soit il ne l'est pas. S'il l'est, cela correspond à une mesure et aucun photon intriqué avec lui n'arrivera sur la cible. S'il ne l'est pas, un photon intriqué avec lui arrivera sur la cible et en dehors de la zone que devrait occupé une image de l'objet. On lance ainsi un grand nombre de photons et cela explique que le dessin soit de forme similaire à l'objet.

 

De plus, j'imagine que pour bien faire les choses, il faut que chaque photon « jeté à la poubelle » reste sans interaction (avec le reste du monde dont la « poubelle ») jusqu'au moment où son photon intriqué arrive sur la cible.

Modifié par Lolo
Posté (modifié)
Oui, la cible est touchée.

d'accord jusqu'à là

 

 

Si, en quelque sorte. Soit un photon est arrêté par l'objet en forme de chat, soit il ne l'est pas. S'il l'est, cela correspond à une mesure et aucun photon intriqué avec lui n'arrivera sur la cible.

sur ?

 

Je dirais que, du moment où la détection du photon à faible énergie à interdit toute interférence, alors le paquet à haute énergie correspondant, se trouve obligé d'arriver en tant que photons donc interdit à toute interférence destructive.

 

C'est au concepteur de l'expérience de faire interférer tout ce qui peut interférer, en interférence destructive. Ainsi ce qui reste consiste en paires de photons individualisés.

 

Et si l'image du chat est un découpe dans une pourtour plein, alors l'image résultant serait une silhouette sombre (zone où l'interférence destructive est autorisée) sur fond clair (où arrive les photons individualisés).

 

 

 

S'il ne l'est pas, un photon intriqué avec lui arrivera sur la cible et en dehors de la zone que devrait occupé une image de l'objet. On lance ainsi un grand nombre de photons et cela explique que le dessin soit de forme similaire à l'objet.

 

De plus, j'imagine que pour bien faire les choses, il faut que chaque photon « jeté à la poubelle » reste sans interaction (avec le reste du monde dont la « poubelle ») jusqu'au moment où son photon intriqué arrive sur la cible.

Ce qui va dans la poubelle, ce sont des paires de photons.

 

merci de dire "d'accord" ou "pas d'accord" !

 

Je viens à regretter d'avoir représenté une poubelle sur mon édit du croquis.

Moins une poubelle qu'une déchiqueteuse à photons, je pense le redessiner comme un effaceur.

 

Car son rôle est bien celui d'une gomme quantique.

  1. Pour pouvoir effacer un photon, il faut pouvoir dire qu'il n'a jamais existé.
  2. Pour qu'il n'ait jamais existé en tant que photon, il faut lui rendre sa qualité d'onde.
  3. Pour qu'il soit onde, il faut le faire interférer avec lui-même en passant à la fois par a,d,f,i et a,b,f,i.

 

 

2015-04-20-webastro_interference-photons-poubelle-3.jpg

 

Est-ce que choix graphique paraît plus parlant ?

Modifié par Paul_Wi11iams
Posté (modifié)

Nous avons compris que tout le principe de la non-interférence part du comportement espiègle des photons dont l'adage "pas vu pas pris" n'a jamais connu son corollaire "vu pendu".

 

Les photons refusent d'interférer dès qu'on a la possibilité de connaître leur histoire passée.

 

Ainsi, la découpe opaque pouvait être placé à un endroit quelconque sur le parcours rouge, et même après l'affichage de l'image.

 

Je propose l'expérience suivante !

 

2015-04-20-webastro_interference-photons-poubelle-4.jpg

 

En plus, l'histoire commune des photons en cause, aura terminé en BS1, pratiquement à la sortie du canon à photons.

Modifié par Paul_Wi11iams
Posté

Ma réponse au message #68.

sur ?

 

Je dirais que, du moment où la détection du photon à faible énergie à interdit toute interférence, alors le paquet à haute énergie correspondant, se trouve obligé d'arriver en tant que photons donc interdit à toute interférence destructive.

 

C'est au concepteur de l'expérience de faire interférer tout ce qui peut interférer, en interférence destructive. Ainsi ce qui reste consiste en paires de photons individualisés.

 

Et si l'image du chat est un découpe dans une pourtour plein, alors l'image résultant serait une silhouette sombre (zone où l'interférence destructive est autorisée) sur fond clair (où arrive les photons individualisés).

 

Voici comment je vois les choses.

 

De façon générale, je raisonne à partir d'un photon unique et je le considère à la fois comme une onde et comme un corpuscule. Le corpuscule doit choisir un chemin à chaque embranchement qui lui es proposé (passage dans une lame semi-réfléchissante, passage dans un prisme,...). Je fais un arbre des possibilités pour le devenir du corpuscule. L'onde va quand à elle choisir tous les chemins possibles à la fois et est à mettre en parallèle avec toutes les possibilités de l'arbre précédent. Dans les cas où le photon n'est pas pris en flagrant délit de paraître un corpuscule (à cause d'une détection), alors l'onde peut se recombiner si ses chemins l'amènent à interagir avec elle-même.

 

Dans le cas particulier de cette expérience, on tire un photon vert, il est amené à choisir entre deux directions ( (1) et (2) ) à la première lame semi réfléchissante. En tant que corpuscule, il choisit une seule des deux directions.

 

1 : S'il choisit de traverser le miroir semi réfléchissant, il passe alors dans le prisme, et il a alors le choix entre devenir rouge (1.1) ou jaune (1.2).

 

1.1 : S'il devient jaune, il traverse ensuite un miroir semi réfléchissant et il se présente à la dernière lame semi-réfléchissante en BS2 où il a éventuellement l'occasion d'interagir avec lui-même.

 

1.2 : S'il devient rouge, il se reflète sur celui-ci, puis à la choix entre passer à travers la découpe du chat (1.2.1) ou se cracher sur celle-ci (1.2.2).

 

1.2.1 : S'il passe, il continue son chemin et passe dans un prime. Il a alors le choix entre rester rouge (1.2.1.1) ou devenir jaune (1.2.1.2).

 

1.2.1.1 : S'il reste rouge, il est se reflète sur une lame semi réfléchissante et est envoyé vers la gomme quantique. Cela permettra à l'onde d'interagir en BS2.

 

1.2.1.2 : S'il devient jaune, il traverse une lame semi réfléchissante, puis en tant que onde interagit avec lui-même en BS2.

 

1.2.2 : S'il se crache sur celle-ci, il s'arrête là, est détecté comme corpuscule, il n'y aura aucun interaction de l'onde avec elle-même, et on n'observera rien sur la cible finale.

 

2 : Il va traverser une lame semi réfléchissante, puis passer dans un prisme duquel il va ressortit jaune (2.1) ou rouge (2.2).

 

2.1 : S'il devient jaune, il traverse une lame semi réfléchissante, puis en tant que onde interagit avec lui-même en BS2.

 

2.2 : S'il reste rouge, il est se reflète sur une lame semi réfléchissante et est envoyé vers la gomme quantique. Cela permettra à l'onde d'interagir en BS2.

 

On constate que le corpuscule a six trajets possibles (sans compter le choix en BS2) : une possibilité d'arriver en BS2 par en haut, deux possibilité d'arriver en BS2 par la gauche, deux possibilités de finir dans la gomme quantique et une possibilité de se cracher sur le chat. Il y a interaction en BS2 dans tous les cas, sauf si le photon se crache sur la découpe du chat. Mais pour qu'il y ait interaction, on doit considérer que l'onde évite la découpe du chat

 

Y a-t-il une faute dans mon raisonnement ? C'est possible, j'ai peut-être mal assimilé un concept.

 

Si tout va bien, je propose l'expérience suivante : deux découpes de demi-chat sur deux trajets différents : le demi-chat droit et le demi-chat gauche. Retrouve-t-on le chat complet sur la cible ? :)

 

Ce qui va dans la poubelle, ce sont des paires de photons.

 

merci de dire "d'accord" ou "pas d'accord" !

Telles que je vois les choses, mais je peux me tromper, si on tire un photon au départ, il y aura, en terme corpusculaire, au plus un seul photon qui ira sur la gomme quantique, voire même aucun. En terme d'onde, je pense qu'il y en a effectivement deux paquets rouges. C'est difficile de penser dans les deux termes à la fois.

 

 

Est-ce que choix graphique paraît plus parlant ?
Oui, c'est mieux avec la gomme. Je pensais que c'était juste une sortie, mais une gomme quantique est nécessaire pour qu'il puisse y avoir une interférence en BS2.
Posté

Ma réponse au message #69.

 

Ainsi, la découpe opaque pouvait être placé à un endroit quelconque sur le parcours rouge, et même après l'affichage de l'image.

 

Je propose l'expérience suivante !

 

2015-04-20-webastro_interference-photons-poubelle-4.jpg

 

En plus, l'histoire commune des photons en cause, aura terminé en BS1, pratiquement à la sortie du canon à photons.

 

Pour moi, dans ce cas-ci, il n'y a pas de chat sur la cible. Mais je peux me tromper. Je suis toujours en phase d'apprentissage vis-à-vis de ces phénomènes quantiques. J'ai vraiment un doute. C'est super intéressant, en tout cas. :)

Posté
Ma réponse au message #68.

 

 

Voici comment je vois les choses.

 

De façon générale, je raisonne à partir d'un photon unique et je le considère à la fois comme une onde et comme un corpuscule. Le corpuscule doit choisir un chemin à chaque embranchement qui lui es proposé (passage dans une lame semi-réfléchissante, passage dans un prisme,...). Je fais un arbre des possibilités pour le devenir du corpuscule. L'onde va quand à elle choisir tous les chemins possibles à la fois et est à mettre en parallèle avec toutes les possibilités de l'arbre précédent. Dans les cas où le photon n'est pas pris en flagrant délit de paraître un corpuscule (à cause d'une détection), alors l'onde peut se recombiner si ses chemins l'amènent à interagir avec elle-même.

 

Dans le cas particulier de cette expérience, on tire un photon vert, il est amené à choisir entre deux directions ( (1) et (2) ) à la première lame semi réfléchissante. En tant que corpuscule, il choisit une seule des deux directions.

 

1 : S'il choisit de traverser le miroir semi réfléchissant, il passe alors dans le prisme, et il a alors le choix entre devenir rouge (1.1) ou jaune (1.2).

Ce sont bien deux couleurs qui sortent de NL1 donc des "photons" aux niveaux d'énergie différents. A ce stade, il ne peut pas choisir d'être soit l'un, soit l'autre parce que ce serait une violation de la conservation d'énergie. Il faut qu'il soit l'un plus l'autre dont la somme égal son énergie initiale.

 

1.1 : S'il devient jaune, il traverse ensuite un miroir semi réfléchissant et il se présente à la dernière lame semi-réfléchissante en BS2 où il a éventuellement l'occasion d'interagir avec lui-même.

 

1.2 : S'il devient rouge, il se reflète sur celui-ci, puis à la choix entre passer à travers la découpe du chat (1.2.1) ou se cracher sur celle-ci (1.2.2).

 

1.2.1 : S'il passe, il continue son chemin et passe dans un prime. Il a alors le choix entre rester rouge (1.2.1.1) ou devenir jaune (1.2.1.2).

Le rouge qui est un photon de faible énergie, restera rouge. Devenir jaune serait encore une violation de la conservation d'énergie. Les couleurs des traits sur le schéma sont arbitraires. Je les ai gardés pour limiter le travail. Pour la haute énergie, j'aurais préféré bleu. Ça ne fait rien, on restera dans les couleurs du dessinateur !

 

1.2.1.1 : S'il reste rouge, il est se reflète sur une lame semi réfléchissante et est envoyé vers la gomme quantique. Cela permettra à l'onde d'interagir en BS2.

Le jaune peut interagir en BS2 parce qu'il sait que les témoins rouges se sont annihilés sur la gomme. En vertu du principe de non-localité détesté par Einstein.

 

 

1.2.1.2 : S'il devient jaune, il traverse une lame semi réfléchissante, puis en tant que onde interagit avec lui-même en BS2.

 

1.2.2 : S'il se crache sur celle-ci, il s'arrête là, est détecté comme corpuscule, il n'y aura aucun interaction de l'onde avec elle-même, et on n'observera rien sur la cible finale.

La détection d'un photon rouge à faible énergie ne peut pas détruire le restant de l'énergie de son photon parent. On a bien scindé l'onde/particule en NL1

 

2 : Il va traverser une lame semi réfléchissante, puis passer dans un prisme duquel il va ressortit jaune (2.1) ou rouge (2.2).

Je pense que le mot "prisme" induit en erreur. Je reviens éditer ici plus tard.

 

2.1 : S'il devient jaune, il traverse une lame semi réfléchissante, puis en tant que onde interagit avec lui-même en BS2.

 

2.2 : S'il reste rouge, il est se reflète sur une lame semi réfléchissante et est envoyé vers la gomme quantique. Cela permettra à l'onde d'interagir en BS2.

 

On constate que le corpuscule a six trajets possibles (sans compter le choix en BS2) : une possibilité d'arriver en BS2 par en haut, deux possibilité d'arriver en BS2 par la gauche, deux possibilités de finir dans la gomme quantique et une possibilité de se cracher sur le chat. Il y a interaction en BS2 dans tous les cas, sauf si le photon se crache sur la découpe du chat. Mais pour qu'il y ait interaction, on doit considérer que l'onde évite la découpe du chat

 

Y a-t-il une faute dans mon raisonnement ? C'est possible, j'ai peut-être mal assimilé un concept.

Je crains que quelqu'un devra acheter l'article complet de Nature pour aller plus loin. On heurte sur la fonctionnalité précise de certains composants de l’expérience. Et encore, le diagramme que j'ai présenté n'est que le schéma de principe. Il faudrait aussi regarder le montage réel de l'expérience qui est malheureusement plus compliqué.

 

Si tout va bien, je propose l'expérience suivante : deux découpes de demi-chat sur deux trajets différents : le demi-chat droit et le demi-chat gauche. Retrouve-t-on le chat complet sur la cible ? :)

 

pas convaincu.

Rien qu'avec mes lointains souvenir du lycée, un montage réel d'expérience est déjà beaucoup plus dur que la version papier. Et faire deux choses en même temps provoque toute sorte de problème d'ajustage.

 

 

Telles que je vois les choses, mais je peux me tromper, si on tire un photon au départ, il y aura, en terme corpusculaire, au plus un seul photon qui ira sur la gomme quantique, voire même aucun. En terme d'onde, je pense qu'il y en a effectivement deux paquets rouges. C'est difficile de penser dans les deux termes à la fois.

l’effacement concerne une paire qui s'interfèrent pour effacer leur histoire de photon

 

 

Oui, c'est mieux avec la gomme. Je pensais que c'était juste une sortie, mais une gomme quantique est nécessaire pour qu'il puisse y avoir une interférence en BS2.

Je suis du même avis.

Posté (modifié)
Ma réponse au message #69.

 

 

 

Pour moi, dans ce cas-ci, il n'y a pas de chat sur la cible. Mais je peux me tromper. Je suis toujours en phase d'apprentissage vis-à-vis de ces phénomènes quantiques. J'ai vraiment un doute. C'est super intéressant, en tout cas. :)

 

Pour y arriver, je me situe comme un observateur sur le pourtour de la découpe du schéma de #71.

Je vois arriver un photon venant d'un point donné sur le faisceau passant par NL1 et d.

 

J'affirme que NL1 a aussi produit un photon "jaune" qui est passé par c et BS2.

Du coup, le photon jaune démasqué n'a plus la possibilité d’interférer.

Ce photon est apparu sur la cible.

 

Le plus intriguant dans ce montage est que la conséquence précède la cause.

 

J'image le problème de la manière suivante:

Admettons que j'installe une chaîne de retard très longue, et puis je remplace l'image du chat avec le résultat du loto publié aujourd'hui... et je te laisse regarder l'image en sortie hier, il y a de quoi s'enrichir !

 

=========================

 

Comme je ne suis sûrement pas le seul à y avoir pensé je cherche sur "delayed choice quantum eraser" donc "gomme quantique à choix retardé".

Et j'en trouve des exemples dans les deux langues.

A commencer par le tant décrié Wikipedia

fr.wikipedia.org/wiki/expérience_de-la-gomme-quantique-à-choix-retardé

et

en.wikipedia.org/wiki/Delayed_choice_quantum_eraser

Les deux articles qui parlent d'expériences réussies, disent ce que j'ai entendu dire par Alain Aspect:

Une information peut "aller" plus vite que la lumière, voire remonter le temps, mais pas de manière exploitable, sinon les militaires seraient les premiers à s'en intéresser.

Modifié par Paul_Wi11iams
Posté
Ce sont bien deux couleurs qui sortent de NL1 donc des "photons" aux niveaux d'énergie différents. A ce stade, il ne peut pas choisir d'être soit l'un, soit l'autre parce que ce serait une violation de la conservation d'énergie. Il faut qu'il soit l'un plus l'autre dont la somme égal son énergie initiale.

 

Oui, bien vu : c'est vrai que l'énergie du photon est directement proportionnelle à sa fréquence (avec la constante de Planck comme coefficient de proportionnalité) et que donc il faut bien deux photons à la sortie de NL1. Cela change tout, je vais revoir l'expérience ce soir. :)

Posté (modifié)
Oui, bien vu : c'est vrai que l'énergie du photon est directement proportionnelle à sa fréquence (avec la constante de Planck comme coefficient de proportionnalité) et que donc il faut bien deux photons à la sortie de NL1. Cela change tout, je vais revoir l'expérience ce soir. :)

Quand tu lis en anglais qui est pour toi, une seconde langue, comme l'est le français pour moi, l'effort de lecture peut causer des loupés dans la compréhension technique.

 

L'expérience est compliquée pour ce que c'est, et elle reste tributaire d'un article à péage dans Nature que personne ici n'a donc lu en entier.

 

En guise d'alternatif, je viens de lire "à fond" (hormis la notation mathématique) les deux liens que j'ai donnés dans #73.

 

fr.wikipedia.org/wiki/expérience_de-la-gomme-quantique-à-choix-retardé

et

en.wikipedia.org/wiki/Delayed_choice_quantum_eraser

 

et c'est le premier qui a le double avantage d'être le plus simple et en français.

Et cerise sur le gâteau, pour les daltoniens, elle est en lumière monochrome.

 

Du moment où on a l'article bien "en main", c'est bon, on a compris:

  • l'intrication,
  • la gomme quantique,
  • le choix retardé,
  • le maintien de la causalité.

 

Ah oui, et ma proposition d'expérience avec une ligne de retard se transpose facilement à cette expérience.

 

Je laisse le choix de l'expérience qu'on va "travailler" dans ce fil, et donne suite selon ce choix-là.

 

@+

Modifié par Paul_Wi11iams
Posté (modifié)

Une bonne place est ici faite à la conjecture.

 

Bonsoir,

 

Comment interpréter cet article ?

Je pensais à l’influence de l’observation.

 

Bon, peut être que l’intrication permettrait de voir les yeux fermés.

Grâce à elle il n’y’aurait pas de mesure possible.

 

Le chat de l’expérience est une feinte de pensée.

Parmi tant de supputations, pourquoi pas une autre avec un container à photon intriqué avec un chat enfermé avec.

Si le chat est vivant, et qu'il observe le photon intriqué près de lui, il commet une mesure qui influe le photon extérieur intriqué .

Modifié par bang*gib
Posté (modifié)
J'image le problème de la manière suivante:

Admettons que j'installe une chaîne de retard très longue, et puis je remplace l'image du chat avec le résultat du loto publié aujourd'hui... et je te laisse regarder l'image en sortie hier, il y a de quoi s'enrichir !

 

http://cybertheologie.net/images/201...poubelle-4.jpg

 

J'ai revu cette expérience en tenant compte de la remarque que j'ai comprise hier (le fait qu'un photon haute énergie (en vert) était coupé en un photon moyenne énergie (en jaune) et un photon basse énergie (en rouge)) et en ayant lu l'article sur la gomme quantique à choix retardé. Il me semble que j'y vois un peu plus clair. Merci pour le lien en question.

 

Tout d'abord, je me rends compte (du moins, si j'ai bien compris) que ce qui est en forme de chat, c'est le trou dans le carton et non le carton lui-même.

 

Ensuite, je pense que l'expérience avec le résultat du loto ne peut pas marcher pour la raison suivante : contrairement à ce qui se passe dans l'expérience de la gomme quantique retardée, l'interférence éventuelle ayant lieu en BS2 ne donne pas un résultat sur un panneau unique situé en BS2 mais est suivie par une nouvelle question posée à la particule et surtout par une détection pour répondre à cette question (selon que ce soit l'une ou l'autre des deux cibles qui soit atteinte par la particule). Je pense que cette détection casse toute possibilité d'interférence ultérieure des signaux rouges, et en particulier qu'elle rend caduque le fait de passer par la découpe du résultat du loto (ou du chat). Je pense que sur les deux cibles après BS2, on verra simplement des points situés sur des barres parallèles sur chacun des deux cibles. J'insiste : selon moi, la gomme quantique peut agir de façon tardive si en BS2 on met une cible unique, mais elle ne peut plus agir pour assurer une détection qui suit le choix en BS2.

Modifié par Lolo
Posté (modifié)
J'ai revu cette expérience en tenant compte de la remarque que j'ai comprise hier (le fait qu'un photon haute énergie (en vert) était coupé en un photon moyenne énergie (en jaune) et un photon basse énergie (en rouge)) et en ayant lu l'article sur la gomme quantique à choix retardé. Il me semble que j'y vois un peu plus clair. Merci pour le lien en question.

de rien.

En cherchant, nous allons certainement trouver d'autres expériences du même acabit.

 

 

Tout d'abord, je me rends compte (du moins, si j'ai bien compris) que ce qui est en forme de chat, c'est le trou dans le carton et non le carton lui-même.

C'est bien comme ça que je le comprends.

Le fait de ne pas avoir tout l'article de Nature nous force à induire des informations qui sont certainement données en clair par les auteurs.

 

 

Ensuite, je pense que l'expérience avec le résultat du loto ne peut pas marcher pour la raison suivante : contrairement à ce qui se passe dans l'expérience de la gomme quantique retardée, l'interférence éventuelle ayant lieu en BS2 ne donne pas un résultat sur un panneau unique situé en BS2 mais est suivie par une nouvelle question posée à la particule et surtout par une détection pour répondre à cette question (selon que ce soit l'une ou l'autre des deux cibles qui soit atteinte par la particule). Je pense que cette détection casse toute possibilité d'interférence ultérieure des signaux rouges,

Je pense qu'il n'y a pas de détection de particule en BS2 mais bien un "fait d'interférence" qui provoque l'effacement des particules. Donc il ne casse pas la possibilité d'une interférence ultérieure des signaux rouges, mais bien au contraire, elle l'autorise.

 

Il est vrai qu'on pose une nouvelle question aux particules/onde.

Mais comme les deux réponses sont des interférences et non pas des détections, il s'agirait d'un simple choix entre deux gommes quantiques.

 

allégorie: Dans un ambassade équipé de deux déchiqueteuses; un personnel diplomatique chargé de détruire un document au sujet d'une mission secrète, aura correctement fait son travail quel que soit son choix de machine. C'est uniquement la non-destruction du document avec le risque de fuite compromettante, qui provoque l'annulation de la mission.

 

Ainsi, le seul exemplaire de l'information compromettante, est celle que possède les agents secrets en déplacement - les photons rouges.

 

Si l'un des agents vient à se faire intercepter sur le pourtour du chat, alors il a encore le moyen de prévenir l'ambassade avant même de se faire arrêter !

 

et en particulier qu'elle rend caduque le fait de passer par la découpe du résultat du loto (ou du chat). Je pense que sur les deux cibles après BS2, on verra simplement des points situés sur des barres parallèles sur chacun des deux cibles. J'insiste : selon moi, la gomme quantique peut agir de façon tardive si en BS2 on met une cible unique, mais elle ne peut plus agir pour assurer une détection qui suit le choix en BS2.

C'est bien le miroir semi-réfléchissante en BS2 qui permet l'interférence sur l'une des deux cibles. Une cible unique, un caméra par exemple, révélerait l'information du chemin suivi et provoquerait un comportement "particule" partout dans l'expérience.

Modifié par Paul_Wi11iams
Posté (modifié)

bonsoir,

 

Dans la suite, je ne veux pas donner une impression de sévérité et je suis le premier à faire usage des méthodes littéraires pour arriver au but

 

Une bonne place est ici faite à la conjecture.

 

Je pensais à l’influence de l’observation.

L'influence de l'observation, en fait l'observabilité, c'est le cœur du sujet.

 

Bon, peut être que l’intrication permettrait de voir les yeux fermés.

Grâce à elle il n'y aurait pas de mesure possible.

Je crois bien que c'est la prise d'une mesure qui rend l'intrication impossible !

 

 

Le chat de l’expérience est une feinte de pensée.

et le calembour est la fiente de la pensée qui vole. :jesors:

 

 

Parmi tant de supputations, pourquoi pas une autre avec un container à photon intriqué avec un chat enfermé avec.

Si le chat est vivant, et qu'il observe le photon intriqué près de lui, il commet une mesure qui influe le photon extérieur intriqué .

 

J'ai un chat bien vivant assis sur les genoux à cet instant, et le chat de l'expérience est une découpe en creux. Pour s'en sortir, on est obligés d'être précis sur les faits et aussi sur les hypothèses. D'autant plus que sur Webastro nous avons la chance de côtoyer des gens qui ont un sacré bagage, bien plus en tout cas que mes petites études qui sont quasi rien du tout !

 

Pour faire un mauvais jeu de mots, le bac comme tout autre "bagage", est un contenant, mais ici nous sommes évalués en termes d'un contenu. Si on a un contenu solide à apporter, c'est bon ! Le bousculement des hiérarchies, c'est d'ailleurs une évolution de la société que l'on veule ou non.

 

Je veux bien de ton "conteneur à photon intriqué".

 

Ce serait une sorte de disque dur quantique permettant de convoyer des données quantiques dans sa sacoche. Quand je parlais d'une ligne de retard en fibre optique (qui existe d'ailleurs) a quelque chose de ressemblant.

 

Ce qui me donne une idée pour une boucle supraconductrice, mais j'arrête volontairement, avant d'avoir consolidé un peu.

 

Je n'ai même pas compris la notation de Dirac.

On dit la notation bra-ket.

 

fr.wikipedia.org/wiki/Notation_bra-ket

 

Même si je ne comprends que des miettes, je sais que d'autres vont la trouver plus digeste, et on aura contribué en sous-main à quelque chose qui me dépasse de loin.

Modifié par Paul_Wi11iams
Posté
Le fait de ne pas avoir tout l'article de Nature nous force à induire des informations qui sont certainement données en clair par les auteurs.

Oui, c'est vrai. Et comme les expériences du domaine quantique choquent souvent notre logique basée sur des prémisses macroscopiques, c'est difficile de bien les interpréter sans tous les détails.

 

Je pense qu'il n'y a pas de détection de particule en BS2 mais bien un "fait d'interférence" qui provoque l'effacement des particules. Donc il ne casse pas la possibilité d'une interférence ultérieure des signaux rouges, mais bien au contraire, elle l'autorise.

Oui, j'avais bien compris que dans l'expérience présente, il n'y a pas de détection mais une interférence en BS2. Mais je me dis à présent que même si on détectait une interférence en BS2, cela n'empêcherait pas les interférences des photons rouges (d'ailleurs, c'est ce qui se passe dans l'expérience de la gomme quantique à choix retardé : on détecte une interférence en I bien avant l'interférence en F (figure : http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/a/aa/Experience_Sculley.png)).

 

Il est vrai qu'on pose une nouvelle question aux particules/onde.

Mais comme les deux réponses sont des interférences et non pas des détections, il s'agirait d'un simple choix entre deux gommes quantiques.

 

[...]

 

C'est bien le miroir semi-réfléchissante en BS2 qui permet l'interférence sur l'une des deux cibles. Une cible unique, un caméra par exemple, révélerait l'information du chemin suivi et provoquerait un comportement "particule" partout dans l'expérience.

Oui. Je pense que l'important pour conserver la possibilité que les photons rouges interfèrent plus loin est de permettre aux photons jaunes d'interférer. Détecter l'interférence des photons jaunes ne semble pas important pour la suite.

 

Pourtant, je reste convaincu que l'expérience du Loto ne peut pas fonctionner : ce serait nier la Relativité Générale et la causalité avec des vraies informations exploitables. Il doit y avoir une erreur quelque part dans le raisonnement derrière cette expérience de pensée. Mais où ? :?:

Posté (modifié)
Oui, c'est vrai. Et comme les expériences du domaine quantique choquent souvent notre logique basée sur des prémisses macroscopiques, c'est difficile de bien les interpréter sans tous les détails.

d'autant plus qu'il y a deux niveaux de vérité à considérer.

Il y a la vérité d'une affirmation (1) et la vérité d'un fait (2).

Par exemple "il est vrai que l'onde a pris un chemin quelconque et non précis"

donne une vérité (1) sur l'absence d'un fait (2).

C'est tout le contraire d'une affirmation de type "je sais que je ne sais pas" qui laisse entendre qu'il y a une valeur là-bas qui est juste cachée.

Et pour les prémisses macroscopiques, l'échelle d'un phénomène quantique n'est pas forcement au niveau si microscopique que cela. Je lis autour d'un thème biologique, mais je ne développe pas ici pour ne pas disperser.

 

 

Oui, j'avais bien compris que dans l'expérience présente, il n'y a pas de détection mais une interférence en BS2. Mais je me dis à présent que même si on détectait une interférence en BS2, cela n'empêcherait pas les interférences des photons rouges (d'ailleurs, c'est ce qui se passe dans l'expérience de la gomme quantique à choix retardé : on détecte une interférence en I bien avant l'interférence en F (figure : http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/a/aa/Experience_Sculley.png)).

 

 

Oui. Je pense que l'important pour conserver la possibilité que les photons rouges interfèrent plus loin est de permettre aux photons jaunes d'interférer. Détecter l'interférence des photons jaunes ne semble pas important pour la suite.

 

Pourtant, je reste convaincu que l'expérience du Loto ne peut pas fonctionner : ce serait nier la Relativité Générale et la causalité avec des vraies informations exploitables. Il doit y avoir une erreur quelque part dans le raisonnement derrière cette expérience de pensée. Mais où ? :?:

Je ne crois pas à cette expérience du Loto non plus !

 

Mais je l'ai imaginée pour contraindre la réponse concernant les informations inexploitables. On nous parle d'une information inexploitable qui peut aller plus vite que la lumière ou même remonter le temps. Mais j'ai du mal à saisir cette notion car "information inexploitable" apparaît comme un oxymore.

 

Face à ce genre de problème, il est bon de simplifier l'expérience au maximum pour éviter de traiter de trop de concepts en même temps.

Pour ceci, je vois un avantage à préférer le choix retardé à la communication instantanée. Le choix retardé supprime toute notion de vitesse genre "plus vite que la lumière" et expose le problème de manière plus crue.

 

De même, la notion d'une ligne de retard sur une bobine évite de traiter de la question de distances et, comme j'ai dit, il me semble qu'un état intriqué, n'est pas obligé à voyager rapidement. En plus, on obtient notre résultat sur place.

 

Ainsi, on peut éviter de parler de la Relativité Générale et se limiter plutôt à la question de la causalité.

 

Il devient possible d'envoyer une donnée en sortie de l'expérience ("avant") vers son entrée ("après").

Par exemple, imaginons un oscillateur temporel (ça vient de sortir ! *): si la donnée en sortie est "oui", on introduit un "non" en entrée et vice versa.

J'espère qu'on ne fera pas exploser le laboratoire :be:

 

 

* en fait pas tout à fait: on a plusieurs exemples imaginées par les auteurs de Science Fiction.

Modifié par Paul_Wi11iams
Posté (modifié)
Et pour les prémisses macroscopiques, l'échelle d'un phénomène quantique n'est pas forcement au niveau si microscopique que cela. Je lis autour d'un thème biologique, mais je ne développe pas ici pour ne pas disperser.
Oui, c'est vrai. J'ai lu quelque part que l'explication la plus plausible pour expliquer comment certains globules (je crois qu'il s'agissait de globules, mais c'était peut-être autre chose) pouvait passer à travers la parois d'une cellule était d'ordre quantique.

 

Je ne crois pas à cette expérience du Loto non plus !
Savez-vous où est sa faille ? :)

 

 

Mais je l'ai imaginée pour contraindre la réponse concernant les informations inexploitables. On nous parle d'une information inexploitable qui peut aller plus vite que la lumière ou même remonter le temps. Mais j'ai du mal à saisir cette notion car "information inexploitable" apparaît comme un oxymore.
C'est une information dans le sens où c'est une certitude sur l'état d'une particule. Cette particule est située ailleurs et cette certitude naît instantanément à partir d'une mesure faite sur une autre particule situé ici.Toutefois, cette information n'est pas exploitable pour construire un message et l'envoyer plus vite que la lumière. Là, j'ai parlé pour le phénomène EPR. Modifié par Lolo
  • 3 semaines plus tard...

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