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Cône pleine lumière, légende urbaine ?


John BARLOW

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Si vous ne lisez pas cette discussion jusqu'au bout

 

En dessous de 200mm, le shiffting est négligeable, le centrage du secondaire suffit largement.

Le marquage du secondaire peut affecter la qualité optique.

 

Ce qui est maintenant en italique est une erreur corrigée par les différents intervenants.

Je n'ai pas supprimé ces phrases car elles expliquent certaines réponses.

 

Je remercie tous les intervenants.

 

Bonjour,

 

Ce post pourrait aussi s'appeler <<Faut il marquer le secondaire ? >>

 

Tout d'abord, un petit schéma:

Le primaire n'est pas courbé, d'accord, mais c'est suffisant pour les besoins de ce post.

 

attachment.php?attachmentid=4040&stc=1&d=1213177692

 

Comme vous le voyez, il est impossible que le centre géométrique du secondaire se trouve sur l'axe optique du téléscope.

 

Voilà pourquoi on a un décalage entre le centre optique et le centre géométrique sur le secondaire.

Ce décalage est appellé shifting du secondaire.

 

Que ce soit avec un cheshire ou un laser, il est nécessaire de marquer le centre optique sur le secondaire pour bien l'aligner face au centre du PO.

 

Comment marquer le secondaire ?

Un petit point au feutre indélébile.

Comme pour le primaire, cette marque se trouvera sous l'ombre de l'obstruction.

 

La collimation consiste à confondre ensuite la marque du primaire avec la marque du secondaire dans un cheshire.

Avec un laser, ça consiste à atteindre le centre de la cible.

 

Comment calculer le shifting ?

Ce sera l'objet d'un prochain message dans ce post.

5aa57fe49cd56_Conepleinelumiere.jpg.f101c9cbbb7bb001cf134e1b2ca70f7d.jpg

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Tu veux parler du décalage du point du secondaire ?

 

Bonjour,

 

Oui, tout à fait.

 

Sur le petit schéma, que tu peux faire facilement sur une feuille de papier, tu voies que le centre du segment qui matérialise le secondaire ne peut pas se trouver sur l'axe optique.

 

Par contre, l'axe optique se confond bien avec l'axe du porte oculaire.

 

Il est nécessaire de placer le centre optique du secondaire au centre du PO.

Par centre optique du secondaire, j'entends le point ou l'axe optique du téléscope doit passer.

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Donc c'est bien a/4f.

 

Bonjour,

 

Comme tu ne cites pas ta source ou le raisonnement qui y mène, je ne sais pas si elle est correcte.

Je suis très surpris que le diamètre du primaire n'en soit pas une variable.

En admettant qu'elle soit correcte, si tu fabriques ton téléscope, tu commandes tes miroirs et tu connaîs la valeur a.

 

Quant tu achètes un téléscope du commerce, tu utiliseras plutôt:

 

Décalage = (Dp x Ds) / (4xF)

Avec Dp = diamètre du primaire

Ds = diamètre du secondaire

F = focale du primaire.

Cette formule est une formule simplifiée, mais suffisante pour les newtons typiques

Extrait de:http://64.233.183.104/search?q=cache:h-ydt289zksJ:www.astrotelescope.com/catalog/protostar/offset.pdf+décalage+secondaire&hl=fr&ct=clnk&cd=1

 

En effet, tu n'as accès qu'à la focale et aux dimensions des miroirs.

Par diamètre du secondaire, je comprends la largeur du secondaire.

Avec mon 115/900, je trouve 0,75mm avec cette formule.

 

Je vais rechercher d'autres sources, et faire ma propre démonstration pour satisfaire au mieux les lecteurs de ce post.

Si vous souhaitez apporter votre contribution, il est nécessaire, bien sur, de citer vos sources ou d'étayer vos dires par un raisonnement solide.

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Sur le site ci dessous, on parle aussi du décallage en a/4f

http://www.astrosurf.com/cielextreme/page180F.html

 

Merci :)

Là, y'a une source et des infos en plus.

 

Là, j'arrive à 0,0066 de décalage sur mon 115/900.

 

Avec un colimateur laser, la marque au centre du primaire est inutile mais la marque au centre du secondaire est nécessaire.

Le faisceau retour matérialisera beaucoup mieux l'axe optique que n'importe quelle marque.

 

Avec le cheshire, il faut marquer les deux.

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"Avec un colimateur laser, la marque au centre du primaire est inutile mais la marque au centre du secondaire est nécessaire.

Le faisceau retour matérialisera beaucoup mieux l'axe optique que n'importe quelle marque.

 

Si le faisceau touche la marque au lieu de la surface du primaire, il risque d'être dévié et d'induire l'utilisateur en erreur."

 

Alors là, j'en ai entendu, mais ça... jamais !:b:

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"Avec un colimateur laser, la marque au centre du primaire est inutile mais la marque au centre du secondaire est nécessaire.

Le faisceau retour matérialisera beaucoup mieux l'axe optique que n'importe quelle marque.

 

Si le faisceau touche la marque au lieu de la surface du primaire, il risque d'être dévié et d'induire l'utilisateur en erreur."

Alors là, j'en ai entendu, mais ça... jamais !:b:

 

Oulà, il est rapide, le monsieur.

 

J'avais même pas relu et corrigé que tu t'étais jeté dessus.

:be:

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0,0066 ou 0,75 ?

Pour mon 115, ça n'a pas vraiment d'importance.

Je me pose la question surtout pour mon prochain 150/750.

 

Si au moins les résultats étaient très proches.

Ces deux formules sont données comme des axiomes. Laquelle est la bonne ?

 

Mieux vaut faire le boulot soi même.

Après tout, c'est que de la géométrie.

 

A force de me poser des questions, j'en pense de moins en moins de mal, du laser.

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Pour bien assimiler tous ces problèmes de miroirs (positionnement, orientation,...), rien ne vaut une bonne petite épure à l'échelle (sur du papier millimétré).

La seule vraie contrainte pour le secondaire, c'est de pouvoir y voir la totalité du primaire, depuis n'importe quel point du champ de pleine lumière dans le plan focal du primaire.

Vive le laser !:)

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La seule vraie contrainte pour le secondaire, c'est de pouvoir y voir la totalité du primaire, depuis n'importe quel point du champ de pleine lumière dans le plan focal du primaire.

Vive le laser !:)

 

Tu répètes ça comme Mireille Mathieu la Marseillaise.

Ca ressemble à une litanie vide de sens; un credo, une religion.

Tu l'as répétée au moins trois fois dans un autre post.

 

Je suis sur que tu va nous la renvoyer au moins trois fois, cette phrase, dans ce post.

Tu pourrais dire,

<<Il faut bien collimater>>, c'est aussi utile.

 

Pas de pourquoi ou de comment; juste un crédo.

On devrait mettre ça à la place de tous ces documents sur la collimation.

C'est le mode opératoire ultime.

 

Voyons en détail:

 

Depuis n'importe quel point

Ca en fait du boulot. Sachant qu'il y'a une infinité de points dans un simple segment...

Bon ben, prévoir une infinité de secondes pour vérifier la collim.

Dire qu'il y'a des lasers et des cheshire qui ne permettent de vérifier que depuis le centre.

 

Dans le plan focal du primaire

Tu peux pas dire dans le PO, comme tout le monde ?

 

Tu es le moine de la collim.

 

Alors, comment je fais pour bien centrer mon secondaire ?

La seule vraie contrainte pour le secondaire, c'est de pouvoir y voir la totalité du primaire, depuis n'importe quel point du champ de pleine lumière dans le plan focal du primaire.

 

Merci de ton aide.

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Je suis moyennement d'accord sur le fait qu'un point au centre du secondaire n'intervienne pas dans la formation d'une image.

Dans le cas d'un objet dans l'axe du telescope pour le primaire et c'est aussi le cas pour le secondaire on est d'accord.

Mais dès que l'objet visé n'est plus dans l'axe, je ne suis pas certain que le centre du secondaire ne soit pas mis à contribution. Il faudrait tracer une épure, ou mieux, faire un tracé de rayons pour s'en convaincre (ou s'en dissuader).

Parce que décaler le secondaire c'est avant tout pour ne pas vignetter (ou plus exactement vignetter symmétriquement) les bords de ton champ ... donc on parle champ large (parfois plusieurs degrés). Pas sur que l'objet décalé de quelques ° hors d'axe ne vienne pas se réfléchir sur la trace de feutre ?

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Si je me répète, c'est dans le but de bien faire comprendre ce que sont les réglages d'un Newton, et de démystifier les opérations très simples de la collimation, contrairement à ce que bons nombres essaient de nous faire croire, noyant ainsi les néophytes sous des tonnes de considérations inutiles.

 

Oui, depuis n'importe quel point du champ de pleine lumière (situé dans le plan focal du primaire) il faut voir la totalité du primaire. Rien de plus facile à vérifier : il suffit de promener son oeil (positionné au foyer) et de s'assurer qu'on voit toujours bien la totalité du primaire (un simple oeilleton percé d'un trou excentré correctement suffit, par sa simple rotation autour de l'axe du PO, à s'assurer que la condition de visibilité est réalisée).

Et ça ne prend pas une infinité de secondes, tout juste deux ou trois, le temps de faire tourner l'oeilleton de 360° sur lui-même !

 

Le plan du focal du primaire est une chose, le PO en est une autre et cela ne suffit pas du tout à définir la position longitudinale de l'oeil qu'il est nécessaire d'adopter pour s'assurer de la visibilité du primaire.

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le temps de faire tourner l'oeilleton de 360° sur lui-même !

 

Ah oui, j'ai compris, webastro est si puissant que nous arrivons à communiquer avec d'autres espaces temps.

 

Quant je fais tourner un oeilleton, le trou reste au centre.

Evidement, depuis d'autres univers, je ne sais pas.

 

L'impact de la réalité...

Essaies encore :be:

 

C'est la dernière fois que je réponds à ça.

La convention de Genève interdit de tirer sur les ambulances.

:p

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Bonjour à tous,

 

Voici un lien vers le site de Serge Bertorello:

 

http://serge.bertorello.free.fr/calculs/posplan.html

 

Vous devriez y trouver votre petit bonheur au niveau explications et démonstrations pour le décalage du secondaire.

 

À bientôt,

 

Merci, Tchikapong :)

Là, la formule est démontrée.

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Quant je fais tourner un oeilleton, le trou reste au centre.

Evidement, depuis d'autres univers, je ne sais pas.

Euh...

... (un simple oeilleton percé d'un trou excentré correctement suffit, par sa simple rotation autour de l'axe du PO, à s'assurer que la condition de visibilité est réalisée).

 

;)

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Euh...

;)

 

C'est vrai que je perds même plus de temps à le lire.

Je reconnais

 

Ca s'appuie sur quoi, ce mode opératoire ?

La seule vraie contrainte pour le secondaire, c'est de pouvoir y voir la totalité...:be:

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John, Toutiet a parlé d'un œilleton "percé d'un trou excentré correctement"...

 

Faut encore savoir ce que veut dire correctement mais bon, vous vous compliquez la vie je trouve.

 

Le décalage se calcule (il y a déjà les liens dans ce post pour la formule et le pourquoi)

En dessous d'un 200mm on s'en fout d'ailleurs, le décalage est moindre que le sur-dimensionnement typique du secondaire dans les instruments du commerce.

 

Par contre, collimater au laser quand le PO a la bougeotte, perso je ne m'y fie pas.

Les heureux possesseurs d'un tube ouvert ont la possibilité d'utiliser la technique du laser barlowisé.

C'est impec et on trouve des explications ici:

 

http://gmpexpress.net/~tomhole/blaser.pdf

 

http://strock.pi.r2.3.14159.free.fr/...ollimation.pdf

 

Patte.

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En dessous d'un 200mm on s'en fout d'ailleurs, le décalage est moindre que le sur-dimensionnement typique du secondaire dans les instruments du commerce.

 

Bonjour,

 

Merci pour les liens.

Je pense que tu as tout à fait raison.

 

J'ai souvent entendu ça et je tenais à le vérifier avec des données chiffrées.

Pour mon 115, je centre le secondaire, c'est largement suffisant.

 

C'est plus de la curiosité qu'autre chose.

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Si je me répète, c'est dans le but de bien faire comprendre ce que sont les réglages d'un Newton, et de démystifier les opérations très simples de la collimation, contrairement à ce que bons nombres essaient de nous faire croire, noyant ainsi les néophytes sous des tonnes de considérations inutiles.

 

Bonjour,

 

Chacun est capable de faire son propre tri sur la base d'informations rigoureuses.

J'ai horreur qu'on me dise qu'une chose est inutile sans m'en avoir donné les tenants et aboutissants.

C'est à moi de décider en connaissance de cause, à personne d'autre.

 

Ce post a pour objet le cône de pleine lumière, pas la mise en oeuvre de la collimation.

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Ah oui, j'ai compris, webastro est si puissant que nous arrivons à communiquer avec d'autres espaces temps.

 

Quant je fais tourner un oeilleton, le trou reste au centre.

Evidement, depuis d'autres univers, je ne sais pas.

 

L'impact de la réalité...

Essaies encore :be:

 

C'est la dernière fois que je réponds à ça.

La convention de Genève interdit de tirer sur les ambulances.

:p

 

Et en plus, tu ne sais pas lire:confused: !

"un simple oeilleton percé d'un trou excentré correctement suffit"

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Bonjour,

 

Chacun est capable de faire son propre tri sur la base d'informations rigoureuses.

J'ai horreur qu'on me dise qu'une chose est inutile sans m'en avoir donné les tenants et aboutissants.

C'est à moi de décider en connaissance de cause, à personne d'autre.

 

Ce post a pour objet le cône de pleine lumière, pas la mise en oeuvre de la collimation.

 

Mais précisément, la bonne cohérence du cone de pleine lumière, dont il est bien question ici, est contrôlée par l'observation de la totalité du primaire vu depuis...... (et, hop, j'en remets une couche !). C'est un des impératifs de réglage d'un télescope.

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l'observation de la totalité du primaire vu depuis...... (et, hop, j'en remets une couche !).

l'observation de la totalité du primaire vu depuis...... (et, hop, j'en remets une couche !).

l'observation de la totalité du primaire vu depuis...... (et, hop, j'en remets une couche !).

l'observation de la totalité du primaire vu depuis...... (et, hop, j'en remets une couche !).

l'observation de la totalité du primaire vu depuis...... (et, hop, j'en remets une couche !).

l'observation de la totalité du primaire vu depuis...... (et, hop, j'en remets une couche !).

l'observation de la totalité du primaire vu depuis...... (et, hop, j'en remets une couche !).

 

 

Tu peux arrêter de nous flooder ?

C'est pas parce que c'est plus souvent répété que ça deviendra plus rigoureux. :boulet:

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Pas sur que l'objet décalé de quelques ° hors d'axe ne vienne pas se réfléchir sur la trace de feutre ?

 

N'oublies pas que le miroir intercepte les rayons bien avant le point focal.

Sur un téléscope correctement collimaté, la région du centre optique du secondaire est bien couverte par l'obstruction.

 

Evidement, c'est pas vrai avec un oeillet.

Mais avec un point au feutre indélébile, c'est jouable.

 

C'est pas avec mon petit 115 que je vais chercher le centre optique.

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Sur un téléscope correctement collimaté, la région du centre optique du secondaire est bien couverte par l'obstruction.

Oui mais à condition qu'on vise dans l'axe. Or Patry parlait de viser hors axe. Dans ce cas, le cône de lumière est décentré, et il se pourrait (si on vise suffisamment loin de l'axe) que le centre optique du secondaire ne soit plus couverte par l'obstruction.

 

Pour comprendre ça, il faut imaginer que l'étoile visée forme sur le secondaire une ellipse de lumière avec un trou au milieu. Si l'étoile est dans l'axe, le trou est centré sur le centre optique du secondaire. Si l'étoile est hors-axe, le trou est légèrement décentré. Tant qu'on ne s'éloigne pas trop, le centre optique du secondaire reste à l'intérieur du trou. Mais si on vise plus loin, ce n'est plus forcément le cas.

 

Maintenant, il faut peut-être viser vraiment loin du centre pour que ça se produise, de sorte qu'en pratique ça n'arrive pas ? Je ne sais pas calculer ça, mais j'imagine que pour avoir le centre optique du secondaire dans l'"ellipse de lumière", il faut une faible obstruction centrale (pour un petit trou) et un large champ de pleine lumière (pour que viser loin de l'axe ait un intérêt), deux conditions incompatibles...

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Tu peux arrêter de nous flooder ?

C'est pas parce que c'est plus souvent répété que ça deviendra plus rigoureux. :boulet:

C'est vrai, mais ça finira bien par interpeler les sceptiques et entrer dans la tête des "récalcitrants";) !

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Oui mais à condition qu'on vise dans l'axe. Or Patry parlait de viser hors axe. Dans ce cas' date=' le cône de lumière est décentré, et il se pourrait (si on vise suffisamment loin de l'axe) que le centre optique du secondaire ne soit plus couverte par l'obstruction.

[/quote']

 

Bonjour,

 

D'après ce que j'ai compris, tu parles d'une étoile qui serait sur le bord du champ.

Dans ce cas, les rayons seront renvoyés vers le bord du secondaire, loin du centre optique du secondaire.

 

Je croie bien que Patry s'inquiétait des rayons centraux à la limite de l'obstruction.

Là, effectivement, si la marque est trop grosse, elle étouffera la réflexion.

Comme l'oeillet sur le primaire pourrait nuire s'il est plus large que le diamètre du secondaire.

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