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Test planchette équatoriale


Eric S

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Suite à mes essais de Noël 2008, j'en avais déduit qu'il me fallait une planchette équatoriale pour faire des photos du ciel nocturne avec mon reflex et un objectif classique. Entre temps, j'ai réalisé la dite planchette avec l'aide de mon père. Elle est à commande manuelle. J'ai un peu réfléchi à la motorisation mais ce n'est pas facile. Aussi, j'ai décidé de rester à la main. Puis les vacances de Noël 2009 approchant avec un retour à la montagne, j'ai fait quelques essais sur mon balcon en ville. J'en ai en particulier conclu qu'il ne fallait pas faire des poses trop longues, le suivi étant moyen. Donc, 1 minute (max réglable directement en mode M) plutôt que 8 minutes (max en pose B avec télécommande).

 

Maintenant, passons aux travaux pratiques qui se sont déroulés à Bessans, au fin fond de la Maurienne, en Savoie. Altitude 1730 m.

 

- 19 décembre : arrivée sur le site. -10°C, neige.

- 20 décembre : grand beau temps le matin, -23°C. Je me dis qu'il va y avoir un créneau le soir mais les nuages d'altitude puis bas sont de retour dans l'après-midi.

- 21 au 24 décembre : nuages, neiges et les températures qui remontent progressivement vers 0°C.

- 25 décembre : limite entre la pluie et la neige le matin. L'après-midi, il commence à y avoir des troués dans les nuages. À la nuit tombante, il y a un léger vent qui dégage le ciel. Les températures tombent aussi en chute libre. Malgré la lune, je décide quand même de tester ma planchette. Avant le repas, je mets mon appareil photo sur le balcon pour la mise en température. Après le repas, je décide de ne pas me casser la tête et je m'installe sur le parking de la résidence, pas très éloigné de l'éclairage public. Température évoluant de -8°C à -10°C. Le premier quartier de lune est là et éclaire bien le ciel... Je commence par un filé d'étoiles avec les montagnes pour finir la mise en température. Je profite de la prise de vue pour jeter un rapide coup d'œil avec mes jumelles de jour (8x20). Orion ressort pas mal. Je distingue aussi bien les Pléïades alors qu'à l'œil nu, je ne vois qu'une tache. Je me rends compte au passage que j'ai oublié plein d'accessoires dans l'appartement. Je fais deux aller-retours pendant la prise de vue sans même tout ramener. Il faut vraiment que je me fasse une check-list. Enfin, la prise de vue est terminée:

 

file.jpg

 

En grand (1,5 Mo).

 

Olympus E-510, 2 photos de 8 mn, f=14 mm, ouverture f/8, ISO 100, 1 dark, 24 offset, traitement Iris.

 

Je monte la planchette. Je fais l'alignement polaire à la louche. Et j'y vais pour une unique séquence. Orion est trop au raz des montagnes alors je choisis une zone un peu au hasard en essayant de ne pas être trop près de la lune. Voilà le résultat:

 

zenith.jpg

En grand (3,7 Mo).

 

Olympus E-510, 8 photos de 1 mn, f=14 mm, ouverture f/4,5, ISO 100, 8 dark, 24 offset, traitement Iris.

 

Mon analyse:

- le suivi me paraît correct. En particuliers, seules les étoiles à la périphérie présentent un étirement, ce qui suggère plus un défaut de l'optique que du suivi

- j'ai eu du mal à éliminer le fond. Il reste un halo annulaire. C'est peut-être la combinaison de l'absence de flat et l'utilisation dans Iris du retrait du gradient polynomiale.

- on devine dans le quart supérieur droit la Voie Lactée alors qu'elle n'était pas du tout visible à l'œil à cause de la lune.

- j'ai eu du mal à identifier les étoiles, n'ayant pas du tout noté dans quelle direction j'avais pris la photo. Ensuite, une fois reconnue Capella, la suite a été facile avec CarteDuCiel.

 

Avec identification de quelques étoiles et nébuleuses (les étoiles sont au-dessus des noms):

 

zenith_note_neb.jpg

En grand (3,7 Mo).

 

Avec les constellations:

 

zenith_note_const.jpg

En grand (3,7 Mo).

 

 

Suite des vacances:

26 décembre: -15°C le matin, grand beau qui ne dure pas. Redescente dans la vallée.

Du 27 au 30 décembre : grosses pluies.

31 décembre: Retour en montagne à un autre endroit. Dégagé le soir avec la pleine dont je n'ai pas vu la fraction d'éclipse (et autre chose à faire ce soir là :be: ). À minuit, le ciel commence déjà à se voiler.

1er janvier: temps bouché.

2 janvier: Des éclaircies le jour, froid et dégagé le soir. Ciel cristallin avant le lever de la lune mais je n'ai pas eu le courage de sortir surtout que je n'avais pas encore analyser la première campagne de mesures.

3 janvier: fin des vacances, redescente en ville.

 

Pour le futur:

- faire une ckeck-list

- faire un mode-opératoire

- encore s'entrainer sur le balcon

- recommencer par une nuit sans lune pas trop loin de chez moi

Posté

Bravo Eric pour tes essais et quel courage par ces températures !

Personnellement j'avais fait une planchette il y a bien longtemps, que j'ai toujours mais que je n'utilise plus.

Les résultats sont plutôt sympas ! Reste plus qu'une belle grande comète passe par là et à toi les belles photos grand champ ! ;)

Posté

c'est trés chouette Eric ce que tu as imagé.

Il est certain que le durée des poses ne doit pas étre trop longue, méme à courte focale, car tu cumules 2 handicaps: suivi à la main en tournant une molette je suppose, et difficulté de faire une bonne mise en station avec une planchette.

Je vais essayer de faire pareil en posant bétement mon EOS sur la table équatoriale de mon Dobson - j'ai un suivi par moteur pas à pas mais pour la MES ce sera pas top !

 

Bien d'accord avec toi pour une chéque list, indispensable pour une soirée photo sinon il manque tjs qqchose (la mienne fait 2 pages)

Posté

J'ai une "astuce" pour la mise en station. C'est pour ça qu'il faudra que je vous fasse un mode opératoire illustré sur le forum. Ensuite, pour le suivi, j'ai une vis micrométrique. J'ai fait le chronométrage à la montre en tournant un cran tous les 6,66 s. Pas très pratique car il faut toujours regarder la montre. Depuis, mon frère m'a fait pour noël une sorte de métronome. La principale faiblesse est le manque de rigidité du montage trépied/planchette. Je risque de tout faire bouger en tournant la vis.

 

NUNKY -> déjà, avant de voir la queue d'une comète, si je parvenais à bien photographier la Voie Lactée, je serais content.

Posté
NUNKY -> déjà, avant de voir la queue d'une comète, si je parvenais à bien photographier la Voie Lactée, je serais content.

 

Je te ferai voir une photo de comète prise avec ma planchette(ce soir, là je suis au boulot)....elle ne date pas d'hier, du temps de l'argentique !! :)

Posté

Voilà deux exemples

 

comtelvynb.jpg

Comète Lévy le 19/8/90 50 olympus Tmax3200 10min planchette équatoriale manuelle.

 

comtelvy.jpg

Idem ci-dessus, le 23/8/90 5min fujicolor super HG400

Posté

Bonsoir,

A une époque je m'étais fait un petit équatorial de la même catégorie qu'une planchette classique. En gros au lieu d'une charnière j'avais une planchette qui pivotait sur une autre planchette avec un axe de rotation (1 clou :)) et avec 2 points glissants. Il y avait une vis poussante à tourner manuellement.

 

Au lieu d'utiliser la montre j'avais fixé une mini lunette guide faite avec un objectif de jumelle, un RC et un oculaire réticulé grossièrement. Le tout fixé sur la planchette. Je visais une étoile de 1ère grandeur avec la lunette défocalisée, ce qui évite un éclairage de réticule, on voit la croix en sombre sur un petit disque.

Je pointais l'appareil avec une rotule sur le champ désiré qui pouvais se situer n'importe où par rapport à l'étoile guide puisque sans corrections en déclinaison il n'y a pas rotation de champ (c'est bon si la MES est suffisante).

 

Je trouve que c'est nettement plus pratique que la montre.

 

Cordialement,

Claude

Posté

Bonjour a tous

Voici une voie lactée au 18mm avec planchette equatorial

en 13x2mn

1/4 de tour de vis dn 8mm tous les 15sec

i796548_voielactesemnozwebastro.jpg

En attendant de vous lire

A bientôt . ERic

Posté

Entrainement hier soir sur mon balcon (dans Grenoble) profitant d'un ciel dégagé mais d'un sol humide et brumeux.

 

En parallèle, j'ai commencé à rédiger le mode opératoire. La faiblesse, c'est le trépied qui est un peu trop léger. Après avoir fait la mise en station et monté l'appareil, l'inclinaison de la tête a glissé. Je suis revenu à la louche à la position initiale. Voilà le résultat:

 

balcon_ptt.jpg

 

Détail sur Orion

 

balcon_orion.jpg

 

f=14mm, d/f = 4,0. ISO 100. 25 prises de 60 s. 13 darks. 24 offset. Traitement Iris à la louche. Vue la pollution lumineuse et la brume, pas de correction de la balance des blancs.

 

Je dirais que ça progresse mais je ne suis pas encore au niveau de la Voie Lactée depuis le Semnoz.

Posté

Bonjour a tous

Oui sa progresse bien

Pour ma voie lactée elle a ete faite en montagne donc moins de polution lumineuse ;)

Pour voir mon setup , va sur mon site rubrique bricolage :)

En attendant de vous lire

A bientôt . Eric

Posté

Bonjour à tous, je suis à la recherche de plan d'une mini planchette équatoriale, la plus simple et la plus légère qui soit.

 

Si vous avez ça sous la main et que vous voulez faire un heureux, n'hésitez pas, je posterais je l'espère de très belle photo début septembre!!!

Posté

Bonjour a tous

Regarde sur mon site rubrique bricolage puis clik sur ma planchette eq

Il y a le lien des plans que j'ais utiliser pour ma réalisation

En attendant de vous lire

A bientôt . Eric

Posté

Bonjour

Très intéressant ces essais.

On attend la suite.

Bonne journée.

Luc.;)

Au fait -23° breeeuu.

LA seule fois où j'étais à cette température il faisait très beau mais c'était dans le congélateur d'une boite où je travaillais alors pour faire des photos pas terrible.:D

Posté

Pour la pollution lumineuse, j'ai déjà testé la Voie Lactée en montagne sans suivi. Ça sort sans problème. Alors que l'entrainement sur mon balcon citadin, j'ai un fond du ciel à 70 (sur 255) pour 60 s à f/4,0. Pour les images du débuts du topic, avec le premier quartier de lune, j'ai un fond à 8 dans des conditions similaires.

 

Quant à la température, ça calme bien le bruit thermique du capteur. Le problème, c'est la main qui doit tourner la vis de la planchette...

Posté

Ce soir, il neige... mais hier soir, après une journée glaciale, le ciel était dégagé. Température ~0°C. Alors, j'ai continué mes essais sur mon balcon. Et comme je n'avais même pas peur, je suis parti avec un petit téléobjectif sur le reflex, mon 50 mm (100 mm éq. 35), soit trois fois moins large que les fois précédentes. Et trois fois plus sensible aux défauts d'alignement, de suivi et aux vibrations. Je mets l'appareil en température dehors. Puis je me dis qu'il ne faut pas trop que je traine car il y a un truc qui doit se lever sur l'Est. D'ailleurs, on commence à deviner la lueur par dessus les montagnes. Je n'ai pas le temps de faire la mise en station que la pleine lune se lève pour de bon. Pas grave, je suis en ville et la pollution lumineuse... Que photographier? Orion est trop bas sur le toit de l'immeuble voisin. Les Pléiades sont trop hautes, à la limite du balcon du dessus. J'essaie au hasard en face. C'est parti.

 

Olympus E510. ZD 50 mm. f=1/4. Iso 100. 60 s. 23 photos. 9 darks. Les 25 offset du début du topic. Traitement Iris.

 

Vue d'ensemble:

taureau_ptt.jpg

 

Extrait à 100%:

taureau_extrait.jpg

On devine des étoiles jusqu'à la magnitude 9.

 

La même zone dans CarteDuCiel:

taureau_Cdc.png

L'étoile marquée à droite, c'est BSC 35 Eri (mV=5,28). AR: 04h02m04.275s DE:-01°31'19.16"

 

Pour rire, le jpeg direct du boitier:

source.jpg

 

Pour le suivi, je ne suis pas mécontent. Il reste une rotation de champ sur l'ensemble de la séquence. Je la compense avec la fonction Appariement global d'Iris. Je suis moins satisfait du peu de netteté des étoiles. Est-ce que j'ai raté la mise au point? Est-ce que l'ensemble trépied/planchette n'est pas assez stable?

 

Sinon, ça me fait aussi progresser dans l'utilisation des logiciels. Dans Iris, j'ai découvert comment retirer manuellement le fond dû à la pollution lumineuse, les méthodes automatiques étant en échec. Et pour CarteDuCiel, j'ai installé il y a peu la version 3.0 béta. J'ai trouvé comme installer un catalogue additionnel pour aller au delà de la magnitude 6.5.

Posté

Suite des essais.

 

Mercredi 3 février

 

En fin d'après_midi, je jette un coup d'œil par la fenêtre du bureau. C'est le grand beau temps. Pas un nuage. Les trainées d'avion ne restent pas dans le ciel. Juste quelques très légers nuages par moment au Sud. Ce n'est pas ce dont je me souvenais de la météo. Je vois le sommet des pistes de Chamrousse scintiller. Je me dis que ça pourrais être un bon soir pour tester mon mode opératoire ailleurs que sur mon balcon. Quand je rentre chez moi, les sommets enneigés des montagnes se teintent de rose avec les derniers rayons de soleil. Il y a aussi une certaine douceur, +5°C sur mon balcon. Je mets immédiatement l'appareil photo à refroidir dehors.

 

Je prépare mes affaires. À 20 h, après un dernier un dernier contrôle du ciel, je pars en voiture prendre un peu de hauteur par rapport à Grenoble et sa pollution lumineuse. J'ai repéré une route sur la colline du Murier, vers le sommet des 4 Seigneurs. C'est orienté Sud avec Grenoble côté Nord, derrière la colline. En plus, c'est un coin que je connais déjà pour y passer en VTT. Au début, ça va bien. Ensuite, il y a un premier panneau "Attention verglas" puis un second "Route non salée". Et effectivement, il reste de la neige sur la route. Dommage, je n'ai pas de pneus neige. Pour le moment, c'est la montée et ça va. Arrivé dans la zone prévue, pas facile de se garer. Finalement, je me mets dans un carrefour. Je suis un peu proche d'une maison et avec des câbles électriques au-dessus de moi mais on va faire avec. Plus qu'à attaquer. Dehors, il fait bien plus froid à 800 m d'altitude qu'à 200 m. Ça caille bien et j'ai été un peu optimiste sur mon équipement.

 

Je commence par évaluer la pollution lumineuse avec des vues statiques. À la louche, il y en a 8 fois moins que depuis mon balcon. Pendant ce temps, j'observe un peu aux jumelles. Orion. M42. Les Pléiades. Mars à l'Est. Cassiopée. La Grande Ourse. Mise en station. Je vise Orion. Test sans suivi. Pas très bien cadré. Recadrage. Nouveau test. Et c'est parti pour 22x1 mn. Le froid est mordant. Après cette série, je ramène la vis de la planchette à zéro puis je change d'orientation pour les Pléiades que j'ai du mal à viser. L'unique voiture passe à ce moment là. Au passage, petit shoot dans le trépied pour parfaire la mise en station:confused:. Après deux essais, même si ce n'est pas bon, je décide quand même de démarrer la série. C'est reparti pour 23x1 mn. Toujours aussi froid. Les mains (gants polaires) et les pieds souffrent. À la fin, je complète les darks pendant que je démonte. À l'Est, il y a une étoile qui paraît bien lumineuse. Saturne serait-elle déjà levée? Un coup de jumelles confirme qu'il s'agit d'une dameuse sur les pistes de Chamrousse. Je vois aussi qu'à droite de Mars, il y a un amas d'étoiles, sans doute M44. Le Lyon est aussi levé.

 

Puis il est temps de repartir. Chauffage à fond dans la voiture pour refaire circuler le sang dans les extrémités. Je tente une autre route pour redescendre, qui elle est dégagée, moyennant un crochet significatif dans le sud grenoblois. Au passage, je repère un départ de chemin qui pourrait être un autre site d'observation moins au milieu de la route.

 

Orion. Olympus E510. ZD 50 mm. Ouverture f/2,8. ISO 400. 22 photos de 1 minutes. 15 dark. 31 offset. Traitement Iris.

orion_ptt.jpg

 

En grand (1,7 Mo).

 

Premiers constats. J'avais augmenté les ISO car j'étais mon gêné par la pollution lumineuse. Résultat, j'ai tout cramé. Non seulement les étoiles lumineuses sont carbonisées mais même une partie de M42 est saturée. Ce n'est pas une question de traitement. C'est déjà saturé sur chaque prise individuelle. Si on faisait du bracketting (par exemple, une vue à 1 s et une autre à 10 s en plus de la série à 1 mn), ça pourrait s'exploiter dans les logiciels de traitement pour récupérer la couleur des étoiles/zones les plus lumineuses?

 

Ensuite, concernant la netteté, c'est variable d'une vue à l'autre (1 mn à chaque fois):

Bien

P2030166.JPG

Moins bien

P2030173.JPG

 

Sachant que la mise au point n'a pas changé, pour moi, c'est un problème de stabilité mécanique de mon montage. Par ailleurs, il n'y a pas d'étirement systématique des étoiles dans une direction particulière, ce qui suggère que la mise en station et le suivi sont corrects.

 

Taureau (au lieu des Pléidaes). Orion. Olympus E510. ZD 50 mm. Ouverture f/3,5. ISO 400. 23 photos de 1 minutes. 15 dark. 31 offset. Traitement Iris.

taureau_up_ptt.jpg

 

En grand (3 Mo).

 

Version illustrée:

taureau_up_illustre_ptt.jpg

 

En grand (3 Mo).

 

Là, j'avais fermé d'un demi-diaphragme et avec moins de zones lumineuses, j'ai moins de saturation.

 

Sur le traitement des deux images, j'ai des difficultés avec l'équilibrage des couleurs. Pour le moment, je n'ai pas trop insisté, sachant qu'il restait une pollution lumineuse non négligeable. Vous procédez comment avec Iris pour l'équilibrage des couleurs? (pour ceux qui utilisent un APN)

 

Sinon, au rang des satisfactions, on distingue des étoiles jusqu'à la magnitude 11.

 

Les conclusions du jour:

  • On va retourner en grand angle
  • On va retourner à 100 ISO
  • On va mieux se préparer au froid

Posté

Pour les questions de saturation, je viens de voir qu'il y avait des fonctions HDR dans Iris (High Dynamic Range). Donc c'est envisageable. Mon mode opératoire va plutôt devenir:

  • ISO 400
  • 1 vue à 1 s
  • 1 vue à 10 s
  • ~20 vues à 60 s

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