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Posté
Le nombre de "gouttes" dans les prescriptions médicales doivent être indiquées en chiffres romains. Règle de moins en moins appliquée. Ô tempora, Ô mores.....

 

Fils de pharmacien, je n'ai jamais entendu parler de cet usage. J'ai plein de potes pharmacos, m'en vais leur demander, boudiou d'boudiou !!!!

En tout cas, merci de l'info. :)

Posté
Pétanque, pastaga, cigales, Raimu, Orane Demazis, écrivains régionalistes, sardine dans le port, le Schpountz, Marius et Olive, calanques, rascasse, Bonne Mère... Je t'abandonne tout ! Aucune revendication ! :be:

 

Échange (avec creusois) 5mn, pour voir (pour se rendre compte de la misère du monde):

 

Garlaban, bouillabaisse, fadas, putaings, santons, soleil, riviera, Belle-Époque, sieste, ombre, Isadora Duncan, ciel bleu, été indien, collines ensoleillées, oliviers, cabriolets, mini jupes, mono kini …

 

Mais 5mn, pas plus !!!!

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Le film qui a été tiré de la treizième mission Apollo s'appelle Apollo 13 (je viens de vérifier). J'avoue que ça ne me serait jamais venu à l'idée d'utiliser des chiffres romains.

 

En tant qu'antiroyaliste primaire, je n'écris jamais le numéro des rois. Par exemple celui qui a trahi la Nation en la livrant à l'ennemi et s'est fait justement décapité pour ce crime, il s'appelle Louis Capet.

 

Le quarterback de Washington, je l'ai toujours appelé Robert Griffin, sans préciser qu'il est le troisième de sa dynastie.

 

Pour moi, on est au 21è siècle. Autrefois on écrivait ça en chiffres romains, mais heureusement ça disparaît.

 

Le quinze de France a terminé dernier du tournoi des six nations. Ça s'écrit facilement, et ça se comprend par tout le monde.

 

Autrefois, pour les noms de comètes, on employait des chiffres romains. Par exemple en 1986, Halley était officiellement 1986 III : la troisième comète de l'année par ordre de passage au périhélie. Dans les années 1990 ce système a été abandonné, on utilise à présent la même numérotation que les astéroïdes (c'est plus cohérent), ainsi PANSTARR s'appelle officiellement C/2011 L4, avec un quatre en chiffres romains (4è comète découverte lors de la quinzaine L).

 

Il y a aussi les numéros de paragraphes : autrefois on utilisait souvent I, II, III et ainsi de suite, puis des sous-paragraphes 1, 2, 3... et ensuite a, b, c... C'est vrai que c'était joli. Aujourd'hui on fait tout en chiffres romains : 2.1.4 au lieu de II-1-d). J'avoue que j'aime bien l'ancienne numérotation. Argh, je ne suis pas complètement guéri !

Posté
Le film qui a été tiré de la treizième mission Apollo s'appelle Apollo 13 (je viens de vérifier). J'avoue que ça ne me serait jamais venu à l'idée d'utiliser des chiffres romains.

 

En tant qu'antiroyaliste primaire' date=' je n'écris jamais le numéro des rois. Par exemple celui qui a trahi la Nation en la livrant à l'ennemi et s'est fait justement décapité pour ce crime, il s'appelle Louis Capet.

 

Le quarterback de Washington, je l'ai toujours appelé Robert Griffin, sans préciser qu'il est le troisième de sa dynastie.

 

Pour moi, on est au 21è siècle. Autrefois on écrivait ça en chiffres romains, mais heureusement ça disparaît.

 

Le quinze de France a terminé dernier du tournoi des six nations. Ça s'écrit facilement, et ça se comprend par tout le monde.

 

Autrefois, pour les noms de comètes, on employait des chiffres romains. Par exemple en 1986, Halley était officiellement 1986 III : la troisième comète de l'année par ordre de passage au périhélie. Dans les années 1990 ce système a été abandonné, on utilise à présent la même numérotation que les astéroïdes (c'est plus cohérent), ainsi PANSTARR s'appelle officiellement C/2011 L4, avec un quatre en chiffres romains (4è comète découverte lors de la quinzaine L).

 

Il y a aussi les numéros de paragraphes : autrefois on utilisait souvent I, II, III et ainsi de suite, puis des sous-paragraphes 1, 2, 3... et ensuite a, b, c... C'est vrai que c'était joli. Aujourd'hui on fait tout en chiffres romains : 2.1.4 au lieu de II-1-d). J'avoue que j'aime bien l'ancienne numérotation. Argh, je ne suis pas complètement guéri ![/quote']

 

Pour Louis XVI, l'analyse est un peu superficielle. Il n'y a pas que Lavisse et l'histoire officielle IIIè république dans la vie.

 

Le délaissement des chiffres romains n'est qu'un des aspects de l'affadissement généralisé nécessaire à l'uniformisation du monde contemporain, par abandon de tous les particularismes. Et vive l'imparfait du subjonctif.

Posté

Le délaissement des chiffres romains n'est qu'un des aspects de l'affadissement généralisé nécessaire à l'uniformisation du monde contemporain, par abandon de tous les particularismes. Et vive l'imparfait du subjonctif.

 

Oh que oui, et que dire de l'abandon démagogique du parlé et de l'écrit ?

Posté
Le délaissement des chiffres romains n'est qu'un des aspects de l'affadissement généralisé nécessaire à l'uniformisation du monde contemporain, par abandon de tous les particularismes. Et vive l'imparfait du subjonctif.

 

Oh que oui, et que dire de l'abandon démagogique du parlé et de l'écrit ?

 

Ce n'est évidemment pas moi qui dirais le contraire...:p

Posté
Pour Louis XVI, l'analyse est un peu superficielle. Il n'y a pas que Lavisse et l'histoire officielle IIIè république dans la vie.

 

Le délaissement des chiffres romains n'est qu'un des aspects de l'affadissement généralisé nécessaire à l'uniformisation du monde contemporain, par abandon de tous les particularismes. Et vive l'imparfait du subjonctif.

 

 

Oui, comme l'abandon des bonnes vieilles unité de mesures: toises, pied, doigts, ... qui de plus, variaient selon les régions.

C’était le bon vieux temps...

Posté
Oui, comme l'abandon des bonnes vieilles unité de mesures: toises, pied, doigts, ... qui de plus, variaient selon les régions.

C’était le bon vieux temps...

 

C'est ce que je disais. Un esprit clair se doit de dépoussiérer ses neurones.

 

On pourrait aussi parler de la monnaie.

Nous avions avant la révolution la livre pour monnaie. Elle se divisait en 20 sols, chacun divisé lui-même en 12 deniers. Le liard, souvent évoqué, faisait 3 deniers ou 1/4 de liard.

A comparer avec la livre sterling de 20 schillings de chacun 12 pence.

Je te donne ces chiffres sans consulter aucun document.

 

Idem sans consulter :

 

1 pied fait 0,3048 mètre et 1 mille terrestre 1609 mètres (inversement : 1 mètre fait 3,28 pieds).

1 pied carré = 0,0929 m²

1 livre fait 0,4536 kg (1 kg fait 2,2 livres).

1 pouce fait 25,4 mm. D'où 0,22 pouce = 5,5 mm, 0,3 pouce = 7,62 mm, 0,303 pouce = 7,7 mm, 0,5 pouce = 12,7 mm...

1 gallon impérial = 4,54 litres ; 1 gallon étasunien = 3,78 litres.

En plus, je fais les conversions de tête avec généralement moins de 1 pour mille d'erreur.

 

Eh ouais... les livres d'aviation autrefois étant tous en anglais, j'ai eu besoin d'apprendre !

 

Note à l'intention des parents inquiets pour leurs petits crétins : l'accumulation de bits dans le cerveau n'entame en rien la mémoire restant disponible.

 

:be:

Posté
Oui, comme l'abandon des bonnes vieilles unité de mesures: toises, pied, doigts, ... qui de plus, variaient selon les régions.

C’était le bon vieux temps...

 

Et que dire de l'abandon du silex pour allumer un feu, et des signaux de fumée pour envoyer un message... Mon PÔVE monsieur, tout se perd !:confused:

Posté (modifié)
Et que dire de l'abandon du silex pour allumer un feu, et des signaux de fumée pour envoyer un message...

 

CUL DE CHOUETTE !

 

"http://www.youtube.com/watch?v=OmirmyYFTsE" via YouTube
ERROR: Si vous lisez ce texte, YouTube est hors-ligne ou vous n'avez pas installe Flash

 

C'est vrai qu'à l'époque ou savoir lire faisait de toi un clerc y'avait tout intérêt à compliquer au maximum l'accès au savoir.

Heureusement que les chiffres romains ont disparu !

Modifié par Leimury
Posté

Et le Zéro n'est pas réprésenté puisque le nombre romain résulte de l'adition et de la soustraction des lettres.

 

@Roger: j'ai noté une erreur de frappe sur ton premier post pour l'écriture de 100 000. Ce doit être un C et non un M.

 

Ludo.

Posté

C'est vrai qu'à l'époque ou savoir lire faisait de toi un clerc y'avait tout intérêt à compliquer au maximum l'accès au savoir.

Pourriez-vous me dire pourquoi vous mettez une apostrophe entre y et avait ?

 

Oui et depuis, par exemple, on a eu 1789, Jaurès et l'école pour tous et obligatoire.

Quand on voit le résultat, on a de quoi se poser des questions sur le bien fondé de quelques évolutions … Que nos démagos politicards nous présentent comme étant des progrès sociétaux …

 

Et bien moi, oufoufouf, je me gausse … :)

Posté

Quand on voit le résultat, on a de quoi se poser des questions sur le bien fondé de quelques évolutions … Que nos démagos politicards nous présentent comme étant des progrès sociétaux …

 

Et bien moi, oufoufouf, je me gausse … :)

 

A quoi servent tous ces points de suspension ?

Tu devrais lire comment voyager avec un Saumon, Umberto Ecco y consacre un paragraphe plutôt intéressant et qui touche à la psycho.

 

oufoufouf du verbe oufoufoufer ?

 

Quel est donc la signification de ce double point suivi d'une parenthèse fermante ?

 

Y'a du laisser aller :be:

Posté (modifié)

Parmi les vieilleries, il y en a d'utiles et d'autres d'inutiles. Pour moi les chiffres romains sont inutiles : les chiffres arabes sont plus simples, plus efficaces, on peut faire des opératoins avec, etc. De même pour les anciennes unités (pieds, pouces, gallons...) Par contre il y a des vieilleries utiles. Parmi celles que vous avez citées, je n'en vois qu'une : l'imparfait du subjonctif, qui permet certaines nuances (et j'aimerais bien le maîtriser, mais on ne me l'a jamais appris et il a quasiment disparu...)

 

En tout cas n'est pas parce qu'on a une vieillerie qu'elle est forcément à jeter (ou au contraire à encenser) : il faut voir au cas par cas.

 

-------------------

Trouvé grâce à Google, je vous le copie-colle, c'est bôôôôô !

 

L’amour à l’imparfait du subjonctif

 

Oui, dès l’instant où je vous vis,

Beauté farouche, vous me plûtes;

De l’amour qu’en vos yeux je pris,

Sur-le-champ, vous aperçûtes.

Mais de quel air froid vous reçûtes,

Tous les soins que je vous offris!

Combien de soupirs je rendis?

De quelle cruauté vous fûtes?

Et quel profond dédain vous eûtes

Des gros tourments que je souffris!

En vain je priai, je gémis.

Dans votre dureté vous sûtes,

Mépriser tout ce que je fis;

Mais un jour je vous écrivis

Un billet tendre que vous lûtes

Et je ne sais comment vous pûtes

De sang-froid voir ce que j’y mis.

Ah fallait-il que je vous visse,

Fallait-il que vous me plussiez

Qu’ingénument je vous le dise, (1)

Qu’avec orgueil vous vous tussiez;

Fallait-il que je vous aimasse,

Que vous me désespérassiez

Et qu’en vain je m’opiniâtrasse,

Qu’à vos pieds je me prosternasse

Pour que vous m’assassinassiez!

 

Alphonse Allais

 

(1) Jarnicoton signale plus loin qu'il s'agit en fait de disse. Je le crois volontiers (n'y connaissant rien) mais je ne corrige pas la faute sinon le message de Jarnicoton ne sera plus compréhensible.

Modifié par 'Bruno
Posté

on dévie un peu le poste initié par Roger:confused:

initialement les chiffre romain n'ont rien de scientifique mais plutôt pastoral on comptait les bestiaux sur ses doigts de1 à5 puis en faisant des encoches sur un bâton

Contrairement à une idée reçue, les chiffres romains ne sont pas acronymiques : par exemple, C n’est pas, au départ, l’abréviation de centum (écrit CENTVM). Les chiffres, attestés dans d’autres langues et écritures d’Italie, étaient au départ des symboles séparés, confondus ensuite avec les lettres. Ainsi, en numération étrusque (dont l’alphabet également a été emprunté et adapté par les Romains) on trouve les symboles I, Λ, X, ⋔, 8 et ⊕ pour I, V, X, L, C et M1.

 

En fait, la critique moderne reconnaît que la numération romaine est une survivance d'une pratique archaïque, antérieure à l'invention même de l'écriture (et donc, à strictement parler, préhistorique), et que l'on retrouve dans de nombreuses civilisations2.

 

Ces chiffres seraient dérivés de l'utilisation de bâtons à entailles et de la nécessité d'y faire figurer des repères : Le berger qui veut compter ses bêtes sans savoir énumérer prend simplement un bâton sur lequel figurent des encoches, fait passer son troupeau devant lui, et décale son ongle d'une encoche à chaque fois qu'une bête passe devant lui : l'encoche finale correspond au nombre de bêtes, et il suffit de repérer sa position pour conserver le nombre. Avec ce système, les premiers chiffres sont toujours des encoches simples, ultérieurement transcrites par des « I ».

Lineaal.jpg

 

Le repérage n’est pas aisé dès que le nombre d’encoches dépasse une poignée, parce que l’œil ne perçoit pas clairement les collections au-delà de trois ou quatre éléments : lire IIIIIIII est pratiquement impossible (par comparaison à VIII, beaucoup plus simple). Le berger est naturellement conduit à intercaler régulièrement des encoches de forme différente, pour servir de repère visuel ; et le regroupement naturel (pour un berger comptant sur ses doigts) est par groupes de cinq (de 10 pour les Étrusques). Un tel regroupement est toujours utilisé de nos jours sur les règles à mesurer.

 

Le repère « cinq » naturel pourra être une encoche plus longue (utilisée sur les règles), ou en biais (utilisée sur les tailles), mais ces deux marques ne se différencient pas bien des encoches simples quand il s'agit de les transcrire. Les marques simples finalement utilisées sont formées par une encoche double (en forme de V, ou de Λ quand on le lit dans l'autre sens). Le regroupement suivant, à dix encoches, est pratiquement toujours une encoche en croix X. Les repères ultérieurs ont des formes plus élaborées, à trois encoches : 50 correspond à « V plus une encoche », ce qui donne initialement des formes en N, Z ou E ; et cent correspond à « X plus une encoche », donnant des formes de type étoile (Ж). Ces formes étaient moins stables, et ont évolué par la suite vers des formes à deux traits, en L pour cinquante, et C pour cent.

 

Avec un bâton ainsi marqué, le berger peut repérer assez facilement l'encoche sur laquelle s'est arrêté son décompte. S'il a treize bêtes, par exemple, son ongle s'arrête sur la troisième encoche après la première dizaine, ce qui se retranscrit simplement XIII. S'il en a vingt neuf, son ongle est à une encoche avant la troisième dizaine, ce qui se note XXIX. S'il en a cinquante neuf, son doigt a passé la première cinquantaine, et se trouve à une encoche avant la dizaine suivante: LIX.

 

Ce repérage primitif peut conduire à des écritures très atypiques : par exemple, un cran avant la dizaine avant cinquante se noterait IXL (pour trente neuf). Il a été régularisé par la suite, pour former le système connu de nos jours

 

 

pour rappel :

I baton etc comme on veut une unité ....jusqu'à 4

V =5 correspond à une main!

L pour 50 je sais pas:confused::be:

C communément admis CENTVM =100 mais pas si simple serait une simplification de (Ж)

M comme milia en latin mais pas si simple en fait schématisation de la lettre grec Φ qui devint:CIƆ et ↀ on comprendra aisément que 500 = la moitié de ce symbole et de 1000 soit :D!

notez que ce symbole n'est pas sans évoquer ∞ (introduit par John Wallis)

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/%E2%85%AF

Posté (modifié)

Qui saura repérer avec précision et donner le nombre exact de subjonctifs dans le texte d'Alphonse Allais proposé par Bruno ...? ;)

(Ah...là, ça rigole moins...:confused:)

Modifié par Toutiet
Posté
@Roger: j'ai noté une erreur de frappe sur ton premier post pour l'écriture de 100 000. Ce doit être un C et non un M.

 

Ludo.

Bonjour Ludo, :)

 

Tu as tout à fait raison, le nombre 100 000 s'écrit en chiffres romains par un C suscrit et non par un M suscrit comme je l'avais mis par erreur dans le premier message de ce sujet. Je te remercie de me l'avoir signalé. ;)

 

Je rectifie tout de suite cette lamentable erreur... :( :( :(

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

 

Posté (modifié)
Qui saura repérer avec précision et donner le nombre exact de subjonctifs dans le texte d'Alphonse Allais proposé par Bruno ...?
Les IX derniers :rolleyes: ? Les XVIII premiers, c'est du passé simple. Pour ne pas dire simplet :b: . Modifié par Moot
Posté

Au vers numéro 20 du poème d'Alphonse Allais cité plus haut, la forme " dise " n'est pas celle de l'imparfait mais du présent du subjonctif.

Pourquoi ce seul présent parmi tous ces imparfaits (et il fallait bien l'imparfait pour le respect de la concordance des temps) ? Bah ! parce que la forme de l'imparfait n'est pas connue. C'est " disse ".

 

Cela m'a sauté aux yeux. Vérification faite, on trouve sur la toile les deux versions du poème, avec et sans erreur. Alphonse Allais ne s'est évidemment pas trompé, mais nombre de ceux qui se sont crus malins en recopiant se sont empressés de faire une faute en pensant corriger une faute d'AA...

 

Ah ah !

 

Mais peut-être celui qui a recopié fautivement savait-il qu'il faisait une faute, mais, étant de sa profession homme politique, par exemple, a-t-il pensé qu'il valait mieux donner une faute au peuple plutôt que provoquer le peuple à croire que lui, le recopieur du poème, avait fait la faute ?...

Posté (modifié)

Et peut être qu'après tout la possibilité d'une alternative intéressante l'emporte sur la probabilité d'une possibilité naissante.

 

On part des chiffres romains et on finit en psycho :D (Salle XV)

Mais de quoi tu parles Jarni ?

Modifié par Leimury
Posté
A quoi servent tous ces points de suspension ?

Tu devrais lire comment voyager avec un Saumon, Umberto Ecco y consacre un paragraphe plutôt intéressant et qui touche à la psycho.

 

oufoufouf du verbe oufoufoufer ?

 

Quel est donc la signification de ce double point suivi d'une parenthèse fermante ?

 

Y'a du laisser aller :be:

 

Mon commentaire ne comporte aucune faute. C'est, je pense, votre machine primaire (sans doute bas de gamme) qui ne sait pas afficher les caractères émoticônes. Quand vous me verrez faire une faute (autre que voulue ou de frappe, due à la dégénérescence de ma motricité), je vous paierai votre poids en oculaires Nagler.

S'il y a du laisser-aller, ce n'est sûrement pas chez moi. Même ma maladie ne parvient pas à me déstabiliser sur ce point (le bien parler et/ou le bien écrire).

 

L'utilisation du terme Oufoufer est une allusion à l'un des plus grands linguistes des années 80. Le simple fait de poser cette question prouve que le langage n'est pas votre passion. :)

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