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Après le LHC, les physiciens pensent déjà à un nouveau joujou ! Un des projets, l’ International linear collider (ILC), vient d’être présenté. Il est linéaire et fait 31 km de long !

Il existe d’autres idées, par exemple certains suggèrent de recycler le FERMILAB à Chicago, «*pour y faire tourner des électrons dont l’interaction avec un laser de type ICAN créerait des photons gamma qui, eux-mêmes, en interagissant entre eux, engendreraient les fameux bosons«*.

(Le Monde supplément science)

 

Chasse au boson : la course au gigantisme

SOURCE : ILC

 

La découverte d’une nouvelle particule, le boson de Higgs, au CERN grâce à l’accélérateur LHC (Large Hadron Colllider) en 2012 a parachevé l’édifice théorique décrivant le monde de l’infiniment petit. Tout en laissant bien des questions ouvertes. Et motivant les physiciens pour la construction d’une machine suivante. Celle-ci pourrait être l’International Linear Collider (ILC) dont les plans ont été rendus publics le 13 juin par une vaste collaboration de plus de cent universités d’une vingtaine de pays. L’ILC propulsera les uns contre les autres des électrons et leurs antiparticules, les positrons, jusqu’à des énergies de 250 GeV chacun (soit 500 000 fois l’énergie correspondant à la masse de ces particules). Souterraine, sa construction prendrait dix ans, pour un coût inférieur à 6 milliards d’euros. Le Japon est très motivé pour accueillir le futur géant. Même s’il est le plus mûr technologiquement, des alternatives existent, comme le CLIC (Compact Linear Collider), linéaire mais plus puissant, ou un projet d’accélérateur circulaire de 80 km de circonférence. Avant qu’une décision soit prise, la communauté des physiciens pourrait tout de même attendre la reprise d’activité du LHC à la fin de l’année 2014 et ses premiers résultats afin de mieux cerner les énergies pertinentes à atteindre.

 

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Posté

J'avais lu ce projet il y a quelle jours mais je n'est pas compris pourquoi il voulais en construire un autre encore plus grand alors quil y a a peine une an il anoncé qu'un nouveau type d'accélérateur permeté justement de reduire la taille de ceux ci. Enfin si ca peux aidé pour de nouvelle découverte :) encore un projet gigantesque que l'on attend avec impatience ^^

Posté

Lis juste le lien que je mets dans mon message précédent, lien du CERN lui-même.

Annoncé, plus que pressenti, mais pas confirmé à 100%.

 

Et je ne plaisante pas ni ne retarde d'une guerre, ne t'en déplaise!

 

Pierre

Posté (modifié)

relit plutôt ta phrase :

"...Oui enfin, la découverte du Boson de Higgs n'est pas encore certaine, il y a des très fortes présomptions mais ce n'est pas encore certifié ..."

 

La confirmation du CERN :

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/physique-1/d/le-boson-de-higgs-a-tres-probablement-ete-decouvert_45215/

 

"...Le Cern vient d’annoncer que tout indique que le nouveau boson découvert l’année dernière est bien celui de Peter Higgs. Il semble de plus se comporter comme le boson de Higgs du modèle standard, au désespoir de ceux qui attendent des signes d’une nouvelle physique... "

Modifié par jackbauer
Posté

Où vois-tu une certitude là-dedans? Et c'est futura-sciences en plus :lol:

Je me réfère à la page du CERN qui dit bien qu'il est fort probable que ce soit le Higgs, mais ce n'est pas une certitude.

 

Oui on joue sur les mots mais les scientifiques les premiers.

 

Pierre

Posté

On comprend bien que le CERN soit ultra-prudent dans ses communiqués officiels (après l'affaire des neutrinos supraluminiques en plus) mais je ne pense pas que tu trouveras un site ou un blog qui doute de la découverte du boson et, depuis peu, du fait qu'il s'agisse bien de celui calculé par Higgs & co

Posté

Et donc, qu'est-ce qui compte? le CERN qui est quand même un peu au premières loges ou des sites plus ou moins bidon qui interprètent les dires et écrits?

 

Tant que le CERN n'aura pas publié une note avec la certitude que le Higgs a été découvert on ne peut que se fier à eux.

 

Pierre

Posté

Match nul: mars 2013 n'est pas juillet 2012.

 

Je trouve assez marrant de parler de 310 terrains de football pour donner une idée de la longueur du futur ILC.

 

Patte.

Posté

Je trouve assez marrant de parler de 310 terrains de football pour donner une idée de la longueur du futur ILC.

 

Patte.

 

Moi aussi, surtout que personne ne spécifie s'il s'agit de football canadien ou américain.

Posté
Voila, suffit de lire…

Jeu, set et match !

 

http://home.web.cern.ch/fr/about/updates/2013/05/birth-higgs-boson

 

abdql7pF.jpg

 

Attention, la citation est incomplète. Sur le même site : http://cerncourier.com/cws/article/cern/53086, on trouve la suite en anglais de l'article cité ci-dessus : on a bien trouvé un boson de Higgs, mais on ignore encore si c'est celui prévu par le Modèle Standard. Car il semble qu'il y ait plusieurs Bosons de Higgs.

 

"At the Moriond meeting, in addition to a suite of final results from the experiments at Fermilab’s Tevatron on the same subject, the ATLAS and CMS collaborations presented preliminary new results that further elucidate the nature of the particle discovered just eight months earlier. The collaborations find that the new particle is looking more and more like a Higgs boson. However, it remains an open question whether this is the Higgs boson of the Standard Model of particle physics, or one of several such bosons predicted in theories that go beyond the Standard Model. Finding the answer to this question will require more time and data."

Posté

Bonjour,

 

Effectivement les collaborations exploitant les données du LHC ont été très prudentes : En juillet 2012 on parlait de la découverte d'UNE nouvelle particule compatible avec UN boson de Higgs. Actuellement on sait avec une quasi certitude que c'est bien UN boson de Higgs, mais on ne sait pas encore lequel ; est-il complètement standard / minimaliste ? Est-ce un Higgs supersymétrique ? etc... Seuls des analyses sur de nouvelles données (pas avant 2015) pourront clarifier ce point.

 

Pour ce qui est de l'ILC, il s'agit en effet d'un collisionneur linéaire à électrons avec une énergie de 500 GeV dans le centre de masse. On peut être étonné de voir que le futur accélérateur fournira des collisions de 500 GeV alors que le LHC fonctionne à 8 TeV. En fait le LHC accélère des protons qui sont composites, on a donc en fait des collisions de quarks et de gluons, chacun de ceux-ci emportant une fraction de l'énergie disponible. Les machines à protons ont l'inconvénient de ne pouvoir disposer de toute l'énergie des faisceaux et en plus de ne pas avoir une valeur bien définie de la composante longitudinale de l'énergie, seule l'énergie transverse est correctement définie.

 

Par contre, les protons sont beaucoup plus facile à accélérer que les électrons. Les machines à protons sont souvent des machines de découverte (on tire dans le tas et on regarde ce qui sort :) ) alors que les machines à électrons, beaucoup plus propres, sont des machines de précision (on parle d'ailleurs de "métrologie" quand on mesure le plus précisément possible les caractéristiques d'une particule ou d'une interaction).

 

L'ILC permettra donc de mesurer précisément les caractéristiques du Higgs et des autres particules qui seront éventuellement découverte sur le LHC. Il faudra attendre 2030 pour cela !

 

Dominique

Posté

Bonjour,

Le commentaire suivant a été rédigé pour mon site sur l'Électronisme.

 

Avant de commencer l’étude de cette machine, nous pouvons poser des questions «*élémentaires*» qui montrent, peut-être, que la physique, ou les physiciens, sont très difficiles à comprendre*:

Le LHC est censé casser des protons*: tous les dictionnaires disent, et tous les physiciens savent, que les protons sont incassables. Après avoir supporté l’explosion des étoiles, ils existent dans les nébuleuses.

On se demande quelles sont les particules qui sont entrées en collision dans le LHC, ces 3 ou 4 dernières années…

 

Le ILC est étudié pour créer la rencontre de faisceaux d’électrons et de positrons. Tous les électrons sont de charge négative, donc ils se repoussent quand ils se rencontrent*: comment peut-on les mettre ensemble pour en faire un faisceau*?

Il en est de même pour les positrons qui seraient de charge positive.

Les électrons et les positrons, s’ils sont de charges contraires, s’attirent et s’annihilent. A-t-on besoin de construire un appareil très sophistiqué à 10 ou 20*milliards d’euros pour réaliser une opération qui serait naturelle et impossible à empêcher*?

 

 

Sans attendre de réponse à ces questions, reprenons notre analyse des informations concernant le possible futur ILC.

 

31 kilomètres de long, en lignes droites, pour lancer l’une contre l'autre des particules qui mesurent 10-18*mètre, soit un milliardième de milliardième de mètre… Les particules vont effectuer 31 mille milliards de milliards de fois la longueur de leur dimension avant de se rencontrer. Cela est-il utile*?

 

Les électrons iront rencontrer des positrons et on sait déjà par les explications théoriques mathématiques concernant ces particules, semblables mais de charges opposées mathématiquement, qu’un électron et un positron (s’il peut exister) en contact disparaissent immédiatement*: en mathématique, un facteur plus, plus un facteur moins, donnent zéro et les facteurs disparaissent. Mais les physiciens disent qu’un électron plus un positron créent une étincelle de photons, sortis… de rien. Est-il utile d’étudier un phénomène qui ne peut pas exister*?

 

Qu’est que cette énergie de collision de 500 GeV (gigaélectronvolts), 500*milliards de fois celle d’un électron*?

Est-ce une énergie qui est donnée aux particules qui se déplacent vers leur rencontre*? Ou bien est-ce la totalité de l’énergie au point de rencontre*?

Les physiciens savent que les électrons ont une charge d’énergie déterminée et qu’elle ne peut pas être changée. Elle est par définition de 1 électronvolt.

Cette énergie est donnée à une masse et les physiciens savent que la masse de l’électron est déterminée et ne peut pas être changée.

Comment la masse limitée d’un électron peut-elle incorporer une énergie exceptionnellement forte*?

Il s’agirait probablement d’une suite très rapide, presque à la vitesse de la lumière (?) de collision de 500*milliards d’électrons, rencontrant 500*milliards de positrons, qu’il faudrait trouver…

 

Les électrons recevront-ils une charge négative de 500*milliards d’électronvolts et les positrons une charge positive équivalente*?

 

Le but est d’obtenir au moins trois bosons de Higgs.

Existent-ils réellement ou bien comme pour le premier, celui du LHC, disparaîtront-ils immédiatement, sans avoir «*vécu*» un seul instant*?

 

Il est certain que les ingénieurs et techniciens sauraient construire un appareil aussi sophistiqué.

Mais est-il raisonnable de l‘étudier et le construire pour tenter d’expliquer une idée basée sur des théories qui sont encore discutables et discutées, sans jamais aucun rapport avec la réalité pratique de la matière ou des objets de la terre et donc de l’univers.

 

On disait que le boson de Higgs, le premier, le vrai, confirmerait la théorie du modèle standard. Sinon il faudrait changer cette théorie.

Actuellement aucune conclusion n’est tirée de l’existence supposée de ce boson de Higgs, et son utilité, pour confirmer la théorie du modèle standard. Alors on va plus loin et on parle à nouveau d’une autre nouvelle théorie.

 

Une nouvelle théorie semble indispensable, mais il faut qu’elle soit nouvelle, indépendante des théories anciennes qui ne mènent à rien.

 

Nous arrivons alors aux problèmes généraux de toute «*la physique*».

 

 

Les théories actuelles sont principalement basées sur celle de la relativité d’Einstein et sur les formules mathématiques qui ont amené la mécanique quantique et le modèle standard des particules et des interactions.

 

Ces deux théories celle d’Einstein et celle de la mécanique quantique n’ont rien apporté de concret à la connaissance réelle de la matière.

L’histoire de ces théories nous l‘explique très bien.

 

L’expérience de 1919 à l’Île Principe qui devait vérifier la validité de la théorie de la relativité n’a pas été concluante.

D’après Arthur Eddigton qui dirigeait l’expérimentation lors de l’éclipse totale du soleil, «*La météo était mauvaise et les plaques photographiques de mauvaises qualités et difficiles à mesurer*»*; lit-on dans Wikipedia (en 2013). Personne ne parle de ce raté.

Aucune application pratique n’existe de la théorie de la relativité, basée sur l’idée de Newton de l’attraction gravitationnelle des masses que Nelson, lui-même, disait fausse.

En 1692, il écrivait, dans une lettre à Richard Bentley*: «*Que la gravité soit innée, inhérente et essentielle à la matière, en sorte qu'un corps puisse agir sur un autre à distance au travers du vide, sans médiation d'autre chose, par quoi et à travers quoi leur action et force puissent être communiquées de l'un à l'autre est pour moi une absurdité dont je crois qu'aucun homme, ayant la faculté de raisonner de façon compétente dans les matières philosophiques, puisse jamais se rendre coupable.*» En même temps, il confirmait implicitement l’existence de l’éther de l’espace qui, à l’époque, était mal compris mais n’était pas mis en doute.

 

Les physiciens de l’école de Copenhague, avec Niels Bohr, savaient que leurs études n’étaient que provisoires en attendant un développement des techniques qui permettraient de contrôler tout ce qu’ils trouvaient avec des quanta qui n’étaient que des facteurs mathématiques pour continuer leurs études. Ils le disaient et il est permis de se demander qui a transformé les formules mathématiques de Dirac, et autres, en éléments physiques, particules et forces, auxquelles on donnait un nom pour les concrétiser.

Les mathématiciens ont continué à aller trop loin et rien de pratique n’est jamais sorti de la mécanique quantique et l’une de ses émanations, le modèle standard des particules et interactions, dont n’est jamais expliquée l’implication dans la création de la matière et l’utilisation ni des particules, ni de toutes les forces créées avec des noms différents.

On donne actuellement le nom de quantique à des phénomènes encore inobservables mais réels que les techniciens peuvent étudier et utiliser pour avancer dans leur mise en pratique des phénomènes dont ils ont besoin sur la terre. Tout ce qui concerne l’électricité et l‘électronique fait des progrès permanents et très importants uniquement par une suite d’expérimentations et d’essais. Aucune explication compréhensible et pratique n’existe qui serait utilisable et applicable par les ingénieurs et techniciens. Les champs électromagnétiques et les équations de Maxwell n’ont jamais servi, ni à rien, ni à personne.

 

 

Parenthèse

Je me permets ces remarques parce que je suis vieux et non physicien.

En me servant ce qui est réellement connu par tous les physiciens, j’ai établi la théorie d’une nouvelle physique qui explique tous les phénomènes, sur la terre et dans l’univers, en se basant uniquement sur les électrons et les événements dus à leurs qualités, sans aucune hypothèse ad hoc. Tout ce que je ne peux pas expliquer moi-même avec cette théorie pourrait l‘être par des scientifiques connaissant beaucoup mieux que moi tous les phénomènes pratiques de physique et autres sciences liées.

Fin de la parenthèse

 

 

Les buts du ILC sont difficilement compréhensibles.

On sait que les électrons (et positrons) sont des particules élémentaires. Ils sont donc incassables.

Le but serait de créer d’autres bosons. Le premier n’existe pas puisqu’il disparaît dès qu’il est créé et ne peut donc être ni observé ni analysé ou étudié. Les autres seront-ils de même qualité*?

 

Il est question de la matière noire. C’est un problème complètement différent. La matière est dite noire simplement pas ce qu’on ne peut pas la voir. Les astronomes savent que les étoiles évoluent et finissent par disparaître mais se retrouvent, un grand nombre de milliards d’années plus tard, sous une forme différente, dans les nébuleuses où se recréent des étoiles.

Nous pouvons penser que cette matière noire n’est qu’une forme intermédiaire de la matière que nous connaissons, en cours de transformation entre son état dans les étoiles et sa dispersion dans les nébuleuses.

 

 

Ma conclusion de cette étude rapide peut être tirée de la phrase ci-dessous, difficile à comprendre, extraite d’un texte du CERN*: / L’accélérateur de particules de nouvelle génération est prêt pour la phase de construction

 

«*…Chaque paquet contiendra 20*milliards d'électrons ou de positrons concentrés dans un espace bien plus petit que l'épaisseur d'un cheveu, ce qui signifie que le taux de collision sera très élevé. Cette «*luminosité*» élevée, combinée avec l'interaction très précise de deux particules sans sous-structure*qui s'annihilent mutuellement, permettra à l'ILC de fournir une immense quantité de données aux scientifiques afin qu'ils puissent mesurer avec une très grande précision les propriétés des particules, telles que le boson de Higgs récemment découvert…*»

 

Que peut-on trouver après des collisions de particules qui «*s’annihilent mutuellement*»*?

Posté (modifié)

Bon, sincèrement Dardel, il faut que tu développes tes théories, cela fera du bien à nos zygos sans aucun doute.

 

Et j'aime bien ton sérieux, si, si, j'insiste :be:

 

Juste comme çà, en passant, le proton est composé de 3 quarks, 2 Up et 1 Down (tous les physiciens le savent) ;)

 

Pierre

Modifié par Newbie Mais
Posté

La physique actuelle dont on parle le plus, —quels sont les techniciens qui l'utilisent ?—, est basée sur deux théories, celle de la relativité et celle de la mécanique quantique avec son modèle standard des particules et interactions. Ces deux théories s'appliqueraient dans des conditions déterminés par des considérations anthropiques très précises.

La théorie de l'Électronisme est basée sur les électrons que tous les physiciens connaissent comme étant des particules élémentaires bien précises. J'ai ajouté les vibrations qui sont maintenant observées mais que l'on connaissait depuis longtemps dans de nombreuses matières ou objets. Tout est certainement trop simple, et comme je ne suis ni physicien ni mathématicien, je ne peux en faire un contrôle mathématique (ou informatique).

Les caractéristiques des électrons expliquent les ondes de l'espace et leur vitesse dont celle de la lumière. La lumière n'existe pas dans l'univers.

L'agitation thermique correspond à tous les rayonnements formés par les déplacements des composés d'électrons.

La gravité dans les composés en découle naturellement. Elle forment des nuages gravitiques qui sont les atmosphères ou champs magnétiques des étoiles et planètes.

Cela est expliqué dans les pages de mon site, http://www.dardel.info/boningal/Electronisme/LElectronisme.html

mais l'étude n'est pas terminée et sera encore très longue.

Posté (modifié)

Quelle imagination!

 

Un régal ton site, bravo!

 

Une question: comment - avec l'électronisme - expliquer qu'un verre se brise en tombant mais pas une fourchette?

 

Patte.

Modifié par syncopatte
Posté

Bonsoir*!

Merci Patte.

Imagination et beaucoup de travail …

Ta question est intéressante. Je vais l'étudier, en "tache de fond". Cela me prendra beaucoup de temps mais c'est explicable et m'entrainera certainement vers beaucoup de sujets différents.

C'est un problème de base de toute la physique qui est d'expliquer ce que nous voyons autour de nous, l'univers réel qui nous concerne, les atomes, le verre à boire et les étoiles, tous avec la même physique et les mêmes règles.

Tu devrais poser la même question aux tenants de la mécanique quantique !

Bien cordialement

Philippe

Posté

Et que pensez-vous, Monsieur Dardel, des élastons?

Faisant vous aussi dans le "spécial", le "différent" voire dans le "bizarre", cela ne peut qu'aller dans (ou contre) votre sens?

Donc, votre avis sur les élastons?

 

Un article à leur sujet, sur un site qui a le même degré de sérieux que le votre: http://www.urantia-gaia.info/2011/08/03/il-etait-une-fois-de-lautre-cote-du-voile/

 

Pierre

Posté

Bonsoir !

En réponse à Pierre, je n'ai pas d'avis sur les élastons.

J'ai lu le début et quelques lignes du site dont vous donnez l'adresse. Il n'est pas dans mes idées, je ne vais pas plus loin. Il peut plaire à d'autres, je n'ai pas à les critiquer.

Philippe

  • 3 semaines plus tard...
Posté (modifié)

Dardel est d'évidence un scientifique qui s'amuse.

 

Presque chaque ligne de son message ci-dessus est une énormité ; mais une énormité bien construite sur la connaissance de la réalité sérieuse sous-jacente.

Modifié par jarnicoton
Posté (modifié)
Le LHC est censé casser des protons*: tous les dictionnaires disent, et tous les physiciens savent, que les protons sont incassables.[/Quote]Ben justement non… un proton est une particule composite, il présente des états excités comme l’atome, ses constituants peuvent se transformer en autre chose (quark up en quark down par exemple, donnant un neutron).
Le ILC est étudié pour créer la rencontre de faisceaux d’électrons et de positrons. Tous les électrons sont de charge négative, donc ils se repoussent quand ils se rencontrent*: comment peut-on les mettre ensemble pour en faire un faisceau*?[/Quote]La question se pose également pour les protons dans le LHC actuel. En fait c’est une très bonne question, c’est pourquoi il existe des aimants dipolaires, quadripolaires, octupolaires etc… qui permettent de refocaliser le faisceau.
A-t-on besoin de construire un appareil très sophistiqué à 10 ou 20*milliards d’euros pour réaliser une opération qui serait naturelle et impossible à empêcher*?
Je ne comprends pas bien le but de la question, toujours est-il que l’annihilation d’un électron et d’un positron quasiment au repos ne fournit que 1 MeV.

Utiliser un collisionneur permet de les faire entrer en collision pour produire bien plus d’énergie (1 TeV par exemple).

 

 

31 kilomètres de long, en lignes droites, pour lancer l’une contre l'autre des particules qui mesurent 10-18*mètre, soit un milliardième de milliardième de mètre… Les particules vont effectuer 31 mille milliards de milliards de fois la longueur de leur dimension avant de se rencontrer. Cela est-il utile*?[/Quote]Ce n’est pas cette grandeur qui est pertinente. En effet, aujourd’hui la limite technologique est d’obtenir un gradient de potentiel suffisant pour accélérer une particule. C’est pourquoi il existe plusieurs technologies, notamment des accélérateurs circulaires qui peuvent faire parcourir plusieurs fois le tunnel pour atteindre l’énergie souhaitée. Cependant des charges sur une trajectoire circulaire émettent un rayonnement dit synchrotron qui fait perdre de l’énergie à la dite particule, d’où l’intérêt d’accélérateur linéaire, mais ce que l’on gagne en rayonnement, on le perd en place.
Mais les physiciens disent qu’un électron plus un positron créent une étincelle de photons, sortis… de rien. Est-il utile d’étudier un phénomène qui ne peut pas exister*?[/Quote]La collision d’un électron et d’un positron produit des photons, qui ne sortent pas de rien puisque c’est un phénomène électromagnétique. C’est comme si vous disiez que le mélange d’hydrogène et d’oxygène produisait de l’eau sorti de rien. Non, l’eau est un produit de la réaction hydrogène + oxygène, tout comme les photons gammas sont le produit de la réaction électron + positron.

 

Qu’est que cette énergie de collision de 500 GeV (gigaélectronvolts), 500*milliards de fois celle d’un électron*?[/Quote]En fait c’est l’énergie qu’acquiert une particule de charge élémentaire (1.602e-19 Coulomb) accéléré par une différence de potentiel de 500 milliards de volts.
Est-ce une énergie qui est donnée aux particules qui se déplacent vers leur rencontre*? Ou bien est-ce la totalité de l’énergie au point de rencontre*?
C’est l’énergie disponible dans le référentiel du centre de masse, qui pour un collisionneur est l’énergie disponible dans le référentiel du laboratoire. Cela veut dire que la quantité d’énergie disponible pour créer d’autres particules sera de 500 GeV (contre 125 GeV pour la masse du Higgs).
Les physiciens savent que les électrons ont une charge d’énergie déterminée et qu’elle ne peut pas être changée. Elle est par définition de 1 électronvolt.[/Quote]Non pas tout à fait. Une charge électrique se mesure en Coulomb, et vous avez raison est invariante. C’est une quantité qui se conserve.

1 eV c’est une quantité d’énergie, c’est le produit d’une charge électrique par un potentiel électrique, 1eV = 1.602 e-19 Joule.

Cette énergie est donnée à une masse et les physiciens savent que la masse de l’électron est déterminée et ne peut pas être changée.

Comment la masse limitée d’un électron peut-elle incorporer une énergie exceptionnellement forte*?[/Quote]Cela est lié à la théorie de la relativité, qui explique que lorsqu’une particule est accélérée, son inertie augmente (en fait son inertie est composée de deux parties : la masse au repos de la particule, et l’énergie cinétique que celle-ci acquiert). En d’autres termes, plus la vitesse d’une particule est proche de celle de la lumière et plus son énergie augmente, et donc son inertie.

Il s’agirait probablement d’une suite très rapide, presque à la vitesse de la lumière (?) de collision de 500*milliards d’électrons, rencontrant 500*milliards de positrons, qu’il faudrait trouver…[/Quote]Ben non, ça je le fais déjà en frappant mes deux mains ensembles (d’ailleurs je fais même plus, je dois taper avec 1E26 électrons dans chaque main. Non en fait l’intérêt de l’accélérateur est de concentrer toute l’énergie dans un seul électron.
Le but est d’obtenir au moins trois bosons de Higgs.

Existent-ils réellement ou bien comme pour le premier, celui du LHC, disparaîtront-ils immédiatement, sans avoir «*vécu*» un seul instant*?[/Quote]Je ne sais pas si c’est pour en obtenir 3, mais pour mesurer des caractéristiques assez précises, il faut assez d’évènements, et ça se compte plutôt en millions. Effectivement le Higgs aura une durée de vie si faible, que l’on cherchera à mesurer ses produits de désintégration plutôt que de le détecter directement (tout comme les bosons intermédiaires dans les années 1983 1984).

Mais est-il raisonnable de l‘étudier et le construire pour tenter d’expliquer une idée basée sur des théories qui sont encore discutables et discutées, sans jamais aucun rapport avec la réalité pratique de la matière ou des objets de la terre et donc de l’univers.[/Quote]Ben justement détrompez-vous, ce sont des théories invariantes locales de jauges de Yang-Mills, qui sont très bien éprouvées par l’expérience. Je me réfère notamment au moment magnétique anormale de l’électron mesurée, et calculée théoriquement avec une précision de 11 décimales, ou bien la liberté asymptotique lié au confinement des quarks.

La physique des hautes énergies a également des conséquences cosmologiques (notamment par exemple sur le nombre de générations etc...)

On disait que le boson de Higgs, le premier, le vrai, confirmerait la théorie du modèle standard. Sinon il faudrait changer cette théorie.

Actuellement aucune conclusion n’est tirée de l’existence supposée de ce boson de Higgs, et son utilité, pour confirmer la théorie du modèle standard. Alors on va plus loin et on parle à nouveau d’une autre nouvelle théorie.[/Quote]Non en fait la découverte du boson de Higgs confirme le modèle standard (les théories de Yang-Mills et l’apparition de la masse), cependant il est nécessaire d’étudier précisément les propriétés de ce boson afin de savoir s’il se comporte exactement comme ce que prévoit le Modèle Standard, ou bien s’il y a des écarts qui pourraient fournir des pistes sur une nouvelle physique (parce que tout ce qui est fait depuis 30 ans ne fait que confirmer un modèle vieux de 50 ans).

Ces deux théories celle d’Einstein et celle de la mécanique quantique n’ont rien apporté de concret à la connaissance réelle de la matière.[/Quote]Je ne sais pas ce qui vous permet de dire cela. Ces deux théories (en particulier la mécanique quantique) permettent d’expliquer :

- La structure de l’atome et donc la classification périodique et toute la chimie

- La stabilité de la matière

- La structure du noyau atomique et toutes les applications militaires et civiles

- Les interactions électromagnétique, forte faible et gravitationnelle

L’histoire de ces théories nous l‘explique très bien.

 

L’expérience de 1919 à l’Île Principe qui devait vérifier la validité de la théorie de la relativité n’a pas été concluante.

D’après Arthur Eddigton qui dirigeait l’expérimentation lors de l’éclipse totale du soleil, «*La météo était mauvaise et les plaques photographiques de mauvaises qualités et difficiles à mesurer*»*; lit-on dans Wikipedia (en 2013). Personne ne parle de ce raté.[/Quote]En fait je ne suis pas du tout d’accord, les expériences ont été concluantes : une déviation des rayons lumineux a bien été mise en évidence, mais pas forcément de l’amplitude prédite par la RG.

Cependant depuis une trentaine d’années, les arcs, croix mirage gravitationnels confirment bien ce genre de phénomène.

 

Je n’ai pas commenté toutes vos remarques, mais c’est déjà un premier retour.

Modifié par bongibong
Posté

Réponse à bongibong

Merci pour tous vos commentaires et la façon de les écrire.

Connaissant tous vos arguments (avec mes manques et mes "énormités", bien sûr), je pourrais y répondre, mais nous ne nous convaincrons pas l'un l'autre…

Ma théorie de l'Électronisme a été mise au point, — et continue à être améliorée —, en essayant d'éviter de critiquer des idées auxquelles je ne crois pas. Je pourrais expliquer pourquoi, mais cela ne ferait pas avancer les débats et études (j'en dis quand même quelques mots au chapitre 7 de mon essai). Et ces idées ne sont pas utiles à ma théorie.

 

Mon idée, par exemple, est qu'il n'existe pas de constante cosmologique. Il est inutile de le répéter parce que les physiciens quantiques ou autres de la physique contemporaine n'accepte pas cette position, alors que personne ne sait l'origine universelle de ces soit-disants contantes. On reparle actuellement de l'antigravité pour l'antimatière, alors que l'antimatière ne peut pas logiquement exister si on "utilise" le positron tel qu'il est décrit par ceux qui en parlent.

 

Ce sont les ingénieurs et techniciens pratiques qui font avancer "la" science sur notre terre et elle est ensuite expliquée par la physique contemporaine. Les ingénieurs nucléaires n'ont jamais utilisé les règles du modèle standard des interactions et particules qui découlent d'une mécanique quantique. Les phénomènes électriques, électroniques, télécommunications, études des semiconducteurs dans les nanosciences, etc., avancent par des suites d'essais et expérimentations souvent difficiles et continuellement refaites et améliorées… Et il me semble que les physiciens fondamentaux sont presque redevenus des philosophes de la nature (avec leurs propre valeur dans cette discipline) comme avant le temps de Pascal qui a séparé science pratique et croyances religieuses (ou autres actuellement).

 

L'Électronisme (http://www.dardel.info/boningal/Electronisme/LElectronisme.html) "me" permet de presque tout expliquer, et j'espère que d'autres personne viendront m'aider !!

 

Bonne journée

Posté
L'Électronisme (http://www.dardel.info/boningal/Electronisme/LElectronisme.html) "me" permet de presque tout expliquer, et j'espère que d'autres personne viendront m'aider !!
De prime abord c'est vraiment très prétentieux...

Cependant, il faut peut-être se mettre d'accord sur la signification d'explication. J'ai lu en diagonal et je pense que l'on n'entend pas la même chose par "expliquer".

  • 6 mois plus tard...

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