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Posté

Salut les balèzes!

 

Un truc qui est pénible quand on a un 400, c'est que la distance focale surpasse quelque peu la longueur d'un bras. Ca complique un peu la collimation, quand je suis tout seul...

Ce qu'il faudrait, c'est un truc commandable au joystick. Avec du 12V, par exemple.

A votre avis, les systèmes qui permettent dans les voitures ( et les camions ) de régler les rétroviseurs peuvent-il être récupérés et adaptés à un scope? Le poids de mon miroir de 400 est-il prohibitif par cette méthode?

Posté

JMI avait fabriqué des Collimotor, au nombre de 3, ils permettaient de régler le primaire. Ce n'est plus fabriqué, mais je crois qu'il y a encore des boites aux US qui les vendent (scopecity).;)

Posté

On peut également faire un système avec des poulies et courroies et deux tiges qui remontent vers le haut. Dans ce cas, cela reste manuel, mais on a les boutons à portée de main. J'en ai fait plusieurs, et cela marche bien.

Posté

Je suis en train d'écrire un article justement sur la collimation électrique... à publier prochainement dans Astrosurf Magazine :)

Posté

Salut Yann

 

Il faudrait que Catluc passe par là....

 

On pourrait aussi utiliser des moteurs de perceuse/visseuse miniature, non?

Posté (modifié)

La collimation semble être le sujet du moment et de nombreuses réalisations de sa commande électrique sont proposées et/ou réalisées. Toutefois, ces réglages restent "en boucle ouverte" et ne sont valables qu'à un instant donné.

 

Je voudrais proposer, ici, d'aller plus loin et soumets, aux "bricoleurs" (j'ai passé l'âge de me lancer dans un tel projet et sa réalisation :confused: mais je reste disponible...), un axe d'étude et de réalisation "hors des sentiers battus"( ;)).

 

Pourquoi ne pas envisager un véritable asservissement de la collimation, donc "en boucle fermée", basé sur un premier réglage initial, entretenu automatiquement ensuite, à l'instar des mises au point automatique utilisés, jadis, sur les projecteurs de diapositives... (Qui s'en souvient encore...?)

La collimation serait ainsi "entretenue", en permanence, quelles que soient les déformations de structure, d'origine mécanique ou thermique, intervenant ensuite.

 

L'idée maîtresse serait d'utiliser un rayon laser permanent dont un détecteur "deux axes" piloterait, après réflexion du rayon sur le primaire, les deux axes correspondants de réglage de l'inclinaison du primaire (les commandes électriques actuellement en usage). La boucle serait ainsi bouclée et la collimation optimisée en permanence.

 

Il suffirait simplement de rendre "orthogonales" et indépendantes les deux commandes du primaire (petite adaptation).

 

Les moyens et l'arsenal électroniques actuels font parfaitement l'affaire et la mise en œuvre d'un tel dispositif ne demande que peu de moyens, mais un peu d'expérimentation.

 

Je pense qu'il y a là un axe intéressant et nouveau à exploiter...

 

Qui se lance...? (et me tient au courant, merci :))

 

PS : Cette publication rend définitivement irrecevable, auprès de l'INPI, toute demande de brevet.

Modifié par Toutiet
Posté
La collimation semble être le sujet du moment et de nombreuses réalisations de sa commande électrique sont proposées et/ou réalisées. Toutefois, ces réglages restent "en boucle ouverte" et ne sont valables qu'à un instant donné.

 

Je voudrais proposer, ici, d'aller plus loin et soumets, aux "bricoleurs" (j'ai passé l'âge de me lancer dans un tel projet et sa réalisation :confused: mais je reste disponible...), un axe d'étude et de réalisation "hors des sentiers battus"( ;)).

 

Pourquoi ne pas envisager un véritable asservissement de la collimation, donc "en boucle fermée", basé sur un premier réglage initial, entretenu automatiquement ensuite, à l'instar des mises au point automatique utilisés, jadis, sur les projecteurs de diapositives... (Qui s'en souvient encore...?)

La collimation serait ainsi "entretenue", en permanence, quelles que soient les déformations de structure, d'origine mécanique ou thermique, intervenant ensuite.

 

L'idée maîtresse serait d'utiliser un rayon laser permanent dont un détecteur "deux axes" piloterait, après réflexion du rayon sur le primaire, les deux axes correspondants de réglage de l'inclinaison du primaire (les commandes électriques actuellement en usage). La boucle serait ainsi bouclée et la collimation optimisée en permanence.

 

Il suffirait simplement de rendre "orthogonales" et indépendantes les deux commandes du primaire (petite adaptation).

 

Les moyens et l'arsenal électroniques actuels font parfaitement l'affaire et la mise en œuvre d'un tel dispositif ne demande que peu de moyens, mais un peu d'expérimentation.

 

Je pense qu'il y a là un axe intéressant et nouveau à exploiter...

 

Qui se lance...? (et me tient au courant, merci :))

 

PS : Cette publication rend définitivement irrecevable, auprès de l'INPI, toute demande de brevet.

 

Il y a de l'idée mais c'est sans compter sur l'imprécision de la méthode avec un laser... (même avec une barlow derrière :be:) l'asservissement, à l'instar de l'autofocus qui calculerait l'énergie lumineuse en l'imageant serait nettement plus fiable. Par contre cela a un certain coût. Ce que je proposerai dans l'article dans ASM c'est la collimation électrique pour environ 100 euros de matériel

Posté
Il y a de l'idée mais c'est sans compter sur l'imprécision de la méthode avec un laser... (même avec une barlow derrière :be:) l'asservissement, à l'instar de l'autofocus qui calculerait l'énergie lumineuse en l'imageant serait nettement plus fiable. Par contre cela a un certain coût. Ce que je proposerai dans l'article dans ASM c'est la collimation électrique pour environ 100 euros de matériel

 

Attention, la collimation n'implique pas nécessairement d'utiliser un laser. Libre à chacun d'utiliser le moyen qu'il souhaite mais, une fois celle-ci acquise, son entretien automatique pourrait être confié à un rayon laser servant de référence dans la chaîne de détection de l'asservissement. La méthode que tu vas décrire reste, semble-t-il, classique et "en boucle ouverte", non ?

Posté (modifié)

Le plus simple c'est d'utiliser des servos d'aéromodélisme. On les commande précisément avec un contrôleur alimenté en 6V. Il faut 3 pièces de chaque:

 

http://hobbyking.com/hobbyking/store/__9617__Turnigy_Metal_Gear_Servo_60g_15_5kg_16sec.html

http://hobbyking.com/hobbyking/store/__8296__Turnigy_Servo_Tester.html

 

Le débattement est de l'ordre de 100° à 110°, ce qui devrait suffire pour affiner la collim. Je ne l'ai jamais fait, mais ça me semble une bonne option. ;)

 

Concernant l'asservissement automatique, pour un bricoleur c'est assez simple. Le laser de très faible puissance fixé en-dehors du champ de lumière en bord de cage secondaire se reflète sur le primaire (peu importe où). L'important est que la réflexion arrive sur le capteur d'une webcam.

Quand la collim est vérifiée OK en visuel, l'astram active un logiciel d'autoguidage, comme WXAC.

Le moindre mouvement de la tache est détecté par le programme (précision <1µm). Celui-ci lance des ordres de correction à un module GPUSB (comme pour un autoguidage en photo), lequel active les servos via une interface ST4. La tache reste en place quelle que soit l'inclinaison du télescope (et donc les flexions sur le primaire).

 

Cela dit, est-ce que ça a le moindre sens en visuel? Entre une bonne collim au laser et un machin léché sur la tache d'airy, voit-on une différence? J'en doute. :confused:

Modifié par OrionRider
Posté
Le plus simple c'est d'utiliser des servos d'aéromodélisme. On les commande précisément avec un contrôleur alimenté en 6V. Il faut 3 pièces de chaque:

 

http://hobbyking.com/hobbyking/store/__9617__Turnigy_Metal_Gear_Servo_60g_15_5kg_16sec.html

http://hobbyking.com/hobbyking/store/__8296__Turnigy_Servo_Tester.html

 

Le débattement est de l'ordre de 100° à 110°, ce qui devrait suffire pour affiner la collim. Je ne l'ai jamais fait, mais ça me semble une bonne option. ;)

 

Concernant l'asservissement automatique, pour un bricoleur c'est assez simple. Le laser de très faible puissance fixé en-dehors du champ de lumière en bord de cage secondaire se reflète sur le primaire (peu importe où). L'important est que la réflexion arrive sur le capteur d'une webcam.

Quand la collim est vérifiée OK en visuel, l'astram active un logiciel d'autoguidage, comme WXAC.

Le moindre mouvement de la tache est détecté par le programme (précision <1µm). Celui-ci lance des ordres de correction à un module GPUSB (comme pour un autoguidage en photo), lequel active les servos via une interface ST4. La tache reste en place quelle que soit l'inclinaison du télescope (et donc les flexions sur le primaire).

 

Cela dit, est-ce que ça a le moindre sens en visuel? Entre une bonne collim au laser et un machin léché sur la tache d'airy, voit-on une différence? J'en doute. :confused:

 

Ta solution est exactement ce que je sous entendais, en espérant que quelqu'un se lance dans la manip.

Quant au visuel, l'extrême précision souvent évoquée et recherchée pour la collimation n'a pas beaucoup de sens, dans la mesure où, jusqu'à présent, je n'ai jamais entendu quelqu'un se plaindre d'un champ oculaire "décollimaté"...

et d'un défaut de qualité visuelle en dehors de l'axe optique du primaire, à l'intérieur même du champ.

Posté (modifié)
Il y a de l'idée mais c'est sans compter sur l'imprécision de la méthode avec un laser... (même avec une barlow derrière :be:)

 

Elle est juste égale à l’imprécision du centrage de l’œillet sur le primaire :rolleyes:

 

Du coup, la précision obtenue en général est très largement au-dessus de ce que permet l'étoile turbulente.

 

Bon puis un laser permet aussi de se passer de très longs bras, pratique sur un 400mm entre autre.

 

Parce qu'avec une raquette de collimation (commandant les moteurs) dans les mains, on va la contrôler avec quoi ?

 

- L’œilleton/cheshire ? Dans ce cas on est limité en précision par le centrage de l’œillet du primaire ; on ne fera pas mieux qu'au laser barlowté.

 

- Sur l'étoile ? Pas convaincu ; les trois quarts du temps c'est le flou artistique à cause de la turbulence. Alors on collimate correctement pour le ciel qu'on a, mais on ne fait pas mieux qu'à l’œilleton ou laser.

 

Bref l'intérêt ? Pas sur un 400~500mm mais sur les plus gros diamètres. A défaut de trouver un moyen pour placer un œillet au centre de leur gros miroirs, avec précision.

 

Amicalement, Vincent

Modifié par Daube-sonne
Posté

En fait, on a besoin que de deux moteurs, on peut laisser une des vis de collimation en fixe.

;)

Posté (modifié)
Elle est juste égale à l’imprécision du centrage de l’œillet sur le primaire :rolleyes:

 

Du coup, la précision obtenue en général est très largement au-dessus de ce que permet l'étoile turbulente.

 

Bon puis un laser permet aussi de se passer de très longs bras, pratique sur un 400mm entre autre.

 

Parce qu'avec une raquette de collimation (commandant les moteurs) dans les mains, on va la contrôler avec quoi ?

 

- L’œilleton/cheshire ? Dans ce cas on est limité en précision par le centrage de l’œillet du primaire ; on ne fera pas mieux qu'au laser barlowté.

 

- Sur l'étoile ? Pas convaincu ; les trois quarts du temps c'est le flou artistique à cause de la turbulence. Alors on collimate correctement pour le ciel qu'on a, mais on ne fait pas mieux qu'à l’œilleton ou laser.

 

Bref l'intérêt ? Pas sur un 400~500mm mais sur les plus gros diamètres. A défaut de trouver un moyen pour placer un œillet au centre de leur gros miroirs, avec précision.

 

Amicalement, Vincent

 

C'est un très long débat qui a déjà eu lieu... Mais en gros avec l'habitude l’œil intègre la turbulence et on en prend le barycentre...On sait ce que l'on fait et je vois assez difficilement qu'un laser puisse atteindre cette précision (au mieux il l'égalera). Sur un plus gros diamètre on regarde la répartition des tavelures (speckles). Parfois quand la turbulence diminue, on voit bien que ce type de réglage n'est pas que du fumage de moquette :be: Et quand la turbu se calme, c'est un plaisir de collimater "aux moteurs" On peut ainsi réaliser une collimation aux petits en moins de 10 secondes sans passer derrière le bouzingues ... Certes le câblage et la mise au point d'une telle installation est assez longue mais on gagne indubitablement du temps et quand on sort l’instrument... je n'ai pas spécialement du temps à perdre ;) Pour le T600 il y a plus d'opérations qu'un T300 et donc je gratte là où je peux gagner du temps...

La raquette de collimation commande les moteurs qui peuvent être 2 effectivement (le troisième axe est un pivot) mais 3 aussi si on veut aussi ajuster le positionnement du primaire (utile avec un barillet astatique).

L'intérêt d'une collimation motorisée c'est à partir de T250 en gros. Je l'ai eu fait sur un T300 avec 2 moteurs. Sur mon T600 actuel il y a 3 moteurs.

Le centrage de l’œillet n'est pas le point critique du point de vue de la précision de son positionnement (on le déplace de 2 mm et on ne voit pas de différences à la mise au point de la collimation) mais par contre que le retour du spot laser soit précis là oui.

Modifié par maire
Posté
Attention, la collimation n'implique pas nécessairement d'utiliser un laser. Libre à chacun d'utiliser le moyen qu'il souhaite mais, une fois celle-ci acquise, son entretien automatique pourrait être confié à un rayon laser servant de référence dans la chaîne de détection de l'asservissement. La méthode que tu vas décrire reste, semble-t-il, classique et "en boucle ouverte", non ?

 

Oui boucle ouverte, c'est l’œil qui valide le réglage :rolleyes:

Posté (modifié)
C'est un très long débat qui a déjà eu lieu... Mais en gros avec l'habitude l’œil intègre la turbulence et on en prend le barycentre...On sait ce que l'on fait et je vois assez difficilement qu'un laser puisse atteindre cette précision (au mieux il l'égalera). Sur un plus gros diamètre on regarde la répartition des tavelures (speckles). Parfois quand la turbulence diminue, on voit bien que ce type de réglage n'est pas que du fumage de moquette :be: Et quand la turbu se calme, c'est un plaisir de collimater "aux moteurs" On peut ainsi réaliser une collimation aux petits en moins de 10 secondes sans passer derrière le bouzingues ... Certes le câblage et la mise au point d'une telle installation est assez longue mais on gagne indubitablement du temps et quand on sort l’instrument... je n'ai pas spécialement du temps à perdre ;) Pour le T600 il y a plus d'opérations qu'un T300 et donc je gratte là où je peux gagner du temps...

La raquette de collimation commande les moteurs qui peuvent être 2 effectivement (le troisième axe est un pivot) mais 3 aussi si on veut aussi ajuster le positionnement du primaire (utile avec un barillet astatique).

L'intérêt d'une collimation motorisée c'est à partir de T250 en gros. Je l'ai eu fait sur un T300 avec 2 moteurs. Sur mon T600 actuel il y a 3 moteurs.

Le centrage de l’œillet n'est pas le point critique du point de vue de la précision de son positionnement (on le déplace de 2 mm et on ne voit pas de différences à la mise au point de la collimation) mais par contre que le retour du spot laser soit précis là oui.

 

Ok je te suis pour ces explications ; j'ai déjà collimaté sur le "barycentre" lumineux de la boule de speckles. Mais enfin ça reste assez floue comme collimation. Un poil dans un sens ou dans l'autre ne change rien à l'affaire. Disons que tout bêtement avec un œilleton et un œillet centré, on fait systématiquement aussi bien voire mieux.

 

Par contre je ne te suis pas du tout sur le centrage de l’œillet ; s'il est mal centré de 1mm (c'est beaucoup trop sur un f/4) et que tu es ensuite précis sur le retour tu auras réussi à parfaitement décollimater ton scope.

C'est d'ailleurs l'erreur la plus importante que l'on peut faire en collimantant au laser ; on vise bien le centre mais on peut facilement être à qqs dixièmes de mm. On sera quand même dans les clous pour des scopes pas trop ouverts.

 

Avec un œilleton ou un laser barlowté on évite totalement cet écueil, sauf si cet œillet a été mal centré au départ.

 

Et il est évident qu'il faut obtenir la corrélation totale entre la méthode du laser barlowté (j'élimine l’œilleton peu pratique) et la collimation sur l'étoile (tache d'airy pas sur la boule de speckles).

Si y a pas corrélation c'est que l’œillet est mal centré, car la méthode n'a aucun autre biais.

 

On peut l’apprécier sur des diamètres entre 200 et 400mm dans le sens où on a accès quelques nuits à la tache d'airy ; là c'est systématique la figure est nickel ! Avec la collimations sur la boule de speckles on peut arriver à tomber pas trop mal aussi et en pratique ça sera bien suffisant.

 

Finalement on utilise bien la méthode que l'on veut et que l'on maîtrise le mieux, mais la où je tique un peu c'est sur les moyens à mettre en œuvre, leurs coûts et la facilité de l'opération.

Entre d'un côté :

- des moteurs

- une alimentation

- pointer une étoile (la Polaire),

- mettre l'oculaire qui grossit fort

- centrer précisément l'étoile

- puis un temps passé à l'oculaire avec la raquette pour centrer la luminosité de la boule turbulente

 

Et de l'autre :

- un laser monté sur la barlow

- une main au cul du scope en regardant l'écran du laser

 

Et enfin la première méthode donnera un résultat très bon (voire parfait si on accède à Airy), la deuxième donnera systématiquement dans le parfait...;)

 

Très amicalement,

Vincent

Modifié par Daube-sonne
Posté

Oui je te suis parfaitement maintenant... :) Effectivement même si l'oeillet je l'ai centré avec un système de fils croisés donc à mon sens la précision millimétrique je dois l'avoir, je n'accordais pas plus d'importance à cela vu que je termine de collimater systématiquement sur une étoile... Un moment sur le T300 j'avais perdu l’œillet au nettoyage, je ne l'ai pas remis.... C'est une part de l’explication... :be: Mais tu as raison à chacun sa méthode pourvu qu'elle fonctionne bien :rolleyes: Ça n’empêche, la motorisation fait que l'on collimate très confortablement sans quitter sa chaise du PO que ce soit sur la mire du laser ou à l'oculaire. Je précise quand même que tant qu'à pointer la polaire je règle en même temps le positionnement du chercheur, tu fais une observation sans jamais regarder la polaire? Tu ne l'aime pas la polaire? :D;)

Posté (modifié)
Bref l'intérêt ? Pas sur un 400~500mm mais sur les plus gros diamètres.

 

Tu voulais dire pas d’intérêt sur les gros diamètres mais sur les plus petits par contre ? La tache d'airy est plus grosse donc elle se vois mieux à des grossissement plus raisonnables ... enfin je dis ça mais même sur un petit diamètre je continuerai à collimater avec la grosse artillerie , l'autocollimateur qui m'affranchit de ces contraintes. :)

Modifié par jgricourt
Posté

Bonjour

Il faut aussi penser à la place disponible sous le miroir.

Le poids du miroir n'est pas un problème le mien fait 36 kg donc un 400....

Dans mon système aucune électronique et je ne pilote que 2 moteurs.

S'il faut remonter ou descendre le miroir (je l'ai fait hier soir) il suffit de dévisser ou visser le point fixe puis de tout réaligner.

Si vous pouvez faire un système avec tiges il vaut mieux le privilégier pas de panne possible.

Maintenant si il y a de la demande je pourrais essayer de combiner des modules adaptables sur divers scopes.

Je viens de finir la MAP électrique sur mon XT12 modifié.

Bonne journée.

Luc;)

Posté

Quand on fait la colim avec un laser on atteint pas la colim optimale, il faut toujours la finir avec un oculaire.

Quitte à faire un système de colim automatique, ne faudrait-il pas créer un soft qui agirait sur les vis de colim en fonction d'une image faite avec une caméra ?

Un genre de ccdinspector interactif ?

Posté
Quand on fait la colim avec un laser on atteint pas la colim optimale, il faut toujours la finir avec un oculaire.

Quitte à faire un système de colim automatique, ne faudrait-il pas créer un soft qui agirait sur les vis de colim en fonction d'une image faite avec une caméra ?

Un genre de ccdinspector interactif ?

 

Attention je ne parle pas du laser seul... Mais barlowté. Qui est un "autocollimateur" donc...

Posté
Tu voulais dire pas d’intérêt sur les gros diamètres mais sur les plus petits par contre ? La tache d'airy est plus grosse donc elle se vois mieux à des grossissement plus raisonnables ... enfin je dis ça mais même sur un petit diamètre je continuerai à collimater avec la grosse artillerie , l'autocollimateur qui m'affranchit de ces contraintes. :)

 

Non je voulais juste dire que sur des diamètres < 500 on trouve facilement des feuilles Cat's eye pour placer soigneusement un oeillet et du coup on a accès à la collim laser barlowté / autocollimateur.

 

Pour les grands diamètres coller cette pastille précisément n'est pas évident.

Du coup je conçois qu'on veuille se simplifier la vie avec des moteurs.

 

Amicalement, Vincent

Posté

Et pourquoi ne pas modifier le barillet selon le principe d'un strock avec la collimation par le dessus ??? Depuis que j'ai le mien je trouve que la collimation c'est que du bonheur !!!!

Posté
Quand on fait la colim avec un laser on atteint pas la colim optimale, il faut toujours la finir avec un oculaire.

Quitte à faire un système de colim automatique, ne faudrait-il pas créer un soft qui agirait sur les vis de colim en fonction d'une image faite avec une caméra ?

Un genre de ccdinspector interactif ?

 

C'est ce que j'ai suggéré au post #8. Qui est partant...? :)

Posté

Regarde un peu là ;)

 

http://www.webastro.net/forum/showthread.php?t=101580

 

J'y detaille ma colimation par l'avant. Sur 400 et 300. Ca prend 30 secondes et tu peux choisir la méthode que tu veux:

 

Cheshire, laser + barlow et sur étoile...

 

Sans electricité, sans moteurs, sans pannes, sans prises de tête :D

 

Olivier D montre aussi la modif très sympa sur son lightbridge.

 

Le seul interet des moteurs à mon avis, c'est quand tu utilises ton scope en imagerie à distance.

Posté (modifié)
Regarde un peu là ;)

 

http://www.webastro.net/forum/showthread.php?t=101580

 

J'y detaille ma colimation par l'avant. Sur 400 et 300. Ca prend 30 secondes et tu peux choisir la méthode que tu veux:

 

Cheshire, laser + barlow et sur étoile...

 

Sans electricité, sans moteurs, sans pannes, sans prises de tête :D

 

Olivier D montre aussi la modif très sympa sur son lightbridge.

 

Le seul interet des moteurs à mon avis, c'est quand tu utilises ton scope en imagerie à distance.

 

Hheemmm! :be:

La méthode que l'on veut avec l’électricité ce n'est pas 30 secondes mais moins de 20 secondes parfois moins... :p

C'est zéro panne si les composants sont choisi judicieusement et le souci de la fiabilité chevillé au corps ;)

:xboom:Qu'on ne me parle pas trop de l'imagerie à distance pour les raisons suivantes principales :

 

1) Rien que d'entendre le mot "Remote" asscocié à "setup" je ressens un inévitable glissement vers la perte du "poetique" de la perception du ciel par l'humain

2) Rien ne vaut le toucher de l'instrument :be:

3) Au fond de son bureau, l'astram lambda entend-t-il le grognement du diable de Tasmanie au fond de son terrier à coté du télescope télécommandé en Australie/Tasmanie ? Autrement dit je préfère le calme de la nuit (ou encore le bruit d'un goto à Valdrôme :b:, la blague à 2 balles d'un co-observateur - attendu que la mienne ne vaut qu'une balle :be:, etc), le cris de la chouette en observant, la visite d'un blaireau :be:

4) La meilleure connaissance de l'instrument est celle que l'on utilise, j'ai plus de doutes sur celui que l'on télécommande, mais sans doute je deviens vieux :be:

5) Le prix que je payerais a chaque fois pour obtenir des images d'un télescope en remote je préfère l'économiser pour un oculaire, conceptualiser un nouvel instrument, etc

6) Peux-tu dessiner à l'oculaire d'un télescope en remote?

7) Et là je ne vais pas me faire des amis... Je comprends très bien que le concept de télescope en remote est dans l'air du temps un peu à l'instar du covoiturage même s'il est difficile de comparer ces deux choses. Mais quelque part, un télescope construit, conceptualisé par une association qui monte un tel projet coute très cher. C'est certes souvent un projet collectif mais parfois il n'en a que le nom... Parfois une association (pour l'astronomie) est un moyen de faire du toujours plus gros et de fait toujours plus cher... et après faut bien aller chercher l'argent où il est... Attention je ne jette pas la pierre aux associations, clubs qui font un travail considérable et font finalement bien avancer la pratique de l'astronomie pour tout le monde et en particulier pour les débutants, mais un chat reste un chat....

 

:rover:Ceci étant je suis curieux et un jour, peut-être demain, j’essaierai un temps de télescope en imagerie à distance ;) Quand je serai à la retraite peut-être.. ah non je me dis que j'allais couper l'internet à la retraite! :be:

Modifié par maire

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