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La Russie pourrait relancer la production de navettes spatiales de type Bourane, a déclaré mercredi le vice-premier ministre russe Dmitri Rogozine lors du 8e Salon d'armements Russia Arms Expo-2013 à Nijni Taguil (Oural).

 

La suite ici

 

info ou intox? je vous laisse seul juge!:D

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Bonjour, :)

 

 

pourrait

 

L'art du conditionnel... ;):D

Au conditionnel, on pourrait faire tout ce qu'on voudrait (quoique?), mais la réalité est parfois un peu moins optimiste.

 

Info ou intox? Bonne question.

 

 

Astro-amicalement,

Astropleiades

Posté

C'est pas si simple, Beam... Si c'était aussi simple, la Nasa remettrait en service ses navettes spatiales, voire, plus intelligent encore, ses fusées Saturn 5.

Non, perso, au vu de la dynamique actuelle, absolument extraordinaire en matière de spatial, je pense plutôt que la Nasa va booster son SLS, en lui adjoignant des boosters, pour en faire un lanceur capable de satelliser 1000 tonnes en orbite basse. Et à mon avis, les Chinois vont suivre, forcément.

Posté

Bourane n'était cité qu'à titre d'exemple. Tout ce qu'il a dit c'est que Soyouz sera suivi d'un vaisseau capable de voler dans l'atmosphère, comme Bourane le faisait. Mais il peut s'agir d'une simple capsule ailée.

C'est loin d'être un scoop et ça n'avance à rien... :confused:

 

Les navettes 'cargo' telles que le 'shuttle' et Bourane n'ont pas été abandonnées pour rien. Envoyer 65 tonnes en orbite pour y laisser seulement 25t c'est un gaspillage qu'on n'est pas prêt à rééditer. ;)

Posté
Bourane n'était cité qu'à titre d'exemple. Tout ce qu'il a dit c'est que Soyouz sera suivi d'un vaisseau capable de voler dans l'atmosphère, comme Bourane le faisait. Mais il peut s'agir d'une simple capsule ailée.

C'est loin d'être un scoop et ça n'avance à rien... :confused:

 

Les navettes 'cargo' telles que le 'shuttle' et Bourane n'ont pas été abandonnées pour rien. Envoyer 65 tonnes en orbite pour y laisser seulement 25t c'est un gaspillage qu'on n'est pas prêt à rééditer. ;)

 

Tout à fait d'accord !

Par contre on aurait pu relancer la fusée porteuse de Bouran : Energiya qui pouvait satelliser 105 tonnes en orbite basse. Une bonne alternative au projet américain SLS.

Posté

Ah oui, comme dans ce lien: http://www.k26.com/buran/html/energia-mars.html

 

Les américains ne se sont pas gènés pour récupérer la technologie des moteurs russes, qui sont à la base des projets de 'boosters' à carburant liquide: http://www.k26.com/buran/html/sea_launch.html

 

Après, je n'ai jamais compris l'intérêt d'un lanceur ultra-lourd. On peut aussi bien assembler un vaisseau pour la Lune ou Mars en une dizaine de lancements d'Ariane V ou le double de Falcon 9. Moins cher, plus flexible, disponible immédiatement, etc. On n'a pas non plus lancé l'ISS en un seul morceau. :confused:

Posté

L'essentiel, c'est l'objectif, pas le vecteur. On sent bien que la Lune et Mars vont être bientôt arpentées par une foultitude d'astronautes, c'est inévitable, avant Jupiter et Saturne, bien sûr.

Posté
L'essentiel, c'est l'objectif, pas le vecteur. On sent bien que la Lune et Mars vont être bientôt arpentées par une foultitude d'astronautes, c'est inévitable, avant Jupiter et Saturne, bien sûr.

 

A moins que tu sois sarcastique faudrait arrêter de fumer la moquette.

Pour la Lune, c'est déjà fait mais en ce qui concerne Mars, il n'existe aucun plan sérieux pour y arriver. La plus proche échéance c'est une mission orbitale en 2035, si elle a jamais lieu. Poser des astronautes sur Mars ce ne sera pas avant 2050, si on le fait un jour. Pour Jupiter et Saturne, ça n'arrivera jamais, pas plus qu'on ne marchera sur le soleil. :p

Posté

Oui, on a marché sur la Lune, mais au regard des objectifs et des moyens actuels, ceux qui s'en souviennent ont de la chance.

Le prochain grand pas pour l'humanité n'est pas pour demain, et a mon avis même pas pour la première moitié de ce siècle,voir beaucoup plus.

Les radis sur Mars, c'est pas fait encore. Les grandes envolées de la conquête spatiale sont de l'histoire ancienne, manque de moyens, surement, mais aussi manque de technologie.

Et aussi quelque barrières infranchissable, le temps, la distance, l’énergie, tout ça et le reste, on est pas prêt. et on ne le sera surement jamais.

Posté

C'est surtout que le décalage entre les robots, qui explorent le système solaire entier, et les astronautes, qui passent le plus clair de leur temps à survivre à un milieu inhumain, est de plus en plus visible...

Posté

j'aurais été plus loin Mr S.B

 

c'est surtout que le décallage entre les competences des robots et ceux des astronautes est de plus en plus visible :rolleyes:

  • 2 semaines plus tard...
Posté
Tout à fait d'accord !

Par contre on aurait pu relancer la fusée porteuse de Bouran : Energiya qui pouvait satelliser 105 tonnes en orbite basse. Une bonne alternative au projet américain SLS.

 

ouhaaaaa !!!! 105 T ... mais heuuu.. 105 tonne mais qu'est qu'on a besoin besoin de satelliser 105T de nos jours ???

en bref 105 t pour quoi faire ?

Posté
j'aurais été plus loin Mr S.B

 

c'est surtout que le décallage entre les competences des robots et ceux des astronautes est de plus en plus visible :rolleyes:

 

en effet pendant que les astronautes passe 95% de leur temps actif a faire de la maintenance de leur systeme de survie, les robot eux, bossent ^^

Posté (modifié)
ouhaaaaa !!!! 105 T ... mais heuuu.. 105 tonne mais qu'est qu'on a besoin besoin de satelliser 105T de nos jours ???

en bref 105 t pour quoi faire ?

 

105 t .... c'est une performance en orbite basse. Dès qu'on envisage de lancer pour des voyages interplanétaires ..... la masse qu'on peut placer sur une telle trajectoire fond considérablement.

 

Ainsi pour la Delta IV Heavy, actuellement le plus puissant lanceur US en service :

La Delta IV Heavy est destinée à reprendre le rôle du lanceur lourd Titan IV et peut lancer 22 tonnes en orbite basse, 13 tonnes en orbite de transfert géostationnaire ou 8 tonnes vers Mars.

 

Et si on prend en compte la masse utile qui peut être délivrée "au sol" de la planète cible on peut encore diviser par deux au moins la masse de ce qu'on satellise (l'autre moitié c'est du consommable : bouclier thermique, parachutes, rétro-fusées de l'atterrisseur avec leur carburant ...)

 

En laissant de côté les "prévisions" d'une éventuelle mission habitée (qui impose de lourdes contraintes), pour des missions robotiques ambitieuses qui ont besoin d'un orbiteur pour le relais de transmissions, et au sol, d'un engin qui ait des capacités de déplacement, de forage, de prélèvements et conditionnement d'échantillons, d'analyses in situ, voire un module de retour d'échantillons .... il faut une masse initiale à lancer de plus en plus grande.

 

L'arbitrage devra alors se faire entre un lanceur très lourd (comme le futur SLS américain de 105 t) qui gère tout en un seul lancement .... ou bien un lanceur lourd de 70-80 t qui peut gérer la mission avec deux lancements et par exemple un assemblage en orbite basse du train interplanétaire.

Avec les sondes automatiques on peut en plus s'accommoder d'un fly-by préalable (comme vient de le faire Juno) qui peut permettre d'obtenir gratis l'accélération complémentaire pour atteindre la destination. (au prix d'une durée de voyage plus longue).

Tous ces paramètres sont à mettre en balance.

AMHA ... un lanceur 70-80 t serait plus polyvalent et serait utilisé pour plus de missions (plutôt qu'un SLS sur-dimensionné) . Les USA ont fait un autre choix.

Modifié par montmein69_2
Posté

L'idée de lancer un vaisseau interplanétaire depuis le sol est au moins aussi mauvaise que celle de la navette spatiale. :rolleyes:

On peut assembler un vaisseau en orbite en pièces détachées, sans limite de masse et pour une fraction du coût avec les fusées qui existent déjà et qui sont rentabilisées depuis longtemps.

Au lieu de ça, ils conçoivent un monstre tout neuf qui servira quelques fois avant d'être rangé au grenier.

 

C'est une ineptie qui n'a pour but que de sauvegarder l'emploi des milliers de techniciens qui travaillaient sur le Shuttle.

Posté

Au lieu de ça, ils conçoivent un monstre tout neuf qui servira quelques fois avant d'être rangé au grenier.

 

Il faut rester mesuré. Un seul lancement de SLS ne permet pas de disposer d'un véhicule interplanétaire habité prêt pour des missions longues. Or c'est bien le but poursuivi par la NASA : accèder au beyond avec des équipages.

A contrario, la masse satellisée peut permettre de belles missions automatiques.

De toute façon , ne nous illusionnons pas, de nombreuses missions très ambitieuses (donc chères) .... il n'y en aura pas beaucoup.

 

C'est une ineptie qui n'a pour but que de sauvegarder l'emploi des milliers de techniciens qui travaillaient sur le Shuttle.

C'est assurément un des éléments qui a joué dans les choix. Avec aussi la volonté de ré-utiliser des éléments du système navette.

Il s'avère d'ailleurs que ce n'est pas simple.

Les moteurs R25 du Shuttle pour motoriser le premier étage sont en nombre limité.

Le moteur J2-X mis au point pour le deuxième étage, s'avère "sur-puissant" pour certaines missions et cher. Il est question d'utiliser plutôt dans un premier temps des RL-10.

http://www.aviationweek.com/Article.aspx?id=/article-xml/asd_10_04_2013_p01-01-623762.xml

 

On aura donc un lanceur en perpétuelle évolution et une véritable gamme de lanceurs

779px-SLS_configurations.png

Posté

Pour revenir "on topic", c'est à dire sur les projets russes.

 

Le nouveau directeur de Roscosmos Oleg Ostapenko ré-affirme qu'il faut travailler sur un lanceur lourd en utilisant l'expérience acquise avec la fusée Energia (celle qui lançait la navette Bourane)

Le chef de Roskosmos a encouragé l'utilisation de la fusée « énergie »

 

L'expérience de la fusée soviétique « Energia », qui, en 1988, lançait la navette « Buran », devrait être utilisé aujourd'hui, a déclaré dimanche le chef de Roskosmos Oleg Ostapenko.

 

« Energia » est une fusée unique. Rejeter l'expérience et les compétences serait extrêmement erroné. Je pense que cette expérience et les possibilités, nous allons les utiliser. Dans quelle mesure, et comment cela fait l'objet de nouvelles discussions, » dit Ostapenko.

 

Plus tôt, le Secrétaire d'État, administrateur général de Roskosmos Denis Lyskov a déclaré que la décision sur la mise en place de la classe RF "fusée lourde" pourrait être faite avant la fin de l'année, RIA Novosti rapporte.

 

source : http://novosti-kosmonavtiki.ru/news/

traduit avec Bing Translator

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