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Le paradoxe temporel


neo

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Posté
De quelle "énergie répulsive faisant partie de la masse critique" veux-tu parler ?

 

L'énergie noire.

 

Je ne sais pas si j' ai été clair ...

 

Peut-être, peut-être pas. Mais je crois que je n'ai pas été très clair moi-même:

 

La masse critique sert à retenir l'expansion et produire une univers plat.

 

L'énergie noire compte pour 70% de la masse critique; donc l'énergie noire retient l'expansion à 70%.

 

Par contre, l'énergie noire est considérée comme étant responsable de l'accélératuion de l'expansion voir:

http://www.futura-sciences.com/news-constance-energie-noire_3934.php

 

Tu as parfaitement raison:

Formulé comme ça, Elie, ça parait en effet absurde.

 

Mais comment formuler autrement? La masse critique sert à ralentir l'expansion, l'énergie noire fait partie de cette masse critique et sert, quand même, à accélérer l'expansion. L'ensemble du concept est définitivement absurde.

 

Si j'étais un chercheur arrivant sur le marché, je demanderais une subvention pour approfondir la masse critique et je serais certain de travailler sur le sujet jusqu'à ma retraite. :laughing:

 

Amicalement

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Posté
L'énergie noire.

 

La masse critique sert à retenir l'expansion et produire une univers plat.

 

 

OK. Je pense que c' est ce point de départ qui te bloque. En fait tu fais un raccourci. Si on détaille :

 

- Le modèle comporte 3 parametres (3 densités représentant le contenu de l' Univers: celle de la matière ordinaire, celle de la matière noire, celle de l' énergie noire). Etant exprimées comme des densités, la somme des 3 fait 1 (100%). Selon la proportion de ces 3 paramètres, l' univers est plat, hyperbolique, ou sphérique. On appelle "densités critiques" les valeurs des 3 paramètres qui donnent un univers plat (il n' existe qu' un seul triplet de valeur pour que ça soit le cas, d' ou le terme "critique").

 

-Or , les observations indiquent que ces 3 paramètres sont proches de leur valeur critique.

 

On voit que dans cette formulation ce qui est constitué de 70% d' énergie noire ce n' est pas la "masse critique", au sens masse de matière, mais la somme des contributions "énergétiques" , positives ou négatives, du modèle.

 

Encore une fois, il n' existe pour l' instant pas, à ma connaissance, d' interprétation physique des 2 derniers paramètres (matière noire et énergie noire). C' est toujours du domaine de la recherche ...

 

A+

--

Pascal.

Posté
Or , les observations indiquent que ces 3 paramètres sont proches de leur valeur critique.

 

On voit que dans cette formulation ce qui est constitué de 70% d' énergie noire ce n' est pas la "masse critique", au sens masse de matière, mais la somme des contributions "énergétiques" , positives ou négatives, du modèle.

 

Bon d'accord. Entendons-nous pour dire, au départ, que la masse critique est le "sine qua non" à un univers plat.

Les 3 paramètres dont tu parles sont proche de leur valeur critique; malheureusement, je ne saisis pas le sens de "leur valeur critique" ici. Est-ce que tu parles de matière baryonique à 5%, matière noire à 25% et énergie noire à 70%? Les deux derniers sont "inventés" :( .

 

Je suis évidemment d'accord que l'énergie noire n'est pas de la matière dans la masse critique; elle est une énergie responsable de l'accélération de l'expansion. Et c'est là que j'ai un problème. Si cette énergie noire accélère l'expansion, ce n'est pas en l'incluant dans la "masse critique" qu'elle peut "retenir" l'expansion. Ce que j'entend est qu'une énergie responsable de l'accélération peut difficilement avoir une contribution "énergétique" pour retenir l'expansion. À moins que la réponse soit dans ton texte suivant:

 

3 densités représentant le contenu de l' Univers: celle de la matière ordinaire, celle de la matière noire, celle de l' énergie noire

 

Donc, si je comprends bien, l'énergie noire qui cause l'accélération de l'expansion possède une densité qui "retient" l'expansion. J'avoue que ma santé psychique ne s'améliore pas; mais je garde bon espoir si nous continuons à en discuter; je suis assuré que le tout viendra à s'éclaircir dans mon esprit. Je t'en remercie d'avance. ;)

 

Encore une fois, il n' existe pour l' instant pas, à ma connaissance, d' interprétation physique des 2 derniers paramètres (matière noire et énergie noire). C' est toujours du domaine de la recherche ...

 

Recherche d'une densité énergétique qui contrecarre l'expansion tout en étant une énergie responsable de son accélération est un domaine de recherche qui devrait durer plus longtemps que la date de ma retraite, à première vue. Il y a sûrement quelque chose que je ne comprend pas.

 

OK. Je pense que c' est ce point de départ qui te bloque. En fait tu fais un raccourci.

 

Peut-être as-tu raison, je fais un raccourci; mais ce que j'essaie de faire est une synthèse. Il semble que je ne réussise pas.

 

Amicalement

Posté
Bon d'accord. Entendons-nous pour dire' date=' au départ, que la masse critique est le "sine qua non" à un univers plat.

[/quote']

Par définition, oui : Pour que l' Univers soit plat dans le modèle Lambda/CDM, il faut nécéssairement que la densité d' énergie totale soit égale à la valeur critique. Quelque soit l' origine de cette énergie (masse, radiation, ou "autre". ici autre regroupe matière noire et énergie noire , qui sont deux trucs différents.

 

Les 3 paramètres dont tu parles sont proche de leur valeur critique; malheureusement, je ne saisis pas le sens de "leur valeur critique" ici. Est-ce que tu parles de matière baryonique à 5%, matière noire à 25% et énergie noire à 70%? Les deux derniers sont "inventés" :( .

 

ben oui. Le modèle est à 3 paramètres p1,p2,p3, représentant des densités d' énergie, et on observe que :

- L' univers est plat. Dans ce modèle, ce n' est possible que si p1+p2+p3 =1.

- La matière "ordinaire" détectable contribue à hauteur de p1= 0,05.

 

- Pour expliquer les structures observées avec ce modèle, il faut ajouter 25% d' un truc qui ressemble à de la matière p2=0,25 .

 

- Comme l' univers est plat, le paramètre p3 = 1 - (p1 + p2) => p3 = 0,7.

Mais p3 ne se comporte pas comme de la matière ou du rayonnement, sinon il serait comptabilisé dans p2 ou observé dans p1. On montre que si p3 est de type "pression négative" (similaire au role que joue la "constante cosmologique"), ça 'marche'.

 

 

Encore une fois, il ne s' agit que d' un modèle. Les 2 derniers paramètres ne sont qu' une représentation commode pour désigner quelque chose d' inconnu. Ce quelque chose est peut-être de l' énergie antigravitationnelle/ onstante cosmologique/quintessence et de la matière de type WIMP, mais ça peut aussi correspondre à des termes "extérieurs" au modèle (contribution des hétérogénéités, effets d' un processus physique non pris en compte par la RG ...)

 

 

A+

--

Pascal.

Posté

Donc, ce dont on parle pour cette partie de "masse critique", c'est de la densité de cette "pression négative" qui est un "boulet à la cheville" de l'expansion, même si ce boulet cause l'accélération. :?:

 

Dialogue:

-Mais comment se fait-il que cette accélération ne produit pas de courbure dans la géométrie de l'espace?

-Rep: Parce que la densité de l'espace contrecarre la vitesse d'expansion.

-Mais la vitesse d'expansion augmente!!!

 

Je ne vois rien de connu ou d'inconnu qui puisse expliquer que la lumière puisse augmenter la noirceur dans une chambre à la lumière tamisée.

 

Amicalement

Posté

Salut à tous,

 

Bon, de la manière que je comprends ce que tu dis ArthurDent, c'est que p1+p2+93 = x disons.

 

Si, par exemple, x < 1, l'Univers est fermé, si x = 1, l'Univers est plat et si x > 1, l'Univers est ouvert.

 

Maintenant, si p1+p2 < p3, l'Univers est en expansion accélérée, si p1+p2 = p3, l'Univers est en expansion constante et si p1+p2 > p3, l'expansion est ralentie.

 

C'est assez vite fait comme truc ce que je viens d'écrire, puisque peu importe les valeurs de p1, p2 et p3, leur somme doit donner 100%. Je présume donc que x n'est pas en pourcentage ...

Posté
Donc' date=' ce dont on parle pour cette partie de "masse critique", c'est de la densité de cette "pression négative" qui est un "boulet [/quote']

Oui ! Je crois que tu as saisi l' idée. Le terme correspondant à l' énergie noire a deux effets :

* Etant de l' énergie, il contribue à la courbure "comme les autres".

* Mais ayant une pression négative, il génère de l' expansion.

 

Les équations de Friedman sont compatible avec un truc comme ça.

 

De là à dire quel est le sens physique de cette "entité", là, celui qui réussira à en trouver un et à convaincre tout le monde qu' il a raison (au sens de "monter une manip qui indique qu' il n' est peut-être pas complètement à coté") sera sans doute nobélisé.

 

Alors bien sûr, on peut aussi dire "Inutile de chercher un sens physique, car les équations de Friedman ne représentent pas complètement la réalité". Mais ensuite, il faut en imaginer d' autres, qui la représentent mieux. Et ça c' est pas facile.

C' est ce que font un certain nombre de chercheurs qui publient sous gr/qc.

 

A+

--

Pascal.

Posté

C'est un peu compliqué à assimiler, mais, ça peut être possible.

 

Quant à moi, j'aime mieux envisager la possibilité que les déformations de la géométrie de l'espace sont localisée dans un univers généralement plat. Je ne sais pas pourquoi mais ça me paraît extrêmement plus simple et ça ne change pas les formules, je pense.. :(

 

Amicalement

Posté

Quant à moi' date=' j'aime mieux envisager la possibilité que les déformations de la géométrie de l'espace sont localisée dans un univers généralement plat. Je ne sais pas pourquoi mais ça me paraît extrêmement plus simple et ça ne change pas les formules, je pense.. :(

[/quote']

 

Ben si, en fait ça fait plus que changer les formules, ça change la théorie qui a permis d' aboutir aux formules.

 

Autrement dit, tu as peut-être raison, mais il va falloir le prouver, sans utiliser les résultats de la RG (espace-temps, courbure, tenseurs, etc. Tout est à refaire) ... A moins de montrer qu' ils sont valables aussi dans la nouvelle théorie, bien sûr. Et pour ça, il faut commencer par la formaliser.

 

Selon toi les déformations sont "localisées" dans un espace "généralement plat". Autrement dit, il existe une grande quantité de "frontières" entre les zones "courbées" et les zones "plates" de l' espace.

Moi ça ne me semble pas simple du tout ...

 

 

A+

--

Pascal.

Posté

Pour en faire une image, prend un grand grillage formé de fils tendus indépendants et attache des fils plombés à distance plus ou moins égales à certains endroits de certains fils du grillage (ceux passant sur le dessus); ça donnera une idées des déformations localisées; les fils du grillage trop éloignés entre les attaches resteront tendus normalement et la surface de l'ensemble restera généralement plate. À noter que la déformation tend vers un centre et non sous une boule. :laughing:

 

Quand aux formules, elles peuvent très bien s'appliquer exclusivement dans une déformation localisée puisqu'actuellement, elles s'appliquent à une "déformation universelle". Rien n'est changé au niveau "formule". Sauf que l'univers est plat en général; donc "non déformé" en général. On peu appliquer les formules partout où se trouvent des masses de matière et ça fonctionnera toujours; mais ça ne fonctionne plus lorsqu'on les applique à l'univers global.

 

Résultat, la gravitation n'est pas une force mais une conséquence de déformations de la géométrie de l'espace et ne s'applique que dans ces déformations.

 

Selon toi les déformations sont "localisées" dans un espace "généralement plat". Autrement dit, il existe une grande quantité de "frontières" entre les zones "courbées" et les zones "plates" de l' espace.

Moi ça ne me semble pas simple du tout ...

 

Et pourtant si on te parle de l'horizon d'un trou noir, le concept te paraît assez simple. Au niveau de la platitude de l'univers chacun des masses de matière possède un "horizon" là ou la déformation se termine et que la géométrie de l'espace redevient plate. Avoues qu'il est difficile d'accepter une courbure plate ou une platitude courbe. Les deux doivent être séparées par une démarquation, je pense.:?:

 

Si l'expérience n'avait pas déterminé que l'univers est plat, il n'y aurait aucune raison à cette discussion; l'univers serait courbe et la gravitation serait universelle avec une force trop grande ou trop petite; le problème demeure toujours que l'expansion s'accélère et que les énergies positive et négative s'équilibre pour former un univers plat. :confused:

 

Je reviens sur:

 

 

Selon toi les déformations sont "localisées" dans un espace "généralement plat".

 

Ne me dit pas que selon la science les déformations ne sont pas localisées dans un univers plat??? Elles sont où dans ce cas?

 

Amicalement

Posté

Rien n'est changé au niveau "formule"

Moi je veux bien ... Mais tant que tu n' en as pas apporté la preuve (que tes hypothèses redonnent bien la RG dans le domaine où celle-ci s' applique, selon toi), tout le reste n' est que de la science-fiction.

 

Bref, on a déjà eu ce débat. Ta représentation est descriptive, elle colle mieux, par construction, aux observations actuelles (je ne parle ici que de tes "perturbations locales à la platitude". Il est clair qu' un modèle sur lequel on a placé "à la main" , dès le départ, toute la distribution des masses et des vitesses sera plus proche de l' observation qu' un modèle faisant très peu d' hypothèses. Le lambda/CDM possède 3 paramètres, le tien en possède des milliards de milliards (3 par galaxie observable : la position, la vitesse et la taille de la "déformation" associée) : On ne joue plus dans la même cour).

Il me semble qu' en tout cas cette fois-ci on se soit compris, ce qui n' est déjà pas si mal ;)

 

A+

--

Pascal.

Posté

En effet, il semble que l'on se soit comprit. Il ne nous reste qu'à éliminer ce qui ne nous est pas logique. C'est là où nous ne nous entendons pas.

 

Pour moi, une énergie qui "pousse l'accélération" en retenant l'expansion, est très peu logique. Sans parler d'une "conséquence de déformation", interne à un univers plat, considérée comme "active" universellement l'est tout autant. Sans oublier la platitude de la géométrie de l'espace dotée d'une déformation qui produit une courbure plate. :rolleyes:

 

On se comprend très bien au niveau des modèles en présence, mais on n'est simplement pas d'accord sur ce qu'il faut adopter. Personnellement, je pense que ça prendrait un miracle pour justifier une courbure plate et une contraction expansive et je ne crois pas aux miracles. Quant à croire à ce que je ne comprends pas, si je me rappelle bien, c'est la définition d'un "dogme". Mais nos prises de positions mutuelles ne sont vraiment pas graves; elles sont même excellentes pour ne pas laisser des interprétations à l'oublie.

 

J'aurais cependant apprécié que tu commentes mon "image" de grillage formé de fils tendus, affublé de fils plombés déterminant des "déformations localisées. Cette image me semble meilleure pour représenter les déformations spatiales qu'un drap tendu avec une boule de quille; du moins dans un univers généralement plat. :laughing:

 

Quant à:

Mais tant que tu n' en as pas apporté la preuve

 

À ce sujet, je n'ajouterai que ta propre remarque donnée plus haut en te demandant de l'appliquer à mon hypothèse:

 

Effectivement, ce papier introduit un concept de "morphon field" qui n' existe pas dans les modèles "classiques". Il est possible (probable ?) que ce "morphon field" soit une mauvaise idée, qui sera rejetée par un autre papier d' une autre équipe (voire de la même équipe) travaillant sur le même sujet. C' est comme ça que les choses avancent: hypothèses, modélisation, vérification de la conformité des résultats avec les observations.

 

De plus si ton expertise peut te permettre de la vérifier mathématiquement, ce serait intéressant de le faire sans s'embourber dans les "interprétations" divergentes à l'hypothèse.

 

Maintenant, si tu considères cette hypothèse, basée sur l'opinion d'Einstein de la gravitation (qui n'est qu'une conséquence) et sur les données de l'expérience du plasma quarks gluons ainsi que la platitude de l'univers, tu as en main trois paramètres prouvés appuyant mon hypothèse, comparativement à celle que tu préfères et dont tu juges, toi-même, deux des trois paramètres de la façon suivante:

 

Encore une fois, il n' existe pour l' instant pas, à ma connaissance, d' interprétation physique des 2 derniers paramètres (matière noire et énergie noire)(sur les trois paramètres dont tu parlais). C' est toujours du domaine de la recherche ...

 

Et tu qualifies la mienne avec cette différence:

 

Ta représentation est descriptive, elle colle mieux, par construction, aux observations actuelles

 

Quant aux hypothèses que tu me dis avoir ajouté, je n'en trouve qu'une seule qui est minime tout en restant très logique: c'est qu'avant que les quarks n'apparaissent dans le plasma quarks gluons (car on sait que les quarks apparaissent et disparaissent aussitôt), il devait exister un plasma strictement gluon. Pour le reste il n'y a aucune hypothèse; tout est observationnel incluant le sens du mouvement expansioniste "dans tous les sens" et celui contactionniste "vers une centre de gravité".

 

Et si jamais nous avions l'occasion de nous rencontrer, j'aurais un immense plaisir à vider une bonne bouteille de vin avec toi et tous ceux qui voudraient se joindre à nous. Bonne fête de la St-Jean mon ami.

 

Amicalement

Posté

SAlut à tous

 

Toi, pareillement elie

 

Et si jamais nous avions l'occasion de nous rencontrer, j'aurais un immense plaisir à vider une bonne bouteille de vin avec toi et tous ceux qui voudraient se joindre à nous. Bonne fête de la St-Jean mon ami.

 

J' imagine bien quel genre de discussion qui sortirait au bout de tout ça, après 4 ou 5 bouteilles de bon cru. :rolleyes:

 

amicalement

  • 3 semaines plus tard...
Posté

SAlut à tous;)

 

J' aimerais bien elie;) étant de montréal moi-aussi , ça ne serait pas trop difficille à organiser;)

 

DE plus,

 

néo doit donner signe de vie cette semaine:laughing:

 

Attend que tu vois la taille de néo:eek: un dinosaure:laughing:

 

Il est immensement grand;)6'9 de haut pour environs 290 livres de muscles

 

C' est très rassurant d' avoir un copain comme lui dans les bars:D

 

 

amicalement

Posté

Dans ce cas, puisque tu connais personnellement neo, je te laisse organiser cette rencontre. :cool: Et je suis certain que tu es d'accord pour étendre l'invitation à tous ceux qui seraient intéressés et ont la possibilité de se rendre à Montréal. Je suggérerais cependant que cette rencontre se fasse ailleurs que dans un bar. Un restaurant du centre ville ou même, peut-être à un restaurant de la Gare centrale (où il y a toutes sortes de mets de différentes natinalités accessibles) serait probablement plus adéquat pour que nous puissions discuter à l'aise. Mais je laisse le tout à ta convenance.

 

Amicalement

Posté

SAlut à tous;)

 

D' accord mais seulement après mes vacances;)

 

Je serai disponible vers le millieu d' aout;)

 

Et srictement le weekend;)

 

DE plus, bien il ne restera qu' à choisir cette date de rencontre et ce que vous voulez bien mangez:laughing:

 

 

amicalement

Posté

En attendant, je reviens autour du sujet de cette discussion "Le paradoxe temporel" en reliant le tout au "mouvement" dans une métrique de l'univers.

 

Si nous regardons les galaxies très lointaines et que nous découvrons qu'elles sont plus loin qu'elle ne devrait l'être, il y a certains facteurs qui ne sont jamais mentionnés.

 

1) Plus nous regardons loin dans l'espace, plus nous regardons loin dans le passé de l'univers.

 

2) L'expansion est la dilatation de la métrique.

 

Si nous regardons dans le passé de l'univers, nous regardons une galaxie qui se "déplace" dans une métrique universelle moins dilatée qu'aujourd'hui. Les distances étants "compressées" à cette époque, cela peut-il avoir une influence sur notre observation qui la voit plus loin qu'elle ne devrait l'être? :?:

 

Amicalement

Posté

SAlut à tous

 

Merci elie pour ton explication;)

 

Mais pour moi , la constante de hubble nous indique très précisément que sur la vitesse d' expension de l' univers, mais la mesure de la valeur de cette constante est primordial dans la cosmologie moderne;)

 

De plus, la valeur de cette constante représente la vitesse d' éloignement des galaxies par leur distance à la terre;)

 

Et le temps dans tout ça:?:

 

Il joue un rôle mathémathique d' un paramètre, il nous assure de noter l' évolution des coordonnées et des variables dynamiques d' un système:laughing:

 

Et comme l' espace , il possède en mécanique classique un caractère absolue dans le sens ou, une fois son origine fixée, il s' applique de manière identique à tous les corps^^

 

 

amicalement

Posté
De plus, la valeur de cette constante représente la vitesse d' éloignement des galaxies par leur distance à la terre

 

Mais on sait que les galaxies ne s'éloignent pas et que c'est plutôt l'espace entre le galaxies qui prend de l'expansion. Dans ce sens, au cours du temps, l'espace entre les galaxies se dilate ce qui signifie que lorsqu'on regarde dans le passé, cette dilatation est moindre; et plus on regarde loin dans le passé moins l'espace entre les galaxies est dilatée.

 

Amicalement

Posté

SAlut à tous;)

 

Pour te répondre elie sur ceci;

 

l'espace entre les galaxies se dilate ce qui signifie que lorsqu'on regarde dans le passé, cette dilatation est moindre; et plus on regarde loin dans le passé moins l'espace entre les galaxies est dilatée.

 

Donc,l' expansion de l' univers serait dû à l' étirement de l' espace et donc des longuers d' onde des rayonnement le traversant;)

 

Et en plus, plus longtemps un rayon lumineux a voyagé , plus il est étiré et polus il nous parait rouge;)

 

 

amicalement

Posté

Pas tout à fait, je crois.

 

Disons qu'il est possible que la longueur d'onde dépende plus de la métrique qu'elle traverse que de sa vitesse qui est admise comme uniforme et constante (vitesse de la lumière).

Dans une métrique "compressée, la longueur d'onde est nécessairement "compressée"; dans une métrique dilatée, elle est dilatée. Et comme lorsque nous regardons dans le passé, nous regardons dans une métrique compressée, la longueur d'onde devrait être tout aussi compressée.

 

Résultat, si nous considérons l'espace entre nous et la galaxie lontaine comme étant "uniforme et constante" sans prendre en cause la "compression" de la métrique selon l'époque du passé que nous observons, nous aurons l'impression que la galaxies est beaucoup plus loin qu'elle ne l'est en réalité (si nous mesurons selon notre propre métrique. C'est à dire que si nous disons: 100 km et que nous considérons ce km comme étant de 1000 mètres lorsque les premiers km sont de 500 mètres, la distance nous semblera plus étendue qu'elle ne l'est en réalité).

 

Il existe un problème en astronomie qui pourrait résulter du même facteur:

 

Il semble que le satellite voyager actuellement hors de notre système solaire, ne se retrouve pas là où sa vitesse de croisière devrait le situer. Il y a un problème de distance dans son trajet. (J'essaie de retrouver l'info sans succès; j'y reviendrai si je trouve). Ce problème pourrait résulter de la métrique de l'espace où il se trouve. Normalement, plus il s'éloigne de nous, plus la métrique est dilatée puisqu'il sort de la "contraction produite par la déformation spatiale du système solaire. D'un autre côté, s'il est sorti du système solaire, il se trouve là où la métrique est en dilatation accélérée. Nous devrions percevoir une différence entre son comportement "avant" être sorti de notre systèmne et "après" sa sortie du système. Nous verrons bien les résultats bientôt.

 

Donc, plus un rayon de lumière est vieux (ou loin), plus il traverse un grand nombre de métriques progressivement en dilatations dans le temps et situé à différents endroits définis dans l'espace de chacune des époques.

 

Amicalement

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