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Ce matin sur France-Inter, débat sur l'instruction (1) au 7/9 ou l'un des intervenants (je crois que c'était Philippe Meirieu) se choquait que "un 13 en mathématiques pût rattraper au bac un 7 en français".

 

Ayant obtenu mon bac semi-scientifique D avec à l'inverse un 14 en français qui rattrapait mon 6 en calcul, je me verrai dans l'obligation morale de renvoyer mon diplôme si on décide des notes éliminatoires inférieures à 7 !

 

On pourrait dire que la remarque de Ph. M. est pleine de bon sens puisqu'en effet je n 'ai pu faire aucun usage de mon bac D, précisément pour cause de nullité en mathématiques.

En réalité, si, quand même. J'ai obtenu quinze ans plus tard un DUT (2) en formation continue après avoir été admis apparemment parce que j'avais un bac D ; j'ai entendu le chargé du recrutement plaisanter en disant : "Ils veulent des bac D ; je leur envoie un bac D !"

 

(1) Les hauts fonctionnaires ne sont pas très instruits eux-mêmes. Au ministère ancien de l'Instruction Publique a succédé celui de l'Education Nationale ; or instruction et éducation ne sont nullement la même chose.

 

(2) Remarque analogue : le "Diplôme Universitaire de Technologie" atteste de l'inculture (ou de la soumission au monde anglophone) de ses créateurs, qui ne connaissent pas le sens du mot "technologie".

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Les pipelettes du sujet

Les pipelettes du sujet

Posté (modifié)

Ah, je ne me suis pas amélioré en mathématiques depuis 41 ans que j'ai mon bac, puisque j'aurais dit qu'un 16 ne rattrape pas un 2.

 

Editer :

 

Et en plus je ne sais pas lire puisque je n'avais pas vu qu'il y avait 2 notes 16.

Pareil : j'ai repêché mon 6 en mathématiques avec deux 15, physique et bio.

Après un an sans rien faire en bio, j'ai révisé en hâte à midi pour l'épreuve de l'après-midi. Juste eu le temps de voir la structure de la rétine, et vlan, c'est tombé dessus. Sinon, au choix, c'était la spermatogénèse chez la sangsue. Un coup à se jeter aux murèn... aux sangsues.

Modifié par jarnicoton
Posté
Ah, je ne me suis pas amélioré en mathématiques depuis 41 ans que j'ai mon bac, puisque j'aurais dit qu'un 16 ne rattrape pas un 2.

Les coefficients, Jarni... les coefficients !

 

En C, j'ai rattrapé mon 7 en philo par un 18 en sport :be:

Posté (modifié)

Ce que j'ai retenu de cette émission c'est surtout que les pays qui sortent en tête de l'étude pisa sont ceux qui très tôt prennent en charge les élèves les plus en difficulté...

(en France un élève sur cinq ne sait pas lire en sortant du CP)

Jusqu'ici je pense que nos profs seront d'accord avec moi.

Parmi les solutions, il y en a qui en France seraient difficilement applicables:

Pour faire simple, les meilleurs profs sont placés dans les zones les plus difficiles.

Je dis peut être une bétise mais en France on envoie les jeunes profs dans les ZEP et les plus expérimentés "planqués" dans des établissements cotés.

Idéal pour creuser les inégalité...

Désolé si ça choque un peu certains profs. (et il y en a pas mal ici)

J'ai beaucoup de respect pour nos profs qui sont a mes yeux des héros modernes.

Ca n' empèche pas d'ouvrir les yeux sur certains points de disfonctionnement.

Modifié par benjamindenantes
Posté
On pourrait dire que la remarque de Ph. M. est pleine de bon sens puisqu'en effet je n 'ai pu faire aucun usage de mon bac D, précisément pour cause de nullité en mathématiques.

En réalité, si, quand même. J'ai obtenu quinze ans plus tard un DUT (2) en formation continue après avoir été admis apparemment parce que j'avais un bac D ; j'ai entendu le chargé du recrutement plaisanter en disant : "Ils veulent des bac D ; je leur envoie un bac D.

Bonjour Monsieur le bachelier Jarnicoton, :)

 

Je n'ose plus vous tutoyer depuis que j'ai appris que vous êtes titulaire du précieux baccalauréat (comme apparemment la quasi-totalité des internautes de Webastro :cry: :cry: :cry: ). Je vous en présente toutes mes félicitations :be: :be: :be: .

 

N'étant titulaire que d'un très modeste Certificat d'Études Primaires (CEP) puis d'un également très modeste Brevet d'Études du Premier Cycle (BEPC) je me demande si ma place est toujours bien sur ce forum astronomique, rempli de diplômés et de sur-diplômés ?... :( :( :(

 

Y aurait-t-il parmi les webastrams d'autres incultes comme moi qui n'auraient point le baccalauréat ? :?: Merci de me le faire savoir, je me sentirais moins seul dans ce forum de sur-diplômés. ;)

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

Posté

Bof... t'inquiète pas Roger... Quand tu vois certaines burnes qui sortent avec un Bac, tu n'as pas de soucis à te faire ! Ca n'est pas le bout de papier qui fait la qualité de l'homme.

Posté

Y aurait-t-il parmi les webastrams d'autres incultes comme moi qui n'auraient point le baccalauréat ? :?: Merci de me le faire savoir, je me sentirais moins seul dans ce forum de sur-diplômés. ;)

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

 

Moi, je suis sans le moindre diplôme, il faut dire que j'étais le cancre de service à l'école :be:, j'étais un expert en école buissonière et même que ma dernière année de scolarité, je me suis fait renvoyer du lycée :o

 

Parfois, je me demande comment je fais pour être si populaire dans le sous-forum "CROA" :refl:

 

:D

Posté
Vous passez pas le BAB en Belgique?

(Brevet d'aptitude à la bière)

 

:D:D:D

 

Réussit avec grande distinction.

 

Edit :

J'ai toujours cru que le CEP c'était, certificat d'études à la plaisanterie.

Posté

Bonjour

Bon et bien je vais vouvoyer M Roger15 . Je suis l heureux possesseur d un CEP .

pour le BEPC c est rappé . Alors le BAC on en parle pas . Dans le "neuf trois" il

était déjà difficile de faire quelque chose dans les années 60 , 70 . Il faut dire aussi que je ne suis pas pour les diplômes .

JM

Posté

Mais on s'en fou des diplômes... C'est pas ça ce qui fait l'homme.

 

Sauf le B.A.B. de benjamindenantes, ça c'est cool.

 

:jesors:

Posté (modifié)
c'est quoi un bac semi-scientifique ????:?:

 

C'est très simple. En section scientifique au lycée, les élèves jugés perdus pour les sciences étaient orientés en A (littéraire). Les élèves jugés perdus pour toute étude intellectuelle étaient envoyés au lycée technique.

 

Ceux qui en seconde ou en première C (math/physique) étaient jugés simplement médiocres en mathématiques, tel votre serviteur, étaient envoyés finir leur scolarité en D (bio/maths allégées/physique modérée). Le bac D fermait un nombre vertigineux de portes scientifiques, en sorte que les élèves se demandaient à quoi il pouvait bien servir. Voilà pourquoi j'ironise sur moi-même en parlant de bac semi-scientifique.

Modifié par jarnicoton
Posté (modifié)
Le passage de C en D était considéré par les intéressés comme plus ou moins déclassant : c'est un fait psychologique. Je rappelle que c'était il y a plus de quarante ans. Dire cela serait de nos jours entendu comme une offense horriblement traumatisante et ségrégationniste ; on fustigerait les propos qui "montrent du doigt" et "stigmatisent". Mais en ce temps on ne s'embarrassait pas tant de vocabulaire chichiteux.

Eh bien, Jarnicoton, figurez-vous que de mon temps c'était également ça (mais un niveau bien au-dessous du vôtre ;) ) : ceux qui échouaient au Certificat d'Études Primaires (ou qui ne s'y présentaient pas, soit d'eux-mêmes soit à la demande de leurs enseignants chargés de ne pas faire baisser la moyenne de leur établissement scolaire au pourcentage de réussites au CEP ;) ) étaient orientés vers les sinistres "cours complémentaires" où on leur apprenait des notions essentiellement pratiques pour leur future vie professionnelle (ce qui était sans doute bien plus utile que les stupidités qu'on apprenait dans la filière soi-disant "noble" des études secondaires :mad: :mad: :mad: ). Au bout de deux années de "cours complémentaires" ils avaient atteint l'âge de 16 ans et pouvaient légalement entrer en apprentissage ou directement dans le monde du travail.

 

En revanche, ceux qui - comme moi - avaient obtenu leur "certif" n'étaient pas du tout sûr de pouvoir accéder au collège : ils devaient passer le redoutable "examen d'entrée en sixième", examen très traumatisant à tenter à l'issue de la septième (on dirait aujourd'hui le Cours Moyen deuxième année CM2) car si on y échouait on se voyait - malgré notre CEP en poche - relégué vers les sinistres "cours complémentaires" :cry: :cry: :cry: . Vous voyez, vous les jeunes nés après 1968, que l'on ne nous dorlotait pas et ne nous rassurait point durant notre scolarité en primaire, bien au contraire... :( :( :(

 

Roger le Cantalien. :)

 

Tiens, tiens, Jarnicoton : je découvre que vous avez édité votre message... ;)

Modifié par roger15
Posté
Bonjour

Bon et bien je vais vouvoyer M Roger15 . Je suis l'heureux possesseur d'un CEP .

Pour le BEPC c'est rappé. Alors le BAC on en parle pas. Dans le "neuf trois" il était déjà difficile de faire quelque chose dans les années 60 , 70. Il faut dire aussi que je ne suis pas pour les diplômes.

JM

Bonjour DOB BLEU, :)

 

Tout d'abord je vous félicite pour votre succès au CEP. :be: :be: :be:

 

Vu que vous étiez du "neuf cube" je vous autorise bien volontiers à continuer - du moins si vous le souhaitez - de me tutoyer car je connais bien votre ancien département de la Seine-Saint-Denis pour y avoir travaillé, dans une Direction de La Poste à Noisy-le-Grand. ;)

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

Posté
Tiens, tiens, Jarnicoton : je découvre que vous avez édité votre message... ;)

 

Ben oui, en mesurant sa violence verbale incompatible avec la douceur et la sollicitude parfaitement hypocrites de notre époque.

Posté
Ben oui, en mesurant sa violence verbale incompatible avec la douceur et la sollicitude parfaitement hypocrites de notre époque.

Ben moi, au contraire de vous, je l'ai trouvé très juste et pas du tout violent, mais très réaliste. :D :D :D

Posté
Moi, je suis sans le moindre diplôme, il faut dire que j'étais le cancre de service à l'école :be:, j'étais un expert en école buissonière et même que ma dernière année de scolarité, je me suis fait renvoyer du lycée :o

 

Parfois, je me demande comment je fais pour être si populaire dans le sous-forum "CROA" :refl:

 

:D

 

Bonjour Dédé,

 

Et bien comme quoi, pas besoin de squatter l'école pour écrire dans un français plus-que-parfait! ;)

 

Ce que certains, la valise pleine de diplômes en tout genre, ne savent pas faire...!

 

Alors c'est tout à ton honneur, bien au contraire! :)

Posté

Eh bien, Jarnicoton, figurez-vous que de mon temps c'était également ça (mais un niveau bien au-dessous du vôtre ;) ) : ceux qui échouaient au Certificat d'Études Primaires (ou qui ne s'y présentaient pas, soit d'eux-mêmes soit à la demande de leurs enseignants chargés de ne pas faire baisser la moyenne de leur établissement scolaire au pourcentage de réussites au CEP ;) ) étaient orientés vers les sinistres "cours complémentaires" où on leur apprenait des notions essentiellement pratiques pour leur future vie professionnelle (ce qui était sans doute bien plus utile que les stupidités qu'on apprenait dans la filière soi-disant "noble" des études secondaires :mad: :mad: :mad: ). Au bout de deux années de "cours complémentaires" ils avaient atteint l'âge de 16 ans et pouvaient légalement entrer en apprentissage ou directement dans le monde du travail.

 

En revanche, ceux qui - comme moi - avaient obtenu leur "certif" n'étaient pas du tout sûr de pouvoir accéder au collège : ils devaient passer le redoutable "examen d'entrée en sixième", examen très traumatisant à tenter à l'issue de la septième (on dirait aujourd'hui le Cours Moyen deuxième année CM2) car si on y échouait on se voyait - malgré notre CEP en poche - relégué vers les sinistres "cours complémentaires" :cry: :cry: :cry: . Vous voyez, vous les jeunes nés après 1968, que l'on ne nous dorlotait pas et ne nous rassurait point durant notre scolarité en primaire, bien au contraire... :( :( :(

 

Roger le Cantalien. :)

 

Tiens, tiens, Jarnicoton : je découvre que vous avez édité votre message... ;)

 

Cette présentation est inexacte. En effet, l'entrée en cycle secondaire n'était pas assujettie à l'obtention du Certificat d'Etudes Primaires (CEP) mais uniquement à l'examen d'entrée en sixième. Pour la bonne raison qu'on y était présenté bien avant les années supplémentaires menant à ce CEP, et donc à un âge plus jeune.

Posté
Cette présentation est inexacte. En effet, l'entrée en cycle secondaire n'était pas assujettie à l'obtention du Certificat d'Etudes Primaires (CEP) mais uniquement à l'examen d'entrée en sixième. Pour la bonne raison qu'on y était présenté bien avant les années supplémentaires menant à ce CEP, et donc à un âge plus jeune.

 

Tu devrais développer un peu plus. Je suis, a ce que je comprend, de la même génération que Roger15. Et je ne vois pas grand chose d'inexact dans cette présentation... Mais tu vas surement m'éclairer.

 

Philippe.

Posté
Cette présentation est inexacte. En effet, l'entrée en cycle secondaire n'était pas assujettie à l'obtention du Certificat d'Etudes Primaires (CEP) mais uniquement à l'examen d'entrée en sixième. Pour la bonne raison qu'on y était présenté bien avant les années supplémentaires menant à ce CEP, et donc à un âge plus jeune.

Bonjour professeur Toutiet, :)

 

Votre message comprend deux parties distinctes auxquelles je vais répondre séparément :

Cette présentation est inexacte. En effet, l'entrée en cycle secondaire n'était pas assujettie à l'obtention du Certificat d'Etudes Primaires (CEP) mais uniquement à l'examen d'entrée en sixième.

Je me permets, respectueusement, professeur Toutiet, de vous faire remarquer que c'est exactement je que j'ai écrit en dernière partie de mon message #19 :

En revanche, ceux qui - comme moi - avaient obtenu leur "certif" n'étaient pas du tout sûr de pouvoir accéder au collège : ils devaient passer le redoutable "examen d'entrée en sixième", examen très traumatisant à tenter à l'issue de la septième (on dirait aujourd'hui le Cours Moyen deuxième année CM2) car si on y échouait on se voyait - malgré notre CEP en poche - relégué vers les sinistres "cours complémentaires" :cry::cry::cry:.

Ensuite, vous déclarez :

Pour la bonne raison qu'on y était présenté bien avant les années supplémentaires menant à ce CEP, et donc à un âge plus jeune.

Eh bien là, ce que vous dites est totalement inexact professeur Toutiet :mad: :mad: :mad: . C'est à la fin de ma septième fin mai ou début juin 1961 que j'ai d'abord passé mon examen d'entrée en sixième, puis deux ou trois semaines après (donc la même année !.. .:p ) j'ai passé ensuite le Certificat d'Études Primaires. Vous voudrez bien me pardonner l'incertitude dans les dates précises, au jour près, du passage de ces deux épreuves, mais c'était il y a déjà plus de 52 ans !!!... (année scolaire 1960/1961). ;)

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

Posté
Bonjour DOB BLEU, :)

 

Tout d'abord je vous félicite pour votre succès au CEP. :be: :be: :be:

 

Vu que vous étiez du "neuf cube" je vous autorise bien volontiers à continuer - du moins si vous le souhaitez - de me tutoyer car je connais bien votre ancien département de la Seine-Saint-Denis pour y avoir travaillé, dans une Direction de La Poste à Noisy-le-Grand. ;)

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

 

Ah, Noisy-le-Grand ! J'y ai fait une bonne partie de ma scolarité (Paul Serelle puis collège Saint Exupéry). Le niveau de l'enseignement y était je pense très correct (bon ok, c'était entre 1978 et 1985, les choses ont sans doute bien changé depuis).

Posté

Le sujet des diplômes, c'est assez délicat.

 

Il y a pleins de raisons d'avoir ou de ne pas avoir de diplômes. Après, dans ma vie, j'ai surtout vu deux grandes catégories de personnes (avec toutes les variantes possibles et imaginables) : ceux qui essayent de faire ce qu'ils ont à faire correctement et sérieusement et puis ... les autres.

 

Cela dit, je dois reconnaître qu'il m' a été donné de travailler avec des gens très diplômés (polytechnique, centrale, ENA, etc.) et malgré tout ce que je peux penser sur ce type de personnes, ils étaient en général très brillants.

 

Je ne pense pas qu'il faille cracher dans la soupe. Un diplôme, ça s'obtient. Les miens, je les ai eu et ils sont à moi. Je vais pas en faire un fromage mais je peux dire sans rougir que je suis fier de les avoir obtenu.

 

De là à dire qu'un diplôme, c'est un vaccin efficace contre la connerie, il y a de la marge quand même.

Posté
Cela dit, je dois reconnaître qu'il m' a été donné de travailler avec des gens très diplômés (polytechnique, centrale, ENA, etc.) et malgré tout ce que je peux penser sur ce type de personnes, ils étaient en général très brillants.

Bonjour Easybob08, :)

 

J'ignore quels sont tes diplômes, mais je te félicite de les avoir obtenus. :be: :be: :be:

 

Moi, dans ma vie professionnelle à La poste, en fait c'était à France-Télécom, je n'ai connu qu'une personne fort brillante : c'était un polytechnicien !... :be: :be: :be:

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

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