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Les pipelettes du sujet

Les pipelettes du sujet

Posté

Zut, avec mon 6 en philo, on devra me retirer le bac, donc les diplômes qui ont suivi ne sont plus valable. Et comme je n'ai pas le certificat d'études, vu que ça n'existait plus, je me retrouve sans rien, comme un analphabète.

 

On peut faire quoi comme boulot quand on est un ignare ? Astrologue ? Commentateur de foot ? Scénariste de « blockbusters » ? Ah ben oui, il y a du choix, pas de quoi désespérer.

Posté

Bonjour professeur Toutiet, :)

 

Votre message comprend deux parties distinctes auxquelles je vais répondre séparément :

Je me permets, respectueusement, professeur Toutiet, de vous faire remarquer que c'est exactement je que j'ai écrit en dernière partie de mon message #19 :

Ensuite, vous déclarez :

Eh bien là, ce que vous dites est totalement inexact professeur Toutiet :mad: :mad: :mad: . C'est à la fin de ma septième fin mai ou début juin 1961 que j'ai d'abord passé mon examen d'entrée en sixième, puis deux ou trois semaines après (donc la même année !.. .:p ) j'ai passé ensuite le Certificat d'Études Primaires. Vous voudrez bien me pardonner l'incertitude dans les dates précises, au jour près, du passage de ces deux épreuves, mais c'était il y a déjà plus de 52 ans !!!... (année scolaire 1960/1961). ;)

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

 

Mais, Roger, tu te mélanges les pinceaux...

Au post #19, tu dis :

"ceux qui - comme moi - avaient obtenu leur "certif" n'étaient pas du tout sûr de pouvoir accéder au collège : ils devaient passer le redoutable "examen d'entrée en sixième",

et maintenant tu dis que tu as passé le "certif" après être entré en sixième :?:

 

Et cela corrobore donc bien ce que je disais, à savoir qu'il n'était pas du tout nécessaire (ni obligatoire) d'avoir le "certif" pour entrer en sixième.

Surtout qu'on rentrait, en général, en sixième une ou deux années avant l'année de présentation (éventuelle et non obligatoire) au "certif".

Posté

J'ai pourtant le souvenir de l'école primaire où ne passaient le certif que ceux qui au lieu d'aller en sixième faisaient deux ans de plus sur place dans une classe dont j'ai oublié le nom.

Au collège, était ensuite ouvert le droit de passer le certif aux élèves de cinquième. Donc dans les deux cas c'était à douze ans.

Posté

Bonjour

Bruno , tu es si jeune pour dire qu il n existait plus ?

J ai regardé sur le Net , a partir de 1972 ils le réservaient aux adultes et

l ont supprimés en 1989. Je l ai passé en 1971 et j avais bien 12 ans . Juste

avant de renter en sixième . Des gamins qui ne l avaient pas eu passaient en sixième

quand même.

JM

Posté

Je ne savais pas que ça avait duré jusqu'en 1989. Disons qu'à l'âge normal de le passer (12ans si j'ai bien compris), il était réservé aux adultes, et qu'à l'âge où j'étais adulte, j'avais déjà le bac.

Posté
J'ai pourtant le souvenir de l'école primaire où ne passaient le certif que ceux qui au lieu d'aller en sixième faisaient deux ans de plus sur place dans une classe dont j'ai oublié le nom.

Au collège, était ensuite ouvert le droit de passer le certif aux élèves de cinquième. Donc dans les deux cas c'était à douze ans.

 

Oui, c'est exactement ce que je dis :).

Posté (modifié)
Bonjour

Bruno , tu es si jeune pour dire qu il n existait plus ?

J ai regardé sur le Net , a partir de 1972 ils le réservaient aux adultes et

l ont supprimés en 1989. Je l ai passé en 1971 et j avais bien 12 ans . Juste

avant de renter en sixième . Des gamins qui ne l avaient pas eu passaient en sixième

quand .

JM

 

Mais bien sûr puisqu'on était "aiguillé" vers la sixième (et donc son examen d'entrée) une ou deux années avant l'année de présentation au "certif", qui était l'aboutissement de l'enseignement primaire complet qu'on pouvait donc quitter avant son terme.

Modifié par Toutiet
Posté

Des diplômés cons comme la Lune (désolé pour la Lune), il y en a des pelletées ! C'est un indice intéressant pour jauger rapidement de l'intelligence potentielle d'une personne, mais c'est tout sauf automatique...

Je connais des gens brillants (aussi bien intellectuellement qu'humainement) qui n'ont pas le bac et au contraire, je connais des hauts diplômés qui ont une intelligence humaine proche de 0, peu cultivés, mais qui excellent dans leur domaine de compétence.

 

Les diplômes c'est très bien, mais le contexte et le parcours d'une personne peuvent changer beaucoup de choses... (A éveil et intelligence équivalente, un enfant de polytechniciens aura par exemple sans doute plus de chances de suivre les traces de ses parents qu'un autre enfant).

 

Perso, malgré une scolarité plutôt bonne, j'ai complètement été brisé par la Math Sup, où on nous rabâchait à longueur de journée que nous étions nuls, voués à aller pointer aux Assedics (nous avions tous droit à ce traitement, même les plus brillants, mais ça je ne le voyais pas à l'époque). Je n'ai pas résisté psychologiquement (c'était évidemment le but : sélectionner les plus endurants psychologiquement) et, même si j'ai suivi toute l'année jusqu'au bout, j'ai complètement été dégoûté de poursuivre des études par la suite.

Plusieurs années plus tard, après avoir "fait" mon armée, je me suis inscrit à l'Afpa pour passer rapidement un BTS info, histoire de pouvoir gagner ma vie dignement (j'ai même passé un DUT d'archéologie récemment, mais ça c'était juste pour le plaisir :be:. Comme quoi, même à 35 balais passés, rien n'est perdu et tout est faisable !). J'ai eu la chance de (re)tomber sur le marché du travail au bon moment, en plein boum de l'informatique. J'ai pu trouver du travail en 1 semaine, avec le même salaire et les mêmes missions que des ingénieurs tout juste sortis de l'école. On peut dire que j'ai eu de la chance (provoquée certes, mais chance quand même), mais combien de personnes aptes et pas trop bêtes sont brisées par des profs débiles (ou tout simplement par les événements de la vie) et se retrouvent sans aucun diplôme avec souvent, à moins d'avoir l'esprit d'entreprise, des boulots à la con et sont sous-employés ? Notre société hyper-spécialisée base tout sur les diplômes et passe j'en suis sûr à côté de beaucoup de choses et de compétences valables...

Posté
Bonjour Dédé,

 

Et bien comme quoi, pas besoin de squatter l'école pour écrire dans un français plus-que-parfait! ;)

 

Ce que certains, la valise pleine de diplômes en tout genre, ne savent pas faire...!

 

Alors c'est tout à ton honneur, bien au contraire! :)

 

Merci pour le compliment :)

Je suis loin d'être parfait en orthographe et en grammaire, mais je me débrouille pas trop mal, je pense que c'est à force de lire ;)

Posté (modifié)
Perso, malgré une scolarité plutôt bonne, j'ai complètement été brisé par la Math Sup, où on nous rabâchait à longueur de journée que nous étions nuls, voués à aller pointer aux Assedics (nous avions tous droit à ce traitement, même les plus brillants, mais ça je ne le voyais pas à l'époque). Je n'ai pas résisté psychologiquement (c'était évidemment le but : sélectionner les plus endurants psychologiquement) et, même si j'ai suivi toute l'année jusqu'au bout, j'ai complètement été dégoûté de poursuivre des études par la suite.

Ton expérience ne peut pas être généralisée à tous les profs de prépa (ainsi que Peillon veut aussi nous le faire comprendre). J'ai eu d'excellents profs en prépa qui nous donnaient au contraire envie d'apprendre, qu'on fut bon ou moins bon, et je ne faisais pas partie des meilleurs, loin de la. Ces profs s'impliquaient énormément et n'hésitaient pas à faire des heures supp le soir pour les colles ou nous faire des cours supplémentaires si on n'avait pas tout compris. C'était dans les années 85, au Raincy (93).

 

Dans ma classe, une seule fille a laissé tomber en cours de route, elle se sentait plus une âme bio-science que techno-science et a donc poursuivi un cursus plus adapté que Sup/Spé M.

Modifié par Fred_76
Posté
Mais bien sûr puisqu'on était "aiguillé" vers la sixième (et donc son examen d'entrée) une ou deux années avant l'année de présentation au "certif", qui était l'aboutissement de l'enseignement primaire complet qu'on pouvait donc quitter avant son terme.

Et tout ce que vous venez d'écrire, professeur Toutiet, est-ce votre vécu personnel ou alors déduit de ce que vous avez lu quelque part ? :?:

Posté
Ton expérience ne peut pas être généralisée à tous les profs de prépa (ainsi que Peillon veut aussi nous le faire comprendre). J'ai eu d'excellents profs en prépa qui nous donnaient au contraire envie d'apprendre, qu'on fut bon ou moins bon, et je ne faisais pas partie des meilleurs, loin de la. Ces profs s'impliquaient énormément et n'hésitaient pas à faire des heures supp le soir pour les colles ou nous faire des cours supplémentaires si on n'avait pas tout compris. C'était dans les années 85, au Raincy (93).

 

Dans ma classe, une seule fille a laissé tomber en cours de route, elle se sentait plus une âme bio-science que techno-science et a donc poursuivi un cursus plus adapté que Sup/Spé M.

 

Tu as peut-être eu de la chance, ou moi de la malchance... J'ai connu se type de profs en 1ère-Terminale C, des passionnés, positifs, ayant le feu sacré et le sens de leur mission. La différence en a été d'autant plus grande avec la Sup.

Je ne me cherche pas de mauvaises excuses, j'ai longtemps réfléchi à la chose. Peut-être avais-je atteint mon seuil de compétence (je ne le pense pas, mais c'est toujours dur de s'auto-juger/évaluer), mais l'aspect psychologique a été largement déterminant pour moi.

 

Tiens, le Raincy... j'en suis natif. Lycée Albert-Schweitzer ? J'ai un copain de sup qui y est passé en spé, la même année que le frère de ma copine de l'époque ;) Le monde est petit :be:

Posté
Notre société hyper-spécialisée base tout sur les diplômes et passe j'en suis sûr à côté de beaucoup de choses et de compétences valables...

Plusieurs milliers d'ingénieurs sortent de grandes écoles d'ingénieurs généralistes type A/A+ chaque année, et sortant de l'une d'elle, je n'ai pas du tout l'impression d'être "hyper spécialisé", même mon option de dernière année en électrotech ne change rien à cette conclusion : mon "vernis" scientifique et technique me permet de m'adapter à globalement n'importe quel contexte professionnel, bref on est très loin d'une spécialisation généralisée. :)

 

Le problème ne concerne amha pas "l'élite" (notez les guillemets) diplômée (j'ai même lu "sur diplômé" dans le fil, comme s'il y avait une limite à ne pas franchir en terme de connaissances :b:) mais plutôt le nivellement par le bas de l'enseignement qui met les suivants très (trop) loin derrière...

Posté

Moi non plus!

Sauf un diplôme de natation, le premier Triton je crois (25m nage libre) pas de quoi en faire un flan. Ça ne m'a jamais empêché de travailler et de gagner ma vie sans jamais connaître un jour de chômage. Maintenant on ne m'a jamais demandé de concevoir un zigonbulon à flexibule intégré, ça c'est sur aussi.

Posté

C'est nul les diplômes... ça sert juste à diviser le peuple pour mieux règner...

 

Pourquoi ne pas scanner son petit bout de papier et le mettre en pièce jointe sur ce topic ?

Posté

Je trouve aussi. :be:

 

Il y en a plein ici qui se vante de leurs(ssss) diplômes(sssss)...

...Qu'ils ont la plus grosse... Qu'ils les montrent. :p

Posté

Il ne faut pas opposer les diplômés et les non diplômés. Ca n'a pas de sens.

 

On peut très bien réussir sa vie avec ou sans. Mais il faut reconnaître que sans, ça se complique quand même.

 

Après, dire que les diplômes, c'est nul, je ne suis pas vraiment d'accord. Dire que ça divise les gens, je ne suis pas d'accord non plus. Les gens n'ont pas besoin de cette excuse pour se diviser.

 

C'est aussi idiot de se vanter de ne pas avoir de diplôme que de se vanter de l'inverse. Chaque situation amène des avantages et des inconvénients.

 

Personnellement, j'accepte tous les choix personnels, à conditions que ces choix soient pleinement assumés.

 

C'est un peu toujours la même histoire en France, on aime pas trop ceux qui ont plus que nous (argent, statut social, aspect physique, réussite et ... diplôme). Ca génère en général un nivellement par le bas et je pense qu'on sera tous contents quand tout le monde aura ... rien du tout. Pas de jaloux.

 

On devrait plutôt se concentrer sur ce que l'on a, le développer, l'entretenir et puis si les autres ont plus et mieux, et bien tant mieux pour eux.

 

Vivre et laisser vivre en somme.

Posté
Il ne faut pas opposer les diplômés et les non diplômés. Ca n'a pas de sens.

 

On peut très bien réussir sa vie avec ou sans. Mais il faut reconnaître que sans, ça se complique quand même.

 

Après, dire que les diplômes, c'est nul, je ne suis pas vraiment d'accord. Dire que ça divise les gens, je ne suis pas d'accord non plus. Les gens n'ont pas besoin de cette excuse pour se diviser.

 

C'est aussi idiot de se vanter de ne pas avoir de diplôme que de se vanter de l'inverse. Chaque situation amène des avantages et des inconvénients.

 

Personnellement, j'accepte tous les choix personnels, à conditions que ces choix soient pleinement assumés.

 

C'est un peu toujours la même histoire en France, on aime pas trop ceux qui ont plus que nous (argent, statut social, aspect physique, réussite et ... diplôme). Ca génère en général un nivellement par le bas et je pense qu'on sera tous contents quand tout le monde aura ... rien du tout. Pas de jaloux.

 

On devrait plutôt se concentrer sur ce que l'on a, le développer, l'entretenir et puis si les autres ont plus et mieux, et bien tant mieux pour eux.

 

Vivre et laisser vivre en somme.

 

On ne saurait mieux dire . :)

Posté (modifié)
Non' date=' c'est le contraire : il y en a plein ici qui se vantent de ne pas avoir de diplôme.[/quote']

Bonjour professeur 'Bruno, :)

 

Je ne crois pas que quelqu'un jusqu'ici se soit "vanté" de n'avoir aucun diplôme... Je pense qu'en décembre 2013 ceux qui n'ont point le fameux "baccalauréat" en sont au contraire désolés... :cry::cry::cry:

 

Vous, les bacheliers, vous ne pouvez pas comprendre le traumatisme de ceux qui comme moi n'ont point ce "minimum d'instruction" que représente la réussite à cet examen. :( :( :(

 

Mais - je n'évoque que mon cas - avons-nous, vous les bacheliers et moi combattus à armes égales durant notre parcours scolaire ? Vous avez peut-être eu la chance d'être aidés dans vos études par des parents (sans doute diplômés) qui surveillaient ce que vous aviez appris à l'école aujourd'hui (comme le dit très bien une chanson du Néo-zélandais Graeme Allwright). Ça vous a évidemment favorisés pour votre réussite scolaire. ;)

 

Moi, je suis issu d'un milieu extrêmement modeste, mes parents n'avaient que le Certificat d'études primaires (mon papa était ouvrier d'état au ministère des finances - et en plus il est décédé d'une maladie cardiaque alors que je n'avais que six ans et demi [ce qui m'a rendu dyslexique !...] - et ma maman était une simple cultivatrice) et ma mère aurait été incapable de m'aider à réviser mes leçons alors que j'étais dans le secondaire vu que c'était un niveau d'études qu'elle n'avait jamais atteint... :(

 

Ah, la dyslexie !... Vous ne pouvez (heureusement pour vous) pas savoir ce que c'est lourd à porter comme handicap !... :( :( :( Lorsque je rédige sur Webastro un message comme celui-là (qui fait 18 lignes) il me faut environ un quart d'heure pour le taper (3 minutes de frappe initiale puis au moins 4 fois plus pour lire, relire, relire encore plusieurs fois, ce que j'ai tapé en tentant d'éviter des fautes d'orthographe ou de conjugaison) alors que vous, vous vous en seriez débarrassés au maximum au bout de deux minutes... :confused:

 

Je vous souhaite à toutes et à tous de passer une bonne journée. :)

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

Modifié par roger15
rectification d'une faute de conjugaison...
Posté

Salut Roger,

 

c'est tout à fait normal d'avoir toujours un sentiment très mitigé quand on n'a pas eu l'opportunité d'avoir le bac. Toute notre société est complètement polarisée sur ce truc et le fait de ne pas avoir de diplôme est vécu souvent avec un sentiment de honte plus ou moins prononcé.

 

Mais il y a quand même une différence importante entre ceux qui n'ont pas pu faire des études et ceux qui n'ont pas voulu.

 

Moi, j'ai eu la chance de pouvoir faire des études. Après, j'avoue que je n'ai pas poussé comme j'aurais pu, loin de là. Et vois tu, même avec mes diplômes en poche, je suis souvent mal à l'aise quand je repense à mes études et au fait que je n'ai pas fait tout ce que j'aurais pu faire. J'ai payé très cher je pense ma relative flemme.

 

Il y a toujours quelque chose qui nous met mal à l'aise ou qu'on regrette. Mais pour moi, l'essentiel, vraiment, c'est de tirer le meilleur de ce que l'on a.

 

En ce qui te concerne, tu fait ce qu'il faut pour gérer ta dyslexie et franchement, je trouve ça vraiment admirable, sans brosse à reluire aucune. A te lire, c'est nickel.

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