Vie sans prédation

[earlymo]

Woaw. Je suis surpris et ravi de voir autant de matière à ce post! Merci du fond du coeur d'avoir jouer le jeu, c'est captivant.

Vos réflexions m'ont apportées ce que je cherchais et me voilà presque prêt à développer mon histoire sur des bases qui tiennent debout.

 

Si je résume, la vie peut donc évoluer sur une planète sans prédation, si un concours de circonstances à peine + croyable que celui qui nous amené à être devant nos ordinateurs pour en parler, se produit...

 

Merci Orion066 d'avoir pris le risque de lancer l'histoire, en te lisant j'ai pu recoupé ce que j'avais déjà échafaudé et rebondir.

 

Encore une question, toujours en partant d'une fiction: Un groupe d'humains part conquérir une nouvelle planète dans le but de créer un écosystème sans prédateur. Vous êtes responsable de la sélection des espèces à emporter. Lesquelles choisissez-vous et comment vous y prenez vous pour vous assurer que la prédation ne revienne pas?

 

Merci encore de mettre de votre temps et de vos neurones dans cette discussion que j'aurai aimé avoir avec vous autour d'un petit verre! ;-)

Belle journée à tous.

[charpy]

Encore une question, toujours en partant d'une fiction: Un groupe d'humains part conquérir une nouvelle planète dans le but de créer un écosystème sans prédateur. Vous êtes responsable de la sélection des espèces à emporter.

 

ça sent le simcity version "flower power"

 

je prendrais les organismes symbiotiques type lichen pour faire une mini chaine alimentaire sans prédation et quelques bombes atomiques pour faire un reset si la prédation réapparait mais c'est pas très flower power

[Paul_Wi11iams]

fiction: Un groupe d'humains part conquérir une nouvelle planète dans le but de créer un écosystème sans prédateur. Vous êtes responsable de la sélection des espèces à emporter...

 

Ce qui reproduit la suggestion que j'ai faite en #18

 

Le jour où l'homme choisit d'installer un écosystème par la terraformation d'une autre planète, il serait bon de reposer la question !

 

C'est aussi la recherche d'une réponse à la vieille question, à savoir comment créer une société ou biosphère où le bien vainc le mal ?

Ma position personnelle est que la mort, même pour alimenter son prochain, n'est pas forcement un mal. Tandis que la souffrance qui accompagne la mort est bien un mal (quel oxymore !). Ainsi, sur ma planète idéale, les prédateurs sont silencieux et rapides. Ils viennent abréger les souffrances des herbivores mourants et au cerveau limité.

 

Je pense que pour faire avancer ce travail, il serait bon d'utiliser comme modèle, le remplissage des niches biologiques suite à la disparition des dinosaures. Je n'ai pas de référence en tête, mais ce remplissage s'est passé de deux manières différentes sur le continent sud américain et en Austrasie.

 

Un roman qui propose l'antithèse du "flower power" est 2001, l'Odysée de l'Espace. Dans ce cas les "colons" choisissent modifier génétiquement un affreux omnivore guerrier. A prendre donc en bibliothèque et pas en librairie.

Modifié 20 janvier 2014 par Paul_Wi11iams