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Les pipelettes du sujet

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Une photo de sonde cubaine?

A priori c'est le site d'appllo 11. Qu'en pensez-vous? C'est peut être un début de preuve.

 

Et il y en a bien d'autres comme celles-ci, des autres sites.

 

J'aime beaucoup celle-ci de la mission Apollo 17 :

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Tu vois les traces des astronautes dans le regolite ?

 

Ces photos, les astram du site les connaissent, tout comme les milles et une preuves directes et indirectes que nous avons croisées dans notre vie d'astram. Il y a ici des gens qui ont connu l'époque Apollo et qui ont croisé ces preuves pendant plus de 40 ans. Il serait injuste de ta part de venir leur dire qu'ils sont obtus. Commences d'abord pour accumuler les connaissances. Je te l'écris gentiment, mais depuis le début du fil tu as montré plusieurs fois que tu étais limite (pour les effets de perspectives par exemple, c'est pourtant du bon sens).

 

Une réflexion à propos de le technologie : Ceux qui doutent que nous avions la technologie pour faire telle ou telle chose, on tendance à prendre nos aieuls pour des demeurés. Rome (et la technologie) ne s'est pas faite en un jour, et il y a eu parfois des sauts technologiques, comme après la 2nd guerre mondiale en matière de tirs balistiques/moteurs de fusée etc... Pas non plus besoin de faire appel aux E.T pour construire les pyramides.

 

Un dernier mot sur le doute : Faire sienne la devise de Descartes, "je doute donc je suis", est louable, mais il faudrait y ajouter que la connaissance (historique, technique, scientifique, les sciences humaines aussi...) est aussi libératrice. Le doute sans connaissances reste stérile.

 

Edit : Comme preuve j'aime bien les photos, personnellement je les trouve définitives et devrait être le seule réponse à ceux qui doutent encore. Une autre preuve qui va avec, du domaine des sciences humaines : Comment fomenter un complot avec autant de personnes ? Il faut penser qu'il y a eu des milliers de personnes à travailler sur le programme Apollo. Si complot il y avait, il aurait nécessairement fuité. Il n'est pas possible de garder secret quelque chose avec autant de personne dans le coup. Déjà que dans el cabinet d'un ministre cela fuite tout le temps avec pourtant qu'une poignée de personnes, alors des milliers...

Modifié par Smith
Posté (modifié)
Les crash a répétition lors des test LEM peut avant les lancements officiels, la protection en milieu partial, ...

 

Pour les crash, ben c'est très simple, le LM N'A JAMAIS ETAIT TESTE sur Terre...

L'appareil qui se crashé était un simulateur d'atterrisseur (et aucunement le LM), il était censé reproduire le comportement en vol du LM dans la gravité lunaire (1/6 de la gravité terrestre).

 

Enfin pour être précis 3 appareils (1 LLRV et 2 LLVT) furent détruits lors d'accidents sur plus de 100 vols d'essais, cela reste une proportion plus que raisonnable. (mais le nombre de vols, les complotistes n'en parle pas)

 

PRENDRE LE TEMPS DE TOUT LIRE, MERCI

 

La protection en milieu spatial :

 

Le milieu le plus dangereux était (est toujours) la ceinture de Van Allen, j'avais écrit à ce sujet :

 

Ce ne sont pas des ceintures de radiations proprement dites, mais des ceintures magnétiques et électriquement chargées qui piègent les particules à haute énergie issues du Soleil. Au nombre de 2 pour les principales, elles furent découvertes en 1958 par le satellite américain Explorer 1. Une troisième intermittente a été récemment mise en évidence par les Van Allen Probes de la NASA. La première ceinture se situe entre 700 km (côté Soleil) et 10.000 km d’altitude, la seconde se trouvant entre 13.000 et 65.000 km. La première est constituée de proton à haute énergie à des débits de fluence (mesure de l’intensité du déplacement des particules) compris entre 2x104 à 105 particules/cm²/s pour les protons et de 109 particules/cm²/s pour les électrons d’une énergie supérieure à 40 (KeV : Kiloelectron Volt). L’épaisseur de la zone d’intensité maximale est de 4.000 km à 5.000 km. La seconde ceinture est essentiellement composée d’électrons dont l’énergie varie de 20 keV à quelques meV (millielectron Volt), à des débits de fluence de plusieurs particules au cm² et par seconde. L’intensité maximale du flux d’électrons se situe dans le plan équatorial, à une distance de 15.000 à 20.000 km. Pour comprendre la signification de ces chiffres, il suffit de savoir qu’un astronaute se trouvant dans les parties les plus intenses des ceintures, sans aucune protection ni trajectoire adéquate, recevrait une dose létale en très peu de temps. Prenons l’exemple des équipages d’Apollo, seuls êtres humains à s’être rendu en orbite lunaire (et accessoirement à sa surface pour certains d’entre eux). Des missions qui exigeaient de passer par les ceintures de Van Allen... Comment ont-ils survécu ? Ces ceintures s’étendent sur environ 40 degrés de latitude terrestre, 20 degrés audessus et en-dessous de l’équateur magnétique. Toute l’astuce consistait dans le fait que les trajectoires translunaires d’Apollo se déroulaient dans un environnement forcément tridimensionnel. Une réalité occultée par les communiqués de presse de l’époque qui, par souci de simplification, ne montraient qu’une version en 2 dimensions («plate») du plan de vol. Chaque mission vola ainsi selon une trajectoire légèrement différente afin de lui permettre d’atteindre son site d’atterrissage, mais l’inclinaison orbitale du trajet amenant vers la Lune était toujours dans les environs des 30 degrés. Dit autrement, le plan géométrique contenant la trajectoire translunaire était incliné d’environ 30 degrés par rapport à l’équateur terrestre. Un vaisseau suivant cette trajectoire évite alors pratiquement toutes les ceintures de Van Allen, à part ses bords ! Pour traverser la ceinture intérieure, le vaisseau Apollo mettait environ un quart d’heure (la vitesse de libération étant de 11,2 km/s soit 40.320 km/h). D’après des calculs théoriques et les informations de l’époque, un blindage en alliage d’aluminium de 1 gr/cm² suffisait à absorber complètement les électrons. Bien que le temps nécessaire pour traverser la seconde ceinture fût évalué à environ 2 heures, la dose globale reçue

par l’équipage ne s’en trouva que très peu augmentée.

La géométrie du vaisseau et les matériaux employés furent étudiés afin de réduire les doses d’irradiation. De plus, une répartition judicieuse de l’équipement, de l’appareillage et des réserves de bord ont renforcé cette défense. Néanmoins, il n’était toutefois pas possible d’obtenir une protection uniforme, en raison de la structure même de la cabine et du fait que ses différentes parties pouvaient se trouver plus au moins exposées. A titre d’illustration de ce manque d’homogénéité dans la protection, on citera les premières vingt-quatre heures du vol Apollo 8 durant lesquelles Borman et Anders absorbèrent des doses très différentes, les mesures respectives donnant 0,0004 et 0,002 gray (le gray mesure l’énergie apportée par les rayonnements et 1 gray est égal à 1 joule par kg). Ce faisant, les astronautes se dirigeant vers notre satellite naturel reçurent une dose globale de 25 à 35 millisieverts (unité utilisée pour quantifier les effets biologiques des rayonnements et dérivée du gray), qu’ils purent supporter sans danger. Il est fort probable qu’un prochain vaisseau habité en partance pour Mars utilise la même technique de trajectographie éprouvée lors des missions Apollo.

 

En ce qui concerne les autres "joyeusetés radiatives" de l'espace :

 

Pour comprendre ces dangers, tous venus de notre étoile, revenons rapidement sur leur nature.

 

Le vent solaire :

C’est un plasma (flux de gaz et de particules ionisées) dont la composition, semblable à celle de la couronne solaire (73 % d’hydrogène et 25 % d’hélium), est constituée essentiellement d’ions et d’électrons, de noyaux d’hélium avec des traces infimes d’ions d’éléments plus lourds, tels que l’oxygène ou le carbone. Il s’échappe continuellement dans toutes les directions de la surface du Soleil, baigne l’ensemble du système solaire et se déplace à une vitesse comprise entre 350 km/s et 800 km/s (presque 3 millions de km/h). Néanmoins, ce flux varie en vitesse et en température au cours du temps en fonction de l’activité solaire.

 

Les éruptions solaires :

Ce sont des phénomènes de libération soudaine d’énergie à la surface du Soleil pouvant durer de quelques minutes à quelques heures. Cette énergie est libérée sous forme d’ondes radio - électriques sur un large spectre et de particules relativistes : 90 % de protons et 10 % de particules alpha (2 protons combinés à

2 neutrons). La variation du nombre de ces éruptions permet de définir un cycle solaire.

 

 

Les CME (Coronal Mass Ejection ou éjection de masse coronale) :

Ce sont des perturbations du vent solaire (probablement dues à des phénomènes de magnétisme) souvent associées aux éruptions solaires. Elles modifient les caractéristiques du vent solaire, se déplacent à très grande vitesse et peuvent parcourir la distance Terre-Soleil en quelques jours (en général trois jours).

Il est toutefois possible d’anticiper l’arrivée de ce «mauvais temps solaire». En effet, les CME s’accompagnent d’une émission radio particulière produite par l’accélération des électrons du vent solaire. Ce signal radio voyageant plus vite que les particules, les astronautes ou les opérateurs de satellites disposent de quelques dizaines de minutes à quelques heures pour se préparer. Si des équipages sont un jour envoyés sur Mars, ils auront besoin d’un satellite de veille (ou de plusieurs) positionné entre eux et le Soleil afin de détecter ce genre de signal.

La quasi-totalité des CME émettant un signal radio se produit près des régions du Soleil alignées avec la Terre. Il est donc envisageable que les autres CME émettent également ce même genre de signal, mais que, pour des questions de positionnement, ils ne puissent pas être détectés depuis la Terre. À l’époque

d’Apollo, un réseau (SPAN, Solar Particle Alert Network) de surveillance et d’avertissement (7 stations d’observation et 6 satellites uniquement dédiés à cette tâche) a été installé autour du globe et était prêt à alerter les astronautes des événements solaires imminents (qui ne se sont jamais produits). Les astronautes auraient alors pu réorienter le vaisseau spatial, en interposant le Module de Service (la partie cylindrique accolée à la capsule) lourdement protégé (réservoirs de propergols, d’oxygène et d’hydrogène) entre eux et le rayonnement pénétrant des particules.

Ainsi, la dose de radiations reçue par l’équipage n’aurait sans doute pas été mortelle, néanmoins elle aurait pu constituer un danger pour leur santé.

 

Prenons l’exemple de la tempête solaire d’août 1972 qui s’est produite entre deux missions lunaires : l’équipage d’Apollo 16 était revenu sur Terre en avril et l’équipage d’Apollo 17 se préparait pour un alunissage en décembre. Selon Francis Cucinotta, scientifique en chef du programme sur l’étude du rayonnement spatial de la NASA, un astronaute pris dans cette tempête aurait pu absorber 4.000 millisieverts. Une dose mortelle ? «Pas nécessairement», juge-t-il. Un retour vers la Terre pour des soins médicaux adaptés aurait pu sauver la vie de l’infortuné. Certes, aucun astronaute ne va se promener sur la Lune (une combinaison spatiale n’a qu’une densité de 0,25 gr/cm², n’offrant que très peu de protection), quand il y a une tache solaire géante qui menace. «Ils vont rester à l’intérieur de leur vaisseau spatial» toujours selon Cucinotta. Un Module de Commande Apollo avec sa coque en aluminium aurait atténué les effets de la tempête de 1972 passant la dose de 4.000 millisieverts à moins de 350 millisieverts au niveau des organes hématopoïétiques de l’astronaute. Les organes hématopoïétiques sont des organes permettant la création et le renouvellement des cellules sanguines et sont chez l’adulte la moelle osseuse et le tissu lymphoïde (thymus, ganglions, rate et autres formations lymphoïdes). Ce sont des organes particulièrement sensibles aux rayonnements.

 

 

Les rayons cosmiques galactiques

Ce ne sont pas des ondes électromagnétiques, mais des flots de particules arrivant de l’espace (en dehors de notre système solaire), parfois à des vitesses

relativistes. Contrairement aux éruptions solaires, le rayonnement cosmique galactique est permanent et à peu près isotrope, c’est-à-dire qu’il est quasiment le même dans toutes les directions, ne privilégiant donc aucune source particulière. D’après des données obtenues via les sondes soviétiques au début des années 1960, leur densité varie de 2 à 4,5 particules/cm²/s. L’équipage est certes exposé à de très petites doses, mais de manière continue pendant toute la durée du vol.

La dose reçue dépend aussi de l’activité de notre étoile. Comme nous l’avons vu plus haut, l’atmosphère du Soleil laisse échapper en permanence un flux de particules qui remplit tout le milieu interplanétaire, que l’on appelle le vent solaire. Ses caractéristiques, notamment magnétiques, varient avec l’activité de notre étoile et induisent un champ qui écarte le rayonnement cosmique du système solaire. Par exemple, le rayonnement cosmique galactique atteignant la Terre est plus faible lorsque l’activité solaire est forte. La variation de la quantité de rayons cosmiques reçue par notre planète est approximativement de 20 % entre les maximum et minimum de l’activité solaire qui suit un cycle d’environ onze ans. Il est donc possible de prévoir sur plusieurs années l’exposition au rayonnement cosmique galactique.

Ce rayonnement est constitué essentiellement de noyaux atomiques, les nucléons, et de particules de haute énergie. Sa composition se répartit de la manière suivante : noyau d’hydrogène (protons) 85 % ; noyau d’hélium (particule alpha) 12,5 % ; noyau d’atomes plus lourds (fer, nickel) 1 % ; électrons 1,5 %. Une des manifestations du bombardement par les rayons cosmiques est le phénomène de flash lumineux, observé pour la première fois lors des missions Apollo. Lorsque des particules frappent leur rétine, les astronautes voient des éclairs lumineux, même les yeux fermés. Lors d’Apollo 11, Aldrin a ainsi noté un éclair par minute.

L’ALFMED (Apollo Light Flash Moving Emulsion Detector) était un dispositif électromécanique emporté sur Apollo 16 et 17 qui était posé sur la tête, un peu à la façon d’un casque. Il intégrait des émulsions sensibles aux radiations cosmiques disposées tout autour du crâne du cobaye. Un enregistrement des particules des rayonnements cosmiques qui passaient à travers les émulsions, et donc à travers la tête, était ainsi obtenu. La comparaison entre les émulsions mobiles et fixes apportait une précision du chronométrage des mesures de 1 seconde.

 

 

La mesure d’un blindage se fait en unités de densité, le gramme par cm². Plus le chiffre est important plus le blindage est efficace. La coque d’un Module de Commande Apollo (la capsule pour simplifier) était évaluée à 7 à 8 g/cm². Il faut savoir que les blindages plus denses (comme des feuilles

de plomb) provoquent la formation d’un rayonnement secondaire plus nocif que des blindages moins denses !

 

 

Si certains doutes encore, genre on ne savait rien sur l'environnement spatial dans les années 60 voici une liste qui prouve le contraire :

 

Février 1958 1 - Explorer 1: Périgée: 347 km Apogée: 1,859 km. Découverte d'une ceinture de radiations autour de la Terre.

1958 Mars 26 - Explorer 3: Périgée: 186 km Apogée: 2,799 km. données sur le rayonnement et les micrométéorites.

1958 Juillet 26 - Explorer 4: périgée: 257 km Apogée: 1,352 km. projet Argus élaboration d'une carte sur le rayonnement.

1958 Octobre 11 - Pioneer 1: Apogée 113854 km ................

Décembre 1958 6 - Pioneer 3: Apogée 102,332 km. Découverte de la seconde ceinture de radiations

1959 Février 17 - Vanguard 2: Périgée: 557 km Apogée: 3,049 km. Étude de la magnétosphère.

1959 Mars 3 - Pioneer 4: orbite lunaire (à l'origine) puis solaire. Mesure du rayonnement à proximité de la Lune.

1959 Août 7 - Explorer 6: Périgée: 245 km Apogée: 42,400 km. premières photos de la Terre en orbite, données sur le rayonnement.

1959 Septembre 18 - Vanguard 3: Périgée: 512 km Apogée: 3,413 km. données sur le rayonnement et les micrométéorites.

1959 Octobre 13 - Explorer 7: Périgée: 523 km Apogée: 857 km. données sur le champ magnétique et les éruptions solaires.

1960 Novembre 3 - Explorer 8: Périgée: 394 km Apogée: 1,331 km. Recherches sur l'ionosphère.

1960 Mars 11 - Pioneer 5: orbite solaire. élaboration d'une carte des champs magnétiques dans l'espace interplanétaire.

1961 Mars 25 - Explorer 10: Périgée: 221 km Apogée: 181,100 km. Données du champ magnétique.

1961 Avril 27 - Explorer 11: Périgée: 480 km Apogée: 1,458 km. données sur les rayons Gamma.

1961 Juin 29 - Injun 1: Périgée: 869 km Apogée: 992 km. Données sur le rayonnement.

1961 Août 16 - Explorer 12: Périgée: 790 km Apogée: 76,620 km. Radioprotection et de données sur les vents solaires.

1962 Août 27 - Mariner 2: orbite solaire, en passant par Venus. Renvois de données sur le rayonnement du vent solaire.

Octobre 1962 2 - Explorer 14: Périgée: 2,558 km Apogée: 96,229 km. Études de la magnétosphère.

1962 Octobre 27 - Explorer 15: Périgée: 306 km Apogée: 17,610 km. Données de décroissance rayonnement.

Décembre 1962 13 - Injun 3: Périgée: 240 km Apogée: 2,406 km. Données de décroissance rayonnement.

1963 Novembre 27 - Explorer 18: Périgée: 192 km Apogée: 197,616 km. Données sur le rayonnement interplanétaires.

1964 Août 25 - Explorer 20: Périgée: 857 km Apogée: 999 km. Recherches sur l'ionosphère.

1964 Octobre 4 - Explorer 21: Périgée: 191 km Apogée: 95,590 km. données sur le champ magnétique et le rayonnement.

1964 Octobre 10 - Explorer 22: Périgée: 872 km Apogée: 1,053 km. données Ionosphérique et géodésiques.

1964 Novembre 21 - Explorer 25: Périgée: 526 km Apogée: 2,319 km. Données sur le rayonnement.

1964 Novembre 28 - Mariner 4: orbite solaire, en passant par Mars. renvois de données sur le rayonnement et du vent solaire.

1964 Décembre 21 - Explorer 26: Périgée: 284 km Apogée: 10,043 km. Radioprotection et de données sur les vents solaires.

1965 Avril 29 - Explorer 27: Périgée: 932 km Apogée: 1,309 km. données Ionosphérique et géodésiques.

Mai 1965 29 - Explorateur 28: Périgée: 229 km Apogée: 261,206 km. données sur le champ magnétique, le rayonnement.

1965 Novembre 19 - Explorer 30: Périgée: 671 km Apogée: 856 km. Données sur le rayonnement solaire.

1965 Novembre 29 - Explorer 31: Périgée: 505 km Apogée: 2,833 km. Recherches sur l'ionosphère.

1965 16 Décembre - Pioneer 6: orbite solaire. Étude du vent solaire et du champ magnétique solaire.

1966 Juillet 1 - Explorer 33: Périgée: 265,679 km Apogée: 480,762 km. données du champ magnétique et du rayonnement.

1966 Août 17 - Pioneer 7: orbite solaire. Surveillance du vent solaire et des rayons cosmiques.

Mai 1967 24 - Explorer 34: Périgée: 242 km Apogée: 214,379 km. Données sur le rayonnement et le champ magnétique.

1967 Juin 14 - Mariner 5: orbite solaire, en passant par Venus. Retour de données sur le rayonnement renvoyé et le vent solaire.

1967 Juillet 19 - Explorer 35: orbite lunaire, Périgée: 484 km Apogée: 675 km. Mesures de la queue magnétique de la Terre.

Décembre 1967 13 - Pioneer 8: orbite solaire. Retour de données sur le rayonnement solaire.

 

 

 

(Arrêt de la conception du CSM Block II)

 

 

1968 Mars 5 - Explorer 37: Périgée: 353 km Apogée: 433 km. Données sur le rayonnement solaire.

1968 Août 8 - Explorer 40: Périgée: 679 km Apogée: 2,489 km. Données sur le rayonnement.

1968 Novembre 8 - Pioneer 9: orbite solaire. Retour de données sur le rayonnement solaire.

1969 Juin 21 - Explorer 41: Périgée: 80,374 km Apogée: 98,159 km. Données sur le rayonnement Cislunaire.

1971 Mars 13 - Explorer 43: Périgée: 1,845 km Apogée: 203,130 km. recherches sur la magnétosphère terrestre.

1971 Juillet 8 - Explorer 44: Périgée: 433 km (269 mi). Apogée: 632 km. Données sur le rayonnement solaire.

1971 Novembre 15 - Explorer 45: Périgée: 272 km Apogée: 18,149 km. étude de la magnétosphère, des particules énergétiques.

1972 Septembre 23 - Explorer 47: Périgée: 201,100 km Apogée: 235,600 km. étude du rayonnement cislunaire, de la magnétosphère terrestre du champ magnétique interplanétaire.

 

Que l'on ne vienne plus me dire que les américains ne savaient pas à quoi ils exposaient leurs astronautes et ne pouvaient pas élaborer et construire leur vaisseau en connaissance de cause!!!

Modifié par Apolloman
Posté

Apolloman, ta réponse est parfaite. C'est typiquement ce genre de réponse qui permet de construire un dialogue.

Posté (modifié)

Juste pour rire, je pensais à un argument qui me paraît convaincant.

 

Des gens doutent que les Américains aient marché sur la Lune. Ils pensent que les photos sont truquées, etc.

 

Mon argument, c'est de rappeler que les Américains étaient capables de marcher sur la Lune, donc pourquoi ne l'auraient-ils pas fait ? Parce qu'il y a eu un imprévu (comme pour Apollo 13) ? Oui mais il y a eu sept tentatives : de Apollo 11 à 17.

 

1) Vous estimez que les astronautes d'Apollo 11 n'ont pas marché sur la Lune, mais vous ne mettez pas en cause ce qui a précédé. Par exemple vous admettez que les astronautes d'Apollo 9 ont bel et bien tourné autour de la Lune à faible altitude et sont rentrés sains et saufs. Notez que les Américains ont franchi les étapes petit à petit, résolvant les problèmes les uns après les autres. D'abord s'affranchir de la pesanteur terrestre (première satellisation), puis traverser la ceinture de Van Allen, puis faire le voyage sur la Lune, puis emmener un astronaute jusque là, puis faire tout le trajet de la future mission lunaire, etc. Ils n'ont pas marché sur la Lune brusquement à partir de rien. Donc si vous admettez que tout ce qui précède est vrai, vous devez admettre que les Américains avaient franchi toutes les étapes à part la dernière. Alors pourquoi se seraient-ils arrêtés là ?

 

En fait, ce serait hallucinant :

- ils affichent leur volonté de marcher sur la Lune depuis dix ans ;

- ils montent un programme extrêmement coûteux dans le but de marcher sur la Lune ;

- ils franchissent les étapes une par une jusqu'à l'avant-dernière : tourner autour de la Lune à basse altitude et revenir ;

- les Soviétiques sont largués (leurs cosmonautes n'ont jamais dépassé l'atmosphère de la Terre) ;

- marcher sur la Lune serait un des événements les plus extraordinaires de l'histoire ;

 

et là, soudain, ils renoncent. Ou alors ils essaient, mais à sept reprises ça capote (d'Apollo 11 à 17) - c'est vraiment pas de bol... C'est comme le type qui aurait voué sa vie à tenter de gravire l'Everest, qui l'aurait fait méthodiquement en établissant des camps de base provisoires petit à petit, qui serait parfaitement équipé, qui aurait atteint l'avant-dernière étape, qui n'aurait plus que cent mètres à grimper, mais qui dirait « et puis non, je rentre à la maison ».

 

Ça ne tient pas debout.

 

2) Ou alors vous estimez que la duperie date d'avant Apollo 11. Dans ce cas, puisque les astronautes n'ont pas survolé la Lune à faible altitude (Apollo 9), effectivement il est moins surprenant qu'ils n'aient pas réussi à se poser dessus. Mais alors elle date de quand, la duperie ? Vous n'allez quand même pas nier tout le programme Apollo ? Il faut bien comprendre que tout ça s'est fait progressivement, donc si on admet une étape, il n'y a pas de raison de refuser l'étape suivante. La seule solution, c'est effectivement de tout nier en bloc. Le programme Apollo est une vaste fumisterie.

 

Les Américains auraient dépensé des milliards pour construire une vraie base, du vrai matériel, engager de vrais pilotes d'essai, et auraient passé dix ans à lancer de vraies fusées, etc. dans le seul but de faire croire aux gens qu'on va aller sur la Lune ? Je trouve débile d'imaginer qu'ils aient choisi de monter un faux projet quand il est possible, avec les mêmes moyens, d'aller sur la Lune pour de vrai.

 

Bref, il me paraît un million de fois plus cohérent d'imaginer qu'en fait tout est vrai. Aux gens qui doutent, je vous suggère de vous dire : ça se trouve, c'est moi qui n'ai pas tout compris.

 

(Quand je dis « un million », c'est façon de parler. D'ailleurs je devrais dire « un milliard », et encore.)

Modifié par 'Bruno
Posté

Bruno pareil, c'est une réponse qui va dans le sens du dialogue.

 

En ce qui me concerne je ne me sens pas visé par les "vous".

 

Donc je continue mes questions, lorsque l'on regarde des documentaires sur une soit disant duperie, il y a certains témoignages de personnes ayant travaille a la nasa , y compris des astronotes, qui soutiennent que ce qu'ils ont vu a la TV n'était pas une retransmission en direct de l'équipe apollo 11.

 

Ces personnes ne sont pas celles quelles prétendent être? Et si elles le sont, comment expliquer leurs dire?

Posté (modifié)
Limite en quel sens Smith?

 

Limite dans le sens où il te manque des connaissances basiques. Apparemment tu découvres seulement les photos de LRO, qui à mon sens sont des preuves qui auraient dû clore le débat auprès des gens doutant avec sincérité, ces photos ont déjà 5 ans...

Limite parce que s'agissant des photos d'Apollo 15, tu montres que tu n'as pas d'intuition en matière de perspectives. Tu devrais aller à la montagne, tu verrais qu'en marchant 2 km le paysage à 15 km ne change pas ou peu...(il t'arrive de quitter ton écran ?)

Limite parce que tu nous parles de Snowden alors qu'on parle d'Apollo, que nous parles aussi de la zone51, quel rapport ? Pas très rationnel comme démarche.

Limite parce que tu fais d'Apollo une nécessité pour les US pour affirmer leur puissance, alors qu'une analyse historique rudimentaire démontre le contraire.

Modifié par Smith
Posté (modifié)

Je reconnais sans soucis mon manque d'expérience et de connaissances technique.

 

Cependant ne pas me prendre comme le porte parole des conspirationnistes... J'ai précisé dès le départ que je me posais des questions sur ce sujet... Mon tord a donc été de m'avancer sur cette histoire de photo prise a deux reprises a deux endroits différents...

 

A aucun moment j'ai affirmé détenir la vérité, donc merci quand même de me replacer dans le bon contexte...

 

Pour le reste, effectivement je sors tant que je peux (problème de santé) mais afincde te rassurer je ne suis pas un ignorant arrogant...

 

J'ai franchement l'impression que c'est mon procès alors que je venais ici uniquement dans le but de discuter et d'apprendre sur ce sujet.

 

Édit : et en ce qui concerne la course a la conquête de la lune, une simple recherche sur wikipedia et on trouve quelques infos. Bon OK c'est wikipedia, mais cela ne sort pas de mon chapeau :)

Modifié par jojoguitar
Posté
Bruno pareil, c'est une réponse qui va dans le sens du dialogue.

 

En ce qui me concerne je ne me sens pas visé par les "vous".

 

Donc je continue mes questions, lorsque l'on regarde des documentaires sur une soit disant duperie, il y a certains témoignages de personnes ayant travaille a la nasa , y compris des astronotes, qui soutiennent que ce qu'ils ont vu a la TV n'était pas une retransmission en direct de l'équipe apollo 11.

 

Ces personnes ne sont pas celles quelles prétendent être? Et si elles le sont, comment expliquer leurs dire?

 

Modo mode OFUP : la n ième question de popov et d'autres avant sur les preuves ad hoc vues de toi reçoit réponse à ton prochain post ou tu sors en bon troll, par la peau des fesses. :)

Posté
Modo mode OFUP : la n ième question de popov et d'autres avant sur les preuves ad hoc vues de toi reçoit réponse à ton prochain post ou tu sors en bon troll, par la peau des fesses. :)

 

Désolé moderateur, mais je n'ai pas tout compris... :s

Posté (modifié)

Faudrait le fermer ce topic, c'est digne des feux de l'amour...

Tout le monde a raison, fin de l'histoire.

Modifié par Ahenima
J'ai oublié de faire caca...
Posté
Désolé moderateur, mais je n'ai pas tout compris... :s

 

on reprend : tu réponds à cette question (question qui t'a été posée au moins 3 fois dans le fil et que tu éludes systématiquement) précisément et sans taper à coté ni poser d'autres questions

Tu n'as pas répondu Jojoguitar,

qu'est ce qui serait une preuve valable à tes yeux ?

 

et la discussion se poursuivra sereinement avec l'ensemble de ses participants... :)

Posté
Faudrait le fermer ce topic, c'est digne des feux de l'amour...

Tout le monde a raison, fin de l'histoire.

 

Tant qu'il n'y a pas d'irrespect et cest constructif, je ne vois pas le mal... Y'en a qui aiment les feux de l'amour :)

Posté
on reprend : tu réponds à cette question (question qui t'a été posée au moins 3 fois dans le fil et que tu éludes systématiquement) précisément et sans taper à coté ni poser d'autres questions et la discussion se poursuivra sereinement avec l'ensemble de ses participants... :)

 

Je pensais a des réponses comme celles formulées par Bruno par exemple.

 

Les avancées en matière de technologie et les progrès fais dans la conception de véhicules spatiaux.

 

Il est évident que d'un certains point de vue les thèses conspirationnistes sont abracadabrantesque...

Posté

Les avancées en matière de technologie et les progrès fais dans la conception de véhicules spatiaux.

Et selon quels critères précis et explicites pour chacun, que les autres participants puisent t'apporter des éléments objectifs ? :)

Posté
Et selon quels critères précis et explicites pour chacun, que les autres participants puisent t'apporter des éléments objectifs ? :)

 

Notamment les blindages contre les radiations, les méthodes de franchissement de la ceinte de van Halen. Ce sont des questions qui sont souvent posées par les personnes dubitatives.

 

Je répète : je ne suis l'avocat de personne. J'ai une opinion basées sur les information (ou désinformation) vue ici et là. Ce genre de précisions devraient être systématiques et prises en compte par les dubitatifs. Celle fi n'est pas fixe et a tendance a évoluer avec les réponses adéquates...

 

C'est assez précis et objectif ?

Posté
Tant qu'il n'y a pas d'irrespect et cest constructif, je ne vois pas le mal... Y'en a qui aiment les feux de l'amour :)

 

 

 

A ta place, j'éviterai les palabres si tu ne veux pas te faire définitivement jarter.

Posté
Notamment les blindages contre les radiations, les méthodes de franchissement de la ceinte de van Halen. Ce sont des questions qui sont souvent posées par les personnes dubitatives.

 

Je répète : je ne suis l'avocat de personne. J'ai une opinion basées sur les information (ou désinformation) vue ici et là. Ce genre de précisions devraient être systématiques et prises en compte par les dubitatifs. Celle fi n'est pas fixe et a tendance a évoluer avec les réponses adéquates...

 

C'est assez précis et objectif ?

 

Tes contradicteurs peuvent maintenant t'apporter des réponses que tu auras tout loisir d'apprécier objectivement, c'est à eux maintenant. :)

Posté
A ta place, j'éviterai les palabres si tu ne veux pas te faire définitivement jarter.

 

Mais tu n'es pas a ma place.

 

Je venais ici afin de discuter et d'avoir des réponses de personnes maitrisant le sujet, et je me fais limite lyncher, et reprendre a l'ordre comme un malpropre.

 

Je suivrais le post sans intervention a l'avenir.

 

Merci à ceux qui m'ont éclairés.

Posté (modifié)
Notamment les blindages contre les radiations, les méthodes de franchissement de la ceinte de van Halen. Ce sont des questions qui sont souvent posées par les personnes dubitatives.

 

Déjà répondu sur le sujet des blindages et sur la traversé des ceintures de Van Allen!

 

résumé :

 

D’après des calculs théoriques et les informations de l’époque, un blindage en alliage d’aluminium de 1 gr/cm² suffisait à absorber complètement les électrons.

 

 

La mesure d’un blindage se fait en unités de densité, le gramme par cm². Plus le chiffre est important plus le blindage est efficace. La coque d’un Module de Commande Apollo (la capsule pour simplifier) était évaluée à 7 à 8 g/cm². Il faut savoir que les blindages plus denses (comme des feuilles

de plomb) provoquent la formation d’un rayonnement secondaire plus nocif que des blindages moins denses !

 

 

 

 

 

PS : Van Allen et non Van Hallen

Modifié par Apolloman
Posté (modifié)

A ne pas confondre non plus avec Eddie Van Halen of course

 

Modifié par Bison
Invité
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