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Les pipelettes du sujet

Les pipelettes du sujet

Posté (modifié)

Voir les commentaires d'Eric Simon à la suite de l'article.

Modifié par Fred_76
Posté

Il complètent l'article et apportent surtout plein de nouvelles infos qui permettent de mieux comprendre l'article.

Posté
Merci. C'est en effet très intéressant.

 

P.S pour NGC2623 : le Dr Eric Simon annonce régulièrement ici les nouveaux billets de son blog.

 

Si je peux me permettre, ce ne sont pas mes commentaires qui sont intéressants, mais surtout ceux de l'auteur des articles en question, Stéphane Le Corre, qui est venu sur le blog pour répondre lui-même aux questions qui sont apparues... :rolleyes:

Posté

Oui, mais c'est toi qui posait la plupart les questions... ou suggérait des axes d'étude ;)

Posté
Si je peux me permettre, ce ne sont pas mes commentaires qui sont intéressants, mais surtout ceux de l'auteur des articles en question, Stéphane Le Corre, qui est venu sur le blog pour répondre lui-même aux questions qui sont apparues... :rolleyes:

 

 

Oui, j'avais vu et il m'a impressionné : compétent, ouvert, humble...

Posté (modifié)
Voilà un article passionnant publié sur un blog que je trouve génial e tque je vous invite à consulter régulièrement!

 

http://www.ca-se-passe-la-haut.fr/2015/03/matiere-noire-et-energie-noire-de-purs_13.html

 

D'après un chercheur (amateur?) français, la matière noire et l'énergie sombre pourraient tout simplement ne pas exister et être de pure produits de la RG...:be::be::be:

 

Excellent, enfin une solution alternative qui tient la route.

 

- il serait interessant de mesurer les vitesses des galaxies isolées, pour voir si le comportement est différent ou pas des autres. On a des données là dessus?

Modifié par olivdeso
Posté

@ pascal_meheut: Ok je ne savais pas. Je trouvais que cette info méritait largement d'être diffusée et je n'avais vu aucun message ici!

 

@Dr Eric Simon: merci pour ton site, il est génial!

Posté

Très subtil , merci doc pour l'info :)

Les développements en champ faible de la RG datent pas mal (ondes gravitationnelles), c'est intéressant de voir qu'il subsiste finalement encore des pistes à explorer :)

 

Y a t il eu des réactions "officielles", ça recadre certains paradigme assez fortement quand même... ?

Posté
@ pascal_meheut: Ok je ne savais pas. Je trouvais que cette info méritait largement d'être diffusée et je n'avais vu aucun message ici!

 

Oui, c'était juste pour te donner une info mais tu as bien raison d'avoir diffusé et je t'en suis reconnaissant.

Posté

Y a t il eu des réactions "officielles", ça recadre certains paradigme assez fortement quand même... ?

 

Oui. Ca fait penser à un employé du bureau des brevets qui publie son article...

Maintenant, il faut effectivement voir si cela tient la route.

Posté (modifié)

Je vais suivre les développements à venir avec attention car la solution proposée semble élégante.

 

Le postulat de départ de la masse gravitationnelle négative de l'antimatière est assez déconcertant, bien que n'étant pas extravagant - a priori tout est possible ! :)

 

J'ai imprimé les 2 papiers et vais tenter de lire ça rapidement, même si je ne suis pas certain de pouvoir tout suivre/comprendre...

 

Une chose me dérange un peu après la simple lecture du résumé d'Eric Simon et des représentations de l'auteur destinées à justifier de l'explication apportée, à savoir que notre univers serait entouré par des univers d'antimatière (des anti-univers ?).

 

-TITmXRFMowuTUT20pmmWzl72eJkfbmt4t8yenImKBVvK0kTmF0xjctABnaLJIm9

 

Dans le schéma, notre univers est représenté comme fini et un espace "vide" existe entre notre univers les anti-univers.

 

J'imagine que l'auteur aborde ce point et qu'il ne s'agit que d'une représentation simplifiée, mais comment concilier un univers potentiellement infini avec l'inluence d'autres univers ? Cette interaction est-elle censée se propager au travers du "vide" entre les différents univers (auquel cas il ne s'agit pas réellement de "vide") ?

 

Dans la théorie des multivers, on envisage que les lois et les constantes physiques ne soient pas les mêmes d'un univers à l'autre... est-ce toujours possible ici si l'on envisage d'en déduire des interactions et d'en prédire les effets ?

 

jb

Modifié par Jean-Baptiste_Paris
Posté
J

Dans le schéma, notre univers est représenté comme fini et un espace "vide" existe entre notre univers les anti-univers.

 

J'imagine que l'auteur aborde ce point et qu'il ne s'agit que d'une représentation simplifiée, mais comment concilier un univers potentiellement infini avec l'inluence d'autres univers ? Cette interaction est-elle censée se propager au travers du "vide" entre les différents univers (auquel cas il ne s'agit pas réellement de "vide") ?

 

C'est le même vide qui celui qui existe entre les galaxies si j'ai bien compris et ce qui se propage est simplement la gravité.

 

J

Dans la théorie des multivers, on envisage que les lois et les constantes physiques ne soient pas les mêmes d'un univers à l'autre... est-ce toujours possible ici si l'on envisage d'en déduire des interactions et d'en prédire les effets ?

 

Ce n'est pas du tout la même chose : ici, on parle d'un seul Univers avec les mêmes lois physiques mais qui contient des "ilots" de matière et d'autres d'anti-matière.

Ces "ilots" sont immenses ceci dit, plus grands que notre horizon d'observation.

 

Bon, je peux me tromper mais c'est ce que j'ai compris.

Posté

J'ai compris ça comme pascal_meheut, je ne pense pas qu'il s'agisse d'autres univers au sens strict mais plutôt de régions de notre Univers, ce qui pourrait peut être correspondre à l'observation de gigantesques "bulles" de vide délimitées par les filaments dans lesquels se répartissent les galaxies.

 

 

comment concilier un univers potentiellement infini avec l'inluence d'autres univers ?

jb

On peut l'envisager en considérant notre Univers plongé dans un espace de dimension supérieur par exemple. Les différents univers pourraient alors flotter en parallèle comme des feuilles de papier infiniment grandes. C'est, je crois, le cas des Branes en théorie des cordes.

Reste à savoir ce qu'est cette "espace de dimension supérieur! ;-)

Posté

Si la théorie est "bulet proof" (résiste à l'amas du boulet) alors là ça deviendra très serrieux.

 

La "masse négative" de l'antimatière me parrait une très bonne piste, car si elle était positive, on n'existerait probablement pas...

Posté
Si la théorie est "bulet proof" (résiste à l'amas du boulet) alors là ça deviendra très serrieux.

 

:be::be::be:

 

La "masse négative" de l'antimatière me parrait une très bonne piste, car si elle était positive, on n'existerait probablement pas...

 

Pourquoi on n'existerait probablement pas si la masse de l'antimatière n'était pas négative?

Il me semble que dans le modèle "mainstream" la masse de l'antimatière est positive ce qui, je crois, est à l'origine d'une brisure de symétrie problématique à justifier.

Posté
Oui. Ca fait penser à un employé du bureau des brevets qui publie son article...

Maintenant, il faut effectivement voir si cela tient la route.

 

+1

 

Quelle belle histoire ça ferait ... Pour le reste, va falloir que je révise un peu, mais ce que j'en retiens est très excitant ...

 

Merci à Dr Eric Simon au passage.

Posté
+1

 

Quelle belle histoire ça ferait ... Pour le reste, va falloir que je révise un peu, mais ce que j'en retiens est très excitant ...

 

Merci à Dr Eric Simon au passage.

 

Ne nous emballons pas trop vite quand-même... :cool:

 

Alors, je vais recopier ce que j'ai mis en commentaire sur Ça Se Passe Là-haut en réponse à cette question :rolleyes::

 

Mon petit schéma est bien évidemment simplifié! Ce que je comprends c'est une séparation entre zones matière et zones antimatière au sein d'un même ensemble mais qui ont chacune leur propre taux d'expansion (ces zones sont apparues ensemble dans un unique big bang). La meilleure image est peut-être celle d'une mousse pleine de bulles...

Posté
Ne nous emballons pas trop vite quand-même... :cool:

 

Alors, je vais recopier ce que j'ai mis en commentaire sur Ça Se Passe Là-haut en réponse à cette question :rolleyes::

 

Mon petit schéma est bien évidemment simplifié! Ce que je comprends c'est une séparation entre zones matière et zones antimatière au sein d'un même ensemble mais qui ont chacune leur propre taux d'expansion (ces zones sont apparues ensemble dans un unique big bang). La meilleure image est peut-être celle d'une mousse pleine de bulles...

 

Bonsoir,

 

Donc cette théorie,est pour le modèle le plus commun ,celui du big bang ?

Posté (modifié)
:be::be::be:

 

 

 

Pourquoi on n'existerait probablement pas si la masse de l'antimatière n'était pas négative?

Il me semble que dans le modèle "mainstream" la masse de l'antimatière est positive ce qui, je crois, est à l'origine d'une brisure de symétrie problématique à justifier.

 

à l'intuition, je me dis que si n'y a pas un effet répulsif entre les deux quelque part, il y a recombinaison très (trop) rapide et donc big crunch très rapidement.

 

On a parlé de mousse ci dessus, je vois ça comme une émulsion, une mayonnaise : quand ça retombe ça fini pa se séparer.

Modifié par olivdeso
Posté
Yep, toujours un bon vieux big bang inflationnaire.

 

Merci pour ta réponse.:)

 

J'ai lu l'interview,vraiment top.

 

Il semble que ça soit très compliqué de proposer de "nouvelles idées" même prévues:

 

Comités de lecture,passage dans certaines revues...

Le protocole avant d'arriver à être entendu semble un parcours compliqué.

Posté

Comités de lecture,passage dans certaines revues...

Le protocole avant d'arriver à être entendu semble un parcours compliqué.

 

Oui ça l'est, particulièrement dans ce domaine!

En général quand tu as de nouvelles idées/résultats, tu dois écrire un article, soit pour le présenter à une conférence, soit pour un journal. Tu l'envoies à un comité de relecture qui l'envoie à plusieurs spécialistes du domaine qui doivent juger de la qualité scientifique du travail, de la nouveauté de la contribution etc. Soit ton papier est rejeté, soit il est accepté avec plus ou moins de modifications/suggestions.

Après selon l'endroit où tu veux publier c'est plus ou moins un processus itératif avec des modifications obligatoires ou conseillées.

C'est d'autant plus facile d'être publié que tu bosses dans un domaine "à la mode" et que ta contribution plaît au relecteur. C'est malheureux mais il y a toujours une petite part de psychologie qui joue. Si tu arrives avec un papier bourré d'idées complètement nouvelles qui jette à la poubelle le travail de 20ans de recherches, ce sera forcément plus difficile d'être accepté, à moins d'avoir des preuves ou à défaut des faisceaux d'indices conséquents qui te donnent raison! Si tu veux bouleverser les manières de penser, faut le justifier sérieusement et ça se comprends bien!

 

Ensuite quand tu as franchi ces étapes, ton article est publié...et là ça dépend de chacun. Si personne ne s'intéresse à ce que tu fais ton boulot peut très bien passer inaperçu, même s'il est génial. Aujourd'hui tu as des milliers de papiers publiés chaque année dans un domaine, c'est très facile de disparaître sous le flot des contributions.

C'est d'autant plus difficile que personne ne te connaît. Quand tu travailles dans un labo qui publie beaucoup, tu as souvent plus de visibilité.

Et comme malheureusement les crédits alloués à la recherche sont proportionnels au nombre de publication (la recherche de rentabilité frappe aussi ce domaine malheureusement) il y a d'autant plus de papiers publiés chaque année qui présentent des contributions mineurs et qui ajoutent à la quantité d'information à traiter pour les chercheurs. Le problème des articles c'est que tu ne réalise souvent leur intérêt que quand tu as fini de le lire...

 

 

Et puis il faut aussi garder une chose en tête, c'est tout simplement que personne ne sait! Dans la recherche on est à la pointe du savoir et souvent on manque de recule pour juger si une idée est vraiment bonne. C'est aussi pour ça que le comité de relecture est composé de plusieurs chercheur et pas un seul.

Sur ce sujet c'est intéressant de voir comment les idées de Hugh Everett sur l'interpretation de la mécanique quantique ont été reçu très froidement à l'époque et comment aujourd'hui elles reviennent sur le devant de la scène avec les théories des multivers!

Posté
Oui ça l'est, particulièrement dans ce domaine!

En général quand tu as de nouvelles idées/résultats, tu dois écrire un article, soit pour le présenter à une conférence, soit pour un journal. Tu l'envoies à un comité de relecture qui l'envoie à plusieurs spécialistes du domaine qui doivent juger de la qualité scientifique du travail, de la nouveauté de la contribution etc. Soit ton papier est rejeté, soit il est accepté avec plus ou moins de modifications/suggestions.

Après selon l'endroit où tu veux publier c'est plus ou moins un processus itératif avec des modifications obligatoires ou conseillées.

C'est d'autant plus facile d'être publié que tu bosses dans un domaine "à la mode" et que ta contribution plaît au relecteur. C'est malheureux mais il y a toujours une petite part de psychologie qui joue. Si tu arrives avec un papier bourré d'idées complètement nouvelles qui jette à la poubelle le travail de 20ans de recherches, ce sera forcément plus difficile d'être accepté, à moins d'avoir des preuves ou à défaut des faisceaux d'indices conséquents qui te donnent raison! Si tu veux bouleverser les manières de penser, faut le justifier sérieusement et ça se comprends bien!

 

Ensuite quand tu as franchi ces étapes, ton article est publié...et là ça dépend de chacun. Si personne ne s'intéresse à ce que tu fais ton boulot peut très bien passer inaperçu, même s'il est génial. Aujourd'hui tu as des milliers de papiers publiés chaque année dans un domaine, c'est très facile de disparaître sous le flot des contributions.

C'est d'autant plus difficile que personne ne te connaît. Quand tu travailles dans un labo qui publie beaucoup, tu as souvent plus de visibilité.

Et comme malheureusement les crédits alloués à la recherche sont proportionnels au nombre de publication (la recherche de rentabilité frappe aussi ce domaine malheureusement) il y a d'autant plus de papiers publiés chaque année qui présentent des contributions mineurs et qui ajoutent à la quantité d'information à traiter pour les chercheurs. Le problème des articles c'est que tu ne réalise souvent leur intérêt que quand tu as fini de le lire...

 

 

Et puis il faut aussi garder une chose en tête, c'est tout simplement que personne ne sait! Dans la recherche on est à la pointe du savoir et souvent on manque de recule pour juger si une idée est vraiment bonne. C'est aussi pour ça que le comité de relecture est composé de plusieurs chercheur et pas un seul.

Sur ce sujet c'est intéressant de voir comment les idées de Hugh Everett sur l'interpretation de la mécanique quantique ont été reçu très froidement à l'époque et comment aujourd'hui elles reviennent sur le devant de la scène avec les théories des multivers!

 

Bonsoir.

 

Merci pour cette information intéressante.

 

J’ai écrit toute une page perdu, alors je fais court.

Tout cela ressemble à un parcours à handicap.

Pour percer faut persévérer encore plus….

 

On peut imaginer aussi,que le chemin à parcourir n’est pas pavé que de bonnes intentions.

Je ne connais pas les idées de Hugh Everett, as-tu STP un lien ?

Posté

Oui c'est pas évident mais si tu es bon, en général tu fais de bonnes études, donc tu arrives naturellement à faire une thèse dans un bon labo et tu bénéficies de l'aide de tes encadrants (en théorie ;-) ). Après les opportunités jouent beaucoup, mais ça c'est comme partout! Ce système permet quand même de filtrer les individus qui pensent avoir découvert qu'Einstein se trompe un soir en faisant leur mots croisés, ceux qui savent mieux que tout le monde parce que E.T. a débarqué un soir dans leur tête et leur a dicté un milliard de nouveau commandement, ou tous les "génies" qui pensent avoir compris en 5minutes pourquoi les 100000 esprits les plus brillants du monde qui les ont précédés sont des imbéciles... Mais bon comme tous les systèmes inventés par l'Homme il est perfectible, subit les assauts de l'ego surdimensionné de certains, de l'incompétence d'autres et souffre des limites du savoir de tous. Disons que c'est probablement le moins mauvais système....

 

En mécanique quantique un objet n'est pas dans un état particulier, comme à l’échelle macroscopique, mais dans une superposition d'états. C'est ce qu'illustre le célèbre exemple du chat de Schrödinger, à la fois mort et vivant. C'est la mesure qui détermine l'état d'un objets quantique. En gros quand tu ouvres la boite, le chat devient mort ou vivant alors qu'avant il était les deux à la fois. Ce phénomène, qu'on appelle l’effondrement de la fonction d'onde, est très mal expliqué par la théorie. Cette opération est mathématiquement très mal défini. Everett a eu l'idée de dire qu'en fait quand on réalise une mesure, l'univers se sépare en plusieurs, chaque état évoluant dans un nouvel univers. C'est un peu bizarre dit comme ça mais c'est l'idée. En gros d'après lui, il y aurais une multitude d'univers parallèles qui rendraient compte de toute les possibilités d'existence en parallèle. Par exemple dans un univers le chat est vivant, dans l'autre non.

Je n'ai pas vraiment de lien là-dessus mais je suis sur que wiki est un bon point de départ. Par contre je conseille vivement la lecture du livre de Brian Greene "La réalité cachée" ou celui de Max Tegmark "Our mathematica Univers" (Je crois qu'il existe en Français). Ils présentent bien les différents concepts de multivers.

Posté
Oui c'est pas évident mais ....

 

 

Everett a eu l'idée de dire qu'en fait quand on réalise une mesure, l'univers se sépare en plusieurs, chaque état évoluant dans un nouvel univers. C'est un peu bizarre dit comme ça mais c'est l'idée. .

En effet le côté bizarre est pour compliquer.

 

Éric Simon nous dit malgré notre enthousiasme pour ce que propose Stéphane Le Corre: <<Ne nous emballons pas trop vite quand-même...>>

 

D'après la critique y'aurait des trucs à peaufiner.

 

Mais sinon, combien de temps à attendre ?

__________________

  • 1 mois plus tard...
Posté

Je me permets de m'introduire ici dans l'espoir de ne pas trop "brouiller les cartes".

 

Dans la page du site dont le lien fut donné lors du premier commentaire, j'ai relevé quelques phrases sur lesquelles j’achoppe un peu:

 

"« …le champ gravitationnel agit entre les masses comme le champ électrique entre les charges et un champ gravitique apparaît lorsque des masses se meuvent dans l'espace,… »

 

Ce qui laisse entendre assez clairement que la gravitation n’est pas « universelle » mais « locale » et se limite à ce "champ gravitique".

 

« La seule hypothèse que fait Stéphane Le Corre est ici que les galaxies doivent se trouver au sein d'amas de galaxies, or c'est ce qui est observé dans la très grande majorité des cas. Il n'existe pas ou très peu de galaxies isolées. »

 

Donc, il en existe et le « doivent » est éliminé ce qui entraîne l’explication avec lui.

 

Au sujet des étoiles au pourtour d’une galaxie, il est à remarquer que la vitesse de ces étoiles est identique sur une grande distance vers le centre de la galaxie. Ce qui indique que la « déformation spatiale » de cette distance est d’une intensité identique.

 

Cela nous indique également qu’à partir d’une certaine distance du centre galactique, la « courbure » de la géométrie de son espace semble s’établit par paliers successifs. Ce qui n'est pas le cas lorsqu'on se rapproche trop du centre de gravité de la galaxie.

 

Car on sait bien que, depuis la relativité générale, il n’y a plus de lien entre ces étoiles du pourtour et le centre galactique. L’effet centripète de Newton qu’il appelait une « force », est irréel et c’est plutôt l’effet centrifuge dont on se sert pour choisir l’emplacement du lancement de fusée spatiale (le plus près de l’équateur possible) qui est réel.

 

Cette réalité d'absence d'effet centripète touche énormément de « sujets » astrophysiques dont, entre autre : la notion de « densité critique » de l’univers. La matière n’attire pas la matière; donc ne peut pas avoir d’effet sur la courbure de l’univers. C’est quand même heureux puisque l’univers est prouvé « plat » par le satellite Planck. Ouf!

 

Quant à « l’accélération de l’expansion universelle, alors là…

 

Au départ pour se servir de quasars (c’est-à-dire : un objet matériel) pour vérifier la vitesse de l’expansion de l’univers il faut absolument croire que le Big bang fut une « dispersion » (ou une explosion) de matière quand, en réalité ce fut plutôt une production d’espace-temps dans tous les sens et toutes les directions.

 

En fait ce fut simplement le début de l’expansion de l’univers. Donc rien n’indique que la matière ait pu atteindre cette vitesse de l’expansion de l’espace-temps; et les quasars qui servent de référentiels ne peuvent pas être adéquats. D’ailleurs l’énergie de masse de ces quasars les empêche assurément d’accéder à la même vitesse que celle de l’espace-temps qui lui n’a pas de masse, puisque l’énergie de masse est limitée à la matière.

 

Ce qui ne veut pas dire que les quasars en question n’augmentent pas de vitesse; mais cela ne prouve pas du tout, à mon sens, que l’expansion universelle accélère.

 

Amicalement

 

André Lefebvre

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