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createur de bugg: pourquoi pg serai meilleur que ps? bon okay on a les "classement des ensi" mais... regarde un peu les master recherches qui en decoulent et tu verra que ps est mieu! (seul defaut la nouvelle directrice des etudes est tres severe donc ce n'est pas/plus une ecole ou on ne fait que la fete)

supaero est geniale pour l'aeronautique, moins pour l'astrophysique (j'ai regardé les master recherche avant de choisir mon ecole)

 

astrofan: je fait de la pub pour mon ecole mais pour les master de fou c'est a strasb' desolee pour pg et les autres ecoles mieu "cotée"

 

mais bon apres si tu penses ne pas aller jusqu'au bout dans l'astro et la recherche il vaux mieux pg c'est une valeur sur (un ecole bien cotee quoi) bon on reglera ca au tie (tu saura ce que c'est si tu choisi une ccp) ! ;)

 

je trouve vos parcour tres interessant, c'est simpa de voir des differences!

 

edit: ps et pg sont les abreviation pour 2 écoles d'ingenieurs qui se concurencent, désolée pour mes fautes d'orthographes.

  • 2 mois plus tard...
Posté

Salut

Attiré par l'astro depuiss mon enfance, je me destinais à l'astrophysique, mais les perspectives d'embauche m'ont poussées à m'engager dans l'aero.

Bac S

Puis prépa PCSI enchainée par une PC

Enfin école d'ingénieur ENSMA qui j'espère me permettra de travailler dans l'aérospatiale.

Posté
si ca n'est pas indiscret (de toute facon c'est un forum personne n'est obligé de repondre :D) j'aimerai bien savoir quels sont vos parcours, quelles etudes vous avez faites dans quelles ecoles, si vous avez galéré encour ou si tout etait facile,combien d'années il vous reste, si vous avez reussi et ce que vous esperez encore reussir.

 

Bonjour Silentblue, bonjour à tous et à toutes.

 

Avertissement : si vous n'aimez que les réponses courtes truffées d'abréviations (style "texto" ou "SMS"), alors NE LISEZ SURTOUT PAS CE QUI VA SUIVRE ET PASSEZ DIRECTEMENT AU MESSAGE SUIVANT ; merci.

 

Sinon, pour les autres, je veux dire que Silentblue a eu là une EXCELLENTE IDÉE, en lisant les parcours (ô combien variés) des uns et des autres j'ai pu mieux comprendre pourquoi telle ou telle personne réagissait comme ceci plutôt que comme cela.

 

Je vais d'abord me situer, en général, avant d'aborder mon parcours scolaire, puis professionnel, et enfin dire pourquoi je m'intéresse à l'astronomie.

 

Je suis né à Antony, huit kilomètres au sud de Paris, le 12 septembre 1949 (j'ai donc 57 ans) d'une maman, très âgée pour l'époque puisq'elle avait 39 ans (née en 1910) ; et ma maman avait été élevée principalement par sa grand-mère née en 1832 (elle lui parlait souvent de la fuite des habitants d'Antony pour se réfugier derrières les fortifications de Paris en octobre 1870 lors de l'avance prusienne jusqu'aux portes de la capitale). C'est vous dire que ce que vous avez pu lire dans les livres d'histoire contemporaine j'ai eu la chance de pouvoir l'entendre quasiment en "live" par ma maman dans ma jeunesse. Ayant eu le grand malheur de perdre mon papa le 13 avril 1956 (j'avais donc six ans et demi seulement) j'écoutais religieusement les "cours" d'histoire contemporaine telle que ma maman l'avait vécue.

 

Mon parcours scolaire ? Si j'employais la terminologie d'aujourd'hui je dirais "bac moins deux" (puisque je n'ai pas été au-delà de la Seconde). A l'époque au-delà de la Seconde il y avait la Première où on passait la première partie du "bachot", puis enfin la Terminale où on passait la deuxième partie du baccalauréat. Il n'y avait à l'époque pas de lettres pour désigner le bac, mais trois qualificatifs :

* le bac "philo" (le bac littéraire), alors très prestigieux ;

* le bac "sciences-ex" (scientifique), plus anecdotique ;

* enfin le bac "mathélem" (matheux comme vous pouvez le deviner), sans doute le plus prestigieux !...

 

Dans les années soixante, durant lesquelles j'étais à l'école, mes "Maîtres d'école" (car on n'employait pas l'expression d'instituteur ou de professeur) étaient des gens vénérés. Et si par malheur on avait pris une gifle en classe par le "Maître" (ce qui ne m'est jamais arrivé) on était sûr à la maison d'en prendre une deuxième, car pour tous les parents de cette période "le Maître avait toujours raison". Quand j'entends aujourd'hui qu'un enseignant (et même pire une enseignante !…) a été roué de coups à la sortie des cours par les grands-frères ou même les parents d'un élève rabroué en classe, je me dis : « pauvre France !… ». Je précise qu'à cette époque on ne connaissais même pas le prénom des enseignants, on disait « Je suis en cours avec Monsieur Chose (ou Madame Chaussettte) » et c'était tout. Demander le prénom d'une Maîtresse ou d'un Maître aurait semblé être d'une incorrection absolue…

 

Ensignaient-ils mieux que les profs d'aujpurd'hui ? Sûrement pas… Ils enseignaient… autrement. Leur but était que les "mioches" qu'on leur avait confié sachent au terme de leur parcours scolaire :

* lire ;

* écrire ;

* compter.

C'était donc encore la devise des "hussards noirs de la République".

 

Avec le temps je leur reproche toutefois deux choses :

* de n'avoir jamais expliqué aux gamins de mon âge pourquoi il fallait apprendre à l'école ; tout au plus étaient-ils fiers de dire que l'école ÉTAIT OBLIGATOIRE !!!… Ils avaient donc la mentalité (je vais sans doute choquer celles et ceux d'entre vous qui sont enfants d'enseignants ou même enseignants eux-même, désolé…) DES ADJUDANTS DE L'ARMÉE FRANCAISE DU TEMPS DU SERVICE MILITAIRE OBLIGATOIRE…

* de ne jamais évoquer le monde du travail. Mes années de scolarité (sauf de savoir un peu lire, écrire et compter) ne m'ont absolument pas préparé au monde du travail. Monde qui d'ailleurs leur était totalement étranger…

 

Bien entendu (mais faut-il le préciser ?), c'était bien avant la désastreuse réforme de l'école d'après 1968…

 

Ma seule chance c'est d'avoir été confronté (avec tous les jeunes de mon âge) à une première sélection : l'examen d'entrée en sixième !… Je crois que beaucoup l'ignorent ou l'ont oublié, mais pour avoir le droit de passer de la septième (c'est ainsi qu'on nommait alors le CM2) à la sixième il fallait passer un examen assez difficile. Ceux qui échouaient allaient alors dans les tristes classes des "cours complémentaires" où en deux ans (le temps d'attendre l'âge fatidique de seize ans et la fin de la scolarité obligatoire [mais en réalité il y avait plein de moyens de ruser et de pouvoir quitter légalement l'école à quinze, voire quatrorze ans ; il fallait simplement fournir une attestation d'un employeur comme quoi il prenait le jeune en apprentissage]) les maîtres leur fournissaient enfin un enseignement adapté au futur monde du travail. Ce n'était toutefois pas le "goulag" car ces élèves des cours complémentaires étaient vivement invité à passer le "certif" en 1ère année, et certains (très rares il est vrai) parvenaient à reprendre pied dans le système éducatif normal en quatrième.

 

La deuxième épreuve de sélection (en sixième) a été de passer et de réussir le CEP (Certificat d'études Primaires), diplôme dont je suis le plus fier car il me permettait d'avoir la considération des Anciens pour qui celui qui avait le "certif" était quelqu'un d'assez instruit. Mais le "certif" m'a semblé beaucoup plus facile que l'examen d'entrée en sixième.

 

La troisième épreuve de sélection (à la fin de la Troisième) a été de passer le BEPC (Brevet d'Études du Premier Cycle), et là encore il m'a semblé moins difficile que le "certif".

 

Tout ça m'a donc naturellement préparé à affronter les autres dans la vie active, et aux PTT j'ai passé natuturellement et sans trop de difficultés des concours pour tenter de m'élever socialement [et pécuniairement] : d'abord simple auxiliare au tri manuel, j'ai passé un concours d'agent d'exploitation des PTT (niveau brevet), puis de contrôleur des PTT (niveau bac), puis d'Inspecteur des PTT (niveau licence) et enfin d'Inspecteur Principal des PTT (niveau licence plus je ne sais combien…). Eh bien, toutes mes réussites à ces concours ce n'est pas à l'Éducation Nationale que je les dois…

 

Et l'astronomie dans tout ça ?

 

Ma passion pour tout ce qui touche le ciel je le dois à ma maman… En tant qu'agricultrice elle avait l'habitude d'observer les étoiles brillantes à la nuit tombante et dans le petit matin et mettait un point d'honneur à reconnaître le dessin de certaines constellations. Sa "bible" était un viel exemplaire de l'Almanach Hachette de 1938, qu'elle me montrait et chaque mois on pouvait voir le dessin des constellations. J'ai toujours conservé ce "trésor" littéraire et aujourd'hui encore quand je l'ouvre j'ai des larmes aux yeux en pensant à ma maman (hélas décédée il y a douze ans) et à ma fierté d'avoir réussi moi aussi grâce à cet Almanach Hachette de 1938 à pouvoir identifier certaines constellations à l'œil nu. J'ai toujours eu un faible pour Orion, car je savais quand je l'apercevais dans le ciel de fin d'été le matin elle annonçait hélas la fin des beaux jours et retour prochain de l'hiver où elle trônerait dans le ciel du soir. "L'astronomie sans télescope" était un "Que Sais-je ?" écrit par le très pédagogue Pierre Rousseau. Ce fut ma deuxième "bible" astronomique.

 

Et puis j'ai eu la chance formidable de pouvoir suivre dans ma toute jeunesse un feuilleton passionnant (entre 1957 et 1972 ; avec apollo 17, la dernière mission lunaire habitée) : qui des Soviétiques (longtemps favoris) ou des Américains allaient gagner in fine la course à la Lune ? Je vous assure que quand on l'a suivi comme moi au jour le jour en écoutant la radio, en lisant les articles de la presse quotidienne, et en regardant les journaux télévisés d'alors on en a une toute autre perception que dans les ouvrages actuels (si documentés soient-ils) sur l'histoire de l'Astronautique…

 

Pour terminer une toute petite anecdote : ma maman, pour me faire plaisir m'avait acheté pour Noël (ça devait être vers 1960) l'album d'Hergé "Objectif Lune". Je l'avais dévoré en une soirée et était paniqué par sa fin : Tintin, Milou, le capitaine Haddock, le Professeur Tournesol, les deux Dupondt, et l'ingénieur Wolf (on ignorait qu'il y avait un passager clandestin qui ne se révèlera que dans le second épisode) étaient tous endormis dans une fusée lunaire qui allait bientôt (sauf manœuvre de retournement) s'écraser contre le sol lunaire… Furieux, après avoir passé une très mauvaise nuit, j'ai reproché à ma pauvre maman de ne pas m'avoir acheté le deuxième tome et l'ai tellement bassinée avec ça que très vite elle m'a offert "On a marché sur la Lune", qui mine de rien m'a appris pas mal de choses sur l'astronomie…

 

Bonne journée à toutes et à tous, et encore pardon d'avoir été si bavard !…

 

Roger Lesourd.

  • Merci / Quelle qualité! 1
Posté

heu, on raconte son parcours ou sa vie :?::be: ?

 

Bon, alors pour ma part, rien à voir avec l'astro :

 

Bac ES option Mathématiques

BTS Comptabilité et Gestion des organisations

Licence et Maitrise Sciences de Gestion option Sciences Techniques Comptables et Financières (pour les connaisseurs ex-MSTCF)

 

Actuellement : Master 2 Comptabilité Contrôle Audit où j'attaque mon stage de fin d'études universitaires. Bientôt fini la vie d'étudiante !

 

Puis je retente le Diplôme d'Etudes Supérieures Comptables et Financières en décembre 2007. Ensuite, si tout va bien, je serais expert-comptable stagiaire pendant trois ans, et je passe des examens terminaux et je serais expert-comptable passionnée d'astro :D

 

L'astro me servira bien durant mes longues nuits où le stress rongera mon sommeil :D

Posté

Bon je m'y colle aussi :

-Bac STI électronique, ma première passion (dsl, je connais pas la désignation dans le nouveau système!)

-DUT Mesures Physiques avec en deuxième année le choix de l'option Techniques Instrumentales et un stage d'optique de 3 mois à Nottingham (mesures de profondeur de champ)

 

Et puis en février 2006, un coup de fil du planétarium de Bretagne, où j'avais travaillé en saisonnier..."allo Erwan, les conférencières du plané sont parties à Rennes...t'as les connaissances astro, tu peux venir les remplacer?"

 

Résultat j'ai un métier qui n'a aucun rapport avec mes études!

 

Erwan

Posté

Aller, à mon tour....

J'ai commencé l’étude de la musique au Conservatoire de Nice à l’âge de 10 ans (merci Papa :) ) et dès 15-16 ans je savais que je voulais devenir musicien professionnel. Après une scolarité assez laborieuse, j’ai définitivement arrêté en 1°, à un an du BAC, pour partir en tournée avec un groupe pop, au grand désespoir de mes parents pour qui être musicien n’était pas un vrai métier.

En 72, à l’âge de 20 ans et ayant réussi à échapper à la conscription militaire, je suis "monté" à Paris pour y reprendre des études musicales, histoire d’être le plus performant possible et d’essayer de faire mon trou dans ce métier. Après quelques années de galères j’ai fini à la fin des années 70 par rentrer dans les "gros coups" (studios d'enregistrement, télés, radios, accompagnements de "vedettes", revues,…) ce qui m’a permis de bien gagner ma vie tout en faisant le métier que j’avais choisi, j’ai eu de la chance.

J’ai été obligé de faire pas mal de musique alimentaire, qui payait bien, mais j’ai toujours continué parallèlement à faire du jazz et divers groupes fusion, qui ne payaient pas, pour le plaisir et l’amour de l’art.

Je précise quand même que ce n'est pas un métier facile, qu'il faut pratiquer des heures et tous les jours, même pendant les vacances, pour garder, entrenir et faire progresser son niveau, qu'il y a une compétition féroce, bref qu'il faut quand même une certaine motivation.

Pendant 20 ans j’ai complètement laissé tomber l’astronomie pratique, je bougeais trop et je travaillais presque toutes les nuits. J’ai repris en 98, le métier n’étant plus ce qu’il était j’ai nettement plus de loisirs actuellement, et je ne m’en plains pas.

Je continue régulièrement à vendre de l’air (je suis saxophoniste-flûtiste) et avec le recul ne regrette absolument pas d’avoir choisi ce métier, tant décrié à l’époque à cause de sa précarité, précarité qui est devenu hélas maintenant courante dans presque tous les métiers et à laquelle je n’aurais de toute façon pas échappé, sauf à devenir fonctionnaire évidement.;)

  • 5 semaines plus tard...
Posté

Bon aller je me lance!!!!Mon parcours est un peu chaotique.

 

J'ai passé mon Bac S - SVT en 1998

Ensuite j'ai traîné sur les banc de la fac ( 1 ère année de médecine , puis Biochimie ).

 

Puis j'ai mal tourné , je me suis engagé dans la Marine en 2003. J'ai fait des études d'infirmier dans l'armée.

 

Maintenant j'ai (presque) terminé et je fais mon cours pour naviguer sur sous-marin nucléaire.C'est très intéressant, on apprend beaucoup de chose en rapport avec la sécurité nucléaire mais aussi à faire face à des urgences en situation isolée (sans médecin).

 

A l'avenir j'espere bien faire le cours d'anesthésiste puis naviguer sur les SNLE à brest.

 

Voili voilou

Posté
:) a mon tour , mais ça va etre simple , bepc ensuite CAP charcutier , apres 2 ans de service mais en martinique :be: (la planque) ensuite CAP cuisinier , et a la sortie un travail dans l entretien d immeuble d un office hlm (comme quoi) moi j ai debuter l astro sans materiel avec mon pere assis sur les marches de la maison a regarder les etoiles pendand des heures ;et j ai debuter avec une lunette qui devait plutot etre une loupe , mais maintenand j attend avec impatience toutes les belles nuits noires qui sont trop rares a mon gout voila c est tout pour moi . amicalement frederic
Posté

Plus on est de fou...:p

Pour moi Bac D en trainant les pieds puis une année de Deug B option biochimie, vite abandonné à cause des Maths et de la physique. Puis une année sous les drapeaux en tant qu'aviateur dans un souterrain:nuke:

Ensuite une douzaine d'année comme photographe de presse suivit de deux années noires (la presse ne payant plus) avec des petits boulots en interim.

Et depuis deux ans photographe portraitiste scolaire.B)

Posté

En résumé, à 21 balais, après avoir doublé ma 3ième et triplé ma terminale (j'avais 22 ans la dernière fois que j'ai passé le BAC, ma voisine d'examen avait 1 an d'avance MDR :be: ), mon papa et ma maman, me voyant devenir délinquant, m'ont inscrit à tous les concours possibles. J'en ai eu un, le seul qui ne fallait pas avoir :confused: M'enfin, j'ai fait mon trou dans cette administration, j'y suis depuis 20 ans et tout baigne. Je suis aujourd'hui admin réseau dans une grande école et je m'éclate dans une de mes passions après les mobylettes (Italiennes, surtout Ducati) et l'astro. L'astro ? j'en faisais quand j'étais petit dans les années 80 pis grosse coupure de 20 ans quand je suis arrivée dans les grosses villes qui puent, pis j'y suis revenu y'a 2 ans lors d'un cadeau d'anniversaire.

A pluche.

Jean-Marc

  • 3 semaines plus tard...
Posté

Terminale S

Sup /Spé Physique/Techno

Licence EEA

Maitrise EEA

DEA Robotique

 

Vous noterez au passage l'accident entre la 2ème et la 3ème ligne, mais bon faut bien etoffer les statistiques d'echec en prepa ^^

Posté

Vous noterez au passage l'accident entre la 2ème et la 3ème ligne, mais bon faut bien etoffer les statistiques d'echec en prepa ^^

 

Tu as raison mais pour faire du réglage de PID ou de la commande RST il n'est pas nécessaire de passer par l'X ;)

Posté
Tu as raison mais pour faire du réglage de PID ou de la commande RST il n'est pas nécessaire de passer par l'X ;)

C'est quoi le RST et le PID ?

Même question pour l'EEA ! :hm:

C'est pas facile de comprendre quand on ne connaît pas grand chose dans les sigles !

Merci ;)

Posté
C'est quoi le RST et le PID ?

Même question pour l'EEA ! :hm:

C'est pas facile de comprendre quand on ne connaît pas grand chose dans les sigles !

Merci ;)

à l'époque où je faisait de l'auto pfiou ça date :p EEA = Electrotech, Electronique, Automatique;) ) :

 

PID = Proportionnel Intégrateur Dérivateur, système de régulation du 2ème ordre et qui permet d'avoir un asservissement assez simple à réaliser et paramétrer (analogique).

RST = Return Simplification Tracking, dispositif de commande adaptative (numérique)

Posté

J'ai suis passé par les étapes suivantes:

Facteur

Ouvrier dans une usine à papier

Electricien

professeur d'électrotechnique

attaché temporaire d'enseignement et de recherche

ingénieur de recherche au CNRS

J'ai fais aussi de la biologie moléculaire, de la géologie, de l'analyse d'image... bref de quoi nourrir ma curiosité ET RIEN D'AUTRES, enfin si parfois me nourrir tout court...

 

La formation... est-ce réellement important? J'ai une formation technique parce que d'où je viens on entendait la formule magique "il ne faut pas sortir de l'école sans rien". Mais je me suis rapidement rendu compte que pour bien comprendre les choses, l'humanité et aussi (et surtout) la science c'est la culture et la curiosité qui est le plus nécessaire... N'écoutez pas forcément les conseillers pédagogiques fumeux de base qu'il faut être bon en ceci cela, avoir un bagage technique béton, aimer la culture scientifique pour faire de la sciences... c'est un peu une connerie à mon sens... Il faut être ouvert, savoir écrire de manière synthétique et privilégier la culture générale dans un premier temps... Chose que j'ai du faire moi-même, certes de gens qui restent dans ma mémoire, car ce n'est ABSOLUMENT PAS UN BAC TECHNIQUE qui vous prépare à cela...

A l'IUT, un bon livre d'histoire quand les cours d'électronique m'ennuyaient... Ce qui ne m'empêchait pas de bricoler un ampli hifi dans le garage... rire

 

E.E.A.... j'y suis passé aussi... personne n'est parfait. Heureusement j'ai tout oublié! rire...

L'astronomie? euh... oui uniquement en visuel... ce que les astronomes ne font pratiquement jamais... car si je me noie dans l'imagerie, la spectrométrie, j'ai l'impression d'être encore au bureau... alors que c'est tellement beau la lumière blafarde de NGC2903 à l'oculaire d'un télescope fabrication maison....

Posté

Je partage presque tout mais...et oui ya un mais sauf peut être pour le bac technique ;) .

 

Pour ma part bac C en 1990, sup et spé, entrée à centrale Lille (ex IDN) et job direct fin 1996 à EDF-GDF dans la distribution où j'ai pu faire des boulots opérationnels divers de chef d'agence réseau (avec un dob 300 à l'époque y avait pas WA je l'ai revendu au bout de 6 mois je galérais trop :p) à responsable qualité et contrôle de gestion, ce que je fais aujourd'hui (et maintenant j'ai un c8 qui marche bien:D).

 

Donc le bac technique m'a pour ma part beaucoup servi, ne serait qu'en sorte d'introduction aux études qui ont suivi aussi bien sur le fond que l'approche.

Posté

Donc le bac technique m'a pour ma part beaucoup servi, ne serait qu'en sorte d'introduction aux études qui ont suivi aussi bien sur le fond que l'approche.

 

Oui!!! Je n'ai pas dis que le bac technique ne m'a pas servi, simplement il ne prépare guère à l'esprit de synthèse et à la compréhension du monde si je puis dire...

Posté
Oui!!! Je n'ai pas dis que le bac technique ne m'a pas servi, simplement il ne prépare guère à l'esprit de synthèse et à la compréhension du monde si je puis dire...

 

pour moi l'année du bac a été celle de la découverte d'einstein et où j'ai pu me faire une idée globale sur les théories physiques, en ayant suffisament de bagage pour comprendre, sans rentrer trop dans les détails qui m'auraient cantonnés dans un domaine plus qu'un autre. Après, la synthèse n'en est devenu que plus difficile ;) : en prépa, la physique, les maths et la chimie se dissocient pour aborder les choses par des biais différents, faut faire son choix : M ou P 'ou pas ', etc...

 

Bref : bien le bac !

  • 3 mois plus tard...
Posté

Bonjour

 

 

Bac C puis BTS d'optique instrumentale au lycée Fresnel, promo 1993

Embauché Melles Griot en 1994

Puis chez Thales Optronique entre 1996 et 2003

En activité secondaire, jai également fait éditeur de livres d'astro (auto-éditeur) entre 1997 et 2007

Depuis 2003, je suis à mon compte

 

Jean-Marc

Posté

Ouf, je suis rassuré, il n'y a pas que des scientifiques !

 

Pour ma part :

- Bac B en 1981 (pas trop dur, il faut l'avouer...)

- Fac de droit jusqu'en 1986

- Le service militaire (!)... (et le mariage en fin d'année)

- Stage professionnel de 1987 à 1991

- Examen professionnel en 1991

- Installation à mon compte (profession libérale) en 1992.

 

J'ai démarré l'astro tout seul comme un grand durant mes études à la fac. Une inspiration spontanée, mais il faut dire que j'ai toujours eu un goût prononcé pour la nature en général et la campagne en particulier.

  • 7 mois plus tard...
Posté

Ben Bac S ,spe physique ,en ce moment 1ere annee de physique chimie ,specialite physique (oui je sais ya un peu trop de physique :D)...a suivre

Posté

Moi dès l'école je regarais tout le temps en l'air la Lune, les avions.

 

Au collège pendant les cours comme ceux de musique ou dessins, je dessinais des avions, ou je lisais des livres comme ceux de Clostermann ou Saint Ex.

 

Les après midi où on avait gym + dessin + musique je séchais et j'allais sur les quais faire les bouquinistes. Je ramenais des livres d'aviations d'époque des années 20/30/60 comme ceux des aviateurs qui racontaient leurs tours du monde ou des pilotes d'essais d'avions fusées x1 à x15. Dans ma tête s'est fait naturellement le lien aviation > avions fusées > fusées > Apollo > astronautique > astronomie > astrophysique.

 

Moment magique : 2001 l'Odyssée de l'Espace au cinéma, et le livre dans ma poche au collège.

 

Moment magique de l'histoire de la vie sur Terre, Neil Armstrong sur la Lune en 69 en direct sur une télé noir et blanc.

 

En 3ème pour moi c'était l'armée de l'air et rien d'autre, puis EPPNER (école des pilotes d'essais) et futur pilote de notre navette Hermès (on était dans les années 1970 après Neil Armstrong sur la Lune).

 

Ca n'a pas marché aussi bien pour raisons de santé que familiales.

 

Mes parents étaient du genre "on va pas nourrir un fainéant tu vas passer un cap et bosser et puis c'est tout !". Quand je leur ai dit que le bac ou le cap c'était tous les deux 3 ans, ça les a secoués. M'ont quand même inscrit dans un lycée professionnel sans rien me dire, m'ont prévenu 2 semaines avant la rentrée. Choc épouvantable. Mon futur dans l'armée de l'air qui s'écroulait en 2 secondes.

 

Inscrit au CNED pour passer une seconde par corrrespondance, mais échec total.

 

Engagé dans l'armée de terre en 1982 pour être pilote hélico dans l'ALAT. Raté, niveau physique trop élevé.

 

Le commandant au bout des 9 mois de prépas sous officiers me dit que je ne suis pas bon pour le personnel navigant alors que j'avais déjà 300 heures de vol dans le civil !

 

Brevet d'Initiation Aéronautique à 16 ans en 1977.

 

Laché solo avion et planeur à 17 ans.

 

Breveté avion et planeur à 18.

 

Découverte de la voltige en planeur sur les nouveaux planeurs "plastique" dans les années 77/82.

 

Des tas de grands moments magiques comme faire du motoplaneur à l'aube et au coucher du soleil, un pilote de chasse qui me fait un vol en fouga, des pilotes de chasse des années 1940 puis pilotes de lignes dans les années 50/60/70 qui nous font des cours d'astronomie, de météo, de navigation, d'aérodynamique le soir sans qu'on leur ai rien demandé. Passé des journées à voler dans tout ce qui pouvait voler de l'aube au crépuscule, des copains pilotes de chasse qui nous font des suprises du genre défilés de Mirage et Jaguar à 5 mètres au dessus de la piste, une des premières démonstration en vol ultra bouleversante de la Patrouille de France sur leurs Alpha Jet en homage à un copain pilote de chasse, des vols en planeur en formation le soir au coucher du soleil, etc, etc.

 

Stages de vol d'onde et quelques gains de 5000 mètres.

 

Cap comptabilité en 1985 payé avec mes sous dans une école privée.

 

Découverte de l'informatique et de l'astronomie sur ordinateur.

 

Fana des simulations gravitationnelles, j'ai écris un petit logiciel de simulation.

 

Aide soignant depuis 1990 (la compta, bof).

 

Passait mes soirées et week end derriere mon Newton 115/900 et une petite lunette portable à la campagne.

 

Observé le soleil avec un filtre à ouverture totale, des éclipses, des cometes, les cratères de la Lune, Mars, Jupiter, etc.

 

Cours d'astronomie et astrophysique par correspondance du CNED vers 1990.

 

Gros problèmes de santé en 2000 et 2002, formateur relais sur logiciels des hôpitaux depuis.

 

Pilotage terminé (antidépresseurs pour supporter) (les psychiatres ne comprennent pas, inutile de discutter de ça avec eux)

 

Constitué une bibliothèque de livres d'astronomie et d'astrophysique colossale. Des biographies des Marie Curie, Perrin, etc aux éditions du Seuil en passant par les Hubert Reeves, Stephen Hawking, Luminet, Balibar, Perrin, Weinberg, des centaines de livres sur les pulsars, trous noirs, big bang, cosmologie, etc.

 

Une de mes bibles : la quadrilogie des Odyssée de l'Espace d'A.C. Clarke. Et puis Premiers sur la Lune, le récit du 21/7/69 par Armstrong, Aldrin et Collins. Un pavé de 500 pages bourré de détails techniques fascinants.

 

Et enfin collection de centaines de films de sf cultes, de Une Femme sur la Lune de Fritz Lang à Planète Interdite en passant par l'Etoffe des Heros à 2001.

Posté

Mmmmmmmh

Il connait "planète interdite"!

Il a du lire "le grand cirque" de Pierre Closterman!

Peut être même "Nungesser, le chevalier à la mort"...

 

Toute mon adolescence...

 

Il a l'air bien, cet homme...

(J'ai fait mon baptême de l'air à 14 ans dans un piplace de voltige;))

 

Catluc, si tu passes par là: il devrait te plaire! ;) (et vice versa!:D)

Posté

Salut à tous

Lasilla, oui il me plait bien, pas de problème mais moi j'ai pu arrêter de voler sans dépresseur je viens de vendre mon ULM, tant pis GG t'en profitera pas.

Bon c'est vrai que j'ai un aérodrome à 3km et plein de collègues pilotes pour m'amener si le besoin s'en faisait sentir, mais l'astro me comble bien.

Turing je compatis et je te comprend.:confused:

Bonne journée à tous.

Luc.

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