Post spécial "trauma post-émerveillement ciel intense".

[gil31]

Alors moi, c'était avant-hier et hier soir aussi. 48h environ après retour de l'Indre et son ciel si profondément intense que je distingue les dentelles sans filtre et à la bino (faut quand même bien savoir où elles se trouvent...).

 

C'est quand j'ai levé les yeux pour regarder le ciel, celui du Val d'Oise. J'ai eu comme un petit rire, 'me suis presque foutu de sa gueule à ce ciel là. Pis je boude un peu aussi.

 

Bon, ça durera ce que ça durera, je sais bien que j'y retournerais tôt où tard, n'empêche : quel foutage de gueule de nous saloper notre ciel à coup d'éclairage à la pelle ! Ils nous font n'importe quoi, j'vous jure .

 

(juste un post qui peux vous faire économiser quelques honoraires de psy, allez-y, lachez-vous.)

[gil31]

Remarque ça a du bon un ciel délavé, pour débuter par exemple, on y voit 4 ou 5 constellations pas plus, on peut taper le barbecue tout en observant, ça dérange pas.

[takaya]

Ouais pfff... j'aime autant un barbec sous des milliers d'étoiles.

Même réflexion en ressortant le scope l'autre soir sur le balcon : roooooooo, mais l'est où M11 ?

Que c'était beau cet été le ciel au sud du Perche !!

[syncopatte]

malade

[gil31]

Patte, la prochaine fois je te prescrirai un parcours de réadaptation progressive. Pasque passer direct de l'Indre à Bruxelles, NON ! C'est un coup à se couvrir de petits boutons façon voie lactée sur la face.