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remonter le temps


actarusse

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donc, si j'ai bien compris, on peut pas remonter le temps, on peut juste remonter à des souvenirs (le temps que mettent les informations à arriver jusqu'à nos yeux, les photos prises dans le passé, l'archéologie etc...) ou alors le ralentir, mais seulement pour soi en allant très vite, ce qui l'accélère pour les autres (par rapport à soi). Donc le temps est élastique ?

 

Est-ce qu'on peut comparer à un tapis roulant en supposant qu'on ne peut pas courir assez vite pour revenir en arrière (ça avancerait à la vitesse c par exemple) ? Mais c'est trop triste si on peut plus rêver de remonter le temps ! :cry:

 

Autre question stupide et qui n'a rien à voir avec le sujet : à quoi ça sert la quantique à part toujours tout contredire ? (j'avais cru comprendre par exemple qu'il y avait un problème entre la quantique et la relativité générale à propos des trous noirs mais ça date un peu et je n'avais rien compris... :rolleyes: )

 

Merci !

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Lamarchat ne semble pas souhaiter approfondir. Je n'insiste donc pas puisqu'il n'y a pas d'intérêt.

 

Bonjour monsieur Lejon ;

Franchement Lamarchat n’a pas un fort bagage et il n’est pas civilisé comme vous mais rien n’empêche qu’il est peut être intelligent et je peux vous dire que les maîtres ne peuvent jamais être des vrais amis ; en plus lorsque j’ai cité Lejon ; ça veut dire il y a quelque chose que j’ai aimé dans ses discussions malgré ….et ce n’est pas ça une rotation de Lamarchat à chaque fois il tourne son volant ; encore j’ai essayé et je n’ai pas pu de rapprocher le mouvement apparent de notre soleil à notre voisinage pour conclure qu’il est totalement différent d’un mouvement apparent à notre échelle comme le mouvement apparent d’un arbre par rapport à lamarchat dans un train et j’ai essayé de vous dire encore on parle sur un voyage dans le temps et on ne connaît rien sur la terre dans la structure de nos lois physiques .

A la fin permettez moi de vous remercier par cela : cette nuit monsieur Lejon va surveiller à haute attention quant et comment il rentrera en sommeil pour comprendre le voisinage des singularités et même le voyage dans le temps.

Posté

slt pour faire simple regarde dans la lunette ou le télescope et tu remonteras dans le temps.

(par contre je me demande si a proximité d'un trou noir hyper massif,monsieur Arthur si le temps n'est pas freiné voir stoppé au niveau de sa sinularité,je voyais les choses comme ça ,le temps coûle, personne le freine mais il n'est peut être pas identique par tout dans l'univers)

 

Avez vous entendu parler des "fameux océans de tranquillité"voir travaux de recherche de la fédération russe? je vais chercher la documentation au cas ou;

sujet interressant a ouvrir

Posté

Avez vous entendu parler des "fameux océans de tranquillité"voir travaux de recherche de la fédération russe?

 

:?: ah non effectivement, qu'est-ce que c'est ? rien que le nom ça a l'air intéressant.

 

 

c'est une destination touristique ? ...

 

euh oui, bon, d'accord, j'ai rien dit...

Posté

 

Autre question stupide et qui n'a rien à voir avec le sujet : à quoi ça sert la quantique à part toujours tout contredire ?

 

 

Ben ça ne sert à rien de spécial autre que de décrire le monde réel dans lequel on vit... Ce sont nos sens qui contredisent la réalité quantique du monde en nous donnant l'illusion de la localité, du présent et de la détermination de toutes choses...

  • 1 mois plus tard...
Posté

remonter le temps ,NOUS LE FAISONS CHACUNE DES FOIS QUE NOUS REGARDONS DANS LA LUNETTE OU LE TELESCOPE;

 

dés que l'on regarde le ciel nous remontons dans le temps les TCHIOS!!!

Posté

Bonjour,

Avez-vous pensez aux différents paradoxes que l'on peut rencontrer lorsque l'on remonte le temps!!Celui du grand père par exemple!!Si j'invente la machine à remonter le temps et que je tue mon grand père par accident avant la naissance de mon père, il ne naitra pa, et moi non plus, donc je n'aurait pa inventé cette machine!!!Il existe plein de paradoxes kom celui là!!

Posté
Bonjour,

Avez-vous pensez aux différents paradoxes que l'on peut rencontrer lorsque l'on remonte le temps!!Celui du grand père par exemple!!Si j'invente la machine à remonter le temps et que je tue mon grand père par accident avant la naissance de mon père, il ne naitra pa, et moi non plus, donc je n'aurait pa inventé cette machine!!!Il existe plein de paradoxes kom celui là!!

oui mais c'est un paradoxe

 

tiens à une certaine distance tu n'est pas là ,tu n'es pas ,pendant que j'ecris

je suis pas en train de le faire mais au niveau du soleil, j'ecrirai dans exactement huit minutes et c'est vrai ,le temps est RELATIF.

 

chacune des coordonées spatio-temporel à sa propre horloge!

  • 1 mois plus tard...
Posté
Supposons que tu lances cet objet à 100.000 km/s.

 

- Par rapport à toi' date=' l'objet se déplace de 100.000 km/s vers l'avant.

- Par rapport à moi, il se déplace de, non pas 300.000 + 100.000, mais (je te laisse faire l'opération) 300.000 km/s.

 

Si tu te déplaces à une vitesse uniforme, même très proche de la lumière, tu ne te rendras absolument compte de rien. C'est même le fondement de la théorie de la relativité (restreinte aux mouvements uniformes). Ton sang circulera, les objets que tu lanceras iront là où ils vont d'habitude, etc. Mais un observateur extérieur verra des choses différentes...[/quote']

 

Brunon, que fais-tu dans la vie? ça m'intrigue.

Je veux savoir si c'est moi qui n'est pas assez bossé ou si c'est toi qui baigne dans ce milieu.

Posté
Attention... Si tu te déplaces à la vitesse de la lumière' date=' tu ne seras pas immobile dans l'espace (par rapport à moi) mais dans le temps. Je te verrai te déplacer à la vitesse de la lumière, mais ton temps sera figé par rapport au mien : je ne te verrai pas vieillir.

 

 

Les seules particules qui se déplacent à la vitesse de la lumière sont les photons. Et leur temps est effectivement figé par rapport à nous : depuis le Big Bang et jusqu'à la fin des temps, nous ne voyons pas les photons vieillir.[/quote']

 

Bon je dois bien avouer que moi non plus je ne comprends pas ce qui me semble être un paradoxe.

Posté

En représentation "classique" (espace relatif, temps absolu), les photons se déplacent à c quelque soit l' observateur, et c' est paradoxal.

 

Pour résoudre le paradoxe, les relativité introduisent un espace-temps, dans lequel toutes les coordonnées sont relatives. L' élément de distance dans cet espace-temps, permettant de coller avec la vitesse invariante de la lumière , est choisi comme ds²=c²dt² - dx² -dy² -dz².

 

Avec cette façon là de calculer les distances, tous les mobiles "classiques" se déplacent dans l' espace-temps à un taux (une "vitesse") de racine(ds²/dt²) = c, dans la direction de leur temps propre (vu que l' on se réfère à leur temps propre, le déplacement spatial est nul par définition).

 

Si on se place dans un référentiel quelconque, leur élément de longueur restera proche de c²t² puisque leur vitesse est petite devant c (donc dx²+dy²+dz² sera très inférieur à c²dt²).

 

Mais tous les mobiles "relativistes", ne se déplacent presque pas (puisque c²t² et (dx²+dy²+dz²) sont proches). Le cas limite est celui du photon pour lequel ds² est exactement nul, quelque soit le point de vue (l' élément de longueur est invariant par changement de repère). Du coup, comment définir le temps propre du photon ? Par définition, son accroissement dtp est définit comme ds² = c²dtp² , or ici ds² est nul, donc dtp² aussi : Le temps propre du photon est constant.

 

Non ?

 

A+

--

Pascal.

Posté

Messieurs bonjour

Vous m'excuserez mais j'ai vraiment un problème de fond.

Je ne comprends pas pourquoi si quelqu'un (on suppose) se déplace à c, 1s pour lui correspondrait à 71s sur la Terre.

En gros je ne comprends pas l'idée qui est de dire que quelqu'un qui aurait une vitesse uniforme de c verrait sont temps "racourcir" ou inversement le temps sur la Terre s'allonger ou encore que s'il faisait un voyage aller-retour qu'il serait "plus jeune" que ceux de sa génération.

Cela me semble être un non sens.

Merci

Posté

Salut à toi,

 

Première correction : pour quelqu'un sur Terre, il faudrait une infinité de temps pour qu'il voit que le temps a passé dans la fusée, si cette fusée va à c.

 

Deuxième correction : tout ce qui possède une masse ne peut aller à c. :)

 

Pour ton problème, voici l'idée.

 

Tandis que nos grandes démocraties valorisaient l'égalité entre les hommes, la science est venue à la conclusion, par le principe de relativité, que tous les "points de vue" (lire "référentiel", soit un espace servant à coordonner un événement dans l'espace et/ou le temps) sont équivalents. Autrement dit, l'Univers ne se décrit pas "mieux" en étant sur Terre que près du Soleil, l'Univers devrait, dans les deux cas, être décrit selon les mêmes lois. Par exemple, un automobiliste et un piéton patientant pour prendre l'autobus. Le piéton verra la voiture passer à disons 50 km/h, mais pour l'automobiliste, bien qu'il sache intuitivement que c'est la voiture qui bouge, le tableau de bord aura toujours un vitesse nulle. Alors, la voiture va-t-elle à 50 ou à 0 km/h? Quel point devrait être privilégié? Aucun particulier. L'exemple n'est pas très efficace, mais la question vient très pertinente dans le cas de l'éther par exemple.

 

Parallèlement, la théorie de l'électromagnétisme de Maxwell nous dit que les ondes électromagnétiques, dont la lumière fait partie, vont dans le vide à la vitesse c = 300 000 000 m/s (un peu moins). Or, personne ne dit qu'une voiture va à 50 km/h, car tout dépend "d'où" on la regarde ; pourquoi en serait-il autrement avec la lumière?

 

Aucune raison, si on pense d'une façon newtonienne. Ce qu'Albert Einstein (et d'autres) a fait en inventant la RR, c'est d'unifier le principe de relativité à la théorie de Maxwell. Pour Einstein, la lumière voyage à c pour tous. Autrement dit, dans tous les référentiels, la lumière va à c, car aucun n'est privilégié à un autre, il n'y a pas cette idée de la mécanique newtonnienne d'un référentiel absolu.

 

En supposant que la vitesse de la lumière va toujours à la même vitesse, nous sommes capables mathématiquement de lier, par exemple, le temps que prend une vielle dame pour traverser la rue du point de vue du piéton et de l'automobiliste. On s'aperçoit que c est une vitesse non seulement infranchissable, mais inatteignable (il y a apparition dans les formules d'infinis lorsqu'on fait les calculs avec v=c, ce qui, avec l'expérience, est vu en science souvent comme un non-sens physique).

 

En espérant que ça ait éclaircit un peu

 

amicalement

Posté
si on ne peut pas atteindre c en revanche je crois qu'il est plus plosible de se téléporter. j'avais vue que des scientifiques avait réussie à téléporter l'information d'un atome cela veut dire qu'il ont envoyez le guide ou notice pour pouvoir le recréer, donc faire un double, donc imaginons que je me téléporte sur une autre planète je serait recréer, donc il y aura moi et moi l'un sur terre et l'autre sur la planète, mais mon esprit est elle téléportable ???

:

 

Attention...

la si tu fais référence à la téléportation quantique..

Ce que l'on téléporte est un état..

On a deux atomes de rubidium à l'état fondamental donc identiques par définition.

On excite l'un des deux atomes. Et ce que l'on "téléporte" c'est l'excitation...

donc l'état de l'atome qui va s'appliquer d'un atome à l'autre...

....

c'est comme si vous téléportiez la colère ou la joie entre deux clônes via un téléphone...(je schématise)

Posté
La constante (du moins, pour l'instant ;)) c , qui a la dimension d'une vitesse, vaut 299 792 458 m/s. Dans le language courant, on appelle ça la vitesse de la lumière. Seulement, quand on s'y connait un peu plus, on sait que la lumière n'est pas tout à fait constante, ni même que seule la lumière a cette vitesse. C'est pourquoi il est préférable de dire c ou, quoique je sais que ça en énerve quelques-uns, vitesse de causalité.

 

Ah bon,

Je pensais que C venait de Celeritas ... et cela bien avant l'ami Einstein...

 

c = the speed of light in a vacuum (celeritas) (in meters per second).

Posté

La granduer d'un homme vient souvent dans sa capacité à dire qu'il ne comprend pas. Je dirai donc "je ne comprends pas!"

Mais, l'histoire de boule causale fait tilt et je vais y travailler. Il n'est pas question que je reste dans cet état. Je vais bouquiner un peu. Relire ce que vous avez écris ça et là et revenir, pour tenir la discussion.

Merci encore.

Posté

Je vais tenter une explication, en rappelant des choses que tu connais peut-être, mais tant pis.

 

Question : pourquoi, pour quelqu'un qui se déplace à grande vitesse par rapport à moi, le temps ne s'écoule-t-il pas de la même façon que pour moi ? C'est bien ça la question ?

 

À la base, c'est lié au principe de relativité de Galiliée. Le repos absolu n'existe pas. Tout objet non accéléré (donc en mouvement uniforme) peut se considérer comme en repos (tout court) : on parle d'un référentiel galiléen. Les lois de la physique sont les mêmes dans tout référentiel galiléen.

 

Exemple : je suis dans un train qui avance à vitesse uniforme sur la Terre, que je considère comme référentiel galiléen (durant cette expérience, j'ai le droit car le fait qu'elle tourne autour du Soleil est négligeable). Dans ce train, si je jette un balle en l'air, elle retombera dans ma main.

 

Ce comportement serait le même si je jettai la balle assis sur le quai : la balle monte et descend verticalement.

 

C'est important : que je sois dans le train ou sur Terre, je n'ai aucun moyen de détecter le mouvement uniforme par une expérience de physique (par exemple un jet de balle), car la physique est équivalente dans ces deux référentiels.

 

Par contre, le moindre mouvement accéléré (ou décéléré) est détectable. Si je suis dans le train et que je m'amuse à jeter une balle en l'air, et qu'elle retombe devant moi, ça voudra dire que le train a freiné (quand le train freine, tout est projeté vers l'avant, comme ce malheureux passager qui s'était levé...) Si la balle reombe derrière sa position de départ, c'est que le train est en train d'accélérer.

 

Je peux détecter un mouvement accéléré, mais pas un mouvement uniforme.

 

Imaginons maintenant que le train avance à la vitesse de la lumière. Je me suis assis dans le sens du mouvement. Que se passe-t-il si je me regarde dans la glace ? Voici deux réponses possibles :

- A. La lumière issue de mon visage avance à 300.000 km/s. Mais le train aussi avance à 300.000 km/s. Du coup, la lumière issue de mon visage n'atteint jamais la glace. Je ne me vois pas dedans, comme si j'étais devenu un vampire !

- B. La lumière issue de mon visage avance à 300.000 km/s par rapport au train, donc je me vois dans la glace comme d'habitude.

 

C'est bien sûr la réponse B qui est la bonne. L'erreur dans la réponse A, c'est de ne pas préciser le référentiel. Le train fait 300.000 km/s par rapport à la Terre, et la lumière fait 300.000 km/s par rapport au train. La réponse A, de toute façon, contredirait le principe de Galilée, puisqu'il suffirait de se regarder dans la glace pour détecter un mouvement uniforme.

 

Remarque : le même raisonnement est valable si on suppose que le train avance à une vitesse v quelconque. La réponse fausse, la A, dirait qu'en me regardant dans la glace, je me verrai avec un léger retard. En effet, au lieu d'attendre d/c (où d est la distance entre mon visage et le miroir) avant que l'image du miroir ne se forme, je devrais attendre d/(v+c).

 

Donc, nous sommes d'accord, la lumière issue de mon visage se déplace à 300.000 km/s vers le miroir, lorsque je suis dans un train en mouvement uniforme. C'est important pour la suite.

 

Parlons un peu de l'expérience de Michelson et Morley... Elle a prouvé que la vitesse de la lumière par rapport à la Terre était constante : 300.000 km/s, quelle que soit la direction par rapport à laquelle on la mesure. Si on mesure la vitesse par rapport à la Terre d'un faisceau lumineux allant dans la même direction que la Terre, on devrait a priori obtenir une valeur inférieure à la vitesse de la lumière (puisque la Terre rattrape en partie ce faisceau, en quelque sorte). Si on mesure la vitesse par rapport à la Terre d'un faisceau lumineux allant dans la direction opposée à la Terre, ce sera le contraire, on trouvera une vitesse supérieure, puisqu'on rencontre ce faisceau. Ben oui, c'est comme quand on se déplace par temps pluvieux : si on se déplace dans la direction du vent, la pluie tombe dans notre dos, alors que si on se déplace contre le vent, on se prend la pluie dans le visage, et celle-ci donne l'impression de tomber plus fort : sa vitesse (horizontale) par rapport à nous est plus grande.

 

Eh bien Michelson et Morley ont mesuré la lumière (par rapport à la Terre) de faisceaux dirigés dans plusieurs directions et ont trouvé une valeur constante : toujours 300.000 km/s. La vitesse de la lumière est constante pour tous les observateurs. Obligé.

 

Bon, je reviens à mon train... Il y a une vache qui regarde tout ça. Elle voit les photons quitter mon visage et se diriger vers le miroir. À quelle vitesse par rapport à la vache (par rapport au référentiel Terre) vont les photons de mon visage ? Je propose deux réponses possibles :

 

- C. Les photons quittent mon visage à 300.000 km/s par rapport au train, lequel avance à 300.000 km/s par rapport à la vache, donc la vache les voit avancer à 600.000 km/s.

- D. Les photons quittent mon visage à 300.000 km/s par rapport à la vache (référentiel Terre).

 

La bonne réponse est D, à cause de l'expérience de Michelson et Morley. La vitesse de la lumière est la même pour tous, c'est obligé.

 

Pourtant, les photons font 300.000 km/s par rapport au train, lequel fait 300.00 km/s par rapport à la vache (et dans le même sens) ! Alors comment est-il possible que ça donne 300.000 km/s ????

 

Parce qu'on additionne des vitesses, et que les vitesses sont des quotients : une longueur divisée par un temps.

 

Pour que "300.000 km/s + 300.000 km/s = 300.000 km/s" (faççon de parler), il est nécessaire que les longueurs et les temps ne soient pas les mêmes pour le voyageur et pour la vache. En modifiant les numérateurs et les dénominateurs, on va pouvoir réobtenir la valeur de départ.

 

Afin de préserver le principe de relativité et la constance absolue de la vitesse de la lumière, on est obligé de considérer qu'un observateur en mouvement par rapport à un autre ne voit pas les mêmes longueurs ni les mêmes intervalles de temps.

 

Le voyageur avait placé le miroir à 300 km de son visage (oui, les wagons sont grands). Son image s'est donc formée au bout de 0.001 seconde. Mais la vache, elle, voit autre chose. Elle voit le miroir à 150 km de son visage, et pour elle le trajet a duré 0.0005 seconde. Comme v=d/t, ça donne à nouveau 300.000 km/s. Attention : ces valeurs là sont en fait fantaisistes, c'est juste pour expliquer l'idée essentielle : pour préserver que la vitesse de la lumière est la même pour tous les observateurs, il est nécessaire que les longueurs et le temps soient variables d'un observateur à l'autre. C'est la relativité des longueurs et du temps.

 

Dans l'Univers, les longueurs sont relatives (elles dépendent de l'observateur). Les intervalles de temps sont relatifs. Ce qui est absolu, c'est la vitesse de la lumière.

 

Pourquoi deux observateurs ne voient-ils pas les mêmes temps ? Parce que si c'était le cas, ce serait contraire au principe de Galilée et à l'absolutisme de la vitesse de la lumière.

 

En fait, il est même possible de faire des calculs avec ce genre de raisonnement (comment faire varier d et t pour que c soit toujours constant, quels que soient d et t ? ==> calculs). Einstein l'a fait, et a trouvé des formules pour calculer des longueurs, des vitesses, des durées.

 

Ainsi, pour additionner deux vitesses, on ne calcule pas w = u + v mais :

w = (u + v) / ( 1 + uv/c² ) où c = 300.000 km/s.

 

Ainsi, si v est la vitesse du train (300.000 km/s par rapport à la vache) et u celle des photons issus du visage de l'observateur (300.000 km/s par rapport au train), la formule ci-dessus donne pour w (la vitesse des photons par rapport à la vache) exactement 300.000 km/s. Comme prévu.

 

Une autre formule que je connais est celle de la contraction du temps. Si le voyageur se déplace à v par rapport à la vache, alors :

t' = t x racine-carrée( 1 - v²/c² ).

 

Exemple : le voyageur avance à 180.000 km/s. Donc v/c = 0,6. Alors t' = t x 0,8. Si le voyageur regarde un film, la vache, qui voit le film dans le train qui passe, a l'impression que ce film est projeté au ralenti. (Je ne sais plus dans quel sens ça fonctionne, je crois qu'elle le verra au ralenti.) Si on projette un film sur le quai, le voyageur, qui voit le film depuis la fenêtre du train, a lui aussi l'impression que le film passe au ralenti. (Ce qui est sûr, c'est que ça va dans le même sens pour les deux.) En effet, le quai avance de 180.000 km/s par rapport au voyageur.

 

Un autre concept relatif, c'est la simultanéité. Si le voyageur voir les deux portes du wagon (celle à l'avant et celle à l'arrière) se fermer en même temps, ce ne sera pas le cas pour la vache : l'une des portes s'est fermée avant l'autre. Ça découle de la relativité des distances et du temps.

Posté

A ce rythme je risque de devenir un fan de Bruno.

Effectivement je connaissais déjà la première partie. Mais là où c'est devenu intéressant, nouveau et clair pour moi c'est à partir de la vache.

Nous en sommes donc là (contraction du temps et des distance) par obligation de respecter ce qui a été vérifié, à savoir le caractère absolu de c.

Dis autrement. Même si cela ne nous plait pas et heurte un peu nos réflexes il ne peut à la fois y avoir invariance de c et invariance du temps pour le réflérenciel "vache". Donc nécessairement c'est le temps qui se contracte, sachant que c est la même pour tous et dans toutes les directions.

J'espère que jusque là j'ai bon.

Mais si j'ai bon, cela me fait m'impose une réflexion: "C'est donc par obligation expérimentale que l'on a fait une hypotèse non vérifiée et non vérifiable, non?" En gros cette contraction du temps semble s'imposer à nous, mais il se peut (car cela n'est pas pouvé contrairement à la constance de c) que cette théorie ne tienne pas. J'ai faux?

En tous les cas, j'ai compris d'où vient l'idée que le temps ne peut être le même pour tous (dans ce cadre, car si j'ai aussi bien compris les choses, en admettant qu'on ne soit plus avec de valeurs de 300 000km/s mais à 200 000km/s on reviendrait à ce que notre logique nous laisse à priori penser. E t que tout cela vient du fait qu'on ne peut dépasser 300 000km/s, que notre vrai problème c'est la vitesse de la lumière et non les valeurs en dessous.)

Merci Bruno

Posté
mais il se peut (car cela n'est pas pouvé contrairement à la constance de c) que cette théorie ne tienne pas.

Les formules de contraction du temps, des longueurs, tout ça, ont été maintes et maintes fois vérifiées. Elles sont justes.

 

Quelques exemples :

 

1) Si on suppose que ces formules sont justes, alors on en déduit la formule E=mc². Cette formule est en effet une conséquence de celles de la relativité restreinte. Eh bien elle est juste. La preuve : les centrales nucléaires, la bombe atomique, etc.

2) Certaines particules ont une durée de vie très courte. Alors on les porte à très grande vitesse. Comme ça, comme elles vivent au ralenti, on peut les observer un peu plus longtemps. C'est la routine des accélérateurs de particules.

3) On s'est bien sûr amusé à transporter des horloges atomiques dans des avions pour voir si elles avançaient, par rapport à une horloge au sol, conformément à la théorie. Ça marche.

 

C'est ce qui me vient à l'esprit aussitôt.

 

car si j'ai aussi bien compris les choses, en admettant qu'on ne soit plus avec de valeurs de 300 000km/s mais à 200 000km/s on reviendrait à ce que notre logique nous laisse à priori penser.

Non non, c'est trop tard : l'obligation d'avoir la même vitesse de la lumière pour tous nous impose une nouvelle façon de calculer les vitesses, longueurs, etc. car nous avons à présent de nouvelles formules.

 

Ainsi, si le train se déplace à 200.000 km/s et que le voyageur lance une balle à 100.000 km/s vers l'avant, la vache ne verra pas la balle à aller à 300.000 km/s car on n'a plus le droit d'additionner les vitesses. Il faut utiliser la nouvelle formule :

w = (200.000 + 100.000) / ( 1 + 200.000x100.000/300.000² ) = 245.455 km/s.

Quelles que soient les vitesse u et v, on ne dépassera jamais 300.000 km/s.

 

Remarque : la formule coïncide avec la formule usuelle (u + v) quand les vitesses sont petites. Par exemple, une fusée passe à 100 km/s (soit 360.000 km/h) et tire un missile à 200 km/s. Quelle est la vitesse du missile vu de la vache ? Intuitivement, on s'attendrait à trouver 100 + 200 = 300 km/s. Mais la formule relativiste donne : w = 300,000.067 km/s. C'est quasi la même chose, parce que les vitesses sont trop petites.

Posté

c'est comme si vous téléportiez la colère ou la joie entre deux clônes via un téléphone...(je schématise)

 

Eh non, ce n'est justement pas la même chose... Si on transfère les états quantiques d'un atome à l'autre, RIEN de permet plus de distinguer le "second" atome du premier. D'un point de vue de réalité quantique (qui est a priori, LA réalité), on a bel et bien téléporté l'atome...

Invité glevesque
Posté

Salut 'Bruno

 

mais il se peut (car cela n'est pas pouvé contrairement à la constance de c) que cette théorie ne tienne pas.

Les formules de contraction du temps' date=' des longueurs, tout ça, ont été maintes et maintes fois vérifiées. Elles sont justes.[/quote']Oui les formules de la relativité sont bonnes et vérifiées de nombreuse fois. Mais c'est peut-être l'interprétation qui n'est pas bonne. La RG analyse ce qui se trouve entre les objets (l'espace) et établit une corrélation qui est relié avec le temps (4 dimension de Minskowski). On est tous d'accord ici, mais l'implication des contraction/dilatation de Lorentz ne sont peut-être pas relié au chose qui se trouve entre les objets, mais plutôt aux objet eux-même. Ici ce n'est plus le temps ni l'espace (variable dynamique et objets mathématique uniquement) qui subissent les effets de la relativité (formalisme de Lorentz) dans le monde objectif, mais bien les particules qui compose l'objets ou la chose en elle-même !

 

Quelques exemples :

 

1) Si on suppose que ces formules sont justes, alors on en déduit la formule E=mc². Cette formule est en effet une conséquence de celles de la relativité restreinte. Eh bien elle est juste. La preuve : les centrales nucléaires, la bombe atomique, etc.

Si C est une limite absolut dans l'univers et à travers tous les référenciels, alors l'énergie est limité par C ! Et cette limite impose un énergie d'équivalence au repos (E=MC2).

 

2) Certaines particules ont une durée de vie très courte. Alors on les porte à très grande vitesse. Comme ça, comme elles vivent au ralenti, on peut les observer un peu plus longtemps. C'est la routine des accélérateurs de particules.
Et cela n'est observable qu'à travers des paramêtres de mesure, dont le temps et l'espace sont utilisé dans le formalisme relativiste pour en interprété les relations dynamique (et donc dimensionnelle sur les transition/mouvement/déplacement/changement d'état et etc..) relié a des intervales de mesure sur l'énergie, la durée et l'étandut du phénomène. Mais rien nous indique encore une fois dans l'objectivité des chose à travers la nature réelle, qu'il s'agit du temps ou de l'espace, il peut s'agire d'un phénomême relié directememt à l'objet (muon par exemple) et à lui-même, sur ses états d'énergie propre (contraction et dilation dut par des niveaux d'énergie interne différenciel)

 

3) On s'est bien sûr amusé à transporter des horloges atomiques dans des avions pour voir si elles avançaient, par rapport à une horloge au sol, conformément à la théorie. Ça marche..
Oui, mais encore une fois le temps et l'espace nous décrives les comportements du phénomène observé (la phénomélogie), mais rien nous indiques épistologiquement, si c'est l'objets lui-même ou non, qui subit réellement les conséquence des contractions de Lorentz ! (sur le plan de sa dynamique énergétique interne !)

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut lejon

 

C’est à ces variables que s’adresse la transformation de Lorentz. On n’a pas besoin d’imaginer une autre sorte de réalité ou une autre manière d’exprimer la réalité. Sinon, c’erst à l’extérieur de la théorie.
Nullement, car il peut s'agire tout simplement d'un angle d'interprétation divergent, comme d'un effet miroire. Si l'objet se contracte lui-même (et non le tissu qui l'entoure comme objet physique sur l'objectivité des choses) et bien les règles de la relativité vont rester inchanger pour le référenciel propre de cette objet, et les distances paraitrons ce contracter et le temps ce dilater dans les même proportion d'intervales de données (relié à l'invariance de c pas 'b=V/C'). C,est juste la cause réelle qui va être interpréter de manière différentes, dans le monde objectif et non conceptualiste à travers le formalisme mathématique.

 

Ici le temps et l'espace ne sont que des variables (dynamique et donc dimensionnelle) de mesure et d'interprétations en relativité, qui encadre ce qui se trouve entre les objets (distance et durée temporelle), pour justement faire resortire cette relation de causalité comportementale pouvant etre interpréter et mesuré de l'extérieur, par rapport au données propre d'un référenciel (le physicien qui interprète le monde et qui effectut des mesures), et c'est justement ce que fait la relativité à travers son formalisme par rapport à l'objectivité du monde extérieur !

 

Gilles

Posté

De mieux en mieux!!!

Mais j'ai bien compris l'idée quand tu dis Bruno "c'est trop tard"

Il est donc déjà pouvé que l'addition des vitesses est une erreur. Que l'intuition qui consiste à additionner les vitesses n'est pas complètement fausse mais n'est pas aussi simple qu'on le croit. Que la réalité fait intervenir une sorte de mur de la lumière qui en conséquence entraine une compression du temps.

Je sens (en fin j'espère que je comprends mieux). Les exemples aussi ont été d'une grande aide. D'autant que je les connaissais mais que je ne les avaient pas interprété de la sorte.

C'est fort et un peu effrayant de concervoir une contraction du temps. Quoique pour les scientifiques je suppose que cela entraine un rapprochement des distances et donc l'espoir de pouvoir parcourir les distances astronomiques.

En tous les cas, j'avoue que je trouve cela de plus en plus intéressant. Si vous connaissez un bouquin qui vulgarise (je dis bien vulgarise, donc simplifie la complexité de la chose, sans pour cela la rendre simpliste) ce savoir donnez moi ces références svp.

Merci à vous

Posté
Quoique pour les scientifiques je suppose que cela entraine un rapprochement des distances et donc l'espoir de pouvoir parcourir les distances astronomiques.

Tout à fait ! Si on veut voyager vers une étoile située à 100 années-lumières, et si on arrive à propulser un vaisseau spatial à une vitesse proche de la lumière, eh bien le voyage peut ne durer que quelques années. Par exemple, à 285.000 km/s (v/c = 0,95) la contraction du temps est de 0,312. Ainsi il faudra une trentaine d'années pour faire le voyage (à cause de la phase d'accélération au début et de la phase de décélération à la fin, ce sera un peu plus que 31,2 ans).

 

Si vous connaissez un bouquin qui vulgarise (je dis bien vulgarise, donc simplifie la complexité de la chose, sans pour cela la rendre simpliste) ce savoir donnez moi ces références svp.

J'en connais un que je trouve génial. Mon explication s'inspire de lui. Je l'ai lu pendant les grandes vacances entre ma seconde et ma première, donc alors que j'avais une faible culture scientifique, et j'ai compris plein de choses. Il contient une démonstration de la formule de contraction du temps. Tout est expliqué par des dessins, certains assez rigolos. Il y a évidemment pas mal de trains dans le livre. Ce livre formidable est probablement épuisé depuis longtemps et donc introuvable. Mais au cas où, voici de quoi il s'agit : Einstein pour débutants, J. Schwartz, M. McGuinness, Éditions la découverte.

 

Sinon, j'aime bien le livre Einstein, créateur et rebelle, B. Hoffmann, Points science, sans doute plus facile à trouver. Il y a moins d'explications (le but du livre est de raconter l'histoire des idées d'Einstein) mais elles sont assez simples, notamment celles à base d'ascenseurs pour la Relativité Générale (l'explication comme quoi la gravitation courbe la lumière est très simple à comprendre).

 

Il paraît qu'Einstein lui même a écrit un très bon livre de vulgarisation sur ces théories. Je crois que c'est Jeff Hawke qui en avait parlé il y a quelque temps.

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Mais tu peux aussi commencer par ça :

 

L'éther et la théorie de la relativité par Albert Einstein lors de la conférence faite à l'Université de Leyde le 5 mai 1920, traduite par son ami M. Solovine et intitulée.

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Faire une approce simple de la relativité et de la dilatation du temps, peut etre envigagé par un petit exemple fort simple et un peut différent de celui du paradoxe des jumeaux de Lengevin. Mais avant toute chose quesque le temps, est-il vraiment une dimension a part entière ou tout simplement qu'une interprétation des mesures de mouvement et de duréee. En fait le temps n'est qu'un processus abstrait de la pensée humaine, qui lui permet de mieux interprèter le milieu dans lequel il se trouve. Alors d'ou vient donc ce temps qui est interprété de manière mathématique en relativité restreintes. Et bien voila, il s'agit tout simplement d'une relation matématique de proportionnalité des vitesses situées dans des référentiels d'observations différents et relativiste (proce de c ou distance en année-lumière). Le tout est pour uniformiser les référentielle entre eux, pour interception de trajectoire par exemple.

 

Voici mon exemple pour être plus concret, car ici je doit n'avoir choqué plus d'un.

 

On découvre une nouvelle civilisation Extraterreste au temps X, disont un certain dimanche de l'année 2000. Celle-ci est situer a 4 année-Lumière de la terre. (4 x 10 000 000 000 km du Soleil). Nous lui faisont parvenir un message qui lui indique le départ d'un astronautes dans 4 ans, qui aura lieu apres la reception d'un message de confirmation de leur part. En 2004 l'astronautte par vers la nouvelle civilisation à plus de 90% de la vitesse de la lumière. Mais voila les ETs ont une autre manière de mesurer le temps, mais cela n'est pas majeur car il save que le départ a eu lieu. Pour eux, ce temps X correspond a l'année 4000 (disont). Donc à la vitesse de 90% de la lumière, il attente l'astronaute terriens pour l'année 4004 + 5 ans de voyage = 4009 (mesure approximative bien sur). Résumons : à l'arrivez de l'astronaute sur la planète des ETs, la terre ce trouve en 2009 et les ET en 4009, ce que l'astronaute peut très constater, le voyage a bien duré 5 ans dans le temps réelle des référentiels planetaires. Mais pour ce qui est de ces propres mesures de temps (référentiel de l'astronaute), les données sont très différentes, et le voyage lui semble n'avoir durée que huit mois, en tout conformité avec la relativitée restreintre.

 

Mais alors que se passe t'il dans tous ca, en fait il y a un temps immaginaire absolut pour tout les systemes de l'Univers (ou référenciel d'Univers), il s'agit du moment présent ou du temps présent, une sorte de concepte porté sur la réalité Universelle présente pour tout les systèmes et tout les référentiels. Pour l'astronaute qui a voyager a plus de 90% de la vitesse de la lumière, ce n'est pas le temps qui a relentit, mais tout son systeme de référence a subit un changement d'état vibratoire de l'énergie et de la matière composant le vaisseau de l'astronaute. Ainsi les atomes et les molécules du vaiseau ont moins réagit, versus l'état initale, et par ricochait l'état de conscience de l'astronaute a subit les memes effects. D'ou l'aspect de la dilation du temps, ou temps percu qui coule moins vite.

 

De quoi s’agit-il en fait ?

 

Et bien si nous fournissons de l'énergie à une particule quelconque, la physique nucléaire (et ceci grâce à Einstein et E=mc2) nous dis que le système va acquérir de l'énergie et accélérera selon certains principe de causalité physique. Plus la vitesse approche de celle de la vitesse de la lumière et plus le système semblera suspendu dans le temps en quelque sorte. A la vitesse de la lumière, les photons sont en fait des particules intemporelles et sont suspendues dans le temps, dans une sorte d’états de maximalisation de leur énergie intrinsèque, ayant une masse nulle et cela jusqu'elles interagissent de nouveau avec leur milieu extérieur. Mais pour moi il s'agit plutôt ici d'une autre chose que le temps proprement dit, pour expliquer et interpréter l'origine de ce phénomène. J'interprète la chose de la manière suivant. Plus le système acquière de la vitesse pour se rapprocher de celle de la vitesse de la lumière et plus son niveau de stabilité énergétique, et donc vibratoire, aura tendance à se stabiliser pour devenir maximum à c. Pour moi cela veut dire que les distances entre les particules vont diminuer par l’absorption et l'augmentation des différents niveaux d'énergie-vibratoire (vecteur d'état). Toutes les différentes structures interne des particules qui compose un objet, vont également rétrécire en y inclurant les orbitacles électronique des atomes. Pour moi le rapprochement des particules est la contraction de l'espace situer entre elles, est causée par l'augmentation intrinsèque de l'énergie-vibratoire du système (contraction des longueurs de Lorentz)

 

Le temps réactionnel entre les différentes interactions électromagnétique et les particules en sera tout autant toucher par leur diminution d'affinité réactionnelle respectif entre elles. Mais ici il ne s'agit pas directement du temps qui est là que pour interpréter et mesurer les différents changements et évolution d'états du système observé et de leur durée, afin de quantifier les différents niveaux d'énergie mis en cause. Pour moi il s'agit plutôt des niveaux d'énergie-vibratoire de chaque particule qui tendent vers des niveaux de stabilisation de plus en plus stable et de plus en plus élevée, ce qui se traduit par une diminution ou d'un arrêt interactionnelle (stabilité plus grande) entre les particules à la vitesse c et d'une certaine forme de suspension temporelle ou plutôt vibratio-énergétique du système en question (dilatation du temps de Lorentz). Ici il ne s'agit pas d'une véritable interprétation de la dilatation du temps, que nous observons et exprimions en mathématique pour comprendre le phénomène et le rendre palpable (système de mesure). Mais plutôt d'une suspension réactionnelle et interactionnelle des champs d’énergie électromagnétique ou vibrato-énergétique pour toutes les particules du système, qui subissent alors une augmentation et une sorte de stabilisation de leurs différents niveaux d'énergie et donc vibratoire, Pour moi c'est plutôt de cette forme qu'il faut interpréter la véritable dilatation du temps dans la relativité. Les particules semblent figées avec des niveaux d'énergie très grande ce qui augment leurs niveaux vibratoires intrinsèques de chaque une d'elle et leur durée de vie (muon relativiste). Ainsi la fixation d’aspect temporelle du système à la vitesse c, est une propriété vibratoire intrinsèque du système et non par la dimension temporelle comme t-elle, qui n'est en réalité qu’une des différentes formes interprétatives du formalisme mathématique relativiste.

 

Mais le formalisme est équivalent dans les 2 cas de figure ici !

 

Gilles

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