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remonter le temps


actarusse

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Salut Glevesque! je voudrais savoir juste une chose: quelles études a-tu suivies?as-tu opté pour la philo,la théologie,la cosmologie,la physique?..depuis le début de ce post,j'essaie tant bien que mal de te comprendre et de suivre le fil de tes idées,mais c'est un travail bien complexe.Je m'explique:tes idées se noient dans un langage mêlant une philosophie "approximative" à une syntaxe hâchée et "barbare".Je pense que tu as "certaines idées"(bonnes ou pas,je ne les juge pas) mais tu t'embrouilles tellement dans ton texte que l'ON NE COMPREND RIEN! pourquoi n'ecris-tu pas SIMPLEMENT dans un langage clair et SIMPLE ce que tu penses? d'autant plus que le thème abordé demande une réflexion SCIENTIFIQUE et tes explications philosophiques relèvent plus du domaine de l'abstrait!;) ( je sais de quoi je parle,j'ai suivi des études de lettres);tu n'expliqueras rien en utilisant un tel langage(tu finis même par dire que" finalement,tu ne sais pas":o ),tout cela m'énerve car j'essaie d'avoir des réponses claires sur ce sujet (remonter le temps) et chaque fois,tu réponds à côté !..alors,STP,exprimes-toi correctement où ne dis rien ! merci!;)

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Invité glevesque
Posté

Salut

 

OK ! Éssaillons ! ;)

 

La question est finalement de savoir qu'est-ce que la nature réelle du temps !

 

Qu'est-ce qui nous permet d'appréhender et d'aborder cette notion de la temporalité des choses !

 

Ce qui caractérise le temps, est au finale la durée d'un phénomène qui implique donc des niveaux d'énergie entre les choses qui interagissent entre-elles !

 

Alors, cela veut dire également que le temps n'est pas définit par les phénomènes interactionnels, mais que ces dernier le caractérises comme attributs du passage de quelque chose (l'éternel moment présent, dont les durée caractérise les mouvement/transition phénoménale des choses interactionnelles) dont la cause primaire est l'énergie qui compose tout système de matière et de leurs distribution densitométrique à travers l'espace (notion d'étendut entre les choses composé de matière-énergit et leurs inter-relation ou influence)

 

Le temps est donc une notion de durée, ou d'un ensemble de durée qui est étroitement relié à l'énergie qui implique des échange, des relation, des interaction, mais aussi des énergie de la matière au repos !

 

Tout système, sur le plan des transition d'énergie sur les dynamiques interrelationnelles et interactionnelles, va également influencé les états propre en énergie du même système en transition. Au vitesse relativiste il en est de même. Les particule subissent une contraction et une dilatation de leurs états propre, et ceci a cause de l'apport d'énergie supplémentaire apporté par le mouvement vitesse/impulsion. Cette contraction et cette dilatation sur les différents niveaux (dimensionnel) d'énergie interne aux corps de matière (résultant de cette même énergie sous forme d'onde stationnaire) va a son tour modifier les durée phénoménal. Le temps, cette notion abstraite qui sert de notion d'encadrement pour la mesure en relativité et à travers son formalisme (et donc de l'appréciation de la transition des choses), va mesuré les effets de ce mécanisme qui ce manifeste sur les niveaux interne des énergie pour chaque corps d'un système donner (un vaissau spatial disont !)

 

Ici la relation de proportionnalité (V/C) qui est effectué dans le formalisme relativiste, atteste cette états de fait ou cette état de cause. Il y a bien contraction des étandut (notion d'espace et de distance) et des durées (notions de temps et dynamique des temporalité). Mais ce n'est pas ni le temps ni l'espace qui en subit les effets, mais bien les objets eux-même ! Ce n'est pas le temps ni l'espace qui se dilate ou ce contracte (étant de simple objets mathématique de mesure dont la dynamique atteste cette dynamique), mais bien les durées qui implique les bilan interactionnelle et les étandut qui définit les relations et les interrelations entre les objets et en fonction du nouveau bilan énergétique que va acquérir le système à travers un cadre relativiste (impulsion/vitesse dépassant 10% de la vitesse de la lumière C).

 

Les notions de contraction des étandut (espace en relativité) et des durées (notion de temps en relativité) définit les différents niveaux interne sur le plan des énergie de chaques corps qui le compose. La constance de C, à travers les différents principe d'équivalence traduit ce fait, et sait pour cela que nous devons effectuer des relations de proportionnalité (V/C) de Lorentz (et non plus d'Einstein) car pour un référenciel les paramètre de son référenciel propre ne sont plus au même niveau d'énergie que le milieu qui l'entoure. Étant contracter en étendut phénoménologique ainsi quand durée phénoménal sur les mécanisme d'échange d'énergie et de transition d'état d'énergie, et bien le monde semble pour notre observateur qui se retrouve a l'intérieur de t'elle référenciel, et bien le monde (en distance et temps subjectif, mais en durée et étandut objectif) lui parrait plus court (espace contracté) et donc moins long en durée (temps dilaté).

 

Ce sont les objet, et non un tissus quelconque qui entoure et englobe les objets qui subissent les effets de la relativité. Ceci implique que le temps n'existe pas comme t'elle, mais que les durée sont dilaté (niveau d'énergie de stabilité interne plus grande) et que les étendut sont contracter (énergie interne plus stable mais aussi plus forte). Tout comme le photon qui a vitesse C, semble suspendut à travers le temps (ou durée interactionnel) et dont les distance semble innexistante (étandut 0).

 

C'est juste sur les niveau d'énergie et donc vibratoire que les effets de la relativité vont ce faire ressentir, et non pas à travers une notion de temporalité dimentionnelle ! Mais bien sur les durée et les étandut qui implique des interrelation entre les choses composées de matière-énergie face aux différents mécanisme qui relit toute cette dynamique relationnelle sur le plan des énergie !

 

Sans intégrer les aspect de la relativité (V/C) et bien les calcule d'interception de trajectoire serait a tout cout faussé, et les marges d'érreur seront de la grandeur de cette proportionnalité (V/C) des vitesse par rapport a C (relativité sur les objets de Lorentz).

 

Il ne peut donc pas y avoir de voyage temporelle vers le passer ou vers le future, mais juste des notions de suspension (au vitesse relativiste) a travers le passage ou l'écoulement de l'éternel moment ou instant présent ! Car seul l'observation des mécanismes transitionnelles qui implique des notions de durée phénoménale, dont en physique nous encapsulons les dynamique par la subjectivité mathématique de la variable du temps qui traduit ces transition à travers le formalisme relativiste (et donc de durée et non de temporalité) et il en est de même pour l'espace, qui deviens en réalité une mécanique des étandut.

 

Si la relativité approche et aborde les effets des champs gravitationnelle par un système dynamique de mesure qui est axés sur l'espace (étendut) et le temps (les durée) qui se trouve entre les objets (dont découle réellement les cause phénoménales) et non les objets eux-même, et bien c'est justement pour faire resortir l'action de cette dynamique et donc les effets et non la cause ! La géométrie courbe découlant directement de l'invariance de C (V/C).

 

Gilles

  • 5 mois plus tard...
Posté

SAlut a tous

 

Pour te repondre sur ceci;

 

Bonjour Lejon,

 

Cela servirait à quoi de participer à une discussion, sachant pertinemment à l'avance que l'un des participants principaux fera ensuite disparaître systématiquement tous ses textes et laissera ainsi à la discussion un aspect complètement défiguré ?

 

Il me semble important d'assumer ses propres propos en tout temps, tout empreints d'erreurs soient-ils. Et lorsque certains de nos propos sont mal interprétés, nous avons toute latitude pour apporter des rectificatifs. À la rigueur, on peut comprendre qu'un participant fasse disparaître un message où il a eu un comportement disgrâcieux, mais pour le reste :confused:

 

Bon, a toutes les fois qu'il est contredit, il fait le meme scenario partout ou qu'il passe, et la fait recement sur mon forum et j'ai du le bannir......

 

Bon debarras!!

 

Certes , un tres bon interlocuteur, mais tres complexé!!!!

 

amicalement

  • 4 semaines plus tard...
Posté
Il y a eu des expériences comme quoi il était possible de ralentir le temps en allant très vite. à la vitesse de la lumière, le temps est quasiment arrêté (donc les photons n'auraient pas d'âge ?). peut-être que le temps va à la vitesse de la lumière et qu'en allant à la même vitesse on ne subit plus son action ?

 

mais alors à supposer que ce soit possible d'aller plus vite, on irait donc "plus vite que le temps" (attention, c'est une expression de moi, ce n'es pas très scientifique) et donc on le remonterait ?

 

Quand à le faire accélérer, il faudrait peut-être aller très lentement (sans subir la rotation de la terre sur elle-même, autours du soleil, autours du centre de la galaxie, et qui sait à quelle vitesse encore va la galaxie ? et vitesse par rappport à on ne sait pas quoi en fait, si jamais il existe un centre de l'Univers Immobile)

 

Est-ce que alors, à la vitesse de la lumière, le temps n'existerait pas, et que dans l'Immobilité totale, ON n'existerait pas car on serait déjà mort ?

 

Pour les trous de ver, oui, forcément si on arrive à créer ces fameux trous (ce qui est encore à imaginer je crois) et si on arrive à en faire aller une "extrémité" (à supposer encore qu'on arrive à distinguer deux extrémités et à les manipuler) à la vitesse de la lumière pendant un certain temps, alors si on arrivait à passer par l'autre extrémité, on se retrouverait dans le passé. et là ça implique tous les paradoxes imaginés pour l'occasion.

 

et est-ce que ce serait possible d'emprunter le chemin en sens inverse ? Combien de temps vit un trou de ver si on s'amuse à manipuler une des "extrémités" dans le temps ?

 

Par contre, je n'ai pas entendu parler d'une possibilité de jouer avec le temps avec la température, quelqu'un pourrait m'expliquer ?

 

profont c k tu di:waaarg:

Posté

Dans le but de comprendre les lois et ces voyages dans le temps et si je ne suis pas dévié j'ai cité ceci dans un sens proche : imaginant un petit bateau stationné dans une mer nettement calme et équipé par des chemins dans son intérieur ; des centaines de gens parcourent ces chemins circulaires de ce bateau en passant certains d'eux par le fond émergé de ce bateau et dont chacun avec sa propre manière et son choix en présence des multiples contraintes causales dans le parcours bien sur ; le résultat de tout ça prend forcément un sens aléatoire dans le mouvement de ces gens ; à l'extérieur de ce bateau ; un observateur voit la partie émergée du petit bateau à un niveau fixe et conclut immédiatement que le fait de ces gens n'est qu'une étrange combinaison extraordinaire et etc…

Interprétation :

1- il est impossible d'avoir ça s' il y a qu'un individu en mouvement et le reste à l'arrêt

2-des conclusions encore pour compléter dans ce sens

3-juste avoir lamarchat une place dans l'infini de l'univers déjà c'est étrange et ce n'est pas facile

  • 1 mois plus tard...
Posté
pourquoi, pour quelqu'un qui se déplace à grande vitesse par rapport à moi, le temps ne s'écoule-t-il pas de la même façon que pour moi ?

 

En fait, il n' y a rien à expliquer, c'est un fait physique qui a été verifié.

De l'invariance et la constance de la vitesse de la lumière est né la theorie de la relativité.

 

avec les transformations de lorentz, je crois, on peut calculer le temps que l'on gagne en fonction de sa vitesse de deplacement. mais pourtant il s'agit bien du meme temps !

 

si demain on prouve sa non invariance, tout est remis en question.

Posté
En fait, il n' y a rien à expliquer, c'est un fait physique qui a été verifié.

 

Euh...Si, il y a à expliquer, c'est d'ailleurs l'objet de la recherche scientifique. Ce qui ne veut pas dire que c'est facile à expliquer...

 

Là par exemple, l'explication réside dans la nature de l'espace-temps, le fait que le temps n'est pas une chose à part et indépendante de l'espace. La géométrie du monde dans lequel on vit est une géométrie à (au moins) 4 dimensions, dont le temps.

Posté
Salut Glevesque! je voudrais savoir juste une chose: quelles études a-tu suivies?as-tu opté pour la philo,la théologie,la cosmologie,la physique?..depuis le début de ce post,j'essaie tant bien que mal de te comprendre et de suivre le fil de tes idées,mais c'est un travail bien complexe.Je m'explique:tes idées se noient dans un langage mêlant une philosophie "approximative" à une syntaxe hâchée et "barbare".Je pense que tu as "certaines idées"(bonnes ou pas,je ne les juge pas) mais tu t'embrouilles tellement dans ton texte que l'ON NE COMPREND RIEN! pourquoi n'ecris-tu pas SIMPLEMENT dans un langage clair et SIMPLE ce que tu penses? d'autant plus que le thème abordé demande une réflexion SCIENTIFIQUE et tes explications philosophiques relèvent plus du domaine de l'abstrait!;) ( je sais de quoi je parle,j'ai suivi des études de lettres);tu n'expliqueras rien en utilisant un tel langage(tu finis même par dire que" finalement,tu ne sais pas":o ),tout cela m'énerve car j'essaie d'avoir des réponses claires sur ce sujet (remonter le temps) et chaque fois,tu réponds à côté !..alors,STP,exprimes-toi correctement où ne dis rien ! merci!;)

 

Ah bon, toi aussi, j'ai cru que ça venait de moi et que j'avais une attaque cérébrale ...!:be: Ca me rassure !

Posté

Citation:

pourquoi, pour quelqu'un qui se déplace à grande vitesse par rapport à moi, le temps ne s'écoule-t-il pas de la même façon que pour moi ?

 

Salut

Permettez moi de te dire que la distance de gheribi qui sépare l'oeil de ce quelqu'un et l'espace qu'il voit par cet œil devait changer en mouvement et son non changement dans ce sens traduit un changement en sens du temps

Posté

ce que je voulais dire, c'est que l'on peut expliquer jusqu'à un certain point...

et qu'il me parait difficile de vouloir posséder l'explication du tout et surtout du "in fine"

 

pourquoi la la vitesse de la lumière est t' elle invariante (quelque soit sa direction et sa source ) ? : c'est ainsi et à cause de cela, on en déduit le reste, relativité, espace à 4 dimensions etc...

Posté

pourquoi la la vitesse de la lumière est t' elle invariante (quelque soit sa direction et sa source ) ? : c'est ainsi et à cause de cela, on en déduit le reste, relativité, espace à 4 dimensions etc...

 

Ben oui, mais justement, il semble que cette façon de voir les choses évolue : L'espace-temps a des propriétés (de symétrie, isotropie, etc...) et l'invariance de c en devient une conséquence. Hé hé...:cool:

 

On n'a plus besoin de c invariant pour bâtir la Relativité Restreinte. Il y a eu un post là-dessus il y a quelque temps.

Posté
Ben oui, mais justement, il semble que cette façon de voir les choses évolue : L'espace-temps a des propriétés (de symétrie, isotropie, etc...) et l'invariance de c en devient une conséquence. Hé hé...:cool:

 

On n'a plus besoin de c invariant pour bâtir la Relativité Restreinte. Il y a eu un post là-dessus il y a quelque temps.

 

ben je dirais si on peut rebâtir la théorie à partir d'autres observations...tant mieux, voir la reformuler mathématiquement.

mais pour ce qui est de l'invariance de c, je ne pense pas. il y a souvent c dans les formules ...!

 

ce petit lien sur la fameuse expérience de Michelson-Morley :

expérience de Michelson-Morley

Posté

Allez, ma petite couche à moi, à mon tour.....

 

 

Philosophiquement parlant, le Temps n'a rien à voir avec la durée !!

 

Le Temps est considéré par E. Kant comme une " forme pure à-priori de notre sensibilité" ( cf: Critique de la raison pure ), ceci, notamment ,impliquant pour lui que le Réel est par définition inconnaissable et que nous ne pouvons connaître que des Phénomènes.

 

 

 

La Science a pour objet l'étude de ces phénomènes, mais ce qu'elle construit ne peut pas être la " Réalité des choses en soi" ,celle-ci étant par essence inconnaissable.

 

La Science étudie des phénomènes par le moyen de nos sens et sous la condition des notions d' espace et de temps, qui nous sont co-substantielles, c'est-à-dire qui nous appartiennent, qui "font partie de nous".

Nous sommes donc en quelque sorte "prisonniers" de nos sens ainsi que des notions de temps et d'espace, qui sont des "formes premières de notre entendement".

 

 

 

Celà ne veut pas dire que les théories scientifiques ne soient pas " vraies" ( encore qu'une vérité ne puisse être considérée comme scientifique que si elle est réfutable ), ni surtout qu'elles ne puissent être "valides".

 

Celà veut dire simplement qu'étant, par nature, tributaires et dépendants de nos sens ( y-compris a travers la médiation de la Technique ), ce que nous construisons peut être "vrai" au plan des phénomènes que nous appréhendons, mais ne peut en aucun cas rendre compte du "Réel des choses en elles-mêmes".

Ceci est au fondement même de notre condition humaine.

 

D'où le questionnement premier de Kant: " Que puis-je connaître?"

....................avec son implication morale: " Que m'est-il permis d'espérer?"........ et donc par conséquent: " Comment dois-je me comporter?"

 

 

Bon....voilà-voilà......

 

 

Et pour Zaurel "la littéraire" : " Le temps ne surprend pas le sage,

mais du temps le sage se rit;

car lui seul connait l'usage

de chaque jour que Dieu fit.

Aimons au printemps de la vie

afin que d'un noir repentir

l'automne ne soit point suivi.

Ne cherchons pas dans l'avenir..."

......................etc...etc....

Posté

Philosophiquement parlant, le Temps n'a rien à voir avec la durée !!

 

Le Temps est considéré par E. Kant comme une " forme pure à-priori de notre sensibilité" ( cf: Critique de la raison pure ), ceci, notamment ,impliquant pour lui que le Réel est par définition inconnaissable et que nous ne pouvons connaître que des Phénomènes.

 

Je pense qu'il faudrait dire l'écoulement du temps si on veut être plus précis, mais l'important est de savoir qu'il ne s'agit pas ici de notre perception subjective du temps, mais du phénomène lié à la thermodynamique, dont Kant n'étais pas vraiment le grand spécialiste...;)

Posté

mais pour ce qui est de l'invariance de c, je ne pense pas. il y a souvent c dans les formules ...!

 

Oui, mais en fait à partir des postulats suivants :

  1. Equivalence des référentiels d'inertie.
  2. Homogénéité de l'espace-temps.
  3. Isotropie de l'espace.
  4. Structure de groupe pour les transformations d'inertie entre référentiels.
  5. Causalité.

On fait apparaitre une constante dans les lois de transformations, c, et on déduit que c correspond à une vitesse invariante et infranchissable. L'expérience M&M permet alors d'associer cette grandeur invariante c à la vitesse de la lumière dans le vide.

 

(Sources : Relativité Restreinte - Bases et applications. Claude Semay et Bernard Silvestre-Brac - Ed Dunod)

Posté

Prendre une aspirine, puis digèrer le document suivant, qui détaille ce que raconte Jeff plus haut :

http://www.eleves.ens.fr/home/freundli/documents/espace_temps.pdf

 

Reste à expliquer pourquoi ça marche si bien, alors que certaines hypothèses sont manifestement localement fausses :

 

1) l' espace n' est pas homogène (planètes, galaxies, amas)

2) l' espace n' est pas isotrope (idem : la répartitions des objets ci-dessus n' est pas isotrope)

3) la causalité est violée par certains phénomènes (expérience d' Aspect).

Posté

Sur les deux premiers points, je ne sais pas si c'est recevable, considéré sur de grandes étendues...

 

Par contre, sur le troisième, c'est vrai que c'est le méga os de tout ça. L'incompatibilité fondamentale Quantique - Relativité, Dieu qui se paie notre tête...:confused:

Posté
Sur les deux premiers points, je ne sais pas si c'est recevable, considéré sur de grandes étendues...

 

Par contre, sur le troisième, c'est vrai que c'est le méga os de tout ça. L'incompatibilité fondamentale Quantique - Relativité, Dieu qui se paie notre tête...:confused:

 

Pas de bol Jeff : Considéré sur de grandes étendues (distance cosmologique), l' espace devient homogène et isotrope mais la RR ne marche plus :D

 

En fait j'ai honteusement triché pour le point 3). Ce n'est pas la causalité qui est violée dans l' expérience d' Aspect, c' est la localité.

 

N' empêche, quand on voit les conditions locales (répartition de matière très inhomogène à petite échelle, présence de concentration de masse et objets en rotation qui rendent pratiquement impossible la matérialisation d' un référentiel inertiel), on se demande pourquoi la RR marche si bien.

 

La RG résouds le problème, en s' affranchissant finalement de ces référentiels imaginaires.

Posté

En fait j'ai honteusement triché pour le point 3). Ce n'est pas la causalité qui est violée dans l' expérience d' Aspect, c' est la localité.

 

Oui si tu veux...Mais c'est une autre façon de dire l'incompréhensible : Des mesures faites à un endroit modifient instantanément (en tout cas, plus vite que la lumière) les mesures faites ailleurs...Alors localité ou causalité bousculées ?

 

Sinon, la RR ça marche en fait, tant qu'il n'y a pas d'accélération, ni de masse qui déforme l'espace-temps...

Posté
c' est à dire, en d' autre terme, nulle part :be:

 

Oui c'est vrai:be: (comme la géométrie euclidienne, ça marche bien, mais elle est fausse dans notre univers réel...).

Invité akira
Posté

La non localite ne viole pas forcement gr chose. Dans l experience EPR, il n y a pas d informations transmise. Qd on mesure une particule, on modifie l etat de l autre MAIS comme la premiere mesure est parobabiliste (une chance sur deux) il n y a pas de transmission d information.

Posté
Citation:

pourquoi, pour quelqu'un qui se déplace à grande vitesse par rapport à moi, le temps ne s'écoule-t-il pas de la même façon que pour moi ?

 

Salut

Permettez moi de te dire que la distance de gheribi qui sépare l'oeil de ce quelqu'un et l'espace qu'il voit par cet œil devait changer en mouvement et son non changement dans ce sens traduit un changement en sens du temps

 

Il me parait cher lamarchat que tu a presque compris qu'est ce qui interdit l'univers de ne pas avoir justement un autre age en sens de ce temps ; et oui c'est étrange et ce n'est pas facile

Posté
MAIS comme la premiere mesure est parobabiliste (une chance sur deux) il n y a pas de transmission d information.

 

Non, mais il y a influence (d'une façon ou d'une autre) de la première série de mesures sur la seconde... :b:

  • 2 semaines plus tard...
Posté
Je pense qu'il faudrait dire l'écoulement du temps si on veut être plus précis, mais l'important est de savoir qu'il ne s'agit pas ici de notre perception subjective du temps, mais du phénomène lié à la thermodynamique, dont Kant n'étais pas vraiment le grand spécialiste...;)

 

Il n'y a pas eu une expérience du genre horloge atomique au pied d'un gratte ciel et une horloge identique mais tout en haut et avec une (petite) différence de temps constaté ?

 

c'est un peu ça qui nous laisse pantois...

  • 1 mois plus tard...
Posté

Permettez moi de revenir par ces 2 essais un peu en arrière

 

Un train se déplace à V1 constante ; une voiture se déplace sur lui mais en sens inverse à son mouvement avec la même vitesse V1 constante encore. En appliquant la composition des vitesses qu'est ce qu'on obtient ?

 

Dés fois on cite comme ça un vaisseau démarre de la terre à 0,99 C et on conclut des résultats ; j'essaye de dire : en démarrant ce vaisseau à 0,99C je conclus de ma part qu'il démarre en parallèle avec une masse relative énorme et énorme et il va attirer avec lui la terre et son peuple ;le soleil et le tout ; il va déformer l'espace temps et va exploser notre univers avant son démarrage comme il me parait

 

amicalement

Posté

Essayez de comprendre ce que j'essaye de dire ;quelque soit il est mieux de qu' y a-t-il au nord du pole nord cité à chaque fois par tous pour comprendre la singularité et encore ..

Lorsque je vois l'espace qui sépare un objet et mon œil ; je conclu de cette séparation que je ne vois pas mon œil et je conclu aussi que je vois pas un espace proche adjacent à mon œil ; j'ai le droit que de dire : je ne le vois pas c'est tout dans l'attente de comprendre le plus mais d'aprés moi il va éclaircir lle vrai sens gh de notre espace ainsi que le sens des singularités y compris celle de l'ère de Planck et ect…

Posté
Lorsque je vois l'espace qui sépare un objet et mon œil ; je conclu de cette séparation que je ne vois pas mon œil et je conclu aussi que je vois pas un espace proche adjacent à mon œil

 

Tu conclus un peu vite, petit scarabée du désert !

Imagine que tu observes cet objet dans un miroir.

Tu vois l'objet ET ton oeil en même temps que l'espace proche (adjacent ou non)

Tu as le droit de dire ce que tu veux (enfin ça dépend où) mais pas que tu le vois pas.

Puisque tu vois même le miroir en prime !

Mes martiennes amitiés.;)

Posté

J'ai déjà placé ce miroir à une altitude en sens de la France et de l'Europe et ce qui m'étrange justement c'est qu'est ce qui interdit de ne pas te voir Icare toi aussi très éloigné dans ce miroir encore

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