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Posté

Vu le diamètre tu peux monté au max à 500x

un 5mm donnerai du 240x et un 2,5mm 480x.

Je laisse les copains poursuivre pour le type et les marques.

Sinon une bonne barlow 3x mini te permettrai de monter avec le 10 à 360x

A+

Posté

A 120 x et en visant une partie avec du contraste cela devrait être bon.

Moi pour te dire je monte à 400 x avec mon 200 et j'ai un bon relief sur la lune.

Avait tu vérifier que tu n'avais pas d'humidité sur les miroirs ou les oculaires, la mise en température est aussi importante, après il faut faut savoir un peu ou tu en est sur la collimation, sans pour autant la touché, car il faut bien se documenter avant sinon il y a de forte chance de plus dérègle que régler.

Pour moi à partir du moment que l'on a un newton il faut obligatoirement avoir un outil pour la collimation que ce soit un laser ou autre.

Il faudrait faire un test sur une étoile bien brillante pour voir si il est bien régler.

A+

Posté
C'est étrange car quand j'utilise le 10 tout seul la lune est toujours floue et je n'arrive pas à faire la mise au point. En revanche avec le 10 j'ai réussit à observer Saturne.

 

Floue ? Ce n'est pas normal, l'image est elle sombre ou bien brillante ?

Peut être faut il regarder a collimation. Sais tu la faire ?

Posté

Sur la lune, une focale de 3, 4, ou 5 passera sans probleme (sous reserve d'une bonne collimation) !!

Pour info, sur mon t406, je passe selon les soirs avec un 4,6 mm + barlow X 2

@+

Pascal

Posté (modifié)

Moi je te conseillerai un bon laser il faut compter 65 euros.

Car très facile à utiliser il faut savoir le vérifier en le faisant tourner dans le po pour voir si il ne décrit pas de cercle, après certains préfère un chechir une fois que l'on a bien compris c'est certainement plus simple.

Quoi qu'il en soit ne pas se précipiter faire d'autres observations en vérifiant si il n'y a pas de buée ou autre sur les miroirs ou oculaires.

Bonnes fêtes:)

A+

Modifié par Ryo
Posté

Le facteur limitant comme toujours c'est le seeing à moins que la collimation soit complètement en dehors, donc la plupart du temps le 10 et le 5mm seront toujours bons au delà ce sera peut être de trop. Sur ce type de scope je ne suis jamais allé au delà du 5mm (x240) sur la lune. Evidemment si le budget n'est pas un critère alors autant avoir toute la gamme d'un coup.

Posté

Avec un dobson 254/1200, j'ai régulièrement utilisé un oculaire de 4mm (TMB Optical Planetary II) de focale pour observer la Lune, et à une ou deux exceptions près, l'image était toujours un peu floue. Etant assez confiant question collimation, je crois que le seeing est toujours le facteur limitant, dans mon cas.

 

Récemment, je suis passé à un 5mm (Hyperion) et l'image est nettement meilleure. Je trouve qu'en pratique, c'est vraiment la plus courte focale utilisable avec ce type de télescope.

 

Bon ciel !

Posté (modifié)

Si l'image n'est pas bonne avec un 10 mm, augmenter le grossissement ne ferra qu'empirer les choses. Le grossissement maximal théorique est dans la pratique souvent impossible à atteindre (sauf avec les petits instruments), à cause de la turbulence. Et sauf cas particuliers, çà ne sert à rien!

 

Faut-il rappeler que dépasser le grossissement résolvant (entre 0,5 et 1 fois le diamètre exprimé en mm selon les sources, soit entre 125X et 250X pour un 250 mm), ne fait apparaître aucun détail supplémentaire?

 

Avec mon ancien T250 (de bonne qualité et bien collimaté) je dépassais rarement les 200X de grossissement. Après c'est aussi une question de goût, certains préfèrent la taille de l'image à son piqué, et inversement. A voir aussi que le champ réel diminue avec l'augmentation du grossissement.

Modifié par loulou7331
Posté

Faut-il rappeler que dépasser le grossissement résolvant (entre 0,5 et 1 fois le diamètre exprimé en mm selon les sources, soit entre 125X et 250X pour un 250 mm), ne fait apparaître aucun détail supplémentaire?

 

Quelle est la définition du grossissement résolvant ? C'est le grossissement maximal intrinsèque de l'instrument ?

Je suppose qu'il est déterminé par la diffraction liée à l'ouverture et par la diffraction liée à l'obstruction dans le cas d'un Newton. L'état de surface du miroir intervient-il aussi ?

 

Avec mon ancien T250 (de bonne qualité et bien collimaté) je dépassais rarement les 200X de grossissement. Après c'est aussi une question de goût, certains préfèrent la taille de l'image à son piqué, et inversement.

 

Je suis d'accord. Avec mes anciens oculaires, chaque fois que j'observais la Lune, je tentais une observation avec le 4mm. Et systématiquement, je préférais les images obtenues avec le 9mm...

Posté

Le grossissement résolvant est le grossissement à partir duquel les plus petits détails théoriquement accessibles pour le diamètre de l'instrument, sont visibles. Les calculs donnent 0,5 D, mais celà suppose un excellent instrument, un excellent ciel....et un excellent observateur. On donne souvent 1 D, car plus réaliste.

 

Il y a des objets où on gagne vraiment à forcer le grossissement au-delà du grossissement résolvant (si la qualité optique de l'instrument et le ciel le permettent): Mars, ainsi que les petits disques planétaires (Uranus, Neptune).

 

Je pense qu'il ne faut pas s'arrêter à des concepts théoriques et à des "on dit", il faut tester soi-même tout ce que l'on peut. Mais lorsqu'il s'agit de conseiller un oculaire à un débutant qui n'a pas le budget pour une collection complète d'oculaires, autant conseiller le grossissement qui sera utilisé le plus souvent.

Posté

Bonjour

+1 loulou. Je ne comprends pas cette tendance à vouloir grossir à outrance. 1200 de focale je ne descendrais pas en dessous de 6mm avec un bon seeing.

Posté
Le grossissement résolvant est le grossissement à partir duquel les plus petits détails théoriquement accessibles pour le diamètre de l'instrument, sont visibles. Les calculs donnent 0,5 D, mais celà suppose un excellent instrument, un excellent ciel....et un excellent observateur. On donne souvent 1 D, car plus réaliste.

 

Il y a des objets où on gagne vraiment à forcer le grossissement au-delà du grossissement résolvant (si la qualité optique de l'instrument et le ciel le permettent): Mars, ainsi que les petits disques planétaires (Uranus, Neptune).

 

Je pense qu'il ne faut pas s'arrêter à des concepts théoriques et à des "on dit", il faut tester soi-même tout ce que l'on peut. Mais lorsqu'il s'agit de conseiller un oculaire à un débutant qui n'a pas le budget pour une collection complète d'oculaires, autant conseiller le grossissement qui sera utilisé le plus souvent.

 

Merci !

 

Ma modeste expérience confirme le critère du 1D. C'est vrai qu'il est préférable d'expérimenter... on n'a pas tous la même vue ;)

 

Bonjour

+1 loulou. Je ne comprends pas cette tendance à vouloir grossir à outrance. 1200 de focale je ne descendrais pas en dessous de 6mm avec un bon seeing.

 

Et pour être plus "pratique", je confirme aussi cette affirmation. Avec mon 5mm, c'est bien mieux qu'avec 4mm, mais on voit quand même l'impact de la turbulence... Malheureusement, pour l'instant, je n'ai rien entre 5mm et 10mm...

Posté

Bonsoir à tous,

La focale max serait vers 5, mais certains soirs j'arrive a grossir plus, pourquoi s'en priver

L'oculaire qui me sert le plus pour tout (lune, amas, planéte galaxie), est 8.8 meade UWA

Celas se trouve encore en occasion, il faut attendre un peu parfois...

Posté (modifié)
Quelle est la définition du grossissement résolvant ? C'est le grossissement maximal intrinsèque de l'instrument ?

 

Tout dépend des paramètres d'entrée que l'on considère. Si l'on prend en compte le critère de Raleigh pour séparer 2 sources ponctuelles et une acuité visuelle moyenne de 2 arc minutes. Le calcul nous dit que le Grossissement résolvant vaut Gr = 0.87 x D. Après certains peuvent faire le raccourci en disant que G = D pour simplifier ... mais ceci reste théorique car nous n'avons pas tous la même acuité visuelle et puis avec le critère de Dawes ce grossissement devient plus avantageux Gr = 1 x D (souvent utilisé chez les constructeurs).

Modifié par jgricourt
Posté (modifié)

Pour le grossissement résolvant : l'acuité visuelle est très variable pour un même individu.

Quelqu'un qui aurait dix dixièmes (séparation d'une minute d'arc) dans le cabinet de l'ophtalmo n'a plus du tout 10/10ème derrière l'oculaire sur les planètes.

 

Parce que chez l'ophtalmo, on est dans des conditions très favorables de mesure de l'acuité, le contraste des optotypes est de 100%, les contours sont nets et l'éclairement de la rétine est puissant.

Or l'acuité chute si on abaisse le contraste ou si on abaisse l'éclairement. Le pompon étant quand on abaisse contraste ET éclairement.

Sur les planètes, les contrastes sont faibles, les contours pas souvent tranchés et l'éclairement chute vite (sur Jupiter, ou encore pire Saturne, Uranus, Neptune, car elles ont une luminance faible) quand on pousse le grossissement. L'acuité est donc très inférieure à 1' d'arc dans ces conditions.

 

Donc le Gr résolvant est très supérieur à 0,5D (ce 0,5D est calculé en prenant une acuité visuelle de 1' d'arc).

 

Fred.

Modifié par fred-burgeot
Posté
Tout dépend des paramètres d'entrée que l'on considère. Si l'on prend en compte le critère de Raleigh pour séparer 2 sources ponctuelles et une acuité visuelle moyenne de 2 arc minutes. Le calcul nous dit que le Grossissement résolvant vaut Gr = 0.87 x D. Après certains peuvent faire le raccourci en disant que G = D pour simplifier ... mais ceci reste théorique car nous n'avons pas tous la même acuité visuelle et puis avec le critère de Dawes ce grossissement devient plus avantageux Gr = 1 x D (souvent utilisé chez les constructeurs).

 

Merci pour ces explications :)

Posté
Pour le grossissement résolvant : l'acuité visuelle est très variable pour un même individu.

Quelqu'un qui aurait dix dixièmes (séparation d'une minute d'arc) dans le cabinet de l'ophtalmo n'a plus du tout 10/10ème derrière l'oculaire sur les planètes.

 

Parce que chez l'ophtalmo, on est dans des conditions très favorables de mesure de l'acuité, le contraste des optotypes est de 100%, les contours sont nets et l'éclairement de la rétine est puissant.

Or l'acuité chute si on abaisse le contraste ou si on abaisse l'éclairement. Le pompon étant quand on abaisse contraste ET éclairement.

Sur les planètes, les contrastes sont faibles, les contours pas souvent tranchés et l'éclairement chute vite (sur Jupiter, ou encore pire Saturne, Uranus, Neptune, car elles ont une luminance faible) quand on pousse le grossissement. L'acuité est donc très inférieure à 1' d'arc dans ces conditions.

 

Donc le Gr résolvant est très supérieur à 0,5D (ce 0,5D est calculé en prenant une acuité visuelle de 1' d'arc).

 

Fred.

 

Merci !

 

Ces considérations me rappellent les "débats" télescopes vs lunettes ou petit miroir d'artisan vs grand miroir industriel. J'imagine que ce que tu as écrit explique le fait qu'une image de piqué moyen mais très lumineuse puisse être considérée "à l'oeil" comme meilleure qu'une image avec un très bon piqué mais peu lumineuse... Et cela doit dépendre de l'objet, des conditions de turbulence, etc...

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