ombres portée

[gerard33]

Bonjour

eh non, il n'y a pas de fautes, les ombres sont bien sur une portée (elles ont maintenant disparu )

 

 

les oies sauvages se carapatent vers le nord

 

 

elles prennent le chemin des transparences bleues

[Vince84]

Superbes prises Gérard,

j'adore ces notes de musique !!

[Nono77]

Quelle poésie ou symphonie . Belle prise de vue !

[syncopatte]

J'adore!

 

Faudrait inventer la clé de L'oie, car une clé de sol pour les airs me fait malheureusement penser à la guerre.

 

(et autres migrations)

 

Patte.

 

PS: je me demande où je vais chercher tout cela? On dirait du Paul WIllIams!

Modifié 17 février 2017 par syncopatte

[gerard33]

 

Faudrait inventer la clé de L'oie!

qu'en ferait-elle? il lui manquerait une serrure et une grille

ou bien:

 

"4sAcTblDwsE" via YouTube
ERROR: Si vous lisez ce texte, YouTube est hors-ligne ou vous n'avez pas installe Flash

[syncopatte]

Elles remontent dans le ciel celles qui donnent une clé sol cosmos (vielle image):

 

 

Patte.

[Siriusdenis]

Salut Gérard,

 

Il me semble que ce sont des Grues cendrées :-).

 

Cela n'enlève en rien à l'originalité de ta photo ! J'adore !

 

Bien à toi,

 

Denis.

[gerard33]

Salut Denis

je ne connais pas les marques d'oiseaux mais tu dois avoir raison

il y a d'ailleurs des sédentaires près de chez moi

 

 

un gros plan pour identification

[Vince84]

J'ai vu les memes passer au dessus de ma tête cet aprem...

Tout en cacophonie, elles prévenaient de leur arrivée, et une fois en visuel, juste le temps d'aller chercher les jumelles pour les voir traverser le ciel bleu azur (ce jour seulement) !

 

Du coup j'ai repensé à toi Gérard, à ta "partition volante" et en ai fait part à ma fille, musicienne débutante, qui fut intriguée et à qui j'ai donc montré ton cliché fort apprécialbe

[Siriusdenis]

Salut Denis

je ne connais pas les marques d'oiseaux mais tu dois avoir raison

il y a d'ailleurs des sédentaires près de chez moi

 

Grus grus est une marque d'avions dont les ouvriers, pendant les grands froids, sont au chômage technique.

Ils prennent donc leurs quartiers d'hiver en France et Espagne pendant que les sites d'assemblage nordiques (Suède, Nord du Danemark, Norvège, Allemagne, Pologne, etc...) font l'objet d'une maintenance involontairement humaine .

Quand les beaux jours reviennent, ils est temps de déployer ses ailes et de se frayer un chemin à travers les éoliennes, les lignes haute-tension, les chasseurs...

Arrivés sur leur(s) site(s) d'assemblage, des nouveaux couples se forment et restent ensemble pour toute la durée du contrat nuptial, c'est-à-dire : jusqu'au licenciement létal de l'un ou l'autre.

Dans cette entreprise, pas de syndicat mais pas de patron. Beaucoup d'heures supplémentaires non-payées mais, en contre-partie, beaucoup de pauses casse-croute.

Les disputes incessantes au sujet de la meilleure place dans la chaîne de production font l'objet de discussions acharnées à grands coups de pattes, becs et ailes.

Une fois les nouveaux avions assemblés et, après de nombreux tests rigoureux en vol, ils repartent vers le sud et passent au-dessus de nos têtes tout en se chamaillant !

Tandis que moi, Homo Sapiens, je ne peux m'empêcher de les admirer à chaque aller-retour, au fil des saisons.

Rien que d'entendre cette symphonie en vol majeur si caractéristique au loin, annonçant leur arrivée, j'en ai déjà la chair de poule et je sens cette montée d'adrénaline me parcourir l'échine. Indescriptibles moments de bonheur qui durent depuis des décennies.

J'espère seulement que cette entreprise ne connaîtra pas la crise, malgré des hauts et des bas, c'est tout le mal que je leur souhaite !

 

Denis.

[gerard33]

Grus grus est une marque d'avions dont les ouvriers, pendant les grands froids, sont au chômage technique.

Ils prennent donc leurs quartiers d'hiver en France et Espagne pendant que les sites d'assemblage nordiques (Suède, Nord du Danemark, Norvège, Allemagne, Pologne, etc...) font l'objet d'une maintenance involontairement humaine .

Quand les beaux jours reviennent, ils est temps de déployer ses ailes et de se frayer un chemin à travers les éoliennes, les lignes haute-tension, les chasseurs...

Arrivés sur leur(s) site(s) d'assemblage, des nouveaux couples se forment et restent ensemble pour toute la durée du contrat nuptial, c'est-à-dire : jusqu'au licenciement létal de l'un ou l'autre.

Dans cette entreprise, pas de syndicat mais pas de patron. Beaucoup d'heures supplémentaires non-payées mais, en contre-partie, beaucoup de pauses casse-croute.

Les disputes incessantes au sujet de la meilleure place dans la chaîne de production font l'objet de discussions acharnées à grands coups de pattes, becs et ailes.

Une fois les nouveaux avions assemblés et, après de nombreux tests rigoureux en vol, ils repartent vers le sud et passent au-dessus de nos têtes tout en se chamaillant !

Tandis que moi, Homo Sapiens, je ne peux m'empêcher de les admirer à chaque aller-retour, au fil des saisons.

Rien que d'entendre cette symphonie en vol majeur si caractéristique au loin, annonçant leur arrivée, j'en ai déjà la chair de poule et je sens cette montée d'adrénaline me parcourir l'échine. Indescriptibles moments de bonheur qui durent depuis des décennies.

J'espère seulement que cette entreprise ne connaîtra pas la crise, malgré des hauts et des bas, c'est tout le mal que je leur souhaite !

 

Denis.

Belle allégorie post-terminatorte

en tant que vieux vicieux je serais plutôt parti sur d'autres grues, celles que l'on trouve sur les grands ports la nuit et qui ne servent pas à lever toutes les marchandises

à bas Grus, que vivent les grues