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Pourquoi partir sur un cher ethos quand un ES 100° en 9mm te donne un résultat proche pour 300€... lol

 

Perso mon 4mm sors souvent mais ne marche pas H24, d'ou mon achat prochain d'un 5mm.

 

En attendant si il part sur un ES 11mm et un ES 6,7mm pour son 250, il aura un set plutot sympa en ocumaire de qualité à 82°.

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Les pipelettes du sujet

Les pipelettes du sujet

Posté (modifié)

Quand je parlais de planétaire, je ne parlais pas de la Lune.

 

C'est autre chose, la Lune : même avec une turbulence pourrie, on obtient une image qui ondule mais qui permet tout de même de percevoir beaucoup de détails car la forte luminosité offre des contrastes élevés, surtout en lumière rasante. La Lune permet de grossir comme un porc, il n'y a pas vraiment de limite.

 

Bien sûr, on peut vouloir la cadrer en entier et il faut un oculaire de plus longue focale et/ou plus grand champ apparent. L'image peut être plaisante mais on on peut aussi bien la détailler dans des conditions similaires aux jumelle, si on va par là. Sur la Lune, il est également intéressant de se balader dans les détails du relief, et comme c'est un objet plutôt permissif en terme de grossissements extrêmes, ce serait dommage de s'en priver.

 

Non, je parlais bien des planètes lointaines du système solaire, du moins celles sur lesquelles le défi consiste à obtenir les détails de surface les plus fins, donc Mars, Jupiter et Saturne.

 

Sur le dobson 300/1500 sur lequel j'ai pu tester le Pentax XW 5mm, le grossissement de 300x obtenu donnait une image relativement petite, mais très piquée et détaillée (sur Saturne et Mars ce soir-là), et le champ apparent de 70° offert par cet oculaire laissait largement le temps de cadrer la planète, de peaufiner la mise au point et de l'observer à loisir en la laissant dériver dans le champ de vision après avoir tout lâché pour ne produire aucune vibration.

 

Car il s'agissait d'un dobson GSO tout simple, 100% manuel, donc.

 

Les éléments à prendre en compte ici sont donc :

 

- La stabilité de l'instrument, qui ne vibrait pas une fois qu'on l'avait lâché

- La facilité de mise au point : ici avec un crayford non démultiplié

- Le grossissement obtenu et le rapport f/D : en l'occurrence, 300x à f/D 5

- Le champ apparent de l'oculaire, donc le champ le obtenu et le temps de passage dans le champ de l'oculaire à 300x (ce qui donne la vitesse de défilement apparent de l'objet).

 

Ce que je veux dire, c'est que c'était tout à fait confortable et que la mise à point était faisable dans souci.

 

En extrapolant à un instrument similaire en 250/1250, nous obtenons :

 

- Même rapport f/D = 5, donc a priori mêmes conditions de mise au point, de surcroît facilitées par la démultiplication (j'utilise actuellement le même crayford démultiplié sur mon 254 mm f/4,7, donc théoriquement réellement plus chiant pour la mise au point). Mais le crayford lui-même est concerné, voir à la fin de ce post.

 

- Pour obtenir un grossissement similaire, il faut un oculaire de 4,1667 mm, donc autant dire qu'un 4 mm doit théoriquement très bien passer.

 

- Par contre, si le champ apparent de cet oculaire est réduit (par exemple s'il s'agit d'un Super Plössl avec 50° de champ apparent), effectivement, un 5 mm risque d'être plus pratique. Le grossissement obtenu de 250x n'est pas idéal à mon sens, mais déjà correct, et de toutes façons déjà un peu mieux que les 240x qu'il donnerait sur mon instrument (grossissement que j'ai jugé "cul entre deux chaises", trop faible pour le planétaire et trop fort pour le CP en général, ce qui explique pourquoi j'ai rapidement revendu ce 5 mm). Donc effectivement, il pourrait être la limite si tu rencontres réellement de gros problèmes avec un 4 mm.

 

 

 

Bon, maintenant quelques mots au sujet de la mise au point et de la qualité de ce crayford.

 

Tout d'abord, c'est surtout qu'une erreur de mise au point se voit plus à fort grossissement parce tu l'emploies pour scruter de menus détails, tandis qu'à faible grossissement, tu t'intéresse à la forme générale d'un objet très étendu et que si tu ne cherches pas à y scruter des détails, l'image obtenue te satisfera peut-être. En fait, comme il est difficile de faire la mise au point sur un nuage de gaz, tu dois faire attention à la netteté des étoiles alentours pour savoir si ta mise au point est bonne. Mais en fait, on rencontre la même difficulté (en moins perceptible sauf si on y prête attention) à mettre au point (F/D court = faible profondeur de champ).

 

En prime, la qualité de l'oculaire joue beaucoup. Certains oculaires souffrent d'une courbure de champ importante (ou compensent mal celle de la formule optique, ou son astigmatisme), et ne permettent tout simplement pas de faire la mise au point à la fois au centre et aux bords du champ ! C'est souvent un défaut rencontré sur des des oculaires à très grand champ apparent mal corrigés, et comme en général on les utilise pour observer des objets très étendus, il s'agit souvent d'oculaires de très longues focales. L'explication est toute bête : un oculaire de très longue focale à très grand champ est énorme, coûte très cher rien qu'en matériaux et pèse un âne mort. Du coup, des fabricants de matériel low cost sont tentés d'en fabriquer en utilisant des formules optiques simplifiées : le champ et là, le prix est alléchant, mais les déformations sont bien là elles aussi ! Ca passe parfois sur un instrument de longue focale, mais les effets visibles de ces défauts sont amplifiés sur un newton court comme les nôtres.

 

Mais le phénomène peut aussi bien toucher des oculaires de plus courte focale et à champ plus étroit. Certaines formules sont d'ailleurs spécifiquement conçues pour offrir un piqué extrême au centre du champ, mais ne permettent pas d'obtenir une mise au point nette en bord de champ : ils vont donc être utiles en planétaire en plaçant l'objet en plein centre, mais ne vont pas être pratiques pour détailler une nébuleuse plus étendue dans son ensemble, ni pour laisser dériver la planète dans le champ quand on utilise un dobson non motorisé...

 

Donc il serait intéressant de savoir quel est ce fameux oculaire de 4 mm que tu utilises. :)

 

Ensuite, malgré la démultiplication, le crayford GSO n'est pas non plus la Rolls des porte-oculaires. Cela dit, sa conception n'est pas mauvaise : il souffre surtout des défauts habituels de la production en grande série et donc de finitions approximatives.

 

Mais il est possible de l'améliorer énormément. Son plus grand défaut est une "rugosité" certaine ressentie en le manoeuvrant, y compris en manipulant la molette démultipliée.

 

Ca tient essentiellement en 4 points, dont le premier ne nécessite pas de bricolage, et que je cite pour mémoire, au cas où il t'aurait échappé :

 

1) Réglage de la tension de la tige sur le plan de roulement : ça semble évident, mais ça se règle... Plus il est dur et moins il va glisser tout seul sous le poids d'un gros oculaire (ce qui logiquement arrive moins sur un dobson, d'ailleurs, puisque le porte-oculaire ne risque pas de se trouver à la verticale), mais plus la manoeuvre va devenir rugueuse et grossière.

 

A l'inverse, en desserrant, la manoeuvre va devenir plus fine et plus fluide. A toi de trouver le bon compromis. Je ne sais plus s'il s'agit de la molette située le plus près ou le plus loin de toi, l'autre sert à bloquer la position : fais des essais.

 

2) L'état de la surface de roulement. Malheureusement, le site web qui détaillait la marche à suivre a disparu, donc je ne peux pas te fournir un lien, mais en gros, le gars polissait le méplat à la pierre à huile jusqu'à le rendre lisse comme un miroir, et les résultats étaient extraordinaires de finesse, de précision et de fluidité. Comme quoi, s'il était simplement fini aux petits oignons en usine, ce crayford ferait le taf. Dommage.

 

3) Une autre alternative consiste à le lubrifier légèrement. Voir le lien ci dessous.

 

4) pour finir, il est possible de régler finement le démultiplicateur. Il est basé sur un système d'entraînement inertiel classique à 3 billes. L'équilibre à trouver est relativement délicat : trop serré il ne démultiplie plus, pas assez il tourne dans le vide... Mais si tu veilles à ne pas trop t'éloigner du réglage d'usine, tu ne devrais pas rencontrer de difficultés. De toutes façons, tout est expliqué.

 

Et là aussi, tu pourras jouer sur la lubrification du mécanisme.

 

Donc voici le lien :

 

http://polluxchung.com/gso_crayford_fix/index.html

 

A moins d'être franchement pourri, ton 4 mm devrait donner d'excellents résultats sur ton instrument, il n'y a pas de raison, même si c'est en effet un peu un grossissement maxi selon la turbulence (et si compte tenu de ce que dit OrionRider, les planètes se trouvent assez basses sur l'horizon, il ne faut effectivement pas compter grossir plus).

 

En tout cas, puisque tu en disposes déjà, vois si tu peux en tirer le meilleur en améliorant ton crayford.

 

A défaut, peut-être qu'un 9 mm + barlow te donnerait deux grossissements indispensables : 139x pour le ciel profond et 278x en planétaire (avec la barlow), toujours mieux qu'un 5 mm mais sans aller jusqu'au grossissement, peut-être exagéré après tout, que te donne ton 4 mm.

Modifié par Z80
Posté
Quand Z80 recommande un grossissement de 340x, il ne faut pas oublier qu'il vit à Nouméa, où non seulement le ciel bénéficie du flux marin laminaire (= peu de turbulence)

Remarque intéressante, mais la côte ouest est sous le vent, donc on subit les perturbations engendrées par la chaîne de montagnes qui coupe les alizés.

 

Cela dit, je retiens l'idée, il faudra que je trouve du temps pour passer quelques week ends sur la côte est.

 

L'inconvénient est une météo très changeante, et changeant très rapidement (et énormément plus pluvieuse), mais effectivement, si on a la chance d'avoir un bon anticyclone en Mer de Tasman, ça vaudrait vraiment le coup de balader le tromblon. :)

 

Jusqu'à présent, j'ai toujours été marron, avec le ciel qui se couvre en fin de journée. Mais on ne sait jamais, j'aurai peut-être du bol un jour... :p

Posté
Quand je parlais de planétaire, je ne parlais pas de la Lune.

 

C'est autre chose, la Lune : même avec une turbulence pourrie, on obtient une image qui ondule mais qui permet tout de même de percevoir beaucoup de détails car la forte luminosité offre des contrastes élevés, surtout en lumière rasante. La Lune permet de grossir comme un porc, il n'y a pas vraiment de limite.

 

Bien sûr, on peut vouloir la cadrer en entier et il faut un oculaire de plus longue focale et/ou plus grand champ apparent. L'image peut être plaisante mais on on peut aussi bien la détailler dans des conditions similaires aux jumelle, si on va par là. Sur la Lune, il est également intéressant de se balader dans les détails du relief, et comme c'est un objet plutôt permissif en terme de grossissements extrêmes, ce serait dommage de s'en priver.

 

Non, je parlais bien des planètes lointaines du système solaire, du moins celles sur lesquelles le défi consiste à obtenir les détails de surface les plus fins, donc Mars, Jupiter et Saturne.

 

Sur le dobson 300/1500 sur lequel j'ai pu tester le Pentax XW 5mm, le grossissement de 300x obtenu donnait une image relativement petite, mais très piquée et détaillée (sur Saturne et Mars ce soir-là), et le champ apparent de 70° offert par cet oculaire laissait largement le temps de cadrer la planète, de peaufiner la mise au point et de l'observer à loisir en la laissant dériver dans le champ de vision après avoir tout lâché pour ne produire aucune vibration.

 

Car il s'agissait d'un dobson GSO tout simple, 100% manuel, donc.

 

Les éléments à prendre en compte ici sont donc :

 

- La stabilité de l'instrument, qui ne vibrait pas une fois qu'on l'avait lâché

- La facilité de mise au point : ici avec un crayford non démultiplié

- Le grossissement obtenu et le rapport f/D : en l'occurrence, 300x à f/D 5

- Le champ apparent de l'oculaire, donc le champ le obtenu et le temps de passage dans le champ de l'oculaire à 300x (ce qui donne la vitesse de défilement apparent de l'objet).

 

Ce que je veux dire, c'est que c'était tout à fait confortable et que la mise à point était faisable dans souci.

 

En extrapolant à un instrument similaire en 250/1250, nous obtenons :

 

- Même rapport f/D = 5, donc a priori mêmes conditions de mise au point, de surcroît facilitées par la démultiplication (j'utilise actuellement le même crayford démultiplié sur mon 254 mm f/4,7, donc théoriquement réellement plus chiant pour la mise au point). Mais le crayford lui-même est concerné, voir à la fin de ce post.

 

- Pour obtenir un grossissement similaire, il faut un oculaire de 4,1667 mm, donc autant dire qu'un 4 mm doit théoriquement très bien passer.

 

- Par contre, si le champ apparent de cet oculaire est réduit (par exemple s'il s'agit d'un Super Plössl avec 50° de champ apparent), effectivement, un 5 mm risque d'être plus pratique. Le grossissement obtenu de 250x n'est pas idéal à mon sens, mais déjà correct, et de toutes façons déjà un peu mieux que les 240x qu'il donnerait sur mon instrument (grossissement que j'ai jugé "cul entre deux chaises", trop faible pour le planétaire et trop fort pour le CP en général, ce qui explique pourquoi j'ai rapidement revendu ce 5 mm). Donc effectivement, il pourrait être la limite si tu rencontres réellement de gros problèmes avec un 4 mm.

 

 

 

Bon, maintenant quelques mots au sujet de la mise au point et de la qualité de ce crayford.

 

Tout d'abord, c'est surtout qu'une erreur de mise au point se voit plus à fort grossissement parce tu l'emploies pour scruter de menus détails, tandis qu'à faible grossissement, tu t'intéresse à la forme générale d'un objet très étendu et que si tu ne cherches pas à y scruter des détails, l'image obtenue te satisfera peut-être. En fait, comme il est difficile de faire la mise au point sur un nuage de gaz, tu dois faire attention à la netteté des étoiles alentours pour savoir si ta mise au point est bonne. Mais en fait, on rencontre la même difficulté (en moins perceptible sauf si on y prête attention) à mettre au point (F/D court = faible profondeur de champ).

 

En prime, la qualité de l'oculaire joue beaucoup. Certains oculaires souffrent d'une courbure de champ importante (ou compensent mal celle de la formule optique, ou son astigmatisme), et ne permettent tout simplement pas de faire la mise au point à la fois au centre et aux bords du champ ! C'est souvent un défaut rencontré sur des des oculaires à très grand champ apparent mal corrigés, et comme en général on les utilise pour observer des objets très étendus, il s'agit souvent d'oculaires de très longues focales. L'explication est toute bête : un oculaire de très longue focale à très grand champ est énorme, coûte très cher rien qu'en matériaux et pèse un âne mort. Du coup, des fabricants de matériel low cost sont tentés d'en fabriquer en utilisant des formules optiques simplifiées : le champ et là, le prix est alléchant, mais les déformations sont bien là elles aussi ! Ca passe parfois sur un instrument de longue focale, mais les effets visibles de ces défauts sont amplifiés sur un newton court comme les nôtres.

 

Mais le phénomène peut aussi bien toucher des oculaires de plus courte focale et à champ plus étroit. Certaines formules sont d'ailleurs spécifiquement conçues pour offrir un piqué extrême au centre du champ, mais ne permettent pas d'obtenir une mise au point nette en bord de champ : ils vont donc être utiles en planétaire en plaçant l'objet en plein centre, mais ne vont pas être pratiques pour détailler une nébuleuse plus étendue dans son ensemble, ni pour laisser dériver la planète dans le champ quand on utilise un dobson non motorisé...

 

Donc il serait intéressant de savoir quel est ce fameux oculaire de 4 mm que tu utilises. :)

 

Ensuite, malgré la démultiplication, le crayford GSO n'est pas non plus la Rolls des porte-oculaires. Cela dit, sa conception n'est pas mauvaise : il souffre surtout des défauts habituels de la production en grande série et donc de finitions approximatives.

 

Mais il est possible de l'améliorer énormément. Son plus grand défaut est une "rugosité" certaine ressentie en le manoeuvrant, y compris en manipulant la molette démultipliée.

 

Ca tient essentiellement en 4 points, dont le premier ne nécessite pas de bricolage, et que je cite pour mémoire, au cas où il t'aurait échappé :

 

1) Réglage de la tension de la tige sur le plan de roulement : ça semble évident, mais ça se règle... Plus il est dur et moins il va glisser tout seul sous le poids d'un gros oculaire (ce qui logiquement arrive moins sur un dobson, d'ailleurs, puisque le porte-oculaire ne risque pas de se trouver à la verticale), mais plus la manoeuvre va devenir rugueuse et grossière.

 

A l'inverse, en desserrant, la manoeuvre va devenir plus fine et plus fluide. A toi de trouver le bon compromis. Je ne sais plus s'il s'agit de la molette située le plus près ou le plus loin de toi, l'autre sert à bloquer la position : fais des essais.

 

2) L'état de la surface de roulement. Malheureusement, le site web qui détaillait la marche à suivre a disparu, donc je ne peux pas te fournir un lien, mais en gros, le gars polissait le méplat à la pierre à huile jusqu'à le rendre lisse comme un miroir, et les résultats étaient extraordinaires de finesse, de précision et de fluidité. Comme quoi, s'il était simplement fini aux petits oignons en usine, ce crayford ferait le taf. Dommage.

 

3) Une autre alternative consiste à le lubrifier légèrement. Voir le lien ci dessous.

 

4) pour finir, il est possible de régler finement le démultiplicateur. Il est basé sur un système d'entraînement inertiel classique à 3 billes. L'équilibre à trouver est relativement délicat : trop serré il ne démultiplie plus, pas assez il tourne dans le vide... Mais si tu veilles à ne pas trop t'éloigner du réglage d'usine, tu ne devrais pas rencontrer de difficultés. De toutes façons, tout est expliqué.

 

Et là aussi, tu pourras jouer sur la lubrification du mécanisme.

 

Donc voici le lien :

 

http://polluxchung.com/gso_crayford_fix/index.html

 

A moins d'être franchement pourri, ton 4 mm devrait donner d'excellents résultats sur ton instrument, il n'y a pas de raison, même si c'est en effet un peu un grossissement maxi selon la turbulence (et si compte tenu de ce que dit OrionRider, les planètes se trouvent assez basses sur l'horizon, il ne faut effectivement pas compter grossir plus).

 

En tout cas, puisque tu en disposes déjà, vois si tu peux en tirer le meilleur en améliorant ton crayford.

 

A défaut, peut-être qu'un 9 mm + barlow te donnerait deux grossissements indispensables : 139x pour le ciel profond et 278x en planétaire (avec la barlow), toujours mieux qu'un 5 mm mais sans aller jusqu'au grossissement, peut-être exagéré après tout, que te donne ton 4 mm.

 

Merci pour tous ces conseils. Je vais regarder ça quand je retourne en Lozère. C'était un TS Optics Planetary HR 4mm. Je l'ai renvoyé depuis et j'ai pris le 24mm à la place. Visuellement la qualité ne donnait pas franchement confiance. C'était un oculaire a 70€ FdP inclus donc bon...

Posté

Les anciens TS HR (à lettres bleues) étaient bons mais les nouveaux, qu'on trouve aussi sur eBay pour 25€, sont franchement médiocres: http://www.ebay.fr/itm/Black-4mm-1-25-58-Degree-Planetary-Deep-Sky-Objects-Eyepiece-For-Telescope-JS-/322363944003

Dans le temps c'était un gage de qualité mais depuis que les chinois s'en sont emparés, le label 'TMB' ne veut plus rien dire. :(

 

Si en plus ton ciel est turbulent, alors ça peut donner l'impression d'avoir des images floues.

Posté (modifié)

Les TS HR sont, je crois, encore toujours fait selon les mêmes spécifications. Mais si on achète des oculaires au même dessin soi même en Chine,...

 

Avec des pupilles de sortie en dessous du mm (pour un oculaire 4mm), on commence à voir pas mal de choses qui restent moins visibles à grossissement moins élevé: la turbulence, la mauvaise mise en température, des miroirs pincés, un support de bord qui n'est pas bon, une mauvaise collimation, un primaire ou un secondaire avec des défauts de forme etc. etc.)

 

Donc ce n'est pas sûr que ce soit l'oculaire, sauf si on a un autre oculaire 4mm (ou une combinaison avec une barlow qui donne la même longueur focale) qui lui marche bien mieux...

 

Ceci dit, il y a mieux que le TS HR 4mm, mais je ne dirais pas qu'il soit mauvais.

Modifié par sixela
Posté (modifié)

Si on part du principe que pour bien profiter des objets du ciel profond utilisant la gamme de grossissement d'environs 140x, il est préférable d'avoir un champ confortable pour ne pas être obligé de switcher sur l'oculaire de 12 à 13 mm à tout bout de champ (et pour gagner du temps d'observation sur un instrument purement manuel, en évitant de devoir recentrer sans cesse), peut-être que l'acquisition d'un bon oculaire de 8,8 ou 9 mm à champ large fait sens.

 

Associé à une barlow, il donnera un grossissement à la fois raisonnable et confortable sur les planètes, sans devoir réinvestir dans un second oculaire coûteux et en conservant les propriétés (tirage, champ...) de l'oculaire unique.

 

D'un point de vue financier, ça semble être la meilleure solution, en tout cas.

 

Le problème des grossissements élevés, c'est que l'oculaire doit être de vraiment bonne qualité, sans quoi ses défauts vont s'ajouter à ceux engendrés par la turbulence qui est extrêmement visible dans ce cas.

 

La bonne nouvelle, C'est que les oculaires de courte focale à grand champ restent moins volumineux que ceux de longue focale de la même catégorie, donc même à qualité de réalisation égale, ils sont toujours beaucoup moins chers. Ou dit autrement, tu peux te permettre de monter en gamme sur les oculaires de courte focale par rapport au même budget que tu t'accorderais sur un oculaire de longue focale. Surtout que des défauts dans cette gamme de grossissement affecteraient l'image obtenue de manière plus gênante, donc mieux vaut choisir avec discernement.

 

En planétaire pur et avec un instrument à suivi motorisé, on peut opter pour des oculaires spécialisés très simples, puisque la monture peut te garder l'objet pile au centre du champ pendant toute la durée de l'observation... Par exemple, si je m'amuse à décaler une planète vers le bord du champ de mon oculaire planétaire, elle prend une forme de ballon du rugby. :p Je suppose que ça vient simplement de la coma de l'instrument, mais bon, même dans un oculaire de seulement 50° de champ apparent, elle est bien visible.

 

Par contre, ton instrument ne va pas te permettre de garder la planète bien centrée, donc ce sera plus confortable si tu trouves un oculaire à grand champ bien corrigé (pas de différence de mise au point entre le centre et les bords) et dont la déformation radiale que je viens de citer se trouve répartie progressivement sur une plus grande distance du fait de ce champ plus large.

 

Du coup, comme acheter toute une gamme d'oculaires spécialisés de cette sorte coûte cher, un oculaire unique de plus longue focale utilisable en ciel profond + une barlow qui te donnera pile-poil un grossissement confortable en planétaire semble logique.

 

Après, tu verras pour les focales plus longues (avec des champs apparents abordables, je te conseille un 12 ou 13 mm + peut-être un 17 à 20 mm, à réfléchir plus finement si tu disposes déjà d'un 24 mm), mais pour ce dont on parle là tout de suite, le 9 mm (ou alentours) semble idéal.

 

En fait, puisque tu disposes déjà d'un 24 mm, la barlow le transformerait en 12 mm et tu ferais d'une pierre deux coups. :)

Modifié par Z80
Posté

Bonjour,

Dans le cas de l'utilisation d'une barlow avec ton 24mm, il faut également réfléchir en terme de poids comme cela a déjà été dit. Le maxvision fait dans les 800-900g je crois, une barlow 2" doit faire dans les 300g. Ça commence à faire du poids et si il y a déjà un pb d'équilibrage ou de mouvement, cela ne risque-t-il pas de l'accentuer?

Posté (modifié)

Si, en effet. S'il s'agit d'un 2", la barlow va être d'un autre gabarit (et d'un prix plus élevé). 300 g semble réaliste.

 

A comparer quand même au prix d'un 12 ou 13 mm (à champ large si possible) qui lui sera encore en 1"1/4 de toutes façons.

 

Pour l'équilibrage, ça va dépendre du dobson. Il me semble que sur le GSO, c'est un système à ressort, avec sûrement aussi une molette de frein.

 

De toutes façons, ça peut aussi se bricoler, et il reste la solution du contrepoids magnétique (ou aimant de haut-parleur de récup) à coller à l'extérieur du tube à proximité du miroir.

Modifié par Z80
Posté

Sur le GSO Deluxe il n'y a pas de ressort, mais deux molettes de frein.

Le tube peut aussi être déplacé sur les supports afin de déplacer le centre de gravité, on a ainsi une bonne marge pour le poids au PO.

Posté
Les anciens TS HR (à lettres bleues) étaient bons mais les nouveaux, qu'on trouve aussi sur eBay pour 25€, sont franchement médiocres: http://www.ebay.fr/itm/Black-4mm-1-25-58-Degree-Planetary-Deep-Sky-Objects-Eyepiece-For-Telescope-JS-/322363944003

Dans le temps c'était un gage de qualité mais depuis que les chinois s'en sont emparés, le label 'TMB' ne veut plus rien dire. :(

 

Si en plus ton ciel est turbulent, alors ça peut donner l'impression d'avoir des images floues.

 

Wow... C'est exactement le même que celui que j'ai acheté à 70€ chez Astroshop... :(

 

La belle arnaque ! Je vais définitivement me prendre un 4/5mm un peux sérieux de chez ES. Mais peut être que je commence par un 9mm sachant qu'il sera parfaitement adapté à mon CP.

Posté

Malheureusement, ce ne sont pas tous "les mêmes". Les constructeurs Chinois permettent de commander le même dessin avec plusieurs niveaus de finition. TS a le niveau de finition le plus haut, Omegon/Astroshop un peu moins, en en commandant de l'e-bay chinois on ne sait rien.

 

Burgess Optical (le premier vendeur) a changé quelque fois de constructeur ce qui fait que tout le monde en a les plans en Chine...donc l'assez bon côtoie le pire et tout se ressemble.

Posté
Malheureusement, ce ne sont pas tous "les mêmes". Les constructeurs Chinois permettent de commander le même dessin avec plusieurs niveaus de finition. TS a le niveau de finition le plus haut, Omegon/Astroshop un peu moins, en en commandant de l'e-bay chinois on ne sait rien.

 

Burgess Optical (le premier vendeur) a changé quelque fois de constructeur ce qui fait que tout le monde en a les plans en Chine...donc l'assez bon côtoie le pire et tout se ressemble.

 

Bah franchement vu la qualité perçue j'ai du tomber sur une mauvaise série. :confused:

Posté (modifié)

Je me souviens d'un 3,2mm dans lequel on ne voyait qu'une pâtée laiteuse. :rolleyes:

 

En revanche, j'ai eu un TS Planetary 5mm (version aux lettres bleues) qui marchait bien.

 

Et dans le genre, SkyWatcher fait une série très similaire qui marche remarquablement bien. J'ai un 8mm et un 5mm de cette série et j'en suis enchanté:

https://www.maison-astronomie.com/oculaires/2926-oculaires-wa-58-degres-sky-watcher.html

Modifié par OrionRider
Posté (modifié)

Sur f/5 en effet plutôt 11 et 6,7, en tout cas pour le ciel profond. 4,7, c'est déjà plutôt pour les planètes et minuscules nébuleuses planétaires à haute luminosité surfacique.

Modifié par sixela
Posté

Le 11 plutôt que le 9 car le cp et lunaire il te donne le bon grossissement en Cp et une couverture complète en lunaire.

 

Je pense qu'un 10 à 100 degré peut etre un super choix (staffy en vend un).

 

Le 6,7 en planétaire va etre passe partout avec une image toujours exploitable et en lunaire aussi.

 

Un 4,7 sera bien en planétaire mais il sortira moins souvent donc à prendre après le 6,7. En lunaire tu auras un zoom poussé.

 

Bref les Es82 sont comme il faut pour nos machines.

Posté

Le 6,7 mm va donner une image planétaire piquée mais très très petite. Ce serait bien de pouvoir emprunter un oculaire similaire pour essayer avant.

 

En même temps, il est vrai que ça résoudra le problème de la vitesse de défilement potentiellement trop élevée, mais bon...

Posté (modifié)

Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais je trouve que dans l'ensemble, pour une question simple, les réponses deviennent de plus en plus compliquées et longues, comme si certains voulaient absolument étaler leur science, réelle ou supposée. :?:

 

À la prochaine question du genre « Quel oculaire pas trop cher entre un 14mm et un 8mm ? », on va remonter au Big Bang, parler de la Théorie des Cordes, et faire un cours sur les intégrales formules à l'appui ? :rolleyes:

Modifié par paradise
Posté (modifié)

En l'occurrence, il aurait l'usage d'un 8 mm ET d'un 13 mm (ou pourquoi pas 14 mm en effet : selon son champ apparent, il pourrait être plus approprié).

 

Mais l'un ne remplace pas l'autre en raison de la grande différence de grossissements obtenus et de la diversité des objets du ciel profond concernés. A noter qu'un 14 ou 15 mm + barlow 2x serait également un très bon choix.

 

ET d'un oculaire de 4,5 à 5 mm environs pour le planétaire et les petites nébuleuses planétaires brillantes évoquées par Sixela. Seul ou obtenu en combinaison avec une barlow, c'est égal.

 

Ce n'est pas métaphysique, ça découle simplement des constatations effectuées sur le terrain.

 

Et envisager d'employer une barlow va avoir des conséquences sur la focale de l'oculaire qui va être utilisé à cet effet, puisqu'il s'agit d'obtenir deux focales réellement utiles et ne faisant pas double emploi avec des oculaires existants.

Modifié par Z80
Posté (modifié)

Le sujet était surtout (voir premier message) au sujet du ciel profond, pour les premiers oculaires à avoir...

 

Couvrir tout de M31 jusqu'à la Nébuleuse de l'Oeil du Chat avec deux oculaires, on sait tous bien que ça sera difficile (à moins de tricher avec une barlow).

 

À la prochaine question du genre « Quel oculaire pas trop cher entre un 14mm et un 8mm ?

Justement, comme la plage est large, il faudra bien discuter de quelle focale est utilisable pour quoi...il y a des réponses simples et des réponses trop simples (ou à la mauvaise question). Le but, c'est aussi d'informer, pas seulement de répondre.

 

Par contre, je n'ai pas encore réussi à placer la théorie des cordes dans la conversation ;-).

Modifié par sixela
Posté

 

Justement, comme la plage est large, il faudra bien discuter de quelle focale est utilisable pour quoi...il y a des réponses simples et des réponses trop simples (ou à la mauvaise question). Le but, c'est aussi d'informer, pas seulement de répondre.

 

Par contre, je n'ai pas encore réussi à placer la théorie des cordes dans la conversation ;-).

En cherchant bien... :be:

 

Ce que je voulais dire, c'est que bien souvent ceux qui viennent poser des questions sont des néophytes, alors, sans vouloir faire des réponses simplistes, tronquées, incomplètes, il ne faut pas verser non plus dans le machin hyper scientifique, compliqué, il y a de quoi effrayer le pékin qui s'aventure dans ce forum, d'autant qu'il n'y comprendra rien, lâchera son sujet, et la conversation va s'éterniser entre spécialistes.

Je trouve que les sujets ont tendance à dérailler dans ce sens depuis quelques temps. :rolleyes:

 

Bon, c'était juste une réflexion que je me faisais, sans doute ai-je dû moi aussi me laisser aller. :cool:

Posté

Salut,

 

Je suis d'accord avec l'analyse de Paradise sur les réponses moins alambiquées à apporter aux néophytes, informer oui mais effrayer par un discours trop technique, je ne crois pas que ce soit une bonne solution.

 

Bien sûr qu'il y a des questions techniques qui méritent d'être abordées pour une bonne compréhension, mais pour une première approche de l'astronomie, je pense qu'il faudrait plutôt démystifier les choses, les questions plus techniques doivent venir dans un second temps.

 

Je pense que c'est parfois difficile et je dois aussi tomber dans cet excès, mais il faut adapter les réponses au public ;)

Posté
Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais je trouve que dans l'ensemble, pour une question simple, les réponses deviennent de plus en plus compliquées et longues, comme si certains voulaient absolument étaler leur science, réelle ou supposée. :?:

 

À la prochaine question du genre « Quel oculaire pas trop cher entre un 14mm et un 8mm ? », on va remonter au Big Bang, parler de la Théorie des Cordes, et faire un cours sur les intégrales formules à l'appui ? :rolleyes:

 

100% d'accord ! Et sur pleins de sujets... tu demandes si tu peux serrer une vis, on finit par t'expliquer comment polir ton miroir (c'est sa mauvaise qualité qui fait que la vis est pas serrée) et l'origine de la vie sur terre + des photos d'encelade par la sonde cassini.....

 

Moi je sais qu'il n'y a que les choses simples qui fonctionnent. Et tous ces mathematheoriphysiciens en savent pas plus que moi au final. (Rires).

 

Bref. J'ai un 250 et j'utilise beaucoup mon 7, mon 11 et mon 30.

Un peu moins mon 16 et mon 4. Il me manque un 5 pour les soirs avec de la turbulence.

 

Comme j'ai dis dans mes posts, que notre ami prennen me 6,7 et le 11. Plus tard un 4,7 à rajouter au setting. Simple.

Posté (modifié)

Bah, à la question résumée posée par Paradise, "8 ou 14 mm ?", et étant donné l'instrument, la réponse logique dans ce cas de figure précis est "les deux".

 

Avec des oculaires seuls ou à avec l'aide d'une barlow, c'est égal. Mais les deux seront réellement utiles et très souvent utilisés. Il n'y a pas de risque de se tromper en l'occurrence.

 

Maintenant, si la question est "lequel en premier ?" alors je répondrais "le 14 mm".

 

Sauf qu'on sait que Robin dispose d'un 24 mm dont il est satisfait, ce qui change pas mal la donne : avec une barlow 2x, il obtiendrait un 12 mm diablement utile.

 

Donc du coup, avec la même barlow, il pourrait plutôt s'équiper d'un 9 ou 10 mm, et il couvrirait 100% de ses besoins.

 

C'est bien pour ça que la discussion est ouverte : ça dépend toujours du matériel existant...

Modifié par Z80
Posté (modifié)

 

C'est bien pour ça que la discussion est ouverte : ça dépend toujours du matériel existant...

Mais bien sûr que ça dépend toujours du matériel existant, mais si on le connaît, pas la peine de gloser dessus.

Le souci pour les plus expérimentés est de donner des réponses simples, courtes, le pourquoi du comment a parfois son utilité, parfois non, et dans tous les cas il faut éviter les formules et les réponses à tiroir.

 

Le (la) néophyte a souvent besoin qu'on l'oriente sur un instrument, des accessoires, avec des explications pratiques courtes et pertinentes, et surtout pas théoriques.

 

En l'occurrence, la question « Quel oculaire pour le CP » n'implique pas de longues discussions, juste de suggérer quelques oculaires de telle ou telle gamme, correspondant à son instrument et à son budget, point.

Vite dit bien dit : tel Grossissement ira bien, trop de G nuit à la netteté, on conseillera un ou deux oculaires manquant à sa gamme, à la rigueur le tout associé à une petite explication générale, pas obligatoire non plus ;)

Modifié par paradise
Posté

Il peut être nécessaire de justifier...

 

Et puis il a eu une mauvaise expérience avec un oculaire de 4 mm, pour des raisons pas nécessairement évidentes dans la mesure ou a priori, il devrait donner des images exploitables (limites certes, mais parfaitement lisibles). Du coup, la pertinence de persévérer dans cette focale ou de remonter un peu en focale minimum peut se discuter aussi...

Posté
Il peut être nécessaire de justifier...

 

Et puis il a eu une mauvaise expérience avec un oculaire de 4 mm, pour des raisons pas nécessairement évidentes dans la mesure ou a priori, il devrait donner des images exploitables (limites certes, mais parfaitement lisibles). Du coup, la pertinence de persévérer dans cette focale ou de remonter un peu en focale minimum peut se discuter aussi...

Notre ami a un 250/1250 de série, pour le CP on parle souvent de moyen/fort G, donc en effet en dessous de 5mm il devient difficile d'avoir une bonne image (miroir débridé (?), collimation, seeing)..

Avec un budget moyen, difficile de faire mieux que la gamme ES en terme de clarté, piqué, contraste, et champ.

 

Pour répondre à sa question, on peut suggérer un ES 6,7mm comme dit par hsdforever, c'est déjà pas mal comme fort G, le 4,7mm risque de moins servir.

 

Autre sujet : si le scope est neuf, et que notre ami est totalement néophyte, il faut qu'il débride son miroir, et il faut maîtriser sa collimation pour avoir une chance, par bon seeing, d'utiliser de forts G comme avec le 4,7mm (OK, une bonne collimation c'est bien pour tous les G... :be:).

 

D'ailleurs tu avais fort bien répondu avec ton commentaire #9, c'est après que le sujet part en sucette... :p

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