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Spoutnik : l’odyssée de Soyouz 2


DavidG

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Posté

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Il s’appelle Ivan Istochnikov. Pour l’ex-régime communiste, ce pionnier de la conquête spatiale n’a jamais existé. En tapant son nom sur Google, on découvre, en fait, que son histoire a été l’objet d’une formidable manipulation dans la pure tradition stalinienne. Le 25 octobre 1968, sa navette, Soyouz 2, se volatilise en plein vol. Plutôt que d’annoncer cet échec en pleine guerre froide, les apparatchiks de Moscou vont falsifier tous les documents prouvant son existence. Tous les témoins gênants – famille, amis et collègues de travail – sont déportés en Sibérie.

 

Tombé par hasard sur cette affaire, le photographe espagnol Joan Fontcuberta n’a pas ménagé son temps pour exhumer des preuves accablantes, parmi lesquelles ces deux photos : sur la première, Ivan Istochnikov pose au milieu de la place Rouge avec d’autres cosmonautes. Sur l’autre, il en a disparu ! Effacé, gommé. Soucieux de rétablir la vérité, Joan Fontcuberta a exposé ces documents à Madrid.

 

Source: http://www.telerama.fr/internet/M0611271703160.html

 

avant d'aller lire la suite de l'article, cogitez un peu et demandez vous si tout çà est vraiment possible...

regardez !

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pas mal hein ?

et après allez jetter un oeil à son travail:

http://www.fontcuberta.com/

http://www.orbit.zkm.de/?q=node/121

:be:

Posté

Toutes ces histoires de cosmonautes soviétiques disparus en vol et qu'on aurait cachés se heurtent à une réalité toute bête, que tout un chacun (suffisamment vieux) ayant suivi la course à la Lune dans les années 60 sait : Les sovétiques ont toujours annoncé les vols habités, non pas avant le tir comme les ricains, mais une fois la fusée lancée, la mission étant alors en cours. Donc une perte en vol ou au retour était connue, ne pouvait être cachée (il y a eu Komarov sur un des premiers Soyouz - le parachute s'est mis en torche - en 67, et puis plus tard, 3 qui sont morts à l'atterrissage).

 

Les seuls accidents que les Soviétiques ont pu cacher (et caché effectivement, peut-être, je n'en sais rien), ce sont les accidents au moment du tir de la fusée.

Invité Ortog
Posté

Salut,

 

Komarov est mort sur Soyouz 1, lors du retour (il avait déjà volé avec Voskhod 1)

 

Les trois autres sont Dobrovolski, Volkov et Patsaiev. Ils avaient passé 3 semaines dans Saliout 1, puis ont péri suite a une décompression de la capsule Soyouz 11 lors du retour.

 

Le soyouz 11 avait le nom d'"Ambre" qui en russe se dit "Yantar" ;)

 

Par contre lisez l'article donné par David, vous comprendrez pourquoi il a mis ça dans "humour" :p

 

Ortog

Posté

La vérité sur cette idiotie :

 

"En dépit d’éléments à charge surprenants – Soyouz 3 n’avait retrouvé, au lieu du rendez-vous avec Soyouz 2, qu’une bouteille de vodka flottant dans l’espace avec un message expliquant qu’une météorite avait heurté le vaisseau ! –, une bonne partie du public repartit convaincu de la véracité de l’histoire… montée de toutes pièces par Joan Fontcuberta, alias Ivan Istochnikov, traduction approximative de son nom en russe.

Mis en orbite il y a près de dix ans, ce gag continue d’alimenter les polémiques sur le Web. Certains y croient toujours dur comme fer."

 

Bon on passe à autre chose maintenant ?

Invité Ortog
Posté

et c'est pour ça que David l'a mis en "humour". C'est vrai que c'est assez poilant ! lolll

 

Ortog

Posté

Je serais tenté de dire que c'est un peu douteux comme humour ... :hm:

Par contre, comment certains ont pu croire à cette histoire de bouteille de vodka ? .. :hmm:

Posté
avant d'aller lire la suite de l'article, cogitez un peu et demandez vous si tout çà est vraiment possible...

 

Bonjour David G,

 

Quand j'ai lu ce que tu mettais à propos de Ivan Istochnikov je n'ai pas pris ça pour de l'humour. Ça m'a rappelé un article en première page de France-Soir en avril 1961 qui affirmait que ce n'était pas Youri Gagarine mais Wladimir Iliouchine (le fils du célèbre constructeur d'avions soviétiques) qui aurait péri dans l'espace après 17 révolutions autour de la Terre (voir http://jcboulay.free.fr/astro/sommaire/astronautique/russes/iliouchine/page_iliouchine.htm). Pour Wikipédia Wladimir Iliouchine ne serait pas mort en vol mais retenu par les autorités chinoises (voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Cosmonautes_fant%C3%B4mes#7_avril_1961).

 

Sur ce même article de Wikipédia on voit qu'il y a eu pas mal de rumeurs sur des cosmonautes fantômes…

 

Quand au fait que les Soviétiques aient gardé le secret sur leurs préparatifs jusqu'au lancement des engins spatiaux il n'y a eu qu'une seule exception, qui fut cuisante pour eux…

 

Pour bien comprendre il faut faire un peu de chronologie :

* 4 octobre 1957 : les Soviétiques lancent avec succès le premier satellite artificiel de l'histoire (Spoutnik1 – 83,6 kg) ;

* 3 novembre 1957 : les Soviétiques lancent avec succès le deuxième satellite artificiel de l'histoire (Spoutnik2 – 508,3 kg), avec le premier être vivant de l'histoire de l'astronautique, la chienne Laïka ;

* 5 décembre 1957 : les Américains tentent de lancer leur premier satellite artificiel Vanguard-1A (dit “ pamplemousse ” – 1,47 kg) la fusée (fabriquée par l'US Navy) explose deux secondes après la mise à feu des moteurs... Tout ça sous l'œil des caméras de télévisions américaines qui retransmettent cet événement en direct !…

* 31 janvier 1958 : réussite cette fois du lancement du satellite américain Explorer1 (14 kg) de l'équipe de l'US Army ,dirigée par Werner Von Braun.

* 3 février 1958 : les Soviétiques, sûrs de leur technique suite aux succès des lancements de Spoutnik1 et Spoutnik2 invitent cette fois la presse pour le lancement du "Colossal" satellite Spoutnik3, un monstre pour l'époque de

1 327 kg. Résultat : un des "boosters" tomba en panne et le lanceur s'écrasa 88 secondes après le lancement. Ce fut le seul échec officiel de l'histoire de l'aéronautique soviétique, car une chape de plomb tomba ensuite sur tous les préparatifs des lancements, qui ne furent plus annoncés qu'après leur décollage avec succès.

* 15 mai 1958 : succès soviétique pour le lancement (annoncé après le succès de celui-ci) de Spoutnik3. L'Union Soviétique avait compris la leçon…

 

Les Américains ont eux continué à annoncer à l'avance leurs lancements de fusée, dont la moitié des tirs a échoué, toujours en direct devant les caméras de télévision !… C'est sans doute grâce à ça qu'un jour l'homme a pu marcher sur la Lune, car les autorités politiques américaines lassées d'être humiliées par les Soviétiques ont enfin décidé de réagir et ce fut la création de la Nasa…

 

Roger Lesourd.

Posté

On ne se méfieras jamais assez de Wikipédia ! Le mode de fonctionnement de cette "prétendu" libre encyclopédie est une véritable aubaine pour certains propagandistes de tout poils.

De plus l'incompétence de certains administrateurs laisse passer parfois des âneries assez monstrueuses.

J'en ai corrigé certaines et me suis un peu investi la-dedans (notamment au niveau des astéroïdes). J'ai rapidement laissé tomber, il règne sur ce site un climat malsain au possible et je n'en dirais pas plus.

 

Cela dit l'article sur les cosmonautes fantomes semble juste (amais avec Wikipédia on ne sait jamais, puisqu'un article peut être transformé par n'importe qui d'un moment à l'autre)

 

Quant à Télérama qui annonce la nouvelle sans se référer à la source (et il n'y avait pourtant qu'un clic à faire) ce n'est pas mieux non plus.

 

Je parie que dans 10 ans on parlera encore de cette affaire au 1er degré

  • 2 semaines plus tard...
Invité Ortog
Posté

La chappe de plomb qui est tombée est tombée des deux cotés.

 

La propagande pour casser le coco y allait aussi bon train dans la presse occidentale.

Aujourd'hui, avec la fin de l'URSS, On en sait nettement plus qu'a l'époque.

Oui, la N1 a existé

Oui, les soviets ont essayé d'aller sur la Lune

Non, les russes n'ont pas envoyé de cobayes humains

 

Mais qui peut encore croire à ces histoires propagandesques de cosmonautes hurlants de douleur dans leur capsule et autres conneries du même genre 18 ans après la fin du bloc sovietique

 

Ceux qui ont fuit l'URSS et aujourd'hui la russie n'en parle meme pas, faut ressortir les anneries de la guerre froide pour en reparler.

 

France-Soir.... Ben avec des sources d'investigation comme celle là...

 

Ils n'ont pas envoyé de journaliste sur place, c'est sur, ils ont recopié surement ce que leur disait la DST ou la DGSE

 

Ortog

Posté

France-Soir.... Ben avec des sources d'investigation comme celle là...

Ortog

 

Bonsoir Ortog,

 

Je ne sais pas pourquoi tu es ainsi si méprisant avec la source que je cite. Je te signale, pour ton information personnelle, que le FRANCE-SOIR d'avril 1961 dont je parle était le GRAND FRANCE-SOIR de Pierre LAZAREFF (un des quatre rédacteurs prestigieux de la célèbrissime émission de la RTF "Cinq colonnes à la Une" !... ; voir par exemple http://www.ina.fr/actualite/dossiers/2002/Juin2002.fr.html), qui avec plus d'un million d'exemplaires tirés par jour était le journal français le plus lu à l'époque. Ne juge donc pas ce journal d'avril 1961 avec ce que tu sais en janvier 2007...

 

Pour beaucoup d'intellectuels il est de bon de mépriser la presse populaire. Je vais te dire Ortog, dans ma jeunesse je lisais pendant des années le prestigieux quotidien "Le Monde", ce n'était pas tout à fait désintéressé car je savais que pour réussir les oraux des concours des PTT il fallait éplucher "Le Monde" et se faire des fiches quotidiennes sur les sujets traités. Aujourd'hui que je suis retraité la lecture du "Monde" m'em...de !... A part le quotidien régional "La Montagne" je lis quotidiennement "Aujourd'hui en France" (quand j'étais en Ile-de-France c'était "Le Parisien, édition des Hauts-de-Seine"). Tu trouveras que ce ne sont peut-être pas des journaux "sérieux", peu m'importe, ils me conviennent... Et puis, Ortog, lorsque je veux vraiment avoir des informations "sérieuses" sur ce qui se passe dans le monde, informations qui ne sont souvent pas reprises (ou alors d'une manière très édulcorée) ni par les médias audio-visuels, ni par les journaux nationaux (y compris "Le Monde") je vais sur le site Internet du quotidien "La Croix" qui reprend in-extenso toutes les dépêches AFP des sept derniers jours ; il y a vraiment de quoi en avoir une indigestion !...

(voir http://www.la-croix.com/afp.static/pages/index.toutes.rubriques.htm).

 

Bonne soirée à toi Ortog,

 

Roger Lesourd.

Invité Ortog
Posté

Bonsoir Roger.

 

Je suis un méfiant de l'info.

Dans les années 50-60-70, comme personne ne savait ce qui se passait réellement de l'autre coté du rideau de fer, et que ceux qui y allaient avaient de grandes chances d'être manipulés, la plupars des journaux recopiaient en brodant les dépêches des agences gouvernementales.

 

Aujourd'hui, c'est le même mode qui fonctionne, mais pour l'ensemble de l'info. Regarde sur Google actualité, la plupars des journaux affichent le même texte, ceux des agences de presse.

 

Le Net est du même mode, la plupars des sites font du copié-collé sans aucune vérification de source.

 

Tu vois, nos points de vues ne sont gueres différents. Je pense simplement que ce que l'on publiait en France dans les années de guerre froide ne pouvaient pas etre fiable parce que ou non argumenté, ou manipulé (dans un sens ou dans l'autre).

 

Ortog

Posté

 

Dans les années 50-60-70, comme personne ne savait ce qui se passait réellement de l'autre coté du rideau de fer.

 

Ortog

 

Bonjour Ortog,

 

Tu as entièrement raison d'être méfiant sur la fiabilité de l'info, mais pourquoi une dépêche d'agence de presse (AFP, Reuters, ou Associated Press) serait-elle moins fiable que ce qui est écrit bien des années après par quelqu'un qui dans ses "souvenirs" veut se donner le beau rôle ?

 

Ainsi, actuellement tous les médias écrits, audio-visuels, et même Internet lorsqu'ils évoquent les accords de Munich (nuit du 29 au 30 septembre 1938) citent tous cette soi-disant phrase prémonitoire d'Édouard Daladier, le Président du Conseil français, lors de son atterrissage à l'aéroport du Bourget en voyant la foule des Parisiens venus l'accueillir car il avait sauvé la paix : « LES CONS !!! S'ILS SAVAIENT CE QUI LES ATTEND !!!... ». Eh bien je suis persuadé, après avoir lu les nombreux articles de presse de l'époque (ainsi "Paris-Soir", l'ancêtre de "France-Soir" qui lançait une souscription auprès de ses lecteurs pour offrir à Édouard Daladier une maison pour le remercier d'avoir "sauvé la paix") et les articles et livres du "spécialiste" de cette époque Henri Amouroux (qui ne l'a jamais citée, et pourtant il s'est même permis de rectifier le texte "officiel" de l'appel du 18 juin 1940 en se basant justement sur une dépêche de l'agence Havas, l'ancêtre de l'AFP, en date du 18 juin 1940 au soir) je suis certain que Monsieur Édouard Daladier n'a jamais prononcé cette phrase... La meilleure preuve : sur Arte il y a deux ou trois ans on diffusait le film de Marcel Ophüls sorti en 1970 "Le chagrin et la Pitié" sur cette époque (ce film sera censuré en France jusqu'en 1981). Et on montrait un extrait d'une interview de Édouard Daladier pour ce film, qui avait été longtemps censuré en France, même après 1981, mais non pas en Allemagne. Heureusement qu'Arte est une chaîne franco-allemande, car sinon cette interview n'aurait jamais été vue par les téléspectateurs français. Et le narrateur français indiquait : « Le Président Édouard Daladier n'a pas du tout été chaud pour témoigner dans notre film, il a fallu longuement parlementer avec lui pour qu'il accepte de donner son témoignage sur les accords de Munich, il disait en effet : "Ça ne sert à rien de remuer tout ça, tout le monde pense que je suis déjà mort [il disait cette phrase en 1969, il décèdera le 10 octobre 1970] pourquoi leur révéler que ce n'est pas encore le cas ?" »... Édouard Daladier, s'il avait réellement prononcé la phrase indiquée plus haut aurait été heureux de profiter de cette ultime tribune inespérée...

 

Quant à la lutte soviéto-américaine pour la conquête de l'espace, Ortog, je crois à l'époque avoir bénéficié d'informations assez objectives car j'écoutais religieusement les explications complémentaires et parfois antagonistes du chroniqueur scientifique de Radio-Luxembourg Lucien Barnier et celui d'Europe numéro un Albert Ducrocq. Le second était persuadé (jusque vers 1966/1967, où il a commencé à retourner sa veste !…) que les Soviétiques gagneraient le match de la conquête de la Lune ; le premier (injustement oublié aujourd'hui) était persuadé du contraire. Pour lui (il parlait à l'été 1964) le lancement du premier Spoutnik, du premier être vivant dans l'espace (la pauvre chienne Laïka), le vol de Youri Gagarine, la première sortie dans l'espace de Alexandre Leonov, étaient autant de "Pearl Harbor" pour les Américains ; mais il était sûr que les "yankees" allaient se ressaisir et finalement gagner la course à la Lune. Tout le monde pensait qu'il se trompait, or c'était bien lui le visionnaire…

 

Et puis, outre "France-Soir" (évidemment anti-communiste comme tous les médias occidentaux de l'époque, à l'exception de "L'Humanité") j'avais une source pro-communiste de première main : vers l'automne 1961 j'étais tombé par hasard, en tournant les boutons du gros poste de TSF à lampes qui trônait dans la cuisine chez moi (avec un "œil magique") sur une station qui émettait en français sur la "BE" (bande étalée, je crois que c'était la bande des 42 mètres sur ondes courtes), qui à 22 heures heure française faisait entendre un carillon mélodieux, puis une voix féminine sans aucun accent annonçait très clairement « C'était minuit au carillon du Kremlin, ici Radio Moscou, chers auditeurs voici notre bulletin d'informations ». Et pendant des années j'ai pris beaucoup de plaisir à écouter grâce aux ondes courtes des nouvelles (évidemment orientées, mais ça contrebalançait les nouvelles pro-occidentales des médias français) parvenant en direct d'au-delà du rideau de fer. Eh bien, Ortog, sur Radio Moscou en langue française je n'ai jamais rien appris à propos de la conquête de l'espace de différent de ce que disaient les médias français...

 

Pour moi il était bien plus intéressant d'écouter les explications antagonistes des deux chroniqueurs scientifiques dont j'ai parlé plus haut. Lucien Barnier, chroniqueur scientifique à Radio-Luxembourg, avait toujours cette précision lorsqu'un journaliste de la station du 22 rue Bayard lui demandait : « Mais, est-on sûr que ce qu'annonce l'agence Tass est exact et non de la propagande ? ». Il répondait : oui ! on peut en être sûr car c'est confirmé par Bernard Lovell, le directeur du radio-télescope de Jodrell Bank près de Liverpool. ». En effet ça a été la grande force de l'Union Soviétique alors : faire un partenariat avec le radio-télescope de Jodrell Bank en Angleterre qui confirmait tous les succès spatiaux soviétiques (ainsi le frôlement de la Lune par Lunik I, l'écrasement sur le sol lunaire de Lunik II, et le premier survol circumlunaire de Lunik III, avec les premières photos de la face cachée de la Lune), car sinon l'Occident n'y aurait jamais cru !...

 

Roger Lesourd.

Posté

Je tiens à saluer cette brillante intervention de "Roger", étant de la même génération.

 

Je me souviens du mercredi 12 avril 1961 (ce devait être les vacances de Pâques) où j'étais resté l'oreille collé sur un transistor à moitié h.s écoutant les nouvelles, jonglant moi aussi entre Europe 1, Radio Luxembourg et France Inter (ou sévissait l'infâme et nullissime - je pèse mes mots - Jean Nocher)... Et le soir j'ai demandé à ma mère la permission d'aller acheter France-Soir où s'étalait en première page sur 5 colonnes, la photo de Youri Gagarine. Alors comme un con avec mon journal dans la main dans la rue, j'ai pleuré de joie.

 

Merci encore Roger ;)

  • 4 semaines plus tard...

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