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je crois qu’on est a un moment historique ou l’humanité doit prendre en main son destin.

 

Dun cote on continue avec ’’les lois de la nature’’ les vros mangent les petits, croissance co stante sauf baisse population par épidemie ou guerre ou famine, les energies qui s’empilent au lieu de se remplacer (jb fressoz), les systemes ultra optimisés et performants mais sans résilience...

 

Ou alors on acte qu’on ne peut pas continuer comme ca et qu’on va dans des murs : ressources minieres et agricoles de plus en plus incertaines, impacts climatiques (temperature, montée des eaux, phenomenes extremes) donc on accepte de changer notre rapport au mo de brider la population, la conso d’energie et de materiaux,  de briser les bases du systeme financier actuel (dettes amortissable uniquement dans un contexe de croissance), on crée une redistribution pour erroder progressivement les patromoines et rebattre les cartes, on met en place u  systeme politique démocratique et robuste resistant a la corruption et aux pressions des lobbys MAIS en contrepartie on accepte de perdre en niveau de vie et a travailler plus longtemps (voir perpetuellemen)t pour se sauver collectivement et durablement. l’objectif etant d’atteindre l’equilibre ’’thermodynamique’’ durable entre la population  et ses ressources renouvelables.

 

individuellement ca correspond aussi a avoir un boulot beaucoup moins spécialisé ou qualifié (plus resiliant) à proximité de chez soi. c’est une des clef de la resilience.

Posté
Il y a 12 heures, 22Ney44 a dit :

(Quand je pense qu'une partie non négligeable de la population se demande pourquoi maintenir encore une agriculture, puisqu'on trouve de to. . .

 

Bonjour, ton argument est certainement crédible. Mais l'agriculture demande de moins en moins de main d'oeuvre aujourd'hui.

Mais comment résoudre la surpopulation dans pas mal de pays au Moyen Orient ou en Asie, etc.

Ajouter le climat!

Je précise mon language: ralentir est le mot!

 

 

 

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Posté

Je reste confondu par ces ratiocinages autour de risques dérisoires en regard de celui de damnation, qui n'a rien de mince puisque la majorité de l'humanité est prête à témoigner de sa gravité.

 

Posté (modifié)
Le 06/11/2024 à 01:04, VNA a dit :

Je précise mon language: ralentir est le mot!

 

autant pour l'énergie ou peut ralentir de 90 ou 95% sans trop être en danger de mort, autant pour la nourriture on peut ralentir pour éviter le gaspillage et limiter l’obésité mais a partir d’une baisse de 30% on va arriver dans la malnutrition... 

a population croissante on a vraiment un souci sur l’alimentaire, et la ou on pourrait fortement ralentir pour préserver le climat et les ressources minières (bien de conso et énergie) on accélère au contraire. il y a vraiment un ’’bug humain’’ dans le système (ref au livre du même titre)

Modifié par charpy
Posté

bah. c'est juste la victoire du populisme. c'est ce qui marche le mieux en ce moment un peu partout...

 

Mais bon il devrait sauver l'économie US en puisant du pétrole comme jamais... le mur et l'accélérateur.

on est parti pour dépasser 1.5° de réchauffement mondial en 2024 moins de 10ans après la coop 21 qui définissait ça comme objectif à 2100.

 

Pour rappel le scénario catastrumpiste du giec c'est +8.5° moyen en fin de siècle donc +10 à 12° chez nous. c'est colossal et on travaille tous un peu tous les jours tant qu'on reste dans des émissions exponentielles comme actuellement... vu le résultat au usa on est parti pour perdre 4ans supplémentaire de temps de réaction.

Remarquez qu'on est plus à ça prés car on en a déjà perdu 30 depuis la coop de 1995 qui a révélé le risque climatique et on est pas mort...

Posté

Ça vient de sortir ! 20 € seulement !!

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Des menaces pour l’équilibre climatique – puisque les effets sont mal connus sur les précipitations, par exemple –, mais aussi sanitaires, ou encore une baisse importante des rendements agricoles. En outre, ce type de réponse ne pourrait être que temporaire et pose le risque d’un « choc terminal » si le ballet des milliers d’avions au-dessus de nos têtes venait à cesser, puisque les températures remonteraient d’un coup. Le livre aborde par ailleurs les risques géopolitiques de telles visées : « Par qui et de quelle manière le voile solaire pourrait-il être déployé ? Qui aurait la main sur le thermostat ? »

  • J'aime 1
Posté

En 2000, les extrapolations indiquaient un dépassement des +1.5°C en 2041

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En 2015, l'accord de Paris fixait l'objectif de ne pas dépasser les +2°C en 2100 et de tout faire pour rester en dessous des 1.5°C. Le dépassement était anticipé à 2042. Le dépassement des +1.5°C était implicitement prévu...

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Fin 2024, les +1.5°C se sont rapprochés avec trois années battant les records de chaleur : 2030

 

image.png.ddbe499da6be30c87a71a2cd6eeb9499.png

 

On est clairement dans le haut des projections de l'IPPC! Sans que grand chose n'ai changé. Ah si Trump est de retour.

 

Les graphes proviennent de Copernicus : https://apps.climate.copernicus.eu/global-temperature-trend-monitor/?tab=methodology

 

Posté
Le 12/11/2024 à 05:35, Pyrene a dit :

risque d’un « choc terminal » si le ballet des milliers d’avions au-dessus de nos têtes venait à cesser, 

 

Bonjour, l'aviation est loin d'être le plus polluant::

 

"Percentage of global CO2 emissions: Around 2.5% of total global CO2 emissions come directly from aviation. 

 

Surtout sur les longs trajets. Non ça ne changera rien à mes 2-3 voyages annuels. L'automobile et transports terrestres sont  beaucoup plus polluants.

Posté
il y a 21 minutes, VNA a dit :

 

Bonjour, l'aviation est loin d'être le plus polluant::

 

"Percentage of global CO2 emissions: Around 2.5% of total global CO2 emissions come directly from aviation. 

 

Surtout sur les longs trajets. Non ça ne changera rien à mes 2-3 voyages annuels. L'automobile et transports terrestres sont  beaucoup plus polluants.

 

A découper chaque secteur en petits bouts rien n'est impactant en terme d'emmission: tu as 190 pays dans le monde, chacun contribuant un peu plus ou un peu moins. Pour chacun, c'est jamais beaucoup : qq pourcent. Pourtant tous le pays sont responsables.

 

Les accords de Paris visent à limiter le réchauffement climatique à moins de 2°C et tout faire pour rester sous les 1,5°C en 2100. Ces objectifs sont atteignables avec un scénario moyen à 2 tonnes de CO2 eq par an et par personne.

 

Pour fixer un peu les choses, en Français émets un peu moins de 10 tonnes de CO2 eq par an. Un américain de l'ordre de 20/25 tonnes dans la même gamme qu'un australien. Les africains moins d'une tonne etc....

 

2 tonnes de CO2, c'est 1 A/R Paris /New York en avion où un A\R Paris/Tokyo, c'est 6/7 tonnes.

20000km/an avec une petite voiture,c'est 2 tonnes de CO2... Etc etc.

 

Bref, avant de s'autopardonner ou s'autoresponsabiliser, faire son bilan carbone pour savoir de quoi l'on parle puis apprendre les ordres de grandeurs de nos différentes actions.

Pour les transports, en moyenne, si la voiture est le premier poste est l'utilisation de la voiture, le second est l'avion et les impacts liés à l'avion montent très vite pour une raison simple: l'usage est tout de suite important.

On n'utilise pas l'avion pour aller rechercher son pain. On l'utilise pour parcourir de longues distances : Les émissions sont nécessairement grandes.

 

Etc etc.

 

Faire son bilan carbone --> nos gestes climats de l'ADEME, myCO2, atelier de 2 tonnes.

Les ordres de grandeurs --> ateliers 2tonnes,  nos gestes climats, etc..

 

 

 

 

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oui les courbes sont édifiantes. si on suit sur le scenario pessimiste, et on est bien parti, pour ca promet d’éyre la cata.

c’est incroyable le déni et l’inertie des gens malgré  les preuves qui s’accumulent

Posté (modifié)

Il paraît qu'avec les cirrus artificiels que donnent les traînées de condensation qui s'étalent, il faut doubler l'effet de serre lié au seul CO² des avions. Je n'ai pas les compétences pour en juger.

Dans une activité donnée, un % minime du CO² total produit  se signifie rien en soi s'il n'est rapporté au service rendu et à combien de personnes.

Décidément, ça sent la géoingéniérie et le nucléaire qui le rendra possible. Encore quelques fournaises estivales sous les tropiques et les effarouchements antinucléaires hérités des seventies ne pèseront plus rien.

 

Certains penseront : "encore un commentaire qui commence bien et finit mal" :D

 

 

 

 

Modifié par Albuquerque
Posté
Il y a 4 heures, Albuquerque a dit :

Il paraît qu'avec les cirrus artificiels que donnent les traînées de condensation qui s'étalent, il faut doubler l'effet de serre lié au seul CO² des avions. Je n'ai pas les compétences pour en juger.

Dans une activité donnée, un % minime du CO² total produit  se signifie rien en soi s'il n'est rapporté au service rendu et à combien de personnes.

Décidément, ça sent la géoingéniérie et le nucléaire qui le rendra possible. Encore quelques fournaises estivales sous les tropiques et les effarouchements antinucléaires hérités des seventies ne pèseront plus rien.

 

Certains penseront : "encore un commentaire qui commence bien et finit mal" :D

 

 

 

 

 

En matière de réchauffement climatique, parler de service rendu N'A PAS de sens, 1 tonnes de CO2 reste une tonne de CO2 quelque soit le service rendu. La notion de service rendu est d'ailleurs très discutables selon l'opinion des uns et des autres.

 

Par contre, limiter les émissions carbones a 2tonnes implique nécessairement une priorisation des besoins: nourrir une population est, à moins d'être cinique, prioritaire par rapport à voyager en avion. On sait que l'agriculture sera directement touché par le RC climatique... C'est déjà le cas dans les Pyrénées Orientales par exemple.

Dire que se déplacer en avion offre un service rendu important en oubliant l'agriculture conduira nécessairement à des impacts importants sur l'homme.

Pensez qu'on importeras de la nourriture d'ailleurs, c'est de pas avoir compris la dimension mondiale du réchauffement climatique : quand il fait froid en Europe, il fait chaud de l'autre côté de la terre. Une sécheresse l'été en Europe se traduit par une sécheresse en hiver dans l'hémisphère sud... Et inversement pour la saison des pluies.

 

Euh oui, les chemtrail des avions doublent l'impact des avions: on mets de l'eau (GES) là où il n'y en à pas.

 

La géo ingénierie nessitere de le faire en permanence : dès que l'on l'arrêtera, le réchauffement climatique fera un bon parce que la cause ne seras pas éliminée. Elle sera sans doute également aggravée parce que derrière la géo ingénierie, il y a l'idée de ne rien changer.

 

 

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Posté
Le 18/11/2024 à 12:08, ursus a dit :

On n'utilise pas l'avion pour aller rechercher son pain. On l'utilise pour parcourir de longues distances : Les émissions sont nécessairement grandes.

 

Bonjour,  dans les grands pays l'avion est le train en Europe.  Traverser les U.S. en voiture prendra une semaine, l'avion le fait en 6 heures!

 

Posté

la conquête de l'ouest s'est pourtant faite a coup de train. c'est surtout une question de cout (une ligne de train c'est hors de prix) et de vitesse. l'avion gagne largement sur ces 2 plans.

on a l'habitude de voyager vite et loin grâce a toute l'énergie que nous pouvons nous payer mais ca ne va surement pas durer.

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Posté (modifié)
Le 20/11/2024 à 14:14, charpy a dit :

on a l'habitude de voyager vite et loin grâce a toute l'énergie que nous pouvons nous payer mais ca ne va surement pas durer.

 

Bonjour, encre une fois tout à fait d'accord, il est vrai que ça ne va pas durer, mais c'est comme tout!

 

Je pourrais rajouter de l'huile sur le feu, cela fait au moins 70 ans que l'Amérique se penche sur le problème de la pollution, malheureusement c'est très lent!

Modifié par VNA
Posté
Le 18/11/2024 à 20:20, VNA a dit :

 

Bonjour, l'aviation est loin d'être le plus polluant::

 

"Percentage of global CO2 emissions: Around 2.5% of total global CO2 emissions come directly from aviation. 

 

Surtout sur les longs trajets. Non ça ne changera rien à mes 2-3 voyages annuels. L'automobile et transports terrestres sont  beaucoup plus polluants.

Dans le contexte de ce que j'ai écrit, le "choc terminal" n'est pas lié à la pollution des avions. Il s'agit des avions qui dissémineraient des particules pour faire baisser le rayonnement solaire dans la religion de la géo-ingénierie. Ce procédé impose un ensemencement continu. Si les opérations cessent alors que les émissions de CO2 continuent, l'accumulation de CO2 génèrerait un effet de serre instantané à la mesure de cette accumulation. Or le procédé d'ensementcement est à la merci de tous évènements géopolitiques imaginables, des guerres aux pénuries de matériel, en passant par les accidents ou les catastrophes de toute nature.

Posté (modifié)

La géo-ingéniérie ne sera probablement pas employée pour continuer à dégager du CO² à tire-larigot mais pour sauver in extremis ce qui peut encore l'être. Je ne pense pas plus malin de l'écarter a priori que le nucléaire. 

Je fais ce parallèle parce que l'antinucléarisme de principe est apparu en un temps où on consommait moins d'électricité, où ses usages destinés à remplacer du fossile étaient presque de la SF, où quasi tout le monde se fichait du CO² et où on ne s'intéressait pas beaucoup plus aux dégâts humains des centrales au charbon. Et puis, tout change sous la pression des faits.

Modifié par Albuquerque
  • J'aime 1
Posté
Le 22/11/2024 à 23:40, VNA a dit :

 

 

Je pourrais rajouter de l'huile sur le feu, cela fait au moins 70 ans que l'Amérique se penche sur le problème de la pollution, malheureusement c'est très lent!

 

 

Il paraît d'ailleurs que dépité par leurs piètres résultats, le Grand Barbu songe à une solution peut-être radicale ...

 

Aha.jpg

  • Comme je me gausse! 1
Posté
Le 24/11/2024 à 11:00, Albuquerque a dit :

La géo-ingéniérie ne sera probablement pas employée pour continuer à dégager du CO² à tire-larigot mais pour sauver in extremis ce qui peut encore l'être. Je ne pense pas plus malin de l'écarter a priori que le nucléaire.

Encore une fois, personne ne croit à la géo-ingénierie, ni les scientifiques ni ses partisans. Il s'agit uniquement d'un discours visant à faire croire qu'il pourrait y avoir des solutions technologiques, ce qui permet aujourd'hui de continuer comme hier. C'est seulement le dernier avatar du négationnisme climatique : on a d'abord nié le phénomène, jusqu'à ce que ce ne soit plus possible, puis sa cause, jusqu'à ce que ça ne soit plus possible, on prétend maintenant trouver des solutions, contre l'avis unanime de la communauté scientifique. Les microparticules par avions ne sont du reste pas la seule fadaise au programme, la dernière élucubration suggère de polluer l'Antarctique avec un drap géant pour empêcher la fonte totale de l'inlandsis. Peu importe que cette idée baroque ne puisse pas fonctionner, peu  importe que l'Antarctique soit un sanctuaire internationalement reconnu comme intouchable, peu importe que la réalisation relève de la foutaise, le message n'est même pas qu'on cherche, c'est qu' ON POURRAIT SUREMENT TROUVER QUELQUE CHOSE QUI PERMETTE DE NE RIEN FAIRE :guitare: :violon:!pomoi!

C'est aussi la conclusion de la COP29 : les pays les plus impactés par notre pollution, qui sont à la fois les plus pauvres et les plus menacés, estiment à 1300 milliards de dollars les dons nécessaires à leur survie. On leur a promis 300 milliards, en prêt, sachant pertinemment qu'ils ne peuvent pas même rembourser les intérêts. Du reste personne ne croit les promesses, à commencer par ceux qui prêtent actuellement trois fois moins après avoir déjà promis la lune.

Qu'ils attendent le drap magique et la poudre de perlimpinpin stratosphérique. Ce sont eux qui meurent.

Pour l'instant.

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Posté
Il y a 9 heures, Pyrene a dit :

 le message n'est même pas qu'on cherche, c'est qu' ON POURRAIT SUREMENT TROUVER QUELQUE CHOSE QUI PERMETTE DE NE RIEN FAIRE

 

Il est vraiment étonnant de voir comment les yeux sur un commentaire on s'obstine à en nier le contenu. 

Posté (modifié)

effectivement  le nucléaire contient finalement LA solution a tout un tas de maux. 

hop réduction de la population, il y a moins besoin de produire de nourriture et hiver nucléaire pour calmer les temperatures.

 

Faut  pas déconner et tout faire peter d’un coup a la sauce guerre froide qui dérape donc touver le juste rythme des bombinettes pour stabiliser le climat et la population. c’est de loin la solution la plus crédible de toutes les geo ingénieries!

 

et bon l’enjeu global vaut bien les quelques cancers suplémentaires que ca va creer...

Modifié par charpy
Posté

Je me souviens des prédictions "scientifiques" du GIEC des années 1990 pour les années 2020 . Apocalyptiques et grotesques, évidemment, aucune ne s'est réalisée meme de près.

En une heure le soleil irradie sur la terre autant que l'énergie utilisée par l'humanité en 1 an. C'est dérisoire,

on comprend qui est le maître des horloges.

Posté

on s’en fiche e l’argumentation car contrairement aux autres techniques de geo ingé on a eu des experimentations donc on a des preuves de l’efficacité (sur les .orts tu trouvera facilement, et sur les essais atmo des annees 60 on parle de 0,25c de refroidissement)

 

https://www.caminteresse.fr/societe/les-essais-nucleaires-ont-ils-une-incidence-sur-le-climat-1163526/

 

certains commencent a se pencher sur les effets globaux de la geo inge localisée (au usa en particulier qui se donne les moyens de ses objectifs). ca fait pas rever

https://www.geo.fr/environnement/geoingenierie-impact-refroidissement-artificiel-climat-etats-unis-sur-europe-vague-chaleur-courant-amoc-220856

 

on a pas fini de faire des cop houleuses pour savoir qui paye les pots cassés chez les autres!

Posté
Le 20/11/2024 à 21:59, VNA a dit :

Bonjour,  dans les grands pays l'avion est le train en Europe.  Traverser les U.S. en voiture prendra une semaine, l'avion le fait en 6 heures!

 

 

ben oui mais cela ne changera pas les émissions de CO2 liées à un vol .

Dit autrement, c'est une mauvaise excuse.

Bien entendu, on peut choisir de dépenser son budget carbone en avion et ne rien faire à coté.

 

Pour moi, c'est une évidence. Le déréglement climatique conduit à changer profondément de mode de vie  ou se planter collectivement à l'échelle de la planète.  Bientôt, les populations migreront que les états le veuillent où non. Les hommes et femmes ont toujours migré lorsqu'ils ne pouvaient plus vivre où ils vivaient.

Je pense également que les personnes changeront lorsqu'elles se sentiront directement menacées ou lorsqu'elles ont déjà subit une catastrophe environnementales (les autres pensent ce n'est pas moi). Quand ce sera là, ce sera trop tard : A la fois pour les individus, pour les collectifs et même pour l'économie.

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Posté
Il y a 7 heures, Kristophe a dit :

Je me souviens des prédictions "scientifiques" du GIEC des années 1990 pour les années 2020 . Apocalyptiques et grotesques, évidemment, aucune ne s'est réalisée meme de près.

En une heure le soleil irradie sur la terre autant que l'énergie utilisée par l'humanité en 1 an. C'est dérisoire,

on comprend qui est le maître des horloges.

 

Tu ignores bien la réalité.

Les prévisions des années 90 se sont réalisées, plus exactement, elles sont sous estimées.

C'est même scientifiquement remarquable: les scientifiques ont remarquablement capté les phénomènes.

Quand aux catastrophes, tu ne dois pas écouter beaucoup les informations pour les ignorer autant.

 

 

PS : j'aime bien quand le quidam vient dire que des professionnels ayant travaillé sur le sujet pendant 30 ans se trompe pour une raison aussi futile que "En une heure le soleil irradie sur la terre autant que l'énergie utilisée par l'humanité en 1 an." 

Belle preuve d'Ultracrépidarianisme!

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Il y a 4 heures, charpy a dit :

 

Alors la sainte femme qu'était ma grand'mère se trompait en accusant comme c'était la mode il y a soixante ans les bombes atomiques de détraquer le climat ?

Sans oublier Flaubert qui dans son dictionnaire des idées reçues mentionne déjà au XIXe siècle la canonnade comme détraquant le temps ?

Et pour la même raison les feux de camp déjà dénoncés par Onkr ?

 

Le second lien dit que ça pourrait marcher mal. Alors je me tais. 

Modifié par Albuquerque
Posté

oui elle se trompait. c’etait deja majoritairement le co2 et le méthane qui détraquaient le climat.

 

le soufre aussi détraquait le climat a l’inverse du co2 donc finalement il a fallu du temps pourtout bien comprendre. maintenant on a un probleme de remanence de plus de 1000ans de rechauffementpour le co2 et quelques annees seulement de refroidissement pour le soufre. le co2 s’accumule et pas le soufre donc ca chauffe, et tant qu’on n fait rien sur le co2 ca va continuer de plus en plus.

 

mais le nucleaire est le seule geoi ge qui a fait ses preuves pratique la seule qui ai passé le cap de l’industrialisation poussée par un vrai modéle économique. p*sser plus loin que le voisin!.

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