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Les Sequoia géants californiens sont les plus grands arbres au monde. Leur volume les rend si résistants au feu qu'on les considérait comme invulnérables, jusqu'aux incendies -géants eux aussi- de ces dernières années. La combinaison de sécheresses extrêmes et de chaleurs anormales a décuplé la puissance des incendies au point de détruire un cinquième de ces arbres exceptionnels.

Le plus grand arbre sur Terre, le General Sherman et quelques autres ont été enveloppés de couvertures spéciales pour retarder les flammes, et arrosés de gel retardateur, ce qui est inusité dans les parcs américains.

Les graines de ces arbres germent normalement après le passage des incendies ; mais la chaleur dégagée par ceux de ces dernières années a été telle que les graines ne germent plus. Le parc envisage de semer pour replanter, ce qui est également une première pour un parc national aux USA.

Posté
il y a 24 minutes, Pyrene a dit :

Les graines de ces arbres germent normalement après le passage des incendies ; mais la chaleur dégagée par ceux de ces dernières années a été telle que les graines ne germent plus.

:hmm:  Les incendies de ces dernières années chaufferaient plus que les incendies des années d'avant? C'est bizarre... Pourquoi la t° d'une flamme  changerait d'une année à l'autre :?:

Posté

Les incendies de forêts sont des événements si habituels que certaines graines ne germent que chauffées. Les forêts australiennes d'Eucalyptus sont spectaculaires parce que tous les arbres sont creux, l'intérieur est calciné. Les orages de fin d'été sont un déclencheur très classique.

C'est aussi très habituel en Californie, mais ces incendies récents sont catastrophiques parce qu'ils interviennent sur une longue période de sécheresse. Les arbres sont très affaiblis et desséchés, c'est ce qui fait que des arbres qui ont survécu aux précédents finissent par flamber : on a alors des incendies d'une ampleur, d'une intensité et d'une durée absolument inhabituelles, car il y a bien plus de matériau à brûler  (le renforcement des vents a aussi été évoqué).

Sur les vingt pires incendies californiens depuis 1932 (date des relevés fiables), la moitié sont postérieurs à 2019, et tous à 2000.

Posté
il y a 6 minutes, charles43 a dit :

Bonsoir ,

Pour le climat ce n'est pas gagné !  

 

ouaip ! image.png.c43f9af605c9fd37d8142ce335f9b0f0.png

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il y a 52 minutes, charpy a dit :

En regardant les illustrations de cet article, on note que la France produit environ 20 % de l'énergie électrique mondiale pour ... 1% de la population de la planète. Pourquoi ? Sommes-nous si énergivores ? Y aurait-il gaspillage ? Notre électricité part à l'étranger mais pas les déchets des centrales nucléaires ni l'impact carbone des centrales thermiques ?

Allez il y a de quoi remplir quelques pages du forum !

 

Ney

 

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il y a 33 minutes, xs_man a dit :

Le Covid a déjà 92 pages à son actif, va falloir accélérer et recoller les wagons...:ninja:

Je file....

 

non mais! je t'ai vu faire la même chose sur le fil covid!

t'essaierais pas de foutre le bronx?😁

  • Comme je me gausse! 1
Posté
il y a 6 minutes, Tyler a dit :

non mais! je t'ai vu faire la même chose sur le fil covid!

t'essaierais pas de foutre le bronx?😁

 

Moi, essayer de diviser notre communauté ? :horse:

Je jure que non, sur la tête de.... la tête de... la tête de...  Zut....

Qui est d'accord pour se faire couper la tête ? Des volontaires ? :pape:

 

Albéric

  • Comme je me gausse! 3
Posté

Les bonnes nouvelles n'étant pas si courantes sur ce fil, je suis heureux de signaler l'abandon par le Portugal de sa dernière centrale à charbon, avec neuf ans d'avance sur ses engagements. C'est le quatrième pays européen à abandonner cette énergie, après la Belgique, l'Autriche, et la Suède. Le Portugal tire 60 à 70% de son électricité de sources renouvelables, selon l'article cité plus haut.

La France utilise encore quatre centrales à charbon, dont la fermeture est programmée pour 2022. Ces centrales ne contribuent qu'à à peine plus de un pour cent de notre consommation, mais crachent 30% des gaz à effet de serre du secteur électrique.

  • J'aime 1
Posté

D'une manière générale , les portuguais sont plutôt de bons élèves dans la gestion du Covid comme des prises de conscience sur des sujets climatiques ou autres , je le souligne comme ça au passage , disons que le bilan n'est pas Fado ..!pomoi!

Posté (modifié)
Le 22/11/2021 à 18:59, 22Ney44 a dit :

 la France produit environ 20 % de l'énergie électrique mondiale pour ... 1% de la population de la planète.

 

 

Il doit manquer un mot ?

 

----------------------------------- 

 

Je suis désolé de voir charpy prétendre que le nucléaire est une électricité verte. D'abord le nucléaire produit 66 grammes de CO² par kWh électrique. On dit 6, mais c'est une faute de frappe d'une dactylo qui oubliant un 6 n'en a tapé qu'un seul. Ensuite l'électricité nucléaire n'arrive qu'à 50% chez l'usager, le reste étant perdu en ligne. Nous voilà 132 grammes de CO² par kWh. Ensuite le rendement des réacteurs ne dépasse pas le tiers, ce qui fait qu'on gaspille à la source les 2/3 de l'énergie. On n'en récupère qu'un tiers, donc la production de CO² par kWh devient 132 grammes  x  3  = 396 grammes / kWh. Ensuite l'ASN est obligée d'arrêter sans cesse des centrales, au point que le nucléaire est devenu une énergie intermittente lui aussi. Or l'éolien avec son facteur de charge de 0,25 a besoin d'un back-up au gaz pour les 75% restant, soit 3 fois plus que l'éolien lui-même. Le nucléaire devenu énergie intermittente a donc besoin de 3 fois plus de gaz qu'il ne consomme d'uranium, ce qui quadruple donc le CO² par kWh  :  396 grammes  x  4  =  1686 grammes de CO² par kWh électrique, presque le double du charbon.

Alors il faut regarder de plus près les chiffres avant de parler d'énergie verte. 

Modifié par Albuquerque
Posté

nanan. pas de calcul bidon de la sorte.

 

juste qu'il y a plus vert que le vert teinté de "jaune et noir" ☢️

66g pour le nuc, 32 pour le PV, 22 pour la biomasse, 13 pour le solaire a concentration, 10 pour l'éolien et l'hydrau

 

donc effectivement le nuc divise par 10 par rapport aux autres fossiles mais on peut encore gagner un facteur 2 à 6!

Posté

Après des calculs bidons humoristiques, des chiffres bidons qui se veulent sérieux.

C'est pas beau. 

66 g/kWh, c'est à peu près le chiffre total d'EDF avec ses centrales fossiles résiduelles. Pour le nucléaire je me fie à l'Unscear et à l'Ademe, 6 grammes. 

Mais c'est normal quand on est écolo de raconter que le nucléaire crache plus de CO² que le PV. 

  • J'aime 1
Posté
Il y a 9 heures, Albuquerque a dit :

Après des calculs bidons humoristiques, des chiffres bidons qui se veulent sérieux.

C'est pas beau. 

66 g/kWh, c'est à peu près le chiffre total d'EDF avec ses centrales fossiles résiduelles. Pour le nucléaire je me fie à l'Unscear et à l'Ademe, 6 grammes. 

Mais c'est normal quand on est écolo de raconter que le nucléaire crache plus de CO² que le PV. 

 

Oui le nucléaire émet très peu de CO2 mais parler uniquement de cela est vraiment insuffisant.

Outre leur intermittence le PV et l’éolien ont un grand probléme: la densité surfacique d'énergie qui est avant transformation en énergie électrique de l'ordre de 1000W/m2 (1000 W d’énergie solaire par m2 de surface au sol en pleine soleil, soleil au zenith); 1000 W, c'est la puissance d'un fer à repasser.

Il y a environ un facteur 600 entre le PV et le Nucléaire Civil. Dit autrement, il faut 600 fois plus de surface pour avoir la même puissance; sans compter intermittence.

 

Face à cela, il convient de mettre en face la consommation d'énergie électrique (et l'augmentation de sa consommation prévisible du fait de la transition énergétique. Quand on s'intéresse à l'adéquation production d'énergie = consommation, on s'aperçoit des problèmes techniques, réels. Faire uniquement des ENR, sans réduction de la consommation, implique d'avoir des surfaces terrestres couvertes très importantes.

Il devient alors assez évident que la meilleur énergie verte est celle non consommée. Les scénarios à base seulement d'ENR reposent aussi si une réduction importante de la consommation d'énergie (ex. scénario association Négawatt).

 

D'ailleurs, l'adéquation production = consommation s'applique également sur une année ou une journée: l’énergie solaire est produite majoritairement l'été alors que le gros des besoins se situe l'hiver; c'est sans doute lissée par l'activité économique. Il y a aussi cela sur une journée avec des pics de consommations au petit dej ou au diner au moment où le soleil n'est peu là. On peut alors se dire qu'il faut stocker l'énergie sous une forme chimique (batterie, H2, CH4)... on sait le faire mais les  rendements en stockage et destockage ne sont pas très bons (j'ai en tête 30% dans les deux sens...stockage qui demande également de la place... certains scénarios envisagent de stocker H2 dans les puits vides de gaz ou de pétrole.

là encore, la réduction de la consommation est de mise mais aussi son étalement... imaginez des départs en vacances avec des locations du samedi au samedi ... avec un flot de voiture électrique.

 

Bref, il n'y a pas un scénario qui marche avec une seule source d'énergie et sans changement de mode de vie  et donc de baisse de la consommation.

Les scénarios (que j'ai pu lire) envisagent tous un mix et, de manière plus ou moins claire, une baisse de la consommation.

 

Pour en avoir discuté avec différentes personnes ou en écoutant simplement les expressions de personnes, le plus grand écueil est la baisse de la consommation: pas grand monde ne veut l'accepter, ne veut changer sa manière de vivre... des personnes ont froid chez elle si il ne fait pas 25°C pour une recommandation à 19°C (environ +7% de consommation d'énergie par degré).

Ah si, il y a des changements dans un cas : en cas de pénurie. Lors de blocage des stations services, les personnes ont roulé plus doucement et moins souvent. J'imagine que c'est actuellement le cas pour les personnes les plus démunies au regard de prix de l'essence... certainement pas le cas pour les plus riches.

 

Dernière chose importante à l'énergie. Ce n'est pas quelque chose de palpable, soupesable, de quantifiable par les sens humains. Qui a conscience de l'énergie consommée lorsqu'il consomme de l'eau du robinet, quand il  consomme un livre ou un produit cosmétique ou tout simplement en utilisant ses appareils ? Certainement pas le citoyen lambda.

 

  • Merci / Quelle qualité! 1
Posté

l'arbitre "giec" dit ça lorsqu'on l'étudie sur l'ensemble du cycle de vie (et pour mémo le cycle de vie du nucléaire n'est pas encore bouclé à long terme pour le démantèlement et des déchets)

  • Le nucléaire : 12 g de CO2 par kWh
  • L’hydraulique : 24 g de CO2 par kWh
  • Le gaz : 490 g de CO2 par kWh
  • L’éolien : 11 g de CO2 par kWh
  • Le solaire : 41-48 g de CO2 par kWh
  • Les bioénergies (biomasse) : 230 g de CO2 par kWh
  • Le charbon : 820 g de CO2 par kWh
  • Le fioul : donnée non disponible

 

 

Posté (modifié)

J'ai essayé de démontrer que le nucléaire dégage presque le double de CO² du charbon pour sauver le moral vert. Il ne faudrait pas que tels des soldats allemands en 1918 apercevant déjà les faubourgs de Paris, des milliers de militants écolos à deux doigts d'écraser l'hydre atomique se soient inutilement battus des années pour finir par rentrer chez eux accablés par le coup de poignard dans le dos de leur propre gouvernement. 

Modifié par Albuquerque
Posté
Il y a 2 heures, Albuquerque a dit :

ris, des milliers de militants écolos à deux doigts d'écraser l'hydre atomique se soient inutilement battus des années pour finir par rentrer chez eux accablés par le coup de poignard dans le dos de leur propre gouvernement. 

oh ! c'est bon.....😄

 

Il y a 2 heures, ursus a dit :

, le plus grand écueil est la baisse de la consommation: pas grand monde ne veut l'accepter, ne veut changer sa manière de vivre... des personnes ont froid chez elle si il ne fait pas 25°C pour une recommandation à 19°C (environ +7% de

Il y a 2 heures, ursus a dit :

là encore, la réduction de la consommation est de mise mais aussi son étalement... imaginez des départs en vacances avec des locations du samedi au samedi ... avec un flot de voiture électrique.

un vrai vrai problème avec une seule énergie en effet.☺️

il faut penser que la population vieillit, elle est plus sensible à la "sensation"de froid. réduire la conso va être franchement compliqué...et nos ordi ?

Posté

Bref , on n'a pas trouvé l'énergie qui ne nuit pas , on s'est engagé dans une impasse d'où on ne peux pas sortir , le charbon pollue , le gaz aussi , l'éolien tue les chauves-souris , le solaire ne tient pas ses promesses , les pompes a chaleur .. mouais 20.000 balles quand-même pour un résultat très bof , le nucléaire produit une énergie propre 🤔 mais dès que ça foire , sauve qui peut ..de plus on jette les déchets dans l'océan , que nous reste-t-il ? Ah , peut-être le méthane de nos flatulences stockées dans des ballons de baudruche ..et le vélo ou le rameur a la cave relié au compteur ..

..Va falloir tout revoir à la base , on a du louper un truc , un jour .. on va reprendre les silex donc , revivre dans des grottes et s'en remettre à nos Dieux en les invoquants par nos peintures rupestres ..un nouveau départ quoi .

Posté
Il y a 2 heures, kerozene a dit :

.de plus on jette les déchets dans l'océan , que nous reste-t-il ?

Cà par contre on pourrait vraiment faire qq chose...au niveau des emballages , encore faut-il une volonté politique qui aujourd'hui fait défaut,

Le nucléaire avec ses énormes centrales çà c'était une impasse au niveau du démantèlement (on songe à réutiliser les sites avec quelque chose de plus petit ! )  d'un autre coté tout le monde maintenant a peur du nucléaire : plus personne n'en veut dans sa commune ou quasiment.

l'energie géothermique pour l'habitat : à Coulommiers où je suis toute la ville haute (les hlm) est chauffé à la géothermie (avant c'était au fuel ) la mairie a songé un moment à étendre à la ville basse cette géothermie : le pb outre le fait qu'un certain nb de logements particuliers seulement ont des radiateurs thermiques, c'est celui de la place des échangeurs et de leur raccordement aux particuliers, pb complexe car entretemps la ville s'est bâtie et grandie. et le nombre d'intervenants pour ce type d'intervention n'est pas extensible à l'infini.

Il y a 2 heures, kerozene a dit :

..Va falloir tout revoir à la base ,

c'est un peu beaucoup le pb ! durant des années personne n'était vraiment prêt et on a laissé faire les habitudes dans lesquelles on s'empiège maintenant.

Posté
il y a 41 minutes, PEV77 a dit :

Cà par contre on pourrait vraiment faire qq chose...au niveau des emballages , encore faut-il une volonté politique qui aujourd'hui fait défaut,

Bonjour @PEV77,

Devons- nous comprendre que vous êtes d'accord pour le rejet en mer des déchets radioactifs à condition qu'ils soient bien emballés ? J'espère sincèrement avoir mal compris ou mal interprété.

Du temps où je travaillais entre autre en Sûreté nucléaire au CEA, la résistance des bidons métalliques en mer ou même à terre n'étaient pas retenu comme barrière à la radioactivité sauf pour les émissions alpha. Les déchets étaient considérés comme sécurisés à condition, une fois en fût, d'être coulés dans un bloc de béton. Ce béton était donné pour une espérance de vie de 300 ans une fois immergés. Le CEA a préféré se servir de ces blocs de béton pour construire des bâtiments.

Ceci veut dire que seuls les déchets faiblement radioactifs avec une demi vie suffisamment courte pour qu'au bout des 300 ans la radioactivité restante ne soit pas supérieure à la radio activité naturelle au moment où le béton commence à se déliter pouvaient être candidats à ce processus.

 

Il y a un point dont on ne parle pas assez, c'est le danger chimique et plus particulièrement la présence éventuelle des actinides dans les déchets rejetés en mer. Ces actinides seront toujours délétères au dessus du seuil de létalité générale de la faune même dans 10 000 ans si d'aventure les fûts résistaient sur cette durée. Une nation très pragmatique, considérant que son modèle économique ne pouvait pas intégrer les retraitements,  n'a pas hésité à en immerger un nombre considérable dans l'une des mers bordant la France. Son argument pour le justifier est imparable, "les générations futures auront à traiter le problème pour survivre, donc ce n'est plus le nôtre".

 

Je suis curieux de savoir qui rejette encore en mer des déchets solides. Certes le Japon s'apprête, à moins que ce ne soit déjà fait, à rejeter des tonnes d'eau tritiée à la mer, justifiant qu'une fois diluée dans la masse océanique du globe l'apport en tritium est insignifiant. Phénomène encore plus "rigolo" (mais jaune pour moi), la conquête de la Lune trouve une de ses justifications dans le fait que nous allons pouvoir en ramener le tritium qui nous manque ici bas. Comment construire une logique transversale à tous ces faits observés ?

 

Ney

 

Posté

L'Atlantification, c'est le néologisme pour l'intrusion d'eaux chaudes et salées de l'Atlantique dans le domaine arctique. En examinant des carottages effectués au niveau du Spitzberg, une équipe internationale a mis en évidence le phénomène sur la base d'analyses biochimiques et de répartition faunistique. Les données s'étendent sur 800 ans, indiquant que l'intrusion est brutale quelques années avant 1900.

Le mécanisme invoqué fait intervenir l'amincissement puis la disparition de la banquise, évidemment en lien avec le réchauffement anthropique.

La mauvaise nouvelle, c'est que les modèles actuels ne rendent pas compte du phénomène, indiquant une compréhension au moins incomplète et sans doute une nécessité de réviser leurs prévisions.

Posté
il y a 51 minutes, 22Ney44 a dit :

la conquête de la Lune trouve une de ses justifications dans le fait que nous allons pouvoir en ramener le tritium qui nous manque ici bas. 

 

 

Pas du tritium, mais de l'hélium 3. 

Comment y aurait-il du tritium en quantité exploitable sur la lune ? 

 

L'eau polluée au tritium stockée à Foucouchima est à ma connaissance aux environs d'un MBq/litre, soit 100 fois la limite sanitaire de l'OMS, ce qui en cas de dilution océanique est dérisoire. C'est pure politique si ce n'est pas déjà commencé (il est même question d'y passer des années)

Pour mémoire la limite de l'OMS est définie comme l'activité d'une eau qui bue tous les jours à raison de 2 litres donne une irradiation de 0,1 mSv/an. 

 

Posté
il y a une heure, 22Ney44 a dit :

Devons- nous comprendre que vous êtes d'accord pour le rejet en mer des déchets radioactifs à condition qu'ils soient bien emballés ? J'espère sincèrement avoir mal compris

evidemment trés mal compris, je parlai des emballages plastiques

 

il y a une heure, 22Ney44 a dit :

. Phénomène encore plus "rigolo" (mais jaune pour moi), la conquête de la Lune trouve une de ses justifications dans le fait que nous allons pouvoir en ramener le tritium qui nous manque ici bas. Comment construire une logique transversale à tous ces faits

Ramener du Tritium de la lune ???

Posté
il y a 41 minutes, Albuquerque a dit :

Pas du tritium, mais de l'hélium 3. 

Oui de l'Helium 3 pour les réacteurs à fusion nucléaire peut-être, mais surtout le retour à la lune c'est pour construire une base dans l'antarctique lunaire, utiliser les glaces d'eau et autres pour faire du carburant pour les vaisseaux qui décolleront de la lune (faible impulsion, un seul étage) et à partir de là viser Mars peut-être...un projet à priori raisonnable si les sondes lunaires ont bien rapportées les bonnes informations...

Posté (modifié)

Cool en partant sur l'exploration spatiale habitée on a des chances de rattraper le sujet sur le covid!

 

Un autre article (a contredire) du meme media. Qui explique pourquoi le débat sur l'aviation devrait deja etre clot depuis longtemps avec une mise a l'arret urgent de cette activité!

https://bonpote.com/pourquoi-arreter-lavion-ne-devrait-plus-etre-un-debat/

 

ce qu'il faut retenir c'est d'ou on part en terme d'emissions, ou on veut aller pour atteindre -80% et que ca va deja etre dur d'avoir de quoi a manger et se loger en respectant ca alors tout le reste est un faux débat!

 

Et peut etre l'amorce de quelque chose ici... uranium vs lithium 

https://polytech.univ-amu.fr/sites/polytech.univ-amu.fr/files/action_ddrs_uranium_vs_lithium_0.pdf

Modifié par charpy
Posté

Je n'ai jamais pris l'avion commercial (sauf une fois par ordre - A/R de 2 x 400 km - et deux fois en évacué sanitaire - 2 x 250 km - ), mais si on m'interdit de voler en ULM on va me forcer à prendre l'avion pour aller voler aux Tazunis. Avoue que ce serait absurde. 

 

Mais non, se loger ne sera pas difficile. Les Khmers verts devraient loger une famille de quatre ou cinq personnes chez moi où je suis seul à la campagne, tout en me proposant un studio en ville.

 

Ceux qui ont une maison dont le jardin permet de disposer du PV pour recharger leur voiture électrique feraient bien de se remarier fissa si par hasard ils ne le sont plus, d'héberger leurs vieux parents, etc. 

 

PS : je vois demain mon avocat au sujet des commentaires ouvertement politiques qui ont entraîné la fermeture de mon fil qui tenait la corde, si j'ose dire, et briser ainsi tout mes espoirs. 

Ouais, évidemment ce n'est pas vrai, mais que les coupables reconnaissent qu'ils le mériteraient.

 

 

 

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