Annonce de la Nasa au sujet de la Lune

[Starfighter]

Bonjour,

 

Ce lundi 26 octobre 2020, la Nasa devrait faire une annonce au sujet de la.Lune...

 

J'ai entendu beaucoup de ruà ce sujet, comme le fait qu'ils auraient déjà mis en place la 4G pour les futures vacances mission Artemis...

 

Selon-vous, quelle pourrait être cette annonce ?

 

[Alain_G]

La présence de glace d'eau au niveau des pôles lunaires.

[montmein69_2]

Plus que quelques heures à attendre. 😎

Avec la montée en charge des travaux pour lancer le programme Artemis, les annonces concernant la Lune vont se multiplier.

Concernant l'eau aux pôles ou ailleurs sur notre satellite, il y a déjà eu pas mal d'annonces ... on verra s'il y a vraiment du nouveau sur le sujet.

 

 

Citation

 

NASA to Announce New Science Results About Moon

NASA will announce an exciting new discovery about the Moon from the Stratospheric Observatory for Infrared Astronomy (SOFIA) at a media teleconference at 12 p.m. EDT Monday, Oct. 26. Audio of the teleconference will stream live on the agency’s website.

 

https://www.nasa.gov/live

 

Modifié 25 octobre 2020 par montmein69_2

[Alhajoth]

Il y a 9 heures, Starfighter a dit :

une annonce au sujet de la.Lune.

 

"Une nouvelle découverte excitante au sujet de la Lune", pour reprendre leurs mots (traduits).

Je crains le pire...

[Arnoflo]

L'ouverture prochaine d'une concession Tesla?

[Starfighter]

Apparemment ce serait la découverte de glace d'eau sur les pôles de la Lunes...

[jackbauer]

le communiqué de la NASA (traduction automatique) :

 

https://www.nasa.gov/press-release/nasa-s-sofia-discovers-water-on-sunlit-surface-of-moon/

 

SOFIA  (NASA) découvre de l'eau sur la surface ensoleillée de la Lune

 

L'Observatoire stratosphérique d'astronomie infrarouge (SOFIA) de la NASA a confirmé, pour la première fois, de l'eau sur la surface ensoleillée de la Lune. Cette découverte indique que l'eau peut être distribuée sur la surface lunaire, et ne se limite pas aux endroits froids et ombragés.

SOFIA a détecté des molécules d'eau (H2O) dans le cratère Clavius, l'un des plus grands cratères visibles de la Terre, situé dans l'hémisphère sud de la Lune. Des observations antérieures de la surface de la Lune ont détecté une forme d'hydrogène, mais n'ont pas été en mesure de faire la distinction entre l'eau et son proche parent chimique, l'hydroxyle (OH). Les données de cet endroit révèlent de l'eau à des concentrations de 100 à 412 parties par million - à peu près équivalentes à une bouteille d'eau de 12 onces - emprisonnée dans un mètre cube de sol réparti sur la surface lunaire. Les résultats sont publiés dans le dernier numéro de Nature Astronomy.

«Nous avions des indications que H2O - l'eau familière que nous connaissons - pourrait être présente du côté ensoleillé de la Lune», a déclaré Paul Hertz, directeur de la division d'astrophysique à la direction des missions scientifiques au siège de la NASA à Washington. «Maintenant, nous savons que c'est là. Cette découverte remet en question notre compréhension de la surface lunaire et soulève des questions intrigantes sur les ressources pertinentes pour l'exploration de l'espace lointain.

A titre de comparaison, le désert du Sahara a 100 fois plus d'eau que ce que SOFIA a détecté dans le sol lunaire. Malgré les petites quantités, la découverte soulève de nouvelles questions sur la façon dont l'eau est créée et comment elle persiste sur la surface lunaire dure et sans air.

L'eau est une ressource précieuse dans l'espace lointain et un ingrédient clé de la vie telle que nous la connaissons. Reste à déterminer si l'eau trouvée par SOFIA est facilement accessible pour une utilisation en tant que ressource. Dans le cadre du programme Artemis de la NASA, l'agence est impatiente d'apprendre tout ce qu'elle peut sur la présence d'eau sur la Lune avant d'envoyer la première femme et le prochain homme à la surface lunaire en 2024 et d'y établir une présence humaine durable d'ici la fin de la décennie.

Les résultats de SOFIA s'appuient sur des années de recherches antérieures examinant la présence d'eau sur la Lune. Lorsque les astronautes d'Apollo sont revenus pour la première fois de la Lune en 1969, on pensait qu'elle était complètement sèche. Les missions orbitales et d'impacteurs au cours des 20 dernières années, telles que le satellite d' observation et de détection du cratère lunaire de la NASA , ont confirmé la présence de glace dans des cratères ombragés en permanence autour des pôles de la Lune. Pendant ce temps, plusieurs engins spatiaux - y compris la mission Cassini et la mission de comète Deep Impact , ainsi que la mission Chandrayaan-1 de l'Organisation indienne de recherche spatiale - et le télescope infrarouge au sol de la NASA, a examiné largement la surface lunaire et a trouvé des preuves d'hydratation dans les régions plus ensoleillées. Pourtant, ces missions n'ont pas été en mesure de distinguer définitivement la forme sous laquelle elle était présente - que ce soit H2O ou OH.
«Avant les observations de SOFIA, nous savions qu'il y avait une sorte d'hydratation», a déclaré Casey Honniball, l'auteur principal qui a publié les résultats de son travail de thèse à l'Université d'Hawaï à Mānoa à Honolulu. «Mais nous ne savions pas combien, le cas échéant, étaient en fait des molécules d'eau - comme nous buvons tous les jours - ou quelque chose de plus comme un nettoyant pour drains.
SOFIA a offert un nouveau moyen de regarder la Lune. Volant à des altitudes allant jusqu'à 45 000 pieds, cet avion de ligne Boeing 747SP modifié avec un télescope de 106 pouces de diamètre atteint plus de 99% de la vapeur d'eau dans l'atmosphère terrestre pour obtenir une vue plus claire de l'univers infrarouge. En utilisant son Faint Object infrarouge CAmera pour le télescope SOFIA (FORCAST), SOFIA a pu capter la longueur d'onde spécifique unique aux molécules d'eau, à 6,1 microns, et a découvert une concentration relativement surprenante dans le cratère ensoleillé de Clavius.

"Sans une atmosphère épaisse, l'eau sur la surface lunaire ensoleillée devrait simplement être perdue dans l'espace", a déclaré Honniball, qui est maintenant postdoctoral au Goddard Space Flight Center de la NASA à Greenbelt, Maryland. «Pourtant, nous le voyons d'une manière ou d'une autre. Quelque chose génère de l'eau et quelque chose doit l'emprisonner là-bas.

Plusieurs forces pourraient être en jeu dans la distribution ou la création de cette eau. Des micrométéorites pleuvant sur la surface lunaire, transportant de petites quantités d'eau, pourraient déposer l'eau sur la surface lunaire lors de l'impact. Une autre possibilité est qu'il pourrait y avoir un processus en deux étapes par lequel le vent solaire du Soleil fournit de l'hydrogène à la surface lunaire et provoque une réaction chimique avec des minéraux contenant de l'oxygène dans le sol pour créer de l'hydroxyle. Pendant ce temps, le rayonnement du bombardement de micrométéorites pourrait transformer cet hydroxyle en eau.

La manière dont l'eau est ensuite stockée - ce qui permet de s'accumuler - soulève également des questions intrigantes. L'eau pourrait être piégée dans de minuscules structures en forme de perles dans le sol qui se forment à cause de la chaleur élevée créée par les impacts de micrométéorites. Une autre possibilité est que l'eau puisse être cachée entre des grains de sol lunaire et à l'abri de la lumière du soleil - la rendant potentiellement un peu plus accessible que l'eau emprisonnée dans des structures en forme de perles.

Pour une mission conçue pour observer des objets lointains et sombres tels que des trous noirs, des amas d'étoiles et des galaxies, le projecteur de SOFIA sur le voisin le plus proche et le plus brillant de la Terre était un départ du statu quo. Les opérateurs de télescope utilisent généralement une caméra de guidage pour suivre les étoiles, en maintenant le télescope verrouillé de manière constante sur sa cible d'observation. Mais la Lune est si proche et si lumineuse qu'elle remplit tout le champ de vision de la caméra guide. En l'absence d'étoiles visibles, il n'était pas clair si le télescope pouvait suivre la Lune de manière fiable. Pour le déterminer, en août 2018, les opérateurs ont décidé de tenter un test d'observation.

«C'était, en fait, la première fois que SOFIA regardait la Lune, et nous n'étions même pas tout à fait sûrs d'obtenir des données fiables, mais les questions sur l'eau de la Lune nous ont obligés à essayer», a déclaré Naseem Rangwala, le projet de SOFIA. scientifique au centre de recherche Ames de la NASA dans la Silicon Valley en Californie. «C'est incroyable que cette découverte soit issue de ce qui était essentiellement un test, et maintenant que nous savons que nous pouvons le faire, nous prévoyons plus de vols pour faire plus d'observations.»

Les vols de suivi de SOFIA chercheront de l'eau dans d'autres endroits ensoleillés et pendant différentes phases lunaires pour en savoir plus sur la manière dont l'eau est produite, stockée et déplacée sur la Lune. Les données s'ajouteront au travail des futures missions sur la Lune, telles que Volatiles Investigating Polar Exploration Rover (VIPER) de la NASA , pour créer les premières cartes des ressources en eau de la Lune pour l'exploration future de l'espace humain.

Dans le même numéro de Nature Astronomy, des scientifiques ont publié un article utilisant des modèles théoriques et les données de  Lunar Reconnaissance Orbiter de la NASA , soulignant que l'eau pourrait être piégée dans de petites ombres, où les températures restent en dessous de zéro, sur une plus grande partie de la Lune que prévu actuellement. Les résultats peuvent être trouvés ici .   

«L'eau est une ressource précieuse, à la fois à des fins scientifiques et à l'usage de nos explorateurs», a déclaré Jacob Bleacher, scientifique en chef de l'exploration à la Direction des missions d'exploration et d'exploitation humaine de la NASA. «Si nous pouvons utiliser les ressources de la Lune, alors nous pouvons transporter moins d'eau et plus d'équipement pour aider à permettre de nouvelles découvertes scientifiques.»

[Denis Udrea]

"à peu près équivalentes à une bouteille d'eau de 12 onces"

Ce qui fait environ un tiers de litre. Ils ont de drôles de bouteilles. Bon cela doit faire un quinzième de gallon. Rien n'est simple !

 

Il va falloir traiter des gros volumes si on veut exploiter les ressources ne serait-ce que pour alimenter en eau une base permanente, sans même parler de l'utilisation pour des vaisseaux !

[Benoît]

Citation

"à peu près équivalentes à une bouteille d'eau de 12 onces"

Ce qui fait environ un tiers de litre. Ils ont de drôles de bouteilles. Bon cela doit faire un quinzième de gallon. Rien n'est simple !

 

12 onces ça fait 1½ tasse. C'est presque un dixième de gallon américain (128 onces) et presque un huitième de gallon impérial (160 onces).

 

Comme tout le monde le sait, 1 litre équivaut à 33,8 onces donc tu as raison: environ un tiers de litre et rien n'est simple!😇

[Alain_G]

Vive le système métrique

[Benoît]

Je suis tout-à-fait d'accord. Le système métrique est simple et logique. Voici 2 accidents qui le mettent en valeur:

 

Mars Climate Orbiter

 

Le planeur de Gimli

[jackbauer]

Sur le site de C&E :

 

https://www.cieletespace.fr/actualites/de-l-eau-detectee-dans-les-regions-de-la-lune-exposees-au-soleil

De l’eau détectée dans les régions de la Lune exposées au Soleil
 

[edubois3]

Il y a 19 heures, Benoît a dit :

 

12 onces ça fait 1½ tasse. C'est presque un dixième de gallon américain (128 onces) et presque un huitième de gallon impérial (160 onces).

 

Comme tout le monde le sait, 1 litre équivaut à 33,8 onces donc tu as raison: environ un tiers de litre et rien n'est simple!😇

Hé oui, cela fait l'équivalent d'une bouteille de Coca 😉 ...

 

Le 26/10/2020 à 18:07, jackbauer a dit :

Les données de cet endroit révèlent de l'eau à des concentrations de 100 à 412 parties par million - à peu près équivalentes à une bouteille d'eau de 12 onces - emprisonnée dans un mètre cube de sol réparti sur la surface lunaire.

La bouteille de 12 onces, okay, cf. ci-dessus. Emprisonnée dans un mètre cube de sol, okay aussi.

Mais que veut dire "réparti sur la surface lunaire" ? 1m3 de sol réparti sur la surface lunaire, je ne comprends pas.

 

Merci à ceux qui pourront m'expliquer !!

 

Éric

[Alain_G]

Bon, si je comprends bien. En résumé, il y a de l’eau partout sur la lune mais en très faible quantité. 

[Fred_76]

L’OHP est sur le point de publier un article disant qu’ils ont trouvé des traces de 1-(p-Methoxyphenyl)propene associées aux molécules d’eau sur la surface de la Lune.

[Denis Udrea]

Il y a 3 heures, edubois3 a dit :

Mais que veut dire "réparti sur la surface lunaire" ? 1m3 de sol réparti sur la surface lunaire, je ne comprends pas.

Bonjour,

 

Que le traducteur (automatique !) est imprécis. Il faudrait lire le texte d'origine mais j'ai la flemme.

J'imagine que c'est quelque chose du genre "réparti sous toute la surface lunaire"

Modifié 28 octobre 2020 par Denis Udrea
Courtoisie (Bonjour)

[Drase]

En fait ils ont utilisé le terme « across » (je n’ai lu que cette phrase pour le moment, suis sur le portable)

[jackbauer]

Il y a 3 heures, Denis Udrea a dit :

Que le traducteur (automatique !) est imprécis. Il faudrait lire le texte d'origine mais j'ai la flemme.

J'imagine que c'est quelque chose du genre "réparti sous toute la surface lunaire"

 

C'est pas compliqué il suffit de cliquer sur les liens :

 

- communiqué de la NASA : "...Data from this location reveal water in concentrations of 100 to 412 parts per million – roughly equivalent to a 12-ounce bottle of water – trapped in a cubic meter of soil spread across the lunar surface..."

 

- article de C&E : "...Toutefois, les quantités décelées semblent infimes : environ 35 centilitres par mètre cube de sol. C’est équivalent d’une canette de boisson et cela peut paraître encourageant. Malgré tout, comme il s’agit d’une détection superficielle, cette quantité se répartit sur une surface équivalente à celle d’un terrain de football..."

[charpy]

Vu la proportion d'eau dans le sol elle doit etre sous ''forme'' adsorbée, comme sur un sachet de silica gel. C'est pas simple à extraire,  il ne suffit pas de l'egouter, ni de la presser mais plutot de chauffer des volumes énormes de terre pour pouvoir la récupérer.

 

On n'est pas pret d'ouvrir une piscine olympique lunaire...

[edubois3]

Le 28/10/2020 à 15:23, jackbauer a dit :

 

C'est pas compliqué il suffit de cliquer sur les liens :

 

- communiqué de la NASA : "...Data from this location reveal water in concentrations of 100 to 412 parts per million – roughly equivalent to a 12-ounce bottle of water – trapped in a cubic meter of soil spread across the lunar surface..."

 

- article de C&E : "...Toutefois, les quantités décelées semblent infimes : environ 35 centilitres par mètre cube de sol. C’est équivalent d’une canette de boisson et cela peut paraître encourageant. Malgré tout, comme il s’agit d’une détection superficielle, cette quantité se répartit sur une surface équivalente à celle d’un terrain de football..."

 

Là, j'ai compris.

Mais pour traduire "trapped in a cubic meter of soil spread across the lunar surface" par "cette quantité se répartit sur une surface équivalente à celle d'un terrain de football", il faut être drôlement calé en langues anglaise et française pour le faire 😉 !!

 

Bons cieux,

 

Éric

Modifié 30 octobre 2020 par edubois3

[popov]

L'exploration spatiale et plus particulièrement encore celle de la lune posant des questions de souveraineté, je trouve quand même curieusement calculé que cette annonce survienne à une semaine de l'élection américaine.

[montmein69_2]

Le 30/10/2020 à 08:14, charpy a dit :

Vu la proportion d'eau dans le sol elle doit etre sous ''forme'' adsorbée, comme sur un sachet de silica gel. C'est pas simple à extraire,  il ne suffit pas de l'egouter, ni de la presser mais plutot de chauffer des volumes énormes de terre pour pouvoir la récupérer.

 

On n'est pas pret d'ouvrir une piscine olympique lunaire...

 

Tant qu'on n'a pas pu analyser et travailler sur ce régolite il est pratiquement impossible de définir un protocole d'actions physiques et chimiques cohérent pour recueillir de l'eau ..... car même un "chauffage" ne sera pas forcément la meilleure méthode pour libérer des molécules d'eau de toutes les liaisons existantes entre diverses molécules, ions etc .... dans ce qui est appelé "glass beads". Et effectuer des "traitements" (possiblement complexes) pour tenter de l'extraire peut provoquer la cassure des molécules d'eau (notamment re-former des ions hydroxyles OH- dont elles sont issues lors des collisions à haute vitesse du sol par des micro-météorites :

On a donc un aperçu de ce qui peut "requérir beaucoup d'énergie" (et donc d'installations, produits de traitement etc ...)

source : https://time.com/5903888/moon-water/

Citation

 

Moreover, the water molecules are not interacting with one another in ways that would produce a discrete quantity of ice or water. Instead, they are formed by violent collisions of micrometeorites. Those collisions provide the heat to convert hydroxyl molecules to water molecules, but those molecules are then entrained within microscopically small glass beads also created by the collisions.

“If the water is trapped in glass beads, it might require too much energy to extract it,” said Bleacher. What’s more, once the molecules are freed, they might disperse or be destroyed.

 

 

Illustration (un peu simpliste) de la présence de molécules d'eau dans un grain de régolite

 

En ce temps de démarrage des premières missions Artémis par la NASA, l'utilisation de cette "eau potentielle" reste un horizon lointain .... (si jamais il était décidé de s'y atteler) mais ce type d'annonce "encourageante" à un rôle de "mise en bouche" pour dire que sur la Lune "tout va devenir possible".

Ces annonces  vont donc avoir tendance à se multiplier .... d'autant que des agences d'autres pays viennent jouer le jeu de "forces d'appoint" aux USA .... et que si l'investissement sur la Lune constitue un avenir pour la recherche scientifique ... ce n'est pas , et loin de là, un eldorado mais un monde très inhospitalier.

Modifié 2 novembre 2020 par montmein69_2

[Jared]

Le 30/10/2020 à 09:32, popov a dit :

L'exploration spatiale et plus particulièrement encore celle de la lune posant des questions de souveraineté, je trouve quand même curieusement calculé que cette annonce survienne à une semaine de l'élection américaine.

 

Ah non, laisse nous savourer cette news !

 

Faut pas toujours vouloir à trouver une raison pour tel ou tel timing

 

Restons sur de l'astronomie n'essayons pas de faire de la politique douteuse !

 

Sinon on va finir par tomber dans les théories du complot et affirmer que la terre est plate 😂

[kerozene]

Mais elle l'est  !

Lors d'un voyage au Bostwana , je marchai dans la savane , c'est alors que j'ai reçu une bouteille de ..soda Américain..sur la tête , loin d'être un Dieu , je me mis cependant en quête du bout du monde , et le trouvai..

 

 

 

 

 

Modifié 11 novembre 2020 par kerozene

[montmein69_2]

Un article plutôt équilibré sur la phosphine dans l'atmosphère de Vénus dans le Sciences et Avenir - la Recherche de novembre (p 49)

 

Remarque de Hervé Cottin Président de la Société Française d'exobiologie :

Citation

On ne peut pas considérer un unique indice comme une "biosignature"

 

[keymlinux]

Le 26/10/2020 à 18:07, jackbauer a dit :

Les données s'ajouteront au travail des futures missions sur la Lune, telles que Volatiles Investigating Polar Exploration Rover (VIPER) de la NASA , pour créer les premières cartes des ressources en eau de la Lune pour l'exploration future de l'espace humain.

La NASA abandonne la mission VIPER

https://www.cite-espace.com/actualites-spatiales/la-nasa-abandonne-la-couteuse-mission-lunaire-viper/#:~:text=Il devait atteindre le Pôle,rendre les prochaines missions Artemis.

[montmein69_2]

Les missions conçues et développées par la NASA ont souvent été alourdies par des dépenses explosant le budget initialement prévu.

D'un côté cela s'explique par la nécessité de développer des instruments scientifiques adaptés, parfois les souhaits des équipes des laboratoires les développant de "rajouter" des choses.

Mais après plusieurs missions au budget prenant de l'embonpoint (le budget du JWST par exemple), le Congrès a voulu "hausser le ton" et demandé de "rester dans les clous".

Celui de la NASA a été "rogné" * et outre l'annulation de VIPER, la mission martienne MSR a du plomb dans l'aile.

Le HLS Moon Starship de SpaceX lui semble passer entre les gouttes.

D'autres budgets sont moins inquiétés (le DOD United States Department of Defense  par exemple) mais cela n'est pas nouveau.

 

Citation

* A year ago, the space agency was seeking budgets of $27.2 billion and $27.7 billion for 2024 and 2025, respectively. Now, more than $2 billion worth of those ambitions has been shaved off from each year – the agency's final 2024 budget passed by Congress was $24.9 billion, and the 2025 request is now $25.4 billion.

 

Modifié 28 juillet par montmein69_2