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Posté (modifié)

Je figurais à ma pharmacie sur une longue liste de candidats à la vaccination, longue par comparaison avec le bien maigre approvisionnement de cette officine implantée au milieu de la Creuse.

Comme c'est de l'Astra-truc sa liste s'est dégonflée toute seule et me voilà zénéqué en avance sur la date d'éligibilité. 

Merci à la sottise populaire...

Merci à France-Info où j'ai entendu cent fois répéter qu'à cause de tous les retournements officiels on n'y comprend plus rien et que c'est un vaccin mort, que personne n'en veut plus, etc. 

 

!!!!!!!!!!!!

Modifié par Albuquerque
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Posté
Il y a 10 heures, Albuquerque a dit :

... aah... ouille... aaaah....aaaaarrrghhh ! rhââââ....

Soyez sans inquiétude, ça ne fait pas ce bruit là une thrombose ! !pomoi!

 

Ney

Posté
Le 09/04/2021 à 13:14, Albuquerque a dit :

Merci à la sottise populaire...

 

Chacun voit midi à sa porte.

Si tu te sentais menacé / exposé au covid et pas trop concerné par les thromboses t'as bien fait.

 

je pense qu'il faut surtout informer clairement les gens (pas évident dans ce flot médiatique pollué par un tas de polémiques) et leur laisser le choix...

 

je préfère miser sur la prévention et risquer modérément des complications en cas de covid en attendant la fabrication en quantité suffisante d'un vaccin bien moins risqué. chacun ses choix

  • J'aime 1
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3 kmorts sur la route par an  /  (30.10^6 automobiles  x  15 Mm/automobile/an)  =  1  /  1,5.10^8  chance de se tuer par kilomètre. 

J'ai 20 km A/R pour aller me faire vacciner, soit 1 chance sur 7,5 millions de me tuer en y allant.

Je voulais démontrer que le trajet est plus dangereux que le vaccin, mais ce n'est pas évident. 

Posté

Toujours aucun effet secondaire. C'est à se demander si l'effet protecteur sera au rendez-vous... Normalement un médicament n'est efficace que s'il a très mauvais goût, non ?... Je suis perplexe. 

  • J'aime 1
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Le 10/04/2021 à 10:52, 22Ney44 a dit :

Soyez sans inquiétude, ça ne fait pas ce bruit là une thrombose ! !pomoi!

Il y a des signes avant-coureurs... comme un mal de tête qui devient de plus en plus fort.

 

 

il y a 40 minutes, Albuquerque a dit :

Toujours aucun effet secondaire. C'est à se demander si l'effet protecteur sera au rendez-vous

L'absence d'effets secondaire n'est pas un signe d'inefficacité. Cela dépend du métabolisme de chacun. 

Et puis à 2 jours, c'est encore un peu tôt.  Tu peux ressentir des effets jusqu'à 8 jours.

 

Le seul signe commun à tous c'est une petite douleur au point d'injection ;) 

Posté
Le 10/04/2021 à 10:52, 22Ney44 a dit :

Soyez sans inquiétude, ça ne fait pas ce bruit là une thrombose ! !pomoi!

 

Ney

Vous n'avez toujours pas expliqué comment l'énergie issue des centrales nucléaires subit moitié de pertes en chemin pour n'arriver chez l'usager qu'avec 17% de rendement sur l'énergie produite par la fission.

 

Posté
il y a 1 minute, Albuquerque a dit :

Vous n'avez toujours pas expliqué comment l'énergie issue des centrales nucléaires subit moitié de pertes en chemin pour n'arriver chez l'usager qu'avec 17% de rendement sur l'énergie produite par la fission.

 

Oh le lourd...

 

:D

Posté
il y a une heure, Albuquerque a dit :

Vous n'avez toujours pas expliqué comment l'énergie issue des centrales nucléaires subit moitié de pertes en chemin pour n'arriver chez l'usager qu'avec 17% de rendement sur l'énergie produite par la fission

 

 

A cause des thromboses ?

  • Comme je me gausse! 4
Posté
il y a une heure, Albuquerque a dit :

Vous n'avez toujours pas expliqué comment l'énergie issue des centrales nucléaires subit moitié de pertes en chemin pour n'arriver chez l'usager qu'avec 17% de rendement sur l'énergie produite par la fission.

Inconnus Les Inconnus GIF - Inconnus LesInconnus Réperter GIFs

  • Comme je me gausse! 2
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Le 12/04/2021 à 09:58, Albuquerque a dit :

Vous n'avez toujours pas expliqué comment l'énergie issue des centrales nucléaires subit moitié de pertes en chemin pour n'arriver chez l'usager qu'avec 17% de rendement sur l'énergie produite par la fission.

 

Bonjour,

 

Ben si quelques jours avant de réécrire cela. Mais je vais le réexpliquer :

 

Pour 100 W d'énergie thermique créée dans la cuve :

 

1) On en perd déjà autour de 62% dans le processus de conversion calories/vapeur. En effet les générateurs de vapeur ont une conception qui donne priorité absolue à la sûreté intrinsèque, défense en profondeur oblige et non à la fabrication de la vapeur. Circuit primaire et circuit secondaire sont là à quelques millimètres l'un de l'autre, l'épaisseur du métal dont sont faites les aiguilles. De ce fait la vapeur ainsi créée est de qualité moyenne, qui devient meilleure un fois passée dans les assécheurs. Toute la vapeur humide doit alors être recondensée par refroidissement d'où la nécessité entre autre d'une source froide, rivière, mer aéroréfrigérant.

 

2) Quelques pertes en ligne et le rendement des turbines (excellent au demeurant), le rendement des alternateurs fortement optimisé en remplaçant l'air par de l'hydrogène, et on perd encore 3 à 4%.

 

3) A ce stade des 100W thermiques produits dans la cuve, il reste environ 33 W électriques injectés dans les lignes de transport de 400 000 Volts, qui de postes en postes vont arriver chez l'utilisateur final. Durant ce processus environ la moitié va être perdue par effet joule (effet d'autant plus fort que la consommation instantanée est forte en hiver par exemple ; Énergie perdue Puissance perdue = Résistance ohmique X Intensité 2), par rendement des transformateurs, par gestion nécessairement imprécise du cos(phi).

 

On voit ainsi que les compteurs individuels ne voient plus passer que  environ 17 W des 100 W produits à l'origine.

 

Ces chiffres je les tiens de EdF lorsque javais suivi en 1988 et 1989 une formation de huit mois d'ingénieur de sûreté nucléaire sur le site CEA de Fontenay aux Roses en RP. Ces valeurs n'ont que très peu évolué depuis, la technique étant restée sensiblement la même.

 

Cela vous va-t-il ?

 

Ney

 

Modifié par 22Ney44
correction Énergie / Puissance
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Posté
il y a 19 minutes, 22Ney44 a dit :

Ben si quelques jours avant de réécrire cela. Mais je vais le réexpliquer :

 

NOOOOOOOOOOOOOONN !

 

image.png.3bc11564edd969fc3dfd92de28cc1a43.png

 

Et merde.... Trop tard...

Posté
Le 31/12/2020 à 00:23, Hans Gruber a dit :

De toute façon il suffit de vacciner 50 à 70% de la population pour stopper la diffusion du virus, donc anti ou pro vaccin le débat n'a même pas lieu d'être. Ceux qui voudront se faire vacciner le feront, et les autres ne le feront pas ; ça ne changera strictement rien.

Faux ça a changé... Maintenant c'est passé à 90% pour l'immunité collective. 

Posté (modifié)

 

Il y a 7 heures, 22Ney44 a dit :

1) On en perd déjà autour de 62% dans le processus de conversion calories/vapeur. En effet les générateurs de vapeur ont une conception qui donne priorité absolue à la sûreté intrinsèque, défense en profondeur oblige et non à la fabrication de la vapeur. Circuit primaire et circuit secondaire sont là à quelques millimètres l'un de l'autre, l'épaisseur du métal dont sont faites les aiguilles. De ce fait la vapeur ainsi créée est de qualité moyenne, qui devient meilleure un fois passée dans les assécheurs. Toute la vapeur humide doit alors être recondensée par refroidissement d'où la nécessité entre autre d'une source froide, rivière, mer aéroréfrigérant.

 

Je voudrais juste intervenir sur ce point, car cette explication me semble un peu floue.

La limitation du rendement vient essentiellement de Carnot, et pour entrer un peu plus dans les détails il faut  comprendre que l'énergie récupérée par une turbine ne vient que de la détente de la vapeur. Il n'est pas possible de récupérer l'énergie de changement d'état, mais il est indispensable de condenser la vapeur pour remonter la pression du fluide (il est moins couteux de le faire sur le liquide).

Donc dans l'ordre on entre un liquide sous pression, on le vaporise, on fait entrer la vapeur à haute pression dans une turbine, la pression descend jusqu'à avoir une vapeur à basse pression, on condense pour avoir un liquide à basse pression, puis des pompes remontent le liquide à haute pression.

Plus la pression est importante, et moins il faut d'énergie pour évaporer, ce qui explique l'intérêt de travailler à des pressions importantes.

Modifié par Hans Gruber
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Posté
Il y a 1 heure, Albuquerque a dit :

Avant de crier au troll, des fois il faut faire marcher sa cervelle au lieu de se contenter de propos assénés avec suffisamment d'aplomb. 

 

Le pire c'est que c'est toi qui a créé ce topic sur le vaccin, comme l'autre sur les centrales.

Respecte tes propres topics alors. Ici tu veux qu'on parle de vaccin.

Ou alors tu viens juste ici pour rien dire en fait et vraiment jouer au troll ?

Tu dois vraiment t'emmerder chez toi :D

 

Et tu viens me reprocher de ne pas faire marcher ma cervelle sur un forum dédié à l'astronomie ?

Tiens je le remets pour la peine :D

 

image.png.3bc11564edd969fc3dfd92de28cc1a43.png

 

Et je m'en retourne sur mes propres topics, que je t'y croise pas surtout ;)

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  • Comme je me gausse! 1
Posté (modifié)

Ah, comme ça je comprends. 

Tu voulais dire que je polluais mon propre fil. 

Tu me soulages : j'avais cru que tu croyais des blagues sur la distribution de l'électricité. 

Je m'empresse de transporter mon commentaire précédent sur le fil sur le nucléaire.

J'invite Hans Gruber à faire de même. 

Modifié par Albuquerque
Posté
Il y a 6 heures, 22Ney44 a dit :

Bonjour,

 

Ben si quelques jours avant de réécrire cela. Mais je vais le réexpliquer :

 

Pour 100 W d'énergie thermique créée dans la cuve :

 

1) On en perd déjà autour de 62% dans le processus de conversion calories/vapeur. En effet les générateurs de vapeur ont une conception qui donne priorité absolue à la sûreté intrinsèque, défense en profondeur oblige et non à la fabrication de la vapeur. Circuit primaire et circuit secondaire sont là à quelques millimètres l'un de l'autre, l'épaisseur du métal dont sont faites les aiguilles. De ce fait la vapeur ainsi créée est de qualité moyenne, qui devient meilleure un fois passée dans les assécheurs. Toute la vapeur humide doit alors être recondensée par refroidissement d'où la nécessité entre autre d'une source froide, rivière, mer aéroréfrigérant.

 

2) Quelques pertes en ligne et le rendement des turbines (excellent au demeurant), le rendement des alternateurs fortement optimisé en remplaçant l'air par de l'hydrogène, et on perd encore 3 à 4%.

 

3) A ce stade des 100W thermiques produits dans la cuve, il reste environ 33 W électriques injectés dans les lignes de transport de 400 000 Volts, qui de postes en postes vont arriver chez l'utilisateur final. Durant ce processus environ la moitié va être perdue par effet joule (effet d'autant plus fort que la consommation instantanée est forte en hiver par exemple ; Énergie perdue = Résistance ohmique X Intensité 2), par rendement des transformateurs, par gestion nécessairement imprécise du cos(phi).

 

On voit ainsi que les compteurs individuels ne voient plus passer que  environ 17 W des 100 W produits à l'origine.

 

Ces chiffres je les tiens de EdF lorsque javais suivi en 1988 et 1989 une formation de huit mois d'ingénieur de sûreté nucléaire sur le site CEA de Fontenay aux Roses en RP. Ces valeurs n'ont que très peu évolué depuis, la technique étant restée sensiblement la même.

 

Cela vous va-t-il ?

 

Ney

 

 

Ce schéma est valable quelque soit la source d'énergie. En particulier, la partie 1 décrit un bout d'un cycle thermodynamique moteur dont le rendement ne dépends pas de la source du combustible; vous pouvez mettre du charbon, du gaz, du pétrole ou de la fission nucléaire, c'est kif kif... votre moteur thermique de votre voiture marche aussi mal!

Du coup, c'est le rendement global de ce type d'installation  et ce n'est pas propre au nucléaire.

 

Ce qui change, c'est la masse de combustible nécessaire pour faire fonctionner le cycle en 1.

 

 

Posté
Il y a 5 heures, SBRCoach a dit :

Faux ça a changé... Maintenant c'est passé à 90% pour l'immunité collective. 

 

Je ne met pas en doute cette affirmation, mais serait il possible d'en avoir la source (juste pour ma curiosité) ?

Posté (modifié)
Il y a 2 heures, ursus a dit :

 

Ce schéma est valable quelque soit la source d'énergie. En particulier, la partie 1 décrit un bout d'un cycle thermodynamique moteur dont le rendement ne dépends pas de la source du combustible; vous pouvez mettre du charbon, du gaz, du pétrole ou de la fission nucléaire, c'est kif kif... votre moteur thermique de votre voiture marche aussi mal!

Du coup, c'est le rendement global de ce type d'installation  et ce n'est pas propre au nucléaire.

 

Ce qui change, c'est la masse de combustible nécessaire pour faire fonctionner le cycle en 1.

 

 

 Bonjour,

 

Oui vous avez pleinement raison, le cycle de Carnot nous impose cette situation. Dans le cas du nucléaire je mettrais cependant un bémol. Les générateurs de vapeur sont conçus sur la règle principale de la sécurité intrinsèque au détriment de la performance contrairement aux installations conventionnelle où le rendement est bien meilleur. Cela nous le savions dès AVANT de mettre en œuvre l'énergie nucléaire et surtout ses conséquences à savoir l'accroissement du risque de catastrophe majeure et je n'invente rien, Tchernobyl, Three Miles Island ou encore Fukushima en sont les marqueurs signifiants. Dans toutes les installations non nucléaires même si on multiplie les situations de gaspillage, on n'amplifie pas le risque lié à ce gaspillage. Dans le registre nucléaire, si ! L'immense problème est là.

 

Pour avoir été acteur de la Sûreté, tous les calculs d'acceptabilité sont établis sur la base d'une probabilité de 10-6 d’occurrence d'un initiateur accidentel ( 1 "chance" sur 1 million). Ceci va du tremblement de terre à l'écrasement d'un avion de ligne (nous ne sommes pas passés loin en Grande Bretagne, 15 km de mémoire) ou encore d'une brèche moyenne dans le circuit primaire avec perte accidentelle du contrôle de la salle des consignes et j'en passe. Sur le plan légal et règlementaire la chose est indiscutable quand on se place dans la situation d'une tranche unique. Qui a-t-on laisser s'exprimer lorsque sur un même territoire 53 tranches produisent simultanément ? Qui a-t-on laissé débattre de ce seuil de 10-6 quand pour des raisons justes de productivité, les installations sont clones les unes des autres, nous mettant alors dans l'incapacité de régler un événement de type mode commun sur l'ensemble du parc ?

Ce qui anime ma réflexion ce sont bien les conséquences que nous nous sommes imposés en choisissant la filière nucléaire. Certes le KWh est facturable à un plus bas niveau mais à quel prix pour l'avenir ? Puisque nous avions une page blanche, pourquoi avoir choisi une solution avec des conséquences délétères majeures amplifiées par un rendement industriel dérisoire. 17 W utilisables mais une poubelle remplie avec 100 W. Voilà mon questionnement et ma remise en cause.

 

 

1) Le traitement des déchets mais plus encore leur stockage va plomber l'avenir pour des centaines d'années et encore en France il y a retraitement. Intéressez-vous à la pratique Étatzunienne, c'est horrible.

 

2) le démantèlement n'est pour l'instant qu'une suite sans nom d'innombrables inconnues. Je ne me référerai qu'à la centrale de Brennilis pour justifier cette position, simplement 35 ans après l'arrêt, le site doit toujours être sous contrôle, ce n'est pas ce qui a été vendu au citoyen. J'ai hâte ou pas de constater ce qui adviendra de Fessenheim.

 

Je ne veux pas me positionner en anti-nucléaire, je cherche juste à ce que chacun prenne conscience des réalités de cette technique et pouvoir dire "On continue" en toute connaissance de cause. J'ai bien conscience que le nucléaire a permis à notre Pays de rester autonome en matière d'énergie, de produire beaucoup moins de CO2 que bon nombre d'autres.

Nous arrivons bientôt à une charnière où en fonction de nos prochains choix nous basculerons définitivement sans réellement de moyens économiques de retour en arrière dans une société nucléaire. la majorité a le droit de le décider, mais juste en sachant pleinement les conséquences pour de centaines d'années.

 

J'ai aussi pleinement conscience que les énergies alternatives qui nous sont proposées sont loin de remplir le minimum syndical d'une fourniture industrielle, permanente, contrôlable, stockable et bien d'autres propriétés encore. Un seul exemple, les demandes d'énergie forment un pic en hiver lors des grands froids, ceux là même qui surviennent avec une haute pression atmosphérique. C'est juste balo, quand il y a haute pression, il n'y a plus de vent.

 

Ney

 

 

 

 

Modifié par 22Ney44
  • Merci / Quelle qualité! 1
Posté
Il y a 3 heures, Albuquerque a dit :

Tu voulais dire que je polluais mon propre fil

 

 

Tu décidera de la sanction qu'il faut t'infliger

  • Comme je me gausse! 1
Posté
Il y a 3 heures, 22Ney44 a dit :

un rendement industriel dérisoire. 17 W utilisables mais une poubelle remplie avec 100 W. Voilà mon questionnement et ma remise en cause.

 

Cesse avec ça. Ce calcul est basé sur 50% de pertes entre centrale et usager. La réalité est de l'ordre de 10%. 

Posté
il y a 9 minutes, Albuquerque a dit :

Cesse avec ça. Ce calcul est basé sur 50% de pertes entre centrale et usager. La réalité est de l'ordre de 10%. 

Pour la dernière fois je m'adresse à vous : "Fin de chantier". Vous savez pourquoi.

Rien de glorieux chez vous.

 

Au déplaisir

 

Ney

Posté (modifié)

Le 16 mars, Ney, vous avez écrit 

 

 

qu'avons nous à Flamanville ? Une centrale EPR dont le bâtiment des auxiliaires de secours se trouve à 12,60 m au dessus du niveau 1990 de la mer. Le dimensionnement de sécurité à été calculé pour une vague de 8m en 1990. Il reste donc une marge de 4,60 m avant que l'eau par exemple n'arrive au pied des moteurs thermiques de secours absolument nécessaires en cas de perte de la source externe d'alimentation.

Le calcul du temps de retour sur investissement avec une rémunération du capital de 8% a été fixé à 60 ans de production toujours en 1990 mais vraisemblablement plus longtemps maintenant pour amortir les coûts de retard soit autour de 2090, 2095. La montée de 10 m pour raison climatique arriverait bien avant ce terme, le principe de secours électrique se trouvera alors à 5,40 m sous la plus haute vague possible à condition que les tempêtes Manche/Mer du Nord ne s'amplifient pas

(c'est moi, Albuquerque, qui surligne en gras)

 

Vous avez ainsi écrit que ce siècle, la mer aura monté de dix mètres, puisque, en effet, en cas de plus forte vague de tempête, le système de secours de l'EPR sera sous 5,40 mètres d'eau. L'EPR, c'est ce siècle. Cette montée des eaux est exclue dans ce laps de temps ; elle n'est pas un argument anti-EPR. 

 

Ce jour vous avez écrit :

 

A ce stade des 100W thermiques produits dans la cuve, il reste environ 33 W électriques injectés dans les lignes de transport de 400 000 Volts, qui de postes en postes vont arriver chez l'utilisateur final. Durant ce processus environ la moitié va être perdue par effet joule (effet d'autant plus fort que la consommation instantanée est forte en hiver par exemple ; Énergie perdue = Résistance ohmique X Intensité 2), par rendement des transformateurs, par gestion nécessairement imprécise du cos(phi).

 

On voit ainsi que les compteurs individuels ne voient plus passer que  environ 17 W des 100 W produits à l'origine.

 

Ainsi le réseau électrique perdrait la moitié de l'énergie qu'il transporte. Je ne saurais partager cet avis. 

 

 

 

 

 

Modifié par Albuquerque
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