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Le Big Bang En Requestionnement ?


Invité glevesque

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Invité glevesque
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Salut à toutes et à tous

 

Le Big Bang En Requestionnement ?

 

Il ne faut pas oublier que le Big-Bang n'est qu'un modèle théorique qui est porter sur l'interprétation de l'Origine et de l'Évolution de l'Univers.

 

Ce modèle n'est pas du même coût, cette même réalité objective qu'il veut représenter.

L’origine de l’Univers à toujours été un véritable mystère, et depuis fort longtemps que l’homme s’intérroge à ce sujet. Depuis la plus haute antiquité que l’homme est émerveillé par la beauté extraordinaire de la voûte céleste, qu’il pouvait observer et contempler à sa guise toutes les nuits avant de s’endormire. Ce qui n’est plus le cas de nos jours, ayant obstrué le merveilleux spectacle du ciel nocturne par la pollution de notre technologie, nous privant ainsi d’une source d’inspiration et de poésie d’une extraordinaire beauté.

 

Ce merveilleu spectacle de la nature, à inspiré et intrigué l’homme au plus haut point, qu’il décida un beau jour de satisfaire d’avantage sa curiosité et de commencer à rechercher véritablement des réponces à ses questions. Au début la question de son origine ne se posait même pas, la philosophie, la poésie et les religions fournissaient des réponces très satisfaisantes, et le ciel était tout simplement la demeures des Dieux.

 

Les différentes connaissances techniques et scientifiques qui ont été acquises aux courts des derniers siècles, et plus particulièrement au court du XXèm siècle, ont mit en doute les dogmes religieux et mystiques d’autrefois sur l’origine de l’Univers.

 

La découverte et l’interprétation des différentes forces et interactions de la nature, ont remis en question la validitée des vieux concepts. Et désormais la manifestation et le comportement des différents phénomènes de la nature, seront analysés et interprétés de manière beaucoup plus rigoureuse, en s’appuyant sur de véritable donnée d’observation et d’investigation de la nature. La méthode scientifique était né ! (Galilé)

 

Données qui seront fournis entres autres, par les différentes recherches effectuées en physique des particules, en astrophysique et en cosmologie. L’avancée technologique extraordinaire qui c’est produit à la fin du XIXèm et début XXèm siècle, en est pour quelque chose et sans commune mesure dans toute l’histoire de l’humanité. Nous avons de nos jours une meilleure compréhension sur les différents mécanismes fondamentaux qui relit entre eux, certain manifestation de phénomène naturel à l’Univers. Plusieurs éléments nous permettent aujourd’hui, d’entrevoir une certaine forme de structure évolutive, pour l’Univers tout entié.

 

Mais plusieurs questions de grandes importances restes encores et toujours en suspends et sans réponces à ce jours, et ceci pour se prononcer de manière définitive sur la véritable question de l’origine et de l'évolution de l’Univers. Plusieurs hypothèses sont actuellement mises de l’avant pour tenter de répondre à cette question fondamentale. Voyons maintenant la plus populaire d’entre elle, l’hypothèse du Big-bang. Cette théorie n’est en fait que l’une des différentes formes possibles, que nous utilisons pour ce représenter et modèliser la naissance et l'évolution de l’Univers. Le modèle voulait à l’origine concurrencer directement la vision symbolique de la genèse biblique de l’église chrétienne et les autres cosmologies mythiques. Mais cependant elle semble plutôt la renforcée en certains points, par une simple analogie qui est portée sur les différentes étapes de la création de l’Univers.

 

Le Big-bang ne fait en réalité que déplacer à un autre niveau, le véritable problème des origines de l’Univers, car en fait il nous dit pas ce qu’il avait avant celui-ci (la singularité ou Dieu). Le Big-bang découle directement des principes de la relativité générale, qui sont portés sur la gravitation Universelle. La relativité nous dit que la vitesse de la lumière est une constante absolue et invariable dans tout l'Univers, et cela pour touts les référentiels d’observations ce trouvant à l'intérieur.

 

Ainsi pour expliquer la représentation et l’uniformité des lois physiques de la nature, et ceci à travers tout l’Univers et pour qu'elles soient exprimées partout de la même manière malgrer les distances énormes qui nous sépares du reste de l'Univers. Il devenait alors facile d’imaginer une origine commune à toute la matière-énergie qui compose l’Univers, et ceci par une formidable explosion d’énergie et de matière à partir tout simplement d'une singularité (un infinit) qui émergait directement du néant. Pourtant nous sommes encore bien loin d’avoir acquis toutes les connaissances et la compréhension nécessaire, pour vraiment connaître et même appréhender l’origine réelle de l’Univers et de son évolution subséquente.

 

Nous sommes qu’au tout début de la recherche et nous sortons tout juste de l’ignorance, face à l’évolution de notre espèce et de son histoire sur terre. Et ceci envers une infirme partie de l’Univers qui nous est actuellement accéssible, et à travers tout le reste qui nous es toujours encore inaccessible ou inconnu. Plusieurs découvertes en astronomie et en astrophysique, sembles bien vouloir confirmer en apparence la théorie du Big-bang. Dont la fameuse constante de Hubble découverte en 1929 (Edwing Hubble), et qui établit une relation de causalitée avec leur vitesse de récession, entre le décalage spectrale des galaxies et leurs distances qui les sépares de nous. Par la suite en 1965, il y a eu la découverte du rayonnement fossile cosmologique (micro-ondes) de 2.7 k, qui a été observé depuis dans toutes les directions de l’Univers. Ces découvertes prouvent t’elles pour autant et hors de tout doute raisonnable, l'objectivité réelle de la théorie du Big-Bang.

 

L’explication physique et cosmologique qu’ont nous fournis actuellement sur ces différents phénomènes galactiques, son-elle vraiment la cause physique principale de la manifestation de ces différents phénomènes observés. Pourrait-il s'agire par exemple d'un reflet ou d'un mirage, ou encore d'une forme d'illusion d'optique ou de méprise sur les réelles causes. D’autre cause naturelle qui nous sont encore inconnu, ne pourrait-elle pas éventuellement nous fournires d’autres types réponces pour expliquer ces phénomènes. Peut-il s’agir tout simplement d’une mauvaise interprétation des phénomènes observés, après tous nous sommes pas sur place pour le vérifier de manière objective.

 

Mais laissons parler à ce sujet Geoffrey Burbidge, Fred Hoyle et Jayant V. Narlikar à travers leur article publier dans la revu la recherche en avril 1998,

en voici un petit extrait :

 

"Le fond de rayonnement fossile, dont les tenants du Big-bang font un des piliers de leur théorie, a pour l’essentiel une longueur d’onde voisine d’un millimètre. Ce n’est cependant pas le rayonnement de fond cosmologique invisible à l’œil. Il existe un fond d’ondes radio plus longues.

 

Il y a un rayonnement infrarouge, un rayonnement X et un fond de lumière stellaire. Personne n’affirme que ces autres rayonnement proviennent de l’origine de l’Univers.

 

On considère qu’ils ont leur source dans des objets astronomique bien définis. Mais pour des raisons historiques, il en va différemment des micro-ondes. Elles seules sont censées être la signature du Big-bang.

 

Pourtant, si l’on calcule la quantité totale d’hélium dont on connaît la présence dans la matière visible, l’énergie libérée sous forme de rayonnement par la production de cet hélium à partir de l’hydrogène est exactement celle nécessaire pour produire le fond micro-ondes.

 

Cette correspondance suggère fortement que le rayonnement micro-ondes est tout simplement de la lumière stellaire dégradée. La raison pour laquelle ce rayonnement est si homogène est que la lumière stellaire se répand uniformément à travers d’immenses distances dans les phases d’expansion de notre région de l’Univers.

 

La lumière stellaire est ensuite absorbée puis de nouveau rayonnée sous forme de micro-ondes par les particules intergalactique lors des phases de plus grande contraction des oscillations. On retrouve ainsi précisément la température bien connue de 2,73 kelvins. Le rayonnement micro-ondes n’est nullement expliqué par la théorie standard. Il est introduit arbitrairement dans les conditions de départ. Le fait que sa température soit de 2,73 kelvins n’avait rien d’inéluctable, elle aurait pu être différente.

 

Si les observations avaient donné 10 kelvins, c’est cette température qui aurait été prise en compte par la théorie.

 

FIN DE L’ARTICLE".

sysplanete585sf.jpg

 

D’autres arguments sont égalements en faveur d’un Univers quasi-stationnaire, comme les Quasars. Ils s'agis d’objets extragalactiques d’aspect ponctuel situé aux confins de l’Univers, et à plusieurs milliards d’années-lumière de nous. Ils sont tous probablement les objets les plus vieux de l’Univers. Ils sont caractérisés par un fort décalage spectral vers le rouge et par de très forte émission électromagnétique (ici l'effet Creil pourrait expliquer cela), qui sont aussi puissante qu’une galaxie tout entière, d’où leur non de quasi-stellar-object.

 

Le télescope spatial Hubble nous montre plusieurs clichés de ses objets extragalactiques, comme étant en réalités la manifestation de la collision entre galaxie à noyau plus actif que la normale, accompagnée d’une très grande flambée d’étoiles qui semble résulter directement de la collision, d’où leur forte puissance en rayonnement électromagnétique. Dans ces conditions, ces objets ne seraient plus les objets les plus vieux et les plus éloignés de l’Univers. Mais belle et bien d’un phénomène qui résulte purement et simplement d'interaction gravitationnelle entre galaxies, déjà constituées d’étoiles jeunes et veilles, entremêler de poussière intergalactique de toutes sortes.

 

Les observations de l’Univers effectuées par le Télescope spatial Hubble, repousse d’ailleurs de plus en plus loin les frontières de l’Univers connu à ce jour, et il découvre toujours des galaxies fortements éloignées et toujours formées d’étoiles de toutes les générations, ce qui repousse de plus en plus loin l’origine véritable de l’Univers (13,7 milliards d'années selon le modèle standard du Big Bang).

 

Nous sommes situés dans une région de l’Univers très vaste et peuplé d’innombrables galaxies, de nuage d’hydrogène et de poussière, d’amas globulaire, d’étoiles, de naine brune et de planète errante de toute sorte. Et ceci sans parler des autres corps célestes qui font également partie de cet ensemble, mais qui nous sont encore totalement inconnu jusqu’à ce jour. Le tout étant inonder et baignant dans divers champs d’énergie, comme les champs magnétiques galactiques et extragalactiques, différents champs électriques, des radiations électromagnétiques de toutes sortes, du rayonnement cosmiques et de différents champs gravitationnels. L’Univers possède également une structure plus ou moins complexe ayant la forme d’une éponge, et qui résulte de l’interaction gravitationnelle locale de l’ensemble de ses constituants.

 

Ainsi le décalage spectral des galaxies vers le rouge (red shift), découvert par l’astronome américain Edwin Hubble en 1929, et attribuer par la suite à la fuite des galaxies et de leur éloignement progressif les unes par rapports aux autres selons leurs distances, et qui est un argument majeur dans la théorie du Big-bang. Peut très bien avoir comme origine ou comme explication, une toute autre cause naturel que celle qui est généralement attribuer à la seule vitesse d’expansion des galaxies.

 

Il pourrait s’agir entre autre, d’une certaine propriété physique qui est reliée à une sorte la fatigue de la lumière ou par rapport aux différentes propriétés qui sont reliés à l'énergie du vide quantique, et qui franchit alors des distances énormes à travers différentes zones de densité et d’intensité de champs magnétique et électrique. Ou encore de certain effet lié à la gravitation sur de très grande distance. Comme si la gravitation voulait à tout rpix, relentir et piéger la lumière dans son espace à géométrie courbe, et ayant pour effet de dilater ou comprimer ces différentes longueurs d’ondes à travers sa topologie variable. Nous sommes en fait, qu’au tout début de l’étude et de la compréhension de l’Univers et de ses différentes propriétés dynamiques.

 

Nous connaissons d’ailleurs assez mal la véritable composition de notre propre entourage galactique, alors pourqu'oi affirmer haut et fort que nous avons déjà résolut le plus grand mystère des mystères de la nature, qu'elle prétension !

 

La Structure Universelle Face au Big-Bang :

 

Le Soleil est une étoile moyenne de type spectral G5, il est situé dans la région périphérique de notre galaxie, à plus de 26 000 années-lumière de son centre. Notre galaxie est de type spiral baré, avec un diamètre de plus de 100 000 années-lumière. Elle est composée d’un noyau central très dense (le bulbe galactique), constitué essentiellement d’étoiles vieilles et de couleurs rougeâtres. Le centre de notre galaxie est visible pendant l’été dans la direction de la constellation du sagittaire, il s'agit de la Voie Lactée qui se trouve alors au zénith dans le ciel. Plusieurs bras spiraux sorte de son centre et vont se perdrent dans les profondeurs de l’espace. Notre galaxie est constituée de plus de 100 milliards d’étoiles de toutes les grosseurs et de toutes les couleurs, de nébuleuses de gaz et de poussière, de matière interstellaire et d’amas globulaire.

 

sysplanete595ik.jpg

 

Les amas globulaires sont le résultat de l’association gravitationnelle très serrée de milliers d’étoiles, voir même de dizaines de milliers. Les amas globulaires ont généralement une forme circulaire, et tourne autour de la galaxie sur des orbites très elliptique en plusieurs centaines de millions d’années. Les amas globulaires et le noyau de la galaxie sont peuplés d’étoiles vieilles, contrairement aux régions plus périphériques. Elles font partis de la population d’étoile de type 2, celle-ci étant plus pauvre en éléments lourds que les étoiles de population de type 1, dont fait partie le soleil et qui sont répartis d’une manière plus générale, en périphérique du disque de la galaxie.

 

Notre galaxie n’est pas seule, elle est accompagnée dans son périple Universel par deux petits compagnons galactique, que sont les deux nuages de Magellan. Notre galaxie est bien visible par les belles soirées d’été sans Lune, il s’agit alors de La Voie Lactée, qui parcourent le ciel de long en large jusqu’au zénith, et ayant la forme d’un long nuage immobile et d’aspect laiteux. Ce sont les étoiles qui la compose qui lui donne cet aspect et il suffit de se lever la tète pour observer ce merveilleux spectacle. Par contre pour pouvoir l’observer, il faut s’éloigner des grands centre urbain, car il est impossible de la voir dans sa splandeur avec la pollution lumineuse des grandes villes.

 

Notre galaxie et son entourage immédiat, fait partit en réalité de l’une des plus petites structures galactiques de l’Univers. Il s’agit du groupe local de galaxie qui est composé d’une trentaine de membres de toutes les grandeurs et de toutes les formes. On y retrouve également des amas globulaires isolés et errants, des objets planétaires et des nuages de poussière et de gaz extragalactique. Le tout est réparti dans un rayon de plus de 3 millions d’années-lumière.

 

En suite nous retrouvons les amas de galaxies, qui sont des structures galactiques intermédiaires qui regroupent plus d’un millier de galaxies. Le tout étant répartis dans un rayon de plusieurs dizaines de millions d’années-lumière. Notre groupe local est situé sur l’une des périphéries de l’amas local, et il se dirige vers l’amas de la viège, qui est situé dans la constellation du même nom, et qui est centré sur la galaxie elliptique géante Messier 87. Les superamas de galaxie sont les avants dernières structures de l’Univers, qui nous est connu jusqu'à ce jour, et regroupe en fait les autres structures intermédiaires de galaxies, comme les amas et les groupes locale, et le tout répartie sur un rayon d'environ 150 millions d’années-lumière.

 

Le tout est gouverné et sous le control de l'influence gravitationnelle, et formant des structures de plus en plus complexes. Comme le Grand Attracteur, découvert en 1990 par Alan Dressler et son équipe, et situé à plus de 350 millions d’années-lumière de nous, dans la constellation du Paon et de Centaure.

 

La structure de l’Univers qui est connu à ce jour, ressemble à une sorte d'éponge constituée de bulles dont les parois son occupés par les amas de galaxies, et de filament très allongé qui représente les superamas de galaxies, servant entre autre d’interface de jonction entre les bulles. Le reste est constitué de gigantesque nuage de gaz et de poussière extragalactique et de vastes régions plus sombres de plusieurs centaines de millions d’années-lumière de diamèetre, situés soit à l’intérieur des bulles ou à l’extérieur de celles-ci.

 

sysplanete605xe.jpg

 

Alors imaginer maintenant que notre propre groupe local se trouve précisément situé à la périphérie de l’une de c'est super-super structure de l’Univers, comme le Grand Attracteur. Et que toutes les autres structures équivalentes de l’univers qui nous entours, et qui sont d’ailleurs très hypothétiques, présenteraient justement les mêmes caractéristiques gravitationnelles. Alors dans de t’elle condition il serait tout à fait normal de voir toutes les galaxies s’éloigner de nous, étant tous attirées vers la région centrale de leur propre super-super structure de l’Univers. Le tout présentant alors une dynamique dissipative.

 

Ce qui nous donnerait l’impression d’observer depuis la terre, une forme de dilatation des distances cosmiques. Ce phénomène pourrait fort bien expliquer par exemple le décalage spectral vers le rouge, et qui concerne la fuite des galaxies, vus sous un angle illusiore.

 

sysplanete610po.jpg

 

Voila qui mais fin a ce bref résumé sur les différentes structures de l’Univers, et à quoi pourrait bien ressembler la région de l'univers dans laquelle nous nous retrouvons. Alors que dire de plus, pour les autres structures de l’Univers et des différents champs d’énergie dans lequel ils se trouvent, et par lequel ils interagissent en permanences.

 

Les effets que peut subirent la matière-énergie et les ondes électromagnétiques dans de t’elle milieux cosmiques, et sur de t’elle distance, nous sont d’ailleurs toujours inconnu actuellement. N’ayant pas assez de preuve scientifique et de connaissances requises à ce sujet, pour réellement pouvoir comprendre ou ce représenter l’Univers sur de t’elle échelle.

 

Les véritables connaissances sur l’ensemble du phénomène que nous venons tout juste d’explorer quelque peu, ne sont pas encore véritablement acquises par l’humanité actuelle, et fait toujours partie de la supposition et non de la science. Ainsi qui nous dit vraiment que le décalage vers le rouge, ne résulte pas en réalité d’un phénomène qui est relié à la fatigue des ondes électromagnétiques, sautillant à travers la topologie métrique (courbure) des champs gravitationnels situés entre les galaxies. Fatigue causée par leurs différentes interactions avec ses énormes champs d’énergie et de matière intergalactique et extragalactique, et effectué sur de très grande distance.

 

Les ondes électromagnétiques traversent d’énormes régions qui présente des densités très différentes, et qui sont constituées de différents champs électriques, magnétique et gravitationnelle entre autre. Il faut dont conclure qu'à travers tout cela, les ondes électromagnétiques vont interagirent et subirent quelque modifications ou alteration durant leurs parcours jusqu'à nous.

 

Pour l’instant au lieu de s’aventurer trop loin sur la création et l’évolution de notre Univers. La science devrait plutôt refaire ses propres devoirs sur le sujet, et non de faire une démonstration de foi qui n’est pas réellement vérifiable à cette échelle de la nature. Nous savons qu’il s’agit en fait que d’une simple théorie de travail permis tant d’autre, mais elle apport des implications mal définit et trompeuse, qui porte à croire à sa réelle démonstration par le public en général, ce qui n’est nullement pas le cas. Alors démontrons un peut plus de sagesse et de vigueur dans nos différentes réflexions sur le sujet, et pour suivons sans relâche notre étude et notre quête sur les différentes manifestations de la nature, pour éclairer de plus en plus notre conscience et nos connaissences sur l'Univers.

 

Avant de s’aventurer dans des conclusions trop hâtives sur l’origine et la destiné véritable de l’Univers. Et par le fait même de critiquer l’existence d’un Dieu, dont l’homme ne respect même plus le nom, et de l’espoir qu’il rejette du revers de la main, par manque de morale sur le plan sociale et humaine.

 

Ce qui suit fait partie d’une réflexion purement personnelle :

 

Si l’Univers est réellement infini, sans borne et sans limite. Nous pouvons dans ce contexte, affirmer que l’Univers est également de toute éternité et immortelle envers ça propre destiné. L’évolution de l’Univers selon ces prémisses, serait donc quasi-stationnaire, ni ouvert, ni fermé. Il évoluerait tout simplement de manière très localisée et d’une douceure remarquable. Chaque région de l’Univers se transformerait petit à petit et selon les influences portées par les différentes interactions gravitationnelles de leur entourage immédiat.

 

En fait toutes les régions de l’Univers subissent une t’elle forme d’évolution et selon l’influence qui découle de l’ensemble de ces composantes, du plus petit au plus grand et des particules aux superamas de galaxies. Dont les effets combinés ce répercute à différente échelle constructale de la nature, pour finir par être représenté par certaine forme de comportement et de manifestation, qui ce ressemble à certains égards et qui se répercute finalement sur l’ensemble de l’Univers, à la manière des fractales.

 

Pour illustrer ce phénomène d’échelle sur la manifestation des lois de la nature. Prenons l’exemple qui suit et comparon la structure de l’Univers actuelle à une toute autre échelle. Faisons la comparaison suivante avec les différents comportements atomiques et moléculaires.

 

Donc à partir d’une échelle de 10 exp 22 cm, qui correspond aux distances qui ce trouvent entre les amas de galaxie, et dirigeons-nous vers une échelle de 10 exp –12 cm, pour les atomes. Un ordre de grandeur qui défi notre propre imagination et qui pourtant est belle et bien réelle dans la nature. Dans notre exemple les ondes électromagnétiques seront associées aux différentes interactions gravitationnelles, et les noyaux atomiques seront représentés par les galaxies.

 

Les électrons (champs d') représentent les étoiles et les amas globulaires, et les différents regroupements d’atomes en molécules seront représentées par les amas et les superamas de galaxie. Ceci n’est qu’une représentation très fictive et qui se veut très symbolique de la réalité. Ne voulant en fait que schématiser la résultante qui est portée sur l’influence des corps, par l’intermédiaire des différentes interactions de la nature et qui peut être transposée sur différentes échelles constructale de l’Univers et à la manière d’un fractal.

 

Dans un premier temps les atomes vont chercher à former des molécules. Les atomes s’unissent alors par des liaisons chimiques complémentaires en fonction de leurs différents niveaux d’énergies disponibles. Ils vont ainsi partager et associer leurs électrons libres. Pour ce faire, ils font intervenir des champs magnétiques et des charges électriques, en fonction de leurs polarité reliée aux différentes formes de réactions électrochimiques et électromagnétiques.

 

Ainsi les atomes vont finirent par s’assemblées, pour former des molécules de plus en plus complexes. Ces différents comportements électrochimiques et électromagnétiques des atomes, peuvent êtres représentés et transposés à l’échelle galactiques. Comme les galaxies qui vont se regrouper par différente interaction gravitationnelle, en différant associations plus ou moins complexes, pour former les amas et les superamas de galaxies, et qui sont représenté dans notre exemple par les différentes molécules.

 

Ainsi les lois de la nature qui gouvernent et contrôles les différentes interactions électromagnétiques des atomes et des molécules. Se retrouve ainsi représenté sur des échelles constructales de la nature infiniment plus grande, par le même genre ou type de manifestation et de comportement de la matière-énergie. Mais qui fait appelle cette fois-ci à d’autre loi de la nature et aux interactions gravitationnelles. La structure de l’Univers est peut être baser sur le même type de phénomène ou de relativité d’échelle, car l’Univers présente peut-être une structure et un niveau d’organisation de dimension l’infini. Qui sait !!!

 

Pour l’instant cette représentation de l’Univers est purement symbolique et ne s’appuie sur aucun fait d’observation scientifique, il ne s’agit que d’une vision d’esprit. Mais les différentes relations entre la relativité d’échelle à travers l’Univers de notre exemple, font belle et bien partie des concepts de la grande théorie d’unification des lois de la physique. Qui veut unire la relativité générale et la mécanique quantique, dans une seule et grande théorie unifiée, soit la relativité quantique. Le problème résulte actuellement de la quantification du temps de la relativité générale.

 

Ici nous ne parlons pas encore d’Inflation, de l’énergie et de la matière sombre/noir, des quasars avec l’effet CREIL (décalage spectral vers le rouge de l’hydrogène qui entour les étoiles à neutrons et les pulsars, phénomène rendu possible par la diffusion et l’émission successive) et de l’accélération de l’expansion qui caractérise le modèle moderne du Big Bang.

 

Enfin avec tout ce qu’on lui ajoute pour l’ajuster au fur et a mesure a certaine observation, je me demande si finalement le big Bang n’était pas devenu tout simplement l’objet d’un dogme, devenus bien mystérieux depuis des années.

 

Autre Références :

Réflexion sur les Dimensions Physique de l’Univers !

La Structure de l'Univers en Forme d'Éponge

Les Objets étranges dans l'Univers

Les Échelles de l'Univers

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut

 

J'aimerais maintenent qu'on discute des photons, de la topologie métrique de l'espace et de l'effet Doppler !

 

Les astres ne créer pas la métrique spatiale qui les entoure, mais le courbe dans une relation proportionnelel à leurs masse.

 

Mais la gravité diminue aussi et inversement proportionnelle au carré de la distance, ce qui veut dire que les dépression de la topologie d'espace-temps finit par rejoindre et se confondre avec le tissus d'espace temps de notre galaxie .(associé aux différentiels d'apport d'énergie cinétique par covariance et dilatation/contraction de lorentz suivant le quadrillage de la toplogie métrique variable).

 

La courbure métrique n'est donc pas de porté infini, mais seulement échalonner sur une certaines distance sphérique autoure de l'astre et selon sa masse !

 

Maintenent suivons un photon sur les différente trame (le quadrillage) de cette topologie !

 

Et bien selon-vous, que va t-il leur arrivé ?

 

Gilles

Posté

Salut,

 

Je respecte tes croyances personnelles, mais il y a plusieurs points qui me dérangent :

 

- Pourquoi ce message (qui décrit ta vision personnelle) se trouve dans "Actualité" ? Je l' ai parcouru rapidement, et il semble se fonder sur un article de vulgarisation de 1998. On en peut pas vraiment dire que c' est récent ...

 

- Pourquoi tu relances sur une question de topologie (tu parles de métrique, de gravitation, etc), ce qui sous-entends une question de relativité générale (c' est à ma connaissance la seule théorie scientifique qui relie la gravitation et la métrique, et tu n' en cite aucune autre) , alors que tu as développé juste avant un argumentaire qui prétends invalider la validité de la relativité générale !

 

- Si le Big Bang est un dogme, alors il n' est pas possible de le modifier (par exemple, la création du monde selon la Génèse est un dogme, et il existe une communauté qui continue de défendre l' hypothèse selon laquelle les humains et les dinosaures furent contemporains, et que la terre est vieille de 6000 ans). Or tu reproches à ceux qui y "croient" de le modifier !!! C' est contradictoire, il faut choisir ton camp.

 

A+

--

Pascal.

Invité glevesque
Posté

Salut ArthurDent

 

Comment te dire, oui il est question de la RG mais en rapport avec le red shift !

 

Parcontre mon intension n'est pas d'invalidé la RG, au contraire car le formalisme qui y est associé est tout à fait valide !

 

Ce qui est critiqué ici, ce sont les interprétation que l'on y ratache !

 

Pour te donner un exemple et bien prenon une règle aréthmétique tout simple :

 

2 + 2 = 4

 

Mais qu'est-ce qui fait 4, car ici le 2 peut-être un peut n'importe quoi, disont des pommes, des chats ou bien toute autre chose. La règle employer ici ne fait que de les additionner entre elle pour les regroupper ensemble. Et bien il en est de même pour le formalisme relativiste concernant l'objectivation des variable d'espace et de temps ! S'agit-il vraiement d'objet de la nature. Mais ici, mon but n'est pas de trouver une définition exacte de ces objets sur le plan physique ou philosophique, car chacun a ses opignons là-dessus. Personnellement moi, je ne vois que l'éternelle moment présent qui transite d'un état à un autre, mais passon !

 

Et bien on peut également faire la même chose a partir d'objet vut et dupliquer dans un miroire sans pour autent avoir accès diretement a ces mêmes objets de manière matériel !

 

L'effet doppler émit au proximité des quazards, peut très être représentatif de ce type de phénomène. On sait que les champs gravitationnel au abord des quazard va être très grandement courbé, les ondes électromagnétique vont dont être décalé vers des énergie plus haute (fréquences plus grande et longueur d'onde plus courte).

 

Mais le champs gravitationnel diminu au carré de la distance, cela implique qu'a un certain moment et sur une certaine distance, le champs gravitationnel va être égale au champs gravitationnel qui fait partie de ces régions extragalactique plus éloigner (le champs des groupe de galaxie ou d'amas par exemples). Ici la topologie symbolise la courbure métrique des champs gravitationnel selon des niveau d'égale intensité (comme pour les dinévilation des carte géologique qui symbolise les variation du relief sur le terrain).

 

Alors cela présupose que durant son parcours, les photons vont traversés des zones de valeurs différentes en intensité gravitationnel (le nivellement topologique en pente décroissante). Leurs fréquences et leurs longueurs d'ondes vont donc se dilatées (contraction et dilatation de Lorentz) et être décalé vers le rouge (moins d'énergie que lors de leurs émission dans le champs gravitationnel du quazards). Et cela est une prémisse même de la RG.

 

Alors ici, le déccalage n'est pas obligatoirement associé à la vitesse de récession des galaxies (constante de hubble). Mais bien a une dynamique qui implique des interaction sur le parcourt de la métrique spatial courbe ! Voilà donc un type d'extrapolation que l'on fait dire a tord de la RG.

 

Gilles

Posté

Alors ici, le déccalage n'est pas obligatoirement associé à la vitesse de récession des galaxies (constante de hubble). Mais bien a une dynamique qui implique des interaction sur le parcourt de la métrique spatial courbe ! Voilà donc un type d'extrapolation que l'on fait dire a tord de la RG.

 

Je n' ai globalement rien compris à ce que tu viens d' écrire, et en particulier le paragraphe cité ci-dessus.

 

De quel type d' extrapolation parles-tu ?

Invité glevesque
Posté

Salut

 

les champs scalaire ! La transposition des variable mathématique sur des objet réelle de la nature, comme si on mesurait l'objectivité même de l'espace et du temps !

 

D'ou proviens la courbure associé é la métrique spatiale des champs gravitationnel, d'après toi ! Ici la topologie veut juste la représenter sur un plan 2D !

 

Essai de suivre le photo qui se déplace sur cette métrique !

 

Ici, mon but n'est pas de discuter de l'espace et du temps comme oui ou non il s'agit de substance réelle de la nature !

 

Mais de discuté du red shift par rapport au formalisme de RG, des quadrivecteur qui leurs sont associés ! de leur transition sur le métrique variable (la topologie) et les facteur de contraction et de dilatation qui leurs serons associé au passage ! (agissant sur la longueur d'onde vus que l'ondes électromagnétique ne peut pas accélérer et dépasser la vitesse C). Les apport en énergie cinétique par variation de fréquences et etc...

 

Gilles

Posté

Salut,

 

les champs scalaire ! La transposition des variable mathématique sur des objet réelle de la nature, comme si on mesurait l'objectivité même de l'espace et du temps !

Le sens de ce paragraphe m' échappe complètement. Quels "champs scalaires" ? Que peut bien vouloir dire la phrase "mesurer l' objectivité même de l' espace et du temps" ?

 

D'ou proviens la courbure associé é la métrique spatiale des champs gravitationnel, d'après toi ! Ici la topologie veut juste la représenter sur un plan 2D !

La courbure associée à la métrique des champs gravitationnels ? De quelle théorie sont issus ces concepts ?

 

Je ne connais que deux théories de la gravitation (il en existe d' autres, peut-être fais-tu allusion à celles-ci, mais j' aimerais que tu précises) :

- La théorie de Newton, dans laquelle la notion de "champ gravitationnel" est parfaitement définie

- Celle d' Einstein, qui remplace la notion de champ gravitationnel par la notion d' espace-temps courbe.

 

Perplexe je suis. ça serait bien que tu éclaircisse un peu ton propos ...

 

A+

-

Pascal.

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Voir mon poste suivant !!!

 

Gilles

Posté
Salut

 

J'aimerais maintenent qu'on discute des photons, de la topologie métrique de l'espace et de l'effet Doppler !

 

Les astres ne créer pas la métrique spatiale qui les entoure, mais le courbe dans une relation proportionnelel à leurs masse.

 

Mais la gravité diminue aussi et inversement proportionnelle au carré de la distance, ce qui veut dire que les dépression de la topologie d'espace-temps finit par rejoindre et se confondre avec le tissus d'espace temps de notre galaxie .(associé aux différentiels d'apport d'énergie cinétique par covariance et dilatation/contraction de lorentz suivant le quadrillage de la toplogie métrique variable).

 

La courbure métrique n'est donc pas de porté infini, mais seulement échalonner sur une certaines distance sphérique autoure de l'astre et selon sa masse !

 

Maintenent suivons un photon sur les différente trame (le quadrillage) de cette topologie !

 

Et bien selon-vous, que va t-il leur arrivé ?

 

Gilles

A qui? Et que veut dire "échalonner"? Je ne vois pas ce qui peut sortir de ce fatras de mots, rendu totalement incompréhensible par tant de fautes que l'on ne sait plus à quel mot tel autre est relié!

 

:roflmao:

Invité glevesque
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Salut

 

Pour être plus claire a ce propos, il faudrait que je vous présente un schémas !

 

Mais vous connaissez déjà la RG et ces schéma sur les champs gravitationnelle. Alors je vous demanderait de vous forcer un peut pour vous les représenter !

 

Prenon une feuille quadrier, les carrés représentes la métrique gravitationnel plat sous forme d'un dessin topologique (schémas de coordonner des plan cartésien sur 2D). Maintenent renplacon la feuille par un draps et gardon les motifs cadriller dessus. On dépose deux boules de masse différentes, celle-ci vont déformer et étirer la platitude du drap en y creusant des dépressions proportionnelle à leur masse ! Et bien il sufit maintenent de se représenter la suite des événement, l'élacticité du drap (tissus d'espace-temps) ne serait pas étirer à l'infinit, mais selon une distance qui correspond au champs force que la masse des boules exerce sur le draps.

 

Et bien il en sera de même pour les champs gravitationnel versus la dépression qu'exerce une masse une planète sur la platitude du tissus qui l'entoure. Reproduiser l'exemple avec un quasard qui émets des photon que nous captons des milliards d'années plus tard, mais cette fois-si dans une courbure de champs moins grande !

 

Je vous poses une question, un photon émis dans un champs d'énergie gravitationnelle plus élevé, va t-il avoir une énergie plus élever qu'un photon émit dans un champs d'énergie gravitationnelle moins élevé, sachant que l'éméteur est le même type d'atomes ?

 

Qui veux nous faire un beau schémas, avec des zones cocentrique pour les dépression gravitationnelle au masse qui déforme leur entourage !

 

Sans schémas, cela est bien difficile de reproduire tout un schémas de base de la RG sur les masse et leurs déformation spatiale !

 

Alors un peut d'éffort ici !

 

Gilles

Posté
Salut

 

J'aimerais maintenent qu'on discute des photons, de la topologie métrique de l'espace et de l'effet Doppler !

 

Les astres ne créer pas la métrique spatiale qui les entoure, mais le courbe dans une relation proportionnelel à leurs masse.

 

Mais la gravité diminue aussi et inversement proportionnelle au carré de la distance, ce qui veut dire que les dépression de la topologie d'espace-temps finit par rejoindre et se confondre avec le tissus d'espace temps de notre galaxie .(associé aux différentiels d'apport d'énergie cinétique par covariance et dilatation/contraction de lorentz suivant le quadrillage de la toplogie métrique variable).

 

La courbure métrique n'est donc pas de porté infini, mais seulement échalonner sur une certaines distance sphérique autoure de l'astre et selon sa masse !

 

Maintenent suivons un photon sur les différente trame (le quadrillage) de cette topologie !

 

Et bien selon-vous, que va t-il leur arrivé ?

 

Gilles

 

Bonjour Gilles Levesque, :)

 

Ton premier message est cent fois trop long !!!!…. et en plus truffé d'expressions totalement absconses… :( Quant à tes autres messages, notamment ta question reproduite ci-dessus, ils ne sont guère plus clairs. Bref, je ne comprends rien de rien à ta question, mais était-ce vraiment une question ?… :wub:

 

Peux-tu donc reformuler, cher Gilles, ta question initiale avec des mots simples et compréhensibles par tous, et en cinq lignes maximum ? Merci d'avance. ;)

 

Roger15. :rolleyes:

Invité glevesque
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Salut

 

Les champs gravitationnel n'est donc pas de porté infini, mais seulement répartit sur une certaine distance autoure de l'astre qui le courbe selon sa masse !

 

Alors une ondes se dilatera également en voyagent a travers des zones de densité gravitationnel moins grande !

 

:cry:

 

Gilles

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Salut. Le champ gravitationnel n'est donc pas de portée infinie, mais seulement réparti sur une certaine distance autour de l'astre qui le courbe selon sa masse !

 

Alors, une onde se dilatera également en voyageant à travers des zones de densités gravitationnelles moins grandes ! :cry: Gilles

 

Boujour Gilles, :)

 

Félicitation : tu vois que tu y es arrivé (en revanche pour l'orthographe, il faudra songer à faire de sérieux progrès...), c'est plus simple, plus court et plus compréhensible !... :)

 

Quant à savoir si "une onde se dilatera également en voyageant à travers des zones de densités gravitationnelles moins grandes", je dirai qu'a priori oui ; mais je préfère que d'autres (des véritables spécialistes du "Big Bang", eux) te donnent leurs sentiments sur la "dilatation" de l'onde en question. :?:

 

Roger15. :be:

Posté

Moi, je pense qu'un jour on va trouver une autre théorie de remplacement. Personellement, je pense qu'il y a quand meme de très grosse failles dans cette théorie: la masse manquante, l'energie sombre, etc... moi j'appelle sa des rustines pour bloquer les trous. Meme si, aujourd'hui, je crois au big bang, et je ne saurais démontrer que cette théorie est fausse, je trouve qu'il y a des problemes qui font tilt. En attendant une nouvelle théorie si besoin est, j'y crois.

Ces problemes du big bang, sa vous rappelle pas un peu le rayonnement du corps noir et le probleme de l'orbite de mercure?

Posté
SAlut a tous

 

Gilles levesque est quebecquois d'origine et il ne parle pas tout-a-fait le meme langages que vous !

 

Donc, un peu de comprehension serait bienvenue!

 

amicalement

Moi aussi je suis québécois d'origine et pourtant je ne comprends que bien peu de choses à ce qu'il écrit.

Posté
Salut a tous. Gilles Levesque est quebecquois d'origine et il ne parle pas tout-a-fait le même langage que vous ! Donc, un peu de compréhension serait bienvenue !

Amicalement.

 

Bonjour Albert Einstein, :)

 

Merci pour cette information, qui n'apparaît pas dans le "profil public" de Gilles Levesque. ;)

 

Roger15. :be:

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Bon concernant la forme, je pense avoir fais un bon effort ici pour exprimer mon point de vue.

 

Maintenent, puise que le dernier petit résumer semble avoir un peut mieu avoir explicité mon propos sur le sujet !

 

Et bien on pourrait maintenent passer au font et non se focaliser juste à la forme !

 

Cela est difficile aussi de parler de RG sans mathématique et sans schémas ! Alors soyez un peut moins méprisable à mon égard, l'idée que je propose est tout de même défandable je crois !

 

Posté par glevesque

Le champ gravitationnel n'est donc pas de portée infinie, mais seulement réparti sur une certaine distance autour de l'astre qui le courbe selon sa masse !

 

Alors, une onde se dilatera également en voyageant à travers des zones de densités gravitationnelles moins grandes !

 

PS : lejon si on discutait de RG au lieu de chercher des oui dire un peut partout et des allusion à !!!, exprime toi sur le fond et non sur la forme, car seul un sophiste à ce pouvoir de serfer sur les a et les qui propos, déviant le sujet vers le tout et le rien !

 

Gilles

Invité glevesque
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Salut lejon

 

B) Moins grandes que quoi ?

Si nous recevons un photon d'une source hors champ située dans une direction proche de celle du Soleil, nous percevrons cette direction comme déviée, mais la fréquence reçue de la source ne sera pas affectée pas la traversée du champ gravitationnel solaire (...à moins que nous nous trouvions nous-mêmes dans une zone où le champ solaire est significatif).

Effectivement !

 

Maintenent je te poserait une question !

 

Qu'elle est l'effet sur la matière d'une variation d'intensité (courbure métrique) de champs gravitationnelle ? Que se passe t-il ? l'énergie cinétique change t-elle !

 

PS : Lejon n'éfface pas tes messages tout de même, je n'ai même pas eu le temps d'argumenter sur les autres différents point que tu as soulevé ! Allors un peut de diplomatie ici !

 

Gilles

Invité glevesque
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Salut lejon

Posté par glevesque

Je vous poses une question, un photon émis dans un champs d'énergie gravitationnelle plus élevé, va t-il avoir une énergie plus élever qu'un photon émit dans un champs d'énergie gravitationnelle moins élevé, sachant que l'éméteur est le même type d'atomes ?

Par rapport à un récepteur voisin, une même source a évidemment toujours la même fréquence propre, quel que soit le champ local. Par rapport à un récepteur situé hors du champ, la fréquence "rougira" d'autant plus fort que le champ dont elle sort sera plus grand.
Posté par glevesque

Alors, une onde se dilatera également en voyageant à travers des zones de densités gravitationnelles moins grandes !

Moins grandes que quoi ?

Si nous recevons un photon d'une source hors champ située dans une direction proche de celle du Soleil, nous percevrons cette direction comme déviée, mais la fréquence reçue de la source ne sera pas affectée pas la traversée du champ gravitationnel solaire (...à moins que nous nous trouvions nous-mêmes dans une zone où le champ solaire est significatif).

 

Posté par glevesque

PS : Lejon n'éfface pas tes messages tout de même, je n'ai même pas eu le temps d'argumenter sur les autres différents point que tu as soulevé ! Allors un peut de diplomatie ici !

 

Edition ; ci-dessous :

 

a) Encore ? En quoi la diplomatie a-t-elle un rapport avec la déviation des fréquences ?

B) Il n'y a pas lieu d'argumenter. La théorie et les observations expérimentales sont ce qu'elles sont.

 

Par rapport à un récepteur voisin, une même source a évidemment toujours la même fréquence propre, quel que soit le champ local. Par rapport à un récepteur situé hors du champ, la fréquence "rougira" d'autant plus fort que le champ dont elle sort sera plus grand

Nous sommes donc d'accord sur ce point, car les deux référenciels ce trouve dans des zones de courbure métrique très différentes (quasad + terre). Pour le premier situé près d'un quasard, l'énergie de l'interaction entre le photon et la particule de matière incidante, sera donc situé dans un niveau d'énergie plus grande (par rapport au niveau fondamental de l'état d'énergie), a cause de l'apport de la métrique gravitationnelle de son repert plus contracté en espace et plus dilaté en temps, qui apporte une impulsion cinétique plus grande (facteur de covariance sur l'Hammiltonien et sur l'énergie du système) sur la matière et seulement lors de l'interaction pour le photon (décalage vers le bleu en rapport l'autre référenciel).

 

Pour celui se trouvant sur terre, et bien la métrique étant moins courbé, le photon qui se matérialisera lors de l'interaction, aura donc une énergie cinétique moindre (suivant le référenciel avec la particule incidante se trouvant alors dans une métrique gravitationnelle moins grande). Et cela en ne tenant même pas compte des autres interactions possible qui auraient put impliquer le photon d'origine sur son parcourt entre l'éméteur et la cible. (autre diffusion par absortion/émission avec la matière intergalactique interposé dans la trajectoire incidante)

 

Donc, entre nos deux référenciels, nous avons des vecteurs (quadrivecteur) d'énergie (Hamiltonien) très différents concernant l'origine des observations. Ce qui va par le fait même, contracter ou dilaté les résultats selon les reperts gravitationnels impliqués (apport en énergie cinétique et d'impulsion). Maintenent, le photon lui est belle et bien partit avec un niveau d'énergie différents par rapport au référenciel d'arrivé. Les relations entre les deux champs gravitationnel et la différence entre les états d'énergie du point de départ à celui du point d'arrivé de la matérialisation du photon, dénotre donc une relation différentiels sur les niveaux d'énergie impliqué. une relation qui n'est pas même pas prit en considération à l'heure actuelle en cosmologie sur la constante de hubble. Et pourtant cela viendrait bien changer les données sur notre dilème.

 

Car si les photon de départ on un niveau d'énergie plus élever, à comparer à celui des photons ou leurs origine serait notre système solaire par exemple. et bien comment fait-on pour établir leur décalage spectrale réelle, car ici une part du red shift serait tout simplement en rapport avec l'interaction sur une particule de matière situé dans un référenciel gravitationnelle différents () et donc présentant des niveaux d'énergit cinétique différents (comme interprétation de niveau fondamentale à travers les référenciel gravitationnel différents en métrique de courbure)

 

Si nous recevons un photon d'une source hors champ située dans une direction proche de celle du Soleil, nous percevrons cette direction comme déviée, mais la fréquence reçue de la source ne sera pas affectée pas la traversée du champ gravitationnel solaire (...à moins que nous nous trouvions nous-mêmes dans une zone où le champ solaire est significatif).
Pas si tu te refert aux deux référenciels (les compart entre eux), celui d'ou proviens le photon et celui ou il est intercepté à travers des référenciel de métrique très différentes ! Deux référenciels situés dans le système solaire, auront de toute évidence le même type de décalage (minime), mais cela est tout autre si on prend un référentiel de départ situé près d'un quasard ou d'un trous noir, versus un autre situé près de la terre par exemple (le photon n'aura pas la même énergie d'interaction).

 

Voilà notre dilème ici !!!!!

 

Gilles

Invité glevesque
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Salut lejon

 

Tu es libre de faire ce que tu veux, mais moi je ne jou plus à ce petit jeux en différé, ou il faut toujours aller voir ton message plus haut et en ré-ré-édition multiples pour voir tes répliques !

 

Alors si tes réponces ne se trouves pas à la suite normale des posts des autres participant, et bien je ne les vérez plus non plus car n'allant plus vérifié si ta modifier tes anciens posts plus haut !

 

Tout réthorique dans un dialéthique doit suivre des protocoles normale !!!!! Ceci n'est juste qu'une question de respects envers les différents interlocuteurs. Et ta m'anière d'agire est tout simplement une manière de sophisme !

 

A bonne attendeur, Salut !

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut evidence

 

Question de ce changé les idées un peut !

 

Je sais pas, il va peut être arriver quelque part ^^

 

P.S.: Ton message est vraiment bien bravo :)

Merci pour tes encouragement !

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Je Résume :

 

Nous avons une particules qui se trouve à proximité d'un quasard, de t'elle manière que cette dernière évolut dans le champs de gravité de se dernié !

 

La relativité nous indique, que cette particules sera dans un état d'énergie plus grand, à cause de son accélération relié au puit gravitationnel du quasard. Un état d'énergie plus grand veut aussi dire un niveau vibratoire plus grand, ce qui veut dire que les électrons seront dans des configurations d'énergie plus grande. Et cela est directement proportionnel aux équivalences d'énergie, soit cinétique, thermique et donc aussi électromagnétique.

 

La particule se trouve dans un référenciel qui est donc soumis a un champs gravitationnel plus fort que notre propre référenciel sur terre !

 

Jusque là, sommes nous d'accord ?

 

Gilles

Posté

Salut Gilles.

 

Sur le comportement des photons en présence d' un champ de gravitation, j' ai le sentiment que toi et lejon êtes d' accord :

[EDIT : Ah, non, tu as posté pendant que je rédigeais ma réponse, un message qui montre que vous êtes en désaccord. Comme résumé ci-dessous, le résultat de toutes les expériences actuelles montrent que la relativité générale est conforme aux observations, et donc qu' un atome donné émet toujours avec la même énergie quelque soit les conditions locales d' émission]

 

Si on prends une source de référence donnée (par exemple la désexcitation d' un atome d' hydrogène au repos relativement à l' observateur), l' énergie mesurée va dépendre de la courbure locale (ou du champ de gravitation local, selon tes préférences de représentation de la gravitation) de la façon suivante :

 

* Si la source est placée dans une région où l' intensité du champ est supérieure à celle de l' observateur, l' énergie mesurée par l' observateur est inférieure à celle qui est attendue (i.e. mesuré sur le même type de source placée dans les mêmes conditions que l' observateur): les raies d' émission sont décalées vers le rouge.

 

* Si la source est placée dans une région où l' intensité du champ est inférieure à celle de l' observateur, l' énergie mesurée est supérieure à celle attendue: Les raies d' émission sont décalées vers le bleu.

 

* Si la source est émise depuis une région où l' intensité du champ est identique à celle de l' observateur, l' énergie mesurée est celle attendue: Pas de décalage des raies d' émission.

 

Le fait de traverser une zone de l' espace où règne un champ gravitationnel significativement différent de celui de la source et/ou de l' observateur, se traduit par une déviation de la direction de propagation, sans modification de l' énergie mesurée: De nouveau , pas de décalage des raies d' émission.

 

Le comportement ci-dessus a été validé par de nombreuses expériences. A ma connaissance, ces observations sont conformes aux prédictions de la relativité générale avec une bonne précision (mais il va falloir attendre un peu que les résultats de Gravity Probe B soient rendus publics pour en savoir plus, notamment sur les effets d' "entraînement de référentiel").

 

A+

--

Pascal.

Invité glevesque
Posté

Salut lejon

 

Merci ArthurDent pour le rappel !

 

Pour le dire aussi clairement que possible : non, la relativité n'indique pas cela.

Dans ce cas d'espèce, la relativité parle des modifications (donc : relatives) que subit une onde EM transférée d'un émetteur dans un champ fort vers un récepteur dans un champ négligeable. Si l'état des atomes dans une étoile y résulte de l'énergie thermique qui leur aurait été apportée par un phénomène d'accrétion et des réactions chimiques et nucléaires qui s'y déroulent, et si l'on met de côté les modifications structurelles qui, dans les astres hyper-denses, résultent de la concentration de matière, le champ gravitationnel dans lequel l'objet se trouve n'a aucun effet à son endroit. Pour ce seul paramètre, par exemple, les électrons d'un atome ne se trouveront pas à des niveaux d'énergie différents et il n'y a pas lieu de parler d'une énergie qui serait propre à une particule donnée. Quant aux photons, leur énergie ne résulte que des transitions d'état des atomes qui les émettent. L'état des atomes ne dépendant pas du champ, ces transistions n'en dépendent pas non plus.

 

En outre, comme le répète ci-dessus ArthurDent, la "traversée" d'un champ intermédiaire n'a aucun effet sur une onde EM. En utilisant une image fort discutable -comme je l'ai précisé plus haut-, on pourrait dire que ce que l'onde gagne en y "entrant", elle le reperd en en "sortant". Mais on n'ira pas loin avec cette image du "photon voyageur"...

En fait selon les prémisses de la relativité, je suis entièrement d'accord avec ton énoncé. Car effectivement chaque référenciel est indépendant (relatif) des autres et chacun auront des facteurs d'équivalences de contraction/dilatation de Lorentz, dut par l'invariance de C et selon leur repert gravitationnel dans lequel il se trouve. A travers cette relation, découle l'apport en énergie cinétique, qui est relié au apport d'impulsions différenciels ou leurs accélération relative propre ou d'entraitement gravitationnel (règle de covariance du formalisme). Ici je n'ai pas de problème avec cette énoncée.

 

Mais, parce qu'il y a un mais !

 

Mais on n'ira pas loin avec cette image du "photon voyageur"..
Pour le photon je suis entièrement d'accord qu'il ne faut pas le suivre comme t'elle et sous sa forme d'onde (exercise de pensé d'Einstein). Je faisais plutôt référence à un schéma d'esprit ou de pensé, comme étant le fait d'immaginé le photon sur sa trajectoire à travers une multitude de processus interactionnel, qui matérialise l'aspect cospusculaire du photons. Mon exercise de pensé suivait ainsi la trajectoire de manière virtuelle (?, bon dison vut qu'il s'agit d'une vison et d'un exercise de pensée et que la MQ ne permet pas cela dut par l'indéterminisme de la réduction du paquet d'onde, d'heizenberg et les phénomène de superposition de Strodinger, mais passons et oublions le chat pour un instant !!!!)

 

Car comme je l'ai dit, il ne s'agit que d'un exercise de pensé. Et je sais que la relativité ne peut pas mêtre en relation deux référenciels simultanément (toujours a cause de la vitesse de C limite (ou plutôt de sa célérité)). Mais on peut comparer cependant leurs effet, je vais m'expliquer !!!!

 

Dans ce cas d'espèce, la relativité parle des modifications (donc : relatives) que subit une onde EM transférée d'un émetteur dans un champ fort vers un récepteur dans un champ négligeable. Si l'état des atomes dans une étoile y résulte de l'énergie thermique qui leur aurait été apportée par un phénomène d'accrétion et des réactions chimiques et nucléaires qui s'y déroulent, et si l'on met de côté les modifications structurelles qui, dans les astres hyper-denses, résultent de la concentration de matière, le champ gravitationnel dans lequel l'objet se trouve n'a aucun effet à son endroit.
Le hic se trouve ici, car vois-tu cela l'énergie gravitationnel est l'équivalente (covariance) d'une accélération, ce qui veut dire aussi d'apport d'énergie cinétique par variation innertiel. Cela veut également dire que l'énergit d'un photon émit sera directement dépendant de son repert gravitationnel. Je vais m'expliquer un peut plus plus bas.

 

Pour ce seul paramètre, par exemple, les électrons d'un atome ne se trouveront pas à des niveaux d'énergie différents et il n'y a pas lieu de parler d'une énergie qui serait propre à une particule donnée. Quant aux photons, leur énergie ne résulte que des transitions d'état des atomes qui les émettent. L'état des atomes ne dépendant pas du champ, ces transistions n'en dépendent pas non plus.
Prix indépendament cela est vrai. Mais que dire maintenent du phénomène de désintégration des muons (et des autre particules) cosmologique (ou des accélérateurs des particules) qui ont une demi-vie beaucoups plus longue à cause de leurs vitesses relativistes qui dilate leurs temps propre et contracte leurs espace relative (relation relativiste C/V en rapport avec leur référenciel). Les effets sont donc attester par la durée de vie des particules (état vibratoire ou d'énergie plus stable pour nous qui les observons ) ! C'est également le cas pour les jumeau de Lengevin qui se retrouves a la fin de leur voyage. Et bien vue que accélération est un facteur d'équivalence et d'invariance au champs gravitationnelle (C/V), on peut dès lors dire que les particules situé au abbord d'un trou noir, aurons des durée de vie plus longue. Tout comme le photon qui est éternelle, jusqu'à il subisse un processus d'interaction. (ici je ne supose pas que les particule aurons une durée de vie éternelle, et loin de là)

 

En outre, comme le répète ci-dessus ArthurDent, la "traversée" d'un champ intermédiaire n'a aucun effet sur une onde EM. En utilisant une image fort discutable -comme je l'ai précisé plus haut-, on pourrait dire que ce que l'onde gagne en y "entrant", elle le reperd en en "sortant"
Pris séparément il est évidant qu'aucun relation ne peut-être effectué (prostulat de la RG), par contre en les analisant de manière séparer et relative de point de vue extérieur tangenciel, mais qui fait corrélé les deux référenciels entre eux, tout comme pour le muons et nous qui les observons dans le référenciel terrestre (reférenciel tangenciel de comparaison), je crois qu'il est possible de voir les différences entre eux !

 

Le photon émit près d'un quasard ou d'un trous noir, sera émit selon une certaine longueur d'onde, qui elle-même sera tributaire des relations entre le repert gravitationnel ou se trouve la particule émètrice et de ses différents niveaux d'énergie ! La particule sera un peut comme notre muons, si l'on peut faire l'amalgame, et c'est ce qui va faire toute la différence. Car en fait, et comparer à notre propre référenciel, cette particule sera dans un état d'énergie différents (contraction/dilatation de Lorentz) par rapport a une autre particule de même type, mais situé sur terre et qui va interagire avec le photon incidans venant de ces régions de l'espace.

 

Il y aura une forme de décalage sur les états d'énergie interne (vibratoire) entre des deux particules ! Et je pense que cela est important a prendre en considération !

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Merci neo !

 

PS : Je n'ai même pas parler ou référer encore avec l'effet Creil, alors immaginer en plus en combinant le tout !!!!!!! (par contre je l'associe aux parcours de nos photons sur leurs trajectoire et via des processus interactionnelle)

 

Gilles

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