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Les Secrets de la Matière Noire !


Invité glevesque

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Invité glevesque
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Salut Arthur

 

La vitesse du mobile B vue de A est de Vba=277000 Km/s (on l' a calculée plus haut)

B (vu de O) s' est déplacé pendant 1s. Mais O est en mouvement par rapport à A (sa vitesse est de 200000 Km/s), donc vu de A la durée sera plus grande: Ta = 1/sqrt(1 -(200000/300000)^2) )

 

Donc, vu de A, B a parcouru 371000 Km (j' ai arrondi , peu importe la valeur exacte). Soit moins que 400000 Km, ça me parait raisonnable.

 

Pourtant, la distance qui sépare A de O est de Doa=200000*(sqrt(1-(2/3)^2) soit environ 149000 Km. Et 149000 x2 ne fait pas 371000 Km !

 

D' ailleurs, cette distance de 149000 Km a été parcourue (vu de A) en 0,745s. Et donc, B pendant ce temps a parcouru 277000 * 0.745 = 206000 Km. 206+149 ne fait pas 371 !!

 

Qu' est-ce qui se passe ?

Vu de O, A et B arrivent à destination simultanément . Mais pas vu de A. Vu de A, B arrive à destination après que A soit arrivé à destination. Vu de A, B parcourt 206000 Km (à la vitesse de 277000 Km/s pendant 0,745s) puis continue jusqu' à sa destination pendant "un certain temps" pour arriver finalement à sa destination , à 371000 Km de A.

Je crois que tu étais très près du résultat ici. Il manquerait juste d'après moi, le petit bout du 1.95s (a vérifier aussi !) de B, un cout enlevé la partit correspondante de 0.745 de A ou B parcourt 206 000 km à 277 000 km/s !

 

Sans arrondissement, peut-être que nos résultat serait plus proche de 390 000 que 371 000 ? Et surtout quel est la formule qui intégrais les deux sous calcule, si je peut m'exprimer ainsi ?

 

Gilles

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Invité glevesque
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Salut

 

Je pense avoir trouver, en fait nous cherchons la simultanéité de B face a A, et je crois que pour cela il faut se concentrer sur les 200 000km parcouru par B de O, et non de prendre en compte la distance totale de 400 000km, vue que B ne parcourt en fait que 200 000km vut par O en 1s !

 

Quand dite-vous ?

 

Gilles

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Il y a encore une question qui n'a pas étré résolue ? Tu pourrais la reposer avec précision ? Je croyais que tout avait été dit dans le cas où A, O et B étaient des points sans masse.

Invité glevesque
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Salut

 

Il y a encore une question qui n'a pas étré résolue ? Tu pourrais la reposer avec précision ? Je croyais que tout avait été dit dans le cas où A' date=' O et B étaient des points sans masse.[/quote']C'est toujours la distance parcouru de B vue a partir de A

 

Oui, toujours sans masse dans notre cas AOB jusqu'à présent pour l'exemple RR !

 

Je pense que bongo1981 à trouver la réponce pour B :

http://www.techno-science.net/forum/viewtopic.php?p=41219#41219 (B = distance : 536 000km vue de A)

 

Quand pensez-vous ?

 

Gilles

Invité glevesque
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Salut

 

Ok, si on est tout d'accord pour B, je poursuivrez mon explication sans la RG dans le prochain poste !

 

Maintenent nous avons tous les points de vue de tous les référenciels (distance, temps, vitesse). et le décalage doppler de A et B sera équivalent pour O, tout comme O sera équivalent pour A et B. Mais pour B le décalage de A sera plus élevé que l'est O pour A, et pour A, B sera plus décaler vers le rouge que O.

 

Et dans le cas ou les vaissaux se raprocheraient de O au lieu de s'en éloigner (comme c'est notre cas ici), et bien le décalage serait vers bleu au lieu d'être vers le rouge, mais dans les mêmes proportions que pour le rouge pour chaques référenciels ! En fait nous gardons les même rapport que notre exercise présédant avec les vitesse relatives et les notion de contraction ! Pour A, B semble plus contracter que O, mais pour O tout semble normale. Et pour B c'est A qui semble plus contracté ! L'effet Doppler va suivre cette relation relié aux vitesse relatives, comme si tout les référenciel s'éloignaient les uns des autres.

 

Nous allons partir avec trois Glaxies A,O,B, O sera la voie-Lactée et notre point d'origine, tout comme pour l'exemple présédant.

 

Gilles

Invité glevesque
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Salut

 

Aujourd'uit le monde scientifique explique le décalages cosmologique (rayonnement fossile) de 2,7 k, vers le rouge des galaxies, comme étant le résultat de leurs vitesse de récession, ou de fuite par rapport à nous, et allant en augmentation selon la distance. Le tout découlant du BB originale. Ce qui implique que tout l'univers est en expension qui semble accéléré avec le temps.

 

Mais en sommes-nous vraiment sur ?

 

Le modèle du BB intègre depuis quelque temps l'énergie et la matière noir pour expliquer certaines irrigularité que le modèle standards ne pouvait pas expliquer à l'univers et au galaxies. L'énergie noir ou sombre, étant alors la source éventuelle pour expliquer l'expension accélérer de ce qui semble soutenir l'univers dans ses propres fondement originel (trame, tissus, continum espace-temps, éther ou autre). L'énergie noire serait représenter à travers cette ajout, par les fluctuations quantiques du vide. La matière noir (WIMPs, MOND et autre) a également eu pour effet, d'expliquer la courbe désymétrique de la vitesse de rotations plus grande des étoiles situées en péréfiriques des galaxies.

 

Le décalage spectrale vers le rouge des galaxies, en en fait composées de trois type de Redshift de plus ou moins grande importance. Il y a le Redshift gravitationnel (décalage d'Einstein) très faible, le Redshift locale des galaxie résultant de leurs environnement immédiat, et il y a le Redshift de l'expansion de l'univers. C'est surtout de ce dernier dont je vais discuter dans mon prochain poste !

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut

 

La question se pose !

 

Toutes particules ou photons piégés dans un champs gravitationnel, va en subire les conséquences, soit par un apport d'énergie cinétique pour les particules, ou soit par une modification de trajectoire pour les photons. Le tout va être inversement proportionnelle au carré de la distance et proportionnelle au rayons de courbure du champs gravitationnel (la métrique de la gravité). Par exemple, une particule qui subit une excitation, va émêtre toute autour d'elle des photons, et pour un observateur se trouvant en face d'elle va mesuré un racourcissement des longueurs d'ondes décalé vers le bleu par l'effet Doppler, et un observateur se trouvant en arrière d'elle va mesurer un décalage vers le rouge. L'énergie du photon étant alors directement proportionnelle à l'énergie de la particule qui la émit, à sa vitesse et aussi sous l'angle par lequel le photon sera observé (pour le décalage).

 

Mais un particule est aussi influencé dans ses différents états d'énergie, par la métrique gravitationnelle dans laquelle elle se trouve. Les particules subissant des courbure métrique plus forte, aurons un apport d'énergie cinétique plus forte et les électons seront aussi excité à des niveaux d'énergie plus grande. Les photon émits par une particule se trouvant dans une t'elle situation, va donc émetre des photons de longueur d'onde plus courte, qu'une autre particule se trouvant par exemple dans une métrique plus faible. En plus la particule étant dans une courbure métrique plus forte, va également voir sa vitesse accélérer, ce qui fera croite ou décroite l'effet doppler qui est associé à la vitesse et à la direction de sa trajectoire. En plus la vitesse et le sens du mouvement d'un observateur captant et mesurant les photons émit par cette même particule, aura également des effects, soit en emplifiant (bleu) ou soit en diminuant (rouge) l'effet Doppler. Ici la grande partit dépendera des vitesse qui sont impliqué entre la source et l'observateurs.

 

Tout ceci, rend donc l'interprétation du décalage doppler bien difficile a déterminé !

 

Mais, nous savons que la métrique à un effect mageur sur la particule initial à travers ses états d'énergie, qu'on pourrait appeler fondamentale pour une métrique bien données (disont une sorte de topologie pour cette métrque, dont l'indice caractériserait l'état fondamentale de cette portion de la métrique). Cette topologie dépands donc dans un premier temps de la galaxie dans laquelle elle se trouves, dans un second lieu les étoilles, puis les planètes et etc...

 

Le problème, est que nous ne connaissons pas très bien la masse réelle des galaxies, et l'apport en matière noire est considérable pour expliquer le comportement de leurs champs gravitationnel. Donc nous ne savons pas l'état d'énergie fondamental qui est relié a la topologie de leurs métrique locale. Nous sommes situé dans l'une des topologie de la métrique de notre galaxie, qui correspond a un état excité (fondamental pour notre métrique et topologie solaire local), alors une longueur d'onde visible donnant sur le jaune, va être tributaire a cette topologie local de cette métrique. Et bien il va en être pareil pour les particule qui émets de la lumière dans les autre galaxies.

 

Si notre galaxie est désigné par O, et qu'une galaxies (quasard/galaxie actifs) désigé par A, est trois fois plus massive que la notre. Et bien le photon émit sur une longueur d'onde de couleurs jaune pour elle, sera en fait vut a travers une métrique topologique plus forte que la notre, et l'énergie fondamentale de cette topologie serait 3 foix plus forte que la notre. Ce qui veut dire quand tout comparaisons, l'énergie du photon émit et que nous intercepton et compararons ou plutôt confondon à notre topologie métrique locale, serait en fait émit avec une énergie de base (topologie métricielle) 3 fois plus forte à l'origine, et donc décalé vers des plus petites longueurs d'ondes, et donc de plus grande énergie. Cette différence serait attribué au décalage cosmologique et relié au différence de topologie métriciel.

 

En interceptant le photon dans notre métrique plus faible, et bien la différence d'énergie fondamental (tributaire de la topologie métriciel) entre les états de la particule émétrice d'autre galaxie, à notre observsteur O se trouvant dans une topologie métriciel local et différentes, serait en fait caché par le décalage doppler qui est relié au redshift cosmologique. Et la différence indiquerait tout simplement le rapport des masses entre les galaxie d'ou est partie le photon à celle de son arrivé !

 

Pour la matière noir, et bien disont qu'une bonne partie de cette dernièr, pourrait être relié au photon transparent, mais relié à leur interaction non tengenciel a notre angle d'observation (nous ne pouvons pas les observé). Pour un photon mesurer, il en existe des dizaines de milier non mesurer. Et le potenciel interactif est donc grand, et l'équivalence de leurs énergie traduit en masse lors de l'intéraction, peut expliquer une certaines partie de la matière noire !

 

Si cela est confirmé, alors le décalage cosmologique ne serait plus associé au mouvement de fuite des galaxies dut par l'expension de l'univers, mais seulement comme étant un identificateur de la masse réelle des galaxies ! Masse associé a la toplogie métriciel de celle-ci qui est caché a travers le redshift.

 

Alors, dite moi ce que vous en pensée !

 

Gilles

Posté
Salut

 

Aujourd'uit le monde scientifique explique le décalages cosmologique (rayonnement fossile) de 2,7 k, vers le rouge des galaxies, comme étant le résultat de leurs vitesse de récession, ou de fuite par rapport à nous, et allant en augmentation selon la distance.

 

Non, ce sont les vulgarisateurs qui l' expliquent comme ça (voir le post de Bruno). Aujourd'hui le monde scientifique explique le décalage vers le rouge comme étant le résultat de l' expansion de l' espace entre les galaxies, quasi immobiles par rapport à leur environnement immédiat (i.e. de vitesse "faible", quelques centaines de Km/s, et de direction variable par rapport à leur environnement immédiat)

 

C' est presque pareil. Presque, mais pas tout à fait : Dans le cas de l' explication "vitesse", pour un observateur donné, le redshift est fixé par l' émetteur, dès le départ. Dans le cas de l' explication "expansion", pour un observateur donné le redshift est fixé par l' espace traversé, tout au long de la géodésique qui relie l' émetteur à l' observateur.

 

A+

--

Pascal.

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Cela pourrait aussi expliquer, pourquoi les planètes extrasolaire sont plus proche et tourne plus vite. En fait leur distance serait plus éloigner et leur rotation plus courte, plus près de notre propre système solaire. La différence se retrouverait dans leurs propre décage doppler !

 

Pendant que j'y pense, et avant de l'oublier !!!!!!

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Non, ce sont les vulgarisateurs qui l' expliquent comme ça (voir le post de Bruno). Aujourd'hui le monde scientifique explique le décalage vers le rouge comme étant le résultat de l' expansion de l' espace entre les galaxies, quasi immobiles par rapport à leur environnement immédiat (i.e. de vitesse "faible", quelques centaines de Km/s, et de direction variable par rapport à leur environnement immédiat)

 

C' est presque pareil. Presque, mais pas tout à fait : Dans le cas de l' explication "vitesse", pour un observateur donné, le redshift est fixé par l' émetteur, dès le départ. Dans le cas de l' explication "expansion", pour un observateur donné le redshift est fixé par l' espace traversé, tout au long de la géodésique qui relie l' émetteur à l' observateur.

OK, mais se mouvement d'entrainement pousse les galaxie, donc cela revient au même que s'y elle surferaient dessus pour le décallage doppler ! Que le décalage viens du mouvement propre ou de la trame qui les pousse, le décalage reste tout de même associé a la fuite des galaxie, pousser ou surfant !!!! L'expension de l'espace vien de l'énergie noir, et peut-être des fluctuation quantique, et celui-ci créerait effetivement une expension ou étirement de l'espace poussant les galaxies les unes par rapport aux autres !

 

Gilles

Posté
OK, mais se mouvement d'entrainement pousse les galaxie, donc cela revient au même que s'y elle surferaient dessus pour le décallage doppler !
Non, ça ne revient pas au même, pour la raison évoquée plus haut. (paragraphe "c' est presque pareil ..."). Il existe des observations (la courbe luminosité/redshift des supernovae de type Ia) qui favorisent fortement l' explication "expansion" sur l' explication "redshift".

Il y a une erreur de 23 sigmas (23 fois l' incertitude de mesure !) lorsqu'on tente de prédire la luminosité des supernovae à partir de leur redshift avec le modèle "doppler relativiste". Ce qui veut dire que le modèle n' est pas valide.

[ Si tu veux refaire les calculs pour t' en convaincre, ça sort de là: http://arxiv.org/abs/astro-ph/0310808 ]

Invité akira
Posté
Cela pourrait aussi expliquer, pourquoi les planètes extrasolaire sont plus proche et tourne plus vite. En fait leur distance serait plus éloigner et leur rotation plus courte, plus près de notre propre système solaire. La différence se retrouverait dans leurs propre décage doppler !

 

Houlala faudrait que tu mettes trois nombres dans les equations de relativite pour te rendre compte que ses effets sont totalement negligeable pour des systemes aussi non relativistes qu une planete autour d une etoile ... en tout cas par rapport aux positions et orbites des planetes extrasolaires.

 

ujourd'uit le monde scientifique explique le décalages cosmologique (rayonnement fossile) de 2,7 k, vers le rouge des galaxies,

 

Qu est ce que c est que ca ? Le decalage cosmologique ... le rayonnement a 3K sont des phenomenes qui n ont rien a voir ...

Posté

Gilles : si j'ai bien compris ton dernier texte, tu soupçonnes que la part de décalage gravitationnel dans le décalage vers le rouge des galaxies n'est pas forcément négligeable devant le décalage cosmologique. Ainsi, avec la matière noire, les galaxies sont peut-être beaucoup plus massives, d'où un décalage gravitationnel qui commence à devenir important. Et, du coup, peut-être qu'on a tort d'étudier les confins de l'Univers en ne se basant que sur le décalage cosmologique. C'est bien ça ? (C'est ce que j'ai compris en tout cas.)

 

Si oui, je pense que tu as tort. En effet :

 

1) Le décalage gravitationnel n'est pas proportionnel à la masse mais à la compacité. Par exemple, il est infini pour un trou noir, quelque soit la masse de ce trou noir. Or les galaxies sont des objets extrêmement peu compacts (dans l'Univers, il n'y a que les amas de galaxies qui sont encore moins compacts). Le décalage gravitationnel est évidemment négligeable. Du moins si on prend la galaxie globalement.

 

2) Oui, mais parfois les galaxies abritent des trous noirs, et là le décalage spectral d'origine gravitationnelle est tout sauf négligeable ! Sauf que... Les astronomes sont tout à fait capables de faire une carte des décalages vers le rouge de la galaxie, par exemple pour découvrir quel est le bras qui tourne vers nous et le bras opposé. Si au voisinage d'un trou noir le décalage spectral est important, il n'en est rien dès qu'on s'en éloigne. Les astronomes ne se feraient donc pas avoir : il leur suffirait d'observer le décalage spectral des bras pour avoir la bonne valeur (non parasitée par le trou noir).

 

3) Même si les galaxies étaient plus compactes qu'on ne le croit (à cause de la matière noire), comment peut-on imaginer qu'une galaxie de z très grand (supérieur à 1 par exemple) puisse avoir une compacité telle que le décalage gravitationnel est important ? Le Télescope Spatial a photographié ces galaxies très lointaines et elles ressemblent plus ou moins aux notres. Or une galaxie qui générerait un décalage gravitationnel de ne serait-ce que 0,1 serait un astre de nature bien différente des galaxies usuelles, et à mon avis sur la photo on verrait tout autre chose ! (Une telle galaxie compacte ressemblerait probablement à une espèce d'hyper-étoile entourée d'un disque d'accrétion émettant des rayons X à profusion, non ? Remarque, ça existe peut-être, ces galaxies ?)

Invité glevesque
Posté

Salut 'Bruno

 

Gilles : si j'ai bien compris ton dernier texte' date=' tu soupçonnes que la part de décalage gravitationnel dans le décalage vers le rouge des galaxies n'est pas forcément négligeable devant le décalage cosmologique. Ainsi, avec la matière noire, les galaxies sont peut-être beaucoup plus massives, d'où un décalage gravitationnel qui commence à devenir important. Et, du coup, peut-être qu'on a tort d'étudier les confins de l'Univers en ne se basant que sur le décalage cosmologique. C'est bien ça ? (C'est ce que j'ai compris en tout cas.)[/quote']Pas tout à fait, il ne s'agit pas du décalage gravitationnel (voir l'encadré) ou d'une emplification de ce dernier.
7.3.3 Décalage vers le rouge gravitationnel (R_grav )

 

Une autre conséquence prédite par Einstein est le décalage vers le rouge de la lumière quand elle est plongée dans un champ de gravitation. Attention ! Ce n'est pas exactement l'effet Doppler, bien que les effets soient semblables. Einstein montre qu'un rayon lumineux, quand il se propage dans un champ de gravitation, dépense une partie de son énergie pour "remonter " dans ce champ. Cette perte d'énergie ce manifeste alors par un décalage du spectre électromagnétique vers le rouge, i.e. à un affaiblissement du rayon lumineux.

 

On peut l'interpréter également en utilisant le principe d'équivalence: le

champ de gravitation dans lequel est plongé le photon est équivalent également à un repère uniformément accéléré qui s'éloigne de l'observateur, par conséquent, par effet Doppler, la longueur d'onde du photon augmente (décalage vers le rouge).

 

Cela a été vérifié également expérimentalement.

 

Source : http://www.aim.ufr-physique.univ-paris7.fr/CHARNOZ/homepage/GRAVITATION/grav7.html

 

La partie de mon texte qui décrit le différenciel des métrique (niveau fondamentale des particules en états d'énergie selon la toplogogie métriciel) est dure à appréhender, et je l'admet volontié. Je fais plutôt allusion à une sorte de décalage relié à la métrique elle-même (masse caché + redshift expension !), qui est cacher lors de l'excitation d'une particule selon l'énergie incidante, qui émet alors un photon vers nous. La différence de cette métrique par rapport à notre métrique local, est cacher dans le décalage doppler après y avoir enlevé les autre composante : (le photon incidant interfère avec une particule de notre métrique (contraction de Lorentz différentiel entre les deux particules de départ et d'arrivé) moins grande, il en résulte un décalage qui est équivalent au redshift de l'expension, mais sans être relié à celle-ci (expension), mais plutôt résultant des niveaux de contractions différentes)

 

Je reprand ma formule de la page 2 :

 

R_exp = Redshift Expension

R_movp = Redshift Mouvement Propre

R_grav = Redshift gravitationnel

R_e_g = Redshift Bilan en Énergie Global

 

R_e_g = R_exp - (R_movp (-/+) R_grav)

 

R_exp - Redshift total d'une galaxie (ou de tout autre objets) associé à la vitesse d'expension, ou décalage Doppler totale mesuré actuellement (Redshift Expension)

R_movp - Redshif associé au mouvement locale par rapport à son entourage immédiat (couple ou groupe de galaxie) (Redshift Mouvement Propre)

R_grav - Redshift gravitationnel, qui résulte de la résistance de fuite des photons, au champs gravitationnel local. (Redshift gravitationnel)

R_e_g - Redshift résultant du bilan globale sur l'énergie que contient une galaxie. Décrivant aussi les différences entre la métrique mesuré et celle corriger (par mon hypothèse ?). (Redshift Bilan en Énergie Global)

 

Si oui, je pense que tu as tort. En effet :
Cela est possible, mais il me semble que l'exemple est intéressents !

 

3) Même si les galaxies étaient plus compactes qu'on ne le croit (à cause de la matière noire), comment peut-on imaginer qu'une galaxie de z très grand (supérieur à 1 par exemple) puisse avoir une compacité telle que le décalage gravitationnel est important ?
Mais il faut pas oublier que notre propre galaxies est dans un parreil cas, selon l'hypothèse.

 

Le Télescope Spatial a photographié ces galaxies très lointaines et elles ressemblent plus ou moins aux notres. Or une galaxie qui générerait un décalage gravitationnel de ne serait-ce que 0,1 serait un astre de nature bien différente des galaxies usuelles, et à mon avis sur la photo on verrait tout autre chose ! (Une telle galaxie compacte ressemblerait probablement à une espèce d'hyper-étoile entourée d'un disque d'accrétion émettant des rayons X à profusion, non ? Remarque, ça existe peut-être, ces galaxies ?)
Pas néssairement, cela voudrait dire qu'elles sont plus massives et non plus loing !

 

Un comparaison statistique entre les masse prévut et les masse manquente devrait faire resortir un schéma comparatif pouvant validé ou non cette hypothèse. De même pour les exoplanéte (par rapport aux objets de type hots, qui serait remplacer par des objets standard (mais pas toute, car il doit aussi exister de tel objets dans la nature et autour de d'autres étoiles))

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut akira

 

Houlala faudrait que tu mettes trois nombres dans les equations de relativite pour te rendre compte que ses effets sont totalement negligeable pour des systemes aussi non relativistes qu une planete autour d une etoile ... en tout cas par rapport aux positions et orbites des planetes extrasolaires.
Pas nécéssairement, si le décalage cache bien une sorte de différentiel des topologie métriciel comparées ! Les composantes Hot, seraient alors racourcis (le décalage qui leurs sont associé), ce qui aurait pour effets d'augmenter leur distance de leur étoiles et d'allonger leur période de révotion autoure ! Ce qui les renderait plus proche en comparaison avec notre propre système solaire.

 

Qu est ce que c est que ca ? Le decalage cosmologique ... le rayonnement a 3K sont des phenomenes qui n ont rien a voir ...
Je fais allusion à l'expension et a la corrélation qui existe entre les structures de l'univers (bulles, filaments et etc...) et la composante du redshift cosmologique qui est pas tout à fait homogène ! L'expension de l'espace de forme accélérer (originaire de l'inflation) est à l'origine du forts décalage des galaxies selon leurs distances !

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut Arthur

 

Il existe des observations (la courbe luminosité/redshift des supernovae de type Ia) qui favorisent fortement l' explication "expansion" sur l' explication "redshift".

Il y a une erreur de 23 sigmas (23 fois l' incertitude de mesure !) lorsqu'on tente de prédire la luminosité des supernovae à partir de leur redshift avec le modèle "doppler relativiste". Ce qui veut dire que le modèle n' est pas valide.

[ Si tu veux refaire les calculs pour t' en convaincre, ça sort de là: http://arxiv.org/abs/astro-ph/0310808 ]

Très intéressant effectivement, mais cela est peut-être dut à la masse caché de la galaxie !

 

Ici je ne dit pas que j'ai raison, je dit que mon hypothèse est a certain point de vue intéressentes !

 

Car la métrique a un effet sur l'état d'énergie fondamentale d'une particule ! Pouvant être relié a cette métrique pour une région de l'espace donnée !

 

Je peut-être tord, mais l'idée est bonne je crois !

 

Par contre, je n'irai pas au combat :m1::m2: pour défendre mon idées !!!!:tilt:

 

Voir plus haut, pour des teste de validation possible (j'ai bien dit possible et non confirmation !!!:contrat: ) !

 

:canapowa: Gilles

Posté
Dans le cas de l' explication "expansion", pour un observateur donné le redshift est fixé par l' espace traversé, tout au long de la géodésique qui relie l' émetteur à l' observateur.

Salut,

 

Plus exactement, le redshift cosmologique est causé par une différence dans le facteur d'expansion entre l'émission et la réception des ondes électromagnétiques :

 

z=a(Tr)/a(Te)-1

 

où z est le redshift, a(Tr) le facteur d'expansion à la réception et a(Te) le facteur d'expansion à l'émission.

 

Évidemment, étant donné que la vitesse de la lumière a une valeur finie, plus l'émetteur et le récepteur sont initialement éloignés l'un de l'autre, plus le temps requis à la lumière pour se rendre de l'émetteur au récepteur sera grand et donc plus a(Tr)/a(Te) sera grand, du moins pour un univers en expansion.

Invité akira
Posté
Pas nécéssairement, si le décalage cache bien une sorte de différentiel des topologie métriciel comparées ! Les composantes Hot, seraient alors racourcis (le décalage qui leurs sont associé), ce qui aurait pour effets d'augmenter leur distance de leur étoiles et d'allonger leur période de révotion autoure ! Ce qui les renderait plus proche en comparaison avec notre propre système solaire.

 

Franchement c est totalement incomprehensible. Il faudrait vraiment essayer de parler avec le meme langage. Si tu n est pas francophone on peut essayer en anglais mais la je lache l affaire.

 

différentiel des topologie métriciel comparées ... ?

la revotion ?

L'expension de l'espace de forme accélérer (originaire de l'inflation) ?

 

C est completement incomprehensible ...

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Il faut lire les autres pages pour mieu comprendre ce que je dit !

 

Le sujet étant déjà asser difficile à expliquer de par lui-même, de sa réforme si déférentes verus le redshift expensionniste !

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Voici une petite image pour illustrer la corrélation entre la désymétrie du redshift cosmologique (rayonnement fossile) et la structure de l'univers en forme d'éponge;

 

2massmwrf5.jpg

Carte dans les coordonnées galactiques de la Voie Lactée (au centre, et selon l'horizontale) entourée des structures du ciel visibles en infra-rouge proche (amas et superamas). Les couleurs représentent les différentes distances, repérées par leur redshift: bleu pour les sources proches (z < 0.01), vert à distance modérée (0.01 < z < 0.04), rouge les plus lointaines (0.04 < z <0.1). La Voie Lactée est représentée par ses étoiles (500 millions d'étoiles dans le catalogue), et les galaxies extérieures comportent 1.5 millions d'objets (d'après Jarrett, 2004). (consortium américain 2MASS)

 

Source : http://aramis.obspm.fr/~combes/Astro04/LSS.html

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Bien sur si le redshift relié à l'expension ne décrit pas les distances, mais bien comme étant une relation entre les masses des galaxie, et bien cette forme d'éponge va également chager, et ajuster ! Mais en gros cela devrait aussi ressembler a une éponge mais moins grande !

 

Et le rayonnement cosmologique serait relié également a ce phénomène comme étant une sorte d'échos de fond ! (sans être associé au BB vers les 300 000 ans de la création de l'univers). A travers mon modèle, il ni a plus d'origine, et l'univers deviens éternel sans début ni fin ! L,espace deviens relationnel et le temps un instant éternel. Pas de BB, pas d'inflation, pas de constante cosmologique et etc....

 

L'univers deviens quasi-stationnaire (au dynamique locales)

 

Gilles

Invité akira
Posté
Salut

 

Voici une petite image pour illustrer la corrélation entre la désymétrie du redshift cosmologique (rayonnement fossile) et la structure de l'univers en forme d'éponge;

 

2massmwrf5.jpg

 

 

Gilles

 

Encore une fois je n ai rien compris ... Quel est le rapport entre le fond diffus et ce que tu appelles le redshift cosmologique ... C est quoi le redshift cosmologique ?

 

Sinon ca va qd meme etre dur. Il y a pas mal de proprietes des galaxies qui sont tres correlees avec le redshift comme indicateur de distance. Par exemple la proportions de galaxies elliptiques et irregulieres (qui varie avec le redshift), la metallicite des galaxies (qui diminue avec le redshift), etc ... Toutes ces proprietes sont tres difficilement explicables autrement que par l age des objets ...

 

Tu eux preciser ce que tu entends par echo de fond ? Comment est produit le fond diffus dans ton modele ?

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Reprenon depuis le début et posé moi une question à la fois, je vais éseiller d'y répondre et d'expliquer de manière plus claire !

 

Gilles

Posté
Reprenon depuis le début et posé moi une question à la fois, je vais éseiller d'y répondre et d'expliquer de manière plus claire !

Salut Gilles,

 

Je n'ai pas lu tout le fil, alors une première question:

 

Est-ce que ton but est de nous convaincre que le modèle cosmologique actuel n'est pas bon et que tu en as un meilleur à nous proposer ?

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Tu eux preciser ce que tu entends par echo de fond ? Comment est produit le fond diffus dans ton modele ?
Bon, en premier je vais spécifier que les redshift associé à l'expension et le rayonement fossile de 2,7 k, est la même chose découlant l'une de l'autre dans mon modèle !

 

La confusion viens peut-être de la, j'oublit de faire la distinction entre mon modèle et le modèle du BB !

 

L'échos de fond, qui correspond ici au rayonnement fossile de 2,7 k. Il serait originaire de l'interaction entre les métriques différenciel entre les galaxies et le vide spatial.

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut Sceptique

 

Je n'ai pas lu tout le fil, alors une première question:

 

Est-ce que ton but est de nous convaincre que le modèle cosmologique actuel n'est pas bon et que tu en as un meilleur à nous proposer ?

Pas de vous convincre, mais de démontrer que le modèle actuelle n'est pas bon. Mon modèle est juste une idées, pour montrer qu'il a trop de chose qui sont encore mal interprété, dont entre autre l'influence des champs gravitationnel sur les états d'énergie fondamentale des particules ! Et bien d'autre chose.

 

Mon modèle est juste une théorie qui veut faire prendre conscience de cela, et pour l'instant elle n'est pas trop bien appuyer par les mathématiques. Mais cela pourrait venir si je puis démontrer que la métrique des galaxie à réellement une influence qui serait dévoilé dans le décalage doppler !

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut akira

 

posté par glevesque

 

Aujourd'uit le monde scientifique explique le décalages cosmologique (rayonnement fossile) de 2,7 k, vers le rouge des galaxies, comme étant le résultat de leurs vitesse de récession, ou de fuite par rapport à nous, et allant en augmentation selon la distance. Le tout découlant du BB originale. Ce qui implique que tout l'univers est en expension qui semble accéléré avec le temps.

Je crois que tu fais allusion a cette portion de texte !

 

Oui, j'admet que j'ai été un peut fort ici !

 

Le Redshift cosmologique est associé aux redshift d'expension sur un fond de rayonnement fossile de 2,7 K. Mais le tout effectué a partir de la constante cosmologique qui découle du décalage doppler vers le rouge !

 

Dans mon modèle le tout deviens redshift cosmologique effectivement, et ceci pour désigné l'aspect différenciel (désymétrie du fond fossile de 2,7 K) des masse (métrique différenciel et topologie local) avec le décalage doppler relié à l'expension (mais qui n'est plus relié à l'expension dans mon modèle, mais au masse visible+caché des galaxies) !

 

Gilles

Posté
Pas de vous convincre, mais de démontrer que le modèle actuelle n'est pas bon.

Le modèle actuel n'est certes pas parfait, comme tous les modèles construits par la pensée humaine jusqu'à aujourd'hui d'ailleurs et comme il en sera très probablement de tous ceux à venir (n'en déplaise à ceux qui se complaisent à parler d'une théorie du Tout, ceux-là sont vraiment branchés sur leur petit nombril plutôt que sur l'univers, mais bon, c'est une autre histoire :rolleyes:).

 

Ceci dit, quels défauts vois-tu dans le modèle actuel et qui justifieraient son abandon ?

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