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Les Secrets de la Matière Noire !


Invité glevesque

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Invité glevesque
Posté

Salut Sceptique

 

Le modèle actuel n'est certes pas parfait, comme tous les modèles construits par la pensée humaine jusqu'à aujourd'hui d'ailleurs et comme il en sera très probablement de tous ceux à venir (n'en déplaise à ceux qui se complaisent à parler d'une théorie du Tout, ceux-là sont vraiment branchés sur leur petit nombril plutôt que sur l'univers, mais bon, c'est une autre histoire :rolleyes:).

 

Ceci dit, quels défauts vois-tu dans le modèle actuel et qui justifieraient son abandon ?

Plusieurs choses, mais dans le cas qui nous intéresse ici, il s'agirait tout simplement de l'interprétation (et non des mesure comme t'elle) qui est relié à l'expension de l'univers et qui est associé au décalage spectral doppler (redshift expension) vers le rouge des galaxies selon leurs distance, pour établir la constante cosmologique ! (l'expension accéléré du tissus d'espace disont, qui entraine les galaxies et les accélére selon leurs distances et d'ou provient le décalage doppler vers le rouge sur laquelle s'appuis la constante cosmologique)

 

Gilles

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Plusieurs choses, mais dans le cas qui nous intéresse ici, il s'agirait tout simplement de l'interprétation (et non des mesure comme t'elle) qui est relié à l'expension de l'univers et qui est associé au décalage spectral doppler (redshift expension) vers le rouge des galaxies selon leurs distance, pour établir la constante cosmologique ! (l'expension accéléré du tissus d'espace disont, qui entraine les galaxies et les accélére selon leurs distances et d'ou provient le décalage doppler vers le rouge sur laquelle s'appuis la constante cosmologique)

Salut Gilles,

 

Je ne suis pas certain de bien comprendre ce que tu proposes. Est-ce que tu proposes que le décalage vers le rouge des galaxies lointaines est un simple décalage Doppler comme celui que l'on rencontre en relativité restreinte par exemple lorsque qu'une source de lumière se déplace par rapport à nous ?

Invité glevesque
Posté

Salut Sceptique

 

Je ne suis pas certain de bien comprendre ce que tu proposes. Est-ce que tu proposes que le décalage vers le rouge des galaxies lointaines est un simple décalage Doppler comme celui que l'on rencontre en relativité restreinte par exemple lorsque qu'une source de lumière se déplace par rapport à nous ?
Non, et c'est là que vient toute la difficulter pour saisire mes propos, et aussi de mes moyen pour l'exprimer mieu. Dans mon modèle (?, OK d'accord disont idée), le redshift correspondant à l'expension, ne découlerait pas d'un mouvement d'un corps par rapport a un autre, mais d'une variation de la métrique dans lequel se retrouve une particule qui émet un photon, par rapport à une autre particule se trouvant dans une autre métrique (autre galaxie) bien différentes (et ici l'analogie entre les métrique suit l'exemple de AOB de la RR plus haut). L'idée que j'apport viens éssentiellement du rapport entre ses deux métrique sur les états d'énergie fondamentale des particules attribué a cette métrique (et disont que l'état fondamental d'énergie (une sorte de quantification en fonction de la métrique de l'énergie) le plus parfait pour une particules fondamental (quarks, photon et autre), serait l'état du vide absolut en métrique). La différence entre les deux métrique sur les états fondamentaux, serait inclue dans le redshift relié aujourd'uit par l'expension de l'Univers. Ce qui dévoilerait en fait les masse réelle qui sont relié au champs gravitationnelle par rapport a celles que nous croyons être aujourd'uit (puise que nous beignon dedant nous la resentirons pas !)

 

Autrement dit, une lumière bleu émit de A, par rapport a nous (O), sera émit en fonction de son niveau d'énergie fondamentale qui correspond a sa métrique local, mais pour émetre un photon bleu, si la métrique est plus élever que la notre, cela veut dire que l'énergie correspondante sera pour le champs locale de A (comparer a nous en O) beaucoup moins grande, mais nous allons intercepter en O le photon bleu émit. Mais nous somme en O, et notre métrique est plus faible quand A (les particules sont moins contracter, voir l'exemple de la RR). Donc pour la particule en O, le bleu sera décaler en fonction de son énergie propre (versus A) vers le rouge, et la particule émetera un photon équivalent pour sa métrique au photon bleu (vitesse, mouvement propre (redshift propre) et redshift gravitationnel), mais la différence entre ses deux métrique différentes (contraction de lorents des particules sur les états d'énergie fondamentaux relié aux métriques) sera cacher dans le décalage doppler correspondant justement au redshift de l'expension expension, qui en fait dévoilerait les correspondance de contraction relié à la différences des masse des deux galaxies (masse observer et masse cacher)

 

PS : Revoir aussi mon histoire des photon qui ne sont pas mesuré car axiale a notre angle de visée, et des photon sur le chemin des interaction, dont l'énergie n'est pas inclu dans nos modèle actuelle (pour un photon observé qui a donc interagit, il peut en exister des millions d'autre qui ne sont pas encore rendut visible par une interaction et qui sont en voyage dans l'espace)

 

J'espère que cette explication va être plus claire !

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut

 

f'/f = (1-GM1/r1c²) / (1-GM2/r2c²)
Peut-on combiner cette formule avec juste le redshift du a l'expension (Red_e_g de ma formule plus haut), par rapport à une galaxie d'origine du signal versus celle qui intercepte le signale (leurs masse en relation croissente avec le redshift associé à l'expension de la galaxie source) ! Car en fait en la multipliant (ou sous une autre forme arytméthique quelconque) on arriverais a extraire le champs gravitationnel (la mérique) équivalente a se que je cherche a exprimer (la partie cacher par les contraction de Lorentz sur les particule qu'elle contient), il me resterait qu'a trouver un exemple complet mais exprimer le plus simplement possible.

 

Je crois que cela serait possible, effectivement !

 

Gilles

Posté

Désolé, mais je ne comprends rien de rien non plus. Je me demande si tu emploies le mot "métrique" dans son sens usuel.

 

Remarque :

le redshift correspondant à l'expension, ne découlerait pas d'un mouvement d'un corps par rapport a un autre, mais d'une variation de la métrique

Ça, c'est le modèle standard du big bang, non ? Ah, zut, la phrase continue :

 

dans lequel se retrouve une particule qui émet un photon, par rapport à une autre particule se trouvant dans une autre métrique (autre galaxie) bien différentes (et ici l'analogie entre les métrique suit l'exemple de AOB de la RR plus haut).

Quelle particule ????????????????????????????????? Prenons un exemple : un quasar lointain de z=3 (disons). Tu pourrais préciser de quelle particule tu parles dans cet exemple ? Les photons du quasar sont émis principalement par les étoiles de sa galaxie-hôte, donc à partir de réactions nucléaires. Tu as l'air de parler de particules qui émettent des photons. Les quatre atomes d'hydrogène qui se sont transformés en un atome d'hélium ? Et l'autre particule, c'est quoi ? Tu dis qu'elle se trouve dans une autre galaxie ? Comment ça ? Dans cette affaire, seul le quasar et l'observateur terrestre comptent, non ? En tout cas, je ne vois vraiment pas l'analogie avec AOB d'avant-hier.

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Disont plutôt un atome d'hydrogène en rotation autoure du bulbe galactique central et faisant partie des nuages de gaz et de poussière !

 

Le cas d'une provenance d'une étoile aurais été encore plus difficile a exprimer justement a cause des énergie relié a la fusions ! Mais disont que les photon incidant vont être émit de la et capté par un atomes d'hydrogène se trouvant plus loins. L'atome absorbe le phton et puis en émet un autre, c'est ce dernier qui va franchire les limite entre les galaxie jusqu'à nous !

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Prener l'exemple des muons relativiste originaire des rayonnements cosmique et qui ont une durée de demi-vie plus longue a cause des facteurs de contractions de lorentz, ce qui nous permet de les mesurer au sol.

 

Maintenent prener le même muons, mais a travers un champs gravitationnelle d'une autre galaxie, dont l'énergie provienderait de la courbure et non de la vitesse relativiste (disont par une désintégration d'un élément se trouvant dans un nuage moléculaire). Le niveau d'énergie fondamentale et interne du muons est changé (la particules est contracté (lorentz) sur elle-même si qui fait varié son état d'énergie fondamentale) dans le cas du rayonnement cosmique, et il en sera de même à travers des métrique différentes.

 

L'exemple est bon et peut illustrer mon exemple !

 

Gilles

Posté

Ben non, du point de vue du muon (ce que je comprends de la locution "niveau d' énergie fondamentale interne", c' est qu' on se place du point de vue du muon) son énergie sera la même qu' on le place au milieu de rien ou à proximité d' un trou noir : en gros, celle de sa masse au repos, quoi.

 

Je ne comprends décidément pas où tu veux en venir.

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Je sais plus vraiment comment vous expliquer cela, j'ai épuiser mes arguments, mais tous que je peux vous dire, c'est que cela ressemble a notre exemple sur la RR, mais au lieu de prendre les vitesses il faut prendre les masse des galaxies ! Nos observateurs s'échange de l'information vidéos, mais leur analyse découle de l'effets doppler (mouvement propre et gravitationnel axées sur la perte d'énergie des photons) qui résulte des vitesses et non de leurs masse et de leurs énergie interne ! Le décalage dut par l'expension dans ce cas résulterait de la masse mais pris sous forme d'un étandut qui englobe ! Cette étandut a une énergie minimale qui contracte les corps qui sont à l'intérieur. Mais cette énergit de soutient n'apparait pas dans l'envois de l'info vidéo parce que tout le système est ajuster, et les particule étant noyer dans cette étandut de base, agissent selon le facteur de contraction.

 

J'abandonne donc ma tentative d'expliquer cela, et un jours peut-être si je trouve des argument et des exemple plus convinquentes je revienderai, mais d'ici là, je laisse tombé ne sachant plus vraiment comment faire pour trouver des exemple qui serait plus explicite !

 

Alors je vous dit merci d'avoir prit le temps de discuter de ceci qui sort bien de l'ordinaire et j'en conviens !

 

Merci et peut-être a une prochaine fois !

 

Gilles

Posté

Pour ma part, je ne te demande pas de nouveaux arguments mais seulement de recommencer en étant plus clair. On était en train d'étudier l'exemple d'atomes d'hydrogène émettant des photons depuis une galaxie lointaine, et voilà que interromps cet exemple pour parler de rayons cosmiques !

Invité glevesque
Posté

Salut 'Bruno

 

Pour ma part' date=' je ne te demande pas de nouveaux arguments mais seulement de recommencer en étant plus clair. On était en train d'étudier l'exemple d'atomes d'hydrogène émettant des photons depuis une galaxie lointaine, et voilà que interromps cet exemple pour parler de rayons cosmiques ![/quote']Ok, poursuivont à partir de cette exemple !

 

Posté par glevesque

 

Disont plutôt un atome d'hydrogène en rotation autoure du bulbe galactique central et faisant partie des nuages de gaz et de poussière !

 

Le cas d'une provenance d'une étoile aurais été encore plus difficile a exprimer justement a cause des énergie relié a la fusions ! Mais disont que les photon incidant vont être émit de la et capté par un atomes d'hydrogène se trouvant plus loins. L'atome absorbe le phton et puis en émet un autre, c'est ce dernier qui va franchire les limite entre les galaxie jusqu'à nous !

Reprenons notre exemple de RR des pages précédente, et disons que nos repert A,O,B représente cette fois-ci des atomes d'hydrogène situé dans trois galaxies différentes. Nos trois atomes d'hydrogène sont très près des régions centrales de chacunes des galaxies et elles sont isolés dans leurs environnement immédiat faisant partie des nuages moléculaire (ou de gaz, peut importes). Nous les analysons comme étant seul de leurs entourage !

 

A,O,B garde les mêmes relation de vitesse, mais qui résulte cette fois-ci de l'influence des champs gravitationnels des galaxies. O, est toujours notre points de repert et il est situé dans notre galaxie, avec un facteur de 1 pour l'intensité de son champs gravitationnel de notre galaxie. A Et B sont situé dans des galaxies beaucoup plus massive que O, A recois une impulsion gravitationnelle équivalente à nos 200 000 km/sec (?) et B se trouve dans une galaxies plus massive que A, soit avec une impulsion gravitationnelle équivalente à 277 000 km/s (un champs de gravité équivalent a cette vitesse) ! PS : il faudrait faire ici les conversions sur les intensité des force gravitationnel correspondant a ses vitesses pour nos repert, alors avis a tous !

 

Pour cette exemple on oublit les facteurs d'expension de l'univers, juste pour un instant.

 

Il y a une équivalence entre l'énergie cinétique et l'énergie fournis par un champs gravitationnelle, et tout comme pour notre exemple sur la RR, plus les vitesse vont approcher de la vitesse de la lumière © et plus nos repert (atome d'hydrogène) A et B auront d'énergie dans une proportion équivalente a leurs facteur de contraction. B sera donc dans un référenciel gravitationnel plus contracté (plus d'énergie) que A, et A sera plus contracter que O.

 

Commencons avec cela, et trouvons leur conversion approprié pour la translation de nos repert de RR dans des repert de RG ? Car ici il ne s'agit plus de vitesse constante mais bien d'accélération gravitationnelle, il faut donc trouver leur équivalence. Et qui dit accélération dit également apport en énergie cinétique !

 

PS : Nos trois référenciels se trouve dans des métrique (ou courbure gravitationnel) différentes

 

PS : On peut peut-être trouver des formule ici :

http://www-cosmosaf.iap.fr/MIT-RG1F.htm

 

 

Gilles

Posté

Pas sûr de bien comprendre, mais bon, si on interprête :

A recois une impulsion gravitationnelle équivalente à nos 200 000 km/sec (?)

comme "la lumière émise par A et observée par O subit un redshift gravitationnel égal au redshift relativiste de l' exemple précédent", on va obtenir une valeur pour le M/r du corps émetteur en A, et une autre pour le corps émetteur en B. Valeurs qui seront très différentes de celles de O.

 

Et alors ? Tu auras remplacé le redshift d' origine cosmologique (expansion) par un redshift gravitationnel. Ton modèle d' univers ne sera plus homogène ni isotrope (puisque l' espace sera plus dense en A qu' en O , et en B qu' en A), donc le modèle du big bang ne s' appliquera pas, puisque celui-ci présuppose que notre environnement local n' a rien de particulier (a suffisament grande échelle).

 

Qu' est-ce qu' on y gagne, puisque l' explication "classique" est plus simple (l' espace est homogène et isotrope, donc une solution locale marche ailleurs. Avec ton modèle, il faut ajuster la densité locale précisément pour coller aux observations). Autant prendre le plus simple, tant que ça marche, non ?

Invité glevesque
Posté

Salut Arthur

 

A recois une impulsion gravitationnelle équivalente à nos 200 000 km/sec (?)
En fais ce que je voulais dire, c'est de trouver la valeur d'un champs gravitationnel dont la puissance serait équivalent a cette valeurs pour un corps gravitant autour ! Comment formuler l'équivalence pour l'énergie cinétique de RR à RG !

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut Arthur

 

comme "la lumière émise par A et observée par O subit un redshift gravitationnel égal au redshift relativiste de l' exemple précédent", on va obtenir une valeur pour le M/r du corps émetteur en A, et une autre pour le corps émetteur en B. Valeurs qui seront très différentes de celles de O.
Pas tout à fait, la différence (redshift expension) va se situer dans l'état de la particule qui va émetre le photon et la particule qui va l'absorbé, le photon sera alors décaler comme tu le dit plus haut, mais seulement après son émission et sa réception (c'est comme il avait une énergie différents dans les état fondamentaux entre les 2 particules sur des métrique différents, c'est la différence des métrique qui va dévoilé le redshit associé a l'expension).

 

Et alors ? Tu auras remplacé le redshift d' origine cosmologique (expansion) par un redshift gravitationnel. Ton modèle d' univers ne sera plus homogène ni isotrope (puisque l' espace sera plus dense en A qu' en O , et en B qu' en A), donc le modèle du big bang ne s' appliquera pas, puisque celui-ci présuppose que notre environnement local n' a rien de particulier (a suffisament grande échelle).
Les distances peuvent-être intermédiaire, mais seulement la matière des galaxies serait plus contracter du centre vers la péréfirie, pas néssérement les distance extragalactique. Mais l'immage de la structure pourrait effectivement être plus contracter !

 

Mais, occupons-nous du post plus haut, avant de ce prononcé plus en avant ! Trouvons le niveau de compaction de chaques atomes d'hydrogènes avant, pour le rendre compatible a notre autre exemple tout en effectuant la conversion de la RR à la RG !

 

Cela va nous permetres de mieu voir le contexte du problème et ses porté sur les particule qui vont émetres les photon, après on va analyser les photon selon les rapport d'énergie, des vitesses et le tout sur un fonds de métrique différenciels des galaxie AOB !

 

Gilles

Posté
Salut Arthur

 

En fais ce que je voulais dire, c'est de trouver la valeur d'un champs gravitationnel dont la puissance serait équivalent a cette valeurs pour un corps gravitant autour ! Comment formuler l'équivalence pour l'énergie cinétique de RR à RG !

 

Gilles

Ta question n' a pas de sens, une énergie ne peut pas se comparer à une vitesse.

Invité glevesque
Posté

Salut Arthur

 

Comment faire pour trouver les mêmes rapports de contraction de lorentz de notre exemple en RR, peut-on pas trouver un champs gravitationnell qui aurait les mêmes proprétés de contraction de lorentz, les même valeur ?

 

Ou disont a quel distance faudrait que je suis d'un trous Noire, pour que mon facteur de contraction sont égale a celui de notre référenciel A, qui va à 200 000 km/s, a quel distance serais-je du trous noir et cela corresponderait a quel force gravitationnel. Quel serait alors la masse du trous noirs ?

 

Merci!

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Je crois qu'il est temps de clore cette discussion !

 

Car en fait ici il s'agit de deux vision de la relativité très semblable, mais aussi bien différentes concernant la cause et la nature des contractions !

 

Il s'agit de la relativité de Lorentz, dont l'exemple du muons était bien explicite à ce sujet, et la relativité d'einstein avec sa vision du continum d'espace-temps prit comme un éther pour expliquer l'expension de l'Univers !

 

Il y a aussi l'effet Creil et la théorie de la temporalisation de la lumière ou de la fatigue de celle-ci (voir les liens dans la discussion "Le Big Bang En requestionnement")

 

Et ceci sans parler de tout ce qui nous reste a découvrir encore, découverte qui ne manquera pas sens doute de changer nos paradigmes actuelle. Vous savez que notre civilisation est encore jeune, alors attendons encore un peut avant de conclure sans preuve formelle sur la réalité objective du BB !

 

Concernant la thèse que j'ai défandut ici, et bien je sais plus vraiment si je doit continuer à la travailler, car ayant bien remarquer mes limites a travers cette discussion ! Mais je continut a croire que le redshift pour expliquer l'expension peut trouver d'autre forme d'explication que celui des vitesses en accélération de la trame de fond devenut éther de fond de l'Univers !

 

D'ailleur a ce propos la "gravité à boucle" est de cette avis également qu'il faut se débarasser des objets temps et espace comme objets de la nature, mais les garder juste comme objets mathématique qui encadre l'étude sur le comportement des choses de la nature !

 

Je remercis grandement tout ceux qui ont participé a cette discussion et plus particulièrement 'Bruno, ArthurDent, akira, Septique et Universus ! Je vous remercis de votre patience, de votre aide également ! Vous m'avez bien démontrer que mon sujet n'était pas asser développer pour l'expliquer de manière plus claire. Alors il me reste soit a l'abandonner ou a le retravailler plus sérieusement !

 

On verras, mais pour l'instant je n'est plus la motivation d'aller plus loins avec ce modèles !

 

Gilles

Posté
Salut

 

[...]et la relativité d'einstein avec sa vision du continum d'espace-temps prit comme un éther pour expliquer l'expension de l'Univers !

 

 

Qu' est-ce que c' est que cette histoire d' éther ??? il n' y a pas d' éther en relativité générale. On dirait que tu continues, malgré le post de Bruno, à considérer que dans théorie du Big Bang les galaxies sont en mouvement relatif, et que le redshift est un effet Doppler.

La R.G est une théorie "locale", il n' y a pas plus d' éther dedans que de temps ou d' espace absolu ... Je pense que tu devrais approfondir encore un peu, vu que le sujet t' intéresse.

Invité akira
Posté

C est qd meme etrange. La RG a ete un peu developpee pour montrer qu il n y avait pas d ether et gilles nous parles d ether dans les modeles cosmologiques bases sur la RG.

Posté
C est qd meme etrange. La RG a ete un peu developpee pour montrer qu il n y avait pas d ether et gilles nous parles d ether dans les modeles cosmologiques bases sur la RG.

Salut,

 

C'est plutôt la RR qui a éliminé le concept d'éther (milieu matériel pour la propagation des ondes électromagnétiques). La RG a pour sa part éliminé le concept d'espace absolu et l'a remplacé par un continuum spatio-temporel défini relativement à la matière et muni d'une métrique représentant le champ gravitationnel. Mais ce continuum est tout aussi inobservable que l'espace absolu de Newton.

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Avec le GPS, on peut voir mieu ce qui est en cause dans la relativité restreinte et par extension avec à la relativité général. La vitesse du satellite du GPS est différente de celle de la terre, il faut donc corriger ce rapport des vitesse pour orienter comme il se doit la coupole de transmission des signaux du GPS. Mais le signale ne se rend pas encore a la destination.

 

Et ceci est dut au fait que la vitesse de la lumière est fini et non instentaner, elle transmèts donc l'information a vitesse limite devenut constante. Mais durant le parcoure de l'onde émit du GPS vers la terre, et bien pendant se très court lapse de temps que met la lumière a franchir la distance jusqu'à la lanterne réceptrice situé sur terre (quelque miliseconde). Et bien la terre c'est déplacer sur son orbite en plus d'avoir effectuer un déplacement minime de rotation sur elle-même. Le coéficient V/C du facteur de proportionnalité de lorentz du formalisme relativiste corrige justement ces petite forme de décalage entre les mouvement propre du satellites GPS en orbite sur une certaine altitude et le mouvement propre de la terre sur son orbite et sur elle-même !

 

Ce n'est pas une contraction des distances ou du temps ici, mais bien de l'utilisation d'un facteur mathématique relativiste, afin de corrélé des reperts entre eux en fonction de la limite de C ! Au vitesse relativiste, et bien le temps et l'espace reste égale à eux-même, étant que l'aspect descriptif de la chose pour un référenciel donné, par contre les corps eux subissent les affres de l'augmentation d'énergie, il se contracte et vibre de manière différentes (facteur de contraction de Lorentz) ! de là les contraction réelle de Lorents porté sur les objets, et non celle d'einstein sur tout l'univers, comme démontrer avec le GPS. Car en fait la perception viens du référentiel et non de l'univers qui l'entoure ! Un contraction des objets suit également les même rapport relié au notion de contraction des distances et de dilation du temps par rapport a l'univers (vue que les deux notion (Lorentz/Einstein) son des notions miroire entre elles, soit l'objet ou soit par rapport au continum), mais la principale cause viens de l'objets lui-même !

 

La relativité d'einstein est donc qu'une relativité des perspective et donc des apparence en point de vue rendut relative entre eux et les référenciels distant, vut que tout est relatif a la base. Une géométrie peut aussi être paramétrer sous différente forme équivalente. Donc entre autre des densités assymétrique et dissipative a décroissence non uniforme en densité sphérique (différenciel des concentration des boucle par exemple en gravité à boucle).

 

La gravitation n'est donc pas de porté infinit et l'univers ne suis pas les modèlisation explosive, mais devient sans trame de fond d'espace-temps et donc pas d'accélération ni d'expension !

 

Il faut juste trouvé la cause réelle véritable des grands décalages doppler et spectrale des galaxies selon leurs distances, et c'est tout !

 

Et oui, un univers quasi-stationnaire au dynamique locale, ou espace deviens étandut relationnelle sans susbstance et le temps que la représentation de l'éternelle écoulement du moment présent. La dynamique de l'évolution des chose ne venant que de leurs propre relation interactionnelle, et c'est fini, plus de mystère et de dieu anéantit par le BB. Et oui et pourquoi pas !

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut

 

PS : J'ai apporté quelques correctif au post ci-haut !

 

Alors, ma théroie n'était pas si b^te que ça, même si dans la réalité elle se dévoile non approprié !

 

Bon, passon !!!!:rolleyes:

 

Gilles

Posté

Tu veux un commentaire du message n°141 ? Je te préviens, je ne vais pas être sympathique aujourd'hui. Il faut dire que ça dure, ça dure, et tu continues à tout faire pour qu'on ne comprenne rien. Alors la première chose qui me vient à l'esprit, c'est "c'est surprises sur prises" ? Tu es Jean-Yves Lafesse, qui fait maintenant des canulars par Internet ?

 

Dans ce message, tu commences par rappeler pourquoi le système GPS doit tenir compte de la Relativité. Ensuite, tu conclus par cette phrase :

 

La relativité d'einstein est donc qu'une relativité des perspective

 

Le "donc" n'est pas expliqué, et la conclusion me semble vague (je comprends à peu près la relativité des distances, la relativité du temps, la relativité des vitesses, mais pas la relativité des perspectives).

 

Vient cette très belle phrase :

 

Une géométrie peut aussi être paramétrer sous différente forme équivalente. Donc entre autre des densités assymétrique et dissipative a décroissence non uniforme en densité sphérique (différenciel des concentration des boucle par exemple en gravité à boucle).

 

Le premier qui a trouvé de quoi tu parles a gagné ! Relis-toi, bon sang ! Bon, je vais quand même jouer :

 

- "Densité" : tu parles de densité de matière, je suppose.

- "Densité asymétrique" : tu veux dire que la matière n'est pas répartie de façon homogène ? Donc tu es en train de parler d'une portion de l'Univers, par exemple d'un amas de galaxies, c'est ça. Alors commence d'abord et avant tout par énoncer les hypothèses : si on se place dans un amas de galaxies, si (etc.)

- "Densité asymétrique et dissipative" : fini. Le mot "dissipatif" est redoutable, car il m'ôte tout espoir de comprendre de quoi tu parles. Une densité dissipative... Gilles, je crois qu'encore une fois tu emploies des mots qui ont un sens précis, dans un autre sens que celui prévu. En lisant la suite, j'ai l'impression que tu veux dire "densité décroissante".

- "À décroissance non uniforme" : tu veux dire "à décroissance non constante", c'est bien ça ?

- "En densité sphérique" : à ce moment là de la phrase, j'avais le choix entre éclater de rire ou devenir fou. Je suis devenu fou - enfin presque. Une densité sphérique ! Une densité est un nombre !!!!, c'est quoi un nombre sphérique ???? Et pourquoi pas une masse en étoile, ou un temps en spirale, ou une énergie en triangle, tant que tu y es ? Tu veux dire que la matière est distribuée selon une symétrie sphérique ? La matière de quoi ? Oui, au fait, de quoi tu parles dans cette phrase ? Quelque part, dans l'espace, il y a de la matière (amas de galaxies peut-être) distribuée selon une symétrie sphérique (ah, peut-être une galaxie avec son noyau ?) et cette densité décroît de façon non constante.

- "différenciel des concentration des boucle par exemple en gravité à boucle" : là je suis devenu fou, définitivement. Méfie-toi avant d'écrire ça, ceux que ça fait rire pourraient en mourir. Les boucles, c'est quoi ? Encore une fois, tu as oublié de poser les hypothèses, d'introduire de quoi tu parles. La concentration, c'est quoi ? Une densité ? Admettons. Le différentiel de densité, je vois à peu près. C'est ce qui joue dans les forces de marée, il me semble (en gros), non ? C'est quoi la gravité à boucle ? Tu pourrais rappeler ? C'est une de ces théories chargées d'unifier la gravitation et la mécanique quantique, non ? Mais que vient-elle faire dans un texte qui était sensé parler de relativité générale ?

 

Après ce grand moment de poésie vient une nouvelle conclusion :

 

La gravitation n'est donc pas de porté infinit

 

À nouveau, le "donc" n'est pas expliquée (la phrase précédente était sensée le faire ?) Bon, admettons que la gravitation n'est pas de portée infinie...

 

et l'univers ne suis pas les modèlisation explosive, mais devient sans trame de fond d'espace-temps et donc pas d'accélération ni d'expension !

Tu vas un peu vite ! Si la gravitation n'est pas de portée infinie, il faut ré-écrire une théorie de la gravitation. Mais ça n'empêche pas l'existence de l'espace-temps puisqu'il vient de la Relativité restreinte qui, elle, n'est pas invalidée. Et puis il faudra garder le principe d'équivalence (confirmé par l'expérience). Attendons d'avoir ré-écrit la nouvelle théorie de la gravitation avant de savoir ce qu'elle impliquera pour la cosmologie.

 

Il faut juste trouvé la cause réelle véritable des grands décalages doppler et spectrale des galaxies selon leurs distances, et c'est tout !

Oui, si l'expansion s'avérait fausse, il resterait en effet à expliquer les décalages spectraux des galaxies (pas forcément par effet Doppler d'ailleurs.)

 

Et oui, un univers quasi-stationnaire au dynamique locale, ou espace deviens étandut relationnelle sans susbstance et le temps que la représentation de l'éternelle écoulement du moment présent.

Cette phrase n'est pas grammaticalement correcte. De toute façon, je doute qu'elle veuille dire quelque chose. Je ne vais pas rejouer à "devinez ce que je veux dire" comme tout à l'heure, et puis je la trouve moins belle sur le plan poétique.

 

Conseils :

 

Visiblement, ton message avait pour but d'expliquer que la gravitation n'est pas de portée infinie, puis d'en déduire que la théorie du big bang n'est pas valide.

 

1) Je te conseille fortement d'introduire ton raisonnement, de dire où tu veux en venir. Exemple : « On dit que la gravitation a une portée infinie. Il me semble qu'il n'en est rien, et je vais vous expliquer pourquoi. » Si tu veux maintenir le suspense : « On dit que la gravitation a une portée infinie. Est-ce si sûr ? Voyons ça de plus près... »

 

2) Ensuite, quand tu te lances dans un raisonnement, commence par poser les hypothèses et la situation. Exemple : « Plaçons-nous dans une galaxie quelconque de l'Univers, et faisons l'approximation suivante : sa matière est distribuée selon une symétrie sphérique. »

 

3) Relis-toi pour ne pas tout mélanger. Par exemple, une "densité sphérique" ce n'est pas possible, c'est seulement parce que tu es distrait que tu ne l'as pas vu. Une densité est un nombre, il peut être grand, petit, décroissant, non constant, etc. Ce qui est sphérique, c'est un objet géométrique : une galaxie par exemple.

 

4) Quand tu emploies des concepts pointus et un peu hors-sujet, comme la gravité à boucles, je te conseille de faire un petit rappel juste avant le raisonnement. Du genre : « Avant de commencer, je signale que je vais utiliser la théorie de la gravité à boucles - voir ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gravitation_quantique_%C3%A0_boucles ».

 

{Comme je le soupçonnais, c'est une théorie qui n'a rien à voir avec le sujet et je me demande bien pourquoi tu l'as utilisée dans ton raisonnement, mais bon, on n'est plus à ça près...}

 

5) Il est interdit d'employer des mots qui ont un sens précis dans un sens autre que celui qui est prévu. Ou alors, si vraiment tu ne sais pas faire autrement, commence par donner une définition. Exemple : « Dans ce texte, je vais utiliser le mot 'dissipatif' dans le sens suivant : dissipatif = décroissant. »

 

Avant de suivre ces conseils pour tes prochains messages, je t'encourage vivement à les suivre pour mettre de l'ordre dans tes idées.

Posté

La densité sphérique, ça me rappelle une anecdote :

 

Zwicky (l' astronome) avait pour coutume de qualifier certains de ses collègues d' idiots sphériques (parce que selon lui ils étaient idiots quelque soit le point de vue sous lequel on les évaluait).

Il était vraiment pas sympa Zwicky :mad:

 

A+

--

Pascal.

Invité akira
Posté
La densité sphérique, ça me rappelle une anecdote :

 

Zwicky (l' astronome) avait pour coutume de qualifier certains de ses collègues d' idiots sphériques (parce que selon lui ils étaient idiots quelque soit le point de vue sous lequel on les évaluait).

Il était vraiment pas sympa Zwicky :mad:

 

A+

--

Pascal.

 

Ouais mais il avait trop une bonne tete ... lol

 

zwicky.jpeg

Invité glevesque
Posté

Salut 'Bruno

 

"En densité sphérique" : à ce moment là de la phrase, j'avais le choix entre éclater de rire ou devenir fou. Je suis devenu fou - enfin presque. Une densité sphérique ! Une densité est un nombre !!!!, c'est quoi un nombre sphérique ???? Et pourquoi pas une masse en étoile, ou un temps en spirale, ou une énergie en triangle, tant que tu y es ? Tu veux dire que la matière est distribuée selon une symétrie sphérique ? La matière de quoi ? Oui, au fait, de quoi tu parles dans cette phrase ? Quelque part, dans l'espace, il y a de la matière (amas de galaxies peut-être) distribuée selon une symétrie sphérique (ah, peut-être une galaxie avec son noyau ?) et cette densité décroît de façon non constante.

- "différenciel des concentration des boucle par exemple en gravité à boucle" : là je suis devenu fou, définitivement. Méfie-toi avant d'écrire ça, ceux que ça fait rire pourraient en mourir. Les boucles, c'est quoi ? Encore une fois, tu as oublié de poser les hypothèses,

:cheesy::burp:

 

Merci de ce petit moment !!!

 

Mais tout de même, le sujet est introduit sur plus de 6 page là, quoi !!!!

 

Mais j"admet que je suis difficile a suivre parfois et quand je réagit trop émotivement !

 

Pour le sphérique, effectivement j'était ailleur de tout probabilité !spacecraft! et merci de l'avoir clarifier !

 

Je voulait surtout illustrer une diminussion cocentrique sur certains indice de valeurs relié a des intervale non uniforme, allant du plus dense au moins dense en fonction des distances !

 

Gilles

Invité glevesque
Posté
TOC! TOC! TOC!...

 

Y a quelqu'un ?...

 

Y a personne ?...

 

Non..., vraiment personne.

 

Pas grave, déponsons le paquet sur la table et retirons - nous. Quelqu'un aura peut-être l'idée de l'ouvrir pour y trouver matière noire à réflexion ? Sait-on jamais ?

 

http://www2.cnrs.fr/presse/communique/1095.htm

Merci !

 

Ces résultats ne dévoilent pas directement la nature de ce mystérieux constituant. Toutefois, parmi les candidats, le plus naturel serait de l'hydrogène moléculaire très froid, très difficilement détectable contrairement au gaz interstellaire classique. Ce sont ainsi plusieurs dizaines de pourcents de la masse des disques des galaxies spirales qui se déroberaient aux observations, en plus de la masse déjà cachée dans les halos.
Ici plus de gaz et plus de vitesse, fait aussi en sorte de donné un décalage plus grand et ceci en plus des masse des galaxies plus grande a partire de ces nuages d'hydrogène très dure a détecté !

 

Bon, même si 'Akira' a invalider mon hypothèse des masse (saut de topologie métrique) par le fait que les galaxies les plus décaler spectralement sont toujours les moins lumineuses 'ce qui invalide totalement mon hypothèse de base', et bien ici d'autre inconnu semble vouloir surgire pour expliquer bien des chose qui sort du modèle standard (?) Comme pour ici avec l'effet Creil

 

Merci pour l'info !

 

Gilles

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