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Invité akira
Posté

non. L inflation n est pas due a la constante cosmologique. Cette derniere n intervient que tardivement dans l histoire de l univers alors que l inflation intervient au debut. Un Univers qu iaurait subit une inflation serait parfaitement possible avec une constante cosmo nulle et inversement.

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Les pipelettes du sujet

Les pipelettes du sujet

Invité glevesque
Posté

Salut Arthur

 

???? cette phrase n' a toujours aucun sens pour moi. (tu la ressors sous cette forme ou sous une variante assez souvent, mais le moins que je puisse dire c' est que je n' y comprends rien).
Tu doit admêtre tout de même que les choses s'expand entre elles ! Alors qu'est-ce que cette chose d'après le modèle et d'après toi ! Ici on confond les choses de ce qui les sépart !

 

Gilles

Invité akira
Posté
Ah ? merci pour cette précision. ça ne va pas simplifier la compréhension des choses pour les béotiens comme nous ça.

Il me semblait que les modèles actuels collaient assez bien avec une valeur constante de lambda (ce qui est plutôt surprenant pour un truc qui est une densité d' énergie d' ailleurs, intuitivement on pourrait s' attendre à ce que ça se dilue, mais bon, y' a pas de raison que l' intuition marche dans ce domaine)

 

ouais ca colle assez avec les observations actuelles qu elle soit constante. En fait, tout comme les differentes composante du tenseur energie impulsion de l univers, son evolution depend de son equation d etat (relation entre la pression et la densite). Une equation d etat particuliere (P=w rho) avec w = -1 donne une densite d energie constante (ce qui est effectivement peu intuitif). Mais on parametrise en general w par w = w0 + a * wa. Cela donne une constante cosmo variable avec le facteur d echelle a donc avec le temps. Mais les observations actuelles ne contraignent pas encore assez cette evolution du parametre w. Mais ca viendra.

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Si la constante de hubble change avec le temps, et bien par magie la constante cosmologique va également la suivre et s'ajuster automatiquement
Ici je faisais références a nos future découverte pouvant ramanié le tout sur le paradigme actuellement accepter sans fondement réelle !
Invité akira
Posté

Je reve. Le modele du BB explique entre autres :\

- l expension de l univers (SN1a)

- l abondance des amas de galaxies

- le pic d oscillation baryonique

- le fond diffus cosmologique

- la formation des grandes structure

- le phenomene de lentille faibles cosmologique (cosmic shear)

- les decalage temporel des quasars multiples

- l abondance des elements legers

etc, etc

 

.. alors sans fondement reel ...

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Ce n'est pas de cela dont nous discuton ici, mais de la nature de chose qui a partir de l'inflation donne substance a ce qui se trouve entre les choses de matière et d'énergie et dont découle Laccélération de l'expension, et non comme il devrait-être apriori, sur les choses de matière et d'énergie comme t'elle et par rapport a leurs relation, dont découle les notion d'étendu et de durée. Ce n'est qu'une question d'interprétation, oui certe, mais cette dernière soit appuis (interprétation mathématique) le modèle, ou soit le démolit (interprétation subtensialiste)

 

Car entre les deux il existe la science qui cherche à objectiver l'inter subjectivité de tout et chacun, et cette inter-subjectivité découle non pas des math, mais bien des orientations de nos interprétation !

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Pour une question de clareté pour les forumeurs qui nous lisent !

 

Qu'est ce qui distingue selons-vous la constante cosmologique de la constante de hubble ?

Invité akira
Posté

y a rien etre les choses de matiere. Quand tu prends une regle et que tu mesures la distance entre deux objets, il peut ne rien y avoir entre les deux et ca ne t empeche pas d en mesurer la distance ...

 

Tu dis sans fondement reel, je te reponds qu il y a profusion de fondements observationnels. Si tu as un autre modele, libre a toi mais il doit alors rendre compte de ces observations.

Invité akira
Posté

Qu est ce qui distingue deux objets qui n ont rien a voir ? Ben tout. L un est un taux d expension (des metres par seconde par metre) et l autre est une densite d energie (une energie par metre cube). Je vois pas plus different.

Invité glevesque
Posté

Salut

Je reve. Le modele du BB explique entre autres :\

- l expension de l univers (SN1a)

Qui découle éssentiellement de l'interprétation du décalage élever de certaines des galaxies, la situation ou une autre interprétation peut venir la remplacer !

 

- l abondance des amas de galaxies
Plusieur autre modèles ont également cette explication.

 

- le pic d oscillation baryonique
Et pourquoi déjà ?
- le fond diffus cosmologique
Le rayonnement d'un corps noir aussi, peut expliquer cela prix sous une certaine valeurs !

 

Mais que dire de l'inflation !!!!!!!!!!!!!!!

 

Et etc........

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut

 

y a rien etre les choses de matiere. Quand tu prends une regle et que tu mesures la distance entre deux objets, il peut ne rien y avoir entre les deux et ca ne t empeche pas d en mesurer la distance ...
Et de cela, j'en suis vivement convincut d'ailleur ! Et c'est la position que je défand ici contre l'inflationniste ! Mais cela contredit l'inflation, car cela impliquerait que l'origine de la matière et de l'énergie remonte au BB, et non de l'espace et du temps, qui ne sont que des objets descriptif des phénomènes relié à l'énergie et de leurs échange et évolution dynamique. Cela veux également dire que c'est l'énergie et non le continum qui a émerger du pseudo Néant d'avant planck.

 

Tu dis sans fondement reel, je te reponds qu il y a profusion de fondements observationnels. Si tu as un autre modele, libre a toi mais il doit alors rendre compte de ces observations.
Dac, mais j'ai le droit de m'exprimer sur le BB qui est le sujet de cette discussion, et surtout sur ces contradictions !

 

PS : Il existent des étoiles a haute teneur en fer dans les galaxies que nous croyons parmit les plus vieilles car étant parmient les plus forte en décalage spectrale vers le rouges ! Alors tout n'est définitivement pas conforme au modèle et a l'origine des différentes générations d'étoiles, il y a même contradiction !

 

Gilles

Invité akira
Posté

Dac, mais j'ai le droit de m'exprimer sur le BB qui est le sujet de cette discussion, et surtout sur ces contradictions !

 

Gilles

 

Certes mais dire qu il n a pas de fondements reel est completement faux.

 

J ai pas dit que le modele du BB etait parfait. Juste que c etait le meilleur dont nous disposons actuellement.

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Je repose ma question !

Salut

 

Pour une question de clareté pour les forumeurs qui nous lisent !

 

Qu'est ce qui distingue selons-vous la constante cosmologique de la constante de hubble ?

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut

J ai pas dit que le modele du BB etait parfait. Juste que c etait le meilleur dont nous disposons actuellement.
Je suis entièrement d'accord là-dessus, c'est pour cela que j'ai mentionner qu'il faut départager les différentes d'interprétation sur les objets d'espace et de temps, car pour leurs modèlisation théorique tout va, mais dès qu'on éssai de les transposé dans la réalité (et ceci a cause de l'apport en substancialité de l'inflation) et bien cela ne traduit plus du tout la réalité objective, car faisant intervenir l'espace et le temps à la place de l'énergie et de la matière comme cause première a tout phénomène de la nature !

 

On décale ainsi les objets de la réalité pour faire fonctionner le modèle au dépand de la nature !

 

Et c'est tout ! Il faut bien encadrer la modèlisation versus les différentes interprétations subjectives qui peuvent en résulter suite à l'immagination sur les notions de dimensionnalité du continums. Qui déplace la réalité objective des objets étudier et mis en relation par la science et ceci par rapport a un speudo contenut qui découle de la lectur par association du continum comme objet réelle, ce qui n'est pas et ce que la science ne dit pas également !

 

Alors replacons tout simplement les valeurs de subjectivité et d'objectivité a leur réelle place et comme ça il sera possible de discuté du modèle de manière juste et équitable pour tous, et surtout pour l'entendement associative de tous et chacun. il faut évacuer du modèle les oui-dire et les sous-attendut que la science ne dicte pas, car découlant d'appréciation déductive sur les représentation interprétative qu'il faut mieu encadrer avant d'aborder le sujet !

Car Big Bang est l'équivalent pour la science de l'origines des dieux a travers le non existant et le non soi !

 

Et la science n'est pas un objet de croyance et encore moins un objets de foi !

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Que penses tu de ma reponse ?
ou, car j'ai peut-être sauté des bout de notre discussion dans les recherches pour trouver des liens !

 

Merci

 

Gilles

Invité akira
Posté

Desole je comprends toujours rien a tes histoires de substancialite.

 

 

C est quoi :

la dimensionnalité du continum

Invité glevesque
Posté

Salut

 

D'après l'inflation, c'est ce qui se trouve entre les objets qui s'expand, et non une cause qui aurait faites s'expande la matière par une source d'énergie immence en les repoussant par l'acquisition d'énergie cinétique équivalente ! D'ou l'incohérence du BB versus l'inflation et le tout découlant de l'association avec le décalage doppler fort des galaxies de plus en plus éloigner !

 

Elle est là la différences !

Posté
Qui découle éssentiellement de l'interprétation du décalage élever de certaines des galaxies, la situation ou une autre interprétation peut venir la remplacer !

Faux. La distance des SNIa lointaines n'a pas été calculée à partir du décalage spectral, justement ! Je rappelle :

- D'abord, on calibre la relation période-luminosité des céphéides. Les mesures d'Hipparcos, mais aussi des céphéides du LMC, sont utilisées pour la calibration. Je rappelle que la relation période-luminosité des céphéides s'explique par la théorie.

- Ensuite, le Télescope Spatial cherche des céphéides dans les galaxies pas trop lointaines. Grâce à la relation période-luminosité, on en déduit une estimation relativement précise de la distance de la galaxie. En fait, on ne choisit pas n'importe quelles galaxies : uniquement celles qui ont été le siège de l'explosion d'une supernova de type Ia.

- Ces supernovae sont dues à l'explosion de l'atmosphère d'une étoile qui été capturée par une compagne compacte. Il se forme un disque d'accrétion, ou quelque chose dans le genre, je ne sais plus. Quand on dépasse un certain seuil de température, ça pête ! Et ce seuil est calculable, c'est le même pour toutes les étoiles. Par conséquent, la supernova de ce type a obligatoirement toujours la même magnitude absolue. C'est prévu par la théorie et ça a été confirmé. Eh bien les observations du Télescope Spatial ont permis de déterminer précisément cette magnitude absolue, grâce à la connaissance précise des galaxies hôtes.

- Il suffit alors d'observer des supernovae de type Ia dans des galaxies très lointaines (possible car elles ont une luminosité intrinsèque énorme, comparable à une galaxie moyenne) pour connaître la distance de ces galaxies très lointaines.

 

Note bien : on trouve cette distance sans se servir du décalage spectral.

 

Ensuite, on mesure le décalage spectral de ces galaxies très lointaines. Eh bien on a fait cette manipe pour des dizaines de galaxies, et à chaque fois la relation de Hubble était confirmée.

 

Aujourd'hui, on sait que les galaxies sont bien aux distances prédites par la relation de Hubble.

 

Voilà de quoi parlait Akira (il me semble). Je trouve dommage que tu contestes vivement des choses que, visiblement, tu n'a pas approfondi. Il est vrai qu'il reste beaucoup de points obscurs dans la théorie du big bang (je comprends que tu aies du mal à avaler l'inflation, moi même...), mais c'est parce qu'elle n'est pas encore achevée. Mais bon, ça permet une discussion intéressante, et les écrits d'Akira ou Arthur sont toujours enrichissants ! :)

Posté

Mhh, il semble que le topic ait été kidnappé par la complexité.

 

Tout d'abord pour 'Bruno : Bravo, chapeau bas et congratulations pour ton exposé que j'ai trouvé clair, agréable à lire et résumant bien le gros du problème ^^

 

Je pense, comme ça avait été dit plus haut (mais noyé), qu'il faudrait scinder le topic.

Laissons l'exposé, qui est clair pour les néophytes, d'un côté, et laissons les débats astrophysiques complexes d'autre part. Enfin, épinglons le joli travail de Bruno :) !

 

PS : et merci Bruno d'avoir écrit "ambigüité" dans l'exposé, la Nouvelle Orthographe vaincra :p !

Posté

Oui, merci pour ce topo qui a clarifié les choses pour moi. Les figures sont limpides et contribuent beaucoup à la clarté de l'ensemble !

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Je crois qu'il est temps de faire un bilan et de mêtre une fois pour toute les choses au claire !

 

Parlons des vrai choses, et non axée et dévié sur une question de shémantique qui ne veut rien dire, car chacun l'associant à ses approches et vision différentes selon leurs point de vue respectif !

 

D'abord quelque définition :

 

 

Constante cosmologique

Elle décrirait une force
,
encore hypothétique
, qui
accélererait l'expansion de l'univers
, appelée
.
Elle définit la densité moyenne
sur des échelles cosmologiques
, mise en évidence par l'observation de l'accélération de l'expansion de l'univers. Cette densité d'énergie calculée à partir de ces observations (de l'ordre de 10 exp − 29g.cm exp − 3) est associée a
, ainsi qu'à la
.
Énergie sombre

 

Le concept d'énergie sombre a été forgé, et devrait être employé préférentiellement à "
" pour désigner la densité d'énergie du vide sur de grandes échelles.

 

En cosmologie, l'énergie sombre est une forme d'énergie hypothétique remplissant tout l'Univers et exerçant une pression négative se comportant comme une force gravitationnelle répulsive. L'énergie sombre pourrait expliquer l'accélération de l'expansion de l'univers et la constante cosmologique.

 

L'énergie sombre (à ne pas confondre, comme c'est souvent le cas, avec
) est directement liée à la constante cosmologique. La nature exacte de l'énergie sombre fait largement partie du domaine de la spéculation. Certains estiment que l'énergie sombre serait
, représentée par la constante cosmologique de la relativité générale.

Celle-ci fut initialement proposée par Albert Einstein (en 1917) comme un mécanisme pour contrer la gravitation et conduire à un univers statique.

Après la découverte de Hubble en 1929 sur le décalage Doppler associé à la vitesse de récession des galaxies, la constante cosmologique fut releguée au rang de curiosité historique.

 

Dans les années 1970, Alan Guth a proposé que ce soit la constante cosmologique qui provoquerait l'inflation cosmique dans l'univers primordial.

 

 

On peut remarquer qu'une forme ou l'autre de l'énergie sombre est l'explication la plus plausible de l'inflation cosmique qui eut lieu peu après le big bang. Cette inflation est un mécanisme essentiel des théories cosmologiques actuelles expliquant tout à la fois la formation des structures et l'isotropie de l'univers à grande échelle.

 

Du fait de sa nature répulsive, l'énergie sombre a tendance à accélérer l'expansion de l'univers, plutôt que le ralentissement attendu dans un univers dominé par la matière. Cette énergie serait ainsi la source de toutes les forces agissant dans l'univers : elle serait à l'origine du big bang (
a retenir !
).

 

Formule :

ccsn6.png

G
la constante gravitationnelle (environ 6,6742 × 10 exp -11 m3 kg exp -1 s exp -2),
c
la vitesse de la lumière (exactement 299 792 458 m s exp -1) par définition, et
Tμν
le
.

 

La constante cosmologique vaut donc :
Λ
= 10 exp − 29g.cm exp − 3.

 

 

Constante de Hubble

La constante de Hubble est le nom donné en cosmologie, à la constante de proportionalité existant aujourd'hui entre distance et vitesse de récession apparente des galaxies dans l'univers observable, la fameuse
décrivant
(qui s'interprète de façon plus exacte par une dilatation de l'espace lui-même). Elle donne donc le
actuel de l'univers (75 km/s/Mpc).

 

L'expansion de l'univers se manifeste par l'observation d'une vitesse de récession des objets astrophysiques lointains par rapport à la Galaxie. Si l'on n'observe pas directement un déplacement de ceux-ci (leurs distance étant établient par la luminosité absolut (à 32,6 Al) des Céphéides), on observe un décalage de leurs raies d'émission et de leurs raies d'absorption que l'on peut interpréter en terme d'effet Doppler. Ce décalage étant presque systématiquement vers le rouge, l'on en conclut que les objets s'éloignent de nous[1]. De plus, ce mouvement d'éloignement relatif est homogène et isotrope dans l'univers : une galaxie située à une distance donnée s'éloigne de la nôtre à la même vitesse, quelle que soit la direction où elle se trouve, et il en est de même pour tout observateur qui serait situé dans une autre galaxie. Il existe donc une relation entre la vitesse de récession des galaxies et la distance qui nous sépare d'elles, connue sous le nom de Loi de Hubble. Mais pour la Relativité Général, ce n'est plus les galaxies qui ont un mouvement propre de récession, mais bien l'espace qui les entours et qui deviens élastique. Les objets ne se déplacent plus seul dans l'univers, mais avec lui.

 

Et cette expension commence au-delà des galaxies, et non à l'intérieur d'eux. Ce n'est que la distance entre ceux-ci qui varie au cours du temps, et ce uniquement pour des objets suffisamment éloignés. (amas, superamas)

 

Bien que dénommée « constante », ce paramètre cosmologique varie en fonction du temps. Il décrit donc le taux d'expansion de l'univers à un instant donné. L'expansion de l'univers est une conséquence générique des lois de la relativité générale.

 

Loi de Hubble :

 

lhcq4.png

La vitesse de récession
v
des galaxies étant connue par
et sa distance
d
mesurée par les céphéides, où
H0
est la constante de Hubble, un nombre sans dimension qui est aujourd'hui estimé à 0,7. La relation entre la taille de l'univers observable et le
(RH = c / H0), dépend du modèle cosmologique considéré. Par exemple, dans un scénario de type Big Bang sans constante cosmologique, la taille de l'univers observable est très légèrement inférieure à 2 rayons de Hubble (voir
et
) soit environ 14 milliards d'années lumière.

 

En présence de constante cosmologique, ce chiffre augmente. Quand le paramètre de densité de la constante cosmologique atteint 0,7 (valeur communément admise pour notre univers), alors la taille de l'univers observable est de l'ordre de 3,2 fois le rayon de Hubble, soit, avec les chiffres précédents, un rayon de 45 milliards d'années lumière.

 

Si l'on se restreint à l'application de la loi de Hubble dans l'univers local (quelques centaines de millions d'années lumière), alors il est tout à fait possible d'interpréter la loi de Hubble comme un mouvement des galaxies dans l'espace. Mais entre le cadre de la Relativité Restreinte (objets qui s'éloigne selon 2 fois le rayons de Hubble) et la Relativité Générale (l'espace qui s'étire selon 3,2 fois le rayons de Hubble)

 

CONCLUSION :

 

La modèlisation des différentes formes d'évolution de l'Univers est effetué à partir des équations de Friedmann (relation entre le facteur d'échelle et le temps cosmique.) qui correspondent aux équations de la relativité générale (appelées équations d'Einstein) écrites dans le contexte d'un modèle cosmologique homogène et isotrope. Elles régissent donc l'évolution du taux d'expansion de l'univers et par suite de la distance entre deux astres lointains (le facteur d'échelle) et en fonction du temps appelé dans ce contexte temps cosmique (servant aussi a déterminer l'Horizon Cosmique). Relié à la densité de l'énergie de la constante cosmologique, qui peut s'interprêter comme une forme de matière de densité d'énergie constante et de pression exactement opposée à celle-ci.

 

En particulier, dans le cadre du modèle standard de la cosmologie, l'univers peut être décrit comme étant rempli de trois types d'espèce : des la matière relativiste (neutrinos et rayonnement), de la matière non relativiste (matière baryonique et matière noire), et de l'énergie noire, que l'on va ici approximer par une constante cosmologique (l'énergie des particules individuelles décroît avec l'expansion (ce n'est rien d'autre que l'effet de décalage vers le rouge).

 

La constante cosmologique est donc tributaire de la constante de Hubble, soit entre matière relativiste et non relativiste pour trouvé les valeure équivalente à l'étirement de l'espace situé entre les galaxies et conforme aux donné d'observation fournis par la mesure du décalage Doppler.

 

Les différents modèles du BB, découles donc éssentiellement de la Relativité général (RG), qui cherche à expliquer l'origine de cette énergie sombre, qui est à l'origine de l'expension accéléré de l'univers. Selon la RG, c'est l'espace qui est en expension et non la matière elle-même qui ne fait que subire les conséquences ! La constante cosmologique deviens ici que l'expression des densités d'énergies sombre, pour expliquer la structure de l'univers établit par la lois de Hubble effectué sur le décalage Doppler des galaxies, mais adapté à l'étirement de l'espace (RG) et non plus a l'éloignement/vitesse propre des galaxies (RR). Le tout est inclut dans les équations de Friedmann, et vous pouvez vérifié !

 

La taille de l'horizon cosmologique :

dgoc0.png

H0 représente l'actuel taux d'expansion de l'univers (la constante de Hubble) et les différentes quantités Ω correspondent aux paramètres de densité des différentes espèces présentes dans l'univers, à savoir rayonnement et particules de masse nulle (r), matière non relativiste (matière baryonique et matière noire, m) et constante cosmologique (Λ) mesurés aujourd'hui.

 

Et c'est pour cela que j'utilise le terme plus générale de constante cosmologique à celle de la constante de Hubble. Car le premier est liée à l'expension (taux d'accélération) du tissus espace-temps (RG) et hubble aux objets (RR) pour vitesse de récession et le tout en fonction du rayon de Hubble, voilà leurs différence éssentiel.

 

Ici on calcule l'espace entre les particules et leur énergie, et non pas l'énergie et les particule eux-mêmes, on définit un effet (matière-énergit) par une cause (continum), et non l'inverse comme il devrait être ! Alors la cause devient l'étirement de l'espace par l'énergie sombre via la constante cosmologique. Le BB est donc dans ses condition originaire d'une fluctuation d'espace via l'énergie sombre, et non plus l'origine de la matière-énergie comme t-elle ! Voilà ce que dit la RG

 

Et voilà le mystère éclaircis !!!!!!

 

Gilles

Posté

Ici on calcule l'espace entre les particules et leur énergie, et non pas l'énergie et les particule eux-mêmes, on définit un effet (matière-énergit) par une cause (continum), et non l'inverse comme il devrait être ! Alors la cause devient l'étirement de l'espace par l'énergie sombre via la constante cosmologique. Le BB est donc dans ses condition originaire d'une fluctuation d'espace via l'énergie sombre, et non plus l'origine de la matière-énergie comme t-elle ! Voilà ce que dit la RG

Non, c' est pas tout à fait l' idée :be:

 

Ce que dit l' équation d' Einstein, c' est que le "calcul de l' espace qui contient les particules" (les distances, les vitesses, tout ça) dépends de l' énergie et de la masse des particules contenues. C' est pour ça qu' une partie de l' équation parle de la géométrie (tenseur de courbure, métrique) et que l' autre partie parle de matière et d' énergie. Les deux sont liés, l' un n' est pas dissociable de l' autre.

 

Dans le cas le plus général c' est parfaitement imbuvable. Mais si on fait des hypothèses simplificatrices (telles que celle de l' homogénéité et de l' isotropisme), on peut alors trouver une solution pour la géométrie en fonction de la densité d' énergie-matière contenue (supposée spatialement constante, par hypothèse) : ça donne l' équation de Friedmann , et la métrique dite FRWL (Friedmann Robertson Walker Lemaître), qui décrit un univers en expansion qui colle plutot bien avec les observations.

 

Mais la géométrie et l' énergie (au sens large, matière comprise) sont liées l' une a l' autre, tu ne peux pas écrire que l' une est la cause de l' autre, dans cette théorie.

 

A+

--

Pascal.

Invité glevesque
Posté
Non, c' est pas tout à fait l' idée :be:

 

Ce que dit l' équation d' Einstein, c' est que le "calcul de l' espace qui contient les particules" (les distances, les vitesses, tout ça) dépends de l' énergie et de la masse des particules contenues. C' est pour ça qu' une partie de l' équation parle de la géométrie (tenseur de courbure, métrique) et que l' autre partie parle de matière et d' énergie. Les deux sont liés, l' un n' est pas dissociable de l' autre.

 

A+

--

Pascal.

Alors, quel est le rapport avec l'inflation ?

 

Gilles

Posté
Et c'est pour cela que j'utilise le terme plus générale de constante cosmologique à celle de la constante de Hubble. Car le premier est liée à l'expension (taux d'accélération) du tissus espace-temps (RG) et hubble aux objets (RR) pour vitesse de récession et le tout en fonction du rayon de Hubble, voilà leurs différence éssentiel.

Heu...non non Gilles.

 

Quand un objet a une vitesse au sens de la RR, sa distance par rapport à certains objets augmente et sa distance par rapport à d'autres objets diminue.

 

Par contre quand un objet a une "vitesse" au sens de l'expansion, sa distance par rapport à tous les objets augmente.

 

Le terme "vitesse" n'a pas la même significtion physique dans les deux cas.

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Voilà ce que dit la RG
Je voulais plutôt dire ceci :

Voilà ce que dit la cosmoogie à partir de la RG !

 

Mais les deux son si étroitement associé ! L'une découlant de l'autre

 

Gilles

Invité glevesque
Posté

Salut Sceptique

Heu...non non Gilles.

 

Quand un objet a une vitesse au sens de la RR, sa distance par rapport à certains objets augmente et sa distance par rapport à d'autres objets diminue.

 

Par contre quand un objet a une "vitesse" au sens de l'expansion, sa distance par rapport à tous les objets augmente.

 

Le terme "vitesse" n'a pas la même significtion physique dans les deux cas.

Oui effectivement, merci de l'avoir spécifié ! C'est l'expension du tissus qui fait la différence, ou plutôt de l'Éther de la RG !!! ;)

 

Gilles

Posté

Encore une fois, parler de "vitesse de récéssion" est un abus de langage (en cosmologie la RR est inapplicable, et la notion de vitesse relative de deux objets lointains en R.G n' est pas facile à définir) Et non, il n' y a pas d' éther en R.G. ;)

Sur l' inflation, il me semble avoir compris que c'est une densité d' énergie du même type que l' "énergie noire", ne se manifestant qu' au voisinage de la singularité initiale du modèle.

Quant à savoir d' où elle vient, pourquoi elle s' est diluée, etc, je l' ignore. J' ai lu des articles à ce sujet, mais je ne suis pas au stade où j' en ai compris assez pour pouvoir en discuter.

 

A+

--

Pascal.

Invité glevesque
Posté

Salut

 

Donc, pouvons-nous conclure que ce n'est pas l'espace et le temps situés entre les particule de matière et d'énergie qui s'expant dans le cadre du BB vue à travers la relativité générale et à la cosmologie ! Mais bien de ce qui est caché à travers la constante cosmologique, et c'est-à-dire l'énergie sombre !!!!!!

 

Gilles

Posté
Encore une fois, parler de "vitesse de récéssion" est un abus de langage (en cosmologie la RR est inapplicable, et la notion de vitesse relative de deux objets lointains en R.G n' est pas facile à définir)

Effectivement, c'est pourquoi j'ai mis le mot vitesse entre guillemets dans le cas de l'expansion.

 

Et non, il n' y a pas d' éther en R.G. ;)

Heu... on a un espace-temps muni d'une métrique dynamique...ce n'est pas loin d'un éther.;)

 

Paul

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