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La grande arnaque du réchauffement climatique


iksarfighter

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Salut Jean

 

Il n’en reste pas moins vrai que la vie animale sur Terre est extrèmement fragile et qu’il est préférable d’y regarder à 2 fois avant de décréter que les faibles variations d’aujourd’hui n’auront qu’une influence négligeable à une échelle humaine, pour nos enfants et nos petits enfants !

 

Concernant notre survivance, nous avons plus de chance de survivre dans un climat chaud que froid, et cela pour toute la vie animale. Ce n'est pas parce que quelqu'un peut décréter que des variations pourrait arriver qu'elles arriveront.

 

Nous ne pouvons régenter le climat, nous ne pouvons commander au vent, mais nous pouvons réorienter nos voiles. En clair, nous pouvons nous adapter. Et nous pouvons le faire à mesure que les besoins se feront sentir, car rien n'arrivera tout d'un coup sans avertissement, comme un volcan qui éclate ou un typhon qui approche d'un lieu spécifique ou un météorite qui va percuter la terre.

 

Si par hasard, l'eau de l'océan commence à monter, hé bien ça se fera sur une période assez longue, dizaines d'années, suffisamment de temps pour faire des digues et protéger les villes riveraines ou décider de bâtir ces villes sur des hauteurs. Je ne vois pas réellement ou est l'utilité de s'énerver sur une éventualité hypothétique. Pourquoi investir beaucoup de capitaux pour contrer une hypothèse. Les polders hollandais se sont bâtis à main d'homme sur une période de quelques centaines d'années. Pourquoi, aujourd'hui, avec toute la technologie que nous maitrisons, ne serions-nous pas capables de résoudre les problèmes à mesure qu'ils se présenteront?

 

Serions moins efficace que nos ancêtres?

 

Bonne journée Jean

 

Vinety

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Salut Ortog

 

Elles montent toutes à partir de 1800-1850 et sont exponentielles

 

Bien sur, par une pure coincidence, cela a commencé en même temps que l'utilisation de matèriaux fossiles (charbon puis pétrole et gaz).

 

Comme dans les bons films, "toute coincidence avec des faits ..."

 

Ortog

 

Vous avez raison, les courbe correspondent exactement avec la démographie humaine. Mais, il n'y a aucune correspondance avec la montée de la température, qui elle, n'a augmenter que d'un maigre .76 degrés C.

Tellement petite, qu'on a de la misère à le voir sur une échelle correspondante. Que faites-vous des température du début du 2e millénaire qui était de beaucoup supérieure, malgré l'absence de CO² anthropique?

 

Vinety

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Ok, donc continuons à polluer comme on le fait, à rejeter autant de CO2, à détruire les forêts, à exterminer les espèces, à épuiser les ressources naturelles, c'est pas grave : si jamais il y a un problème, c'est pas grave, ce sera dans longtemps : nos petits-enfants auront le temps de s'adapter. Après moi le déluge, comme on dit :confused:

 

Si le CO² à une influence sur le climat ce que je doute, même si aujourd'hui, par miracle on stopperait tout d'un go, d'un coup de baguette magique,, la température ne tomberait pas immédiatement, mais probablement dans 50 ans, à cause de la vie du CO²qui dure près de 100 ans. Et cela, selon les mêmes projections du GIEC.

 

Ok, donc ça ne sert à rien d'arrêter d'émettre du CO2, puisque les effets ne se verront que dans 50 ans, après notre mort. Après moi le déluge :confused:

Posté
...Ok, donc continuons à polluer comme on le fait, à rejeter autant de CO2, à détruire les forêts, à exterminer les espèces, à épuiser les ressources naturelles, c'est pas grave : si jamais il y a un problème, c'est pas grave, ce sera dans longtemps : nos petits-enfants auront le temps de s'adapter. Après moi le déluge, comme on dit :confused:...
Ah! Comme c'est beau, facile de tout mettre dans le même sac hein? :rolleyes:

Il est au moins autant dans l'intérêt de l'écologie (la science, pas la bouffonnerie de certains adorateurs de Gaïa) que de l'économie de savoir exactement si le CO2 a une influence notable sur les changements climatiques actuels. Car ne l'oublions pas: raréfaction (réelle ou spéculative) du pétrole oblige, le proche futur énergétique passera par des centrales au gaz et surtout au charbon et pas que dans les pays émergeant (par ex. l'Allemagne qui doit en construire/construit plusieurs de ces centrales grâce à leur politique du tout éolien->fluctuations de production trop importantes), or dans la philosophie actuelle il est prévu de piéger ce CO2 et de l'injecter dans le sous-sol et d'y laisser 5 à 15% de l'énergie produite dans l'opération! Donc dans justement dans l'intérêt de la préservation de nos ressources je crois qu'il est vital d'être absolument sûr du rôle du CO2...

Ah! Au sujet de la destruction des forêts, les arbres comme tout les végétaux, apprécient l'augmentation du CO2 vu qu'il s'en nourrissent et d'ailleurs les forêts progressent dans les pays industrialisés (information tirée du magasine "Pour La Science"), il s'agit donc bien plutôt du problème de la prise de conscience écologique dans des pays ou le niveau de vie moyens n'a pas encore atteint celui ou l'on se paye ce genre de "luxe"...

Posté

Vous avez raison, les courbe correspondent exactement avec la démographie humaine. Mais, il n'y a aucune correspondance avec la montée de la température, qui elle, n'a augmenter que d'un maigre .76 degrés C.

Tellement petite, qu'on a de la misère à le voir sur une échelle correspondante. Que faites-vous des température du début du 2e millénaire qui était de beaucoup supérieure, malgré l'absence de CO² anthropique?

 

0,76°C, ce n’est pas maigre (demandes à n’importe quel climatologue)… de plus, les températures du début de 2ème millénaire, d’après les reconstructions faites à partir de proxys, n’étaient pas supérieures à celles d’aujourd’hui, et même probablement elles étaient inférieures. Et encore une fois, le CO2 est un des multiples facteurs qui peuvent agir sur le climat : l’absence de CO2 d’origine anthropique n’est donc pas synonyme de stabilité climatique parfaite. Enfin, la corrélation entre la montée de température récente et celles de gaz à effet de serre est très forte.

 

Si le CO² à une influence sur le climat ce que je doute, même si aujourd'hui, par miracle on stopperait tout d'un go, d'un coup de baguette magique,, la température ne tomberait pas immédiatement, mais probablement dans 50 ans, à cause de la vie du CO²qui dure près de 100 ans. Et cela, selon les mêmes projections du GIEC.

 

Que sommes-nous supposés faire entre temps, retenir notre respiration et celle de tous les êtres vivants? Soyons praticopratique, et profitons de l'aubaine, car si par hasard le CO² chauffe le climat, profitons-en, car les plantes avec plus de CO² poussent plus rapidement et en meilleure santé et nous fournissent plus d'aliments pour la nourriture et accélère la croissance des arbres et des plantes qui serviront à fabriquer des biocarburants. De plus, un climat plus chaud est providentiel pour la race humaine. Nous survivons plus facilement dans un climat chaud que glaciaire.

 

Encore une fois, si tu doutes des propriétés de gas à effet de serre du CO2, regardes les propriétés de l’atmosphère de Vénus.

 

DE plus, le CO2 est UN facteur, pas LE facteur de la croissance d’une plante. Celle-ci dépend tout autant, voire beaucoup plus, de la quantité d’eau disponible, de l’ensoleillement et de la composition des sols… Dire qu’une augmentation de CO2 sera favorable à la croissance des plantes, ce n’est voir que la partie émergée de l’iceberg. Les sols aujourd’hui les plus fertiles sur la planète seraient ravagés par une modification significative des températures (plus de 2 degrés), et l’augmentation de l’apport en CO2 n’y pourrait pas grand-chose. Quand à l’argument que d’autre terres deviendront cultivables, notamment en Sibérie, il ne prends absolument pas en compte la composition des sols, qui ne deviennent pas fertiles du jour au lendemain comme tout bon agriculteur te le dira – même en y faisant des apports. Les rendements pourraient y être au maximum 30 à 40% moins rentables que les terrains d’aujourd’hui.

 

Et nous ne sommes pas actuellement dans un climat glaciaire. Notre société et notre agricultures sont adaptées à ce climat relativement doux, et stable depuis au moins 8000 ans. Une élévation de température d’à peine deux degrés redéfinirait un nouvel état d’équilibre écologique auquel nous devrions nous adapter. Loin d’être impossible, bien sûr, mais sûrement extrêmement coûteux.

 

L’assèchement des terres agricoles du au réchauffement se fait déjà ressentir, notamment en Afrique, ou l’agriculture de subsistance en place ne peut supporter plusieurs années de sécheresse à la suite. Je te laisse imaginer les conséquences d’une pénurie agricole sur un continent comme l’Afrique.

 

Le but n’est pas d’arrêter le réchauffement demain, il est de le limiter afin que les impacts de celui-ci soient circonscrits. Si le feu prends à ta maison, va tu tout laisser brûler parce que « de toute façon le feu a déjà pris, alors autant le laisser aller jusqu ‘au bout… », ou va tu appeler les pompiers pour que les dégâts soient minimaux ?

 

 

Concernant notre survivance, nous avons plus de chance de survivre dans un climat chaud que froid, et cela pour toute la vie animale. Ce n'est pas parce que quelqu'un peut décréter que des variations pourrait arriver qu'elles arriveront.

 

Nous ne pouvons régenter le climat, nous ne pouvons commander au vent, mais nous pouvons réorienter nos voiles. En clair, nous pouvons nous adapter. Et nous pouvons le faire à mesure que les besoins se feront sentir, car rien n'arrivera tout d'un coup sans avertissement, comme un volcan qui éclate ou un typhon qui approche d'un lieu spécifique ou un météorite qui va percuter la terre.

 

Si par hasard, l'eau de l'océan commence à monter, hé bien ça se fera sur une période assez longue, dizaines d'années, suffisamment de temps pour faire des digues et protéger les villes riveraines ou décider de bâtir ces villes sur des hauteurs. Je ne vois pas réellement ou est l'utilité de s'énerver sur une éventualité hypothétique. Pourquoi investir beaucoup de capitaux pour contrer une hypothèse. Les polders hollandais se sont bâtis à main d'homme sur une période de quelques centaines d'années. Pourquoi, aujourd'hui, avec toute la technologie que nous maitrisons, ne serions-nous pas capables de résoudre les problèmes à mesure qu'ils se présenteront?

 

Vinety

 

Oui, et combien tout cela coûtera ? Sans compter le coût des déplacements de populations, économique aussi bien que social ? Et ce n’est qu’une toute petite partie des effets négatifs… Le coût du réchauffement laissé à lui-même sera bien supérieur au coût d’essayer de le réguler.

 

Si tu es ingénieur, tu le sait aussi bien que moi : anticiper un problème potentiel ayant une bonne probabilité d’arriver coûte à court terme, mais réparer les dégâts dus à ce même problème si on ne l’a pas remarqué ou si on l’a négligé coûte cent fois plus à moyen et long terme. Il ne s’agit même pas d’écologie ici, il s’agit d’efficacité économique. Résoudre les problèmes au fur et à mesures qu'ils arrivent, sans chercher à les anticiper, c'est l'antinomie de l'efficacité économique.

 

Je te conseille, en la matière, le rapport Stern sur les coûts économiques du réchauffement climatique et des actions de mitigation.

Posté

Salut garfieldhecat

 

Soyons sérieux et parlons de même.

 

Juste entre nous deux, entre personne qui s'y connait en solution de problèmes. Nous savons que pour résoudre un problème on doit au départ connaitre les intrants et les extrants de ce problème, le qui, le quand, le où, le combien et le comment. Cette problématique climat n'est pas de notre ressort. Nous essayons ce résoudre une équation dont nous ne connaissons à peu près rien, si ce n'est que quelques éléments épars ici et là et nous pensons qu'avec ces seuls éléments nous puissions résoudre la quadrature du cercle ou réguler le mécanisme universel qui est interrelié.

 

Ce genre d'équation est au dessus de nos compétences humaines et simplement prétendre commander à la nature entière est un acte tellement orgueilleux, que je me demande si nous en sommes conscients.

 

Et de plus, il y a tellement d'intervenants, personnes, municipalités, pays, civilisations, cultures, etc., qu'il est pratiquement impossible de coordonner tous ces éléments. Pour ce faire, nous devrions avoir un gouvernement mondial autoritaire et dictatorial pour y arriver. Ce qui pas n'est demain, la veille. Ce problème est beaucoup plus un problème idéologique et dogmatique qu'un problème réel et factuel.

 

La preuve la plus évidente est celle-ci. Au simple niveau scientifique, il n'y a pas de consensus et il n'y en aura jamais, car les scientifiques travaillent selon un calendrier qui leur appartient et selon leur champ particulier et n'ont pas de comptes à rendre, car la plupart du temps ils ne savent même pas ce qu'ils vont trouver au bout de leurs recherches.

 

Cependant, les décideurs ont des comptes à rendre à leurs commettants et doivent prendre des décisions souvent basées sur des intuitions et non sur des faits patents. Deux mondes complètement séparés l'un de l'autre et qui n'ont pas la même vision d'un problème à résoudre, et surtout si ce problème est un faux problème comme celui du climat.

 

J'ai travaillé très longtemps dans le milieu scientifico-industriel et économique, à résoudre des problèmes réels et factuels, pour savoir une chose : on ne peut résoudre un problème quelconque si on ne connait pas la source du problème et si on ne possède pas la technologie ou la connaissance pour le résoudre. Concernant le (RG) nous ne savons à peu près rien ni des conséquences de nos actions.

 

Cependant, concernant la pollution et les problèmes environnementaux actuels, la plupart de ces problèmes peuvent être résolus cas pas cas sans trop de peines ou d'investissements.

 

Il y a trente, où j'étais l'heureux propriétaire d'un avion que j'avais reconstruit patiemment, quand je décollais de l'aéroport de St Hubert, la visibilité était presque nul à cause du smog (brume sèche) causé par les émissions de poussières par les cheminés des industries montréalaises. Quand, je prenais mes cours de pilote, combien de fois, les étudiants devions attendre qu'un vent favorable balaie ce smog pour pouvoir s'envoler, car tant que ce smog persistait nous étions collés au sol.

 

Ce smog refroidissait l'atmosphère et de plus rendait l'air irrespirable. Depuis, des lois draconiennes ont obligé les usines à filtrer leurs suies et depuis l'air est plus propre, moins de problèmes santé, cependant le micro climat de la ville (température) à augmenté de plusieurs degrés C à cause de l'absence de l'effet parasol du smog qui bloquait le rayonnement solaire.

 

Ce genre de problème de pollution, nous pouvons et avons toute la technologie pour les résoudre. Mais concernant le CO² anthropique, la simple pensée que ces ce CO² minime et infime comparativement à la quantité phénoménale qui existe dans la biosphère, peut affecter le climat global, est en elle-même une farce monumentale, près de la tentative de déterminer le sexe des anges.

 

Le problème n'est pas une réalité scientifique, il est tout simplement politique, économique, idéologique et dogmatique. Plutôt, le fait d'interprétations démagogiques, pseudo scientifique, culturel et intellectuel qu'un problème réel.

 

Si ce n'était pas le cas, la population de la terre entière se liguerait pour se sauver elle-même. La solidarité serait exemplaire, car les pauvres et les riches seraient menacés dans leur survie. Il s'agit ici, d'un faux problème, qui n'a pas de solution et c'est pourquoi, la moitié de l'humanité s'en moque éperdument tout comme moi d'ailleurs.

 

Vinety

Posté
Mais concernant le CO² anthropique, la simple pensée que ces ce CO² minime et infime comparativement à la quantité phénoménale qui existe dans la biosphère, peut affecter le climat global, est en elle-même une farce monumentale, près de la tentative de déterminer le sexe des anges.

 

En science, le bon sens est un très mauvais conseiller. La relativité défie le bon sens, la physique quantique défie le bon sens, et pourtant ;)

Posté

Désolé de dire ça aussi directement : prétendre que le réchauffement climatique anthropique n’est pas une réalité scientifique, mais politique, c’est ignorer les 50 dernières années de progrès dans le domaine de la climatologie.

 

Je ne te parle pas de discours politiques ou de déclarations d’intentions. Je te parle de faits scientifiques… Lis les trente dernières années de publications climatologiques dans Science ou Nature, si tu considères les rapports du GIEC comme trop politiques.

Le CO2 rejeté par l’homme est loin d’être négligeable : il représente le tiers de la quantité totale de CO2 dans notre atmosphère (ce ne sont pas des quantités estimées, mais mesurées). Considérer qu’augmenter par 1/3 ou plus la concentration de composés atmosphériques ayant des propriétés de gaz à effet de serre n’aura aucun effet, là effectivement c’est de l’angélisme.

 

Dire que le problème n’est pas de notre ressort est faux, car nous sommes à l’origine de ce rejet de CO2. Nous en connaissons très bien les tenants et les aboutissants, ainsi que les solutions : baisser drastiquement nos consommations d’énergie fossile.

 

Je n’entrerais pas dans les débats idéologiques. J’ai eu une formation scientifique, je regarde donc la réalité scientifique des choses. Le débat et la récupération politique montés autour du réchauffement climatique m’importent peu (c’est pour ça d’ailleurs que je n’ai lu ni les livres de Gore, ni ceux de Crichton, ni ceux d'Allègre :) ). Ce qui m’intéresse, ce sont les faits…

Posté

Bonjour,

 

De plus, un climat plus chaud est providentiel pour la race humaine. Nous survivons plus facilement dans un climat chaud que glaciaire.

 

Un Quebecois qui preférerait qq degrés de plus sous nos latitudes, je te comprends ! ;)

 

Habitant la cote nord de la Bretagne, je préfèrerais aussi un climat comme au Cap Corse ... surtout en ce moment !!! :be:

 

:dehors:

 

Plus sérieusement, Je ne sais pas si ce point a déjà été abordé sur ce post,

 

On ne parle pas souvent de la vapeur d’eau dans les publications traitant de l’impact de l’activité humaine sur les GES (Gaz à Effet de Serre).

 

Cependant, le premier GES sur Terre est la vapeur d'eau : 0% à 4% de vapeur d’eau dans l’atmosphère sont responsables de 60% de l’effet de serre terrestre.

 

La T° moyenne de la Terre sans atmosphère serait de -18°C ( à 1UA du Soleil) . L’effet de serre naturel de l’atmosphère actuelle fait monter la T° moyenne à +15°C.

 

L’effet de serre naturel de la Terre élève donc la T° de 33°C en moyenne :

- La vapeur d’eau et les nuages sont responsables d’un effet de serre de 20°C environ.

- Le taux de CO2 actuel est responsable d'un effet de serre d'environ 10°C .

 

En première approche, l’effet de serre des autres GES est négligeable. Ces GES à l’état de traces doivent toutefois être surveillés car ils ont un PGR (Pouvoir de Réchauffement Global) des centaines voire des milliers de fois plus importants que le CO2 :

CO2 – Gaz carbonique : PGR = 1 (convention) Tr = 120 ans

SF6 – Hexafluorure de soufre : PGR = 22200 Tr = 3 200 ans

T r : Temps de résidence , vitesse moyenne à laquelle le GES est éliminé de l‘atmosphère.

 

Toute la difficulté actuelle est de savoir comment évoluera le taux de vapeur d’eau provoqué par un déséquilibre initial du taux de CO2 par exemple. Les modélisations des rétroactions sont bien évidemment mal connues, « au dessus de nos compétences humaines » comme le dit Vinety ?

 

Pour le moment, on commence par instruire le dossier en collectant les données qui semblent avoir une influence sur le climat :) :

 

Avec A-Train (EOS/NASA) par exemple : Série de satellites se suivant à qq secondes/minutes d’intervalles et permettant de correler les principaux paramètres responsables des variations climatiques.

 

Le prochain satellite qui devrait etre lancé cet été sera OCO : Orbiting Carbon Observatory. http://oco.jpl.nasa.gov/

 

a-train-browse.jpg

 

J'aurais pu citer aussi ENVISAT (ESA/CNES) lancé en 2002 ... :confused:

 

(A SUIVRE) :rolleyes:

 

Jean

Posté

Un point intéressant... les rétroactions sur la vapeur d'eau atmosphérique sont le gros point d'interrogation que les modèles actuels ne savent pas encore bien prendre en compte. Si le feedback est négatif, les hausses de température dues au CO2 et autres GES pourraient se contenir à un niveau raisonable (d'ou les prévisions basses à moins de 1,5 degrés d'ici 2100)... par contre, si le feedback est positif, les hausses de températures pourraient atteindre 5 ou 6 degrés... pour l'instant, l'effet est considéré comme équilibré (ni + ni -), mais les marges d'erreur sont encore grandes

Posté

 

Le CO2 rejeté par l’homme est loin d’être négligeable : il représente le tiers de la quantité totale de CO2 dans notre atmosphère (ce ne sont pas des quantités estimées, mais mesurées). Considérer qu’augmenter par 1/3 ou plus la concentration de composés atmosphériques ayant des propriétés de gaz à effet de serre n’aura aucun effet, là effectivement c’est de l’angélisme.

 

Ce n'est pas l'émission de CO² dans l'atmosphère qui est le problème, c'est le réchauffement que l'on y attribue qui est l'erreur, et malgré toutes les projections des modèles climatiques qui sont utilisés, aucun ne peut se comparer à la réalité du climat moyen qui existe réellement sur la terre.

 

Dire que le problème n’est pas de notre ressort est faux, car nous sommes à l’origine de ce rejet de CO2. Nous en connaissons très bien les tenants et les aboutissants, ainsi que les solutions : baisser drastiquement nos consommations d’énergie fossile.

 

Nous sommes à l'origine de l'émission anthropique de CO², mais que fait-on des mêmes émissions de la vie entière et des volcans qui émettent du CO² à des facteurs beaucoup plus grands que le fait de bruler des énergies fossiles. Admettons au départ que le CO² est défavorable à la vie sur terre, ce qui est évidemment faux, et si aujourd'hui, nous arrêterions de bruler ces ressources énergétiques fossiles, que se passerait-il?.

 

1- Il est impossible politiquement et économiquement d'arrêter de produire de l'énergie à partir des ressources fossile, quand il n'y a que 10% de la population mondiale qui s'en soucie réellement.

 

2- Même si nous le pouvions, le Co² qui est déjà dans l'atmosphère y resterait pour une période de 50 ans minimun.

 

3- Ce serait sur terre un écrasement épouvantable de l'économie,qui serait beaucoup plus dommageable et meurtrier que le réchauffement hypothétique du climat dans 30 à 50 ans ou 100 ans.

 

4-Le dernier et pas le moindre, dans 30 ou 40 ans, il n’existera presque plus de pétrole, donc, le problème du CO² (qui n’est pas un problème) sera résolu, faute de ressources fossiles. Alors, on tournera nos têtes vers le " Nuke »"qui sera réellement la technologie qui remplacera le pétrole et les gaz fossiles, avec un apport solaire pour les panneaux photo voltaïques et les éoliennes.

 

Je n’entrerais pas dans les débats idéologiques. J’ai eu une formation scientifique, je regarde donc la réalité scientifique des choses. Le débat et la récupération politique montés autour du réchauffement climatique m’importent peu (c’est pour ça d’ailleurs que je n’ai lu ni les livres de Gore, ni ceux de Crichton, ni ceux d'Allègre :) ). Ce qui m’intéresse, ce sont les faits…

 

 

 

 

Vous devriez les lire ces phantasmes du GIEC et l’alarmiste des discours qui ne collent pas du tout avec la réalité pure et dure et alors vous pourrez lire la vraie nature de ce débat, qui est très loin d'être scientifique comme certains voudraient bien nous le faire croire. Aussi, vous devriez tenir compte des centaines de milliers de scientifiques qui ne sont pas d'accord et pas du tout avec les rapports du GIEC, et dont plusieurs qui faisaient parti de cette équipe et qui écoeuré des manipulations des modèles se sont complètement désistées.

 

Les rapports dédiés aux décideurs sont totalement politiques et ne visent qu'à satisfaire une idéologie axée sur le contrôle du monde par une minorité qui aspire au pouvoir sans passer sous les arcanes démocratiques.

 

C'est ça la vraie nature du débat et de l'arnaque de l'effet de serre. Le coté scientifique existe que pour occuper les scientifiques pris dans un débat sans issue, et pour laisser le temps aux vrais intéressés de ficeler leur propagande honteuse et meurtrière.

 

Monsieur Allègre est un scientifique reconnu et aussi un politicien avisé, devrait ajouter quelques doutes aux quelques faits scientifiques qui ne concordent pas du tout avec la réalité.

 

Vinety

Invité Ortog
Posté

 

Pour ce faire, nous devrions avoir un gouvernement mondial autoritaire et dictatorial pour y arriver. Ce qui pas n'est demain, la veille. Vinety

 

 

Il y a le Marché...

 

Le marché est mondial, il s'étale sur toutes les bourses et économies.

 

Le marché est autoritaire, il impose la mondialisation des économies (grace à l'OMC).

 

Le marché est dictatorial, il impose ses méthodes, confisque le pouvoir des élus, fait du chantage à l'emploi et utilise les délocalisations pour punir les insoumis aux régles de la desocialisation qu'il impose.

 

Je crois qu'on a déjà ce dont tu parles...

 

Ortog

Posté

Salut Ortog

 

Il y a le Marché...

Le marché est mondial, il s'étale sur toutes les bourses et économies.

 

Le marché est autoritaire, il impose la mondialisation des économies (grace à l'OMC).

 

Le marché est dictatorial, il impose ses méthodes, confisque le pouvoir des élus, fait du chantage à l'emploi et utilise les délocalisations pour punir les insoumis aux régles de la desocialisation qu'il impose

 

Je crois qu'on a déjà ce dont tu parles...

 

Le marché est mondial, dans le sens que les barrière douanières et tarrifères sont presqu'abolis. Cela est uniquement possible, si les états membres de l'OMC y conscentent. Les états sont toujours libre de ne pas joindre l'OMC, mais cela est toujours à l'encontre de leurs intérêts économiques.

 

Pour qu'un marché soit dictatorial, il faut que ce marché soit géré par un seul membre et que ce membre unique dicte ses volontés et de plus ait la capacité militaire ou policière pour imposer son dictat. Ce n'est pas du tout le cas avec l'OMC.

voir sur Wiki pour OMC

 

L'OMC fondée en 1995 est la suite logique du GATT fondé en 1947. Les décisions démocratiques des membres de l'OMC sont ensuite entérinées par les parlements des états membres. Les lois que chaque pays fait pour protéger son marché interne (protectionniste) vont souvent à l'encontre des règles de fonctionnement du marché, et parfois cela cause des frictions entre certains États et L'OMC.

 

Par exemple, au Canada, le Québec est le dernier de classe concernant son PIB et pourquoi. Comme le FNSEA en France et l'UPA québécois, ces syndicats agroalimentaires, cherche par tous les moyens possible de protéger leur influence sur leur état respectif en voulant protéger les acquis de leurs membres. Mais ce qu'on ne dit pas, c'est que par exemple, le Québec, avec des lois sociales qui protègent chaque citoyen, fait en sorte, que la moyenne des salaires des Québécois est de loin inférieure à ceux des provinces Canadiennes qui sont plus libéraux. Par exemple, la moyenne des revenus québécois est de $27 000 contre la balance des Canadiens qui eux gagnent plus de $40 000. Le protectionniste appauvrit les pays qui s'en prévalent et non le contraire.

 

Malgré tous le mal qu'on peut dire d'une organisation telle que l'OMC, une organisation humaine et imparfaite, mais les résultats parle par eux-mêmes. Si c’était si mauvais, je me demande pourquoi les états puissants comme les moins puissants continueraient à y faire partie?

 

Ce ne sont pas les états qui sont en cause et l'OMC, mais bien les parties altermondialistes minoritaires de ces états, qui à cause de la perte de leur capacité à influencer leur état respectif, amplifient les quelques problèmes qui existent et existeront toujours, pour essayer de court-circuiter le pouvoir démocratique de ces états et influencer le cours des évènements

 

C'est réellement cela la politique et cela n'a voir avec le marché mondial, qui favorise la paix et la distribution de la richesse à travers le monde.

 

En ce qui me concerne, je pars pour un voyage de 2000 klm sur la Côte-Nord, où je vais dépenser les quelques litres d'essences que mes petits enfants ne pourront pas profiter. De cette façon, je suis sûr qu'ils ne se battront pas à mort pour essayer de garder pour chacun d'eux, les quelques litres que je n'aurais pas brulés. Je souhaite tout simplement que les ombles de fontaine soient au rendez-vous et que je puisse en pêcher et en manger à mon soul. :p

 

De retour le 22 juillet

 

P.S. Bonne vacance à tous les membres. et Orlog amuse-toi bien.

 

Amicalement

 

Vinety

Invité Ortog
Posté

Pour ceux qui pensent que l'extraction des sables bitumineux est une solution.

 

Le gisement de l'Alberta va retourné plus de 120.000 Km² (bonjour l'écologie locale, presque 20% de la France)

 

Pour extraire un baril de 150 litres de pétrole, il faut 700 litres d'eau !

 

La production d'un Baril rejète 80 kg de gaz à effet de serre !

 

C'est vraiment une trouvaille.

 

Ortog

Posté

Salut Ortog

 

Je suis retour de mon voyage sur la Côte-Nord (Baie-Comeau) situé à 800 klm de Montréal. Pays de montagnes de lacs et de rivières à saumons, dont la Manicouagan qui fournit de l'électricité à une grosse partie du Québec. Ville d'aluminium (Alcoa) dont la bauxite provient surtout de l'Australie, et de coupe de bois pour les papèteries, et pourvue de milliard de mouches noires et de brulots, et aussi une région riche en orignal, cerf et pleins de truites et de de produits de la mer, dont le fleuve à cet endroit (près de 40 klm de large, qu'on nomme la mer.

 

Pour ceux qui pensent que l'extraction des sables bitumineux est une solution.

 

Le gisement de l'Alberta va retourné plus de 120.000 Km² (bonjour l'écologie locale, presque 20% de la France)

 

J'utilise tes chiffres que je pense justes, même, si je ne les ai pas vérifiés.

Ces 120 000 klm de terre marécageuse, où les arbres sont tout rabougris et ne servent qu'à abriter les milliards de moustiques, n'ont jamais été cultivés et ne produisent pas d'arbres suffisamment gros pour être exploitables, à cause de l'état marécageux de ce terrain. Ce territoire représente que 1.2 % de la surface du Canada, et même si ce territoire représentait 20% comme en France, ce territoire n'aurait aucune vocation, autre que de produire des moustiques par milliards ou "bénédiction" des sables bitumineux, ce qui serait pour la France un cadeau du ciel, qui enrichirait son peuple et procurerait 40 000 emplois bien payés.

 

Mais le coté positif de ce projet est: quand ces sables auront été exploités et enrichi le Canada de 100 milliards par année d'exploitation, ces 120 000 klm de marécages, aura été transformé en terrain non marécageux et où on aura planté des milliards d'arbres que nous récolterons dans 2 ou 3 générations au bénéfice de nos petits enfants et de leurs enfants.

 

Pour extraire un baril de 150 litres de pétrole, il faut 700 litres d'eau !

 

Seulement 700 litres d'eau, ah oui j'y pense, ces eaux sont constamment recyclées et surement qu'on ne prend pas en ligne de compte la réutilisation de cette eau, et de ce fait, probablement, que le montant réel de l'eau utilisé est de quelques litres par 1500 litres de pétroles réchauffés. C'est étrange de constater comment les alarmistes manipulent les chiffres pour leur faire dire ce qu'ils veulent que l'on gobe et non nous informer de la réalité du problème, s'il y en a un?

 

La production d'un Baril rejète 80 kg de gaz à effet de serre !

 

Cela a de quoi inquiéter ceux qui croient au réchauffement climatique anthropique, il y va de soi. C'est comme ceux qui croient à l'enfer, il y a seulement ceux qui y croient que cela inquiète. Les non-croyants ne s'en inquiètent guère.

 

C'est vraiment une trouvaille.

 

C'est effectivement a meilleure trouvaille qui peut arriver aux Canadiens et j'imagine que si la France pouvait compter sur une telle ressource, tous les Français pourraient en bénéficier et seraient enrichi d'autant et pourraient taxer les autres de jaloux de leur trésor. Que veux-tu, l'herbe est toujours plus verte et plus haute dans le pré du voisin...Non?

 

Bonne journée

 

Vinety

Invité Ortog
Posté

Une herbe pareille, je te la laisse volontier, avec la pollution qui va avec, puisque ça ne te choque pas. Le seul problème, c'est que la pollution ne connait pas les frontières.

 

La discution n'est pas possible puisque tu nies toutes les argumentations, même les rapports officiels... Que diable les grands de ce monde n'ont-ils pas été consulter le grand Vinety .... Affligeant.

 

Merci de ne pas me relancer sur mes posts..

Ortog

Posté
Une herbe pareille, je te la laisse volontier, avec la pollution qui va avec, puisque ça ne te choque pas. Le seul problème, c'est que la pollution ne connait pas les frontières.

 

La discution n'est pas possible puisque tu nies toutes les argumentations, même les rapports officiels...

 

Merci de ne pas me relancer sur mes posts..

 

Ortog

 

Salut Ortog

 

Une autre de tes réponses qui me coupe le souffle. Ce n'est pas parce que j'ai une opinion différente de la tienne que tu es obligé de passer en mode "attaque personnelle ".

 

Si j’étais de la même opinion que toi, il n'y aurait pas matière à discuter et la discussion tomberait à plat. Les rapports officiels ne sont pas absents de préjugés ni biaisés par des opinions personnelles. La plupart sont le fait d'analyse de faits pertinents qui sont une vision et une interprétation des préjugés d'une personne et pour moi, ces opinions ou ces études sont l'étalage de faits qui regardent qu'un seul coté d'une médaille. J'essaie toujours de connaitre l'autre côté, qui parfois nous révèle des surprises, surtout en environnement.

 

Que diable les grands de ce monde n'ont-ils pas été consulter le grand Vinety .... Affligeant.

 

Que veux-tu, si les grands de ce monde ne me consultent pas, c'est tout simplement parce que je n'ai jamais fait de politique et je serais probablement un très mauvais politicien, car je dis toujours ce que je pense et non ce que les autres aimeraient que je dise. Très mauvais en politique.

 

Mais aussi, une grande partie de ma vie active a été comme consultant en génie industriel, et personne dans ce milieu n’aime se faire raconter des balivernes. Donc, pas de boniments, mais la vérité toute nue et autant que possible les bons et les mauvais cotés d'une situation. Conseiller n'est pas décider, mais faire valoir les cotés positifs autant que négatifs et chiffrer le tout.

 

La discussion est toujours possible si quelqu'un possède des arguments. Si à court, je comprends, qu'il n'est plus possible de discuter, et remarque que c'est toi qui en as décidé ainsi pour la deuxième fois.

 

Bonne nuit et fait de beaux rêves.

 

Vinety

Posté
Une projections qui couvre tout le spectre des possibilités, mais tout comme les statistiques et les probabilités qui en découlent, ils ne peuvent même pas prévoir ce que sera demain. Une game intellectuelle pour les intellos en mal de reconnaissance.

 

5- Je crois, que chacun devrait lire les rapports du GIEC que je lis régulièrement, et les comparer à la réalité objective. Si vous lisez attentivement ces rapports, on s'apperçoit que les projections alarmistes servent de justification pour maintenir en place la propagande défaitiste et alarmiste actuelle,

 

Vinety,

 

même pas prévoir ce que sera demain : Comme tu as lu les rapports, tu sais que les 6 scénarios principaux correspondent a des scénarios d'évolution humaine différents, qui amenent des concentrations de CO2 différentes. (la 2e source d'incertitude étant naturellement la sensibité des systèmes climatiques a une concentration de CO2 donnée, compte tenu des divers feedbacks.) Ces scénarios vont d'une accélération de la consommation de combustibles fossiles a un scénario "développement durable", pour résumer. Et effectivepment, nul ne peut prévoir ce que sera demain a ce niveau, a un horizon de 100 ans...ce qui justifie l'existence de plusieurs scénarios distincts et donc d'une fourchette de températures envisagées à l'horizon 2100.

 

réalité objective et scénario alarmiste : en 2001, le GIEC concluait : "le réchauffement anthropique sera probablement de l'ordre de 0,1 à 0,2 °C sur dix ans au cours des prochaines décennies" (probable signifie une probabilité de 66 à 90%au sens du GIEC). Le réchauffement observé était alors de 0,6 °C. (source :

http://www.ipcc.ch/pdf/climate-changes-2001/scientific-basis/scientific-spm-ts-fr.pdf, page 19)

 

 

EN 2007, 6 ans plus tard, ce meme réchauffement est de 0,74°C, soit 0,14°C de plus en en 6 ans. Mais tu vas dire que c'est un coup de chance ?? Ou que (effectivement) cela va plus vite qu'initialement prévu ? Sur ce dernier point, il semble que certains feedbacks comme le dégagement du methane par les permafrost aient été sous-estimés.

 

malgré toutes les projections des modèles climatiques qui sont utilisés, aucun ne peut se comparer à la réalité du climat moyen qui existe réellement sur la terre.

 

J'ai posté une ou deux pages plus haut des figures qui comparent les modeles (prenant en compte forcage naturel et anthropique) aux températures observées. Qu'en penses-tu ?

Posté

Salut Otzi

 

 

même pas prévoir ce que sera demain : Comme tu as lu les rapports, tu sais que les 6 scénarios principaux correspondent .........Et effectivement, nul ne peut prévoir ce que sera demain a ce niveau, a un horizon de 100 ans...ce qui justifie l'existence de plusieurs scénarios distincts et donc d'une fourchette de températures envisagées à l'horizon 2100.

 

Si je me fie à tes chiffres, les 6 scénarios correspondent à l'émission probable de CO² et couvrent effectivement plusieurs possibilités. Mais il ne faut jamais perdre de vue que ces scénarios surfent sur une hypothèse qui n'a pas été scientifiquement validée et qui semble pour le moment se coller aux émissions de CO² anthropique, sans connaitre réellement, si ce n'est pas tout simplement un hasard de corrélation entre le niveau d'ennuagement provoqué par les cycles solaires et l'apport d'ions issus de la radiation cosmique qui sert de nucléus à la formation de gouttelettes et de glaces des nuages et dont personne ne connait réellement son influence sur le climat global.

 

Les graphiques sont une corrélation parfaite entre la démographie et les GES, et aucune avec les GES et le climat moyen. D'où le problème des prévisions du GIEC.

 

Tant que les scientifiques du projet CLOUD du CERN n'auront pas compris exactement comment la couverture nuageuse se comporte et comment cette couverture nuageuse affecte le climat dans le temps, je me permets de douter fortement de ces prévisions, simplement à cause des vapeurs d'eau qui forment de 1 à 4 % de l'atmosphère et qui ont une grande influence sur les échanges de chaleur entre la radiation solaire et l'atmosphère et le peu de considération que les modèles prennent en ligne de compte, due à la presque impossibilité que ces modèles puissent à cause de la variation continue et évanescente de ces niveaux de couverture nuageuse qui affecte directement le climat.

 

Si vous êtes quelque peu informé sur les projections de modèles, vous savez très bien que ces projections ne sont que des guides de références et ne servent plus, quand tout s'effondre quand survient une anomalie imprévisible.

 

D'ailleurs dans la simple gestion d'une compagnie, malgré toutes les belles projections et les plans d'affaires sophistiqués, ils sont obsolètes dès le départ, et la compagnie doit constamment s'ajuster aux aléas et contingences du marché. Du pareil au même, en ce qui concerne les beaux graphiques pondus par les programmes d'ordinateur qui sont produits par des humains tellement dépourvus devant les contingences et les anomalies qui affectent positivement ou négativement les prévisions sophistiquées.

 

Et même, si ces scientifiques de CLOUD comprenaient comment le climat est réellement affecté par les cycles solaires, nous pourrons peut être évincer de ces modèles les GES, mais de même, à cause de l'impossibilité de prévoir les variations des cycles solaires, nous serons devant le même dilemme, impossibilité de prévoir le climat à venir à moyen terme (de 10 à 100 ans).

 

Je continue de penser que la solution à nos problèmes climatiques et de pollution est une question de GBS, la technologie disponible, la volonté des décideurs et la réaction des populations vis-à-vis un type de pollution donnée, et est aussi intimement relié à la déplétion du pétrole qui chamboule le fragile équilibre économique de notre monde et la multitude de problèmes sociaux et politiques que cela engendre.

 

Bonne journée

 

Vinety

Posté
Les graphiques sont une corrélation parfaite entre la démographie et les GES, et aucune avec les GES et le climat moyen. D'où le problème des prévisions du GIEC.

 

??? Ces deux graphiques ne reprennent QUE des températures observées ou simulées par modèles...Je ne comprends pas trop comment tu y vois de la démographie ou des concentrations en GES, mais bon.

 

En voici donc un autre (extrait du volume 1 du GIEC 2007 http://www.ipcc.ch/pdf/assessment-report/ar4/wg1/ar4-wg1-faqs.pdf) : Il reprend en noir les températures observées depuis 1900 et en rouge le résultat moyen de 58 simulations efectuées avec 14 modèles différents (jaune = resultats détaillés des différents modeles), prenant en comptes forcages naturels et GES. Au niveau de la reproduction des forcages naturels par les modeles, tu remarqueras par exmple l'effet de refroidissement lié a l'eruption du pinatubo en 1991. Sur base de ces 14 modeles, il me semble très péremptoire d'affirmer qu'aucun modele ne permet de reproduire le climat réel... C'était vrai en 1970 mais pas maintenant.

 

tempmodele.JPG

 

Concernant la vapeur d'eau, le GIEC est le premier a dire que ce parametre est effectivement la premiere source d'incertitude qui subsiste actuellement, portant sur l'amplitude et le timing du réchauffement. Cependant, il précise également que ceci n'enleve rien a la robustesse des conclusions relatives aux conséquences le l'augmentation des GES, a savoir le réchauffement, montré par tous les modeles actuels. Autrement dit, le feedback des nuages, positif ou négatif, ne va pas empecher le réchauffement du aux GES. Je serais d'ailleurs fort étonné que ce projet CLOUD- qui semble avoir tes faveurs -ne fasse pas partie des références du GIEC...;)

Posté

Salut Otzi

 

Otzi:

Concernant la vapeur d'eau, le GIEC est le premier a dire que ce parametre est effectivement la premiere source d'incertitude qui subsiste actuellement, portant sur l'amplitude et le timing du réchauffement. Cependant, il précise également que ceci n'enleve rien a la robustesse des conclusions relatives aux conséquences le l'augmentation des GES, a savoir le réchauffement, montré par tous les modeles actuels. Autrement dit, le feedback des nuages, positif ou négatif, ne va pas empecher le réchauffement du aux GES. Je serais d'ailleurs fort étonné que ce projet CLOUD- qui semble avoir tes faveurs -ne fasse pas partie des références du GIEC...;)

 

Si le GIEC est le premier à dire que ce paramètre est effectivement la première source d'incertitude qui subsiste actuellement, portant sur l'amplitude et le timing du réchauffement. comment peut-il dire du même souffle que la robustesse de ses conclusions est reliée aux paramètres GES, quand ils ne connaissent même pas comment se forme la couche nuageuse?

 

L'ennuagement est le principal élément qui affecte le réchauffement et le refroidissement de l'atmosphère et directement la biosphère. Les graphiques ont une corrélation avec les GES, mais ils sont complètement aveugles en ce qui concerne la vraie cause, la formation des nuages.

 

Le projet CLOUD fait référence au GIEC, dans le sens que si leur hypothèse s'avère exacte, les projections du GIEC tomberaient à l'eau immédiatement et ne seraient plus d'aucune utilité. Cependant, ils mentionnent que même si nous connaissions en détail comment les cycles solaires affectent la formation nuageuse et directement le climat, nous ne serions pas plus avancés, car il est impossible de prévoir les changements internes du soleil qui affectent ses cycles.

 

 

ici en français et site venant de Isarfigther

 

D’ailleurs, pour en connaître plus sur CLOUD em anglais

 

Bonne journée Otzi

 

Vinety

Posté

Bonsoir Vinety,

 

 

 

Je pense que tu sais comme moi que l’existence d’une incertitude sur un résultat n’est pas synomyme d’invalidité de ce résultat. Dans la plupart des sciences, une incertitude est associée aux résultats, notamment en sciences naturelles. Et c’est parfaitement normal…

 

Le propre d’une démarche scientifique est d’admettre l’existence d’incertitudes et de les identifier, afin de mieux orienter les recherches ultérieures. C’est plutot un gage de la transparence et de l’objectivité de la démarche.

 

Un des arguments de la robustesse des modeles actuels est précisément leur capacité a reproduire les climats passés, du moins qd les forcages naturels ET les GES sont pris en compte (cfr graphe précédent). Et de 1900 a nos jours , il y avait aussi des nuages… ;)

A contrario, aucun modele ne prenant en compte que les forcages naturels ne permet de reproduire le climat moyen observé au Xxe siecle.

 

Le GIEC associe une estimation de l ’incertitude a toutes ses principales conclusions. La probabilité associée a la declaration : « le réchauffement observé durant la 2 e moitié du 20e siecle ne peut pas etre expliqué sans un forcage radiatif externe (d’origine humaine) » est ainsi supérieure à 95%.

 

Pour plus de détails sur l’incertitude des modeles (nb l’effet des aérosols necessite aussi des recherches supplémentaires….) voir http://www.ipcc.ch/pdf/assessment-report/ar4/wg1/ar4-wg1-chapter9.pdf « understanding and attributing climate change » , cfr je ne vais pas reproduire ici les 84 pages d’arguments de ce seul chapitre. Si tu prefere la synthese en francais : http://www.ipcc.ch/pdf/assessment-report/ar4/syr/ar4_syr_fr.pdf. Voir page 37 pour le traitement des incertitudes par le GIEC.

 

L'ennuagement est le principal élément qui affecte le réchauffement et le refroidissement de l'atmosphère et directement la biosphère. Les graphiques ont une corrélation avec les GES, mais ils sont complètement aveugles en ce qui concerne la vraie cause, la formation des nuages.

 

 

Pas completement aveugles je pense : Voir page 49 http://www.ipcc.ch/pdf/assessment-report/ar4/syr/ar4_syr_fr.pdf(notamment) pour une comparaison des forcages radiatifs dus aux GEs, aux nuages et a l'activité solaire, ainsi que leurs incertitudes respectives.

Posté

Vinety,

 

J'avais oublié de commenter CLOUD : tant mieux si ce projet est financé et permet d'améliorer les connaissances sur les effets du rayonnement, mais il ne t'auras pas échappé que par rapport au ton du projet initial de 2000 dont tu as mis le lien, jasper kirby a déja lui-meme relativisé l'impact eventuel de ses recherches :

 

Jasper Kirkby lui-même se veut réservé. «Même si notre expérience fonctionne, il sera encore illusoire de quantifier l'impact des rayons cosmiques sur les changements climatiques, tant tous les processus impliqués sont complexes. Peut-être sera-t-il par contre possible d'inclure ce mécanisme dans les modèles climatiques.» source http://www.letemps.ch/template/print.asp?article=193748

 

Nobody on the Cloud team is claiming that cosmic rays alone determine the environment. "If there really is an effect then it would simply be part of the climate change cocktail," says Kirkby. source http://www.swissinfo.org/eng/front/detail/Finding_a_heavenly_key_to_climate_change.html?siteSect=105&sid=7253462&cKey=1163499678000&ty=st

Posté
Vinety,

 

J'avais oublié de commenter CLOUD : tant mieux si ce projet est financé et permet d'améliorer les connaissances sur les effets du rayonnement, mais il ne t'auras pas échappé que par rapport au ton du projet initial de 2000 dont tu as mis le lien, jasper kirby a déja lui-meme relativisé l'impact eventuel de ses recherches :

 

Jasper Kirkby lui-même se veut réservé. «Même si notre expérience fonctionne, il sera encore illusoire de quantifier l'impact des rayons cosmiques sur les changements climatiques, tant tous les processus impliqués sont complexes. Peut-être sera-t-il par contre possible d'inclure ce mécanisme dans les modèles climatiques.» source http://www.letemps.ch/template/print.asp?article=193748

 

 

Nobody on the Cloud team is claiming that cosmic rays alone determine the environment. "If there really is an effect then it would simply be part of the climate change cocktail," says Kirkby. source http://www.swissinfo.org/eng/front/detail/Finding_a_heavenly_key_to_climate_change.html?siteSect=105&sid=7253462&cKey=1163499678000&ty=st

 

Je suis d'accord avec toutes ces opinions. Mais je ne crois pas que les modèles puissent faire des projections futures sans inclure dans le cocktail d'informations toutes les données. Si une donnée spécifique s'avère fausse ou imprévisible, on ne peut prétendre que les projections seront valables.

 

Le résultat sera toujours un spectre de valeurs que chacun peut utiliser selon ses besoins spécifiques, surtout politique. On peut effectivement produire des graphiques des évènements climatiques passés et se faire une idée intelligente des variations cycliques du climat passé, mais de là, à produire des projections futures sans connaitre réellement les anomalies qui seront de ce futur, cela tient tout simplement de la devination et la projection mentale.

 

On ne peut blâmer les scientifiques qui s'adonnent à cet exercice. Ils ont aussi le droit de vivre de leur art ou de leur domaine scientifique. Mais quand on parle de projections climatiques futures au délà de quelques semaines, et je dirais pour pas plus d'une semaine, on tombe dans l'arnaque médiatique, politique et de la propagande. Même si la climatologie n'est pas la météo, les deux se servent des mêmes données climatiques et des mêmes technologies pour faire leur boulot. J'ai déjà joué dans ce film et j'en connais les limites.

 

Bonne journée

 

Vinety

Invité Ortog
Posté

Une projection a forcément des mesures plus ou moins validées, puisque l'on est dans le domaine de la projection vers le futur, et quand bien même aurions nous toutes les données fiables, on pourrait toujours redire en prétendant que l'imprévisible peut ce produire quand même.... 9a arrive même en économie...

 

A partir du moment ou l'on veut être sur de toutes les données et de leurs impact, il faut mieux faire de l'histoire, bien que là, ce soit les interprétations qui peuvent divergées...

 

Ortog

Posté
Même si la climatologie n'est pas la météo, les deux se servent des mêmes données climatiques et des mêmes technologies pour faire leur boulot.

 

 

 

tu crois vraiment qu'un modele de prevision météo à 3 jours inclut des feedbacks sur le cycle du carbone par les ecosystemes, des projections de développement industrielles, des relarguages de CH4 par les permafrost ou l'effet du retrait des glaces sur l'albedo terrestre, pour ne citer que les premiers qui me viennent a l'esprit ???

 

On dirait que tu n'as en fait jamais lu de rapports de GIEC.

Invité Ortog
Posté

 

On dirait que tu n'as en fait jamais lu de rapports de GIEC.

 

... et il n'y a surement pas que ça qu'il a pas lu...

Aucune raison pour qu'il perde du temps à lire ce que les vilains alter-mondialisto-communo-socialistes que nous sommes lui envoie.

 

Quelque soit l'argument, dés que ça va pas dans son sens, c'est que c'est faux.

 

C'est le même constat pour les deux posts...

 

Ortog

Posté
Quelque soit l'argument, dés que ça va pas dans son sens, c'est que c'est faux.

 

:) ... encore un exemple :

 

Mais quand on parle de projections climatiques futures au délà de quelques semaines, et je dirais pour pas plus d'une semaine, on tombe dans l'arnaque médiatique, politique et de la propagande.

 

Or j'ai déjà mentionné plus haut ceci :

 

en 2001, le GIEC concluait : "le réchauffement anthropique sera probablement de l'ordre de 0,1 à 0,2 °C sur dix ans au cours des prochaines décennies" (probable signifie une probabilité de 66 à 90%au sens du GIEC). Le réchauffement observé était alors de 0,6 °C.

 

En 2007, 6 ans plus tard, ce même réchauffement est de 0,74°C, soit 0,14°C de plus en en 6 ans.

 

...

 

 

Cela fait donc (0,14/6) , l'équivalent de 0,23 ° par dix ans, par rapport a une prévision de 0,1 à 0,2°C.

 

Décidément, il a le bras long ce GIEC, on dirait que même Mère Nature est en train de se laisser prendre à sa propagande… :)

Posté

Salut Otzi

 

:) ... encore un exemple :

 

Or j'ai déjà mentionné plus haut ceci :

 

en 2001, le GIEC concluait : "le réchauffement anthropique sera probablement de l'ordre de 0,1 à 0,2 °C sur dix ans au cours des prochaines décennies" (probable signifie une probabilité de 66 à 90%au sens du GIEC). Le réchauffement observé était alors de 0,6 °C.

 

En 2007, 6 ans plus tard, ce même réchauffement est de 0,74°C, soit 0,14°C de plus en en 6 ans.

 

Cela fait donc (0,14/6) , l'équivalent de 0,23 ° par dix ans, par rapport a une prévision de 0,1 à 0,2°C.

 

Décidément, il a le bras long ce GIEC, on dirait que même Mère Nature est en train de se laisser prendre à sa propagande… :)

 

Selon le professeur Ellsaesser du Lawrence Livermore Laboratories, un établissement californien, conclut que le doublement du CO² aurait que peu d’effet ou pas d’effet sur la température de surface de la Terre, et s’il y avait un effet, il serait probablement un refroidissement de la surface.

 

Le GIEC n'a pas du tout le bras long ni court. Il surfe tout simplement sur des données qui semblent correspondre à ses prévisions, qui à postériori semblent concorder avec ses graphiques, qui tordent plus ou moins la réalité historique, mais qu'heureusement, plusieurs physiciens et scientifiques ont détectées et mis en exergue, en publiant beaucoup d'articles qui dénoncent la véracité de ces prévisions qui sont collées sur la propagande politique et non sur la réalité scientifique.

 

Le GIEC joue aux devins et 10 % de la population mondiale y souscrit, à cause de la propagande à cet effet soutenue par Al Gore et son (global warming). Une farce monumentale, comme l'a été la campagne contre le DDT et le trou d'ozone. D'ailleurs, Bush père appelait Al Gore, monsieur ozone, qui s'est enrichi avec se thème et a enrichi à peu près tous les industriels qui fabriquaient de réfrigérateurs fonctionnant au gaz CFC, en forçant tous les utilisateurs de ces réfrigérateurs à changer leurs appareils, pour des appareils nouveaux fonctionnant avec des gaz autres que le CFC. Une saga qui va passer à l'histoire comme une des arnaques scientifiques de notre civilisation.

 

Remarque que ce changement de cap, à favorisé l'emploi et l'enrichissement collectif de l'occident, ce qui n'est pas un mal en soi, mais quand même une hérésie scientifique, qui malheureusement jette une ombre sur la science en général et surtout sur les prétentions du GIEC.

 

Concernant les DDT et son bannissement, qui à probablement tué plus de personnes que les deux guerres mondiales mises bout à bout et cela pour s'apercevoir 40 ans plus tard, que les DDT était la parade parfaite contre les insectes piqueurs qui affectent la santé des personnes vivant près des marais

 

De plus comme je l'ai souligné plus tôt, il n'y a aucun modèle qui peut inclure toutes les anomalies ou les contingences qui peuvent affecter le climat futur.

 

 

Bonne journée

 

Vinety

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