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Salut tout le monde.

 

Mon attirance pour le ciel remonte à l'enfance, mais je ne sais pas d'où elle vient :closedeyes: Je ne connaissais pas d'astram et n'avais jamais eu l'occasion de mettre l'oeil à l'oculaire. Il y a peu, je ne savais même pas qu'il y avait des observatoires près de chez moi et qu'ils recevaient le public!!

 

Mais j'ai toujours été proche de la nature, un peu solitaire, j'aimais le calme de la nuit. Et l'univers, si mystérieux, me passionnait. Très tôt, je me suis demandée de quoi l'univers était composé, comment le système solaire s'était formé etc ...

 

Plus tard, je lorgnais les télescopes dans le magasin multimédia où je me servais pour le matos photo. Mais je me disais que je n'en aurais jamais, c'était cher, encombrant, ça paraissait difficile à utiliser, et puis j'avais un tout petit appart sans balcon...

 

Eh bien il ne faut jamais dire jamais :)

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A l'âge de 9 ans, pages 30 et 31 du tome 1 de Tout l'Univers (l'encyclopédie rouge vous savez ? ). Il y avait le système solaire de représenté. J'ai commencé à faire des petites fiches que j'ai toujours...Et c'est parti ainsi....Ensuite, premier contact avec le ciel : capella du Cocher que je voyais scintiller tous les soirs en grimpant dans la voiture pour aller chercher mon père à la gare de Clermont de l'Oise...

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Nota: si ce post est jugé trop long, je le tronquerais, avec renvoi vers la version complète, je voudrais pas avoir l'air de phagocyter !:)

 

Comment j'en suis arrivé là

 

Quand j'avais 6 ou 7 ans, dans les années 60, mon grand père m'a offert le bonheur d'une visite au planétarium du palais de la découverte, à Paris: émerveillement!

Quelques temps plus tard ce coquin de papy m'offrait un beau livre qui résumait les connaissances sur l'astronomie compilées en 1955 et les rendait accessibles aux "garçons et filles" de cette époque moderne.

Astronomie pour garçons et filles

Il est résulté des agissements coupables de mon grand père que j'ai commencé à lever mon nez plus souvent vers le ciel. Lever mon nez avec une autre forme de curiosité, avec derrière mes yeux éblouis, un certain nombre de neurones occupés par des questions, des questions d'espace, des questions d'existence de temps et de distance, la question de l'infini, l'image énigmatique de cette bulle qui devrait tout contenir mais qui elle même devrait bien être contenue par quelque chose.

Ce filou de grand père m'offrit aussi, plus tard, des condensés vulgarisés des connaissance de l'époque sur la physique et l'énergie nucléaire et aussi le livre de Lucien Barnier "aux frontières de l'inconnu" (Gautier Languereau Paris, édition originale numérotée de juillet 1965) qui en 157 pages (156 numérotées) finit d'ouvrir une insatiable curiosité dans ce cerveau en cours de construction.

Pendant des vacances je visite avec gourmandise l'observatoire de Haute Provence ou l'on m'explique comment on détermine la composition d'un objet lointain par la décomposition de son spectre lumineux. Je suis étourdi par l'ambiance sous le grand dôme dont le plancher tourne pour permettre le suivi des astres.

 

Pour mes dix ans ce grand père, absolument décidé à poursuivre son terrible acharnement à faire de moi un scientifique, m'offrit une petite lunette de marine de 30 ou 35mm d'ouverture. La mise au point se trouvait en étendant plus ou moins le tube télescopique. L'oculaire n'était pas un "LongEye" et il fallait de la concentration pour trouver la bonne posture et lire le contenu de la "vignettte".

Je ne vis jamais vraiment le ciel dans cette lunette, depuis mon 6eme étage d'un HLM de Boulogne Billancourt,

mais je voyais les lumières de la ville, la profusion naissante des enseignes lumineuses, les fenêtres du bureau de mon papy, rue Diaz, les collines de St Cloud. Nous avons encore une fois déménagé, ma lunette fut égarée comme l'essentiel de mes affaires à l'exception des livres. Les années qui suivirent, à Bruxelles puis Paris, Aix en Provence, Marseille et encore Paris ne firent pas de moi un scientifique ni un astronome mais un Architecte, on fait ce qu'on peut. Mon papy n'en fut pas découragé et je lui dois encore les livres les plus merveilleux qui soient sur l'Architecture et son histoire sur chaque continent, sur les civilisations et les arts.... Le papy est parti, les livres de mes 20 ans ont été rangés avec ceux de mes dix ans. Le boulot, le mariage, la maison, les enfants et la course à l’échalote du monde libéral ont tout dévoré sauf ma curiosité. 35 ans passent sans qu'on s'en rende compte!

 

La curiosité a survécu à l'usure du quotidien. Elle a marqué absolument tout dans ma vie, mon travail, mes loisirs, ma vie affective, mon goût pour les autres, mais l'astronomie restait pour moi une chose inaccessible, totalement réservée à des gens sérieux et sérieusement financés: je n'y pensais pas une seconde. En 1969 j'ai assisté en direct sur la télé de mon autre grand père, au premier alunissage des cosmonautes Américains, puis j'ai vu la photo du coucher de Terre sur la Lune et de nouveau regardé vers le ciel. J'ai construit de gros modèles d'avions RC, de magnifiques planeurs (ASW15B en 5m00 d'envergure) et des drônes; j'ai installé des caméras dans des jouets ou sur mon casque de parapentiste, j'ai appris à assurer moi même la maintenance approfondie d'une moto d'enduro, à dessiner mes projets d'architecture et d'espaces publics en 3D; j'ai lu Hubert Reeves en rêvant (et en retrouvant les questions qui me taraudaient vers l'âge de 10 ans), mais jamais je n'ai osé penser que je pourrais scruter le ciel... et y voir autre chose que des points lumineux éparpillés.

 

Dans les années 2000 j'ai dormi sur le toit d'une bergerie au Maroc et pris une grande claque: comme dans l'Algérie de mon enfance le ciel était une folie! Je n'ai réussi à m'endormir que très tard, en me couvrant le visage d'un cheich, seul moyen de quitter des yeux la voûte étoilée de ce ciel incroyable!

Je me suis alors rappelé qu'en 1970 on pouvait, en France aussi, avoir parfois ce spectacle merveilleux et compris à quel point la pollution, qu'elle soit lumineuse ou due aux particules en suspension est en train de nous voler le ciel rapidement et massivement:

 

 

J'avais eu en cadeau, vers l'âge de 20 ans un Reflex argentique déjà ancien (Pentax avec un 50mm et un zoom 125mm magique pour les portraits "vivants" de loin) cette merveille me permit de découvrir les bases minimales de l'optique, ou plutôt de la photo: focale, profondeur de champ, lumière, contraste, et le N&B en 400 Asa... faire une photo nette et avec de vrais noirs, de vrais gris et un blanc pur, c'était bien, on attendait le tirage en espérant que le labo n'ait pas foiré (ou échangé!)le négatif. La couleur c'était avec le polaroïd.

Puis pour des raisons pratiques (en moto, le gros reflex... gaaasp) j'ai eu ensuite divers appareils compacts ( Minox, IXUS entre autres petites merveilles) faciles d'usage mais aux rendus souvent un cran en dessous du reflex.

 

Lassé des compacts j'ai donc craqué en 2010 pour un NEX5 de Sony, avec son 16mm "pancake" et le 18/200mm. J'ai alors repris ce gout de la photo et de la lumière ciselée, tout cela bien aidé par le logiciel DXO pro qui débouche les contrastes et corrige les défauts optiques.

 

Un soir, avec le NEX, j'ai pris une photo de la Lune, appareil en appui sur un muret...

 

Grave erreur, grosse bêtise: le doigt dans l'engrenage, un truc à ne jamais faire!

Photographier la Lune,

être surpris par une belle image,

puis déçu par une autre, recommencer, consulter internet pour comprendre comment faire, fouiner et découvrir des sites, les forums, et les fabriquants d'optique photographique. Découvrir qu'en 2010 il existe des millers de cinglés qui scrutent le ciel avec des jumelles, des Lunettes ou des scopes de toutes les tailles.......

Renoncer à un télé objectif catadioptrique chinois car c'est un mauvais objectif terrestre et que je ne pense alors pas vraiment à l'astronomie mais à la Lune, aux phoques de la baie de Somme, aux planeurs du club qui survolent mon jardin, et aux avions du Paris Londres qui polluent mon ciel

 

 

Fouiller le net en essayant de comprendre ce qu'est le rapport F/D et pourquoi il est essentiel en photo, essayer de s'approprier les échelles et les grandeurs. Tout ça, bien sûr, dans les temps morts à la maison, en zappant à toute vitesse d'un site à l'autre et sans prendre de notes.

 

Conséquence:

C'est devenu une obsession, renouer avec cet élan vers le ciel qui m'avait parcouru il y a 50 ans!

Je ressors de la bibliothèque les livres de mon enfance et suis à la fois surpris de leur qualité en termes de vulgarisation et d'illustration et abasourdi par le chemin franchi par les sciences en un demi siècle.

Je le savais bien entendu mais la mise en parallèle des ouvrages donne le vertige. Je suis aussi totalement subjugué par le rôle d'internet, dans ces années 2000, qui met à la portée de n'importe quel curieux les idées, les recherches, les débats, les images que produisent des milliers de chercheurs, de techniciens et d'amateurs.

Pendant que je cherche quel matériel serait adapté à mon envie pas encore bien clairement définie, je découvre les forums, Webastro en particulier, qui me permettent tout doucement de comprendre le sens des mots comme azimut, monture équatoriale, suivi...

Je télécharge de petits logiciels et tente me premières images du ciel avec mon NEX posé sur un petit trépied. Résultats très moyens bien entendu mais l'envie de poursuivre se fait plus forte.

Ce que j'ai en tête à ce moment précis c'est:

Le rapport F/d doit être raisonnable pour ne pas devoir forcer les ISO en photographie

Ce sera plutôt une lunette, plus adaptée à l'utilisation terrestre (http://jmd-blogapart.over-blog.com/photo-1890380-DSC04385_JPG.html) qu'un réflecteur (avec la complication, qui me rebute à tort, de la colimation).

Ce sera donc un réfracteur de 80mm avec une monture motorisée pour le suivi, si possible en apochromatique pour ne pas avoir de franges colorées sur les images.

Je souhaites pouvoir faire du visuel et de la photo, du terestre et du ciel. Pourquoi faire simple...

 

La suite ce n'est déjà plus le début.... mais on la trouve ici, avec toutes les illustrations de cet article que j'ai publié sur mon blog, un après m'être lancé.

ici: http://jmd-blogapart.over-blog.com/article-astronomie-amateur-retour-d-experience-s-105491121.html

Désolé, c'est un peu long pour un post....

Jean-Marc

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  • 4 semaines plus tard...
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Allez un petit up pour les nouveaux.

Je ne sais pas pourquoi je vous conseille le début de la page 2 :be:

Bonne journée.

Luc;)

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Tout a commencé avec une encyclopédie au chapitre de Galilée. Je regardais son dessin de saturne et, du haut de mes 13 ans, j'avais dit à mes parents qu'il était trop nul, qu'il ne savait même pas dessiner les anneaux.

Plutôt que de se lancer dans une discussion interminable, mon père m'a acheté une lunette 60/700 et m'a mis au défi de faire mieux.

Grande leçon d'humilité.

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Vers l'âge de 6 ou 7 ans .

 

c'était en été et nous revenions à pied avec mes parents et des amis de la fête votive au village voisin. Tout celà se déroulait dans le département du Gard dans les années 70

 

Les deux villages, distant d'environ 1,5 kilomètres, étaient relié par un petit chemin sans aucuns lampadaires. Il devait être aux alentours de 1 heure du matin.

Le temps de faire le chemin retour, nos yeux s'étaient habitué à l'obscurité et à mi parcours en levant la tête il y avait la Voie Lactée qui traversait la voûte céleste dans un poudroiement d'étoile ... le choc !

 

Je pense que c'est à cet instant précis, sur ce petit chemin de campagne gardoise que ma passion est née .

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Allez un petit up pour les nouveaux.

Je ne sais pas pourquoi je vous conseille le début de la page 2 :be:

Bonne journée.

Luc;)

 

C'est chaud de répondre en quelques mots à cette question !

Quand j'ai lu les réponses, plein de choses me sont revenues en mémoire :

 

- Les "tout l'Univers" of course : les cartes du ciel, la construction d'un télescope avec ces pages pour la fabrication d'un miroir. J'en ai passé du temps dans ces bouquins chez les grands-parents puis après chez moi :be: (je les aient réquisitionnés). Ben oui, y'avais pas encore Internet !

- les vacances sur la côte et les Perséides, fantastique !

- les vacances d'été en montagne : je n'avais jamais vu un ciel si noir !

- 2 éclipses partielles de soleil observées avec 4 paires de lunettes de soleil (faut pas le faire hein!).

- une petite lunette jouet qui m'a quand même permis de me familiariser avec le ciel nocturne, et faire de la projection solaire sommaire.

- les jumelles 8x30 de papa subtilisées et détournées de leur usage diurne (je les utilise encore d'ailleurs),

- la comète Hale-Bopp en 97,

- Ciel et espace,

- l'éclipse solaire de 99,

- la sensation à la limite d'en pleurer quand je regarde un beau ciel fourmillant d'étoiles, on se sent si petit !

- le rêve d'avoir enfin un jour un "petit" télescope...

- et tous ces bouquins d'astro remplis d'images magnifiques.

 

Toutes les conditions étaient réunies pour qu'un jour enfin je m'y mette un peu plus sérieusement, mais il m'aura fallut attendre plus de 30 ans.

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  • 3 années plus tard...
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Bonjour

Encore un up pour ce post dont j'ai bien pris du plaisir à relire des passages.

J'étais bien allumé quand j'ai raconté mon histoire en page 1.

Bonne journée.

Luc

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Bonjour, 

C'est un fil plaisant à parcourir :)

De mon côté, ce fut assez tard, il y a 3 ans. Comme un truc au coin de l'oeil quand on est concentré sur autre chose. Le petit truc en réunion qui nous fait décrocher, un petit détail qui attire toute l'attention mais, dans ce cas, le petit truc se révèle tellement vaste qu'on peut s'y replonger constamment avec un égal plaisir et une même curiosité. 

 

Ça a commencé en décidant de faire un enfant, enfin, c'est comme ça que je vois les choses. Cette décision à eu plusieurs conséquences dont 2 propices à l'intérêt pour l'astronomie.

La première a été un rejet de l'actualité subie. Je fait beaucoup de route et les points d'actualité horaires me minaient au point que je ne pouvait pas envisager un enfant dans le monde actuel. Heureusement, le podcast existait, je me suis mis de plus en plus à écouter des émissions de vulgarisation scientifiques.

Cela a préparé le terrain à la deuxième conséquence de la naissance de ma première fille, le déménagement à la campagne.

En janvier/février, il y a 3 ans le ciel était clair et dégagé le matin. Les routes de campagne du nord est toulousain sont entourées de champs, le terrain est très dégagé.

C'est là qu'il y a le petit détail dans le coin de l'oeil qui distrait et attise la curiosité qui entre en scène. Ce détail était un point très brillant au levé du jour, assez haut dans le ciel.

Cela m'a fait lever la tête le soir en fumant ma clope. Cela a attisé ma curiosité, alors j'ai acquis un petit instrument un 4"1/4 pour voir. J'ai vu en premier la lune, mais cela m'a moyennement emballé, j'ai alors pointé Jupiter et voilà. 

 

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Bonjour,

agréable à lire ce post.

je crois que je suis né la tête dans les étoiles,

je me suis toujours posé ses questions:

-qui sommes nous?

-d’où venons nous?

-ou allons nous?

depuis que je suis gosse je n'ai qu'un rêve, celui de pouvoir dormir 1000 ans, puis être éveillé 1 ans, et ainsi de suite, 

ça serait fabuleux, j'aurai certainement toutes "mes" réponses, mais ce n'est qu'un rêves, pour m'aider dans ma soif de connaissance j'avais  la collection tout l'univers (18 volumes)

je les aient lu au moins deux fois, ainsi que tous les dictionnaires que je trouvais, pour l’anecdote ma belle mère m'avait offert le petit robert pour mes 18 ans :),

bref, "mes" réponses sont au delà des étoiles ^^.

depuis 40 ans je me tords le cou et j'adore ça,

je me suis offert une paire de jumelle il y a environs 20 ans (le matos astro était encore hors de porté)

20 ans plus tard mon premier télescope :laughing:

 

 

 

 

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Pour ma part, ce fut un processus assez long. Aussi loin que je me souviennes, j'ai toujours été passionnée par l'espace et les étoiles. D'ailleurs, je me rappelle toujours cette anecdote au catéchisme quand on a commencé à parler de la création du monde, j'ai posé 2 questions "et Lucy?" "et le Big Bang" :be:.  Je devais avoir  7/8 ans, je me souviens juste que du coup, je suis retourné à mes livres de préhistoire et d'astronomie pour enfant, préférant croire à ça. Je me rappelle aussi d'une visite au futuroscope, toute petite, posant en cosmonaute (on disait comme ça à l'époque). 

 

Je crois me rappeler que j'avais eu en cadeau à noël avec ma soeur une petite lunette astro, du style jouet pour enfant, mais qu'elle n'a pas trop servi par sa piètre qualité et aussi en raison du ciel bien pollué de la petite couronne du bassin parisien. Du coup, je me contentait de lire quelques  livres d'astronomie (enfin surtout de regarder les images :be:), et de contempler les étoiles en vacances. Par contre, pour répondre à ma première question existentielle, ben je m'orientais quand même vers des études de préhistoire :)

 

Bref, il y a 5 ans, après bien des années, je déménage en province, dans une campagne pas épargnée par la pollution lumineuse, mais quand même moins qu' à Paris, et là, les étoiles réapparaissent à mes yeux  et tous les (rares) beaux soirs d'été je passe ma soirée le cou en l'air à rêver, à raconter à mon chéri le coup du catéchisme, la scène du roi lion sur les étoiles, à raconter la nouvelle de Bradbury nommée "kaleidoscope" etc... (il est patient mon chéri ;))

 

Puis, l'an dernier, après des années dans la préhistoire, heureux hasard,  je dois travailler sur l'histoire de... l'astronomie (entre autres, je passe les détails). Bref, ça + les étoiles la nuit, ça m'a donné, par une grise journée de pluie et d'ennui, après avoir médité sur la vie de Giordano Bruno, Galilée et Newton,  à me demander "ben au fait ça coûte cher un télescope?". Et là,  presque 30 ans après mes 1eres questions existentielles, je découvre que les premiers prix sont abordables pour mon budget! Voilà comment je me suis payée ma petite lunette astronomique de 90 mm qui ferait pâlir de jalousie Galilée :wub:.

 

Bref, je me sens vraiment heureuse en écrivant ça, car je réalise que  j'ai pu réaliser 2 passions d'enfance (la préhistoire et l'astro), et ça, ça n'a pas de prix

 

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Bonsoir,

Savoir ce qui nous pousse dans la vie, les choix que l'on fait ou décide de faire à tel ou tel moment ...met parfois notre raison et le sens commun de coté. La passion a bien quelques motifs raisonnables et raisonnés d'exister ; on ne fuit pas simplement l'ennui...mais il y a aussi des racines qui plongent profondément dans notre mémoire.

cette intro pour vous relater le fait que je me suis intéressé très tard à l'astro : un an après la mort de mon père, c'est vous dire que je ne suis pas jeune (civilement). La mémoire s'active même inconsciemment, comme ces balades de jeunesse quand j'avais 3-4 ans le soir autour d'un chateau dans la plaine...recherche des vers luisants pour un enfant qui croit aux étoiles tombées...désir de voir dans le miroir d'une grande vasque circulaire de six mètres qu'abritait le parc du château derrière un mur, alors sur les épaules de mon père, ce beau miroir plan à la nuit tombée, entourée de jeunes peupliers d'Italie reflétait des étoiles, des étoiles...et je plongeais en rêve et la plongée se transformait en montée (logique si l'on songe).

Plus tard, vers 8-9 ans, mon père, qui travaillait pour une imprimerie, m'offrit la collection Tout l'Univers, publiée pour les jeunes, abondamment illustrée et traitant de tous les sujets : il y avait une série d'article sur la construction du télescope d'amateur : un bon 150mm à F/D8 tout en 4 planches de bois; mon père s'y intéressa fortement quelque temps ( au point de me confisquer l'album !! ) puis me le rendit, dubitatif. on vivait en province dans les années soixante et je pense qu'un accessoire indispensable n'était pas trouvable alors (internet n'était même pas concevable à l'époque) et un possesseur d'une lunette de 60 mm passait pour un original ! Puis il s'est intéressé à la photographie, entra dans un club photo et connut quelques succès avec "le prix du public" vers la fin de sa vie...

Dans son atelier je conserve mes instruments, c'est là où je bricole...parfois j'ai un problème technique qui m'énerve comme chacun...mais je sens que la solution m'est soufflée...et comprends maintenant la relation de l'étant avec l'être...de nos vivants pourtant l'on ne s'entendait pas toujours , loin de là, tant nos caractères différaient.

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@ Catluc: 

Une riche idée que d'avoir réveillé ce post !

Belles lectures qui donnent du sens à notre passion, dont nous savons tous qu'elle est assez éloignée de la raison pure, tant nos efforts sont vains face à la puissance phénoménale de la vraie science, de la folie d'Acatama et des télescopes spatiaux.

C'est sans doute dans ces lignes que l'on comprend pourquoi, dans cette communauté d'astronomes amateurs (& trices), on rencontre plus qu'ailleurs  l'empathie, le goût de collaborer et de s'entraider, la capacité à s'émerveiller et... si peu de mépris que c'en est incroyable, pour celui qui a parcouru d'autres forums.

Ils sont rares les espaces comme celui ci.

Bravo les webastrams, je vous aime.

JMD

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Houlala! Ça remonte à un sacré moment. Attention ça va être long. 

 

J'avais 3 ans. Mes parents tenaient un hôtel sur la Côte-d'Azur (il s'agit de l'hôtel Brise-Marine à Saint-Jean-Cap-Ferrat , allez voir il est très joli).

 

Durant l'été 69 (en juillet pour être précis ) une effervescence régnait à propos de la mission Appolo 11. Le jour où Neil Amstrong devait poser son module Aigle sur la surface lunaire approchait. A l'époque, il n'y avait pas de télévision dans toutes les chambres de l'hôtel. En revanche, nous avions un salon télévision. Cette nuit là (il faisait nuit à l'heure de l'alunissage) tout l'hôtel c'était donné rendez-vous devant le poste télé. Moi, on m'avait déjà couché. Mais, j'avais senti cette effervescence et me revoilà debout pour rejoindre tous les autres. Me découvrant là, mon Papa me demanda ce que je voulais et je déclara que moi aussi, je voulais voir les "mazéricains" sur la Lune. Requête acceptée , j'assistais au spectacle retransmit en mondovision sur les genoux de Papa. 

 

Mais Papa comment fait-on pour aller sur la Lune?

-Eh, bien mon fils, il faudra commencer par aller à l'école (à l'époque l'école à 3 ans n'était pas encore obligatoire, Jupiter n'était pas encore aux commandes). Ensuite, il faudra devenir pilote (de chasse de préférence) et ensuite devenir astronaute. 

-Ok, je serai pilote de chasse, alors.

Mes parents n'y ont pas cru, mais pour me faire plaisir, ils m'offraient de magnifiques livres sur l'astronomie et Saint Graal , je reçu pour mes 12 ou 13 ans un superbe PERL JPM 115/900. 

 

Quelques années plus tard, je rentrais dans l'Armée de l'Air pour une carrière de 20 ans en tant que pilote de Mirage 2000. Mais, je n'irai pas plus haut. Je me suis vite rendu compte que je n'étais pas assez intelligent, ni assez travailleur pour devenir spationaute. J'avais cependant réussi une première étape de ma démarche au grand étonnement de mes parents, ce qui ne les a pas empêché d'être très fières du travail accompli. 

 

Pendant, ces quelques années mon bon vieux JPM avait été un peu oublié, mais toujours bien stocké et entretenu. Et, voilà que je découvre les belles images planétaires de PascalC (que je salut) effectuées avec un JPM. C'était reparti.

 

Bien sûr, trop limitatif le JPM s'est découvert un jeune grand frère quand le Père Noël m'apporta un SW254/1200 sur AZ-EQ6. Depuis, je suis inscrit sur WA et en face, je suis membre de trois clubs d'astronomie et je vous saoule avec mon histoire. 

 

Bon ciel à vous et merci à ceux qui ont eu le courage de me lire. 

Modifié par Larbucen
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il y a une heure, Larbucen a dit :

(à l'époque l'école à 3 ans n'était pas encore obligatoire, Jupiter n'était pas encore aux commandes).

De nos jours, ce n'est toujours pas obligatoire... il y a bien un projet sur la table, mais l'école à 3 ans est encore facultative ;)

 

Belle histoire sinon ;)

 

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Oui, bon, en pratique, 90 pour cent des parents scolarisent déjà leurs enfants dès 3 ans....

Posté (modifié)
Le 13/04/2018 à 11:51, Larbucen a dit :

Quelques années plus tard, je rentrais dans l'Armée de l'Air pour une carrière de 20 ans en tant que pilote de Mirage 2000. Mais, je n'irai pas plus haut. Je me suis vite rendu compte que je n'étais pas assez intelligent, ni assez travailleur pour devenir spationaute. J'avais cependant réussi une première étape de ma démarche au grand étonnement de mes parents, ce qui ne les a pas empêché d'être très fières du travail accompli. 

 

 

Une belle histoire ta rencontre avec les étoiles. En revanche, je te trouve bien modeste : être pilote de chasse dans l'armée de l'air, faut déjà, sauf erreur de ma part, être sacrément bon dans quelques disciplines comme les maths !  Par la suite, devenir spationaute, n'y a-t-il pas aussi, à ce niveau,   un petit facteur chance qui pourrait intervenir pour être l'heureux élu ?

 

Au passage, tu résides dans l'Oise ! C'est à Clermont que ma passion a bondi à l'âge de 8/9 ans....J'ai de merveilleux souvenirs de nuits glaciales en hiver 86....

Modifié par Gildas974
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il y a 27 minutes, Gildas974 a dit :

Au passage, tu résides dans l'Oise ! C'est à Clermont que ma passion a bondi à l'âge de 8/9 ans....J'ai de merveilleux souvenirs de nuits glaciales en hiver 86....

En 86, j’habitais encore sur la Côte-d’Azur. J’étais en deuxième année de DEUG de math à la FAC de Valrose de Nice. C’est moins loin que la Réunion. 😉

 

Je me suis installé dans l’Oise pour la proximité avec l’aéroport de CDG, car aujourd’hui,  je suis pilote à AF. Du coup, j’ai eu l’occasion de me balader à Clermont et même à Thury-sous-Clermont qui possède un observatoire amateur bien entretenu. https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/picardie/oise/thury-clermont-60-observatoire-astronomique-peu-plus-pres-etoiles-811639.html

 

Merci Gildas et bon ciel. 

Modifié par Larbucen
Posté
il y a 41 minutes, Larbucen a dit :

j’ai eu l’occasion de me balader à Clermont et même à Thury-sous-Clermont qui possède un observatoire amateur bien entretenu

 

merci, je viens de décourvrir cette observatoire , une bien belle histoire

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Bonjour, bonsoir

 

 

 

En vacances chez tati et tonton à proximité d’Aix en Provence, au fond d’un carton de machine à tricoter, près de ma mère, je comptais les étoiles du ciel……

Puis plus rien…

Devant le téléviseur dans les années 80 avec Carl Sagan et Cosmos, mon pôte André et moi nous nous émerveillions des mystères de l’univers….

Puis plus rien….

De temps en temps pendant le mois d’Août en vacances dans le Tarn, mon pôte André me faisait chercher d’un œil tendu la galaxie d’Andromède, la seule galaxie visible sans instrument, près de la grande Ourse me disait-il !! je comprends maintenant pourquoi ne l’avoir jamais aperçu.

Puis plus rien….

 

Puis 60 ans…. que désires-tu que je t’offre comme cadeau, mon chéri ? me demanda ma tendre et douce dulcinée (et oui ça existe encore à 60 ans).

…… je m’en occupe, répliqu’ai-je doucement ! Je savais sans savoir.

 

Quelques jours plus tard , ma carte bleue crépitait chez Céline et Sébastien de la Clef des Etoiles (j’habite en périphérie de Toulouse).

 

Newton 200/1000 sur EQ5 GoTo, Je possédais un EOS 600D, c’était parti.

 

j’ai prévenu mon pôte André de la chose en lui adressant mes premiers clichés de la Lune et de la nébuleuse d’Orion, il m’a alors répondu :

 

« J’ai eu une belle émotion en considérant la signification de ces images capturées avec ton appareil nocturne. Nous sommes tous Lucy, et notre regard scrute aussi la voute céleste mais cette fois ci pas pour s’en effrayer ni pour s’élever jusqu’au rang d’un possible divin. Tout simplement, regarder, s’émerveiller de la beauté des choses, ouvrir le grand livre de l’espace et profiter tout simplement du temps de la nuit. »

C’est dans cette disposition là que j’ai abordé à 60 piges et maintenant depuis presque 3 ans l’astronomie et plus modestement l’astrophotographie.

 

Alain  :)

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  • 2 semaines plus tard...
  • 1 année plus tard...
Posté (modifié)

Perso en plein jour avec un astram ami de ma famille, j'ai vu une araignée ENORME dans un candélabre à 50 mètres,je détestais ces bestioles,

vers 1985, j'avais 7ans.

le scope était noir et orange.

il tenait sur la table.

C'est resté dans ma tête,

 

Quelques semaines après c'était un quartier de la lune,

des dentelles découpées, des ombres partout, des détails.

.................................

ensuite à 40 ans,

33 après donc !!!!!

j'ai acheté une lulu 70/900, avec mon fils de 7ans pour voir ensemble.

et mon premier scope 150/750 dans les mois qui suivaient.

Et depuis, on a acheté une tente et des matelas.

@ pas d'âge pour profiter.

 

@++

Bruno74130

 

Modifié par Bruno74130
  • 3 années plus tard...
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Chez ma grand-mère, il y avait un grand livre genre encyclopédie astronomique ; un très vieux souvenir, je ne savais pas encore lire.

Il y avait beaucoup d'images de planètes,coloriées de couleurs vives, et quelques photos aussi, en noir et blanc, dont une qui me fascinait : elle prenait une partie de la page : une énorme boule d'étoiles, serrées les unes contre les autres, dont certaines semblaient s'échapper sur les côtés....cette photo me faisait aussi un peu peur .....je refermais le livre, pour ne plus la voir, mais le rouvrais ensuite rapidement, un peu au hasard...en espérant retrouver cette image qui me fascinait.

Sur la page ouverte, je rapprochais ma main pour la toucher, en craignant presque que cette boule d'étoiles n' explose sous mon doigt...

C'est ainsi que j'ai vu probablement mon premier amas globulaire...

 

Plus tard à l'école primaire, vers l'âge de 7 ans, j'étais une élève plutôt moyenne, on se plaignait un peu de mon étourderie...il paraît que " j'étais dans la lune"...( tiens tiens! ..)

Mais une fois, en classe, la maîtresse a parlé des étoiles...des lumières si lointaines , et expliqué que ce que l'on voyait à un moment précis n'existait peut-être plus, tellement la lumière avait mis du temps pour arriver jusqu'à nous....

Je suis rentrée de l'école en me disant que pour une fois , j'avais été attentive et écouté toute la leçon...et mes petits tracas d'écolière me semblaient soudain bien mineurs...

Le weekend, la maison de campagne en famille, l'arrivée le vendredi soir, à la nuit, dans le petit hameau picard, et sortie de la voiture sous un ciel noir et une voie lactée éblouissante !! C'était autre chose que le ciel parisien!....

Moi je voulais rester pour regarder...mais non...il fallait rentrer, ne pas prendre froid, aller se coucher....

Modifié par Lune cendrée
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Salut,

pas du tout dans l'enfance, encore que mon père s'était beaucoup intéressé à la construction d'un telescope amateur mais avait buté sur une difficulté (c'était dans la grande série de tout l'univers, un ouvrage qui n'existe plus ).

bien que l'optique m'est un tant intéressé , c'est sur le tard, vraiment tard, que je m'y suis intéressé... quasi par hasard, quelqu'un à mon travail voulait se débarrasser de son mak 90/1250 (un Meade) et me l'a prêté pendant les vacances de 2012, j'avais perdu mon père la même année et je savais pas trop quoi faire cet été....Ca m'a enthousiasmé, j'ai bien vite racheté des lunettes, neuves et anciennes, puis un plus gros telescope : je me suis formé tout seul, un peu avec difficulté mais j'ai eu pas mal de chance au début entre ma seine et marne natale et les Cévennes : je suis tombé sur de très bons ciels et j'ai avancé vite malgré un boulot de plus en plus prenant. Je réalise maintenant qu'avec les ciels effroyables qui nous tombent dessus, aujourd'hui, à quel point, je suis allé sur les meilleurs bons moments. Début avril 2014 en ciel cévenol j'ai fais quasiment toutes les galaxies de la Vierge à la lunette de 80 mm !!! tant j'ai eu un ciel noir de fou ! Va poser ta lunette maintenant dans les Cévennes c'est pourri de vents et de nuages !

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il y a 41 minutes, PEV77 a dit :

la construction d'un telescope amateur mais avait buté sur une difficulté (c'était dans la grande série de tout l'univers

Haa...! " Tout l' univers" et son grand classeur rouge...

Je n'avais que les 2 premiers numéros sur la confection de ce télescope...et je ne suis pas la seule à avoir rêvé dessus..

Et c'est avec surprise et grand bonheur que j'ai retrouvé toute la suite , relié et en parfait état l'an dernier dans une boîte à livres à Bruxelles...

C'était tout de même complexe à réaliser!

Si un nostalgique du forum est intéressé, je le lui envoie avec plaisir....

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Il y a 12 heures, Lune cendrée a dit :

Plus tard à l'école primaire, vers l'âge de 7 ans, j'étais une élève plutôt moyenne, on se plaignait un peu de mon étourderie...il paraît que " j'étais dans la lune"...( Tiens tiens! ..)

Mais une fois en classe, la maîtresse a parlé des étoiles...des lumières si lointaines , et que ce que l'on voyait à un moment précis n'existait peut-être plus, tellement la lumière avait mis du temps pour arriver jusqu'à nous....

Je suis rentrée de l'école en me disant que pour une fois , j'avais été attentive et écouté toute la leçon...et mes petits tracas d'écolière me semblaient soudain bien mineurs...

Le week-end, la maison de campagne en famille, l'arrivée le vendredi soir à la nuit dans le petit hameau, et sortie de la voiture sous un ciel noir et une voie lactée éblouissante !! C'était autre chose que le ciel parisien!

Moi je voulais rester pour regarder...mais non...il fallait rentrer, ne pas prendre froid, aller se coucher....


Bonjour Ma Chère Lune Cendrée, la Bruxelloise,   :)

Grand Merci d'avoir ressorti ce sujet de sa léthargie.   :be:

Il y a un autre très ancien sujet sur Webastro qui mériterait de l'être aussi :
"
Et vous ?" [   https://www.webastro.net/forums/topic/18611-et-vous/] auquel j'ai déjà répondu trois fois...   ;)

Avant de terminer mon intervention, il y a un deuxième très ancien sujet sur Webastro qui mériterait lui aussi d'être remis en activité :
"
Quelle est votre observation la plus mémorable ?" [ https://www.webastro.net/forums/topic/32265-quelle-est-votre-observation-la-plus-mémorable/  ] et [  https://www.webastro.net/forums/topic/32265-quelle-est-votre-observation-la-plus-mémorable/?do=findComment&comment=416345 ].

Roger le Cantalien.   :rolleyes:

48.gif

Modifié par roger15
Rectification d'une erreur de frappe. Désolé...
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