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Rêve prémonitoire


gil31

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Salut tout le monde,

 

Pour la 1ère fois de ma vie j'ai fais un rêve prémonitoire (en tous cas le 1er dont je me souviens), ça s'est passé il y a 6 mois environ :

 

Je suis donc dans une ambiance "je dois tuer mon père" (ouiii je sais, je sais, mais j'en fais pas souvent des rêves comme celui là ;)) Et il se trouve que je pousse ma frangine à le tuer... ce qu'elle fait, avec un couteau qu'elle lui plante dans le dos au niveau de l'omoplate gauche. Mon père ne meurt pas, il a juste très mal, est très souffrant, je le prend par les épaules (je suis alors dans une ambiance "p'tain j'suis full désolé, qu'est-ce que j'ai pas fais là, il souffre, faut que je le réconforte, faut que je le soigne"), il y a juste un léger filet de sang qui coule de la fente provoquée par la lame du couteau, mais rien de bien trash.

 

Voilà.

 

Je me réveille, je trouve ça à la fois bizarre et amusant (surtout la fourberie dont je fais preuve dans mon rêve :be:), j'en parle à une copine, bon.

 

Puis un peu moins d'une semaine plus tard je vois ma mère et lui raconte, elle est d'abord amusé puis au bout de quelques minutes elle me dit "mais attend, je me souviens que jeudi ton père a eu une douleur TRES forte à l'omoplate gauche, une douleur musculaire assez fulgurante (il a dù s'allonger), une douleur aigüe, ponctuelle, totalement inattendue.

 

C'est arrivé un jeudi soir, j'ai fais mon rêve la nuit précédente, j'étais à 400km de chez eux. J'en ai discuté avec mon père, je trouve que le couteau du rêve et le type de douleur associé (enfin, ce que j'en imagine) correspondent tout à fais. L'emplacement de sa douleur et l'endroit où le couteau a été planté dans le rêve correspondent aussi au cm près, ainsi que la surface de la zone de douleur qui correspond à la taille de la lame et de la fente (une ligne verticale d'environ 5cm).

 

Voilà, j'ai trouvé cette expérience à la fois troublante et très intéressante.

 

Bon, c'est pas du tout pour ouvrir un topic "j'y crois, j'y crois pas", je m'en fous, c'est juste pour partager ce petit pan de mon histoire :cool: .

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Bonjour Gildas (puisque grâce au blog de Syncopatte, j'ai appris que c'était ton prénom), :)

 

Eh bien, moi j'y crois à ton histoire !…

 

Ca m'a fait penser à une autre histoire qui m'est arrivée le mardi 30 décembre 1997, jour de la Saint Roger.

 

Cet après-midi là, alors que j'étais dans mon bureau à la Direction de La Poste des Yvelines à Versailles, je reçois à 14h45 un coup de fil de mon frère Rémi (un peu plus âgé que moi, car il était né le 3 juin 1946, et avait donc 51 ans) pour me souhaiter une bonne fête. J'ai failli l'engueuler car je détestais qu'on m'appelle au travail pour des affaires familiales, sauf bien sûr événement dramatique… Et puis, réfléchissant qu'il avait là un geste sympathique envers moi, je me suis abstenu de lui montrer mon mécontentement… Heureusement pour moi, car sinon je m'en serais voulu tout le temps qu'il me reste à vivre…

 

Notre conversation a dû durer trois minutes et je l'ai quitté en lui disant : « merci de ton appel pour me souhaiter ma fête ». Et puis, à peine le combiné téléphonique raccroché j'ai eu un sentiment d'angoisse qui m'a envahi : et si c'était la dernière fois que je lui avais parlé ? En effet, d'habitude, il m'appelait chez moi et jamais à mon bureau…

 

Le soir, revenu chez moi à Bourg-le-Reine (Hauts-de-Seine), j'ai dit à mon épouse que j'avais été très surpris de l'appel de mon frère. Et puis, on a parlé d'autres choses et on a été dîner tous les deux en amoureux au restaurant "Le Panoramic" au Plessis-Robinson (Hauts-de-Seine), tout près de la vitre où l'on découvre un merveilleux panorama sur la banlieue sud de Paris, avec l'extraordinaire ballet des avions décollant et atterrissant des pistes de l'aéroport d'Orly…

 

Deux jours plus tard, le jeudi 1er janvier 1998, j'ai pu souhaiter à 10h30 sans problème par téléphone une bonne année à mon frère aîné Charles, mais mon frère Rémi ne répondait pas… J'ai renouvelé plusieurs fois cet appel, mais toujours pas de réponse…

 

A 18h30, nouvelle tentative, et cette fois-ci on décroche enfin !… Mais ce n'était pas mon frère Rémi, mais mon frère aîné Charles, qui était allé à son pavillon, inquiet lui aussi qu'il ne réponde pas au téléphone, et qui m'a dit que la porte de la chambre de notre frère Rémi était fermée à double tour… J'y suis alors venu avec mon épouse, et nous avons décidé d'appeler un serrurier de nos amis. Il est venu discrètement et a réussi à ouvrir délicatement la porte, sans faire aucun dégât… Je suis allé jusqu'au lit de Rémi et ai vu qu'il dormait profondément. Ça m'a rassuré !.. Hélas, en touchant son visage, j'ai vu qu'il était froid !!!…

 

Nous avons appelé le commissariat d'Antony pour avoir un médecin légiste pour faire constater le décès. Mais lorsqu'on leur a dit qu'il avait 51 ans, leur ton a changé et ils nous ont dit qu'ils arrivaient tout de suite. Effectivement, cinq minutes après ils étaient là. Et ils nous ont questionnés comme si nous étions des assassins ayant tué notre pauvre frère. Mon épouse Josette, qui jusque là admirait beaucoup la police (elle travaillait alors au Ministère de l'Intérieur place Beauvau) a été choquée par leurs questions insidieuses. Et cela a hélas duré jusqu'à 00h10 où un médecin de permanence arrive enfin et confirme que notre pauvre frère était mort, sans doute vers midi, d'une crise cardiaque…

 

Je lui ai dit « Mais, Docteur je croyais qu'on ne mourrait jamais lors d'une première crise cardiaque ? » (en effet, jamais mon frère Rémi ne nous avait indiqué qu'il souffrait du cœur et qu'il avait déjà eu des alertes cardiaques) ; il m'a répondu : « Ceux qui disent ça ont eu beaucoup de chance de s'en sortir !… Il est au contraire très fréquent que la première crise cardiaque soit aussi la dernière…»

 

Et vous pensez bien que cette nuit du 1er au 2 janvier 1998 je n'ai cessé de repenser au curieux appel de mon frère Rémi pour la "Saint Roger" 1997 et de l'angoisse qui m'avait saisie juste après avoir raccroché le combiné téléphonique…

 

Vu que mon père était mort d'un problème cardiaque à l'âge de 50 ans et demi, et comme mon frère Rémi venait de mourir à l'âge de 51 ans et demi, j'étais assez inquiet en fêtant mes cinquante ans le 12 septembre 1999 ; je n'étais absolument pas sûr d'être encore là l'année suivante…

 

C'est pourquoi, Gildas, j'y crois à ton histoire !… ;)

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

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Salut Roger (je savais que tu allais te pointer par ici ;) ). Bôôô tu sais, l'intuition que tu as eu vis à vis de ton frère... je suis tout sauf étonné. D'ailleurs j'y vois rien de si fantastico-démentiel qu'on puisse "y croire ou pas".

 

Ce qui me parait TRES compliqué, c'est de mettre des mots sur cette sensation que tu as eu après coup de fil. Elle a ceci de particulier qu'elle est indissociable de ce qui arrive ensuite. Je veux dire par là que l'importance que prend cette sensation est liée au décès de ton frère, si décès il n'y avait pas eu, elle n'aurait pas eu telle importance. Oui mais voilà : il se trouve que cette sensation n'est pas à ranger dans le placard des "simples pensées furtives", elle a quelque chose de particulier. Je dirais que si je devais mentionner une caractéristique de ce type de sensation c'est qu'on a l'impression lorsque on la vit que le temps s'arrête un instant.

Posté
Oui mais voilà : il se trouve que cette sensation n'est pas à ranger dans le placard des "simples pensées furtives", elle a quelque chose de particulier. Je dirais que si je devais mentionner une caractéristique de ce type de sensation c'est qu'on a l'impression lorsque on la vit que le temps s'arrête un instant.

 

Bonjour Gildas, :)

 

Tu as très bien résumé ce qui s'est passé, et un détail supplémentaire : je ne me rappelle très bien le temps qu'il faisait cet après-midi là sur la région parisienne : il pleuvait, et juste après ce dernier coup de fil de mon frère j'ai eu le sentiment, un court moment, alors que j'y réfléchissais, d'être entouré par d'affreux ténèbres très angoissants… :confused:

 

Roger.

Posté

C'est assez troublant ce genre d'histoire... et aussi par la même occasion fascinant.

 

Je me dois donc de vous narrer mon anecdote à propos d'un rêve que j'ai identifié comme prémonitoire plus tard.

 

Je me trouvais dans un quartier de type résidence pavillonnaire assez chic avec quelque chose d'américain. C'était le matin (du moins, c'est la sensation que j'en avais) et je regardais le ciel avec une paire de jumelles. Je vois un avion passer, assez haut. Je l'observe aux jumelles et m'aperçois qu'elles sont de vraiment bonne qualité. Soudain, le réacteur gauche de l'avion se détache, et l'avion s'écrase, au loin, au delà de l'horizon, dans un silence presque absolu.

 

Une semaine plus tard, à New-York, qui ne s'était qu'à peine remise du 11 septembre, un avion perd son réacteur gauche après avoir décollé et s'écrase dans un quartier pavillonnaire de la ville après l'avoir survolé, en pleine matinée dans un ciel clair. Il n'y a pas eut beaucoup de victimes autant que je m'en souvienne.

 

Ce n'est que plus tard que je fut pris de vertige en faisant le lien entre mon rêve et cet accident.

Posté
Juste un conseil, Roger : consulte quand même un cardiologue...:)

 

Bonjour Toutiet, :)

 

Merci de ta charmante sollicitude !… Mais dès que j'ai atteint l'âge de trente ans j'ai régulièrement fait des bilans de santé et à partir de l'âge de 40 ans j'ai consulté régulièrement un cardiologue…

 

De plus, après la cinquantaine j'ai passé DEUX tests cardiaques d'effort à l'hôpital Ambroise Paré de Massy (Essonne), et tous les deux ans je consulte un cardiologue à Figeac (Lot), et enfin tous les deux mois je consulte mon médecin traitant à Maurs (Cantal)...

 

Et toi, Toutiet, comment va ton cœur ?… ;)

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

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j'ai eu le sentiment, un court moment, alors que j'y réfléchissais, d'être entouré par d'affreux ténèbres très angoissants… :confused:
Oui oui, j'allais éditer mon post précédent pour y ajouter "+ une sensation de chuter dans un gouffre", je pense que celà s'approche ce que tu me décrits.
Posté
Bonjour Toutiet, :)

 

Merci de ta charmante sollicitude !… Mais dès que j'ai atteint l'âge de trente ans j'ai régulièrement fait des bilans de santé et à partir de l'âge de 40 ans j'ai consulté régulièrement un cardiologue…

 

De plus, après la cinquantaine j'ai passé DEUX tests cardiaques d'effort à l'hôpital Ambroise Paré de Massy (Essonne), et tous les deux ans je consulte un cardiologue à Figeac (Lot), et enfin tous les deux mois je consulte mon médecin traitant à Maurs (Cantal)...

 

Et toi, Toutiet, comment va ton cœur ?… ;)

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

 

Eh bien, si tous ces tests ne t'ont pas tué, c'est que tu as un ceur en béton !:D

Quant à moi, je suis en pleine for.... AAAAAAAAAHHHeeeuuuhhh ! VLAN !...... tut - tut - tut - tut - tut ...............................

Posté
Quant à moi, je suis en pleine for.... AAAAAAAAAHHHeeeuuuhhh ! VLAN !...... tut - tut - tut - tut - tut ...............................

 

Bonjour Toutiet, :)

 

Il ne faut pas trop jouer avec ces choses là !…

 

Une nouvelle petite anecdote familiale, concernant mon grand-père paternel (vous pouvez disséquer tous mes messages, je n'avais encore jamais parlé de lui…), Émile (né à Saint-Quentin, département de l'Aisne, le 8 avril 1875) aimait bien quand il était petit, mettre une écharpe à son bras droit, et simuler le fait qu'il était amputé de ce membre. Il a ensuite plusieurs fois dit à mon père qu'une force irrésistible l'incitait à jouer à l'amputé du bras droit…

 

Les années ont passé, et à l'âge de 41 ans, en 1916, il se trouvait en pleine bataille de Verdun, et là un obus allemand a explosé près de lui et les chirurgiens militaires français ont hélas dû l'amputer du bras droit… :confused:

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

Posté

Style Caroline Dossogne, une présentatrice météo RTBF?

Que quand elle dit pour clôturer le bulletin météo de midi un "à ce soir" mélodieux, ce serait adressé à moi tout seul?

 

Nan, j'y crois pô....

 

Patte.

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Et moi, quand j'étais petit, je rêvais de pouvoir faire mes boucles de lacets de chaussures tout seul...

Eh bien, vous savez quoi...?... maintenant j'y arrive !

Posté
Et moi, quand j'étais petit, je rêvais de pouvoir faire mes boucles de lacets de chaussures tout seul...

Eh bien, vous savez quoi...?... maintenant j'y arrive !

 

Veinard ! Après plus d'un demi siècle de tentatives infructueuses j'y ai renoncé.

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Veinard ! Après plus d'un demi siècle de tentatives infructueuses j'y ai renoncé.

 

 

:be::be::be: Donc tu ne mets que des chaussures à Scratch...?

Posté

Ben depuis que j'ai laissé tomber mes cothurnes je porte des poulaines: plus de noeud mais quelle élégance.:rolleyes:

Posté
Bonjour Gildas, :)

 

Tu as très bien résumé ce qui s'est passé, et un détail supplémentaire : je ne me rappelle très bien le temps qu'il faisait cet après-midi là sur la région parisienne : il pleuvait, et juste après ce dernier coup de fil de mon frère j'ai eu le sentiment, un court moment, alors que j'y réfléchissais, d'être entouré par d'affreux ténèbres très angoissants… :confused:

 

Roger.

 

Serait-ce la première fois que tu ne signes que Roger, en omettant (volontairement ?) le "le cantalien :rolleyes:" ? :)

Posté
Serait-ce la première fois que tu ne signes que Roger, en omettant (volontairement ?) le "le cantalien :rolleyes:" ? :)

 

Bonjour Pietchow, :)

 

Non, ça m'arrive de temps en temps... ;)

 

Roger, l'Auvergnat du Cantal. :rolleyes:

Posté

on ne parle des coïncidences que quand elles se produisent. (La Palisse)

 

On peut aussi démontrer que dans certains cas, des situations sans coïncidences ont moins de chances de se produire que des situations avec coïncidences.

 

Un grand classique est celui qui se produit dans une classe d'élèves, il est très courant que sur une quarantaine de gosses, 2 soit nés exactement le même jour. Et pourquoi ? Parce que statistiquement la chose n'a rien d'anormale.

 

Estonius, le terrien

Posté
on ne parle des coïncidences que quand elles se produisent. (La Palisse). On peut aussi démontrer que dans certains cas, des situations sans coïncidences ont moins de chances de se produire que des situations avec coïncidences.

 

Bonjour Estonius, :)

 

Quand on évoque la coïncidence !… :be:

 

Je commençais à désespérer que tu interviennes sur ce "topic" de Gil31, et pourtant j'avais la sensation prémonitoire qu'on allait très bientôt lire ta prose, bien entendu aux antipodes des "simples d'esprit" comme moi qui croient aux signes prémonitoires… ;)

 

Puisque tu t'intéresses, tout comme moi, à l'histoire de l'astronautique, tu dois obligatoirement (puisque à trois ans près nous avons le même âge…) te rappeler du grand journaliste scientifique Albert Ducrocq : Eh bien lui, il y croyait aux "signes inexplicables"… Je me rappelle la matinée du samedi 14 avril 1970 lorsqu'on l'avait réveillé en pleine nuit vers quatre heures du matin chez lui à Versailles pour lui demander de venir immédiatement à Europe n°1 pour commenter dès l'ouverture de l'antenne à six heures le drame de la capsule lunaire Apollo XIII. Et plusieurs fois dans la matinée les journalistes de la station de la rue François 1er lui ont posé la même question bâteau « est-ce que ce qui arrive aux trois malheureux astronautes américains n'est pas lié au chiffre treize de cette mission ? ». Et Albert Ducrocq, non seulement ne s'en offusquait pas, mais était même ravi d'en rajouter en disant « savez-vous, qu'avec le décalage horaire, cette explosion s'est produite avec l'heure de la Côte Est des États-Unis hier, un VENDREDI 13, pour le TREIZIÈME vol de cette série Apollo ? Qu'en pensez-vous ? ». Et, tout penauds, les journalistes d'Europe n° 1 n'ont rien trouvé à lui répondre… :p;):rolleyes:

 

Un grand classique est celui qui se produit dans une classe d'élèves, il est très courant que sur une quarantaine de gosses, 2 soient nés exactement le même jour. Et pourquoi ? Parce que statistiquement la chose n'a rien d'anormale.

 

Eh bien, c'est très curieux Estonius, car dans mes classes à l'école primaire puis secondaire, il y avait fréquemment CINQUANTE ÉLÈVES (tout comme pour toi je suppose) vu que je faisais partie (et toi aussi) du fameux "Baby boom" de l'après-guerre ; et durant toutes ces années d'études, JAMAIS je n'ai trouvé un camarade d'école né exactement le même jour que moi !… ;)

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

Posté
Bonjour Roger, :)

 

Eh bien, c'est très curieux Estonius, car dans mes classes à l'école primaire puis secondaire, il y avait fréquemment CINQUANTE ÉLÈVES (tout comme pour toi je suppose) vu que je faisais partie (et toi aussi) du fameux "Baby boom" de l'après-guerre ; et durant toutes ces années d'études, JAMAIS je n'ai trouvé un camarade d'école né exactement le même jour que moi !… ;)

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

 

mais tu n'est pas dans le même énoncé que moi !

j'ai simplement parlé de deux éléves né le même jour et non pas d'un élève qui serait né le même jour que moi (ou toi) :)

 

sinon j'aime bien cette phrase de Cocteau "La superstition est l'art de se mettre en règle avec les coïncidences" Jean Cocteau"

 

Bon dimanche

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