Qu'est-ce que vous écoutez comme zic ?

[roger15]

Il y a 17 heures, Albuquerque a dit :

Antony est ta commune natale ? Moi aussi, ou presque... puisque c'est là que j'ai passé, brillamment bien sûr,  l'oral de mon concours aux PTT... en 1988.

 

 

Bonjour Mon Cher Albuquerque,  

« Antony est ta commune natale ? Moi aussi, ou presque... puisque c'est là que j'ai passé, brillamment bien sûr, l'oral de mon concours aux PTT... en 1988. »

Sais-tu que dans ton message il y a deux points qui m’ont faits très plaisir ? :

• d’abord, que tu évoques “les PTT” (et non “La Poste” ou “France Télécom” [rebaptisée ensuite “Orange”]) ;

• ensuite, que tu mentionnes “le Centre des Concours des PTT” à Antony.

Sur Antony, qui est bien ma « commune natale », regarde mon ancien sujet sur Webastro, posté le vendredi 3 décembre 2010 « Oui, j'ai gardé l'accent qu'on attrape en naissant quelque part... » [ https://www.webastro.net/forums/topic/73381-oui-jai-gard%C3%A9-laccent-quon-attrape-en-naissant-quelque-part/ ].

Sur les “PTT” et le “Centre des Concours des PTT” à Antony, figure-toi que j’ai très récemment posté sur le « Forum des Postiers » un message [ https://www.postiers.net/t25037-trois-periodes-de-ma-carriere-aux-ptt-au-batiment-darcueil-val-de-marne#296751 ] évoquant ces deux points : « Trois périodes de ma carrière aux PTT au bâtiment d’Arcueil (Val-de-Marne) » ; tu verras que peut-être nous avons pu nous rencontrer dans un jury à ce Centre des Concours des PTT en 1988. 

Roger le Cantalien.  

[roger15]

 

 

[roger15]

Bonjour à toutes     et bonjour à tous      ,

Je vous propose aujourd’hui une chanson qui date du début janvier 1966, il y a donc déjà près de 59 ans !!!…               , chanson dont j’adorais la mélodie : « Pour nos joies et pour nos peines » .

A l’époque, j’avais 16 ans et demi, et déjà je n’aimais bien, en écoutant la radio, surtout que les chansons “mélodieuses” (et non les chansons “bruyantes”), mêmes si leurs paroles étaient légèrement un peu “mièvres” [désolé pour Jean-Jacques Debout, parolier de la chanson qui va suivre…]. D’ailleurs, je croyais en juillet 1966 que le titre de la chanson que je vais vous proposer maintenant était « Pour l’oiseau qui a chanté, Alléluia ».

« Alléluia, Alléluia…

Pour l'oiseau qui a chanté, Alléluia,
Sur l'arbre qui a gelé, Alléluia…

Pour la fille abandonnée, Alléluia,
Qui espère toujours aimer, Alléluia…

Pour l'enfant qui va grandir, Alléluia,
Et pour l'homme qui va mourir, Alléluia… ».

 

 

Roger le Cantalien.  

 

 

Modifié 3 décembre par roger15

[roger15]

Bonjour à toutes      et bonjour à tous     ,

En ces temps très incertains dans presque tous les domaines,  je vous propose une chanson très mignonne qui date de 1964 pour nous détendre un peu : « Moi je dors avec Nounours dans mes bras »  par les deux charmantes fillettes Karine et Rebeca .

 

 

« Moi je dors avec Nounours dans mes bras.
Chaque soir,  je lui parle tout bas,
Je lui raconte tous mes petits chagrins,
Puis je m'endors sans plus penser à rien...

Le matin, c'est moi qui le réveille,
Et malgré qu'il fait la sourde oreille,
Je l'aime autant que maman et papa,
Moi je dors avec Nounours dans mes bras. »

 

 

Roger le Cantalien.  

Modifié 5 décembre par roger15
Rectification d'une erreur de frappe, désolé...

[roger15]

Bonjour à toutes     et bonjour à tous      ,

Je vous propose aujourd’hui une chanson qui affiche l’âge respectable de “septante-et-un ans” [“soixante-et-onze ans”] puisqu’ elle a été enregistrée en 1953 et qui me donnait (et qui me donne toujours quelques décennies plus tard…) un grand frisson lorsque je l’entendais à la TSF. Sans doute était-ce dû au fait que c’était le préfet Louis Amade [ https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Amade ] qui en avait écrit les paroles, Gilbert Bécaud en avait composé la musique ;  cette chanson porte le titre de « C’était mon copain, c’était mon ami ».            

 

 

 

 

 

« J'avais un seul ami,
Et on me l'a tué…
Il était plus que lui,
Il était un peu moi…
Je crois qu'en le tuant
On m'a aussi tué,
Et je pleure la nuit,
Mais on ne le sait pas…

C'était mon copain,
C'était mon ami,
Pauvre vieux copain,
De mon humble pays,
Je revois son visage,
Au regard généreux
Nous avions le même âge
Et nous étions heureux…
(…)
Cependant, dans les bois,
Un mystérieux concert,
M'a dit qu'il faut garder,
L'espoir à tout jamais,
Car ceux qui ont bâti,
Ensemble un univers,
Se retrouveront tous,
Puisqu'ils l'ont mérité…

O mon vieux camarade,
Mon copain, mon ami,
Parmi les terres froides,
Je te parle la nuit…
Et ton pesant silence,
Est un mal si cruel,
Que j'entends ta présence,
Parfois au fond du ciel… »

 

 

 

 

 

Roger le Cantalien.  

Modifié 11 décembre par roger15
Rectification d'une erreur de frappe, désolé...