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Qu'est-ce que vous écoutez comme zic ?


Beloube

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Larry Carlton, un des plus grands ...
Le sens de la mélodie, le son, le feeling, le phrasé, ce contrôle du larsen , etc ... Bref, la classe . Immense .

Je mets d'abord la version vidéo, parce que c'est aussi beau à voir qu' à écouter, mais malheureusement écourtée.

Et la version audio complète de l'album tiré de ce concert.

 

 

 

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  • 3 semaines plus tard...

Au revoir Charles Aznavour

 

Charles Aznavour vient de nous quitter à l'âge fort respectable de 94 ans. Je tiens à lui rendre hommage en postant une chanson de lui (qui a rejoint aujourd'hui les étoiles) datant de 1961 (chanson extraite du film de Denys de La Patellière Un taxi pour Tobrouk) : La Marche des Anges : https://www.youtube.com/watch?v=pgTNEF0YK-Q.


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« Mon cœur se trouve au bout du monde,
Et moi je vis au jour le jour,
Comptant les heures et les secondes,
Me séparant de mon amour.
Quand on se reverra,

Ma vie renaîtra,
Et je sècherai mes pleurs,
Sur tes joues mon ange.
»

 


Roger le Cantalien.   

Modifié par roger15
  • Snif, c'est trop triste 1
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Quasiment mort sur scène ce vénérable bonhomme....(monument plutôt)

 

C'est ici que j'apprends la triste nouvelle.

 

Il est et restera un des plus grands en chanson française (avec parfois des escapades en anglitche).

 

Merd merd merd merd!

 

 

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Bonjour à toutes   :)  et bonjour à tous   :)   ,

Il y a quarante ans aujourd'hui, le grand chanteur belge Jacques Brel nous quittait à l'âge de 49 ans seulement pour rejoindre les étoiles.  :(    :(   :(

Certes, vous connaissez certaines de ses chansons qui sont programmées (assez rarement il est vrai) à la radio, mais ce sont presque toujours les mêmes…

Pour lui rendre hommage aujourd'hui je voudrais vous proposer trois chansons, assez peu connues, de ce très grand ambassadeur de la chanson française :

• 1°) D'abord une chanson très optimiste (et qui détonne plutôt dans son répertoire assez triste dans l'ensemble) : “L'aventure commence à l'aurore qui date de 1958 (https://www.youtube.com/watch?v=GiVSDjObK7E).


 

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« L'aventure commence à l'aurore,
À l'aurore de chaque matin,
L'aventure commence alors,
Que la lumière nous lave les mains.


L'aventure commence à l'aurore,
Et l'aurore nous guide en chemin,
L'aventure c'est le trésor,
Que l'on découvre à chaque matin.

Pour Martin, c'est le fer sur l'enclume,
Pour César le vin qui chantera,
Pour Yvon, c'est la mer qu'il écume,
C'est le jour qui s'allume,
C'est le blé que l'on bat.

L'aventure commence à l'aurore,
À l'aurore de chaque matin,
L'aventure commence alors
Que la lumière nous lave les mains.
»


 

 

 

• 2°) Ensuite une chanson assez nostalgique (qui évoque nos années de collège) : “Rosa qui date de 1962 (https://www.youtube.com/watch?v=v6rLLE48RL0).
 

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« C'est le plus vieux tango du monde
Celui que les têtes blondes,
Ânonnent comme une ronde,
En apprenant leur latin.
C'est le tango du collège
Qui prend les rêves au piège,
Et dont il est sacrilège,
De ne pas sortir malin.

C'est le tango des bons Pères,
Qui surveillent l'œil sévère,
Les Jules et les Prosper,
Qui seront la France de demain.

(…)
C'est le tango des promenades,
Deux par seul sous les arcades,
Cernés de corbeaux et d'alcades,
Qui nous protégeaient des pourquoi.
C'est le tango de la pluie sur la cour,
Le miroir d'une flaque sans amour
Qui m'a fait comprendre un beau jour,
Que je ne serais pas Vasco de Gama.
»


 



• 3°) Enfin une chanson très triste et très peu connue de 1969 (que sans doute Jacques Brel a dû composer alors qu'il venait d'apprendre qu'il était atteint d'un cancer du poumon qui l'emportera 9 ans plus tard…) pour le dessin animé de long métrage “Tintin et le Temple du Soleil”, d'après la très célèbre bande dessinée de Hergé) : “Pourquoi faut-il que Zorino s'en aille ?” qui date de 1969 (https://www.youtube.com/watch?v=slG4IwEL3dI).

 

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« Pourquoi faut-il que Zorino s'en aille ?
Pourquoi faut-il mourir après la nuit ?
Pourquoi faut-il que Zorino s'en aille ?
Que Zorino quitte déjà la vie ?

Je n'étais rien encore,
Et je ne serai plus rien…
J'aimerais être fort,
Pour entrer dans le noir…

On a eu beau me dire,
Que l'on vit après la mort,
J'aimerais tant vieillir,
Plus longtemps que ce soir…

Pourquoi faut-il que Zorino s'en aille ?
Pourquoi faut-il qu'il meure après la nuit ?
Pourquoi faut-il que Zorino s'en aille ?
Que Zorino quitte déjà la vie ?…
»

 

 


Roger le Cantalien. :rolleyes:

Modifié par roger15
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Bonjour à toutes   :)   et bonjour à tous   :)   ,

Si vous le voulez bien, je vais vous révéler (à vous les astronomes amateurs et les amateurs d'astronomie du forum des Webastro) ce qui m'a rendu heureux dans ma jeunesse et mon adolescence — et qui me rend toujours heureux aujourd'hui — : ce sont les chansons diverses et très variées du chanteur Hugues Aufray, qui a su enchanter ma jeunesse et mon adolescence !… :wub:  :wub:  :wub:  Au début des années soixante j'adorais entendre à la radio ses chansons ; pour moi Hugues Aufray c'était comme un grand frère âgé de vingt ans de plus que moi (je suis né en 1949 et lui en 1929 ; donc cet éternel adolescent aura atteint la bagatelle de 90 ans le dimanche 18 août 2019 :o  :o  :o  ; mais oui !!! vous pouvez vérifier ce que je viens de dire… : https://fr.wikipedia.org/wiki/Hugues_Aufray) et lorsqu'il a sorti son disque avec la chanson Petit frère en 1967 j'ai presque considéré que cette chanson m'était personnellement dédiée…  ;)  Voir : https://www.youtube.com/watch?v=ZqEMLRv9lh0

 

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« Je voudrais faire le tour de la terre, avec toi,
T'en vas pas, me laisse pas en arrière, emmène moi !…

Je voudrai t'emmener petit frère, avec moi,
Mais tu es trop petit, petit frère, écoute-moi :
Que deviendras-tu sans ta mère,
Chaque soir pour t'embrasser ?
Moi je ne saurais pas quoi faire,
Quand je te verrais pleurer…

Je voudrais faire le tour de la terre, avec toi,
T'en vas pas, me laisse pas en arrière, emmène-moi !…

Tu n'es qu'un tout petit bonhomme,
Faut pas te décourager,
Car on va t'apprendre à l'école,
à gagner ta liberté.
Mais un jour t'en fais pas petit frère,
Tu iras, tu iras faire ton tour de la terre
Comme moi.
»


 

 

 



Sinon, j'ai découvert Hugues Aufray pour la première fois en l'entendant à la TSF sur Radio Luxembourg (la future RTL) il y a fort longtemps puisque c'était en mars 1959 avec la chanson Y'avait Fanny qui chantait (j'adorais la mélodie de cette chanson, mais j'ignorais bien sûr, car je n'avais à l'époque que 9 ans et demi, que c'était une chanson antimilitariste sur la guerre d'Algérie). Voir : https://www.youtube.com/watch?v=uMAxj9KXFFk.

 

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« Dans ce bled il faisait chaud,
L'ennui nous trouait la peau,
On vivait sans savoir si,
On reviendrait au pays…
À la caserne le soir,
On avait souvent le cafard,
Heureusement y'avait Fanny,
J'y pense encore aujourd'hui.

(…)

Puis un jour on est parti,
Car la guerre était finie,
Mais au milieu du chemin,
Fanny pleurait dans ses mains…
Nous autres on lui a souri,
Que voulez-vous c'est la vie,
Mais la chanson de Fanny,
J'y pense encore aujourd'hui.
»

 

 

 


Une petite parenthèse : jamais (du moins à ma connaissance) la chanson “Y'avait Fanny qui chantait” de Hugues Aufray n'est passée à l'époque sur les ondes de la radio officielle française de la RTF (France 1 Paris Inter, France 2 Régionale, France 3 Nationale) car le gouvernement français veillait à interdire tout passage d'une chanson antimilitariste sur les ondes radiophoniques françaises. Cela n'était pas le cas de Radio-Luxembourg qui était visiblement opposée à la guerre d'Algérie, malgré les remontrances du gouvernement français dirigé alors par le Premier Ministre Michel Debré. Les dirigeants de Radio-Luxembourg se moquaient de cela, d'autant plus que leur station luxembourgeoise était la radio la plus écoutée en France (surtout dans la région Nord, le Nord-Est, la grande région parisienne, la Normandie, la Bretagne, et même jusque dans le Massif-Central et dans la région de Lyon), elle avait nettement plus d'auditeurs que les stations radiophoniques de la RTF.

Il n'y a eu qu'une seule, mais très grande, friction entre le gouvernement français et Radio-Luxembourg lorsque cette station périphérique a voulu diffuser une interview exclusive avec Ferhat Abbas, alors Président du GPRA (Gouvernement Provisoire de la République Algérienne ; donc le grand chef du FLN en guerre contre l'armée française) en 1960. Comme la station luxembourgeoise refusa de ne pas diffuser cette interview, Michel Debré demanda au ministre des PTT français, Michel Maurice-Bokanowski (qui dirigea le Ministère des PTT situé au 20 avenue de Ségur, Paris 7ème, entre le 5 février 1960 et le 14 avril 1962), de couper pendant deux heures le câble téléphonique reliant les studios de Radio-Luxembourg situés 22 rue Bayard (Paris 8ème arrondissement) à l'émetteur de Junglinster au Grand-Duché du Luxembourg…

Mais, après cette parenthèse, revenons aux chansons de Hugues Aufray.

Quelle est ma chanson préférée de Hugues Aufray ? Eh bien, ce n'est aujourd'hui sûrement pas la plus connue des jeunes générations, mais elle est pour moi comme la “Madeleine de Proust” des années soixante puisqu'elle me remémore mon adolescence, lorsque j'avais 14 ans et demi : c'est la chanson “N'y pense plus, tout est bien” sortie en février 1964 [c'était la version française de la chanson “Don't think twice, it's all rignt” de Bob Dylan (avec des paroles françaises de Pierre Delanoë)] : https://www.youtube.com/watch?v=FNwwTjkVc-0.


Cette chanson je l'ai découverte, non plus sur Radio-Luxembourg, mais sur Europe n°1, dans l'émission Salut les Copains que j'écoutais, en revenant du collège, à partir de 17h05 (voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Salut_les_copains_(%C3%A9mission_de_radio) ).
 

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« À quoi ça sert de chercher à comprendre,
Pourquoi on dit ce qu'on dit ?
À quoi ça sert de chercher à comprendre,
Quand c'est fini, c'est fini…
Quand le soleil se lèvera demain,
Je serai déjà loin, très loin,
Il faut se quitter en chemin,
Mais n'y pense plus tout est bien…

A quoi ça sert de chercher la lumière,
Quand il n'y a rien à voir ?
A quoi ça sert de chercher la lumière,
Je veux rester dans le noir…
Tu peux toujours essayer de me dire,
Ce que tu n'as jamais su me dire,
Quand nous marchions main dans la main,
Mais n'y pense plus tout est bien…
»

 

 

 

 

 

 

Cette chanson de Hugues Aufray “N'y pense plus, tout est bien” s'est classée 15ème sur les 50 chansons françaises préférées des “teenagers” (les jeunes entre 10 et 19 ans) lors de son premier classement sur le hit-parade du magazine mensuel Salut les Copains de mars 1964 (voir : http://cicatrice.hautetfort.com/archive/2013/03/15/hit-parade-de-salut-les-copains-du-15-mars-1964.html).

Roger le Cantalien.  :rolleyes:

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Bonjour à toutes   :)   et bonjour à tous   :)   ,

Un petit retour très en arrière : plus précisément en mai 1959, il y a donc déjà 59 ans et demi !!!…   :o   :o   :o

Ce printemps-là est sortie une chanson intitulée  
Nick Nack Paddy Whack  que j'adorais écouter à la TSF (comme on disait alors) sur Radio-Luxembourg (1 293 mètres Grandes Ondes). D'ailleurs pour moi cette chanson (dont je ne comprenais absolument pas le sens profond, mais dont j'adorais le rythme) s'appelait  Un tambour à tête de bois : http://www.encyclopedisque.fr/images/imgdb/thumb250/18304.jpg. Les principaux interprètes de ce Un tambour à tête de bois” étaient Yvette Giraud, Les Compagnons de la Chanson, et surtout Annie Cordy : https://www.youtube.com/watch?v=uvS9BMr9eig.
 

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« Marche au pas, marche droit,
Un tambour à tête de bois,
Vas-y nick nack paddy whack et vas-y mon gars,
Un tambour à tête de bois.

En chemin rencontra,
Un second tambour du roi,
Salut nick nack paddy whack et vas-y mon gars,
Deux tambours ça marche au pas.

Pas bien loin, dans le bois,
Un troisième les rattrapa,
Ohé nick nack paddy whack et vas-y mon gars,
Trois tambours qui marchent droit.

Ils ont fait quatre pas,
Quand un quatrième les voit,
vas-y nick nack paddy whack et vas-y mon gars,
Quatre tambours c'est mieux que trois !…

Cinq tambours ont bien le droit,
De boire un coup chez le père François,
Vas-y nick nack paddy whack et vas-y mon gars,
Cinq tambours qu'est-ce que ça boit !…
»


Ce n'est qu'au sixième couplet que l'on comprend enfin qu'il s'agissait d'une chanson antimilitariste dont les paroles étaient de Boris Vian (se rappeler qu'en 1959 la France était en pleine guerre d'Algérie…   :(   :(   :(    La sale guerre qui n'osait pas dire son nom...  :mad:   :mad:   :mad:

« Six tambours sans fla-fla,
Quittent leur habit de soldat,
Vas-y nick nack paddy whack et vas-y mon gars,
Six tambours et on remet ça.
»


« Quittent leur habit de soldat », autrement dit : désertent… Il est vrai qu'à l'époque la censure française n'a pas bien saisi l'aspect antimilitariste des paroles de Boris Vian, trompée sans doute par le sous-titre de cette chanson La marche des gosses et par le fait que c'était des chanteuses et chanteurs très célèbres à l'époque comme Yvette Giraud (https://www.youtube.com/watch?v=Ut-86BPAyO8), Les Compagnons de la Chanson (https://www.youtube.com/watch?v=qJuE7sqJqrw) ou Annie Cordy qui l'interprétaient…
 

 

 

 

Boris Vian avait déjà fait l'objet de la censure française lorsqu'il composa en mai 1954 sa célèbre chanson antimilitariste Le déserteur qui fut très vite interdite à la radio française (voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_D%C3%A9serteur_(chanson) ) .

En voici une version que j'aime beaucoup (car elle commence par le célèbre poème de
Arthur Rimbaud qu'il a composé à l'âge de seize ans en octobre 1870
Le Dormeur du Val) interprétée par Serge Reggiani : https://www.youtube.com/watch?v=RTl0pmB8_ow . Attention : ne pas s'inquiéter si le son n'est activé qu'à partir de 48 secondes.

 

 

Photo_manuscrit_Le_dormeur_du_Val.JPG

 

 

 

Roger le Cantalien.   :rolleyes:

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Bonjour à toutes   :)   et bonjour à tous   :)   ,

Voici la très jolie version française de la chanson Blowing in the wind de Bob Dylan (https://youtu.be/G58XWF6B3AA), interprétée par Hugues Aufray et Francis Cabrel Dans le souffle du vent (https://www.youtube.com/watch?v=KU5XcwTav00).

 


 


« Combien de lieues ton enfant doit-il faire,
Avant de mériter des hommes,?
Combien de bleu pour l'oiseau sur la mer,
Avant qu'au sable, il ne se donne ?
Combien de guerres, de canons et de larmes,
Avant que nos lois ne désarment…?

Pour toi, mon enfant,
Dans le souffle du vent,
Pour toi, la réponse est dans le vent…

Combien de siècles aux falaises de rochers,
Avant qu'elles ne sombrent sous la mer ?
Combien de siècles pour l'esclave enchaîné,
Avant qu'il ne brise ses fers…?
Combien de siècles, de regards détournés,
Pour ne pas voir la vérité… ?

Pour toi, mon enfant
Dans le souffle du vent
Pour toi, la réponse est dans le vent…
»

 

 

 

 


Roger le Cantalien. :rolleyes:

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  • 2 semaines plus tard...

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