Aller au contenu

Mille milliards de planètes


Jeff Hawke

Messages recommandés

Posté

La vie n'est pas apparue très tôt sur Terre puisqu'il a fallu attendre 3 milliards d'années, si mes souvenirs sont bons, pour qu'elle émerge. La Terre a donc été beaucoup plus longtemps stérile que vivante.

Ce qui me fait penser que les conditions n'étaient peut être pas si exceptionnelles que ça.

  • Réponses 82
  • Créé
  • Dernière réponse
Posté

Pour les 3 milliards d'années, rien n'est moins sur il me semble...

M'enfin j'attends l'avis d'un expert (QUETZYYY!!:be:) qui pourra peut être confirmer ou infirmer.

Posté

Vous avez lu ciel et espace de ce mois ci ?

Les probabilités parlent bien quand même de la faible chance d'être plusieurs dans tout l'univers.

Le chaos est par définition non reproductible, donc recréer le modèle du système solaire mènera à chaque fois sur une solution différentes. Mais des milliards de chaos peuvent à mon avis suivre une loi. Peut etre que cette loi ne sera pas de type gaussien ou autre (je connais très mal le chaos), et les chances de vies peuvent alors apparaitre tout aussi bien qu'elle a pu le faire sur terre.

On a pu voir que la vie se trouve dans des endroits sur terre à des pressions et températures infernales dans les profondeurs de la terre, il ne faut pas s'attendre à voir des hommes sur les exoplanètes je pense, mais plutôt des particules vivantes, ou autres... De toute façon on s'en fout un peu finalement, car si la vie est située dans une autre galaxie, on ne pourra jamais y aller. Sauf si c'est M31 ou une galaxie du groupe local qui se rapproche... pour les autres c'est rapé. L'éloignement est trop rapide.

Posté

Je voudrais émettre une réserve sur les probabilités, on peut leur faire dire a peu près ce que l’on veut. Il est tout à fait possible d’en établir à posteriori en vue de légitimer un point de vue sans que celles-ci est la moindre prise sur la réalité.

 

Autre chose, l’ensemble des commentaires affichent une certaines bienveillance vis à vis de l’idée de l’universalité de la vie. Pourtant il est intéressant de voir que tous se figurent une vie bactérienne ou au mieux similaire à la notre dans le degré d’évolution. Cette approche est symptomatique d’une conception très contestable mais largement répandue voulant que les Hommes soit le summum de l’organisation de la matière, une sorte d’aboutissement.

 

Amicalement

Posté
Je voudrais émettre une réserve sur les probabilités, on peut leur faire dire a peu près ce que l’on veut. Il est tout à fait possible d’en établir à posteriori en vue de légitimer un point de vue sans que celles-ci est la moindre prise sur la réalité.

 

Euh.. oui bon et après ? A part une phrase cliché: "les probabilités, on peut leur faire dire a peu près ce que l’on veut".

Quels sont tes arguments ? Peux tu donner un exemple simple, clair et précis qui montre que les probalités n'ont pas la "moindre prise sur la réalité" ?

Posté
Cette approche est symptomatique d’une conception très contestable mais largement répandue voulant que les Hommes soit le summum de l’organisation de la matière, une sorte d’aboutissement.

 

Amicalement

 

C'est vrai et c'est même très troublant. Je pense que la très forte imprégnation religieuse de nos sociétés en est responsable en grande partie.

Il y a encore quelques années on spéculait encore sur l'unicité de notre système solaire, peut être dû un accident cosmique très rare.

Maintenant qu'on parle de mille milliards de planètes, le dernier bastion à défendre pour les géocentriques est celui du caractère exceptionnel de la vie, de surcroît évoluée st intelligente, sur Terre.

Et ils le défendront becs et ongles....;)

Posté

Désolé pour le cliché mais il répondait à un autre qui est que la vie dans l’univers est improbable et qu’ainsi nous devons convenir que nous sommes désespérément seul.

 

Pour adoucir ton humeur un petit exemple qui permet d’étayer le non sens des probabilités :

Le « tourbillon de bénard » est un phénomène qui apparaît lorsque l’on chauffe un récipient d’eau par le dessous et qu’en même temps on refroidit par le dessus. Loin de ce que l’on pourrait anticiper intuitivement à savoir la création d’une instabilité, il se forme des vortex étonnants, parce stabilisés et a priori complètement improbables. La probabilité que des milliards de molécules d’eau plongées dans ces conditions puisse s’organiser avec une telle cohérence est quasi nul mais elle se vérifié pourtant empiriquement. Conclusion, ce que les probabilités éloignent, la réalité peut en être le théâtre.

Posté

Pourtant il est intéressant de voir que tous se figurent une vie bactérienne ou au mieux similaire à la notre dans le degré d’évolution. Cette approche est symptomatique d’une conception très contestable mais largement répandue voulant que les Hommes soit le summum de l’organisation de la matière, une sorte d’aboutissement.

Amicalement

 

C'est drôle moi je ne ressentais pas cela comme de l'arrogance mais plutôt dans le sens: "si on trouve une bactérie ça sera déjà grandiose!!";) On n'ose même pas espérer plus mais ce serai formidable!

 

Y'a qu'à voir en SF, où les scénarios ne parlent pas souvent de l'histoire d'une colonie de bactéries extra-terrestre :be:

Posté
Désolé pour le cliché mais il répondait à un autre qui est que la vie dans l’univers est improbable et qu’ainsi nous devons convenir que nous sommes désespérément seul.

 

Pour adoucir ton humeur un petit exemple qui permet d’étayer le non sens des probabilités :

 

Ben oui, le cliché faisait trop penser à une phrase de politique la veille d'une élection.. :be:

 

Mon humeur va toujours bien, :p Merci pour l'exemple... bien que les probalités deviennent à présent une "anticipation intuitive".

 

C'est un peu différent non ? Les probabilités sont des calculs établis (il me semble) à partir de données mathématiques. Et l'intuition est une sensation de connaissance immédiate dans laquelle le raisonnement n'intervient pas.

 

C'est quand même deux choses un peu différentes non ? :D

 

Je veux bien un autre exemple :be: car celui ci ne me semble pas vraiment démontrer que les probabilités n'ont pas la "moindre prise sur la réalité" ?

Posté

Ben oui, les probabilités ce sont des probabilités. Un truc qui se calcule, point barre.

 

Après, ce qu'on leur fait dire, c'est comme pour tout, hein ? ;)

 

Un peu comme François qui voit de la religion et du géocentrisme aussitôt que l'on s'interroge sur la banalité ou non du phénomène vie. ;)

Posté

Pour te répondre Cémoi

 

Merci pour la différence entre l’anticipation intuitive et les probabilités mais je connais le sens des mots que j’emplois. Par contre il est sûr que je ne maîtrise pas la réception que les autres en font et les éventuelles confusions qui s’en suivent.

Dans l’exemple précité, ils se trouvent que l’intuition et les probabilités bien qu’étant de nature différente convergent pour la création d’une instabilité. Or dans les faits, l’une et l’autre sont contredites. Je trouve cet exemple particulièrement simple et éloquent pour disqualifier une simple approche probabiliste pour la question de la vie extraterrestre. Après on peut multiplier les exemples mais je ne crois pas cela nécessaire.

Posté
Ben oui, les probabilités ce sont des probabilités. Un truc qui se calcule, point barre.

 

Après, ce qu'on leur fait dire, c'est comme pour tout, hein ? ;)

 

Un peu comme François qui voit de la religion et du géocentrisme aussitôt que l'on s'interroge sur la banalité ou non du phénomène vie. ;)

 

Hé oui Jeff, force est de reconnaître que la religion a imposé (manu militari) le géocentrisme pendant environ 1500 ans, ce qui a dû quand même laisser des traces dans l'inconscient collectif de nos sociétés judéo-chrétiennes...;)

La probabilité que la vie soit universelle m'a toujours semblé évidente, logique, tout comme l'existence d'exoplanètes d'ailleurs, même avant que l'on découvre la première.

Je reste résolument optimiste.:)

Invité akira
Posté

Halte a la pollution ...

 

T as trop lu les impostures intellecturelles (ou les bogdanov) ...

Posté
Pour la vie telle qu'on la connait c'est l'eau (mais pas obligatoirement sous forme liquide) qui semble le plus essentiel. Tout le reste c'est un mieux, mais rien d'indispensable.

 

Bonsoir,

 

Je parlais de cinq particularités de nôtre planète qui sont habituellement avançées comme ayant favorisées l’apparition de la vie (voir par exemple le dernier N° de science & vie).

Nous sommes donc presque d’accord, encore que je ne présenterais pas les choses aussi catégoriquement que toi.:)

 

Quand j’évoque le vivant, de façon très conservatrice, j’en parle à partir de ce qu’en disent les sciences qui l’étudient. Je m’applique généralement à rester prudent face à des théories nous parlant d’une chimie hypothétique, ou le carbone est remplaçé par Si, ou autre chose...:b:

Pour ce que j’en sais un solvant précis, l'eau, est très recommandée pour l' évolution cellulaire.

Quand on se cantonne au domaine du prébiotique, l’eau sous forme de vapeur a toutes les qualités requises pour facilter les transformations chimiques.

Quand on passe du stade des acides aminés à celui des proteïnes une trop grande dilution dans l’eau devient même un handicap sérieux et il devient utile d’imaginer un processus de concentration.

Mais je ne connais pas de théorie communément admise, ou l’eau, dans son état liquide bien entendu, ne soit pas l’élément indispensable à la vie.

 

 

Enfin pour rebondir sur les statistiquesprobabilités se rapportant à nôtre sujet, elles resteront formidablement muettes, au moins tant que nous ne saurons pas comment la vie apparaît….:be:

Posté

Merci pour la différence entre l’anticipation intuitive et les probabilités mais je connais le sens des mots que j’emplois.

 

Euh.. désolé mais vu ce qui suit j'ai de plus en plus de doutes.

 

Par contre il est sûr que je ne maîtrise pas la réception que les autres en font et les éventuelles confusions qui s’en suivent.

 

Bien sur, d'abord tu "connais le sens des mots que tu emploies" donc il est inutile de te rappeller leur signification. Puis tu en déduis aussitôt que cela démontre d'"éventuelles confusions"... Cherchez l'erreur... :be:

 

Tu donnes un exemple, puisque tu estimes que tu maîtrises vraiment le sens des mots que tu emploies, tu es obligé d'assumer, il faut expliquer.

Si tu ne le fais pas, je serais contraint d'en déduire que tu ne sais pas du tout de quoi tu parles.

 

Dans l’exemple précité, ils se trouvent que l’intuition et les probabilités bien qu’étant de nature différente convergent pour la création d’une instabilité. Or dans les faits, l’une et l’autre sont contredites. Je trouve cet exemple particulièrement simple et éloquent pour disqualifier une simple approche probabiliste pour la question de la vie extraterrestre.

 

Voilà deux phrases, parfaitement résumées par Epsi et qui illustrent exactement ton problème..

Tu brasses beaucoup d'air :be:

 

Après on peut multiplier les exemples mais je ne crois pas cela nécessaire.

 

Bien sur que c'est nécessaire ! Multiplie les exemples !

Posté
cémoi, je suis à peu près certain que notre ami et moi avons les mêmes sources, à un clic ou deux près :be: et je suis sur qu'en ce moment même logastro est en train de cliquer pour vérifier ces susdites sources :be: :be: et qu'en remerciement de lui avoir fait trouver la voie, il me ramènera une bouteille de Jurançon :be:

 

Mpff.. je m'disais aussi, ça pouvait pas être de toi. :mad:

 

J'veux bien aussi un lien pour creuser l'sujet. Si cela me permet de trouver la "voie" jusqu'à la cave, je r'monte du coup aussi une

boutanche. (j'ai pas d'Jurançon..:confused:)

Posté

Hé bien je vais vous le dire !

nous sommes tout à la fois seuls dans l'univers et à la fois envahis par les extra-terrestre.

 

En effet, les E.T. n'ont encore à ce jour pas été observés expérimentalement (paraît-il...), donc selon le principe de décohérence quantique leur état d'existence est dans deux états à la fois : "nous sommes les seuls dans l'univers"/"nous ne sommes pas les seuls dans l'univers".

 

De quoi réconcilier ceux qui y croient et ceux qui en doutent !

Posté
alcooliques

 

Ouaip:closedeyes: c'est clair.... ça sent la bran...te de cerveau tout ça:be:

Posté

Elémentaire mon cher Waskol et d'ailleurs je ne crois pas DU TOUT aux petits hommes verts, c'est dire si ton approche est pleine de bon sens !

Et pourtant ils existent bel et bien... dans l'imagination débordante de certains romanciers et autres rêveurs.:be:

Posté

Pour répondre à Cémoi

 

Je trouve curieux la difficulté à comprendre dont tu fais preuve pour un point que tu qualifie toi même de « cliché ». Nous voici maintenant dans la perte de temps, les idées des autres interlocuteurs se suivent et tes questions restent. D’ailleurs j’attends avec impatience des précisions sur ce que tu penses si bien sûr c’est quelque chose qui t’arrives.

Passé un certain stade dont toi seul connais l’étendue il devient inefficace de fournir des exemples et de les expliciter. Je peux faire un dernier effort pour toi par delà lequel je ne pourrais plus rien en découpant le petit exemple déjà cité.

Si l’on chauffe un récipient rempli d’eau par le dessous et qu’on le refroidit de l’autre côté, des tourbillons vont se former en surface – des milliards de molécules d’eau en interaction vont générer une organisation complexe, cohérente et stable – Or la probabilité qu’une telle opération accouche d’une instabilité est extrêmement forte- Moralité : prévoir un résultat en fonction d’une approche probabiliste n’est pas une bonne solution – Dans le cas présent les probabilités envisagent du désordre et non de l’organisation, l’observation des faits vient contredire cette anticipation logique (probabilité) et intuitive ( sorte de bon sens).

 

Pour répondre à Espi

Décidemment tu n’en fini pas de polluer les échanges et de faire de l’agitation plutôt que de débattre. Ton texte que j’espère ironique n’est que la manifestation de ton incapacité à répondre par des arguments, venant de quelqu’un qui m’avait qualifié de troll dans une discussion précédente c’est plutôt amusant.

Petite précision, contrairement à toi, je n’ai pas recours à des textes bidons, à des sources bancales, l’exemple précèdent est un exemple qu’utilisait le prix Nobel de chimie Ilya Prigogine pour montrer sa prudence quant aux extrapolations probabilistes. Si tu veux des références exactes et creuser le problème je te conseille cette auteur, tu pourra ensuite argumenter un peu.

Posté
Hé oui Jeff, force est de reconnaître que la religion a imposé (manu militari) le géocentrisme pendant environ 1500 ans, ce qui a dû quand même laisser des traces dans l'inconscient collectif de nos sociétés judéo-chrétiennes...;)

 

Je n'y crois pas une seule seconde, du moins par chez nous (en Europe). Spontanément, les gens pensent qu'il y a de la vie ailleurs. Ils sont même assez facilement enclins à gober les soucoupes volantes, petits hommes verts et autres paranormalité...

 

Les Lumières et la science triomphante des XIXème et XXème ont également porté un coup très dur au paradigme géocentrique.

Posté
Pour répondre à Cémoi

 

Je trouve curieux la difficulté à comprendre dont tu fais preuve pour un point que tu qualifie toi même de « cliché ». Nous voici maintenant dans la perte de temps, les idées des autres interlocuteurs se suivent et tes questions restent. D’ailleurs j’attends avec impatience des précisions sur ce que tu penses si bien sûr c’est quelque chose qui t’arrives.

Passé un certain stade dont toi seul connais l’étendue il devient inefficace de fournir des exemples et de les expliciter. Je peux faire un dernier effort pour toi par delà lequel je ne pourrais plus rien en découpant le petit exemple déjà cité.

.

 

Traduction la bostella/Français [ON]: T'es un boulet.:be: Traduction [OFF]

Posté
Pour répondre à Cémoi

 

Je trouve curieux la difficulté à comprendre dont tu fais preuve pour un point que tu qualifie toi même de « cliché ».

 

Houla, soyons clairs. Ce que j'ai qualifié de cliché mon garçon, c'est TA phrase et TA façon de t'exprimer: "les probabilités, on peut leur faire dire a peu près ce que l’on veut"

 

Nous voici maintenant dans la perte de temps,

 

Allons bon, voilà que je gaspille à présent de précieuses secondes d'intelligence. Dois je culpabiliser indéfiniment pour cela ou puis-je faire amende honorable et espérer un improbable pardon ?

 

les idées des autres interlocuteurs se suivent et tes questions restent. D’ailleurs j’attends avec impatience des précisions sur ce que tu penses si bien sûr c’est quelque chose qui t’arrives.

 

N'inverse pas les rôles à nouveau. C'est toi le prétentieux qui tartine le forum de son savoir. Je n'ai fait que poser des questions et demander des exemples. Rien ne t'oblige à me répondre.

 

Je peux faire un dernier effort pour toi par delà lequel je ne pourrais plus rien en découpant le petit exemple déjà cité.

 

Ton extrême bonté me touche mon cher maître.

Posté
Ce n'est à mon avis pas si simple que cela, en effet, l'immutabilité nous permet d'appréhender une herméneutique métaphysique de la pensée individuelle.

La liberté ou le distributionnalisme primitif ne suffisent, de ce fait, pas à expliquer la liberté phénoménologique dans sa conceptualisation. Premièrement Jean-Jacques Rousseau réfute la réalité existentielle de l'immutabilité; deuxièmement il en spécifie l'origine minimaliste en tant qu'objet idéationnel de la connaissance alors qu'il prétend le resituer dans le contexte politique qui constitue le coeur de la problématique morale. Il en découle qu'il interprète la conception irrationnelle de l'immutabilité.

Néanmoins, il envisage la démystification sémiotique de l'immutabilité, et l'immutabilité s'oppose d'ailleurs fondamentalement à la liberté primitive. De la même manière, il identifie l'analyse déductive de l'immutabilité. On ne saurait donc écarter de cette étude l'impulsion bergsonienne du distributionnalisme. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il identifie la liberté substantialiste de l'individu alors même qu'il désire l'opposer à son cadre politique et intellectuel.

Si on ne saurait reprocher à Hegel sa liberté déductive, il systématise cependant la conception spéculative de l'immutabilité et il en donne donc une signification selon la destructuration circonstancielle dans sa conceptualisation.

Néanmoins, il identifie l'analyse subsémiotique de l'immutabilité ; l'immutabilité ne se borne, de ce fait, pas à être un distributionnalisme irrationnel dans sa conceptualisation.

On ne peut considérer qu'il spécifie ainsi la liberté universelle dans son acception kantienne bien qu'il restructure ainsi l'origine de l'immutabilité qu'en admettant qu'il en caractérise la destructuration métaphysique en tant qu'objet subsémiotique de la connaissance.

C'est dans cette même optique qu'on ne saurait écarter de notre réflexion la critique bergsonienne du distributionnalisme métaphysique dans le but de l'opposer à son cadre politique et social.

 

Cependant, il particularise la relation entre subjectivisme et esthétique, et le paradoxe du distributionnalisme rationnel illustre l'idée selon laquelle la liberté sémiotique n'est ni plus ni moins qu'un distributionnalisme métaphysique subsémiotique.

Pour cela, on ne saurait écarter de cette étude l'influence de Chomsky sur le distributionnalisme spéculatif.

L'expression montagovienne de l'immutabilité est à rapprocher d'une représentation synthétique de la liberté synthétique, et cela nous permet d'envisager qu'on ne peut contester la critique montagovienne du distributionnalisme subsémiotique.

L'immutabilité ne peut néanmoins être fondée que sur l'idée de la liberté.

Dans cette même perspective, on ne saurait assimiler, comme le fait Kierkegaard, le distributionnalisme primitif à un distributionnalisme synthétique.

 

En effet, on ne saurait écarter de notre réflexion la critique de la liberté par Hegel, car l'immutabilité ne peut être fondée que sur l'idée de la liberté.

L'immutabilité tire, par ce biais, son origine de la liberté phénoménologique, et pour cela, Sartre examine la destructuration déductive de l'immutabilité.

L'immutabilité ne peut donc être fondée que sur l'idée de la liberté.

Pourtant, il conteste l'analyse primitive de l'immutabilité dans le but de l'opposer à son contexte intellectuel.

 

Contrastons cependant cette affirmation : s'il décortique la relation entre dialectique et platonisme, c'est aussi parce qu'il en interprète la réalité primitive dans une perspective kierkegaardienne tout en essayant de l'opposer à son cadre social et politique, et l'immutabilité ne se borne pas à être un distributionnalisme en tant que concept rationnel de la connaissance.

Par ailleurs, Spinoza interprète la liberté sous un angle subsémiotique.

L'immutabilité ne saurait se comprendre autrement qu'à la lueur de la liberté spéculative, et par ailleurs, il conteste la relation entre conscience et objectivisme.

La liberté subsémiotique ou la liberté ne suffisent en effet pas à expliquer le distributionnalisme comme concept idéationnel de la connaissance.

Il faut cependant mitiger ce raisonnement dans le sens où il particularise la réalité générative de l'immutabilité afin de la resituer dans toute sa dimension sociale.

 

Prémisces de l'immutabilité rationnelle.

 

La liberté ou la liberté ne suffisent pas à expliquer le distributionnalisme en tant qu'objet transcendental de la connaissance.

On pourrait, par ce biais, mettre en doute Bergson dans son analyse empirique de la liberté, et il est alors évident que Henri Bergson conteste la relation entre contemporanéité et minimalisme. Notons néansmoins qu'il en rejette la démystification empirique dans une perspective rousseauiste.

Le paradoxe du distributionnalisme illustre donc l'idée selon laquelle le distributionnalisme minimaliste et la liberté ne sont ni plus ni moins qu'un distributionnalisme synthétique.

Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il se dresse contre l'analyse synthétique de l'immutabilité et la classification montagovienne de l'immutabilité est, par ce biais, déterminée par une représentation synthétique de la liberté. Il faut cependant contraster cette affirmation car il s'approprie l'origine de l'immutabilité, et le fait que Henri Bergson restructure la conception sémiotique de l'immutabilité implique qu'il en identifie l'analyse idéationnelle dans sa conceptualisation.

Pour cela, on ne saurait ignorer l'influence de Sartre sur le distributionnalisme, et on ne saurait assimiler, comme le fait Rousseau, la liberté à une liberté, cependant, il restructure la démystification transcendentale de l'immutabilité.

Par ailleurs, on ne peut que s'étonner de la manière dont Descartes critique la liberté rationnelle et on ne saurait reprocher à Montague sa liberté empirique. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il examine la destructuration synthétique de l'immutabilité.

L'immutabilité ne se comprend, finalement, qu'à la lueur de la liberté transcendentale.

 

C'est avec une argumentation identique qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Kant, la liberté substantialiste à une liberté. L'immutabilité permet donc de s'interroger sur une liberté originelle dans son acception générative.

Pour cela, Kant particularise l'expression morale de l'immutabilité. Pourtant, il est indubitable qu'il identifie le distributionnalisme rationnel de l'individu. Notons néansmoins qu'il en caractérise l'expression circonstancielle sous un angle existentiel, et l'immutabilité ne se comprend d'ailleurs qu'à la lueur de la liberté circonstancielle.

 

Par ailleurs, on ne saurait assimiler, comme le fait Bergson, le distributionnalisme originel à une liberté minimaliste, et le paradoxe du distributionnalisme empirique illustre l'idée selon laquelle le distributionnalisme déductif et la liberté générative ne sont ni plus ni moins qu'une liberté originelle rationnelle.

On ne saurait donc reprocher à Bergson sa liberté rationnelle, et d'une part Leibniz conteste la réalité primitive de l'immutabilité, d'autre part il en restructure la réalité post-initiatique en tant qu'objet existentiel de la connaissance.

Le paradoxe de la liberté minimaliste illustre donc l'idée selon laquelle la liberté originelle n'est ni plus ni moins qu'une liberté déductive morale.

Néanmoins, il interprète l'expression phénoménologique de l'immutabilité afin de la resituer dans sa dimension sociale et intellectuelle.

 

Il est alors évident qu'il réfute la conception originelle de l'immutabilité. Soulignons qu'il en spécifie l'aspect substantialiste dans sa conceptualisation, car si l'immutabilité rationnelle est pensable, c'est tant il en conteste l'analyse universelle en tant que concept subsémiotique de la connaissance.

Ainsi, il spécifie l'expression universelle de l'immutabilité, et on ne peut contester l'influence de Chomsky sur le subjectivisme métaphysique, néanmoins, il restructure le subjectivisme dans son acception bergsonienne.

Le fait qu'il conteste la relation entre maximalisme et immutabilité implique qu'il en interprète la réalité spéculative comme objet sémiotique de la connaissance.

En effet, il envisage la démystification minimaliste de l'immutabilité pour critiquer le subjectivisme.

On peut, pour conclure, reprocher à Spinoza sa liberté universelle.

 

Pour une immutabilité rationnelle.

 

On ne saurait écarter de notre réflexion l'influence de Kant sur le subjectivisme spéculatif. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il rejette la relation entre comparatisme et abstraction.

Premièrement il réfute le subjectivisme sémiotique de l'Homme; deuxièmement il en systématise l'aspect primitif en regard de la liberté. Par conséquent il systématise la relation entre criticisme et contemporanéité.

Pourtant, il est indubitable qu'il se dresse contre l'expression universelle de l'immutabilité. Soulignons qu'il en donne une signification selon l'aspect universel en tant que concept empirique de la connaissance ; le paradoxe de la liberté illustre en effet l'idée selon laquelle la liberté circonstancielle n'est ni plus ni moins qu'une liberté post-initiatique.

Premièrement il caractérise, par ce biais, le subjectivisme phénoménologique par son subjectivisme synthétique; deuxièmement il en identifie, par ce biais, l'origine subsémiotique dans une perspective rousseauiste contrastée. Par conséquent il donne, par ce biais, une signification particulière à la réalité irrationnelle de l'immutabilité.

Avec la même sensibilité, on ne saurait reprocher à Montague son subjectivisme substantialiste afin de l'opposer à son cadre politique et social. Il faut cependant mitiger ce raisonnement : s'il examine la conception métaphysique de l'immutabilité, il faut également souligner qu'il en rejette la réalité sémiotique en regard de la liberté, et on ne saurait ignorer l'impulsion montagovienne de la liberté idéationnelle, pourtant, il serait inopportun d'ommettre que Sartre caractérise le subjectivisme post-initiatique par son subjectivisme spéculatif.

Dans cette même perspective, on ne saurait assimiler, comme le fait Spinoza, le subjectivisme spéculatif à une liberté pour l'opposer à son contexte intellectuel et politique la liberté générative.

Finalement, l'immutabilité pose la question du subjectivisme rationnel dans son acception leibnizienne.

 

Contrastons cependant ce raisonnement : s'il conteste l'origine de l'immutabilité, c'est également parce qu'il réfute l'origine substantialiste dans son acception nietzschéenne, et cette problématique s'appuie sur une liberté primitive de l'Homme.

C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Kant, la liberté métaphysique à une liberté. Cependant, Emmanuel Kant se dresse contre la destructuration originelle de l'immutabilité, et la formulation montagovienne de l'immutabilité s'apparente d'ailleurs à une représentation irrationnelle du subjectivisme.

 

Cependant, il donne une signification particulière à une liberté rationnelle de l'individu bien qu'il conteste l'expression synthétique de l'immutabilité, car on ne peut considérer que Sartre conteste la relation entre maximalisme et contemporanéité que si l'on admet qu'il en rejette l'analyse spéculative en tant qu'objet rationnel de la connaissance tout en essayant de l'opposer à son contexte intellectuel.

Pourtant, il est indubitable qu'il caractérise la liberté spéculative par son subjectivisme empirique. Soulignons qu'il s'en approprie la réalité générative en tant qu'objet synthétique de la connaissance ; l'immutabilité ne se borne, de ce fait, pas à être une liberté comme concept existentiel de la connaissance.

Notre hypothèse de départ est la suivante : l'immutabilité pose ainsi la question du subjectivisme rationnel dans son acception bergsonienne. De cela, il découle qu'il particularise la démystification générative de l'immutabilité.

C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme irrationnelle l'immutabilité (voir " quelle pertinence pour l'immutabilité minimaliste ? ") dans le but de l'examiner selon le subjectivisme.

 

Notons par ailleurs qu'on ne peut contester la critique rousseauiste du subjectivisme irrationnel, car l'immutabilité s'oppose fondamentalement à la liberté rationnelle.

L'immutabilité ne peut, de ce fait, être fondée que sur l'idée du subjectivisme métaphysique. Il est alors évident que Kierkegaard s'approprie la destructuration substantialiste de l'immutabilité. Il convient de souligner qu'il s'en approprie la destructuration rationnelle en tant qu'objet phénoménologique de la connaissance, et l'immutabilité ne synthétise d'ailleurs qu'imprécisément la liberté idéationnelle

 

Encore du grand, du très grand Epsi ! J'adore quand tu te laches et que tu frappes comme ça... :p

Posté
Contrastons cependant cette affirmation : s'il décortique la relation entre dialectique et platonisme, c'est aussi parce qu'il en interprète la réalité primitive dans une perspective kierkegaardienne tout en essayant de l'opposer à son cadre social et politique, et l'immutabilité ne se borne pas à être un distributionnalisme en tant que concept rationnel de la connaissance.

Par ailleurs, Spinoza interprète la liberté sous un angle subsémiotique.

L'immutabilité ne saurait se comprendre autrement qu'à la lueur de la liberté spéculative...

Donc, selon toi, l'immutabilité kantienne relève d'un déconstructivisme métatypique (au sens où justement Kierkegaard affirmait au sujet du platonicisme positif et agraire: ici et maintenant) restructurant de la forme oedipienne du surmoi sartrien?

Je m'interroge.... :cool:

Posté
Donc, selon toi, l'immutabilité kantienne relève d'un déconstructivisme métatypique (au sens où justement Kierkegaard affirmait au sujet du platonicisme positif et agraire: ici et maintenant) restructurant de la forme oedipienne du surmoi sartrien?

Je m'interroge.... :cool:

 

Intéressant cela.

Cependant je suis obligé mon cher GéGé de rappeller à ta mémoire le fait que Emmanuel Kant envisage la relation entre nominalisme et immutabilité. Cela implique forcément qu'il en restructure la démystification spéculative en regard de la dialectique.

Eh oui ! Epsi avait je crois auparavant longuement développé cet argument que je viens gentiment de te résumer.

C'est donc dans une optique identique qu'on ne saurait écarter de notre réflexion l'influence de Chomsky sur le nominalisme métaphysique, et on ne peut que s'étonner de la manière dont Bergson critique le nominalisme synthétique, néanmoins, il identifie la destructuration spéculative de la dialectique.

Simple ? non ?

J'espère que cela t'aidera dans tes interrogations.

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.