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comprendre la Crise !

HUMAN GO TOO

Par HUMAN GO TOO
dans On fait une pause

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Crise des subprimes:

Une explication très simple pour ceux qui essayent encore de comprendre :?:

Alors voilà, Mme. Ginette a une buvette à Bertincourt, dans le Pas de Calais.

Pour augmenter ses ventes, elle décide de faire crédit à ses fidèles clients, tous alcooliques, presque tous au chômage de longue durée. :wub:

Vu qu’elle vend à crédit, Mme. Ginette voit augmenter sa fréquentation :beer:et, en plus, peut augmenter un peu les prix de base du "calva" et du ballon de rouge. :vin:

Le jeune et dynamique directeur de l ' agence bancaire locale, quant à lui, pense que les "ardoises" du troquet constituent, après tout, des actifs recouvrables, et commence à faire crédit à Mme. Ginette, ayant les dettes des ivrognes comme garantie. :chuisundieu:

Au siège de la banque, des traders avisés transforment ces actifs recouvrables en CDO, CMO, SICAV, SAMU, OVNI, SOS et autres sigles financiers imbitables. :deal:

Ces instruments financiers servent ensuite de levier au marché actionnaire et conduisent, au NYSE, à la City de Londres, au Bourses de Francfort et de Paris, etc., à des opérations de dérivés dont les garanties sont totalement inconnues de tous (c’est à dire, les ardoises des ivrognes de Mme Ginette).

 

Ces "dérivés" sont alors négociés pendant des années comme s'il s'agissait de titres très solides et sérieux sur les marchés financiers de 80 pays.

 

Jusqu ' au jour où quelqu ' un se rend compte que les alcoolos du troquet de Bertincourt n’ont pas un rond pour payer leurs dettes. :banned:

 

La buvette de Mme. Ginette fait faillite. !sos!

 

Et le monde entier l'a dans le c:censuré:

 

;):D

Jeff Hawke

Jeff Hawke

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:)

 

Oui, bonne explication...

 

Sais-tu que le "code" employé par les acteurs des marchés financiers US pour désigner ces crédits aux "ivrognes" non solvables était "les prêts NINJA", pour No Income, No Job, No Asset (*).

 

Les banques savaient bien ce qu'elles faisaient... :be:

 

 

 

(*) Pas de revenu, pas de boulot, pas d'actifs.

JackStrato

JackStrato

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Salut Human go too.

 

Je te cite :

 

" Alors voilà, Mme. Ginette a une buvette à Bertincourt, dans le Pas de Calais.

Pour augmenter ses ventes, elle décide de faire crédit à ses fidèles clients, tous alcooliques, presque tous au chômage de longue durée. "

 

Question : Pourquoi avoir situé cela précisément dans le Pas-de-Calais ?

Ca ne pourrait pas exister n'importe où en France ou dans le monde ?!

 

Pour ma part, j'aurais préféré " Mme Ginette a une buvette. " Point.

Cela n'aurait aucunement nui à la compréhension de ta brillante explication.

kiwi74

kiwi74

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Il a dit Pas de Calais comme il aurait pu dire la Savoie !!!! :be:

 

Faut le prendre au second degré !! :rolleyes:

MF_Erwan

MF_Erwan

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Question : Pourquoi avoir situé cela précisément dans le Pas-de-Calais ?

Ca ne pourrait pas exister n'importe où en France ou dans le monde ?!

 

Bin pour une fois que c'est pas en Bretagne...:p

 

Erwan

Leimury

Leimury

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Crise des subprimes:

Une explication très simple pour ceux qui essayent encore de comprendre :?:

Alors voilà, Mme. Ginette a une buvette à Bertincourt, dans le Pas de Calais.

Pour augmenter ses ventes, elle décide de faire crédit à ses fidèles clients, tous alcooliques, presque tous au chômage de longue durée. :wub:

Vu qu’elle vend à crédit, Mme. Ginette voit augmenter sa fréquentation :beer:et, en plus, peut augmenter un peu les prix de base du "calva" et du ballon de rouge. :vin:

Le jeune et dynamique directeur de l ' agence bancaire locale, quant à lui, pense que les "ardoises" du troquet constituent, après tout, des actifs recouvrables, et commence à faire crédit à Mme. Ginette, ayant les dettes des ivrognes comme garantie. :chuisundieu:

Au siège de la banque, des traders avisés transforment ces actifs recouvrables en CDO, CMO, SICAV, SAMU, OVNI, SOS et autres sigles financiers imbitables. :deal:

Ces instruments financiers servent ensuite de levier au marché actionnaire et conduisent, au NYSE, à la City de Londres, au Bourses de Francfort et de Paris, etc., à des opérations de dérivés dont les garanties sont totalement inconnues de tous (c’est à dire, les ardoises des ivrognes de Mme Ginette).

 

Ces "dérivés" sont alors négociés pendant des années comme s'il s'agissait de titres très solides et sérieux sur les marchés financiers de 80 pays.

 

Jusqu ' au jour où quelqu ' un se rend compte que les alcoolos du troquet de Bertincourt n’ont pas un rond pour payer leurs dettes. :banned:

 

La buvette de Mme. Ginette fait faillite. !sos!

 

Et le monde entier l'a dans le c:censuré:

 

;):D

 

Ajoutons à cela que le jeune financier dynamique a augmenté la clientelle en proposant de garantir les ardoises sur le foi des alcooliques précités à des tarifs préférentiels.

 

6 mois plus tard, il augmente le prix des boissons et commence à faire saisir les fois des clients qui ne s'appuyaient que sur l'ardoise.

 

Les fois servaient entre autre à faire de la bouffe pour chien, des pots pour bébés, des nuggets et des hamburgers (produits dérivés bancaires).

 

Fido, bledina et MacDo perdent donc du pognon une fois que ça se sait (le krash).

 

Plus personne veut reprendre de produits cuisinés et tout le monde commence à se méfier de tout le monde.

 

Bon ciel à tous

HUMAN GO TOO

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:)

 

Oui, bonne explication...

 

Sais-tu que le "code" employé par les acteurs des marchés financiers US pour désigner ces crédits aux "ivrognes" non solvables était "les prêts NINJA", pour No Income, No Job, No Asset (*).

 

Les banques savaient bien ce qu'elles faisaient... :be:

 

 

 

(*) Pas de revenu, pas de boulot, pas d'actifs.

 

ça me rassure , car des banques qui ne sauraient pas ce qu' elles font : on irait droit à la crise , non ? ;)

 

Par contre , merci pour le code ninja, je ne connaissais pas !

Newton

Newton

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au chômage de longue durée. "

 

Question : Pourquoi avoir situé cela précisément dans le Pas-de-Calais ?

Ca ne pourrait pas exister n'importe où en France ou dans le monde ?!

.

 

Min garchon, ch'est nin dur ! Te'l cho bin qu'din not' region in est tertous des buveux ! Et pi fo nin qu't'oublie ed ralleumer el négresse (traduction ch'ti: le poêle à charbon...). In est au mos d'Octobre et i fait -15°C, cha comminche à faire frod :be: 'fin tu fais à t'mote, mais mi, tutter eun' bistoulle, ch'trouv cha nin chuffisant pour cho.

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Salut Human go too.

 

Je te cite :

 

" Alors voilà, Mme. Ginette a une buvette à Bertincourt, dans le Pas de Calais.

Pour augmenter ses ventes, elle décide de faire crédit à ses fidèles clients, tous alcooliques, presque tous au chômage de longue durée. "

 

Question : Pourquoi avoir situé cela précisément dans le Pas-de-Calais ?

Ca ne pourrait pas exister n'importe où en France ou dans le monde ?!

 

Pour ma part, j'aurais préféré " Mme Ginette a une buvette. " Point.

Cela n'aurait aucunement nui à la compréhension de ta brillante explication.

 

Tu oublies que je risque aussi d'avoir la ligue de défense des GINETTES sur le dos ! ;)

 

Puis la ligue des buvetiers ( cités comme responsables de la crise !)

 

Pour rire , enlevons tout ce qui est matière à polémique, ça devrait à mon avis nuire BEAUCOUP à la compréhension ! :?:

 

Le texte n' est pas de moi et malheureusement anonyme !

Mais ou bien c' est quelqu'un qui sait de quoi il parle, ou il n'aime pas les ch'tis ! :be:

Leimury

Leimury

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Il a dit Pas de Calais comme il aurait pu dire la Savoie !!!! :be:

 

Faut le prendre au second degré !! :rolleyes:

 

Je trouve qu'il a raison de relever.

 

Betincourt, Pas de Calais,

Ca ajoute strictement rien au texte.

Tu l'enlève, on s'en rend même pas compte; ça manque pas.

 

Bistrot et alcolos, c'est largement suffisant.

La ville sert strictement à rien dans le texte à part à ressortir de vieux clichés à la con.

 

Pour le prendre au second degré, il faudrait que ça serve de ressort comique ou dramatique à l'histoire.

Là c'est purement gratuit.

 

:beer:

HUMAN GOTO, j'ai bien lu que tu l'avais copié.

C'est l'auteur, l'anti chtis primaire

 

Bon ciel

Leimury

Leimury

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Tu oublies que je risque aussi d'avoir la ligue de défense des GINETTES sur le dos ! ;)

 

Puis la ligue des buvetiers ( cités comme responsables de la crise !)

 

Ah, et les Regis...

La grande époque des Regis:

 

http://regis.tv/

 

Bon ciel

HUMAN GO TOO

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T'inquiètes pas, Human, c'était juste une petite remarque en passant.

Il en faut beaucoup plus pour fâcher les gars dech'Nord. ;):be:

 

Soit dit en passant , je ne connais pas de plaisir plus grand que de raconter une histoire de blonde à une blonde, une histoire belge à un Belge, etc. , etc.

J' ai dans mon entourage des portuguais, italiens, ukrainiens, maghrébins, polonais, ch'tis, bretons , provençaux et autres ; et je te promets que ce sont mes cibles favorites , le tout dans la bonne humeur !:wub:

 

Mais y a pas de malaise dans tes remarques ! C' était pris pour une suite logique ! Il aurait même été anormal qu' il n' y ait pas de réaction, et j' y pensais en le postant !;)

HUMAN GO TOO

HUMAN GO TOO

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Je trouve qu'il a raison de relever.

 

Betincourt, Pas de Calais,

Ca ajoute strictement rien au texte.

Tu l'enlève, on s'en rend même pas compte; ça manque pas.

 

Bistrot et alcolos, c'est largement suffisant.

La ville sert strictement à rien dans le texte à part à ressortir de vieux clichés à la con.

 

Pour le prendre au second degré, il faudrait que ça serve de ressort comique ou dramatique à l'histoire.

Là c'est purement gratuit.

 

:beer:

HUMAN GOTO, j'ai bien lu que tu l'avais copié.

C'est l'auteur, l'anti chtis primaire

 

Bon ciel

 

HUMOUR : essaie de raconter une histoire belge , en disant : "c'est l' histoire d'un serbo-croate . . ." ou " c' est l' histoire d' un bolivien du sud . . . " ! :dehors:

Leimury

Leimury

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HUMOUR : essaie de raconter une histoire belge , en disant : "c'est l' histoire d'un serbo-croate . . ." ou " c' est l' histoire d' un bolivien du sud . . . " ! :dehors:

 

C'est l'histoire d'un mec... c'est pas mal

 

Mais d'un autre coté, les histoires classées par nationalités et groupes aident tellement Madame Ginette

que ce serait tout un pan de l'économie française qui risquerait de basculer sans ça. :D

 

Accroche toi au pinceau, j'enlève l'échelle :rolleyes:

Tagada tsoin-tsoin: HUMMMOOUUUR

Jeff Hawke

Jeff Hawke

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ça me rassure , car des banques qui ne sauraient pas ce qu' elles font : on irait droit à la crise , non ? ;)

 

Quelle crise ? ,

 

Tu parles de cette vaste opération, soigneusement préparée, de socialisation des pertes, après une bonne période de privatisation des gains ?... :be:

 

Il n'y a rien de nouveau sous le soleil, comme l'écrivait l'Ecclésiaste il y a déjà fort longtemps... ;)

HUMAN GO TOO

HUMAN GO TOO

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Quelle crise ? ,

 

Tu parles de cette vaste opération, soigneusement préparée, de socialisation des pertes, après une bonne période de privatisation des gains ?... :be:

 

Il n'y a rien de nouveau sous le soleil, comme l'écrivait l'Ecclésiaste il y a déjà fort longtemps... ;)

 

Tu as le sens du raccourci !

Mais c'est vrai que le reste n'est que littérature et bourrage de crâne !

Jeff Hawke

Jeff Hawke

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Tu as le sens du raccourci !

Mais c'est vrai que le reste n'est que littérature et bourrage de crâne !

 

Tiens, une petite news de ce matin, de la Caisse d'Epargne (Oui...L'Ecureuil...:be:)

 

Caisse d'Epargne: perte de 600 ME dans les dérivés actions.

(CercleFinance.com) - Le Groupe Caisse d'Epargne indique avoir enregistré un ' important incident de marché dans l'activité dérivés actions'. Cet incident s'est traduit par une perte de l'ordre de 600 millions d'euros. Il a été décelé dans le cadre des procédures habituelles de contrôle. ' Cette perte est liée à l'extrême volatilité des marchés et du krach boursier de la semaine du 6 octobre '.

Cette perte concerne exclusivement la gestion en compte propre de la CNCE, c'est-à-dire une activité indépendante de sa trésorerie.

 

La direction présice dans un communiqué ' cette perte n'affecte pas la solidité financière du Groupe et n'a aucune conséquence sur la clientèle '. Le groupe affiche un niveau de fonds propres de plus de 20 milliards d'euros et d'importante liquidité.

 

Le groupe précise que ' les mesures nécessaires ont été immédiatement prises pour solder cette position et mettre fin à cette activité. Des sanctions ont été prononcées et les autorités de tutelle informées'

 

 

Voilà. 600 plaques, comme ça, dans la semaine...:b:

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