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Hubble a détecté du CO² autour d'une exoplanète


kenaroh

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kenaroh, si tu pouvais améliorer la traduction que tu donnes : "L'aide d'un proche de la caméra infrarouge de Hubble" pour "En utilisant une caméra de Hubble dans le proche infrarouge" ce qui est un peu plus compréhensible.

 

Idem pour : "Ils ont obtenu un éventail de l'étoile et la planète en même temps," pour "Ils ont obtenu un spectre de l'étoile et de la planète en même temps"

 

Plus loin "diagramme" pour "spectre".:?:

Posté

Comme j'ai dit : c'est une traduction automatique, pas le temps de tout traduire, je suis au boulot, l'info originale est en anglais.

Posté

http://www.cieletespace.fr/evenement/2552_du-dioxyde-de-carbone-detecte-sur-une-exoplanete

 

Il resterait donc aux scientifiques à être capables de détecter l'ozone dans une atmosphère d'exoplanète, pour identifier le signal d'une vie assez similaire à celle que nous connaissons.

Il faudrait, de plus, pouvoir le faire pour des exos moins massives et avec des périodes orbitales plus longues.

Pour ma part , j' imagine , malgré tout, qu'il ne serait pas impossible que, même identifiant les trois composants atmospériques (CO2, O3 et H2O) nous n'ayons pas une preuve suffisante pour l'attribuer à une activité biologique.

A contrario, l'absence d' un de ces éléments n'excluerait pas forçément la vie, puisque, à l'origine de la nôtre, sur Terre, l'ozone n'était pas encore présent.

Posté

Pour ma part , j' imagine , malgré tout, qu'il ne serait pas impossible que, même identifiant les trois composants atmospériques (CO2, O3 et H2O) nous n'ayons pas une preuve suffisante pour l'attribuer à une activité biologique.

A contrario, l'absence d' un de ces éléments n'excluerait pas forçément la vie, puisque, à l'origine de la nôtre, sur Terre, l'ozone n'était pas encore présent.

 

Comme tu le soulignes, les "indicateurs exo-biologiques" sont assez difficiles à cerner. J'avais asssité à une confernece d'André Brack il y 2 ou 3 ans, et c'était la question que lui posaient les scientifiques en charge des instrumentations (notamment sur satellite) : "Dites nous ce qu'on doit chercher". Et il répondait qu'il était bien embêté.

 

Même si on se base sur un scénario d'évolution du pré-vivant, puis du vivant comme cela s'est passé sur la Terre, on ne sait pas trop. Vu que des scénarios divers et variés (Miller, puis sa thèse descendue en flamme à cause de la composition atmosphérique, fumeurs noirs ...) sur nos propres origines, cela ne manque pas !

 

Je viens de lire un article selon lequel un élève de Miller (Jeffrey Bada dans Science) redonnait une crédibilité à un des scénarios de Miller à savoir une genèse liée au volcanisme.

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/sciences/fondamental/20081017.OBS6477/les_volcans_ontils_essaime_la_vie_sur_terre.html

 

Et en plus dans toutes ces hypothèses ...les marqueurs de la vie peuvent différer suivant le degré d'évolution du processus.

 

Et on rajoute là-dessus la possibilité non négligeable que sur une exo-planète cela peut être encore complétement différent (rayonnement différent de l'étoile, présence de catalyseurs différents etc...)

 

Bref ... les certitudes on va les attendre encore longtemps.

 

Mais si on découvre des exoplanètes telluriques dans la zone de vie, et qu'on aligne les milliards nécessaires pour faire un TPF (du genre des projets comme Darwin inspiré de Labeyrie) on pourrait détecter des variations de teinte suivant les saisons ... et cela pourrait, ajouté aux détections spectroscopiques, donner des garanties très solides.

 

Ah ! entrer en communication avec une algue ou une limace de mer extra-terrestre ... quel bonheur ! :wub:;)

Posté

Merci Montmein pour cet article.

Nous sommes bien sur la même longueur d'onde.

Serait-ce le signal tant attendu de la détection de l'Intelligence.

Pensant à mon cas, j'en doute!

 

Au regard de l'histoire de la vie sur Terre, la découverte d'une algue (unicellulaire) extra-terrestre me paraît moins improbable que celle d'une limace marine.

Quand même, te rends-tu compte!

Une limace, c'est déjà un stade d'évolution très élevé! ;)

Posté

Quand même, te rends-tu compte!

Une limace, c'est déjà un stade d'évolution très élevé! ;)

 

Tu as parfaitement raison.

Déjà sur Terre on découvre des limaces ayant "ingéré" des capacités chlorophylliennes qui se sont incorporées dans leur patrimoine génétique.

elysia.jpg:chuisundieu:

http://tontondaniel.over-blog.com/article-25519663-6.html

http://sciencesetavenirmensuel.nouvelobs.com/hebdo/parution/p742/articles/a388439-.html

 

 

Donc des évolutions très bizarres sont parfaitement envisageables ailleurs.

Une limace avec le QI d'Einstein et qui se shooterait au phosphore pour jongler avec des équations relativistes ... on aurait du mal à suivre :D

 

Mais il est vrai que pour l'instant .. on cherche péniblement des traces de possibles marqueurs exo-biologiques dans des spectres IR ou UV .... donc il reste du boulot pour se connecter sur la longueur d'onde de communication de la limace (si elle émet des gluons ... on est mal !) :secret:

Posté
...

Bref ... les certitudes on va les attendre encore longtemps.

 

Mais si on découvre des exoplanètes telluriques dans la zone de vie, et qu'on aligne les milliards nécessaires pour faire un TPF (du genre des projets comme Darwin inspiré de Labeyrie) on pourrait détecter des variations de teinte suivant les saisons ... et cela pourrait, ajouté aux détections spectroscopiques, donner des garanties très solides.

 

Ah ! entrer en communication avec une algue ou une limace de mer extra-terrestre ... quel bonheur ! :wub:;)

 

C'est vrai qu'il va falloir un peu de patience mais ça prouve que la démarche est lancée et commence à montrer qu'elle peut apporter des résultats (sans conclusion définitive bien sur). :)

 

http://luth7.obspm.fr/~schneider/Constr-exobio-schneider.pdf

 

Par contre je ne sais pas si les programmes de recherche sont suffisament larges pour couvrir des recherches variées (multi-molécules comme par exemple celles décrites par Quetzy et couvrant plusieurs parties du spectre EM) ?

Posté

Par contre je ne sais pas si les programmes de recherche sont suffisament larges pour couvrir des recherches variées (multi-molécules comme par exemple celles décrites par Quetzy et couvrant plusieurs parties du spectre EM) ?

 

Bonjour,

 

Salut à toi Poussinet,:)

 

Si je ne me suis pas mépris sur le sens de ta question, je crois que la réponse se trouve dans le lien qui est donné par jack', un post avant le tien.

 

Par ailleurs, j'ai été assez stupéfait par le dévelopement évolutif d'Elysia chlorotica présenté par Montmein!

 

Pour l'instant, il semble que la communauté scientifique oriente ses recherches de biomarqueurs en restant dans le cadre des contingences qu'imposent nôtre connaissance de la seule vie terrestre (chimie du carbonne dans le solvant H2O).

Biensur, il existe aussi des hypothèse plus spéculatives...

Couramment, l'exobiologie élargit théoriquement cette chimie organique en l'assoçiant à d'autres solvants, mais dans notre quête d'un monde abritant la vie, nous nous limitons, pour l'instant, à essayer de dégotter une planète très semblable à la nôtre.

Ainsi le jour ou nous serions capables d'identifier et de quantifier les composants d'une atmosphère d'exoplanète, dans une plage de T° limitée, et que ceux-ci soient une copie très ressemblante de l'atmosphère terrestre, nous pourrions décréter que le faisceau de présomptions est suffisant pour condamner la vie à être... universelle.

Ce scénario de recherche est très loin d'être le seul envisageable mais se fonde sur les bases les moins fragiles de nos connaissances.

Posté

De l'eau et du carbone. Ce cocktail primordial, qui a permis l'éclosion de la vie sur Terre, voilà 3,8 milliards d'années, a toutes les chances d'être réuni ailleurs dans l'Univers, où des milliards de corps célestes gravitent autour de milliards d'étoiles dans des milliards de galaxies. Dans leur quête de nouveaux mondes habitables, les astrophysiciens viennent de franchir une nouvelle étape, en mettant en évidence la présence de gaz carbonique et de vapeur d'eau dans l'atmosphère d'une lointaine planète, à 63 années-lumière (600 000 milliards de kilomètres) de la Terre. Ne rêvons pas toutefois ! Cette géante gazeuse, plus de 300 fois plus massive que la Terre, est une fournaise d'environ 1 000 degrés Celsius, où toute vie est impossible.

 

HD189733b, c'est son nom, a été découverte en 2005, par l'Observatoire de Haute-Provence, dans la constellation du Petit Renard. Très proche de son étoile, dont elle fait le tour en un peu plus de deux jours seulement, elle est la plus brillante des exoplanètes - extérieures à notre système solaire - dont peut être observé le transit, c'est-à-dire le passage devant et derrière son astre. Grâce aux spectromètres infrarouges équipant les grands télescopes spatiaux, il est possible de déterminer la composition de son atmosphère. En effet, chacun des gaz qu'elle recèle absorbe une longueur d'onde particulière du rayonnement émis par la planète éclairée par son soleil. Le spectre de lumière porte donc la signature de ces éléments.

 

C'est ainsi que le 9 décembre, la NASA a annoncé avoir détecté, avec le télescope Hubble, du dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère de HD189733b. Une première pour une planète extrasolaire. Du monoxyde de carbone (CO) y a été également repéré, comme l'avait aussi été, quelques mois plus tôt, du méthane (CH4). "Le dioxyde de carbone est le plus passionnant car, dans des conditions favorables, il pourrait être lié à une activité biologique comme c'est le cas sur Terre", s'enthousiasme Mark Swain, l'un des responsables du programme à l'Agence spatiale américaine.

 

Non pas que ce CO2, associé pour partie sur Terre aux activités humaines, puisse témoigner d'une vie passée sur cette planète brûlante. Mais, explique Jean Schneider, de l'Observatoire de Paris (Laboratoire de l'Univers et de ses théories), "la vie que nous connaissons est basée sur la chimie du carbone, et celui-ci semble plus facile à tirer du gaz carbonique que du méthane ou du monoxyde de carbone". Autrement dit, l'un des ingrédients nécessaires à la chaîne du vivant est ici disponible. Encore y faudrait-il de l'eau liquide, précise Michel Viso, responsable des programmes d'exobiologie au Centre national d'études spatiales (CNES). Sauf à échafauder des scénarios en rupture avec tout ce que nous savons de la physico-chimie, "on ne peut imaginer la diversité moléculaire indispensable à la vie sans carbone et sans eau liquide", souligne-t-il.

 

D'eau liquide, il n'y en a pas sur HD189733b. Mais de la vapeur d'eau, provenant peut-être d'un lointain passé glaciaire. Sa présence a été confirmée par une autre équipe américaine, qui publie ses résultats dans la revue Nature du 11 décembre. Carl Grillmair et ses collègues ont imaginé une méthode d'observation originale, consistant à analyser, avec le télescope spatial Spitzer, le rayonnement émis par le couple étoile-planète au cours de dix éclipses secondaires, durant lesquelles la planète passe derrière son astre. En comparant les spectres lumineux lorsque la planète est occultée et lorsqu'elle ne l'est pas, ils ont pu isoler son empreinte propre, révélatrice de la présence de molécules d'eau.

 

Plus intéressant encore, des contradictions avec des résultats antérieurs font supposer que cette planète est peut-être animée de circulations atmosphériques complexes, ou d'une source de chaleur interne inconnue. "Etape par étape, nous allons pouvoir bâtir de meilleurs modèles, en trois dimensions, qui nous aideront à mieux connaître les exoplanètes que nous découvrons", commente Jean Schneider.

 

Car l'objectif des chasseurs d'exoplanètes est d'en trouver une, un jour, où les conditions de la vie soient réunies. Depuis la découverte de la première d'entre elles, en 1995, par les Suisses Michel Mayor et Didier Queloz, le catalogue n'a cessé de s'enrichir. Quotidiennement mis à jour (sur Exoplanet.eu), il ne compte pas moins de 333 planètes extrasolaires, pour la plupart d'énormes boules de gaz surchauffées orbitant tout près de leur soleil, appelées "Jupiter chauds".

 

Ce qui ne signifie pas que celles-ci sont les plus nombreuses dans le cosmos, mais simplement qu'elles sont les plus faciles à détecter, par les méthodes indirectes du transit (la variation de la luminosité de l'étoile quand la planète passe devant le disque stellaire) ou de la vitesse radiale (l'infime décalage périodique de la position de l'astre provoqué par la planète).

 

L'espoir des astrophysiciens est désormais de mettre la main sur une "Super Terre" : une cousine de notre planète, faite de roches et non de gaz, peu massive, gravitant à bonne distance d'une petite étoile pas trop chaude (une naine rouge), en sorte que l'eau y demeure à l'état liquide. Jean Schneider en est persuadé : "D'ici quelques années, nous trouverons une planète potentiellement habitable."

 

Habitable ne veut pas dire habitée. Encore moins colonisable par l'homme. Juste un signe que nous ne sommes peut-être pas, ou ne resterons pas toujours, seuls dans le vaste Univers.

 

COPYRIGHT LEMONDE.FR

 

LE SUJET AYANT DEJA ETE OUVERT PRECEDEMMENT J'AI FUSIONNE LES DISCUSSION ET CONSERVE LA PLUS ANCIENNE

Invité Ortog
Posté

Le titre va super bien avec l'article. En gros, elle est tout sauf habitable cette planète...

 

Certains, à la détection de méthane, arriveraient à faire une thèse sur la présence de bouses de vache à la surface d'une gazeuse.

 

Les apôtres de la vie partout font vraiment tout pour nous faire oublier qu'elle n'est connue que sur une planète, la notre.

 

Je trouve ça assez surprenant. Dans les quelques photons d'une étoile lointaine, ils arrivent à émettre des hypothèses alors qu'après des milliards de mesures sur Mars, ils sont incapable de donner des réponses...

 

C'est le royaume de la com et du sensationnel à tout prix

 

Ortog

Posté

Je trouve ça assez surprenant. Dans les quelques photons d'une étoile lointaine, ils arrivent à émettre des hypothèses

 

C'est bien là que se situe le sensationnel.

Après les interprétations sont souvent fantaisistes et exagérées.

Mais comme il est dit à la fin de l'article d'ici quelques années les planètes rocheuses seront détectables et on en saura pas mal sur leur données atmosphériques.

 

Pour aller encore plus loin il faudra des Extremely Large Telescope ou des formations de satellites travaillant en interférométrie : on n'y est pas encore.

Invité Ortog
Posté
d'ici quelques années les planètes rocheuses seront détectables et on en saura pas mal sur leur données atmosphériques.

 

 

Si c'était réalisable avec des immenses télescope, alors avec les détecteurs actuels nous devrions étudier plus profondément l'atmosphère de Titan par exemple, hors, les mesures de l'atmosphère de Titan depuis la Terre sont très très superficielles et sans rapport avec le in-situ

 

Il faudrait des détecteurs capables d'être meilleurs, ce, malgrès l'immense distance entre la Terre et l'exoplanète.

 

Je ne partage, mais alors pas du tout, l'optimisme ambiant.

 

C'est effectivement pas un article de scientifique, mais les scientifiques aiment ce genre de déclaration, c'est très très utile pour leur budget.

 

Ortog

Posté

Salut quetzy :)

 

ben justement l'article du monde parle bien de détection par spectro mais avec quelle résolution ?

 

je fait le parallèle avec l'étude de titan : http://www.crpg.cnrs-nancy.fr/NEWS/PNP2006/RESUMES/Schmitt-et-al.pdf ou le spectro bosse avec des spectres visible et infrarouge sur un "large" spectre (480-1600 nm). Ainsi ils peuvent interpréter la physicochimie locale et en déduire des conclusions partielles sur le bébé :p

 

Or STIS le spectometre de hubble ne fonctionne plus : http://hubblesite.org/the_telescope/nuts_.and._bolts/instruments/stis/index.php.

et ils ont été obligés de bosser avec la caméra proche-infrarouge, donc une moindre possibilité de détecter de manière franche des macro-molécules "organiques" ou pré-organiques.

 

Il faudrait étendre le spectre et confirmer par des études un peu plus larges non ?

Posté

C'est une bonne nouvelle ça :)

 

d'environ 1 000 degrés Celsius, où toute vie est impossible.

 

Ouais c'est toujours le meme bidule ,ça devient chient et douteux.

 

Tiens j'ai une question , combien fait il de degrée sur terre en prenant la T° de l'atmosphère de celle ci depuis l'espace ?:?:

 

HD189733b

 

Ils pourraient trouver d'autre nom moins debile pour les exoplanetes :be:

 

Car l'objectif des chasseurs d'exoplanètes est d'en trouver une, un jour, où les conditions de la vie soient réunies

 

Il est bien la le problème ,quels conditions ?

Les extraterrestes n'ont surement pas les meme conditions de vie que la notre, est ce qu'ils respirent etc........

 

Et puis sincerment a quoi cela va t-il nous servir qu'ils aient trouver cette planète particulière ?

 

Elle servira juste a des milliers de sceptiques qui se croit seul ,et qui maintenant le seront peut etre un peu moins.

 

Remarque si ça peut aider certains a penser ça, c'est deja pas mal :D.

Enfin bref pas besoin d'avoir de preuve scientifique pour se dire cela ,en tout cas pour moi.

 

Habitable ne veut pas dire habitée. Encore moins colonisable par l'homme. Juste un signe que nous ne sommes peut-être pas, ou ne resterons pas toujours, seuls dans le vaste Univers.

Quelle conclusion :D

Colonisable par l'homme :b: vaut mieux pas , sinon il va foutre en l'air une autre planète :D

Posté
Tiens j'ai une question , combien fait il de degrée sur terre en prenant la T° de l'atmosphère de celle ci depuis l'espace ?:?:

 

La même température... ;)

 

Il est bien la le problème ,quels conditions ?

Les conditions de "vie"...C'est à dire que de la matière puisse se constituer en structures complexes qui perdurent à leur environnement par échanges métaboliques, construction et reconstruction pilotée selon un code génétique, et reproduction (sexuée ou non...)

 

Les extraterrestes n'ont surement pas les meme conditions de vie que la notre, est ce qu'ils respirent etc........

Ben par exemple, un astéroide ne respire pas, et il est extra terrestre...Donc les extraterrestres existent. Maintenant, est-ce que c'est de la "vie" ? Pas sûr...
Posté
Salut quetzy :)

 

ben justement l'article du monde parle bien de détection par spectro mais avec quelle résolution ?

 

(...)

 

Il faudrait étendre le spectre et confirmer par des études un peu plus larges non ?

 

Bonjour,

 

Pardon Poussinet.

La méprise provient du fait que je t'avais mal lu.

Je restais dans l'optique de l'identification de signatures spectrales pour des molécules simples dans les atmosphères d'exos.

A partir du moment où tu parlais, dans le post 10, de molécules complexes et de leurs associations, tu as simplement raison.

Merci pour le lien sur les analyses DISR de Titan, qui me rapelle utilement qu'il y a encore aussi pas mal de boulot pour comprendre la chimie prébiotique dans les environs de Saturne.:)

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