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D'où l'importance du ciel..

zaurel

Par zaurel
dans Les CROA

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zaurel

zaurel

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Tu m'étonnes! je m'appelle pas Musclor moi, hé!...^^ et puis, m'en fous, je ferai du TDA, n'est-ce pas Albéric?...:be:

GéGé

GéGé

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A ce propos, on a un pote qui cogite un Cassegrain de 70kg... heu... de 700mm ;)

Faut juste attendre qu'il ait fini de mettre un peu de matière autour des trous!

 

:b:

xs_man

xs_man

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Tu m'étonnes! je m'appelle pas Musclor moi, hé!...^^ et puis, m'en fous, je ferai du TDA, n'est-ce pas Albéric?...:be:

 

Avec Gégé on se cotisera pour t'offrir des stéroïdes anabolisants.

Tu verras après, ce ne sont pas 25 kg qui te feront peur... :be:

Oui le TDA est prévu dans la mesure de l'humainement possible...

 

A ce propos, on a un pote qui cogite un Cassegrain de 70kg... heu... de 700mm ;)

Faut juste attendre qu'il ait fini de mettre un peu de matière autour des trous!

 

Faut que je le rencontre, c'est un sujet passionnant dis-moi ! ;)

 

Albéric

MF_Erwan

MF_Erwan

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Tout cela pour vous dire, je crois sincèrement, plus que le diamètre, plus que le Tuyau, c'est le ciel qui fait tout.

Pas d'accord.

Ce qui fait tout, c'est les deux en même temps:

un gros diamètre sous un bon ciel.:be:

Le 510 de tutu56 sous le ciel des Monts d'Arrée (et avec 2 Ethos en bino), c'est le pied!:wub:

 

Erwan

zaurel

zaurel

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Ah ben oui, mais souvent on ne peut pas avoir le beurre, l'argent du beurre et la crêmière! :be:

zaurel

zaurel

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Avec Gégé on se cotisera pour t'offrir des stéroïdes anabolisants.

Tu verras après, ce ne sont pas 25 kg qui te feront peur... :be:

 

 

...rhâ la vache! non c'est moi qui me ferais peur après! ....:D

xs_man

xs_man

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...rhâ la vache! non c'est moi qui me ferais peur après! ....:D

 

Ca aurait un autre avantage : tes frères réfléchiraient à deux fois avant de te taquiner... :p

 

Albéric

astrotophe

astrotophe

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Tout le monde n'a pas un semi-remorque avec un télescope de 700 mm et 70kg de miroir à sa disposition. C'est sûr 25 kg ce n'est rien.

zaurel

zaurel

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C'est sûr 25 kg ce n'est rien.

 

Oui ben,hé.....c'est déjà beaucoup pour moi, valà! ^^

Phil.

Phil.

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Héhé! ....

 

... pour embêter les Possesseurs de GRRRROS Tuyaux! :p

 

 

:)

 

 

Chèr Mosieur,

 

Sachez que pour beaucoup de gens un 200 mm c'est déjà un gros diamètre !

 

:hmm:

Phil.

Phil.

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Chère Mademoiselle,

 

Je suis au courant, ne vous faîtes pas de souci.

 

:hm:

 

:p dsl, mamzelle Zaurel, j'avais pas vu...:be:

Flo500

Flo500

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Salut Zaurel,

 

ça me ferais super plaisir que tu me (nous) décrive le ciel cette nuit là... juste à l'œil nu.

 

Et oui une tite nébuleuse planétaire ça mérite un croa perso et si en plus c'est écrit par notre plus fine plume... c'est la classe.

 

merci

zaurel

zaurel

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Bonsoir Flo! ... méé euh c'est trop! :blush:

 

Juste le ciel, sans instrument. Je m'en souviens comme si c'était cette nuit.

 

Orion, le Grand Chasseur, régnait en maître sur ce ciel si limpide que l'on discernait fort bien les couleurs des étoiles. Le Lièvre, juché à ses pieds était déjà bien haut lorsque nous avons commencé à installer le plus- beau tuyau-qui-surpasse-de loin-tous-les-autres.

 

De ce dont je me souviens précisément, c'était cette obscurité , arrogante pour les petits lampadaires qui au loin, brillaient à peine. Ils furent bien en peine ce soir-là...à 23h30, la nuit était totale. Nous distinguions bien la route car la nuit étoilée nous la montrait. C'était beau, c'était rare. Trop rare.

 

Au loin, dans la vallée, c'était le brouillard qui déjà à cette heure avancée, avait dû prendre mon village, ma maison 600 mètres plus bas.

On l'avait bien eu celui-là! ils ne nous aurait pas ce soir..

 

J'ai en tête l'image de ce chêne tordu superbe, vieux et sage qui à chaque plongée dans le ciel , là-haut, nous accompagne patiemment. Il m'entend m'extasier, il me voit courir pour me réchauffer et jurer parce qu'il fait trop froid et mes doigts qui vont tomber punaise-j'ai-trop-mal! et surtout, il me voit bien silencieuse, éblouie devant un tel spectacle.

J'aime le regarder aussi ce vieil arbre, lorsque je contemple les étoiles à travers ses branches, cette infinité de petites lumières douces qui pétillent de toute leur beauté, là, juste derrière lui. Et puis, juste à côté de lui...le vide et le silence.

 

J'aime être plongée dans ces nuits d'Autrefois que nous avons malheureusement perdu en si peu de temps, si peu de temps...

Cette obscurité enveloppante te rapproche encore un peu plus des étoiles, tu pourrais presque les toucher..

 

Je me souviens des amas du Cocher, à l'oeil nu, ils ressemblaient à de toutes petites nuées argentées. Andromède trônait fièrement, plus à l'Ouest, bien qu'elle savait qu'elle ne resterait plus très longtemps avec nous.

Elle était grande, dans ce ciel, elle était belle.

 

D'où nous étions, nous avions le Sud tout à nous! plus bas, des champs et surtout, des forêts de sapins, beaucoup de sapins là-haut, c'est la Loire, juste à la limite.

Des collines de sapins, des champs blancs de neige, et plus haut, Sirius qui nous aveuglait presque.

Mais le plus beau vous savez, c'était le Noir.

Le noir du ciel, le noir de la nuit.

 

A partir de ce moment-là, plus rien n'est impossible!

 

:)

Dédé de St Fé

Dédé de St Fé

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Juste le ciel, sans instrument. Je m'en souviens comme si c'était cette nuit.

 

Orion, le Grand Chasseur, régnait en maître sur ce ciel si limpide que l'on discernait fort bien les couleurs des étoiles. Le Lièvre, juché à ses pieds était déjà bien haut lorsque nous avons commencé à installer le plus- beau tuyau-qui-surpasse-de loin-tous-les-autres.

 

De ce dont je me souviens précisément, c'était cette obscurité , arrogante pour les petits lampadaires qui au loin, brillaient à peine. Ils furent bien en peine ce soir-là...à 23h30, la nuit était totale. Nous distinguions bien la route car la nuit étoilée nous la montrait. C'était beau, c'était rare. Trop rare.

 

Au loin, dans la vallée, c'était le brouillard qui déjà à cette heure avancée, avait dû prendre mon village, ma maison 600 mètres plus bas.

On l'avait bien eu celui-là! ils ne nous aurait pas ce soir..

 

J'ai en tête l'image de ce chêne tordu superbe, vieux et sage qui à chaque plongée dans le ciel , là-haut, nous accompagne patiemment. Il m'entend m'extasier, il me voit courir pour me réchauffer et jurer parce qu'il fait trop froid et mes doigts qui vont tomber punaise-j'ai-trop-mal! et surtout, il me voit bien silencieuse, éblouie devant un tel spectacle.

J'aime le regarder aussi ce vieil arbre, lorsque je contemple les étoiles à travers ses branches, cette infinité de petites lumières douces qui pétillent de toute leur beauté, là, juste derrière lui. Et puis, juste à côté de lui...le vide et le silence.

 

J'aime être plongée dans ces nuits d'Autrefois que nous avons malheureusement perdu en si peu de temps, si peu de temps...

Cette obscurité enveloppante te rapproche encore un peu plus des étoiles, tu pourrais presque les toucher..

 

Je me souviens des amas du Cocher, à l'oeil nu, ils ressemblaient à de toutes petites nuées argentées. Andromède trônait fièrement, plus à l'Ouest, bien qu'elle savait qu'elle ne resterait plus très longtemps avec nous.

Elle était grande, dans ce ciel, elle était belle.

 

D'où nous étions, nous avions le Sud tout à nous! plus bas, des champs et surtout, des forêts de sapins, beaucoup de sapins là-haut, c'est la Loire, juste à la limite.

Des collines de sapins, des champs blancs de neige, et plus haut, Sirius qui nous aveuglait presque.

Mais le plus beau vous savez, c'était le Noir.

Le noir du ciel, le noir de la nuit.

 

A partir de ce moment-là, plus rien n'est impossible!

 

........................................................:wub:

zaurel

zaurel

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Allez, ma petite Eluria et mon petit Dédé, je vous emmène!.... avec moi! hop!

 

;)

GéGé

GéGé

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Juste le ciel, sans instrument. Je m'en souviens comme si c'était cette nuit.

 

Orion, le Grand Chasseur, régnait en maître sur ce ciel si limpide que l'on discernait fort bien les couleurs des étoiles. Le Lièvre, juché à ses pieds était déjà bien haut lorsque nous avons commencé à installer le plus- beau tuyau-qui-surpasse-de loin-tous-les-autres.

 

De ce dont je me souviens précisément, c'était cette obscurité , arrogante pour les petits lampadaires qui au loin, brillaient à peine. Ils furent bien en peine ce soir-là...à 23h30, la nuit était totale. Nous distinguions bien la route car la nuit étoilée nous la montrait. C'était beau, c'était rare. Trop rare.

 

Au loin, dans la vallée, c'était le brouillard qui déjà à cette heure avancée, avait dû prendre mon village, ma maison 600 mètres plus bas.

On l'avait bien eu celui-là! ils ne nous aurait pas ce soir..

 

J'ai en tête l'image de ce chêne tordu superbe, vieux et sage qui à chaque plongée dans le ciel , là-haut, nous accompagne patiemment. Il m'entend m'extasier, il me voit courir pour me réchauffer et jurer parce qu'il fait trop froid et mes doigts qui vont tomber punaise-j'ai-trop-mal! et surtout, il me voit bien silencieuse, éblouie devant un tel spectacle.

J'aime le regarder aussi ce vieil arbre, lorsque je contemple les étoiles à travers ses branches, cette infinité de petites lumières douces qui pétillent de toute leur beauté, là, juste derrière lui. Et puis, juste à côté de lui...le vide et le silence.

 

J'aime être plongée dans ces nuits d'Autrefois que nous avons malheureusement perdu en si peu de temps, si peu de temps...

Cette obscurité enveloppante te rapproche encore un peu plus des étoiles, tu pourrais presque les toucher..

 

Je me souviens des amas du Cocher, à l'oeil nu, ils ressemblaient à de toutes petites nuées argentées. Andromède trônait fièrement, plus à l'Ouest, bien qu'elle savait qu'elle ne resterait plus très longtemps avec nous.

Elle était grande, dans ce ciel, elle était belle.

 

D'où nous étions, nous avions le Sud tout à nous! plus bas, des champs et surtout, des forêts de sapins, beaucoup de sapins là-haut, c'est la Loire, juste à la limite.

Des collines de sapins, des champs blancs de neige, et plus haut, Sirius qui nous aveuglait presque.

Mais le plus beau vous savez, c'était le Noir.

Le noir du ciel, le noir de la nuit.

 

A partir de ce moment-là, plus rien n'est impossible!

 

:)

Ah zut, j'avais pas vu! Que c'est beau, ce que tu vois en toi, aussi beau qu'autour de toi, Zozo!

 

....le plus- beau tuyau-qui-surpasse-de loin-tous-les-autres.

Sauf un! Non, mais! Pffff.... :p

 

:wub:

milanc

milanc

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Ah là là... vraiment, ça fait rêver...

... viite, viite, bricolage, résurrection de Meadaubeson (l'histoire de ce nom est plus compliquée qu'il n'y paraît; toujours est-il que de mon 114 faux-dobson-sur-trépied il ne me reste que les miroirs...), un petit voyage en train dans la campagne, accompagné d'une tente, un t-shirt, deux pulls, une paire de collants, une veste de ski, un pantalon de ski, & cie.

 

:cry:

Dédé de St Fé

Dédé de St Fé

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Allez, ma petite Eluria et mon petit Dédé, je vous emmène!.... avec moi! hop!

 

;)

 

Ha oui "p'tite piaf aux étoiles", à chaque fois que je te lis, je suis déja avec toi :rolleyes:

Flo500

Flo500

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...le ciel est très beau.

Lorsque l'on quitte l'humidité, le ciel est d'une rare limpidité.

 

Et surtout la lumière parasite... Merci encore pour ta pétition.

Flo500

Flo500

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Bonsoir Flo! ... Mais le plus beau vous savez, c'était le Noir.

Le noir du ciel, le noir de la nuit. A partir de ce moment-là, plus rien n'est impossible!

 

 

C'est exactement ça le must, le noir noir.

 

Et merci mile fois

  • 2 semaines plus tard...
astrotophe

astrotophe

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Il y a un article dans Sky and Telescope du mois de février au sujet du rapport ciel/diamètre.

 

Ca ressortait un peu du genre : quand le ciel est mauvais avec plein de lumière parasite, il vaut mieux un gros diamètre alors que sous un bon ciel, un plus petit diamètre donne le même résultat.

 

En gros :

ciel noir + "petit" diamètre = ciel clair + "gros" diamètre

 

Certes un gros diamètre sous un ciel noir, c'est bien plus intéressant.

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