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Posté

punaise, t'as du succès avec ton tube....

Toi aussi, t'as remarqué? :blush:

Tous les bricoleurs de WA sont là pour m'aider et m'encourager!! :love:

 

Ca doit pas être si fréquent, une fille qui fait son scope!:D

 

Merci de me confirmer ça pour les roulements... je crois effectivement que ce sera la solution la plus simple.

Il va falloir que je revois la base, par contre, car je ne peux pas me permettre de rajouter 3-4 cm de roulettes à la légère: le PO est déjà un poil trop haut pour mon oeil au zénith car j'ai du rallonger le corps du scope de 8cm vu le profil très ramassé du Moonlite.

 

Je ne sais pas si cette modif sera faisable d'ici les RAP par contre...

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Les pipelettes du sujet

Les pipelettes du sujet

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Posté
Je continue dans mon délire : effectivement , si tu le dis ton équilibrage est je le suppose " nickel" pour le porte à faux quand tu baisses le tube , avec tes oculaires ! O K

 

Mais ce poids total , global , doit peser sur tes patins ( et fourches ) quand tu approches du zénith !

Il est peut être bon d' envisager un autre rattrapage sur le porte à faux , pour encore plus " allèger " le haut de ton scope , pour minimiser ce poids supplémentaire en position debout ! Non ?

 

J' sais pas si je suis clair , là !

 

Ben c'est aussi ce que je me suis dit, moi...

Sauf que comme j'y connais rien, je n'ai pas pensé à haute voix (à haut clavier?)! ;)

 

ben, les gars, que le scope soit pointé sur le Sagittaire ou au zénith, le poids reste le même et toujours posé la base, par les haches et leurs patins???? quel que soit le point "pointé" la force d'appui du scope sur sa base est la même, y a que là que ça contacte!!!

 

 

Non???????????????

Posté
ben, les gars, que le scope soit pointé sur le Sagittaire ou au zénith, le poids reste le même et toujours posé la base, par les haches et leurs patins???? quel que soit le point "pointé" la force d'appui du scope sur sa base est la même, y a que là que ça contacte!!!

 

 

Non???????????????

 

Non, c'est pas pareil, le sens de gravité sera toujours en bas, vers le sol :o

Posté

Ma Chaussette Chériiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiieeeeuuuh!!!!:wub::wub::wub:

Suis toute émue :blush:

M'ci

 

Dédé, je ne comprends pas bien: mon centre de gravité reste toujours à la mêmeplace, non?

Posté
Non, c'est pas pareil, le sens de gravité sera toujours en bas, vers le sol :o

 

ben oui c'est ce que je dit!!!!

 

il ne sera pas plus dur a tourner parce que portant "plus" de poids parce que pointé au zénith!!!! c'est juste que le bras de levier étant beaucoup plus court, il fat appliquer plus de force.........

Posté

Lasilla,

 

Pour être précis, les roulements de Kentaro sont dans l'axe vertical et servent plus de guidage, le poids du scope et son frottement reposent sur du Teflon. Voir son site pour plus de détail. Pierre, ouhou, tu es là?

 

Un détail, mais au début je ne faisais pas gaffe, et je mettais de l'herbe entre les roulements et le bois en posant l'engin, il est maintenant tout vert à cet endroit, et je fais d'orénavant attention...

 

JMarc

Posté

Belle et Gente Dame Lasilia,

 

Voila que l'on m'informe que vous attendez de mes pauvres lumières...Me voici donc à vous, j'accoure, je vole et me jette à vos pieds! :)

 

Que vous faut-il ? Que peut vous offrir un pauvre ciron dans son extrême petitesse ?

 

Or donc...

 

Pour guider la rotation du rocker sur sa base, il faut des guides sur la circonférence.

 

Trois à 60°, c'est parfait.

 

Selon mon expérience, il vaut mieux les mettre à l'intérieur des anneaux, plutôt qu'à l'extérieur.

 

La meilleure position de ces trois guides, la encore, selon mon humble expérience, c'est de positionner l'un au milieu à l'arrière et les deux autres, à l'avant, de part et d'autre, un peu à l'avant des triangles du rocker supportant les tourillons. IL semble qu'ainsi, cela coince moins quand on pousse ou tire le tube.

 

Et bien sur, ces guides, le mieux, ce sont des roulements de roller.

 

La difficulté, bien positionner le centre des axes, de manière à ce que les 3 roulements soient bien tangents à la circonférence intérieure du rocker.

 

La solution: Ovaliser l'un des orifices où passe l'axe d'un roulement, de manière à pouvoir régler la position. Le mieux est de laisser un très léger jeu (1 mm). A moins que l'on ne veuille utiliser des cercles digitaux, et dans ce cas, avoir une rotation parfaite autour d'un centre. Avec un peu de jeu, on élimine les frottements.

 

 

0040001-large.JPG

 

Voila, voila, Gente et Belle Dame, J'espère que le pauvre ciron a pu répondre à vos attentes...:rolleyes:

Posté

Oooooh Pierre!!!! :wub::wub::wub:

 

Merci!!!

 

Bon.

Dommage que je n'aie pas vu ça plus tôt, je suis allée acheter des fournitures pour une autre idée ce matin, du coup (mais il sera sur roulement aussi)

Puis une défonceuse, aussi, parce que j'ai un vrai problème pour faire des cercles parfaitement identiques à la scie sauteuse. :confused:

 

Je teste ça demain et je vous dis!;)

Posté

Le ciron de Pascal, bien sûr... ;)

 

Si on ne vous a pas fait apprendre par coeur ce texte à l'école, dépêchez vous de le faire!

 

 

Disproportion de l'homme. — Que l'homme contemple donc la nature entière dans sa haute et pleine majesté, qu'il éloigne sa vue des objets bas qui l'environnent. Qu'il regarde cette éclatante lumière, mise comme une lampe éternelle pour éclairer l'univers, que la terre lui paraisse comme un point au prix du vaste tour que cet astre décrit et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'une pointe très délicate à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination passe outre ; elle se lassera plutôt de concevoir, que la nature de fournir. Tout ce monde visible n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle idée n'en approche. Nous avons beau enfler nos conceptions au-delà des espaces imaginables, nous n'enfantons que des atomes, au prix de la réalité des choses. C'est une sphère dont le centre est partout, la circonférence nulle part. Enfin, c'est le plus grand caractère sensible de la toute-puissance de Dieu, que notre imagination se perde dans cette pensée.

Que l'homme, étant revenu à soi, considère ce qu'il est au prix de ce qui est; qu'il se regarde comme égaré dans ce canton détourné de la nature ; et que de ce petit cachot où il se trouve logé, j'entends l'univers, il apprenne à estimer la terre, les royaumes, les villes et soi-même son juste prix.

 

Qu'est-ce qu'un homme dans l'infini ?

 

Mais pour lui présenter un autre prodige aussi étonnant, qu'il recherche dans ce qu'il connaît les choses les plus délicates. Qu'un ciron lui offre dans la petitesse de son corps des parties incomparablement plus petites, des jambes avec des jointures, des veines dans ses jambes, du sang dans ses veines, des humeurs dans ce sang, des gouttes dans ses humeurs, des vapeurs dans ces gouttes ; que, divisant encore ces dernières choses, il épuise ses forces en ces conceptions, et que le dernier objet où il peut arriver soit maintenant celui de notre discours ; il pensera peut-être que c'est là l'extrême petitesse de la nature. Je veux lui faire voir là dedans un abîme nouveau. Je lui veux peindre non seulement l'univers visible, mais l'immensité qu'on peut concevoir de la nature, dans l'enceinte de ce raccourci d'atome. Qu'il y voie une infinité d'univers, dont chacun a son firmament, ses planètes, sa terre, en la même proportion que le monde visible; dans cette terre, des animaux, et enfin des cirons, dans lesquels il retrouvera ce que les premiers ont donné ; et trouvant encore dans les autres la même chose sans fin et sans repos, qu'il se perde dans ses merveilles, aussi étonnantes dans leur petitesse que les autres par leur étendue; car qui n'admirera que notre corps, qui tantôt n'était pas perceptible dans l'univers, imperceptible lui-même dans le sein du tout, soit à présent un colosse, un monde, ou plutôt un tout, à l'égard du néant où l'on ne peut arriver ?

Qui se considérera de la sorte s'effraiera de soi-même, et, se considérant soutenu dans la masse que la nature lui a donnée, entre ces deux abîmes de l'infini et du néant, il tremblera dans la vue de ces merveilles ; et je crois que, sa curiosité se changeant en admiration, il sera plus disposé à les contempler en silence qu'à les rechercher avec présomption.

Car enfin qu'est-ce que l'homme dans la nature ? Un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant, un milieu entre rien et tout. Infiniment éloigné de comprendre les extrêmes, la fin des choses et leur principe sont pour lui invinciblement cachés dans un secret impénétrable, également incapable de voir le néant d'où il est tiré, et l'infini où il est englouti.

Que fera-t-il donc, sinon d'apercevoir quelque apparence du milieu des choses, dans un désespoir éternel de connaître ni leur principe ni leur fin ? Toutes choses sont sorties du néant et portées jusqu'à l'infini. Qui suivra ces étonnantes démarches ? L'auteur de ces merveilles les comprend. Tout autre ne le peut faire.

Manque d'avoir contemplé ces infinis, les hommes se sont portés témérairement à la recherche de la nature, comme s'ils avaient quelque proportion avec elle. C'est une chose étrange qu'ils ont voulu comprendre les principes des choses, et de là arriver jusqu'à connaître tout, par une présomption aussi infinie que leur objet. Car il est sans doute qu'on ne peut former ce dessein sans une présomption ou sans une capacité infinie, comme la nature. […]

Posté (modifié)

Super outil mais attention les doigts!!... bridage des pièces ou travail sur tapis antidérapant obligatoire! La dent de la fraise qui travaille doit toujours aller "contre" le déplacement, repousser le bois en qqe sorte (pas de travail en avalant, c'est le terme...désolé pour les esprits tordus ;)).

Modifié par PATASTROF
Posté (modifié)

Simplement un serre-joint ou deux pour fixer la pièce sur l'établi ou plutôt sur un plateau martyr lui même fixé à l'établi, ça évite d'abimer son beau plan de travail.

 

En cas d'utilisation intensive on peux se confectionner une boite à vide

Modifié par PATASTROF
Posté

Ahhhh ! Super outil, la défonceuse ...

On en fait de belles choses avec !

 

Mais c'est vrai : PRUDENCE !

 

 

Franck .

Posté
Le ciron de Pascal, bien sûr... ;)

 

Si on ne vous a pas fait apprendre par coeur ce texte à l'école, dépêchez vous de le faire!

 

 

Disproportion de l'homme. — Que l'homme contemple donc la nature entière dans sa haute et pleine majesté, qu'il éloigne sa vue des objets bas qui l'environnent. Qu'il regarde cette éclatante lumière, mise comme une lampe éternelle pour éclairer l'univers, que la terre lui paraisse comme un point au prix du vaste tour que cet astre décrit et qu'il s'étonne de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'une pointe très délicate à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent. Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination passe outre ; elle se lassera plutôt de concevoir, que la nature de fournir. Tout ce monde visible n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle idée n'en approche. Nous avons beau enfler nos conceptions au-delà des espaces imaginables, nous n'enfantons que des atomes, au prix de la réalité des choses. C'est une sphère dont le centre est partout, la circonférence nulle part. Enfin, c'est le plus grand caractère sensible de la toute-puissance de Dieu, que notre imagination se perde dans cette pensée.

Que l'homme, étant revenu à soi, considère ce qu'il est au prix de ce qui est; qu'il se regarde comme égaré dans ce canton détourné de la nature ; et que de ce petit cachot où il se trouve logé, j'entends l'univers, il apprenne à estimer la terre, les royaumes, les villes et soi-même son juste prix.

 

Qu'est-ce qu'un homme dans l'infini ?

 

Mais pour lui présenter un autre prodige aussi étonnant, qu'il recherche dans ce qu'il connaît les choses les plus délicates. Qu'un ciron lui offre dans la petitesse de son corps des parties incomparablement plus petites, des jambes avec des jointures, des veines dans ses jambes, du sang dans ses veines, des humeurs dans ce sang, des gouttes dans ses humeurs, des vapeurs dans ces gouttes ; que, divisant encore ces dernières choses, il épuise ses forces en ces conceptions, et que le dernier objet où il peut arriver soit maintenant celui de notre discours ; il pensera peut-être que c'est là l'extrême petitesse de la nature. Je veux lui faire voir là dedans un abîme nouveau. Je lui veux peindre non seulement l'univers visible, mais l'immensité qu'on peut concevoir de la nature, dans l'enceinte de ce raccourci d'atome. Qu'il y voie une infinité d'univers, dont chacun a son firmament, ses planètes, sa terre, en la même proportion que le monde visible; dans cette terre, des animaux, et enfin des cirons, dans lesquels il retrouvera ce que les premiers ont donné ; et trouvant encore dans les autres la même chose sans fin et sans repos, qu'il se perde dans ses merveilles, aussi étonnantes dans leur petitesse que les autres par leur étendue; car qui n'admirera que notre corps, qui tantôt n'était pas perceptible dans l'univers, imperceptible lui-même dans le sein du tout, soit à présent un colosse, un monde, ou plutôt un tout, à l'égard du néant où l'on ne peut arriver ?

Qui se considérera de la sorte s'effraiera de soi-même, et, se considérant soutenu dans la masse que la nature lui a donnée, entre ces deux abîmes de l'infini et du néant, il tremblera dans la vue de ces merveilles ; et je crois que, sa curiosité se changeant en admiration, il sera plus disposé à les contempler en silence qu'à les rechercher avec présomption.

Car enfin qu'est-ce que l'homme dans la nature ? Un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant, un milieu entre rien et tout. Infiniment éloigné de comprendre les extrêmes, la fin des choses et leur principe sont pour lui invinciblement cachés dans un secret impénétrable, également incapable de voir le néant d'où il est tiré, et l'infini où il est englouti.

Que fera-t-il donc, sinon d'apercevoir quelque apparence du milieu des choses, dans un désespoir éternel de connaître ni leur principe ni leur fin ? Toutes choses sont sorties du néant et portées jusqu'à l'infini. Qui suivra ces étonnantes démarches ? L'auteur de ces merveilles les comprend. Tout autre ne le peut faire.

Manque d'avoir contemplé ces infinis, les hommes se sont portés témérairement à la recherche de la nature, comme s'ils avaient quelque proportion avec elle. C'est une chose étrange qu'ils ont voulu comprendre les principes des choses, et de là arriver jusqu'à connaître tout, par une présomption aussi infinie que leur objet. Car il est sans doute qu'on ne peut former ce dessein sans une présomption ou sans une capacité infinie, comme la nature. […]

 

Je viens de découvrir la défonceuse :ninja:

 

 

 

 

 

:bond: :bond: :bond:

 

aaaaaaaaaaah merveilleuse poésie féminine, que celle qui nous ramène subitement au taf..........

Posté (modifié)

Bon, c'est vrai qu'il faut bien la tenir, la bestiole: ça a tendance à sauter des mains facile...

 

Voilà, j'ai 2 beaux cercles en 10 et 12mm, et 2 belles bandes de 40 en 3mm...

J'aia refaire le coup du cintrage au fer à repasser pour une glissière interne aux cercles.

Une bande de formica dessus, puis 3 patins de téflon sur l'autre cercle, et de devrais avoir mon glissement pour ne pas déjanter.

Ensuite, 6 roulements pour le mouvement en azimuth et hop, ça devrait le faire.

 

Je n'ai pas détruit l'autre base et j'ai des patins de téflon à rajouter au cas où... Comme ça, il est quand même opérationnel, même s'il n'est pas encore optimal à mon goût

Modifié par Lasilla
Posté

Bon...

 

Je crois que le mieux est l'ennemi du bien.

 

J'ai essayé un nouveau truc à roulettes, mais elle ne supportent pas bien la charge et roulent mal.

Un roulement avec glissement, quoi....

 

Je vais donc choisir le plan B et améliorer la structure existante: rajout de patins, polissage des surfaces et ajout d'une poignée supplémentaire sur la cage de secondaire.

 

J'étudireai une autre solution de visu, aux RAP.

Maintenant, je sais quel mouvement je cherche, je sais donc quoi/comment tester.

Posté (modifié)

Au fait...

 

Finalement, hier soir, j'ai comparé mes glissement à ceux de OO et en fait, il n'y a pas photo pour les deux!

 

J'avais quelques à-coups en azimuth donc j'ai soigneusement cherché les petites bosses et je les ai martelé, puis j'ai passé l'intégralité des surface au papier emeri (grain 1200) que m'a donné Rob: c'est tout lisse et il me semble que ça va mieux.

 

J'ai encore rajouté quelques patins et il ne colle presque plus au démarrage.

 

Puis j'en ai supprimé 2 sur les cales d'altitude: un de chaque côté, ça suffit largement. Du coup, j'ai gagné un peu en fluidité également de ce côté là car j'ai réduis les frottements (son équilibrage le supporte très bien!)

 

Et enfin, je suis passée à des travaux plus féminins: je lui ai cousu une belle chaussette en lycra noir. J'ai du défaire ma 1ère couture car la chaussette était trop serrée et me causait du vignetage.

 

Voilà, là, il commence à ressembler à un vrai dobson...

 

Il me reste encore quelques bricole à faire:

- le pare buée, dès réception de ma commande.

- déplacer le point rouge qui gêne pour l'installation de la chaussette

- préparer mes 2 barres en carbone supplémentaires

- confectionner l'étuis pour les barres dans un tuyau de PVC.

- revoir le système de couvercle du primaire pour qu'il puisse se mettre en place même avec les barres (j'ai été un peu coconne sur ce coup-là)

- installer 2 poignées sur la caisse de primaire

- le peindre :D

- LAVER MES MIROIRS!!!!!!!:p

 

Me reste moins d'une semaine pour faire ça, corriger 66 copies de 1ère S et prévoir les RAP!

Largement le temps, donc! (à condition de ne pas dormir...:ninja:)

Modifié par Lasilla
Posté
- le peindre

- LAVER MES MIROIRS!!!!!!!

 

Fais gaffe à pas faire l' inverse , dans la précipitation ! :D

 

Comme j' ai hâte d' être à la semaine prochaine , pour voir ça !

 

Plus sérieusement , j' aurais avec moi une bombe de silicones ( dont j' ai vaporisé mes surfaces de frottement ) ! Si tu veux l' essayer , ce sera à ta disposition ! J' y ai trouvé un gain assez net !

 

à bientôt !

Posté

Moi aussi j'ai une bombe de silicone et vaporiser, c'est la 1ère chose que j'ai fait quand j'ai testé le mouvement: ça l'a dégradé car ça s'est mis à coller encore plus au démarrage.

 

Le seul vrai gain a été de passer de 4 à 12 patins (j'en ai même 20, maintenant) et de parfaitement aplanir, polir et nettoyer les surfaces.;)

 

 

Et il pleut :(

Posté

Les haches sont peintes et elles ont reçu leur 1ère couche de vernis PU.

Suis contente, j'ai réussi à retrouver la teinte du PO de façon très très proche ^^

 

Pas envie de bosser, là... Envie de retourner chez moi peindre Junior...

 

Ma commande pour le pare buée vient d'être expédiée: le sale gosse devrait donc être complet aux RAP.:be:

Posté

et ben pour le ciron, c'est pas rien.... merci Pierre.

 

oui, faite extrèmement gaffe à la défonceuse. Un nombre incroyable de doigts sont partis dans les dents de cette machine, les conseils de Patastroff ne sont pas à prendre à la légère.

 

Le mieux est l'ennemi du bien.... et ben ça non alors !!!!

même s'il faut être pragmatique, je bannis toujours cette pensée lors de mes bidouilles.

Jadis, j'avais un collègue d'un certain age, un rond de cuir parfait, genre Louis Jouvet en commissaire. Il rythmait chacune de ses actions de ses monotones journées par des maximes gravées dans le marbre. Celle-ci était l'une de ses préférées. Et j'ai toujours en mémoire le timbre de sa voix quand je suis sur un truc scabreux, limite, là où je pourrais aussi me dire "un tu l'as vaut mieux que deux tu l'auras... "Mais je n'hésite pas lontemps en pensant au bonhomme, je retrousse les manches, je sue, j'en chie, je me demande si ce coquin n'avais pas la sagesse en lui, je peste et fulmine quand ça foire, mais ça se termine toujours par un bras d'honneur magistral à la mémoire de mon auguste collègue quand enfin, c'est fait et bien fait !

Bises à toi Ô Jean, dans ta retraite feutrée....

 

Bises à toi Ô Lasilla sur tes joues roses,

bientôt les retrouvailles et j'en suis tout ravi

 

amitiés

 

Serge

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