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Les pipelettes du sujet

Les pipelettes du sujet

Posté

salut à tous :lol:

 

 

merçî beaucoup lambdao pour tes liens, ils sonts très bien expliquée, ;)

 

et ce système de propulsion est très prometteur, ;)

 

 

d' après toi lambdao, nous somme à combien d' années d' un projet , tel que le( laser à électrons libres) :question:

 

 

amicalement

  • 2 semaines plus tard...
Posté

Moi je suis sur le développement d'un moteur gyroscoplanaitaire, il se servira de l'attraction des systèmes solaire.

La base est un noyau gyroscopique assez complex...

Posté

salut à tous :be:

 

 

saviez-vous que l' avion hypersonnique X-43A a réussi son vol d' essais à plus de mach 10, soit environ 11,000km/h. :?:

 

un record absolu ;)

 

mais on doit ajouter que meme si l' avion expérimentale a bien volé à 10 fois la vitesse du son,

 

son moteur scramjet et sa réserve de carburant ne lui permettent qu' une autonomie d' une dizaine de secondes, :?:

 

et sa mise en marche ne pouvant intervenir à moins de mach 4 , une propulsion préalable par fusée s' avérait impérative :?:

 

 

amicalement

Posté

salut à tous :be:

 

voiçi un énonçé sur la consommation d' un propulseur

 

Un solide de masse m évoluant à la vitesse v dans un référentiel donné possède, par rapport à ce référentiel, une énergie cinétique E donnée par la relation E = 1/2.m.v², où E est en joules, m en kg, et v en m/s.

Cette relation devient fausse si v s'approche de c, la vitesse de la lumière dans le vide (3.108 m/s), l'énergie tendant vers l'infini à l'approche de cette vitesse.

La consommation en énergie d'un moteur est supérieure à l'énergie qu'il communique au fluide propulsif, le rendement étant au mieux de 70%.

 

Imaginons ainsi que l'on dispose de 1000 Watts (un watt correspond à une joule par seconde) pour alimenter un propulseur, celui-ci en transmettant 700 au fluide.

 

Si l'on éjecte un gramme de masse par seconde, la vitesse en sortie du moteur sera de 37 000 m/s. L'Impulsion spécifique sera donc de 3780 secondes.

 

La poussée obtenue vaudra 37 Newtons. Si l'on jette 10 grammes par secondes, la vitesse d'éjection sera de 11 800 m/s.

L'impulsion spécifique ne sera que de 1200 secondes, mais la poussée atteindra 118 Newtons.

En notant M la masse de fluide expulsé par seconde, V la vitesse d'éjection, P la puissance transmise au fluide, F la poussée, on a :

 

F = V. M

et P = 1/2 * M * V²

d'où V = (2P/M)0,5

Donc : F = (2PM)0,5

 

La conception d'un propulseur non chimique est toujours la recherche d'un compromis poussée/efficacité.

Dans le cas d'un avion,

la masse à éjecter est de l'air, disponible en quantité illimitée, tandis que la source d'énergie est le carburant, rationné.

On a donc intérêt, pour valoriser au mieux l'énergie fournie par le carburant, à éjecter une masse plus importante, d'où l'intérêt des réacteur à double flux.

 

Mais pour un engin spatial, aussi bien la source d'énergie que la masse à expulser sont rationnés. ;)

 

 

amicalement

Posté

salut à tous :be:

 

 

voiçi un résumé sur les satéllites et leurs lanceurs ;)

 

Le lancement de satellites de télécommunication vers l'orbite géostationnaire reste le marché le plus important pour les lanceutrs spatiaux.

Les lanceurs lourds actuels (à part la navette) ont tous ce type de lancements comme mission principale. Actuellement, il y a, pour cette catégorie comme pour d'autres, une inquiétante prolifération de lanceurs :

 

la capacité va bientôt dépasser fortement la demande de lanceurs, de 200% selon les plus pessimistes. Il y a quelques années, Ariane tenait plus de 60% du marché, Les Atlas-Centaur et les Delta II américaine occupant le reste.

Depuis, les Russes (Proton surtout) et les Chinois ont commercialisés leurs lanceurs et ravis une partie du marché. Sea Launch, montage ukraino-russo-américano-norvégien, vend depuis peu des Zenit 3SL qui représentent un concurrent de plus.

Les Indiens proposeront bientôt commercialement leur GSLV. Les USA proposent deux nouveaux lanceurs (Altas III et Delta III) qui préparent les Evolved Expendable Launch Vehicle Alas V et Delta IV. Les cadences de tir de chaque lanceur vont donc diminuer.

 

Voici les lanceurs disponibles sur les marché.

 

Pour les familles comprenant de nombreux lanceurs, comme les Ariane 4, ne sont reporté que la moins et la plus puissantes.

Les dates de disponibilités pour les lanceurs futurs sont bien entendu sujettes à caution. Les coûts sont indicatifs :

ils dépendent des conditions du contracts, les gros clients ayant des réductions, du contexte concurrenciel (certains font parfois du dumping, c'est-à-dire qu'ils vendent à perte pour augmenter leurs parts de marché et ruiner les concurrents), du cours des monnaies des différents pays, etc.

Les prix ci-dessous proviennent pour la plupart d'Air et Cosmos du 19/11/99 (remerciements au Webmaster du site du Capcom) ou de l'International Space Industry Report (Remerciement à Thierry Vallée). En prenant des risques, on peut acheter le tir d'essai d'un nouveau lanceur et l'avoir à un prix dérisoire.

 

Les prochaines versions d'Ariane 5 et de H-2 auront des coûts diminués. De l'Ariane 5G actuelle aux versions ultimes, la capacité sera doublée et le cout réduit d'un tir réduit de moitié.

 

Lanceur Constructeur Capacité GTO (kg) Disponibilité Prix (m$)

Ariane 40 Consortium

européen sous

la maîtrise du CNES

2000 courante (1)

Ariane 44L 4500 courante (1) 110 (23000$/kg)

Ariane 5G 6800 courante 120 (18000$/kg)

Ariane 5 ESC-A 10500 2001

Ariane 5 ESC-B 12000 2005

Angara 3 Krunichev (Russie)

(2) 2003

Angara 4 (2) 2004

Angara 5 12000 (2) 2005

Atlas 2A Lockeed-Martin

(USA)

3000 courante (1) 85 (28000 $/kg)

Altas 2AS 3600 courante (1) 100 (27000 $/kg)

Atlas 3A 4000 courante 75 (16000 $/kg)

Atlas 3B 4500 2000

Atlas 5/401 5000 200? 75 (12800 $/kg)

Atlas 5/551 8200 200? 110 (10000 $/kg)

CZ-3A Industrie d'Etat chinoise

commercialisées par la

société de la Grande Muraille

2600 courante 45 (17000$/kg)

CZ-3B 4800 courante 65 (13400$/kg)

CZ-3B(A) 6000 prochaine

CZ-3C 3700 prochaine

Delta II/7925 Boeing Company 2000 courante 45 à 70

Delta III 3800 imminante 85 (23000$/kg)

Delta IV medium 4200 2001 75 (18300$/kg)

Delta IV medium

(quatre boosters) 6700 200? 75 (11250$/kg)

Delta IV Large 13200 200? 100 à 150

GSLV/KVD-12.5 ISRO (Inde) 2500 2001 35 (14000$/kg)

GSLV/CUSP-20 3600 2003 40 (10000$/kg)

Proton K/Bloc D Krunichev (Russie) 4500 courante (1)

Proton M/Bloc M 6800 (3) 2002 100 (18000$/kg)

H-2A/202 NASDA (Japon) 4000 85 (21250$/kg)

H-2A/212 7500 125 (20800$/kg)

Zenit 3SL Youznoe (Ukraine) 5700 courante 70 (12300$/kg)

 

 

 

(1) Lanceur en fin de carrière.

(2) A partir de l'équateur, avec un étage supérieur cryogénique

(3) 6800 sera le maximum atteind après différentes améliorations. La première version lance moins de six tonnes en GTO.

 

source ; cyril meynier

 

 

amicalement

 

.

Posté

Quelques précisions par rapport au post d'albert einstein:

 

Delta III a été abandonnée au profit de Delta IV que Boeing a retiré du marché commercial, faute de satellites. C'est Sea Launch qui est le lanceur commercial de Boeing. Un projet va voir le jour, c'est Land Launch. C'est la Sea Launch lancée depuis Baïkonour...

 

Le marché commercial est très limité pour la Chine. D'ailleurs voilà plusieurs années que plus aucun satellite commercial occidental n'a été lancée par les Chinois... Ce sont les Etats-Unis qui sont un frein à cause des technologies sensibles...

 

Sea Launch, Arianespace et la Jaxa ont signé un contrat permettant à un client de passer d'un lanceur à l'autre si le lanceur choisi à la base n'est pas disponible au moment voulu (échec, retard, ...). Ainsi, Inmarsat 4F2, prévu sur Ariane 5 a été transféré sur Sea Launch.

Posté

salut à tous :be:

 

merçi beacoup yantar , et en passant voiçi quelque information à propos de sea launch ;)

 

 

 

Bilan très positif pour le Sea Launch avec depuis le 27 Mars 1999, 13 lancements dont 12 commerciaux (le premier était un test de validation) et seulement un échec.

- DIRECTV 1-R, satellite de transmission TV, le 9 octobre 1999, succès;

- ICO-F1, satellite de communications en orbite intermédiaire, le 12 mars 2000, échec lié au propulseur du deuxième étage;

- PAS-9, satellite de communication géosynchrone de 3 659 kg, le 28 juillet 2000, succés;

- Thuraya-1, satellite de communication géosynchrone de Boeing, 5 108 kg, le 20 octobre 2000, succés;

- XM-2, satellite géosynchrone de retransmission radio le plus puissant du moment, construit par Boeing, le 18 mars 2001, succès;

- XM-1, petit frère de XM-2, le 8 mai 2001, succès;

- Galaxy IIIC, satellite de communication géosynchrone, le 15 juin 2002, succès;

- Thuraya-2, satellite de communication géosynchrone de Boeing, 5 177 kg, lancé le 10 juin 2003, succès.;

- Echostar 9 (Telstar 13) satellite de télécommunication de 4700 kg lancé le 8 août 2003;

_ Galaxy 13 Horizon 1 satellite de TV directe (PanAmSat Corp Et l'opérateur japonais JSAT International In) 4060 kg lancé le 1er octobre 2003;

_ Estrela do Sul/Telstar 14 satellite de télécom Brésilien lancé le 11 janvier 2004;

_ Direct TV 7S satellite de télécom lancé le 4 mai 2004;

 

 

L'effort d'ingénierie est remarquable. Sea Launch n'est pas à proprement parlé un succès commercial, mais la démonstration est faite que des personnes décidées et compétentes peuvent réussir un grand projet industriel,

 

hors d'un soutien étatique ou idéologique. En plus d'une capacité de lancement élevée (4500 à 6000 kg), Sea Launch offre d'autres avantages comme une infrastructure légère, minimisant les coûts.

 

Situé sur l'équateur, il assure un positionnement précis des satellites augmentant leur durée de vie.

 

 

_ Le LP Launch Platform, une plateforme pétrolière modifié. Baptisée Odyssey,

elle fut récupéré en mer du Nord et rénové pour sa nouvelle mission aux usines Rosenberg Shipyard à Stavanger, Norvège.

c'est une des plus grosses plateforme pétrolière auto-propulsée au monde avec ses 132 m de long, 67 m de large et ses 30 000 tonnes (50 000 chargées).

Elle permet d'accueillir 68 membres d'équipage et personnel de lancement. Elle est équipé d'un hangar à environnement contrôlé pour le lanceur ainsi que d'un système érecteur pour la mise en place sur la table de lancement.

Un système de stockage de carburant (kérosène et LOX) permet le remplissage pour chaque mission.

 

AU COMMENCEMENT...

 

Sea Launch est formé en avril 1995 en réponse d'une demande du marché des lancements de satellites. Le système présenté allie la simplicité de l'infrastructure avec une grande mobilité de lancement à travers le monde.

La construction des navires démarre en décembre 1995 et le premier contrat est signé le 18 décembre avec Hughes Space & Communications. Un second contrat est signé le 12 juillet 1996. En août, débutent les travaux de construction sur le port de long Beach le QG de Sea Launch.

 

Décembre 1996, le navire de commandement ACS est mis à l'eau en Ecosse.

1997, en mai la plateforme Odyssey part pour la Russie afin d'être équipé pour sa novelle mission.

 

En mai1998, les deux navires du systèmes SL terminent leur modifications. Le 12 juin, le navire commander quitte St Petersburg pour Long Beach avec à bord les deux premiers lanceurs Zenith.

 

Le 20 c'est le tour de la plateforme de quitter la russie. Leur arrivée à Long Beach se fait dans l'été. Ils sont préparés pour le premier lancement.

 

source;http://www.capcomespace.net

 

 

 

 

amicalement

Posté

salut

 

je suis nouveau

 

et j' aurais une question

 

existe-il d,autre lanceur dans le monde

 

et quel sont ces performance

 

 

 

merci beaucoup et je crois que je vais aller me presenter

Posté

Bonjour Albert ,

Cela fait un peu drole de voir un pseudo qui reprenne le nom d'un savant. Je suppose qu'il y a une petite dose de dérision dans cette usurpation d'identité.

J'aurais au minimum rajouté à la fin <<jr>> pour <<junior>> !pomoi! cela aurait levé toute ambiguité.

 

donc si j,ai bien compris pour quitter la terre avec une fusée, tout ce qui a d,important c,est le respect du rapport entre la masse de la fusée et de sa puissance et celle de la charge à emporter pour pouvoir obtenir le résultat escompté :?:

pour une satéllisation autour de la terre il faut;

une vitesse de 8 km,sec. est requise ,et celà impose un rapport de 25 entre la masse de la fusée et celle à satélliser :?:

 

Si tu regardes les capacités de satellisation des lanceurs (par exemple Ariane V) tu constateras que la charge satellisable est plus grosse sur orbite basse (LEO) que sur orbite géostationnaire. Et cela s'aggrave encore si on veut atteindre la vitesse de libération de l'attraction terrestre.

A ce jour il n'existe aucun lanceur opérationnel pour une grosse charge vers la Lune (genre véhicule habité avec équipage et tout ce qu'il faut pour allunir puis revenir) La Saturne V n'existe plus ... il faut tout réinventer.

 

Pour les missions lointaines on se sert d'une astuce , l'attraction gravitationnelle des planètes pour créer un effet de fronde qui va accélerer la sonde (fly-by) car on est incapable d'obtenir la vitesse requise autrement. Cela se fait au détriment de la durée du voyage ... qui s'allonge.

 

http://saturn.jpl.nasa.gov/mission/gravity-assists.cfm

 

:?: et pire que ça , il faudrait 4,7 millions d, années pour atteindre notre plus proche voisine PROXIMA DU CENTAURE qui est à seulement 4,5 a.l. de la terre :?:

 

Les deux sondes Voyager qui sortent du système solaire ont été lancées depuis plusieurs dizaines d'années (en 1977) et elles ne sont vraiment pas très loin (environ 30 UA) .... alors parcourir 4,5 AL .....

 

http://www-cosmosaf.iap.fr/Voyager%201%20html.htm

Posté

salut à tous :be:

 

 

pour répondre a montmein69 , avoue que tu t' est pas casser la tete toi-aussi avec un pseudo comme tu a là ;)

 

einstein est un idole et c' est tout, et junior c' est mon véritable prénom ;)

 

merçi beaucoup à toi , et a tes précisions

 

maintenant tu vois la priorité à contruire un moteur nucléaire performant.

 

tant que nous n ' auront pas ce moteur, nous resteront dans le système solaire

 

 

amicalement

 

 

( junior)

Posté

salut

 

 

voilà des compléments pour le positronium;

 

Le positronium est un système quasi-stable constitué d'un positron et d'un électron formant ensemble un « atome exotique ». Son ensemble de niveaux d'énergie est similaire à celui de l'atome d'hydrogène,constitué d'un électron et d'un proton (voir hydrogénoïde).

 

Cependant, à cause de sa masse considérablement réduite, les fréquences associées aux raies spectrales sont moins de la moitié de celles des lignes correspondantes de l'hydrogène.

 

La demi-vie du positronium est tout au plus d'environ 100 nanosecondes, son existence se terminant avec une annihilation électron-positron.

 

Le positronium, comme l'hydrogène, existe en différentes configurations, son état fondamental pouvant être un singulet de spins antiparallèles (s=0, m=0) désigné sous le nom de parapositronium.

 

L'autre cas est un triplet de spins parallèles (s=1, m=-1,0,1) désigné sous le nom d'orthopositronium.

 

 

aurevoir

Posté

salut à tous :lol:

 

WOW, yantar quel bon site très intéressant, ;)

 

ce qui est très intéressant, il parle de les 5 nations qui ont la capacité d' aller en orbitre , :?:

 

( état-unis, russie , europe ,chine , japon,) et les autres, :question:

 

pour moi, la section les autres qui m' intéresse , ;)

 

 

ex; la corée ,la corée du nord , L allemagne, australie, l' iran, iraq,l' inde , etc.....

 

certain pays comme le pakistan peuvent atteindre l' orbitre basse terreste (le lanceur shaheen-2)

 

rien de très rassurant !pomoi!

 

 

amicalement

Posté

bonsoir,

 

 

c' est pour quand le nucléaire dans l' espace :question:

 

 

c'est pour quand les nouvelles technologies que bush vantait lors de son discours :question:

 

 

on dirait qu' on piétine depuis des années avec les avancements technologique des fusées :question:

 

 

qu' arrive-t-il les progrès sont très lent :question:

 

 

 

je vous remercie d' avance pour vos réponses

Posté
(texte cité)

ce qui est très intéressant' date=' il parle de les 5 nations qui ont la capacité d' aller en orbitre , :?:

pour moi, la section les autres qui m' intéresse , ;)

ex; la corée ,la corée du nord , L allemagne, australie, l' iran, iraq,l' inde , etc.....

certain pays comme le pakistan peuvent atteindre l' orbitre basse terreste (le lanceur shaheen-2)

[/quote']

 

Merci :)

 

En fait, le site traite pays capables de lanceur par leurs propres moyens un satellite sur orbite.

Il est toujours en construction. Tous les pays qui sont présents sur le site, d'ici fin 2006 seront en ligne. Me faut le temps de les dessiner et ce n'est pas des plus simples. Je n'ai pas assez de détails et les dimensions que je possède ne sont pas toujours compatibles avec la réalité. Je cale sérieusement avec les Titan américaines.

 

La Corée du Nord a tenté une mise sur orbite en 98 mais depuis le programma a été arrêté. Le lanceur Taepo-Dong sera en ligne courant 2006. L'Allemagne n'a pas de lanceur spatial, l'Australie non plus (voir Redstone pour le projet SPARTA), l'Iran n'a pour le moment fait aucune mise sur orbite non plus et lePakistan non plus. Ce ne sont que des missiles et là, il faudrait mettre les missiles US, russes, ... L'Inde sera en ligne en 2006 également. Pour le moment je m'acharne sur les lanceurs dont j'ai assez de documents pour les dessiner...

Posté
(texte cité)

c' est pour quand le nucléaire dans l' espace :question:

c'est pour quand les nouvelles technologies que bush vantait lors de son discours :question:

on dirait qu' on piétine depuis des années avec les avancements technologique des fusées :question:

qu' arrive-t-il les progrès sont très lent :question:

je vous remercie d' avance pour vos réponses

 

On peut faire de la politique-fiction (pour les budgets alloués) et/ou de la science-fiction (pour de nouvelles technologies révolutionnaires).

Et après un bon moment de cogitation, en revenir à la dure réalité de ce qu'on est prêt à payer et de ce qu'on sait (ou pas ) faire.

L'espace pour l'instant c'est essentiellement le GPS (et bientot Galileo si tout se passe bien) et la télecommunication (telephone, television).

Quelques missions scientifiques (sondes genre Cassini, Venus express, telescopes spatiaux)

Et bien sur des missions militaires sur lesquelles il est difficile d'avoir des infos précises.

 

Le retour vers la Lune ne sera probablement pas une "revolution technologique" d'ici 2018

La motorisation des lanceurs c'est encore les ergols pour l'esssentiel, et la propulsion ionique comme piste interessante.

Et j'ai (mais cela n'engage que moi) des gros doutes sur une mission humaine martienne avant au moins 50 ans.

 

Donc patience .... et encore patience. Cela n'empeche pas de discuter ... d'anticiper aussi loin qu'on veut, mais en faisant la part des choses ...

 

PS : Pour la discussion sur les puissances spatiales : précision : l'Allemagne est dans l'Europe (via l'ESA)

Posté

salut à tous :D

 

 

merçi beaucoup yantar, de mon coté si jamais je trouve de quoi de intéressant sur le net , je te fait signe. ;)

 

merçi beaucoup montmein69 pour tes précieuses précisions ;)

 

tant qu' à la mission martienne, je suis pas de ton avis , disons 25 à 30 années seront nécessaire, :?:

 

 

techniquement , nous-en sommes pas très loin , je crois, :question:

 

 

les problèmes sont les radiations et la longueur du voyage, :?:

 

tant au système de propulsion je n' ai aucunes idées ou sera la technologie dans 25 à 30 ans,

 

mais, ça se fera d' ici ce temps -là ;)

 

 

amicalement

Posté

bonsoir à tout monde

 

quand vous expliquer le nucléaire dans l' espace , je ne comprend pas comment le moteur peut fonctionner :question:

 

un réacteur nucléaire a besoin d' énorme quantité d' eau :?:

 

comment fait -on pour envoyer tout ça dans l' espace :?:

 

 

merci beaucoup de vos réponses B)

 

 

salut

Invité Ortog
Posté

D'accord sur toute la ligne avec Montmein 69.

 

On peut rêver sur les images du dernier Espace Magazine, qui nous invite au voyage et à la rêverie, la dure réalité revient quand même à grands pas.

 

Ortog

Posté

bonsoir tout le monde :b:

 

 

merçi albert einstein pour ton lien ,très utile ;)

 

mais , je suis toujours a la recherche d' un lien sur les fusée futur et leur propulsion :question:

 

 

 

merçi d' avance

 

a bientot

Posté

Juste une petite précision sur les moteurs ioniques/plasmiques :

ceux-ci ont été utilisés bien avant 1998, sur des satellites, et le moteur de Smart 1 est une copie d'un moteur russe conçu dans les années 70 (moteur plasmique à effet Hall). Ce moteur est aussi assez différent de celui de Deep Space 1.

 

A+

Posté

salut à tous :be:

 

 

salut lamdao, et merçi de tes précisions ;)

 

au sujet des moteur plasmique/ionique :?:

 

la propulsion à effet hall n' est pas très différente que du moteur plasmique/ionique :question:

 

voiçi ce que je veux dire;

 

 

les moteurs à effet Hall utilisent un champ électrique pour accélérer les particules chargées négativement. Il s'agit aussi en général de noyaux de xénon. C'est le champ éléctrique qui est produit différemment.

 

Un anneau d'aimants crée tout d'abord un champ magnétique radial qui fait circuler les ions autour de lui. Ce mouvement d'ion a pour effet de creer un champ électrique radial qui permet aux ions d'être éjectés.

 

Ce moteur a l'avantage d'être agrandi plus facilement que le moteur à propulsion ionique mais toutefois, son rendement est plus faible.

 

Ce type de moteur a déjà été utilisé par les Russes dans les années 1970 et a été par la suite adopté par les Américains et l'Europe. Ce mode de propulsion permet d'engendre une poussée de l'ordre de 0.08 N (Eu) à 0.2N (Russes). ;)

 

et pour le plasmique /ionique;

 

Mis au point en 1950 ce système se base sur les champs électriques pour éjecter les gaz propulseurs. Des gaz comme le césium ou le xénon, passent dans une chambre dans laquelle ils sont ionisés par un canon à électrons pour de venir du plasma.

 

C'est pour cela que ce moteur est aussi appelé "propulsion au plasma". Une tension électrique appliquée entre deux grille extrait les ions positifs qui sont alors accélérés et éjecté dans l'espace. Si on néglige le poids des ions (dans l'espace) on a m(ion) x a = Fe d'ou a = (q x U)/ (d x m)

 

 

 

a = accélération de l'ion en m/s q = charge de l'ion (q>0) U= tension entre les deux grilles d = distance entre les deux grilles, m= masse de l'ion

 

Simultanément la cathode évacue les électrons dans le faisceau d'ions de manière que le véhicule n'accumule pas de charges négatives.

 

En 1998 la sonde Deep Space 1 était équipée de ce type de moteur. Celui ci a une poussée faible mais longue (plusieurs mois).

 

Malheureusement un système de propulsion ionique necessite de l'énergie électrique ne pouvant être produite que par des réacteurs nucléaires, les panneaux solaires de plus de 100 kW seraient difficiles à manier et ce système est surtout dimensionné pour des moteurs de puissance avoisinnant le mégawatt.

 

 

 

amicalement

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