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Le Moteur De Fusee Le Plus Performant


albert einstein

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pour ceux qui ne le savent pas !

 

Le NB-36H a réalisé un total de 47 vols pendant son programme d'essai qui a duré de septembre 1955 à mars 1957. Pendant ces missions, beaucoup d'aspects concernant la propulsion nucléaire ont été examinés les effets des rayonnements sur les matériaux et les équipements d'avion.

 

oui cet avion était un banc d'essai volant, un avion à propulsion nucléaire !!!

 

Le programme a montré que les principaux problèmes seraient :

 

les accidents pouvant répandre les produits de fission des réacteurs.

 

La limitation des fuites de radioactivité dans l'atmosphère (avec le concept cycle direct).

 

Cet avion avait un nez totalement remodelé conçu pour faciliter l’installation de la capsule spéciale de 12 tonnes de l'équipage. Le reste du fuselage était également remodelé pour installer les neuf réservoirs d'eau de protection anti-radiation, l'instrumentation d'essai et un réacteur nucléaire d'un mégawatts. Ce réacteur pesait 15 875 kg et était officiellement désigné Aircraft Shield Test Reactor (ASTR). Il était installé dans la vaste soute à bombes du NB-36H et pourrait être retirée après chaque vol pour des examens détaillés et d’éventuel essai au sol supplémentaire.

 

si cela vous intéresses le lien : http://jpcolliat.free.fr/x6/x6-2.htm

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Les pipelettes du sujet

Les pipelettes du sujet

bonsoir tout monde :lol:

 

oui tu as raison albert c' est très intéressant , merçi pour le lien

 

pour répondre à ncc-1701-d;

 

ton lien est ce que je recherchais depuis longtemps merçi beaucoup ;)

je savais que ça existait , alors pourquoi qu' ils n' envoies pas tout çà dans l' espace

et font des essaies là-bas :question:

 

à entendre parler tout monde ça va prendre 30 années avant d' avoir maitriser le nucléaire

ouais, mon oeil ;)

 

qu' il partent avec ces idées et ça devrait aller pas mal plus vite :question:

 

 

aurevoir

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(texte cité)

En recherchant sur des sujets divers ' date=' je suis tomber là-dessus et j' ai tout de suite trouver l' idée formidable

voiçi un lien qui vous dirigera vers le réacteur pandore;

http://jmww.club.fr/Chtipantone001.html

 

Salut albert

Pas "pandore", "Pantone". Mais quel est le rapport avec la propulsion spatiale ?

Ce fil de discussion finit par être assez confus et fourre-tout, et on saute d'un sujet à l'autre sans continuité.

 

Rep NCC 1701-D:

Il me semble que les russes ont également essayé celà dans les années 50, sans plus de succès.

Finalement, le générateur électronucléaire embarqué ne s'est concrétisé que sur les sous-marins, porte-avions, et brises-glaces (ce qui est déjà pas mal).

 

Rep neo:

à entendre parler tout monde ça va prendre 30 années avant d' avoir maitriser le nucléaire

ouais, mon oeil

Le moteur nucléo-thermique dérivé de NERVA peut être opérationnel en beaucoup moins de temps, moins de 10 ans, mais présente un intérêt assez limité pour un vol vers Mars.

Et si on parle de production électrique, il y a beaucoup de différences entre un générateur électro-nucléaire spatial et son équivalent terrestre. La NASA devrait aboutir à un réacteur de 100kWe avant 2010, ce qui permet éventuellement de propulser des sondes, mais pas un vaisseau habité.

Mais évidemment, si on décide que c'est prioritaire, et qu'on y met les moyens nécessaires, ça peut aller plus vite.

 

A+

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salut à tous :lol:

 

 

c' est le prix à payer quand on veux tout savoir lamdao !pomoi!

 

 

il y a 3 solutions pour la conquête spatiale;

 

la propulsion

la propulsion

la propulsion

 

je crois que ça ne pas être plus clair que ça ;)

 

oui d' après moi il y a urgence ;)

 

nous devons hâter les recherches sur les moteurs nucléoélectriques , c' est ça l' avenir :rolleyes:

 

 

amicalement

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bonjour tout monde :be:

 

 

combien ça peut représenter 100kwe en pousées newtons et combien de puissance ça prendrait pour un vol habitée avec plusieurs tonnes de frêts :question:

 

quelqu' un a-t-il un lien sur le projet nerva, je ne trouve rien de plausible pour l' instant :?:

 

 

merçi beaucoup d' avance ;)

 

aurevoir

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et combien de puissance ça prendrait pour un vol habitée avec plusieurs tonnes de frêts

 

Il faut commencer par evaluer la masse totale à envoyer (equipage + son ravitaillement pour le voyage A-R et tout le materiel necessaire pour un sejour de 6 mois sur place) ... cela chiffre vite ...

 

En regardant du coté des lanceurs existants les plus gros (et en voyant ce qu'ils peuvent satelliser en LEO ou en GTO) tu auras une idée du nombre de vols nécessaires en l'état actuel de la technologie.

(il serait indispensable d'avoir des vols pour le fret et un vol pour l'equipage)

 

En extrapolant sur environ 15 ans , tu peux te baser sur le projet Lune des américains (un lanceur equipage et un lanceur fret, assemblage du vaisseau en orbite terrestre). Ce materiel n'existe pas encore mais correspond a des technologies maitrisées.

 

Je crois que le site de Zubrin (Mars Society) est celui qui a le mieux élaboré un scenario pour un vol martien

 

http://www.marssociety.org/about/purpose.asp

 

A+

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(texte cité)

combien ça peut représenter 100kwe en pousées newtons et combien de puissance ça prendrait pour un vol habitée avec plusieurs tonnes de frêts :question:

 

Un générateur de 12 MWe (puissance électrique) permettrait à un moteur plasmique VASIMR d'amener une charge utile de 60t vers Mars en 100j environ' date=' pour une mission d'une durée totale de 235j (exactement, 101j pour l'aller, 30j sur place, 104j pour le retour). A 200 MWe, le temps de vol peut descendre en dessous de 40 j, à comparer aux 6 à 8 mois de la propulsion chimique+vol balistique.

 

Voir description succinte du VASIMR :

http://www.nasaexplores.com/show2_912a.php?id=03-027&gl=912

http://spaceflight.nasa.gov/shuttle/suppor...spl/vasimr.html

http://spaceflight.nasa.gov/shuttle/suppor.../flightexp.html

 

Sinon, la poussée produite dépend de la vitesse d'éjection du plasma. Comme cette vitesse est variable pour le VASIMR (c'est son principal avantage), la poussée varie d'autant, à puissance fixée.

Exemple :

En prenant P=12MW, et un rendement de 50% (typique du VASIMR)

ve=30000 m/s => F = 1600 N (phase d'éjection/injection orbitale)

ve=200000 m/s => F = 240 N (phase de croisière)

 

Ces valeurs sont très faibles par rapport à des moteurs chimiques, donc le moteur plasmique doit fonctionner en continu, mais au final, grâce à la vitesse d'éjection élevée, la masse de fluide propulsif à emporter est bien plus faible qu'en propulsion chimique. On aboutit en général à un vaisseau d'environ 300t, qui devrait donc être assemblé au moyen de 3 ou 4 tirs d'un lanceur lourd.

 

Pour que ce type de propulsion devienne viable, il faudrait donc un générateur produisant au moins 10 MW en puissance électrique, soit 100 fois plus que le générateur en cours de développement à la NASA dans le cadre du projet Prometheus. Et étant donné que le retour sur la Lune va aspirer une bonne partie des ressources de la NASA jusqu'en 2020, il est peu probable qu'il y ait beaucoup de crédit pour développer un générateur plus puissant. Ce serait plutôt à reconsidérer après 2020, pour une mission martienne entre 2030 et 2040.

 

A+

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bonsoir à tous :lol:

 

merçi pour vos réponses ;)

le moteur vasimr est bien beau, mais existe-il un prototype déjà construit :question:

 

et c' est bien beau d' aller sur mars montmein69 , mais c' est la lune qui est en premier sur la liste,

et le moteur vasimr ne sera pas de ce voyage :?:

 

et un générateur de 12MWe , ça doit être drôlement lourd, comment emmener ça en orbitre basse maintenant :question:

 

aurevoir

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(texte cité)

 

et c' est bien beau d' aller sur mars montmein69 ' date=' mais c' est la lune qui est en premier sur la liste,

et le moteur vasimr ne sera pas de ce voyage :?: [/quote']

 

C'est ce que je voulais dire en écrivant :

En extrapolant sur environ 15 ans , tu peux te baser sur le projet Lune des américains (un lanceur equipage et un lanceur fret, assemblage du vaisseau en orbite terrestre). Ce materiel n'existe pas encore mais correspond a des technologies maitrisées.

 

La mission Lune donnera idée (à petite échelle) des difficultés pour un voyage vers Mars :

 

- soit de cumul de lancements pour assembler un vaisseau -ou plusieurs- afin d'amener à bon port lunaire (puis martien) un équipage et tout ce qu'il faut pour sa survie et pour qu'il ait des moyens d'exploration en utilisant les techniques existantes actuellement.

 

- soit le bond technologique pour disposer de nouvelles techniques de propulsion, et vu la masse totale (ne pas oublier qu'il faudra protéger l'équipage des radiations, donc bouclier ou vaisseau de tres grande taille) le nombre de lancements pour assembler tout cela en orbite avant le départ

 

 

En posant ta question

 

et un générateur de 12MWe , ça doit être drôlement lourd, comment emmener ça en orbitre basse maintenant :question:

 

Tu as avec les infos de lambda0 des éléments de réponse : pour chaque vaisseau martien 4 lanceurs lourds (il en faudra à mon avis au moins un à l'avance pour le gros fret, et un autre pour l'équipage -avec pour eux, peut-etre une technique de propulsion plus rapide- ) s. SOIT en tout 8

SANS oublier qu'un nouvelle technique de propulsion ne sera pas utilisée en vol humain sans au moins un essai préalable .... et plus probablement plusieurs ....

 

Donc prévoir le budget qui va avec .....

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salut à tous :lol:

 

merçi lamdao pour les liens ;);)

 

très intéressant montmein69 ton texte sur la lune, ;)

 

mais à mon avis,

 

Les premiers ouvriers de la reconquête de la Lune sont... (des satellites et des robots)

il faut se souvenir de CLÉMENTINE a été lancé le 25 janvier 1994 et est resté en orbite lunaire pendant 71 jours ;) .

 

-Equipée de toute une gamme de capteurs (caméras, radars), Clémentine a transmis au total 1 800 000 images. Elle a ainsi permis de dresser une carte complète de la Lune et de déterminer la nature et la composition de sa surface. ;)

 

Clémentine est considérer comme une légendre car ses clichés ont pour la première fois apporté la preuve de l'existence d'eau gelée sur la Lune.

 

Les images radar ont en effet permis de voire la présence de glace dans le bassin Aitken, à proximité du pôle sud. Cette région est en permanence plongée dans le noir , et les températures qui y règnent peuvent atteindre - 250° C. ;)

 

Les premiers robots ont pour leur part aluni en 1999-2000.Certains robots fonctionnent ainsi comme de petites centrales qui extraient les matières premières et les traitent, en produisant par exemple de l'oxygène, de l'eau ou des métaux. ;)

 

alors, la lune ça devrait commecer sérieusement bientôt ;)

 

 

 

amicalement

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(texte cité)

Les premiers robots ont pour leur part aluni en 1999-2000.Certains robots fonctionnent ainsi comme de petites centrales qui extraient les matières premières et les traitent' date=' en produisant par exemple de l'oxygène, de l'eau ou des métaux. ;) [/quote']

 

Hum .... je ne crois pas qu'il y ait eu d'alunissage depuis belle lurette, même avec des engins automatisés.

Pour ce qui est du traitement de matières premières lunaires ... cela reste encore à venir.

 

 

alors, la lune ça devrait commecer sérieusement bientôt ;)

 

Pour les vaisseaux spatiaux .... cela commence à être étudié. Mais pour la réalisation il faudra que les budgets soient votés par le Congrès.

Pour les autres équipements lunaires, les américains voudraient sans doute que d'autres pays mettent la main à la poche ....

!pomoi!

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Invité Ortog
(texte cité)

 

Les premiers robots ont pour leur part aluni en 1999-2000.Certains robots fonctionnent ainsi comme de petites centrales qui extraient les matières premières et les traitent' date=' en produisant par exemple de l'oxygène, de l'eau ou des métaux. ;)

 

[/quote']

 

 

C'est quoi tes sources ??? Volvic ? Evian ?

 

:mdr:

 

Ortog

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salut à tous :be:

 

mes sources ortog !pomoi!

 

ils sonts basées sur tes réponses :p:mdr::rolleyes:!pomoi!:be::b::s

 

sérieusement, ont y va comment sur la lune, il n' y a rien de prêt , il ne savent même pas encore avec quoi ils vont retourner sur la lune, a part clémentine , il n' y a pas grand chose qui c' est produit depuis ce temps

 

et avec quel genre de propulsion retourneront-ils là-bas :question:

 

amicalement

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bonsoir tout monde :be:

 

Avec le CEV( crew exploration véhicule)qui doit voler, en démonstration prototype, en 2008 et être opérationnel pour le vol humain en 2014. Les missions robotiques lunaires doivent commencer en 2008 pour un retour de l'homme sur la lune Lune entre 2015 et 2020.

 

Une Ariane 5 améliorée,serait capable de placer 27 tonnes en orbite basse.

Cette Ariane 5 peut déposer une charge de 4100 kg sur la Lune. L'établissement d'une base de 40 tonnes demanderait environ 40 vols, ce qui nous conduit à dire que le lanceur lourd est indispensable pour la réussite de la conquête de la lune ;)

 

reste à voir si la nasa respectera ses horaires ;)

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d'Albert jr

 

 

et avec quel genre de propulsion retourneront-ils là-bas :question:

 

 

Cela a déjà été discuté pas mal de fois ....

Pour l'instant propulsion chimique classique (boosters à poudre et moteurs a H2 et O2 liquides)

Ce sont des éléments repris de la navette.

 

Si tu veux accélérer la recherche sur la propulsion nucléaire ... il te faut être d'abord élu Président des USA ... puis convaincre le Congrès de financer ... et croiser les doigts pour que les ingénieurs trouvent les solutions ...

 

Comme tu le vois, c'est pas dans la poche :mdr:

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bonsoir tout monde :lol:

 

(Ce sont des éléments repris de la navette)Que veut-tu dire :?:

 

si tu parle des moteurs de la navette, il y en a 49 ,

 

il y a -les trois moteurs principaux

-les moteurs de changement d’orbite

-les moteurs de manoeuvre

-et finallement les boosters

 

 

pour l' antimatière , Hélas nous ne verrons pas ça ;)

 

 

aurevoir

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(texte cité)

 

(Ce sont des éléments repris de la navette)Que veut-tu dire :?:

 

 

Il suffit de lire ce que dit la NASA :

 

http://www.nasa.gov/missions/solarsystem/cev.html

 

1) La fusée pour le lancement de l'équipage :

 

The launch system that will get the crew off the ground builds on powerful' date=' reliable [b']shuttle propulsion elements[/b]. Astronauts will launch on a rocket made up of a single shuttle solid rocket booster, with a second stage powered by a shuttle main engine.

2) Le lanceur lourd pour le fret

 

A second, heavy-lift system uses a pair of longer solid rocket boosters and five shuttle main engines to put up to 125 metric tons in orbit --

 

 

Donc avec des éléments existants de la navette (boosters à poudre et moteur principal LH2/LOX - peut-être avec quelques modifications mineures -) et dont le fonctionnement est fiable et bien connu on fabrique deux lanceurs consommables.

 

Cela parait raisonnable, faisable techniquement et financierement.

 

(mais cette solution laissera sans doute sur leur faim ceux qui pouvaient rêver de solutions plus originales ... il leur faudra encore attendre .... quelques dizaines d'années)

 

;)

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(texte cité)

et avec quel genre de propulsion retourneront-ils là-bas :question:

 

La propulsion chimique LH2/LO2 convient très bien pour Terre-Lune, aucune raison de passer à des systèmes plus exotiques : la propulsion plasmique est probablement sans intérêt sur de si courtes distance, et même un moteur nucléothermique est d'un intérêt assez limité.

Réutiliser des éléments de la navette est un excellent choix.

 

A+

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bonjour à tout monde :be:

 

le problème est que je ne parle pas beaucoup l' anglais :be:

je suis un québecquois francophone !shifty!

 

mais les navettes pouvait monter en orbitre basse au moins 30 tonnes de charges utiles à la fois :?:

je ne suis vraiment pas sûr de ses chiffres :?:

 

ou bien que la station internationale soit aussi utilisée pour essayer des propulsions nouvelles (et, de surcroît, ces expérimentations peuvent remonter l'orbite de la station). Si la solution Shuttle C (dérivé cargo de la navette), permettant de mettre 80 tonnes en orbite basse, était choisie, Rocketdyne disposerait de 12 à 16 moteurs SSME pour équiper ce lanceur à l'arrêt du programme navette, ce qui devrait suffire pour relancer la production et la qualification d'une version consommable et plus bas coût du SSME pour les lancements ultérieurs du Shuttle C. Les différents scientifiques ont insisté sur l'intérêt de l'exploration spatiale pour remotiver les jeunes à entreprendre des études et des carrières techniques et scientifiques. ;)

 

 

aurevoir

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salut à tous :be:

 

d' accord avec lamdao pour la propulsion, ;)

 

 

Avec des composés solides, on peut atteindre une vitesse de 3 km/s.

 

Le mélange oxygène/hydrogène, utilisé par exemple pour la navette spatiale, permet d'obtenir des vitesses de l'ordre de 4,5 km/s.

Donc , certains mix, comme le mélange oxygène/BeH2 ou fluor/LiH2 permettraient d'atteindre 7 km/s, mais ces composés hautement explosifs ne sont pas utilisés. Pour dépasser ces vitesses et aller encore plus vite, il faut changer de système;)

 

 

amicalement

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bonjour tout monde :be:

 

bin si il faut changer complètement de système il vont le faire , mais pas sur la lune

ça va prendre un moteur comme smart-1, mais de trois ou de quatrième génération pour aller sur mars :question:

 

ça va être trippant de voir le nouveau cev en service ;)

 

aurevoir

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salut à tous :be:

 

La NASA a décidé de développer un lanceur lourd capable de lancer jusqu'à 100 tonnes en orbite basse terrestre d'ici 2015. B)

Ce lanceur de nouvelle génération reposera sur des technologies largement éprouvées. ;)

 

Des deux concepts encore en lice, la NASA a fait le choix d'un lanceur de type classique, à superposition d'étages, dit "en ligne". L'élément principal sera un dérivé du gros réservoir externe de l'actuelle navette spatiale, équipé de boosters, les fameux SRB (Solid Rocket Boosters) à 3 segments ;) .

 

Dans cette nouvelle version, ils comporteront 5 segments, augmentant ainsi la quantité de propergol embarqué ;) .

 

 

le reste de l' article est là;

 

http://www.flashespace.com/html/aout05/25_08.htm

 

 

amicalement

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bonsoir tout monde :be:

 

C,est bien ça ,mais Il s'agit d'un nouveau concept d'engin spatial capable de voyager bien au-delà de l'orbite terrestre qui s'inscrit dans le vaste projet Constellation qui ambitionne le développement d'une flotte multiple d'engins spatiaux. Il doit remplacer la navette spatiale d'ici quelques années. :be:

 

mais parcontre, Les spécifications techniques du CEV sont encore floues, du moins celles rendues publiques. Il semble que l'on se dirige vers la conception d'un véhicule de 10 tonnes, bien moins lourd que l'orbiter des navettes spatiales. Ce choix s'explique par les missions dédiées aux CEV qui seront complètement différentes de celles de la navette.

 

Si la navette spatiale est parfaite pour acheminer vers la Station spatiale internationale plusieurs personnes, des modules et autres charges lourdes, le CEV sera essentiellement utilisé pour le transport d'équipage, de 3 à 4 personnes, et de fret si les conditions le nécessitent.

 

La navette spatiale devant être retirée du programme spatial dès la fin de la construction de la Station, les Etats-Unis n'ayant plus aucun intérêt à disposer d'un véhicule spatial de ce type.

 

L'ATV européen (20 tonnes) et le Progress russe (8 tonnes) sont tout à fait capables de transporter l'équipement lourd nécessaire à l'ISS et si d'aventure, mais peu probable, il était décidé de construire un nouveau module, la Russie serait parfaitement à même de l'envoyer s'amarrer à l'ISS.

 

aurevoir

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bonsoir tout monde :be:

 

Le lanceur lourd requis pour la mise en orbite de l'ensemble devrait pouvoir emporter 125 tonnes et coûterait 5 mds de dollars, pour un coût de développement de moins de 10 mds. Il est important de noter, concernant l'avenir de la Station Internationale (ISS), que le CEV, équipé de 6 sièges, pourrait être utilisé comme module de liaison avec celle-ci. Une version inhabitée pourrait emporter une charge réduite.

 

Le CEV devrait être opérationnel vers 2011, au moment où seraient interrompus les vols de l'actuelle navette. Le développement du système lunaire complet commencerait à cette date. La Nasa dépenserait alors un budget de 7 mds de dollars par an à ces diverses opérations d'exploration, budget qui atteindrait 15 mds par an en 2018, à la date prévue pour le premier alunissage – c'est-à-dire 46 ans après Apollon 17 en 1972. La Nasa, dans ces projets, s'efforcera comme on le voit de réutiliser après mise à niveau des modules existants plutôt que s'embarquer dans du radicalement original. C'est une bonne démarche. ;)

 

 

aurevoir

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bonjour tout monde :be:

 

On sait tous que tant que le nucléaire ne sera pas dans l' espace on devra rester aux alentours :?:

mais avec quoi in va faire avançée ces fameuses recherches, quel genres de carburant utilisera t-on dans un avenir assez proche :question:

 

La recherche des transuraniens, à ses débuts, apparaissait comme la satisfaction d'une curiosité scientifique mais elle a trouvé depuis des applications dont certaines sont particuliérement importantes. Ainsi :

 

- l'isotope 252 du califormium subit la fission spontannée et il est utilisé comme émetteur de neutrons . Les applications qui en découlent sont nombreuses dans des domaines aussi divers que l'exploration des gisements sous-marins (pétrole, manganèse) ou l'analyse de l'atmosphère sur Vénus ;

 

- l'isotope 242 de l'américium est utilisé pour l'analyse par fluorescence X ;

 

- mais c'est surtout le plutonien qui présente des propriétés remarquables dans de nombreux domaines et le seul élément chimique artificiel dont on dispose en quantités importantes, en particulier l'isotope 239.

 

Il se présente sous forme métallique de densité très elevée (voisine de 19 alors que le mercure a une densité de 13,6), de chaleur spécifique anormalement grande, et dont la compressibilité est équivalente à celle d'un liquide ; un ensemble de propriétés qui pourraient en faire un métal précieux au niveau macroscopique, n'eut-été sa radioactivité et les dangers physiologiques qu'elle implique.

 

La principale application du plutonium est le rôle qu'il joue dans le fonctionnement des surrégénérateurs,

 

Mais il constitue aussi une source d'énergie de faible puissance mais peu encombrante, parfaitement fiable et de longue autonomie : un gramme de plutonium produit une puissance de 2,45 watts pendant 18 ans, alors qu'une pile chimique ne "dure" que 18 mois. Et de plus, il est émetteur a , son émission g est d'intensité négligeable, ce qui permet une protection facile contre les dangers radioactifs.

 

Ces propriétés le désignent tout naturellement pour maintenir une source d'énergie dans des lieux d'accès difficile, en particulier :

 

- les stimulateurs cardiaques , dans lesquels la chaleur dégagée par la désintégration du plutonium est transformée en énergie électrique par des thermocouples ; un double gainage empêche la propagation des rayons a ;

 

- des générateurs isotopiques de même type ont été déposés sur la Lune par les missions Apollo pour alimenter en énergie les nombreus appareils de mesure laissés sur le sol lunaire : ces générateurs produisent une puissance de près de 1500 watts et résistent aux imortantes variations de température (entre -100°C et +100°C).

 

 

aurevoir

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