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Les pipelettes du sujet

Les pipelettes du sujet

Posté

Bonsoirs tout le monde :)

 

 

Pour répondre à celà;

 

Je comprends son sentiment que ce FIL tourne un peu en rond ....

 

Il N' y a personne qui te retient sur ce post <_<

 

Pour rep. à celà;

 

Alors que pensez-vous d' une technnique qui est alimenté par une pile nucléaire sous une simple accélération de 1G pendant 24h, ce qui est actuellement très possible,et l'objet serait animé d'une célérité de 964km par seconde

 

D' après-moi, ça n' a pas beaucoup de bon-sang ce projet, c' est de la m..... :?:

 

Mais , ce n' est que mon opignon, c' est un bout papier qui va en rester un ;)

 

 

 

aurevoir

Posté

je dirais que le proulseur inertiel est une pure fadaise.

Alors sans problème, ce genre de rotation peut assurer une gravité artificielle.

 

Par contre, ce truc n'avancera pas. N'oubliez pas que

1) la rotation et l mouvement global du truc doivent se calculer par rapport au centre d'inertie, qui est entre la capsule "centrale" et le poids

2) à 17H, il lache tpout comme un bourrin en se disant : la capsule bouge pas, le centre s'éloigne. Que des conneries !

 

lorsqu'il va lâcher, le poids comme la capsule vont chacun s'éloigner du centre de gravité. Et si vous réfléchissez un peu, vous verrez que la capsule se sera retrouvée sur sa trajectoire d'origine... Rien n'aura bougé

 

De toute manière, si vousprenez comme système l'ensemble capsule-masse, vous voyez bien qu'il n'et soumis à aucune force extérieure pour le propulser

Posté

Bonjours tout le monde :)

 

pour rep. à ceci;

 

je dirais que le proulseur inertiel est une pure fadaise.

Alors sans problème, ce genre de rotation peut assurer une gravité artificielle

 

Moi, je ne suis pas d' accord avec toi :?:

 

aurevoir

Posté

c'est un problème physique, pas de principe.

On ne peut pas pousser un système sans en pousser un autre en sens inverse. une fusée crache des propergols derrière elle. Une voiture s'appuie sur la route, et même si ce n'est pas sensible parce que la Terre est lourde, elle pousse la route vers l'arrière.

 

Par contre, cette machine n'envoie rien en arrière. C'est contraire aux loies les mieux établies de la physique (action - réaction).

Le centre de masse va rester fixe, pendant que l'on verra peut êtrela coque (qui n'est pas nécessairement liée au centre de masse) tournicoter autour de ce centre de masse. Rien de plus.

le principe du "tirer- lâcher" fera que la coque fera une spirale sur un tour, puis va faire un écart violent et revenir au début de sa spirale précédente... rien de plus

 

Par contre, pour le bonhomme qui se met dans une capsule au bout d'un bras rotatif avec le centre de masse loin de lui, si la capsule va assez vite (ou si le bras est assez long... etc..) eh bien la bonne vieille "force centrifuge" fera pour lui office de "gravité artificielle" (équivalence gravité - accélération) vers l'extérieur.

Posté

Bonsoirs tout le monde :)

 

 

Pour te repondre duschnok;

 

c'est un problème physique, pas de principe

 

Si les théories sont justes, alors il est possible de penser que l'espace temps pourra être manipulé dans un temps assez proche. ;)

 

Des possibilités spectaculaires pourraient être envisagées, car dans cette représentation naïve, il n'est pas interdit de penser que si non un objet mais plusieurs objets sont accélérés à la vitesse de (c ) sur un même plan entre deux points, nous pourrions alors faire côtoyer le local A du distant B. ;)

 

La difficulté à prouver ce genre de choses tient du fait qu'il est difficile de vérifier de telles éventualités ou hypothèses. ;)

 

Pourtant la possibilité de découverte de protocoles d'expériences permettant de valider ces hypothèses doivent exister. ;)

 

 

 

aurevoir

Posté

salut à tous :)

 

 

Voici un résumer fort intéressant;

 

L'accélération radiale anormale de Pioneer 10

 

 

 

L'existence, dans l'univers physique, de la constante To entraîne des conséquences dans l'approche temporaliste des forces gravitationnelles ou, plus précisément, du phénomène gravitationnel. L'auteur n'a pas la prétention de présenter ici une nouveau modèle de la gravitation. Il a simplement essayé de montrer comment le modèle temporaliste a des implications nécessaires dans l'interprétation du fait gravitationnel.

 

Nous avons vu que l'existence de la constante To conduisait, sans autre hypothèse, au phénomène du décalage spectral des galaxies . ;)

 

Ce décalage spectral de l'onde électromagnétique correspond à une diminution de la fréquence v ou w (fréquence angulaire) du photon et donc de son énergie. ;)

 

Corrélativement au décalage spectral, on peut considérer, en première approximation, que la diminution de la fréquence du photon est proportionnelle à la durée t qui s'est écoulée entre l'instant de son émission Te et celui de sa réception Tr soit Åw = E - E' / E = t / To ( avec E énergie émise et E' énergie reçue) L'énergie du photon E = hw varie donc au cours du temps et sa diminution est proportionnelle, également en première approximation, à la durée de propagation du photon ÅE = hwe - hwo / hwe = t / To (avec hwe énergie émise et hwo énergie observée). ;)

 

Il est équivalent de parler de décalage spectral ou de diminution de fréquence (ou d'énergie) de l'onde puisqu'il s'agit de différents aspects du même phénomène quantique. ;)

 

La valeur de ce phénomène temporaliste quantique est très faible. C'est la raison essentielle pour laquelle la mécanique quantique ne l'a ni décelé ni pris en compte jusqu'ici. ;)

 

Il n'a pu apparaître, dans l'effet Hubble-Humason, qu'à des distances minimales de 1/2 à 1 million de parsecs soit des durées minimales de 1 million 1/2 à 3 millions d'années. L'expansion des galaxies n'apparaît qu'au-delà du Groupe local, lorsqu'elle se distingue des vitesses locales des galaxies. :oo:

 

Il n'en demeure pas moins que ce phénomène de diminution de l'énergie des photons qui se propagent dans l'espace est un phénomène continu, qui affecte tous les photons, dès leur émission. :lol:

 

L'existence de la constante To implique une conception évolutive de l'énergie des photons. De même que le neutrino a été "inventé" par Pauli pour expliquer les bilans d'énergie dans les désintégrations radio-actives, il nous semble rationnel et fécond de supposer que la perte d'énergie des photons qui se propagent dans l'univers, se produit sous la forme de particules émises par les photons. ;)

 

Il ne semble pas y avoir d'autre alternative qui permette de préserver le principe de conservation de l'énergie, tout en autorisant un concept évolutif de la physique du photon, en accord avec l'existence de la constante To. Nous verrons, en confrontant cette hypothèse avec les faits, que cette supposition est justifiée. ;)

 

 

La suite est là;

 

http://site.voila.fr/nobigbang/mtneuflagra...emporaliste.htm

 

 

 

Qu' en pensez-vous :question:

 

 

 

amicalement

Posté

Bonjours tout le monde :)

 

 

Peut-tu m' expliquer ceci;

 

L'existence de la constante To

 

C' est quoi cette fameuse contante :question:

 

 

 

aurevoir

Posté

Bonjours tout le monde :)

 

Merci albert pour ton lien :be:

 

Mais , dans mon cas , ça ne change pas grand chose je ne comprend pas grand chose :mdr:

 

je vais chercher un lien moins compliquer ;)

 

 

aurevoir

Posté

salut à tous :be:

 

Il ne s’agit plus de science-fiction :

 

on posera bientôt le pied sur Mars. :?:

 

Principal promoteur de cette entreprise, le président de la Mars Society – association internationale de 6 000 membres , M. Robert Zubrin défend une conception radicale de l’aventure. Ancien ingénieur en chef chez Martin Marietta Astronautics (absorbée en 1995 dans Lockheed Martin), il livre dans Cap sur Mars une défense et illustration de son approche, dite « Mars Direct ». ;)

 

Le projet consiste à envoyer, en janvier 2014, un premier véhicule à destination de Mars, sur un lanceur lourd du type des fusées Saturn V (Etats-Unis) ou Energia (Russie). ;)

 

Ignorer totalement la Lune – après tout, cela demande moins d’énergie de se rendre sur la Planète rouge que sur la Lune, car l’atmosphère ténue de Mars permet de freiner sans dépenser de propergol (le carburant des fusées). ;)

 

Lancer ensuite, tous les deux ans, deux nouvelles fusées : l’une ira déposer son équipage, après 180 jours de vol, à côté du véhicule lancé deux ans plus tôt, qui servira pour le retour des astronautes ; l’autre, sans équipage, servira de module de retour pour la mission suivante. ;)

 

Les quatre explorateurs disposeront de 550 jours pour visiter les alentours et effectuer des expériences, une durée exceptionnelle qui garantit l’intérêt scientifique de la mission. ;)

 

Toute l’astuce du procédé consiste en sa (relative) légèreté :

 

le véhicule de retour est envoyé vide, et produit ses propergols sur place, en décomposant chimiquement l’atmosphère martienne grâce à un générateur électrique embarqué. ;)

 

M. Zubrin a lui-même démontré, avec des moyens relativement limités, la faisabilité technique de cette exploitation des ressources locales. ;)

 

De plus, chaque mission laissera sur place son « hab », ou module d’habitation, ce qui permettra à terme l’implantation d’une base scientifique permanente sur le sol de Mars. ;)

 

L’auteur cherche à convaincre le grand public. :?:

 

Navigation dans le système solaire, chimie des propulseurs, calcul des quantités de nourriture, trajectoires permettant d’éviter les surdoses de radiation, définition d’une horloge et d’un calendrier locaux, méthodes pour se repérer sans boussole selon la position des lunes Deimos et Phobos :

 

une profusion d’explications pédagogiques très réussies font de Cap sur Mars un livre à étudier au lycée, et un best-seller aux Etats-Unis. Robert Zubrin joue à plein de la notion de « nouvelle frontière », convoque l’histoire des pionniers de l’Ouest pour envisager le développement d’une future humanité martienne (sans Indiens à exterminer cette fois), et envisage la propriété privée et l’esprit d’entreprise comme les plus puissants moteurs de la colonisation spatiale. ;)

 

Mais, qu’il s’agisse de missions commanditées par les puissances spatiales actuelles (Etats-Unis, Europe, voire la Chine) ou par des multinationales, l’ingénieur ne laisse guère subsister de doute sur un point :

 

il existe désormais un plan, réalisable à court terme, pour coloniser Mars. Les générations qui partiront s’établir sur la Planète rouge sont déjà nées. ;)

 

 

 

 

Source;http://www.monde-diplomatique.fr/2004/12/RIVIERE/11734 de Philippe Rivière.

 

 

 

amicalement

Posté

Bonsoirs tout le monde :)

 

pour répondre à ceci à propos du texte;

 

il existe désormais un plan, réalisable à court terme, pour coloniser Mars. Les générations qui partiront s’établir sur la Planète rouge sont déjà nées.

 

Pas sûr que ce soit exact ;)

 

Avec quoi on y va :question:

 

Il y a un paquet de chose qui ne sont même pas construit ou conçu et ça pour la lune , qu' ils parlent déja de colonisée mars :question:

 

 

Qu' en pense-tu :question:

 

 

aurevoir

Posté

Bonjours à tous :be:

 

 

Objectif en vue pour la sonde Venus Express de l'ESA

 

 

À l’issue d’un périple de 400 millions de kilomètres à l’intérieur de notre système solaire, parcourus en cinq mois depuis son lancement le 9 novembre 2005, la sonde Venus Express de l’ESA va atteindre le 11 avril son objectif : la planète Vénus. ;)

 

 

 

Au Centre européen d'opérations spatiales (ESOC) de l’ESA à Darmstadt (Allemagne), les contrôleurs de la mission se préparent activement à intervenir car l’insertion sur l’orbite de Vénus va s’accompagner de toute une série de commandes à distance, d’allumages de moteur et de manœuvres. ;)

 

Ces interventions seront nécessaires afin de réduire d’environ 15 % la vitesse relative de 29 000 km/h que la sonde aura juste avant le premier allumage, et lui donner alors une vitesse d’entrée permettant sa capture en orbite autour de Vénus ;)

 

 

 

La sonde devra allumer son moteur principal pendant 50 minutes afin de pouvoir décélérer et se placer sur une orbite très elliptique autour de Vénus. L’essentiel de ses 570 kg d’ergols embarqués sera consommé à cette occasion. Ses panneaux solaires seront positionnés de manière à réduire tout risque de charge mécanique excessive durant l’allumage du moteur. ;)

 

 

 

Au cours des jours suivants, il sera procédé à un certain nombre d’allumages supplémentaires afin d’abaisser l’apogée de l’orbite et de contrôler son périgée. L’objectif étant de parvenir à une orbite de 24 heures autour de Vénus début mai. ;)

 

 

 

Les opérations d’injection sur l’orbite de Vénus pourront être suivies en direct dans les différents établissements de l’ESA, l’ESOC faisant fonction de centre de coordination et d’information. Dans tous les établissements, des spécialistes de l’ESA seront disponibles pour des entretiens. ;)

 

 

 

ESA TV couvrira cet événement en direct depuis l’ESOC. La transmission en direct sera non cryptée. Les radiodiffuseurs trouveront l’ensemble des détails concernant les différentes liaisons satellite sur le site http://television.esa.int ;)

 

 

 

Source ESA http://www.esa.int/esaCP/Pr_12_2006_p_FR.html

 

 

 

http://www.esa.int/SPECIALS/Venus_Express/SEME02NFGLE_0.html

 

 

 

aurevoir

Posté

Bonjours à tous :)

 

Combien de temps vénus express restera-elle opérationnelle :question:

 

Bien hâte de voir quel genres de clichées cette sonde va nous donner :question:

 

Avec l' épais manteaux de nuages , bien hâte de voir la résolution qu' on va avoir :question:

 

 

 

aurevoir

Posté

Bonjours tout le monde :be:

 

D'une masse de 1240 kg dont 93 kg de charge utile et environ 570 kg d'ergols, Venus Express mesure 1,5 X 1,8 X 1,4 m et a une envergure d'environ 8 m une fois ses panneaux solaires déployés. ;)

 

Elle a été construite par EADS Astrium autour de la même plate-forme que Mars Express. ;)

 

 

Vénus a connu un volcanisme très actif il y a 200 à 500 millions d’années. Vénus Express pourra rechercher des « points chauds » repérables par des bouffées infrarouges ou de possibles mouvements tectoniques que l’atmosphère dense est capable de répercuter. La sensibilité des instruments de Vénus Express pourrait permettre de les détecter. On attend beaucoup de ce côté-là ;)

 

Un lifting récent :oo:

 

Les images des sondes précédentes ont permis de repérer des cratères d’impact de taille moyenne et également distribués, ce qui tend à prouver que sa surface est jeune. La théorie dominante chez les planétologues est celle de grandes éruptions à un moment récent de regain d’activité interne dans l’Histoire de Vénus qui auraient recouvert la majorité de la planète. ;)

 

Un but majeur est de comprendre l'importance de l'effet de serre dans la chaleur énorme de 480 degrés Celsius en moyenne qui règne au sol de la planète.

 

 

Venus Express va s’attacher à comprendre le réchauffement qui a transformé Vénus en enfer, alors que ses voisines du système solaire interne (laissons de côté le cas de Mercure qui n’a qu’une faible atmosphère) ont évolué différemment : Mars a presque perdu son atmosphère de CO2 et est devenu un monde glacé, alors que la Terre a acquis une atmosphère secondaire particulière (N2,O2) où l’effet de serre provoqué par les fortes concentrations de vapeur d’eau joue un rôle modéré, mais décisif pour la vie.

 

Les données de Venus express permettront aux scientifiques d’affiner des modèles pour répondre à quelques questions fondamentales concernant le climat de Vénus.

 

 

1- Pourquoi Vénus est-elle si sèche :question:

 

2- Que sont devenus les océans primitifs de Vénus :question:

 

 

On ne sait pas si Venus possédait de grandes quantités d’eau initialement. :?:

 

Mais on peut faire l’hypothèse qu’à l’origine du système solaire, le bombardement primitif intense et le dégazage qui a suivi ont dû doter Vénus d’une hydrosphère comparable à la Terre. :oo:

 

Or aujourd’hui dans son atmosphère, il n’y en a plus (sous forme de vapeur) que l’équivalent d’une pellicule de 30 cm d’eau liquide à la surface (contre 2,7 Km sur Terre). ;)

 

Il est possible que Vénus ait perdu cette eau suite à l’érosion par le vent solaire, après la disparition de son champ magnétique protecteur, mais on peut aussi constater que le reste des constituants atmosphériques, en particulier le CO2, est toujours là. :oo:

 

Cependant on a constaté que l’eau restante dans l’atmosphère sous forme de traces était 150 fois plus riche en eau lourde que l’eau terrestre, ce qui accrédite la thèse d’une photodissociation par les UV. ;)

 

 

Qu' en pensez-vous :question:

 

 

 

source;http://solarnews.over-blog.com/

 

 

 

aurevoir

Posté

Salut à tous :be:

 

 

Trop de messages néo :confused:

 

je ne peut pas répondre à tous ;)

 

La durée de missions de vénus express est de 500 jours ;)

 

Pour ce qui est des océans primitifs , aucunes idées ;)

 

 

amicalement

Posté
Message écrit par Neo

Vénus a connu un volcanisme très actif il y a 200 à 500 millions d’années.

[...]

Cependant on a constaté que l’eau restante dans l’atmosphère sous forme de traces était 150 fois plus riche en eau lourde que l’eau terrestre, ce qui accrédite la thèse d’une photodissociation par les UV.

 

<span style="color:green]Merci de rester dans le sujet. ;)

(à savoir, le Moteur de fusée le plus performant...).[/color]

Posté

Salut à tous :be:

 

L’industrie russo-européenne dispose déjà de centres de lancement particulièrement bien équipés.

 

L’Agence spatiale européenne utilise le centre de Kourou, en Guyanne française. ;)

 

Sa situation géographique, à 500 km de l’équateur, facilite le lancement en orbite géostationnaire et accroît la vitesse delancement en ajoutant celle de la rotation de la Terre autour de l’axe polaire. ;)

 

Outre la fusée Ariane-5, il acceuillera en 2007 des Soyouz-2 russes. ;)

 

Roskosmos utilise principalement les bases de Baïkonour et de Plessetsk. ;)

 

Baïkonour est située au Kazakhstan et louée par la Russie jusqu’en 2050. ;)

 

Elle n’est bien sûr utilisée qu’à des fins exclusivement civiles. On y met au point la nouvelle version de la fusée Proton, le lanceur le plus fiable au monde. :question: Est-il toujours le numéro un :?:

 

Le Cosmodrome de Plessetsk relève, lui, du ministère russe de la Défense. On y expérimente actuellement les fusées Angara. En outre, la Russie réalise plusieurs tirs par an depuis des sous-marins stratégiques en mer de Barents. ;)

 

 

Quelqu' un connait-il les performance de cette nouvelle fusée Angara :question:

 

 

amicalement

Posté

Bonjours tout le monde :be:

 

 

Pour repondre à ceci;

 

Merci de rester dans le sujet

 

Parfois , je suis trop gourment, merci de me le rappeller ;)

 

Merci albert pour ton texte ;)

 

La fusée proton est-elle la plus performante d' entres tout les fusées :question:

 

 

aurevoir

Posté

Salut à tous :be:

 

pour te répondre sur ceci;

 

La fusée proton est-elle la plus performante d' entres tout les fusées

 

Je crois bien que c' est un lanceur fiable ;)

 

mais je crois que c' est une question de gros sous ;)

 

 

 

amicalement

Posté

Bonsoirs tout le monde :be:

 

Merci beaucoup albert :be:

 

 

pour te répondre sur ceci;

 

mais je crois que c' est une question de gros sous

 

Donc, d' après toi , ça serait moins dispendieux de fabriquer en russie , ;)

 

Qu' en pense-tu :question:

 

 

 

aurevoir

Invité Ortog
Posté

mon avis franc... Ce post est sur orbite et tourne en rond

 

Ortog

Posté

Bonsoirs tout le monde :be:

 

Excellent commentaire ortog :orbite:

 

Et merci pour ta réponse :tilt:

 

 

Alors albert , le proton ou la fusée atlas :question:

 

 

aurevoir

Posté

Bonsoirs tout le monde :be:

 

Pourquoi les américains ne dévelloppent-ils pas un lanceur comme atlas ou proton :question:

 

Leur navettes a fait reculer la science de vingts ans :?:

 

aurevoir

Posté

Bonsoirs tout le monde :be:

 

J' ai trouver la réponse que je cherchais ;)

 

A ce jour, Proton a été lancé à 318 reprises et a connu 29 échecs, dont 11 au cours des cinq premières années. ;)

 

Le taux de réussite globale de Proton est de 91%. Si on ne tient compte que des lancements d'après 1970, il est de 94%. Le graphique 1 présente l'évolution du nombre de lancements au cours des années. ;)

 

En août 1986, la Présidence des Etats-Unis d'Amérique autorise les constructeurs américains de lanceurs à fournir leurs services à des clients étrangers. Ainsi, au mois de janvier 1993, Lockheed s'associe à Khrounitchev et Energuia pour placer le lanceur Proton sur le marché des lancements commerciaux. Cette réunion d'entreprise prend l'appellation L.K.E.I. Inc. (Lockheed-Khrounitchev-Energuia International). L'état américain impose cependant des quotas de douze lancements par an, effectifs jusqu'en 2000, afin de ne pas trop perturber le marché mondial. En effet, les faibles coûts de production de Proton engendrent un prix de lancement extrêmement bas. Des clients du monde entier sont séduits, et le carnet de commande de L.K.E.I. se remplit. En mars 1995, Lockheed fusionne avec Martin Marietta pour donner la compagnie Lockheed Martin.

 

Le 10 juin 1995, Khrounitchev, Energuia et Lockheed Martin profitent du Salon du Bourget pour anoncer la création de l'entreprise International Launch Services (I.L.S.), en remplacement de L.K.E.I., qui réunit les offres de lancements de Proton et du lanceur américain Atlas sous une même bannière. A la tête d'I.L.S. est placé le Docteur Vance D. COFFMAN.

 

Enfin, le 8 avril 1996, un lanceur Proton-K/DM-2M place en orbite le satellite Astra 1F, ce qui constitue le premier lancement par un lanceur russe d'un satellite occidental. A ce moment là, le carnet de commande d'I.L.S. comprend encore 19 satellites à lancer ! En décembre 2000, le Département d'Etat américain autorise la levée des quotas.

 

Depuis, de nombreux lancements ont été réalisés, et I.L.S. est devenu l'un des acteurs majeurs sur le marché de lancement, aux côtés d'Arianespace.

 

On notera pour conclure qu'au début de l'année 1995, Khrounitchev avait entamé des négociations avec Aérospatiale concernant l'implantation au Centre Spatial Guyanais d'un pas de tir Proton. La firme française avait alors donné son accord de principe, mais ce projet ne connut pas de suite. Il avait aussi été envisagé d'implanter un tel pas de tir en Australie, mais ce projet connut le même sort que le précédent.

 

source;http://membres.lycos.fr/kvant/lanceurs/proton/proton.html

 

 

aurevoir

Posté

Salut à tous :be:

 

Ça revient à dire ce que je disais plûtot;

 

En effet, les faibles coûts de production de Proton engendrent un prix de lancement extrêmement bas. Des clients du monde entier sont séduits, et le carnet de commande de L.K.E.I. se remplit.

 

 

Une questions d' argents , comme d' habitude ;)

 

De plus avec des ststistique comme celle là;

 

Le taux de réussite globale de Proton est de 91%. Si on ne tient compte que des lancements d'après 1970, il est de 94%. Le graphique 1 présente l'évolution du nombre de lancements au cours des années.

 

Je crois que les sovietique peuvent parlé de succès avec le lanceur proton ;)

 

 

 

 

qu' en-pense-tu :question:

 

 

 

 

amicalement

Posté

Bonjours tout le monde :be:

 

 

Bien sûr que proton est fiable ;)

 

Mais je maintient à dire que l' exploration spatiale passent par les robots, si on veut tester de bonne fusées rine de mieux qu' un robot cobaye pour étudier les effets d' un lancement ;)

 

 

Mais il ne faut pas oublier qu'il est certain qu’en termes de coûts, les robots sont sans compétiteurs. ;)

 

Selon les chiffres fournis par le Jet Propulsion Laboratory de Pasadena, les rovers martiens Spirit et Opportunity ont coûté environ $900 millions sur 5 ans. ;)

 

Par comparaison, en 30 ans, les 112 vols de la navette spatiale ont provoqué 14 pertes humaines et coûté environ 1,3 milliard par vol. ;)

 

Qu' en pense-tu :question:

 

 

 

aurevoir

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