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Posté

Bonjours à tous :)

 

Très bon et instructif albert, merçi montmeint69 exellente explication ;)

 

Donc, les déchets radioactifs sont un gros problème :question:

 

Faudrait inventer quelque chose pour s' en servir , jusqu' à la dernière goute ;)

 

 

aurevoir

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Les pipelettes du sujet

Les pipelettes du sujet

Posté

bonjours tout monde :)

 

Combien d' énergie potentielle une sonde dernier modèle comme new horizon, peut-elle dévelloper

avec son réacteur à isotope :question:

 

Pourquoi ne pas assembler un générateur à isotope assez gros pour alimenter les sondes en propulsion :question:

 

 

aurevoir

Posté
(texte cité)

 

Pourquoi ne pas assembler un générateur à isotope assez gros pour alimenter les sondes en propulsion :question:

 

 

Lors de la conception d'une sonde, c'est une vraie chasse à la masse superflue.

Compte tenu des contraintes du lanceur, des parametres de vitesse pour que la sonde atteigne son but, etc ... il faut tout comptabiliser.

On ne peut pas multiplier des équipements lourds .. comme sur le papier.

Ou alors il faut multiplier les lancements (et en payer le prix) et faire de l'assemblage en orbite.

C'est la technique prevue pour les vols humains vers la Lune. Pour les sondes automatiques on fait pour moins cher ... donc c'est du tout en un.

 

:s

Posté

salut à tous :)

 

Merçi montmein69 ;)

 

Non mais , pensez a ça;

 

une sonde filant vers sedna , alimentant son moteur nucléoélectrique, avec des générateurs à isotopes de très grande puissance,

 

Est-ce-que du point de vue faisabilité, avec les technologies d' aujourd' hui, est-ce-qu' on pourrais réaliser une telle sonde :question:

 

S.v.p. oublier les réactions des écolos, ont parle du point de vue scientifique ;)

 

 

amicalement

Posté

bonjours tout monde :)

 

 

Oui, ça peut se faire, je crois que nous avons les moyens technologiques pour ça ;)

Mais ça couterais un paquets frics , comme montmein69 là mentionner plus haut !pomoi!

 

De plus ça n' assure pas le succès de la dîtes mission à un prix dérisoire ;)

 

de plus cher albert ,

 

l'étude des isotopes (atomes d'un même corps possédant des nombres différents de neutron dans leur noyau) permet de comprendre l'origine de la matière et donc l'histoire de l'univers.

 

La plupart des isotopes ont des durées de vie longues. Mais certains se désintègrent très vite. Ce sont eux qu'il convient de générer et d'étudier au sein de faisceaux fortement accélérés. ;)

 

 

 

aurevoir

Posté

salut à tous :)

 

Merçi néo pour ton texte :)

 

mais , je crois au nucléaire dans l' espace et C'est le seul moyen que nous disposonts pour développer une énergie et vitesse sufissante ;)

 

 

 

amicalement

Posté

bonjours tout monde :)

 

Pourquoi tu dit ça, on ne sais pas ce qui nous pend au bout du nez ;)

 

Demain ,il y aura peut-être une découverte majeur sur un nouveau moteur ;)

 

il y a un centenaire, on ne connaissais pas, la propulsion chimique et aujourd' hui ,ça commence

a être vieux !pomoi!

 

aurevoir

Posté

bonjours à tous :)

 

Peut-être albert ,

 

Mais je ne suis pas un grand admirateur du nucléaire, Cest vraiment courir après les problème ce que tu dit là :confused:

 

que fait tu du nouveau moteur ionique, il l' on bien retaper et plus de puissance ;)

 

non, excuse-moi albert mais l' avenir est dans ce genre de propulsion et D ici 100 ans , Ça sera un autre mode de propulsion dériver de toute ces connaissance ;)

 

 

aurevoir

Posté

salut à tous :)

 

Et tu vas resté dans le système solaire et c' est tout :?:

 

Avec quoi tu pense les sondes qui onts dépasser le système solaire sont-ils alimenté :question:

 

Serait-tu écolo dans sang :question:

 

 

amicalement

Posté

Bonjour Albert jr

 

 

(texte cité)

 

Et tu vas resté dans le système solaire et c' est tout :?:

 

Avec quoi tu pense les sondes qui onts dépasser le système solaire sont-ils alimenté :question:

 

Ne te laisse pas (trop) emporter par ton enthousiasme.

Le lancement des sondes en question a été très classique (propulsion chimique) et on s'est servi de l'impulsion gravitationnelle de planetes.

Les RTG permettent - seulement mais c'est dejà beaucoup - de "rechauffer" les instruments' date=' de les alimenter (notamment pour les communications)

 

Il semble que tu confondes encore :

- alimentation electrique de la sonde

- propulsion de la sonde

(il te serait peut etre utile de relire tout ce qu'il y a sur ce FIL .... sinon on va tourner en rond et se répéter)

La [b']propulsion nucléaire[/b] pour l'instant ... il n'y en a pas d'opérationnelle.

Si elle s'avere necessaire ... il faut reflechir à sa mise en oeuvre, son coût , ses risques... comparé à ce qu'on sait faire.

New Horizons vient de decoller pour Pluton et la ceinture de Kuiper ... pour un coût raisonnable .. avec des technologies classiques .... et des résultats scientifiques qui devraient être formidables (mais il va falloir patienter presque dix ans)

 

 

 

 

Serait-tu écolo dans sang :question:

 

J'espere que la plupart des participants sur cette liste ont la fibre ecologiste (dans son sens initial) ... mais c'est un sujet qui s'ecarte du FIL initial.

 

!pomoi!

Posté

salut à tous :)

 

Non montmein69 , je ne confond pas ;)

 

J' essaie de comprendre pourquoi ,il ne fabrique de RTG qui alimente la sonde pour la propulsion :?:

 

Je sais qu' ils pourraient en fabriquer un beaucoup plus puissant que ça :?:

 

ils pourraient par example en mettre comme 4 dans la même sonde :question:

 

 

amicalement

Posté

Albert:

 

On a déjà dû le dire quelque part : faible rendement (<10% pour un RTG) => masse importante pour obtenir une puissance donnée

Pour qu'une propulsion ionique deviennent intéressante pour une sonde, il lui faut au moins 2 kW, et les RTG utilisés actuellement pèsent déjà quelques centaines de kg pour produire quelques centaines de W.

Le paramètre important est la puissance par unité de masse, et ce paramètre est défavorable à l'utilisation d'un RTG pour alimenter la propulsion.

Et d'un autre côté, il y a aussi une limite à la masse de la sonde elle-même.

 

La propulsion ionique produit des impulsions spécifiques bien plus élevées que les moteurs chimiques, mais il y a une pénalité à payer : la masse de la source d'énergie.

En propulsion chimique, l'énergie est contenue dans le fluide lui-même, ce qui est très avantageux.

Pour une propulsion ionique, elle est produite par un système externe qui constitue une masse supplémentaire.

Et si cette source d'énergie est trop massive, comme c'est le cas avec un RTG, on perd l'avantage par rapport à la propulsion chimique.

C'est la raison pour laquelle on prévoit de développer d'autres types de générateurs nucléaires.

 

Pour t'en convaincre, tu peux placer des chiffres derrière tout ça, et comparer par exemple la masse de New Horizon à la masse que devraient avoir des RTG fournissant 2 kW...

 

A+

Posté

salut à tous :)

 

Merçi beaucoup lamdao pour tes explications ;)

 

Donc, ça serait bien de dévellopper un nouveau type de réacteur nucléaire ;)

 

ou bien, dévellopper des thermocouples qui perdent moins d' énergies durant les transferts :question:

 

ou bien, dévellopper un moteur nucléoélectrique alimenter par un RTG très puissant :question:

 

Tu sais , j' ai lue sur le nouveau moteur ionique de l' esa, il y a une belle amilioration , mais c' est encore très insuffisant ;)

 

 

amicalement

Posté

bonjours tout monde :)

 

Je comprend albert , ce que tu essaie de passer !shifty!

 

un moteur ionique alimenter par un RTG, :?:

 

ça ne règles pas le problème du xénon, :?:

 

Alors explique-moi, comment faire :question:

 

aurevoir

Invité Ortog
Posté

Pour ce qui est de la propulsion, il est absolument inutile de lancer une sonde pour pluton ou plus loin, qui aille très vite.

 

Si tu dépense beaucoup d'énergie pour que ta sonde arrive vite, il serait préférable qu'elle se satellise autour de l'oBjectif, et plus ta sonde va vite, plus tu dois dépenser d'énergie pour la ralentir au moment de la satellisation.

 

Une énorme dépense d'énergie au départ, une autre énorme dépense d'énergie à l'arrivée, le tout pour un gain très faible. N'oublie pas que si ton moteur ionique est long à accélérer la sonde, il est aussi long à la freiner.

 

Une moitié du chemin pour accélerer, une autre pour ralentir, et un très faible temps à la vitesse maxi....

 

Tant que c'est pas des êtres vivants que tu envoies, il n'y a pas de raison d'aller vite, et d'ici qu'on envoie des hommes aux confins du système solaire, il y a longtemps que le nucléaire de fission sera fini, et que la fusion aura pris la reléve.

 

Ortog

Posté
(texte cité)

 

Tant que c'est pas des êtres vivants que tu envoies' date=' il n'y a pas de raison d'aller vite, [/quote']

 

C'est ce qui nous permet avec des moyens limités et un coût acceptable de faire des missions comme Venus Express ou New Horizons que je trouve formidables. (et se servir de l'assistance gravitationnelle gratuite .... une sacré bonne idée)

Le prix à payer de ce genre de mission .... être patient ... et il est vrai que ce n'est plus tellement au goût du jour ...

 

et d'ici qu'on envoie des hommes aux confins du système solaire, il y a longtemps que le nucléaire de fission sera fini, et que la fusion aura pris la reléve.

 

 

Il faut y croire ... bien que .... dans l'immédiatement proche (dix ans quand même) ... il faudra attendre qu'ITER fasse ses preuves ... puis miniaturiser.

 

;)

Posté

bonjours tout monde :)

 

Plein de bon sang , ce que ortog prétend ;)

 

Mais iter , ce n' est pas demain la veille !pomoi!

 

et encore pire pour la fusion !pomoi!

 

 

aurevoir

Posté

salut à tous :be:

 

D'après ce que je constate, même si on aurait un engin qui voyage très vite dans l' espace, on doit ralentir pour se mettre en orbitre ou atterrir ;)

 

À quand les spatio-freins :question:

 

FAudra trouver moyen de ralentir efficassement , sans comsommer tout l' énergie, ;)

 

C' est pour ça que je dis que le nucléaire est parfaitement adapté pour çà ;)

 

 

amicalement

Posté

Rep Albert

 

Quand la planète a une atmosphère, on peut penser au freinage atmosphérique.

Mais si on veut utiliser cette technique pour un freinage de plusieurs km/s, pour la capture, il faut prévoir un bouclier, donc de la masse en plus...

De plus, il me semble qu'il faut déjà avoir quelques connaissances sur le profil de densité de l'atmosphère de la planète.

 

A+

Invité Ortog
Posté

Oui, ça marche le freinage atmosphérique, mais c'est extrèmement risqué et j'imagine pas, vu le poid que ferait un vaisseau emportant des hommes aux confins du système solaire ou vers une planète proche, un freinage efficasse. Pour une petite sonde Ok, mais pour un engin plus gros...

 

Ortog

Posté

En théorie, si, ça peut marcher pour un vaisseau habité de plusieurs centaines de tonnes, même avec l'atmosphère ténue de Mars. Ca dépend des dimensions du bouclier.

Cependant, cette option n'est pas retenue car :

- C'est risqué, comme tu l'as fait remarquer

- Il faudrait un bouclier assez massif, qui chaufferait à plusieurs milliers de degrés

- Celà a une incidence très importante sur la conception du vaisseau, qui doit supporter une forte décélération

 

Dans le cas de Mars, on n'utiliserait pas cette méthode pour la capture, par contre le freinage atmosphérique peut quand même être intéressant pour abaisser progressivement une orbite, sans contrainte ni échauffement important.

 

A+

Posté

salut à tous :)

 

Moi je pense comme ortog, le jour ou un équipage partira aux confins de l, univers , çà ne sera pas avec un vaisseau de la taille des navettes !pomoi!

 

ça sera plus gros que ça !pomoi!

 

Le problème sera, étant donner la masse du vaisseau et sa vitesse,quel seront les options pour freinner efficassement le vaisseau :question:

 

Si ont doit comsommer de l' énergie pour freinner ,alors le nucléaire est nécessaire , un réacteur nucléaire ferait très bien le travaille ;)

 

Mais je rêve en couleur :rolleyes:

 

amicalement

Posté

bonjours tout le monde :be:

 

Tu as vu le film ( the red planet)

 

le vaisseau est très réaliste avec sa gravité artificielle , si on veut voyager dans le cosmos lointain

 

Ça va prendre un vaisseau avec les mêmes dimensions, ce qui veux dire qu' ils doivent en plus imaginez comment vont-ils atterir sur l' astre,avec un vaisseau de cette dimension :?: , on oublie ça, :?:

 

donc, ça va prendre des capsules ou un autre système pour atterir en toute sécurité :?:

 

de plus , plus la vitesse du vaisseau sera grande plus sa prendra de l' énergie pour le freinner :?:

 

De la manière que je vois ça , nous ne somme pas au bout de nos peine ;)

 

 

 

aurevoir

Posté

bonjours tout le monde :)

 

Fini les tabous;

 

Malgré une simplicité apparente, la mise en oeuvre de l'aérofreinage demande un certain doigté. Le point le plus critique consiste à déterminer l'altitude du passage à travers l'atmosphère. ;)

 

Si la sonde s'enfonce trop profondément dans l'atmosphère, les forces de friction peuvent devenir assez fortes pour abîmer certaines structures fragiles comme les panneaux solaires. Une erreur de quelques dizaines de kilomètres et la sonde se désintègre en mille morceaux (Mars Climate Orbiter peut parfaitement en témoigner !). :grr

 

Outre les contraintes mécaniques, les frottements avec l'air conduisent également à une élévation de température. L'échauffement doit impérativement être limité à des valeurs acceptables, sous peine de voir la sonde subir des dommages irrémédiables. ;)

 

D'un autre côté, si la sonde se contente juste d'effleurer l'atmosphère sans vraiment y pénétrer, le freinage risque de ne pas être suffisant et les paramètres orbitaux ne seront pas modifiés. ;)

 

Contrôle de la densité atmosphérique

 

Le calcul de l'altitude optimale repose sur la connaissance de la densité atmosphérique. Pour la planète Mars, le profil vertical de densité de l'atmosphère est assez mal connu, même si nous avons fait des progrès certains grâce à Mars Global Surveyor. ;)

 

L'atmosphère martienne peut connaître des brusques sursauts de densité. Une tempête de poussière qui se lève peut provoquer un épaississement de l'atmosphère, l'effet se faisant sentir même à très haute altitude. Les ingénieurs sont donc constamment obligé de prévoir la densité atmosphérique au prochain point de passage. ;)

 

Pour cela ils ont à leur disposition les données collectées par les instruments de la sonde elle-même et éventuellement les mesures effectuées par d'autres sondes en orbite. Ils font également tourner des simulations complexes qui leurs permettent de prévoir la météorologie de la haute atmosphère à deux ou trois jours. ;)

 

Chaque jour, le modèle théorique est alimenté avec des données de la veille. Si les ingénieurs se rendent compte que la densité atmosphérique est plus faible que prévu, ils peuvent hardiment décider de plonger la sonde un peu plus en profondeur dans l'atmosphère, pour profiter d'une plus forte densité et augmenter l'efficacité du freinage. ;)

 

A l'inverse, ils peuvent réaliser avec stupeur que la densité atmosphérique rencontrée lors du dernier passage était bien trop élevée et que l'altitude du passage suivant doit absolument être augmentée, sous peine d'assister à la combustion de la sonde dans l'atmosphère ! ;)

 

Si la situation est vraiment critique, ils sont autorisés à sortir carrément la sonde de l'atmosphère pour stopper net l'aérofreinage. Le freinage atmosphérique ne marche pas tout seul. Il suffit d'un moment d'inattention ou d'une mauvaise estimation de la densité pour que la situation tourne vite au désastre. ;)

 

Game Over !

 

aurevoir

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