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Roy Glauber de Harvard, le père de la théorie de l’optique quantique, pour laquelle il a reçu le prix Nobel en 2005 et Theodor Hänsch de l’institut Max Planck ? :)

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OUI!!!!!!!!!!!!!!!!

voila bravo pat

explication: le boson de higgs se désintègre en deux photons, c'est comme cela qu'on le detecte. Higgs et Englert ont eu le prix nobel de physique en 2013.

bon c'était peut-etre un peu tiré par les cheveux

Posté (modifié)

bon c'était peut-etre un peu tiré par les cheveux

Très chouette ton énigme MonsieurMizar, j'ai appris un truc c'est super :)

 

Alors Poussin il fait jour chez toi :D ?

Ici brouillard et peut-être neige demain ;)

(Va falloir que je regarde où j'ai rangé la pelle à neige moi, ça fait deux ans que je ne l'ai plus eu en main :))

Modifié par yui
Posté

Salut Whiston,

2/3 minutes pour chercher avant de partir ne déplacement...

Un alignement quasi parfait des planètes (dont Pluton encore planète à l'époque) ?

 

Dommage que je n'ai plus de temps pour passer plus souvent par ici. :confused:

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Le soir où minuit a sonné 4 fois...

 

Qui peut en dire plus sur cette fameuse nuit ?

Posté

Je vous propose une nouvelle énigme avec date, ce qui simplifie les recherches :

 

Que c'est-il passé le 20 mai 1993 ?

Posté
Le soir où minuit a sonné 4 fois...

 

Qui peut en dire plus sur cette fameuse nuit ?

Bonjour Fred, le Havrais, :)

 

Alors, tu évoques un soir où minuit a sonné quatre fois !!!... Bigre, bigre !... :o :o :o

 

Alors, réfléchissons un peu : parmi ces quatre sonneries des douze coups de minuit, cela concerne-t-il les horloges anciennes qui sonnent deux fois le nombre d'heures (dans ce cas il n'y aurait eu que deux minuits) ? :?:

 

Autre question : ces quatre minuits concernaient-ils tous les états de la planète Terre ou un seul, voir quelques uns ?... :?:

 

Ces quatre minuits concernaient-ils une décision astronomique (par exemple le passage du calendrier julien au calendrier grégorien, ou encore l'introduction d'une seconde intercalaire, ou enfin le rattachement d'un pays par exemple la France ;)au Temps Universel ? ) ou politique ? :?:

 

En tout cas, la formulation de ton énigme, Fred, me replonge avec délice dans ce qu'évoquait lors de ma jeunesse le mot mystérieux "minuit" (avec notamment la fameuse citrouille qui allait cesser d'être un carosse au douzième coup de minuit... :D :D :D ).

 

ob_5b19a2_cendrillon-1-g.jpg

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

Posté (modifié)

Evidemment, l'expression concerne les clochers qui ont encore aujourd'hui dans bien des endroits, l'habitude de sonner deux fois les heures, à 5 minutes d'intervale.

 

Et nous sommes en France.

 

Cela dit, je doute fort que de nombreux clochers aient effectivement sonné 4 fois minuit cette nuit là, mais ils auraient pu le faire !

Modifié par Fred_76
Posté
Je vous propose une nouvelle énigme avec date, ce qui simplifie les recherches :

 

Que s'est-il passé le 20 mai 1993 ?

Bonjour Whiston, :)

 

Le jeudi 20 mai 1993 vers 15 heures (Temps Universel) l'astéroïde 1993 KA2 a frôlé la Terre à seulement 0,00099 Unité Astronomique, soit 148 104 kilomètres. Voir l'explication d'un excellent spécialiste des "cailloux du ciel" ;) : http://www.astrosurf.com/macombes/fig6-9me.htm.

 

fig6-9me.JPG

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

Posté

Et c'est pour ça que Marseille a gagné 1-0 contre Valencienne, parce que les valenciennois avaient peur que le ciel leur tombe sur la tête...

Posté
Evidemment, l'expression concerne les clochers qui ont encore aujourd'hui dans bien des endroits, l'habitude de sonner deux fois les heures, à 5 minutes d'intervale.

En Normandie peut-être ;) , dans ma commune et la commune voisine, les sonneries de l'heure au clocher de l'église sont espacées de seulement une minute. D'ailleurs, pour l'anecdote, jusqu'à il y a une dizaine d'année les heures étaient sonnées vingt-quatre fois par jour, depuis lors, elles ne le sont plus qu'entre sept heures du matin et dix heures du soir. ;)

 

Bon, tu nous dis que cela concerne la France. Tu n'as point répondu à mes hypothèses concernant le passage du calendrier julien au calendrier grégorien, ou du passage de la France au Temps Universel. J'en rajoute une : les changements d'heure imposés lors de l'occupation allemande lors de la Seconde guerre mondiale... :( :( :(

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

Posté

Bonjour Roger :), rien à rajouter à ton explication.

 

Mais les énigmes datées sont un peu trop faciles avec google qui repère tout, qui sait, qui informe de tout...

Posté

Non non Roger, nul calendrier julien ou grégorien dans cette histoire. Nulle guerre non plus. Ce fût plutôt l'issue d'une vaine lutte d'influence. Enfin, que ce soit 1 ou 5 minutes entre les répétitions, peu importe... il y avait assez de marge. Mais on parle quand même de minutes et de secondes, donc la technologie était assez précise pour compter ces instants sur l'ensemble du territoire.

Posté
Non non Roger, nul calendrier julien ou grégorien dans cette histoire. Nulle guerre non plus. Ce fût plutôt l'issue d'une vaine lutte d'influence. Enfin, que ce soit 1 ou 5 minutes entre les répétitions, peu importe... il y avait assez de marge. Mais on parle quand même de minutes et de secondes, donc la technologie était assez précise pour compter ces instants sur l'ensemble du territoire.

Merci Fred le Havrais :), pour ces explications complémentaires. ;)

 

Je propose alors plus précisément que cela concerne la nuit du vendredi 10 au samedi 11 mars 1911 où à minuit 9 minutes et 21 secondes (Temps civil moyen de Paris) l'heure légale en France a été désormais « l'heure du temps moyen de l'observatoire de Paris retardée de 9 minutes 21 secondes ». En pratique cela revenait à se raccorder sur le méridien de Greenwich, donc au “Temps Universel” (TU).

 

La circulaire d'application de cette loi précisait que « L'application doit être effective dans la nuit du vendredi 10 au samedi 11 mars 1911 à minuit, moment où toutes les horloges intérieures et extérieures des chemins de fer devront être réglées d'après la nouvelle heure légale ».

 

Une circulaire ministérielle du 31 décembre 1911 a décidé qu'à partir du samedi 1er juin 1912 (début du service d'été de 1912) on décomptera désormais les heures sur un cycle unique de 24 heures et non plus deux cycles de 12 heures (matin puis après-midi).

 

Le projet de loi (loi du 9 mars 1911) sur le rattachement de la France au Temps Universel avait été déposé le 8 mars 1897. La chambre des députés le vota dès le 24 février 1898, en revanche le Sénat ne le vota que le 9 mars 1911 !!!... :mad: :mad: :mad: Précisons qu'une conférence astronomique internationale s'était tenue à Washington (États-Unis) dès octobre 1884 pour décider de « l'adoption d'un premier méridien unique et d'une heure universelle ». Sur 27 états représentés seuls trois, le Brésil, la France et Saint-Domingue s'opposèrent au choix du méridien de Greenwich comme méridien international. M. Jansen qui représentait le France plaida pour le méridien de lîle de Fer aux Canaries. Le Japon adopta le méridien de Greenwich dès 1888 et l'Allemagne en 1891.

 

Est-ce bon, Fred le Havrais ? ;)

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

Posté (modifié)

Oui, c'est bien cela.

 

Il s'agit bien du passage de l'heure française de l'heure du méridien de Paris vers l'heure du méridien de Greenwich, un décalage de 9 minutes et 21 secondes.

 

En fait le passage au méridien de Greenwhich se fît en deux étapes.

- La première a été légèrement commentée dans les journaux. Elle est celle que tu as citée, dans la nuit du 10 au 11 mars 1911 quand les horloges des PTT et des trains ont été unifiées sur l'heure GMT+1.

- La deuxième est passée complètement inaperçue, pour les autres horloges, dans la nuit du 18 au 19 mars 1911. Je n'ai pas trouvé d'articles dans les journaux sur celle là.

 

Le prix des montres à cette époque était très élevé, et de plus, la vie de tous les jours n'exigeait pas cette précision (les trains avaient souvent des retards conséquents). Donc peu de gens se sont sentis concernés par ce changement.

 

Bref, dans la nuit du 10 au 11 mars 1911, à minuit les horloges ont été arrêtées et n'ont été redémarrées que 9 minutes et 21 secondes plus tard. Ou, selon les opérateurs, ont été retardées de 9 minutes et 21 secondes (ce qui permettait à l'opérateur de s'occuper de plusieurs horloges les unes après les autres).

 

Donc certaines horloges ont pu sonner 2 fois minuit, et répéter deux fois l'heure, ce qui fait 4.

 

Voici un extrait d'un article du Figaro du 11/03/1911 :

 

 

Minuit sonne. Et il n'est pas minuit. Il est, au juste, et de par la loi, minuit moins neuf, qu'il était déjà tout à l'heure. Ainsi je recommence à vivre une parcelle de vie que j'avais déjà vécue. Je redeviens plus jeune de neuf minutes - et une fraction ; je dispose - cela est incroyable et délicieux ! - d'un petit trésor de cinq cent soixante et une secondes qui ne doivent rien à personne... Car elles n'appartiennent pas encore, ces secondes, à la journée qui vient ; et elles ne sauraient être comptées deux fois dans celle qui est finie. Elles n'occupent dans le temps nulle place. Elles sont à moi, voilà tout... Ah ! pressons-nous de savourer, goutte à goutte, cette ration supplémentaire...

 

Le petit Faust

 

Cette loi du 9 mars 1911 a fait quelques mécontents malgré tout, ainsi qu'on peut le lire dans le même journal :

 

L'HEURE ANGLAISE

 

II me semble que la pensée française doit avoir un peu de mélancolie au moment où nous ralentissons tous à nos pendules ou sur nos montres, par neuf fois, les minutes qui précèdent minuit cette nuit. Au lieu d'être satisfaits d'allonger ainsi une pauvre petite heure de notre petite vie, nous sentons que quelque chose, au contraire, qui nous appartenait en propre, quelque chose d'impalpable, d'impondérable, mais de noble et de fier, est perdu désormais pour nous. C'est l'heure nationale, l'heure du méridien de Paris que le Parlement nous enlève à tout jamais.

 

Ce Parlement, qui défend décidément aussi mal notre patrimoine d'orgueil que notre industrie, nos finances et nos libertés, a décidé qu'à partir de la nuit du 10 au 11 mars 1911, à minuit, l'heure anglaise serait désormais notre heure légale, officielle, unique, et que le méridien de Greenwich remplacerait celui de l'Observatoire de Paris.

 

(...)

 

Et cette nuit, dans les radiogrammes qu'elle adresse en mer aux navires de tous les pays, la tour Eiffel le dira même aux étoiles.

Décidément cette date du 11 mars 1911 est mauvaise. Il ne faut en exagérer ni l'importance, ni la tristesse, mais on peut, en bon Français, s'en affliger.

 

(...)

 

Gaston CALMETTE

 

Autre sujet à polémique : les trains.

 

Les chemins de fer ont reçu l'instruction de s'arrêter à la première gare qu'ils traversaient après minuit (heure de Paris) pour repartir à minuit (heure "Anglaise") 9 minutes et 21 secondes plus tard... un grief de plus que les passagers pressés pouvaient adresser aux perfides albionnais !

Modifié par Fred_76
Posté

Voici une nouvelle énigme, qui est dans la continuité de celle posée par Fred, le Havrais :) :

 

Vous avez vu (au message # 518101 ; 2 073 ème page du QAC) que :

Le projet de loi (loi du 9 mars 1911) sur le rattachement de la France au Temps Universel avait été déposé le 8 mars 1897. La chambre des députés le vota dès le 24 février 1898, en revanche le Sénat ne le vota que le 9 mars 1911 !!!... :mad: :mad: :mad:

Donc, le Sénat français refusa pendant 13 ans que la France se raccorde à l'heure de l'Observatoire de Greenwich, ceci par détestation de la Perfide Albion qui restait pour les sénateurs toujours l'ennemi héréditaire de la France... :mad: :mad: :mad:

 

Alors, comment les rédacteurs de ce qui allait devenir la loi du 9 mars 1911 s'y prirent-ils pour vaincre l'anti-britannisme forcené des sénateurs français ? ;)

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

Posté

Devant m'absenter en fin d'après-midi, je donnerai la réponse au plus tard à 17h30, si bien sûr personne ne l'a trouvée d'ici là. ;)

Posté

Bon, eh bien voici la réponse :

 

Les rédacteurs de ce qui allait devenir la loi du 9 mars 1911 décidèrent de ne surtout pas mentionner l'Observatoire de Greenwich, mais uniquement l'Observatoire de Paris qui reculerait seulement son heure légale de 9 minutes et 21 secondes. C'était bien entendu très hypocrite ;) , mais cela a permis à la France de se rattacher enfin au Temps Universel sans craindre les foudres des sénateurs français !... :D :D :D

 

Voici le texte précis de cette loi du 9 mars 1911 tel qu'il a été publié dans l'Annuaire du Bureau des Longitudes pour 1912 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6539741c/f10.image.

 

annuaire1912franuoft_0006.jp2&scale=4.457429048414023&rotate=0

 

Pour te faire plaisir, Fred le Havrais, voici la numérisation par Gallica (le site Internet de la BNF - Bibliothèque Nationale de France) du journal "Le Figaro" n° 70 daté du samedi 11 mars 1911 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k289150t/f1.zoom.langFR. L'article de Gaston Calmette que tu indiques, intitulé "l'heure anglaise", figure en première page, en bas de la troisième colonne et en haut de la quatrième colonne.

 

Mais, pour beaucoup mieux comprendre comment s'est passé concrètement le changement de l'heure légale à Paris, il faut plutôt consulter le journal quotidien parisien "Le Matin" n° 9 874 daté du samedi 11 mars 1911 qui évoque les conséquences pratiques du raccordement de la France à "l'heure du méridien de Greenwich" dans un article intitulé "Dix minutes de plus ― La nouvelle heure" : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt...96.zoom.langFR.

 

Cet article du "Matin" est si intéressant que je vais recopier ici un passage pour les lecteurs de ce sujet :

 

« De part la loi, Paris et la France tout entière possèdent depuis hier soir, à minuit précis, une nouvelle heure...

 

La modification de l'heure légale française et son remplacement par l'heure du méridien de Greenwich, qui retarde de 9 minutes et 21 secondes sur le temps moyen de Paris, est passée pour ainsi dire inaperçue.

 

Il n'en eût pas été de même sous la Restauration.

 

Lorsqu'en effet, le préfet de la Seine, M. de Chabrol voulut, sous la seconde Restauration modifier l'heure de Paris et remplacer l'heure vraie par l'heure du temps moyen, qui n'en diffère que de quelques minutes, la crainte de mécontenter la population parisienne le fit longtemps hésiter.

 

M. de Chabrol croyait que le changement des heures de repos pouvait soulever des colères ouvrières et provoquer quelques émeutes. »

 

Je suis stupéfait que "Le Matin" du 11 mars 1911 ait pu imprimer cela. Ça prouvait que le journaliste, malheureusement anonyme :( , qui a rédigé cet article s'était renseigné auprès d'un astronome très compétent de l'Observatoire de Paris, qui lui-même connaissait très bien l'histoire de l'astronomie. ;) En effet, l'anecdote concernant Monsieur le Comte Gilbert-Gaspard CHABROL de VOLVIC (1773-1843), préfet de la Seine de 1812 à 1830, qui est à l'origine en 1816 de la décision de régler dorénavant les horloges de Paris sur le temps moyen (et non plus sur le temps solaire vrai) - c'est à dire corrigé de "l'équation de temps" - n'était connue que des lecteurs de "l'Astronomie Populaire" de François Arago. Voici la relation de cette anecdote dans le tome I, Livre VII, Chapitre XIV de "l'Astronomie Populaire" de François Arago, paru à titre posthume en 1854 (pages 296 et 297) :

 

« M. de Chabrol, préfet de la seine, avant d'introduire cette modification dans les horloges de la capitale, voulut pour sa garantie avoir un rapport du Bureau des Longitudes ; il craignait que ce changement n'amenât un mouvement insurrectionnel dans la population ouvrière ; que celle-ci ne refusât d'accepter un midi qui, par une contradiction dans les termes, ne correspondait pas au milieu du jour, un midi qui partagerait en deux portions inégales le temps compris entre le lever et le coucher du soleil. Ces sinistres appréhensions ne se réalisèrent point : le changement passa inaperçu. »

 

astronomiepopula01arag_0326.jp2&scale=5.310517529215359&rotate=0

 

astronomiepopula01arag_0327.jp2&scale=5.310517529215359&rotate=0

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

Posté

Merci Roger pour cette énigme auto-répondue... très instructive comme d'habitude !

Posté (modifié)

Bonjour à toutes :) et bonjour à tous :) ,

 

Voici une nouvelle énigme (exceptionnellement elle ne concerne que les webastrams âgés entre 7 et 77 ans ;) ) :

 

Un jeune reporter belge a pu aider son ami, le capitaine Archibald H., a localiser l'île mystérieuse où son ancêtre aurait réussi à enfouir un trésor (qui a permis à son descendant de devenir châtelain en Belgique).

 

Comment ce jeune reporter belge (toujours accompagné par son fidèle chien blanc M.) a-t-il procédé afin de réussir à trouver la position exacte de cette île mystérieuse qui ne se trouvait point à la latitude et surtout à la longitude indiquées sur les trois parchemins du vaisseau la L. ?

 

Roger le Cantalien. :rolleyes:

 

logo-Cantal-Shop-noir1.jpg

Modifié par roger15
Posté

Bonjour Roger :)

 

Étant fan des aventures de Tintin.... :p Il me semble qu'il a superposé les trois parchemins au dessus d'une lumière, ce qui à permis de lui donner l'emplacement du Trésor de la Licorne ;)

 

Voili voilou ^^

 

Sylvain le ch'ti observateur du ciel

Posté
Bonjour Roger :)

 

Étant fan des aventures de Tintin.... :p Il me semble qu'il a superposé les trois parchemins au dessus d'une lumière, ce qui à permis de lui donner l'emplacement du Trésor de la Licorne ;)

 

Voili voilou ^^

 

Sylvain le ch'ti observateur du ciel

Bonjour Sylvain, :)

 

Bienvenue sur le QAC. :be: :be: :be:

 

Certes, mais la superposition des trois parchemins au-dessus d'une lunmière n'a donné que des coordonnées géographiques ne permettant point de retrouver cette île mystérieuse... :( :( :(

 

Alors comment Tintin a-t-il fait pour réussir à trouver les bonnes coordonnées géographiques de cette île au trésor ? :?:

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