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Posté
Il y a 6 heures, roger15 a dit :

Bon dimanche à toutes   :)   et bon dimanche à tous   :)   ,

Aujourd'hui nous sommes le dimanche 1er décembre 2019 qui est le premier des quatre dimanches de l'Avent, la période des quatre dimanches avant le jour de Noël, le 25 décembre).

C'est une règle immuables depuis le sixième siècle de notre ère (plus précisément depuis le “le Concile de Mâcon en 581”).

Cette règle des quatre dimanches pour la période de “l'Avent” fut cependant ignorée une seule année en France où la période de “l'Avent” ne dura seulement que deux dimanches au lieu des quatre traditionnels.

Quelle fut la seule année en France où la période de “l'Avent” ne dura que deux dimanches au lieu des quatre traditionnels ?   :?:

Quelle fut la raison de cette singularité ?   :?:

Roger le Cantalien.   :rolleyes:


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Ce doit être en 1582, à cause de Henri III dont la pendule retardait un peu par rapport à celle de Grégoire XIII.

 

Note que la veillée de Noël dans le Nord Pas de Calais cette année a eu lieu le 14 décembre... la nuit fut longue avant que les enfants ne découvrent leurs jouets sous le sapin ! Ca pourrait faire l'objet d'une énigme dans l'énigme 😉

Posté
il y a 42 minutes, Fred_76 a dit :

 

Ce doit être en 1582, à cause de Henri III dont la pendule retardait un peu par rapport à celle de Grégoire XIII.

 

Note que la veillée de Noël dans le Nord Pas de Calais cette année a eu lieu le 14 décembre... la nuit fut longue avant que les enfants ne découvrent leurs jouets sous le sapin ! Ça pourrait faire l'objet d'une énigme dans l'énigme 😉


Bonsoir  :)  et toutes mes félicitations Mon Cher Frédéric le Dieppois,   :be:   :be:   :be:


Il s'agit effectivement de l'année 1582 où une ordonnance du roi de France Henri III du 3 novembre 1582 décida que le lendemain du lundi 9 décembre 1582 serait le mardi 20 décembre 1582. Donc en pratique cette ordonnance signifiait que le royaume de France se ralliait au calendrier grégorien et pour cela supprimait dix jours dans son calendrier.

Cette année-là l'Avent n'eut donc que deux dimanches au lieu des quatre habituels et Noël fut célébré dès le 15 décembre, selon le calendrier julien.

Pour plus de précisions : voir mon ancien article sur Webastro posté le mardi 2 octobre 2012 intitulé Bon anniversaire à notre calendrier [https://www.webastro.net/forums/topic/101701-bon-anniversaire-%C3%A0-notre-calendrier/]

La place est libre pour une nouvelle énigme.   :)

Roger le Cantalien.   :rolleyes:


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Posté (modifié)
Il y a 14 heures, Fred_76 a dit :

Merci @roger15 ! Mais tu n’as pas expliqué le cas du Nord-Pas de Calais 😉 

 

Bonjour Mon Cher Frédéric le Dieppois,   :)

Je suppose que ta remarque concernant les deux départements du Nord (59) et du Pas-de-Calais (62) vise le fait qu'ils faisaient partie (du moins partiellement) de la province germanique de la “Flandre hollandaise” (donc des actuels “Pays-Bas”) dans le cadre du “Saint Empire Romain Germanique” et que tout cela n'est devenu définitivement territoires français qu'avec
le traité d'Utrecht en 1743 (voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Flandre_fran%C3%A7aise).

Et à quelle date le calendrier grégorien est-il devenu le calendrier officiel de toute la Hollande, à la fois pour les catholiques et pour les protestants ? En bien,
seulement en 1700 pour les “Pays-Bas protestants (voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Passage_du_calendrier_julien_au_calendrier_gr%C3%A9gorien).

Voir pour l'évolution des limites du Saint Empire Romain Germanique entre 962 et 1806 : https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Empire_romain_germanique#/media/Fichier:HRR.gif

 

 

HRR.gif

 

 

Ai-je bien trouvé la solution Mon Cher Frédéric ?   :?:

Roger le Cantalien.   :rolleyes:

Modifié par roger15
Posté

D'après Jean Lefort, dans la Saga des calendriers, le Nord et le Pas-de-Calais faisaient partie de la région catholique des Pays-Bas espagnols (le sud étant catholique, le nord protestant) du Saint empire germanique. La gestion était indépendante. Le passage dans le calendrier grégorien a eu lieu le 14 décembre 1582. Le lendemain du 14 décembre a donc été le 25 décembre 1582, jour de Noël.

 

Autre bizarrerie du passage des calendriers, la Suède est passée progressivement du calendrier julien au calendrier grégorien. C'était entre les XVII et XVIIIe siècle. Au passage, ils ont eu droit à une chose que nulle autre nation utilisant l'un ou l'autre de ces deux calendriers n'a eu jusqu'à ce jour. Quel fût ce truc si unique ?

Posté (modifié)
il y a 48 minutes, Fred_76 a dit :

Autre bizarrerie du passage des calendriers, la Suède est passée progressivement du calendrier julien au calendrier grégorien. C'était entre les XVII et XVIIIe siècle. Au passage, ils ont eu droit à une chose que nulle autre nation utilisant l'un ou l'autre de ces deux calendriers n'a eu jusqu'à ce jour. Quel fût ce truc si unique ?


Salut Fred, le Dieppois,   :)

Ce “truc si unique” fut le fait qu'en Suède lors de l’année bissextile 1712, au lundi 29 février 1712 a succédé, non le mardi 1er mars 1712 comme dans tous les états utilisant alors le calendrier romain (julien ou grégorien), mais
très exceptionnellement le mardi 30 février 1712 !!!... Pourquoi ? Eh bien, voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/30_f%C3%A9vrier.

Roger le Cantalien.   :rolleyes:

Modifié par roger15
Posté

Yes !

 

Par contre la semaine des 4 jeudis, on la cherche toujours...

Posté (modifié)
Il y a 7 heures, roger15 a dit :

 

 

 

 

HRR.gif



Roger le Cantalien.   :rolleyes:

 

Intéressant cette carte, merci Roger :)

 

Hein l'Alsace zavez vu ;) ?

On a Charlemagne de commun avec les Français de l"'intérieur" comme on dit ici mais après nos chemins divergent sacrément en attendant Louis XIV (qui est venu en conquérant catholique raseur de villes protestantes rebelles)

 

D'ailleurs je regardais l'autre jour avec mon épouse un truc sur Henri IV, les guerres de religions etc hé bin mine de rien pour un Alsacien c'est comme si on lui parlait de l'histoire de l'Italie :be:

(Sauf que non évidemment car l'éducation nationale nous a, comme à tous les Français, appris nos ancêtres les Valois :))

En revanche on s'est bien rattrapés depuis, pour les guerres de 1870 et 1914 on était en plein dans le move ici ;)  

 

 

Modifié par yui
Posté (modifié)

Bonsoir à toutes   :)   et bonsoir à tous   :)   ,

Voici une nouvelle énigme qui évoque une bizarrerie du calendrier autrefois :


Il y a eu une période fort délicate en France et en Europe où la même date pouvait certaines années être indiquée avec deux millésimes différents. Pourquoi cette bizarrerie ?   :?:   Donnez un exemple d'une date avec deux millésimes différents.

Comme c'est une énigme assez difficile (sauf sans doute pour Frédéric le Dieppois   ;)   ), je vous donne un exemple : le jeudi 19 avril 1347 / 1348. A vous de trouver un autre exemple, en expliquant pourquoi cela ne se produisait pas obligatoirement chaque année, loin de là...

Roger le Cantalien.   :rolleyes:


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Modifié par roger15
rectification d'une erreur de frappe ; désolé...
Posté

Un premier indice : les années en question seuls certains jours du mois d'avril pouvaient avoir deux millésimes différents. Pourquoi ?   :?:

Posté


Un second indice : les années en question concernaient l'époque du calendrier julien, donc avant 1583.

Posté (modifié)


Un troisième indice : cela dépendait du style adopté par chaque province pour la numérotation du millésime des années.

Modifié par roger15
Posté

Un quatrième et dernier indice : cela dépendait du jour où chaque province décidait du jour précis où changeait le millésime de chaque année. Dans le style adopté par la majorité des provinces du royaume de France ce jour précis pouvait hélas varier sur trente-cinq dates !… :(   Pourquoi ?   :?:

Posté (modifié)

Bonjour Roger :) 

 

Il doit y avoir encore une histoire de Pâques sous-jacente... :rolleyes: 

 

Je cite Wiki :

 

 

Du temps des rois capétiens, l’année débute le jour de Pâques (style de Pâques). En conséquence, les années sont de longueur très variable.
Cet usage est quasi-général aux xiie et xiiie siècles et même jusqu’au xve dans certaines provinces. Les généalogistes des rois de France doivent donc jongler avec les dates en fonction des lieux pour raconter l’Histoire puisque le début de l’année varie selon les provinces : à Vienne, par exemple, c'est le 25 mars (style florentin ou style de l'Annonciation, d'où la tradition du poisson d'avril commémorant l'usage de s'échanger des cadeaux en début d'année de ce style)…

Finalement, l’édit de Roussillon de Charles IX harmonisa les pratiques.

 

 

Modifié par pat59
Posté (modifié)
Il y a 6 heures, pat59 a dit :

Bonjour Roger :) 

 

Il doit y avoir encore une histoire de Pâques sous-jacente... :rolleyes: 

 

Je cite Wiki :

 

 

Du temps des rois capétiens, l’année débute le jour de Pâques (style de Pâques). En conséquence, les années sont de longueur très variable.
Cet usage est quasi-général aux xiie et xiiie siècles et même jusqu’au xve dans certaines provinces. Les généalogistes des rois de France doivent donc jongler avec les dates en fonction des lieux pour raconter l’Histoire puisque le début de l’année varie selon les provinces : à Vienne, par exemple, c'est le 25 mars (style florentin ou style de l'Annonciation, d'où la tradition du poisson d'avril commémorant l'usage de s'échanger des cadeaux en début d'année de ce style)…

Finalement, l’édit de Roussillon de Charles IX harmonisa les pratiques.

 

 


Bonsoir  :)  et toutes mes félicitations Mon Cher Patrick, le Ch'timi d'Hazebrouck,   :be:   :be:   :be:

Cela concernait en effet, à l'époque du calendrier julien, la date du début de l'année selon les provinces françaises.

Certaines, minoritaires, faisaient débuter l'année
le 25 décembre (style de la nativité), d'autres le 1er janvier (style de la circoncision), d'autres le 1er mars (style vénitiend'autres encore le 25 mars (style florentin ou style de l'Annonciation). Enfin, la très grande majorité des provinces françaises faisaient débuter l'année à Pâques ; or la fête de Pâques peut être célébrée sur 35 dates, entre le 22 mars et le 25 avril !!!… :o   :o   :o   D'où l'obligation de devoir, certaines années, utiliser deux millésimes pour certains jours du mois d'avril d'une même année…
   :confused:

Cela ne pouvait concerner que les années consécutives où il y avait plus de 365 jours entre deux dates de Pâques. Ainsi l'année 1347 qui avait commencé le 1er avril (date de Pâques 1347) et qui ne s'était achevée qu'aux Pâques suivantes, le 20 avril 1348 (donc 385 jours plus tard !!!…). Il y avait donc eu, en cette année 1347 deux 1er avril, deux 2 avril, deux 3 avril, etc. ; et pour terminer deux 19 avril. A partir du 20 avril commença le décompte de l'année 1348.

Ce fut le roi de France Charles IX qui, le 9 août 1564, mit fin à cette curiosité très gênante pour les chronologistes de l'époque par l'édit de Roussillon (château situé dans le département de L'Isère) et fixa désormais la seule date officielle pour tout le royaume de France pour le changement de millésime au 1er janvier !... (voir :
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89dit_de_Roussillon).

Pourquoi l'ancien système ne concernait pas toutes les années ? Eh bien, parce qu'il n'arrivait que très irrégulièrement d'avoir deux années consécutives
où la fête de Pâques était célébrée un dimanche d'avril avec une date d'avril plus élevée la seconde année que la première.

Pourquoi cette réforme eut-elle lieu en France en
1564 (donc lorsque le calendrier julien était encore en fonction ; il le restera jusqu'en 1582) ? Eh bien, justement parce que cette année 1564 était concernée par la bizarrerie des dates d'avril avec deux millésimes (avec Pâques 1564 le dimanche 2 avril et l'année suivante avec Pâques le dimanche 22 avril 1565; donc 385 jours plus tard) ; la fois précédente eut lieu en 1548 (avec Pâques 1548 le dimanche 1er avril et l'année suivante avec Pâques le dimanche 21 avril 1549 ; donc encore 385 jours plus tard) ;  la fois précédente eut lieu en 1537 (avec Pâques 1537 le dimanche 1er avril et l'année suivante avec Pâques le dimanche 21 avril 1538; donc toujours 385 jours plus tard)…

Pour résoudre entièrement l'énigme actuelle, il fallait déjà retrouver les années consécutives où la fête de Pâques était célébrée un dimanche d'avril avec une date d'avril plus élevée la seconde année que la première. Pour cela, il suffisait de consulter l'Annuaire du bureau des Longitudes pour 1975 aux pages 407 à 431 où Jacques Lévy (1914-2004) astronome à l'Observatoire de Paris a rédigé un très intéressant article en annexe (pages A.1 à A.28) intitulé La date de Pâques ; voir : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96263155/f771.image.

Plus précisément
Jacques Lévy a indiqué aux pages A.12 et A.13 (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96263155/f782.image) les dates des dimanches de Pâques dans le calendrier julien entre 1600 et 2200 (donc pendant 600 ans) ; sachant que dans le calendrier julien les dates des dimanches de Pâques revenaient tous les 532 ans (dit “cycle pascal”) ce qui correspond à 28 cycles de 19 ans (“cycle de Méton” qui ramène les mêmes phases de la Lune à la même date au bout de 19 ans).

Il suffisait donc de trouver une année entre 1600 et 2200 où Pâques tombait en avril deux années consécutives avec pour la seconde année une date d'avril supérieure à la date de la première année et de soustraire 532 ans, ou 1 064 ans (deux cycles pascals), ou encore 1 596 ans (trois cycles pascals), pour trouver dans le passé une année avec un mois d'avril semblable avec deux millésimes.

Ainsi en
1917 dans le calendrier julien la fête de Pâques est tombée le dimanche 2 avril 1917 et en 1918 le dimanche 22 avril. Donc en 1917, si le calendrier julien avait toujours été en vigueur et si le style de Pâques avait lui aussi toujours été en vigueur, il y aurait eu du 3 au 21 avril dix-neuf jours avec deux millésimes différents ; à savoir 1917 / 1918.

Cherchons la même situation dans le passé : 1917-532 = 1385.

Vérification avec l'article intitulé
La date de Pâques sur l'excellent site PGJ Astronomie de Gilbert Javaux ( https://pgj.pagesperso-orange.fr/paques.htm ) : en 1385 la fête de Pâques est tombée le dimanche 2 avril 1385 et l'année suivante elle est tombée le dimanche 22 avril 1386.

L'on pourra voir ce qu'écrivait à ce sujet
François Arago (qui fut d'abord le directeur des observations à l'Observatoire de Paris de 1834 à 1843, puis ensuite directeur de l'Observatoire de Paris de 1843 jusqu'à sa mort en 1853) dans son Astronomie Populaire, Tome IV (1ère édition parue en 1857), Livre XXXIII le calendrier, Chapitre XXI Commencement de l'année, pages 691 à 693 : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6149063v/f697.image.texteImage.

La place est libre pour une nouvelle énigme.   :)

Roger le Cantalien.   :rolleyes:


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Modifié par roger15
Posté
il y a 26 minutes, Toutiet a dit :

Enigme (difficile) :

Quel rapport peut-il y avoir entre "Astronomie" et "Mouvement brownien"...?

Bonjour Toutiet :)

 

Le "Mouvement brownien" fait-il bien référence à ceci :) ?

brownie.jpg.11591b7938dccf028b2c045b2f2568e5.jpg

Posté

Une allusion à l'implication d'Einstein dans la détermination du nombre d'Avogadro ?

Posté

Le mouvement brownien serait la "petite soeur" en microscopie de la turbulence atmosphérique en astronomie.

Ceux qui font du microscope connaissent bien cela apparemment.

On l'appelle aussi mouvement de Wiener.

Posté

L'orientation du plan orbital des étoiles binaires qui est perturbée de façon aléatoire par la gravitation des étoiles environnantes, cette orientation suit une distribution brownienne :

 

https://en.wikipedia.org/wiki/Rotational_Brownian_motion_(astronomy)

 

--- mince GGITS a déjà suggéré cette réponse (valable mais la question étant vague, Toutiet attend une autre réponse) ----

 

Ca peut aussi être :

pour une personne âgée, le mouvement apparent d'une étoile observée à l'oculaire d'un Dobson qu'il tente désespéramment de stabiliser en tremblotant de tout son corps, sénilité oblige...

- le mouvement des planètes dans un système à plus de 3 corps (à longue échelle de temps)

- sinon, Chandrashekhar (p. 43 et 44) dit fort justement à propos du mouvement brownien que :image.png.3973f284054517cc2b16502a5e750ecb.png

avec image.png.46e2db22470a38824786bd0884b8567d.pngbien entendu, parce que dans le cas du mouvement brownien, on a image.png.a9405e41fed0598587b06804f589915b.png

Posté (modifié)
Il y a 6 heures, Toutiet a dit :

Pas du tout 😋

Ah c'est dommage ça collait bien avec l'explication de l'expansion de l'Univers et l'éloignement des galaxies entre elles :) 

(tu sais les pépites de chocolat dans un brownie qui cuit comme pour les dessins sur un ballon de baudruche :))

Modifié par yui
Posté (modifié)

Un rapport avec la matière noire ? 

Citation piquée sur le net : " le mouvement des amas de matière noire peut être modélisé d'une manière similaire au mouvement brownien de la poussière ou du pollen en suspension dans l'air".

Modifié par Great gig in the sky
Posté

Merci pour toutes ces réponses pertinentes auxquelles je ne pensais pas. Mais mon énigme concerne l'astronomie amateur... et plus spécialement sa "pratique"...

Posté

Bonsoir

 

S'agirait-il du "bruit" dans les détecteurs de lumière, c'est-à-dire des fluctuations aléatoires du nombre d'électrons détectés par un photorécepteur élémentaire ?

 

Cet effet est lié à "l'agitation thermique", qui entraine des fluctuations  de l'énergie des électrons autour d'une valeur moyenne…

 

Posté
Il y a 6 heures, Toutiet a dit :

Non, c'est froid 😋.

C'était un indice ?

 

Un lien avec la pratique de l'astronomie en hiver :) ?

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