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Objectif Venus


Céphée

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Bonjour!

 

Je me permets de vous faire paraître l'article scientifique du 8 juillet dernier sur radio-canada...

 

Je le trouve intéressant!! Sûrement etiez-vous au courant.... pas moi!!

 

Alors en partant le sujet, je pourrai lire vos impressions, infos et tout le reste car je vous trouve très interessant!! :be:

 

l'Agence spatiale européenne (ASE) s'intéresse maintenant à la deuxième planète de notre système solaire et voisine de la Terre, Vénus.

 

L'ASE en est aux derniers préparatifs en vue du lancement de la sonde jumelle de Mars Express, actuellement en orbite autour de la planète rouge.

 

Venus Express doit décoller en direction de Vénus le 26 octobre, à partir du pas de tir de Baïkonour.

 

L'agence n'a pris que 33 mois pour développer l'engin en s'appuyant sur la base de Mars Express. Il devra évoluer en orbite autour de Vénus, dans un environnement où le flux d'énergie solaire est quatre fois supérieur à celui de la planète rouge.

 

050708VenusExpress_n.jpg

 

Le voyage vers la planète doit durer cing mois et remplir une mission d'observation de deux à quatre ans autour de Vénus, en fonction de la durée de vie de ses panneaux solaires.

 

La sonde va permettre d'étudier l'atmosphère de la planète composée à 97 % de gaz carbonique. Elle observera aussi les tourbillons de nuages riches en acide sulfurique, qui enveloppent la planète dont les températures atteignent 480 degrés Celsius à la surface.

 

La sonde Venus Express sera un peu plus lourde que sa jumelle Mars Express (1240 kg contre 1223 kg) et bénéficiera d'une protection thermique spécifique.

 

http://sci.esa.int/science-e/www/area/index.cfm?fareaid=64

 

à +

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  • 2 mois plus tard...

VENUS EXPRESS est fin prête pour le convoyage au site de lancement, à Baïkonour.

 

La voici, panneaux solaires repliés, a attendre qu'on l'envoie sur son pas de tir :

 

06854A4_S.jpg

Cliquez pour agrandir

 

Cette mission permettra notemment d'explorer en détails l'atmosphère de Vénus, et surtout, ses interactions avec le sol de la planète. Elle permettra aussi d'élucider les cycles de matériaux tels que le dioxyde de carbone et l'acide sulfurique.

On pourra aussi soulever une partie du voile quant à la rotation relativement élevée de l'atmosphère de vénus par rapport à elle-même.

Enfin, parmi les objectifs, voir si il y a activité techtonique sur Vénus.

 

Plus d'infos sur les actualités de Vénus Express :

http://www.esa.int/SPECIALS/Venus_Express/SEMCMW7X9DE_0.html

 

Et plus d'infos sur Venus Express elle-même :

http://www.esa.int/SPECIALS/Venus_Express/SEML26808BE_0.html

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N'oublions pas non plus parmi les objectifs l'étude de l'interaction entre l'atmosphère et le vent solaire ainsi que des mesures de champ magnétique (force, direction).

 

L'article de Radio Canada parle de Mars Express. Mais certains instruments sont aussi dérivés de Rosetta. C'est le cas du magnétomètre par exemple.

 

Le lancement est prévu le 26 octobre à 4h43 TU, soit 6h43 dans nos contrées... Ca fait tôt, surtout quand on va en cours ou au travail après. :-/

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  • 4 semaines plus tard...
Invité Ortog

Je vais surement énerver avec ce post, mais ç'est un peu du réchauffé les sondes orbitales autours de Vénus.

 

Avec les progrès technologiques, les matèriaux composites aux résistances extraordinaires, les résines, les fibres et les céramiques, j'ai du mal à comprendre ce qui nous empéche d'y envoyer une sonde in-situ.

 

J'ai parfois l'impression que la peur de l'échec l'emporte sur l'intérêt scientifique.

 

Ortog

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Les progrès technologiques ne permettent quand même pas d'envoyer des robots sur vénus comme sur Mars... vu que les budgets sont des plus en plus serrés et que une sonde en orbite permet de faire de nombreuses découvertes pour (je pense) moins cher...

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Bonsoir,

 

En prenant beaucoup sur moi, je crois que je vais réussir à conserver mon calme… :p

 

Cela me permettra de dire que j’attends moi aussi avec une certaine impatience le moment ou une mission plus ambitieuse pourrait nous donner un nouveau grand sentiment d’aventure et de découverte.

Ce n’est pas, bien entendu, que nous n’ayons plus rien à apprendre d’une sonde orbitale autour de Vénus mais le voyage vers un nouveau monde ne trouve son accomplissement que dans l’exploration de sa surface. L’envisager par le biais de robots est tout ce que puissions souhaiter avant quelques siècles pour le moins, puisque les conditions régnant sur Vénus nous interdisent (sûrement définitivement) d’espérer nous y promener comme sur la Lune, Mars ou Mercure.

 

Mais une suite à Vénus Express n’est–elle pas déjà prévue par l’ESA ? :)

 

Imaginer que cela se réalise tel qu’imaginer ici, serait de nature à me satisfaire pour un temps, et peut-être même Ortog ?

 

http://www.futura-sciences.com/news-venus-...xpress_6656.php

 

Comme je le disais dans un autre topic, c'est le Pr Blamont qui serait Heureux !

 

Donc, en toute simplicité, Quetzalcoatl propose à l'Esa, une fois que Venus Entry Probe aura été réaliser et ainsi valider ces techniques, de reprendre pour une mission encore plus ambitieuse le concept d'un ballon dérivant en altitude et d'imaginer des instruments mobiles pouvant atteindre la surface et éventuellement regagner la nacelle en altitude. :s

C'est un peu de l'ordre du phantasme mais au sujet de Venus cela me parait de circonstance.

Comme le souligne Log', l'argent! toujours l'argent !!!

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A part Magellan, les sondes qui ont étudié Vénus n'étaient pas super performantes. Le retour des orbiteurs me semblent une étape importante avant d'envisager des missions plus ambitieuses. D'ailleurs on continue bien à envoyer des orbiteurs vers Mars ! Et puis, même avec le meilleur de la technologie, je ne pense pas qu'un atterrisseur tiendrait plus de quelques jours à la surface de Vénus, à cause des conditions terribles (sans parler de l'efficacité qu'auraient des panneaux solaires !).

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Invité Ortog
Message écrit par pioneer6014+26/10/2005 - 14:35-->
QUOTE(pioneer6014 @ 26/10/2005 - 14:35)D'ailleurs on continue bien à envoyer des orbiteurs vers Mars !

 

1°) Il y a pour mars un programme global cohérent, fait d'orbiter, de lander et de rover.

2°) Les orbiteurs sont aussi les meilleurs relais qui soient pour les sondes in-situ

 

Message écrit par pioneer6014@26/10/2005 - 14:35

Et puis, même avec le meilleur de la technologie, je ne pense pas qu'un atterrisseur tiendrait plus de quelques jours à la surface de Vénus, à cause des conditions terribles.

 

En envoyant rien, on ne fait progresser rien. Si l'on avait jamais envoyé des sondes sur mars, en attendant la technologie adequat, on attendrait encore.

Pour Vénus, c'est pareil. Et puis, même si ce n'est que quelques heures ou quelques jours, l'analyse du sol et pas mal d'autres premières mesures in-situ seraient surement utiles aux spécialistes de Vénus.

 

<!--QuoteBegin-pioneer6014@26/10/2005 - 14:35

(sans parler de l'efficacité qu'auraient des panneaux solaires !).

 

Y'en avait pas sur Viking 1 et 2. Les générateurs isotopiques existent encore :p

 

Vénus à une vraie atmosphère, les orbiteurs ne dévoilent rien des paysages Vénusien, il n'y a que sur les images radar quil y a des détails.

En attendant, on regardera les nuages :(

 

Ortog

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Bonjour à tous,

D'abord un lander ça a déjà été fait à plusieurs reprises par les soviétiques avec un intérêt limité car aucune sonde n'a survécu plus de 2 Heures.

On connait la T°, la pression, la nature chimique des roches (basaltes) en ces points précis.

Il est sûr qu'un rover fournirait des images peut être plus spectaculaires, mais en attendant qu'on en maitrise la technologie dans des conditions extrêmes (plus encore que la chaleur de 460 ° C, la pression de 90 bars au sol sur Venus est la même que sous 1000 m d'eau sur Terre), l'ESA a fait au mieux avec un budget limité en réutilisant les instruments de Mars Express et Rosetta...

 

Surtout il y a une cohérence dans la problématique de cette mission : étudier l'atmosphère de Vénus, ce qui, avec sa rotation rétrograde très lente, la caractérise dans le système solaire... et mieux comprendre pourquoi l'effet de serre s'y est emballé. C'est déjà passionnant à mon avis. L'exploration, ce n'est pas que de belles images. ;)

 

Des nouvelles de la pollution de Venus Express (le revêtement de l'étage Frégate est responsable).

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Je n'ai pas dit que j'étais contre les atterrisseurs Ortog ;)

Seulement, je crois que dans un premier temps c'est bien d'envoyer un orbiteur (ou plutôt deux, n'oublions pas la japonaise Planet C) car pour un coup limité on a des informations nombreuses et sur une longue période. Les atterrisseurs, OK, mais il faut que cela s'inscrive dans une vraie campagne d'exploration de la planète, or l'Esa n'a pas les moyens pour cela.

 

Pour moi, une véritable avancée serait un retour d'échantillons, car là on aurait quelque chose qu'aucun orbiteur ne pourra jamais nous donner.

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Pour moi, une véritable avancée serait un retour d'échantillons, car là on aurait quelque chose qu'aucun orbiteur ne pourra jamais nous donner.

 

Avec une gravité, et donc une vitesse de libération similaire à la Terre (sans parler des conditions atmosphériques), ce serait un véritable tour de force. ;)

 

Sachant que Vénus a été entièrement resurfacée il y a 300 à 800 millions d'années par des laves qu'on connait bien, l'enjeu en vaudrait-il la chandelle ?

On n'est pas dans le cas de Mars où l'on peut espérer trouver des traces d'altération par l'eau, voire par la vie...

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Ce serait effectivement un sacré défi technologique, mais il a déjà été envisagé (voir Ciel & Espace n°jenesaispluscombienmaisjevaischercher). Même si cela serait certainement moins intéressant qu'un échantillon martien, on aurait quand même des informations très précieuses sur la nature de la croûte et du manteau vénusien. En plus, ça permettrait de mieux comprendre comment refroidit la lave dans des conditions aussi extrêmes que l'atmosphère vénusienne. Mais priorité à Mars, je te l'accorde...

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Par contre si on avait accès à des roches suffisamment profondes (donc anciennes) on pourrait avoir des information précieuses sur l'existence ou pas d'un champ magnétique dans le passé (L'étude des roches volcaniques anciennes sur terre montre que, lorsqu'elles se sont refroidies, elles se sont cristallisées avec leurs minéraux orientés dans la direction du champ magnétique de l'époque), élément décisif pour comprendre l'évolution de Vénus...

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Petite précision : le phénomène dont tu parles ne concerne que certains minéraux, comme la magnétite (qui portent très bien son nom d'ailleurs !).

 

Qui dit qu'il n'y avait pas encore un champ magnétique il y a 300 Ma ? Rien que pour ça, des échantillons de surface seraient déjà très intéressants ;) ! Malheureusement l'absence de dorsale empêche d'avoir accès à des roches d'âges différents qui permettent sur Terre de connaître les inversions du champ magnétique.

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oui c'est étrange cette croûte unie, sans plaques mais sans doute très déformable... Concernant l'absence de champ magnétique, j'ai lu que c'était soit dû au fait que le noyau métallique de Venus serait solide (on n'en sait rien), soit à sa rotation trop lente pour induire un champ =>dans ce cas le problème revient à expliquer cette rotation atypique dans le système solaire.

Choc catastrophique avec une comète? Difficile à affirmer sans traces et il faudrait un corps énorme...

Effets de marée du soleil ?

Rien que pour ça, il faut y retourner faire des mesures du champ de gravité...

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Je suis bien d'accord, Vénus est une planète étrange ! Il reste tant de questions à son sujet, à propos de sa rotation, de son activité superficielle, de son champ magnétique, de son atmosphère, etc.

 

Pour la rotation, les forces de marée du Soleil peuvent à la rigueur expliquer sa lenteur mais pas son sens (rétrograde). Quant à la théorie de la collision, elle expliquerait les deux mais il aurait alors fallu un choc colossal avec un corps très gros (de la taille de la Lune, voire de Mars), ce qui est peu probable à cette distance du Soleil. En plus, Vénus posséderait sûrement un satellite si une telle collission avait eu lieu...

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salut à tous :be:

 

je reprend ce que notre cher ortog à dit c' est du déja vu :?:

 

mais parcontre c' est un endroit magnifique pour tester les intruments :?:

 

je serait bien curieux de savoir combien de temps un rover pourrait survivre dans un tel environnement :?:

 

sérieusement je crois que vénus et la lune sont des endroits idéals pour tester les nouveaux instrument :?:

 

vénus pour la chaleur et ses mystérieux vents :?:

 

la lune pour le froid et la poussière :?:

 

 

amicalement

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Les sondes Venera avaient une taille, une masse et certainement un prix et un "rendement" incompatible avec les politiques spatiales actuelles. Je ne pense pas que la technologie soit, seule, suffisante.

Mais j'espère me tromper....

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Un rover sur Vénus ça me paraît hautement improbable dans les années à venir, tout simplement parce que ce serait beaucoup trop cher pour les résultats qu'on pourrait obtenir. Sa durée de vie ne se compterait pas en mois comme Spirit et Opportunity, mais en heures. N'oublions pas qu'à la surface de Vénus, la température de fusion du plomb est dépassée ! Autrement dit, les roues de notre rover fonderaient très rapidement, rendant ce dernier immobile... et là il n'y a plus beaucoup d'intérêt à avoir un rover. Même avec le meilleur de la technologie d'aujourd'hui, je ne pense pas qu'un rover puisse être 'scientifiquement rentable'. Mais j'espère moi aussi me tromper !

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salut à tous :be:

 

pour rep à pioneer6014

 

je sais qu ' un rover ne tiendrait pas longtemp, mais c' est -là ou je veux en venir

 

si les scientifique pensent qu'il est impossible d' envoyer un rover sur vénus et s' ils gardent cette altitude de loser , bin jamais ça se produira, :?:

 

parcontre si ils en font un défi

 

un jour ou l' autre ils réussironts ;)

 

AMICALEMENT

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Par contre, un aérostat muni de caméras serait très intéressant... On sait que c'est possible. Les sondes VEGA en ont largué en 1985... Le coût par rapport aux résultats escomptés en vaut très largement la chandelle. Idem pour un aérostat sur Mars. Pour Mars, le CNES avait étudier un projet. La journée, le gaz qui le contient est chauffé par le soleil: l'aérostat monte. La nuit, le gaz se refroidit ce qui fait descendre l'aérostat. Avec une nacelle assez basse par rapport au ballon, on pourrait même y faire toucher le sol avec des instruments...

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Je ne pense pas que cela soit possible sur Vénus.

Car Vénus a une rotation tres lente 225 jours et même si Vénus avait une rotation plus rapide, on ne fait pas de différence entre le jour et la nuit car la température est constante et que l'atmosphere cache completement le soleil

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salut à tous :be:

 

c' est ça yantar, ton idée a du bon sens , nous savons que la chaleur est notre enemi sur vénus,

 

et c' est dans ce sens que les agences spatials devraient travailler, les sovietiques ont réussi et pourtant leur taux de réussite n' est pas reluisant,

 

il faut donc innové et amilioré les futurs missions qui feront face à des conditions extremes

 

 

 

amicalement

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Cher 'albert einstein', il ne s'agit pas d'avoir une attitude de loser ou de winner, il s'agit de faire du 'scientifiquement rentable' avec les budgets dont on dispose. Dépenser 90% du budget annuel d'une agence spatiale pour envoyer un rover qui tiendrait 10 heures sur Vénus, ça n'est pas réaliste ! Une sonde comme Venus Express, peu coûteuse et à la durée de vie très longue (au moins 500 jours terrestres en orbite autour de Vénus, sûrement beaucoup plus avec les prolongements de mission), ça rapporte énormément de connaissance sans sacrifier d'autres missions tout aussi intéressantes.

 

Amicalement

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Invité Ortog

Généralement, quand on envoie un lander, on l'envoie avec un orbiter, donc le prix du lancement n'est pas beaucoup plus prohibitif.

Les 500 jours de recherches auront bien lieu avec l'orbiter. Le Lander n'est qu'un plus, destiné dans un premier temps, à dévellopper les technologies pour le futur.

 

Si l'on prolonge la logique de Pioneer6014, alors la sonde Huygens, qui n'a pas tenu plus de 10 heures était inutile... Je pense qu'elle a permi d'en savoir plus sur Titan et de dévellopper la technologie pour amèliorer le rendement des futures missions. C'est cette même optique que je défends en parlant de lander sur Venus.

 

Ortog

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