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Hé, mais ça va bientôt commencer ! Merci Tatien pour l'info ! En plus je viens d'allumer la télé et effectivement, c'est déjà très intéressant (archéologie).

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Une question (pas pour contester' date=' mais pour bien comprendre) : le fait d'avoir un tout petit nombre de gênes en commun avec les hommes de Néandertal ne s'explique-t-il pas plutôt par le fait qu'on a un ancêtre commun ? (*)

[/quote']

 

Logiquement ce devrait être le résidu d'un croisement, sinon, à quelques exceptions près (ceux qui l'on perdu), la population mondiale devrait être porteuse de ces 2% puisque nous sommes issu d'une même souche.

  • 2 semaines plus tard...
  • 2 semaines plus tard...
  • 3 semaines plus tard...
  • 3 semaines plus tard...
Posté

Suite à une découverte récente: "du poisson au menu des homonidés"

 

Vers 2 millions d'années, l'histoire de l'homme connait une étape majeure : le cerveau des premiers membres du genre Homo, commence peu à peu à grossir, ce qui le conduira à presque tripler de volume par rapport aux australopithèques, leurs prédécesseurs dans l'évolution. De nombreux paléoanthropologues estiment que cela a été rendu possible par un changement de régime alimentaire : la consommation de viande, qui permettait de combler les besoins énergétiques accrus de ce gros cerveau. Mais en 1998, une équipe internationale avait proposé qu'une petite part de poissons et d'animaux aquatiques avait dû également être introduite. Ceux-ci contiennent en effet des acides gras nécessaires à la croissance du cerveau. Mais il n'y avait pas jusqu'ici de véritables preuves de leur consommation à des époques anciennes. La découverte d'un site de 1,95 millions d'années au nord du Kenya par une équipe internationale vient combler ce manque.

Plus de la moitié des tissus de notre cerveau est constitué de certains types de lipides que notre corps ne peut synthétiser. Nous devons les recevoir par notre alimentation, généralement sous forme de deux acides gras, les acides docosahexaénoique et arachidonique. Une carence dans ces acides lors de la croissance du foetus humain se traduit par d'importants retards cognitifs. Où les premiers Homo trouvaient-ils ces acides gras? Probablement en mangeant du poisson et d'autres animaux aquatiques, car ceux-ci en contiennent en quantité, et ils étaient disponibles en abondance dans les grands lacs d'Afrique de l'est, région où ont été trouvés les fossiles des premiers Homo.

Mais les sites qui donnent un aperçu de l'alimentation des hominidés de cette période sont extrêmement rares : huit seulement, répartis entre Éthiopie, Tanzanie et Kenya. Pour être sûr qu'il s'agit bien de restes de repas humains, les paléoanthropologues imposent des critères stricts : il faut retrouver à la fois des outils en pierre, et à proximité immédiate des os d'animaux portant des traces d'une intervention humaine.

Le site kenyan FwJj20, à l'est du lac Turkana, remplit ces critères. Les os y ont été retrouvés entassés. Cet amoncellement est vraisemblablement l'oeuvre des hominidés, car il n'y a quasiment pas de traces de dents de carnivores. Les ossements identifiables appartiennent surtout à des espèces d'antilopes et d'hippopotames. Mais il y a également des rhinocéros, des girafes, des porcs, un éléphant, des chevaux ainsi que, donc, les plus anciennes preuves de consommation d'animaux aquatiques : un crocodile, une tortue, un poisson-chat et au moins un poisson non identifié.

Découpe. Sur les 500 fragments d'os suffisamment préservés pour être étudiés, une trentaine portait des traces d'intervention humaine. Quelques traces de percussion montrent que les hominidés brisaient les os pour se nourrir de la moelle. Mais il s'agit pour l'essentiel de traces de découpe, souvent pour désarticuler des os du reste du squelette.

De telles traces sont aussi présentes sur les trois animaux aquatiques identifiés : les hominidés d'il y a 1,95 millions d'années consommaient donc parfois du poisson. « Les résultats sont solides, estime Sandrine Costamagno, du laboratoire TRACES du CNRS et de l'université Toulouse 2. Il reste à découvrir d'autres sites pour évaluer la part de ces ressources aquatiques dans leur alimentation. »

Nicolas Constans (23 juillet 2010)

Posté (modifié)

le cerveau des premiers membres du genre Homo, commence peu à peu à grossir, ce qui le conduira à presque tripler de volume par rapport aux australopithèques, leurs prédécesseurs dans l'évolution. De nombreux paléoanthropologues estiment que cela a été rendu possible par un changement de régime alimentaire

 

C'est assez mal exprimé, ça fait croire que manger de la viande fait enfler le cerveau, il n'en est évidemment absolument rien.

 

Le changement de volume du cerveau est la conséquence d'une ou plusieurs mutations, la station debout pourrait y avoir joué un rôle prépondérant.

 

Un gros cerveau demande effectivement plus d'énergie qu'un petit, mais cette histoire de viande, fort contestée au demeurant, est essentiellement une justification à notre mode de vie, une malhonnêteté intellectuelle à la limite.

 

Il est évident que nos ancêtres ont mangé ce qu'ils arrivaient à se procurer, cueillette, viande ou poisson selon la localisation et les saisons.

 

Mais il est une autre importante source de protéines qu'on oublie presque toujours de citer car on ne trouve pas de traces de leur consommation: les insectes.

Je suis certain que nos ancêtres les ont consommés sans modération, tout comme ça se fait encore dans bien des pays.

 

Un lien sur la consommation énergétique du cerveau:

 

http://www.sciencesetavenir.fr/actualite/fondamental/20090911.OBS0857/le-cerveau-optimise-sa-consommation-d-rsquo-energie.html

 

Plus de la moitié des tissus de notre cerveau est constitué de certains types de lipides que notre corps ne peut synthétiser. Nous devons les recevoir par notre alimentation, généralement sous forme de deux acides gras, les acides docosahexaénoique et arachidonique. Une carence dans ces acides lors de la croissance du foetus humain se traduit par d'importants retards cognitifs. Où les premiers Homo trouvaient-ils ces acides gras?

 

C'est encore orienté, ça donne à penser que point de salut sans viande ou sans poisson:

Dans l'organisme, l'acide arachidonique peut être synthétisé à partir de l'acide linoléique tandis que l'acide eicosapentaénoïque ainsi que l'acide docosahéxaénoïque peuvent être synthétisés à partir de l'acide linolénique. Les huiles végétales, comme l'huile de maïs, l'huile de coton et l'huile de soja, sont des sources d'acide linoléique et d'acide linolénique ; les huiles de poisson sont des sources d'acide eicosapentaénoïque et d'acide docosahéxaénoïque.

http://www.msd.medcost.fr/php/manuel_pays/01nuta14.php

 

Donc, prudence dans ce qui pourrait passer pour des affirmations.

Modifié par Snark
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Snark,

 

les scientifiques cherchaient des preuves de consommation de poissons, c'est ce que je signale avec ce texte de N. Constans; ils auront plus de mal à prouver qu'ils ont consommé des insectes. Tu as raison de dire qu'ils mangeaient ce qu'ils étaient capables d'obtenir et ta remarque sur la consommation de viande est juste.

Posté
Snark,

 

les scientifiques cherchaient des preuves de consommation de poissons, c'est ce que je signale avec ce texte de N. Constans; ils auront plus de mal à prouver qu'ils ont consommé des insectes. Tu as raison de dire qu'ils mangeaient ce qu'ils étaient capables d'obtenir et ta remarque sur la consommation de viande est juste.

 

Nous sommes entièrement d'accord, mais craignant les lectures en diagonale, j'ai préféré ajouter mes commentaires.

Posté (modifié)

Bonsoir,

 

 

Il semblerait que l'utilisation d'outils par Australopithécus Afarensis soit désormais avérée, faisant remonter ce fait, chez un hominidé, à un passé bien plus ancien de ce que l'on pensait jusqu'à présent.

 

De surcroît, cet usage serait attesté sur des ossements de gazelle et de bovidé, ce qui introduirait une sensible nouveauté dans l'alimentation présumée de ces êtres...

Snarky pourrait ne pas manquer de souligner que le régime des Austalopithèques était très majoritairement constitué de végétaux, mais bon, une petite bavette à l'échalote à l'occase, sur un strict plan gustatif... :be:

 

 

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/paleontologie/d/lucy-utilisait-peut-etre-des-outils_24752/

 

 

http://www.nature.com/news/2010/100811/full/news.2010.399.html

Modifié par quetzalcoatl
Posté

Snarky pourrait ne pas manquer de souligner que le régime des Austalopithèques était très majoritairement constitué de végétaux, mais bon, une petite bavette à l'échalote à l'occase, sur un strict plan gustatif... :be:

 

 

C'est tout à fait possible, ça se passerait probablement aussi chez les singes en cas de famine.

Posté (modifié)
C'est tout à fait possible, ça se passerait probablement aussi chez les singes en cas de famine.

 

 

Bonjour,

 

 

Cette observation est intéressante et peut en amener d'autres qui, j'espère, ne le seraient pas moins.

 

 

Les chimpanzés chassent effectivement de temps à autre pour se procurer de la viande. Mais cela se fait sans relation avec une quelconque pénurie de ressources alimentaires. ;)

Ils organisent de véritables battues et capturent de petites proies, rongeurs, antilopes et autres singes (on connaît même des cas de cannibalismes).

En règle général, l'individu qui tue le gibier en disposera et organisera le partage de la viande.

C'est souvent pour le mâle le moyen de s'assurer des alliances dans le groupe et plus encore d'obtenir les faveurs de femelles convoitées.

 

 

On sait que les chimpanzés savent aussi se confectionner des outils rudimentaires, parfaitement adaptés à certaines tâches. Brindilles effeuillées pour piller termitières et fourmilières, pierres servant « d'enclumes et de marteaux » pour briser les coques de noix, banches d'arbres utilisées comme armes lors de conflits. Tout cela sont des marques culturelles transmises dans la nature, qui connaissent des variations régionales, des spécificités et des innovations en fonctions de groupes isolés les uns des autres.

 

 

Pourtant, on n'a jusqu'alors jamais observé un chimpanzé se servir d'un caillou tranchant pour débiter une carcasse ou briser un os pour en recueillir la moelle. Une invention à venir, peut-être ?

 

 

Enfin je ne saurais terminer cette parenthèse sans rappeler que ces anthropoïdes ne sont pas nos ancêtres mais, plutôt des cousins éloignés, avec qui nous partageons un ancêtre commun qui n'est pas Australopithécus Afarensis. :)

Modifié par quetzalcoatl
Posté

C'est souvent pour le mâle le moyen de s'assurer des alliances dans le groupe et plus encore d'obtenir les faveurs de femelles convoitées.

 

 

Je commence à comprendre pourquoi toutes le femmes du quartier sont amoureuses du boucher. :p

Posté

Merci snark pour les indispensables précisions, toujours joliment exposées d'ailleurs!

 

Si on suit cette logique, les enfants issus de parents vegans (ou végétariens) devraient avoir des problèmes de développement, ce qui n'est pas le cas dans mon entourage.

Posté

D'un autre côté, on dit que le cannibalisme permet une croissance plus prompte des jeunes, parce que l'organisme absorbant directement les protéines de son espèce, est alimenté d'office dans sa propre substance, sans avoir à la transformer.

D'une certaine façon, c'est l'alimentation des vaches avec de la farine de viande de vache (que le procédé recycle les germes de maladie de l'espèce est une autre histoire).

Morale ou cynisme, qu'est-ce qui est le plus vrai en science ?

Posté
D'un autre côté, on dit que le cannibalisme permet une croissance plus prompte des jeunes, parce que l'organisme absorbant directement les protéines de son espèce, est alimenté d'office dans sa propre substance, sans avoir à la transformer.

 

Je ne pense pas, car en mangeant notre prochain nous serions bien loin de tout assimiler, comme pour tout ce que nous mangeons d'ailleurs,

On ne trouve pas plus dans l'homme que dans les autres mammifères, surtout si ce sont des omnivores, seules les proportions changent.

 

Il existe un animal (ver ou un truc du genre, je ne me souviens plus) qui assimile la totalité de sa proie sans rien rejeter, à tel point qu'il a un système digestif sans évacuation, tout est consommé jusqu'à la dernière parcelle.

 

Dans un sens c'est le système digestif parfait, mais il n'est adapté qu'à une seule proie, et si elle disparaît....:confused:

Posté
...Il existe un animal (ver ou un truc du genre, je ne me souviens plus) qui assimile la totalité de sa proie sans rien rejeter, à tel point qu'il a un système digestif sans évacuation, tout est consommé jusqu'à la dernière parcelle....

 

Oui oui !

C'est le crocolion. C'est très très méchant : d'un côté il y a une tête de crocodile et de l'autre côté une tête de lion. Ca bouffe tout dans la savane et tout dans l'eau. On ne peut aller nulle part. Il ne peut pas faire caca et c'est pour ça qu'il est si méchant.

:jesors:

A dans 3 semaines

YAC5

  • 2 mois plus tard...
Posté

Un fossile découvert en Chine du sud, datant d'environ 100.000 ans, serait celui d'un homo sapiens métissé avec une (ou plusieurs) espèce(s) ou sous-espèce(s) plus ancienne(s) :

 

http://www.bbc.co.uk/news/science-environment-11618814

 

(désolé, c'est en anglais)

 

Si c'est vrai, cela voudrait dire :

 

1) qu'homo sapiens est passé en Asie plus tôt qu'on ne le pensait,

 

2) qu'il s'y est mélangé avec des néandertaliens (ou équivalents aux néandertaliens).

 

En tout cas, c'est cohérent avec les analyses d'ADN publiées par Svante Paabo&al. il y a quelques mois.

Posté

Ah je n'avais pas du tout entendu parlé de ca honnetement, je suis subjugué d'apprendre l'existence de cet homme " Homo Floresiensis ". C'est un bon pas en avant pour la paléonthologie !! Ca fait plaisir :be:

Comme quoi, on en apprend des choses !

Posté
... qu'il s'y est mélangé avec des néandertaliens (ou équivalents aux néandertaliens).

 

"Je pars à la chasse..." qu'il disait à sa compagne. :p

  • 2 semaines plus tard...
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Bonjour,

 

Pour ceux d'entre vous qui ont accès à la chaine ARTE, aujourd'hui à partir de 14 H 45, rediffusion de deux documentaires,

 

"Aux origines de l'humanite".



 

Premier volet : Emergence et la diversification du genre Australopithécus.

Deuxième volet : Apparition et dispertion géographique du genre Homo.

 

J'ai pu les voir hier soir et j'y ai appris un certain nombre de choses interressantes, notamment dans la deuxième partie.

Posté

l'émission d'hier soir portait en gros sur:

- Selam (la bipédie en rapport avec la survie en dépensant moins d'énergie)

- le garçon de Turkana qui aurait 8 ans (croissance non terminée) mesure 1m60; un chimpanzé sur le point de penser et de parler?

La perte de nos poils remonterait à 3 millions d'années par la technique de l'horloge moléculaire. Le corps glabre est adapté (transpiration) à la stratégie de chasse (la course-poursuite) consistant à faire courir l'animal jusqu'à ce qu'il s'épuise.

- l'homme de Florès, un des premier à avoir quitté l'Afrique.

- la mandibule Madcini découverte en Géorgie (Caucase) plus primitif que "le garçon du Turkana.

 

Voilà j'ai essayé d'être bref.

Posté
l'émission d'hier soir portait en gros sur:

- Selam (la bipédie en rapport avec la survie en dépensant moins d'énergie)

- le garçon de Turkana qui aurait 8 ans (croissance non terminée) mesure 1m60; un chimpanzé sur le point de penser et de parler?

La perte de nos poils remonterait à 3 millions d'années par la technique de l'horloge moléculaire. Le corps glabre est adapté (transpiration) à la stratégie de chasse (la course-poursuite) consistant à faire courir l'animal jusqu'à ce qu'il s'épuise.

- l'homme de Florès, un des premier à avoir quitté l'Afrique.

- la mandibule Madcini découverte en Géorgie (Caucase) plus primitif que "le garçon du Turkana.

 

Voilà j'ai essayé d'être bref.

 

Bon résumé, mais Dmanisi, pas Madcini :

 

http://en.wikipedia.org/wiki/Homo_georgicus

Invité Ortog
Posté
Bonjour,

 

Pour ceux d'entre vous qui ont accès à la chaine ARTE, aujourd'hui à partir de 14 H 45, rediffusion de deux documentaires,

 

"Aux origines de l'humanite".

 

 

Premier volet : Emergence et la diversification du genre Australopithécus.

Deuxième volet : Apparition et dispertion géographique du genre Homo.

 

J'ai pu les voir hier soir et j'y ai appris un certain nombre de choses interressantes, notamment dans la deuxième partie.

 

J'ai regardé... Très intéressant.

Il y a une troisième partie la semaine prochaine.

 

Ce qui m'a le plus interpellé, c'est l'idée que peut-être, Erectus ait connu le feu (comment aurait-il échappé la nuit aux prédateurs sans cela...) et que l'atre est le meilleur endroit pour apprendre à vivre en société...

J'avais jamais pensé à cette approche, mais l'idée me séduit assez.

 

Ortog

Posté
l'émission d'hier soir portait en gros sur:

- Selam (la bipédie en rapport avec la survie en dépensant moins d'énergie)

- le garçon de Turkana qui aurait 8 ans (croissance non terminée) mesure 1m60; un chimpanzé sur le point de penser et de parler?

La perte de nos poils remonterait à 3 millions d'années par la technique de l'horloge moléculaire. Le corps glabre est adapté (transpiration) à la stratégie de chasse (la course-poursuite) consistant à faire courir l'animal jusqu'à ce qu'il s'épuise.

- l'homme de Florès, un des premier à avoir quitté l'Afrique.

 

Bonsoir,



 

Très louable soucis de préciser mon bien trop vague descriptif du contenu des ces émissions. Mea culpa.

 

 

Mais hormis la correction apportée par Dogson, j'ajouterai que Selam n'a absolument rien à voir avec les chimpanzés qui, par ailleurs, pensent relativement bien.

Il y a aussi le fait que l'Homme de Florès ne serait que le lointain descendant d'un Homo erectus qui lui, effectivement, aurait quitté le berceau africain plus précocement qu'on avait pu l'imaginer jusqu 'à présent.

Posté
J'ai regardé... Très intéressant.

Il y a une troisième partie la semaine prochaine.

 

Ortog

 

Content que cela t'ait plu.

 

On peut signaler aussi que ce troisième opus sera suivi d'un autre documentaire :

"Lascaux, le ciel des premiers hommes."

 

Traitant du regard que portaient nos ancêtres sur le ciel, il y a fort à parier que cela pourrait aussi passionner ecliptic et Tatien...

Posté

Dodgson,

erreur bien rectifiée, où avais-je la tête?

 

quetzacoalt,

l'homme de Florès (Hobbit) présente un crâne à peine plus petit que celui de Lucy. La présence d'outils en pierre n'implique pas la nécessité d'avoir un gros cerveau de plus il n'y a pas de trâce de maladie. Voilà ce que j'ai retenu sur lui.

Une espèce qui est différente de nous?

Les plus anciens ne sont pas forcement nos ancêtres!?

 

Pour sûr que cela m'intéresse la 3ème partie et le regard porté par les les hommes préhistoriques sur le ciel; je vais noter ces rendez-vous. Merci à tous.

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