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Infrarouges et gravitation


Hessi Hëmoen

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Vous me donnerez votre avis sur cette réflexion très récente que je suis libre de dévoiler, cela me permet aussi de vous prouver mes bonnes intentions, constructives en dépit des premières apparences. Le sujet se trouve en sciences pour continuer à un niveau plus discret, sur une dualité infrarouges / gravité qui devrait intéresser principalement les connaisseurs, bien que le fond des choses soit très simple.

 

En premier, le référentiel du géoïde continental est établi en fonction des zones de températures, avec des zones chaudes du manteau supposées moins denses, et des zones froides plus denses. Au dessus des régions maritimes la déformation virtuelle est attribuée aux régions de convection plus ou moins proches de la surface. En clair les mesures de gravités correspondent à l’énergie des infrarouges. Les anomalies « virtuelles » sont le fait d’une modulation du signal par l’intensité plus ou moins élevée des infrarouges.

 

En second, les champs de «gravité» spatiaux sont en réalité les masses de gaz chauds en extension, du fait de l’énergie infrarouge. Dans le document suivant ce phénomène est apparent, pas beaucoup plus que la dérive des continents, mais je suis sûr que vous trouverez des exemples plus nets (le sujet principal du lien est une nouvelle théorie que je ne commenterais pas, le plus intéressant est la figure B en fin de document).

http://lapth.in2p3.fr/~taillet/dossier_matiere_noire/matiere_noire4_mond.php

 

Si l’on dresse une ligne verticale séparant les deux tâches sombres (nappes de gaz chauds), les contours de l’anomalie gravitationnelle s’expansent symétriquement à cette ligne centrale, de par et d’autre de ces points chauds, et en proportion de leur étendue respective.

Le décalage horizontal entre les nappes chaudes et les deux anomalies reste encore à éclaircir. Avec un système en dilatation ce n’est pas tellement étonnant.

Les déformations des parcours lumineux sont en réalité sous l’influence des flux de chaleur invisibles émanés par les nappes de gaz. Les anomalies de « matière noire » et d’ « énergie sombre » proviennent donc du rôle sous-estimé des infrarouges.

 

Les infrarouges représentent la force positive et expansive qui manque aux théories actuelles.

Je pense que cet avis ne déplairait pas à Mr de Broglie puisque sur la fin de sa carrière il émettait l’hypothèse d’une « thermodynamique cachée » dans la matière.

 

Au-delà de vos réactions, c’est l’occasion de résoudre d’autres problèmes d’anomalies gravitationnelles, en croix par exemple, il doit exister une explication plus logique que la présence d’une galaxie invisible.

 

PS : une présentation sérieuse est de circonstance mais tous les styles de commentaires sont bienvenus, autant prendre les choses avec humour.

Posté
Les anomalies de « matière noire » et d’ « énergie sombre » proviennent donc du rôle sous-estimé des infrarouges.

 

Les infrarouges représentent la force positive et expansive qui manque aux théories actuelles.

Je pense que cet avis ne déplairait pas à Mr de Broglie puisque sur la fin de sa carrière il émettait l’hypothèse d’une « thermodynamique cachée » dans la matière.

 

Bonjour,

 

A propos d'infra-rouges, je crois que tu vas en générer pas mal avec ce nouveau post.

 

Désolé mais les théories actuelles sont développées par des cadors dont le niveau t'échappe un peu.

Voir en gros dans l'espace la même chose qu'un effet mirage pour expliquer l'influence de la gravitation me paraît un peu faux.

 

La thermodynamique est un peu plus vaste que tu ne le supposes.

C'est une des pierres angulaires de l'étude des particules.

 

Tu devrais peut être postuler pour un post au LHC, ton aide leur sera certainement utile pour corriger leurs nombreuses erreurs.

 

En premier, le référentiel du géoïde continental est établi en fonction des zones de températures, avec des zones chaudes du manteau supposées moins denses, et des zones froides plus denses. Au dessus des régions maritimes la déformation virtuelle est attribuée aux régions de convection plus ou moins proches de la surface. En clair les mesures de gravités correspondent à l’énergie des infrarouges. Les anomalies « virtuelles » sont le fait d’une modulation du signal par l’intensité plus ou moins élevée des infrarouges.

 

Ca me parait plus que faux.

Ca reviendrait à dire qu'une montgolfière s'envole parce qu'elle modifie la gravité :D

 

http://lapth.in2p3.fr/~taillet/dossier_matiere_noire/matiere_noire4_mond.php

Fais gaffe, Gottlib n'est pas libre de droits.

newton_gotlib_mod.jpg

Tu ne peux pas librement te servir de son oeuvre pour tes illustrations.

 

Bon ciel

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