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Universus

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salut à tous :be:

 

il y a quelque chose de bizarre en MQ qui me tracassent (le constat de la non-localité) :?:

 

Le constat de la non-localité a été mis en relief par 2 types d'expériences. :?:

 

1/ EXPÉRIENCE DE YOUNG: Cette expérience consiste à projeter une particule (par exemple un électron) contre une paroi percé de deux trous. :?:

 

Dans cette expérience tout se passe comme si la particule passait simultanément par 2 trous (qui peuvent être très éloignés l'un de l'autre). :?:

 

Comment? :question:

 

Un seul électron par les 2 trous au même temps? Non, Mais!! C'est comme si vous pouviez passer en même temps par 2 portes. :?:

 

Ou encore comme si vous pouviez faire Paris-Marseille simultanément par 2 chemins différents. :question:

 

D'autres expériences montrent les résultats similaires. Roger Penrose [1989] écrit à ce sujet: "On ne peut pas éviter la conclusion que, dans un certain sens, la particule se déplace sur les 2 trajectoires simultanément.". Incroyable, mais vrai! ;)

 

2/ EXPÉRIENCE de EINSTEIN-PODOLSKY-ROSEN: Dans cette expérience une particule se désintègre pour donner naissance à une paire de particules qui s'éloignent l'une de l'autre dans les directions opposées. :?:

 

Dans cette expérience tout se passe comme si la première particule savait à tout moment ce que fait la seconde, même si une très grande distance sépare les deux particules. Une sorte de télépathie transmise à la vitesse supra lumineuse. :?:

 

Comment? :question:

 

! Pas possible! :question: Et pourtant! :question:

 

Cette expérience a été modifiée, améliorée et répétée maintes fois. ;)

 

Le problème de la non-localité réside donc dans 2 constatations ;)

 

A/ Tout se passe comme si une particule pouvait passer au même temps par 2 trajectoires très éloignée dans l'espace. :question:

 

B/ Tout se passe comme s'il existait un lien "télépathique" entre 2 particules placées loin l'une de l'autre. :question:

 

 

amicalement

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(texte cité)

Si la vitesse est constante' date=' donc la durée aussi:

[i']D = d/v[/i]

D = E<span style="font-size:8pt;line-height:100%]t[/color]/E

 

Pour des vitesses constantes et nulles (a^=):

v = d/D

v = dE/E<span style="font-size:8pt;line-height:100%]t[/color]

v/10^3 = 1/E<span style="font-size:8pt;line-height:100%]t[/color]

 

Voilà deux formules que j'ai postulées il y a quelques mois de cela, en août. Extrêmement simples comme équations, je les ai regarder de plus près...

 

Prenons l'équation de la vitesse v= d.P/E , où v est la vitesse constante d'un corps, d la distance que parcourt ce corps, E le nombre de transferts d'énergie temporelle en temps de Planck (et, espérance qu'un jour, cela pourra être remplacé par la quantité d'énergie transférée, car pour l'instant, ces formules sont plus déterministes qu'elles ne devraient l'être dans un cadre quantique) et P une constante désignant le nombre de fois que la valeur du temps de Planck "entre" dans une seconde, soit approximativement 1,854943424e43 Tp.

 

Le problème avec l'équation si dessus se distincte par une expérimentation très simple: le cas d'un corps référentiel inertiel, soit immobile ( 0 m/s ). Par isolation, on arrive à E = d.P/v . Alors, disons que sur une distance de 100 km, soit 100 000 m, E=100000m.(1.854943424e43 Tp)/(0 m/s) -> E= x/0 (ok, cette opération semble impossible, mais si on extrapole, cela donne:) -> E= ∞ Tp. Étant donné que la durée Δt = E/P , Δt = ∞/P = ∞ s...

 

Donc, un corps inertiel immobile reçoit une infinité d'énergie lors de son parcourt de 100 000 m et c'est logique jusque là. Maintenant, puisque la célérité est la vitesse maximale de 299 792 458 m/s, qu'on attribut parfois maladroitement à la vitesse de la lumière, la célérité, notée c, ne devrait pas être affectée par le temps pour un référentiel extérieur. Alors:

 

Δt = E/P = 0/P = 0 s

 

Pour un référentiel extérieur, la lumière ne parcourt pas 100 000m en 0 s. Tout comme la vitesse de la lumière, selon la durée de parcourt, n'est pas infinie...

 

Vous voyez alors que, selon ces équations, 0 et ∞ deviennent des variables et tous les résultats de ces équations se font sur une échelle où la célérité est une vitesse infinie. Il faudrait transférer les résultats sur un échelle où ∞ = 299 792 458 m/s . Difficile...

 

J'ai complètement reformuler les équations. E n'est plus le nombre de transfert total d'énergie temporelle sur une distance d, mais bien le nombre de transfert sur un corps selon le référentiel inertiel que nous sommes habituellement en une seconde. Alors, la valeur maximale de E équivaut P. J'ajoute aussi une autre constante: la célérité. À présent, les équations de vitesse et de durée en cadre relativiste restreint deviennent:

 

v = c √(1-[E²/P²])

 

Δt = d/v = d/(c √(1-[E²/P²]))

 

Formules assez similaires aux transformations de Lorentz en relativité restreinte. De plus, on se rend compte que le nombre de transferts E, même s'il vaut 1e43 Tp , donne une vitesse très très près de la célérité! Cela signifie qu'il faut des vitesses effroyablement rapides pour avoir des dilatations du temps le moindrement considérables...

 

Alors, ces équations sont des formules déterministes qui pourraient être utilisées pour l'étude des mouvements des corps d'échelle macroscopique :) .

 

Amicalement

 

Universus

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C'est que tu n'as pas lu les 10 pages précédentes :) . C'est pas pour rien que lorsque j'ai entendu parlé de la gravitation quantique à boucles, je suis tombé "amoureux" de la théorie :p . Le lien avec la MQ se fait dans les autres pages.

 

Les formules sont là pour décrire les notions de vitesse et de durée le plus indépendamment possible de l'espace, d'une horloge et d'entre elles (d=v.Δt par exemple, où v et Δt dépendent beaucoup l'une de l'autre).

 

Bonne nuit

 

Universus

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En fait, la formule de la vitesse est une simple isolation d'un formule plus basale: E = P√(1- v²/c²)

 

On retrouve le facteur de de Lorentz, où E = P/γ . On se rend bien vite compte que cela revient à la dilatation temporelle : t' = t√(1- v²/c²) . Alors, on pourrais se demander à quoi sert cette équation. En fait, ce n'est pas vraiment la formule de la dilatation du temps, mais un approfondissement de la chose. On ne parle pas en secondes, mais en Temps de Planck (Tp). De plus, P vaut toujours une seconde contrairement à t et E ≠ t' .

 

Amicalement

 

Universus

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salut à tous :lol:

 

belle formule universus bien élaboré , la voiçi la manière la plus simple de calculer la masse de planck ;)

 

 

J.s), la vitesse c de la lumière (299 792 458 m/s) et la constante G de Newton de la gravitation (6.673x10-11 m3/kg/s2), il est possible de construire une quantité ayant les dimensions d'une masse, et qu'on appelle la masse de Planck:

 

MPlanck = [hc/G]1/2 = 2.18x10-8 kg = 1.22x1019 GeV/c2

 

C'est à peu près la masse d'un acarien. On peut de la même manière définir une longueur de Planck LPlanck = [hG /c3]1/2 = 1.61x10-35 m et un temps de Planck tPlanck = [hG/c5]1/2 = 5.39x10-44 s.

 

Quelle sens donner à ces quantités :question: ?

 

L'attraction gravitationnelle entre deux électrons est 2.4x10-43 fois plus faible que leur répulsion électrostatique.

Si les électrons avaient la masse de Planck, leur attraction gravitationnelle serait 137 fois supérieure à leur répulsion électrostatique (137 est juste l'inverse de la "constante de structure fine" qui mesure l'intensité de l'interaction électromagnétique).

 

On peut donc voir dans l'échelle de Planck le point où les interactions gravitationnelles se rapprochent (et peut-être s'unissent) aux autres interactions.

 

et en conclusion;

 

-On peut s'en rendre compte si l'on se souvient qu'une échelle de longueur apparaît naturellement en relativité générale, le rayon de Schwarzschild RS=GM/c2 d'un objet de masse M, échelle où les effets gravitationnels relativistes sont dominants.

 

Une échelle de longueur apparaît d'autre part en mécanique quantique, la longueur d'onde de Compton LC=h/Mc d'un objet de masse M, longueur où les effets quantiques sont dominants.

 

Un objet pour lequel le rayon de Schwarzschild égale la longueur d'onde de Compton a une masse égale à la masse de Planck (et ces deux longueurs sont alors égales à la longueur de Planck).

 

-la notion de masse de Planck n'a ce sens que si la constante G n'est pas renormalisée, si l'espace-temps n'a que 4 dimensions, et si la gravitation est bien telle que définie par la relativité générale (pas de termes en R2 dans le lagrangien, de supersymétries, etc.). ;)

 

 

amicalement

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Merci beaucoup pour le texte albert einstein ;) .

 

Avec les nouvelles équations, il devient facile de mesurer dans un contexte de relativité restreinte la dilatation du temps. (ce qui n'est pas très étonnant, car il s'agit d'une "réinterprétation" de la formule déjà présente en RR... mais cela reste tout de même important)

 

En 1905, on a définitivement dit que t' = t.√(1-v²/c²) . Le Ev (que je traite ici comme E simplement, mais qui est relatif à la vitesse v) est primordial dans mon idée pour trouver la valeur de t' . Puisque le quotient de E/P = √(1-v²/c²) , on voit que t' = E.t/P !! Cette formule, à première vue simplifier, mais qui, employant tout de même d'énormes nombres (mais qui revient à un calcul tout de même plus simple), est très importante dans le cadre de ma pensée :) .

 

t' = E.t/P

 

Amicalement

 

Universus

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salut à tous :lol:

 

 

Quelques années plus tard Minkowski présentera ce même invariant sous la célèbre forme différentielle :

 

c ² dt² - dx² - dy²- dz² = c² ds²

 

Le paramètre s est le " temps propre " , lequel étant un paramètre physique donné par les horloges de bord du véhicule étudié, doit évidemment avoir la même valeur dans tous les référentiels.

 

Il faut comprendre que le second temps, t', apparaissant dans la transformation de Lorentz a le même caractère physique que le premier, à cause de l'inexistence de l'éther et du temps absolu, et à cause de la parfaite symétrie de la transformation.

 

Poincaré avait déjà donné un sens physique à ce temps t' en synchronisant les horloges avec des signaux lumineux, grâce à l'invariance de la vitesse de la lumière .

 

Il est essentiel de noter que la transformation de Lorentz est une conséquence directe du principe de relativité et n'exige pas l'invariance de la vitesse de la lumière.

 

amicalement

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c ² dt² - dx² - dy²- dz² = c² ds²

 

Je t'avoue que je n'ai jamais bien compris cette équation :?: Tu veux dire qu t'=s ?

 

Il est essentiel de noter que la transformation de Lorentz est une conséquence directe du principe de relativité et n'exige pas l'invariance de la vitesse de la lumière.

 

Tu veux dire que c peut ne pas être constant? Ou que seulement la lumière ne peut l'être?

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salut à tous :be:

 

 

V- La transformation de Lorentz :

 

pour l' étudier plus en détail;

 

Ainsi, pour Lorentz,

 

-il est inutile de supposer l'existence d'un référentiel absolu et fixe qui servirait de base pour repérer tous les mouvements (ce que Newton appelait « le centre hypothétique ») mais il faut plutôt adapter le référentiel en fonction du problème à traiter.

 

-Les mesures de durées et de distance dépendent directement de celui-ci. Les changements de repères, tant qu'ils restent en mouvement rectiligne uniforme, pourront se faire « aisément » et les formules de Lorentz-Fitzgerald serviront alors pour les changements de coordonnées.

-

Ces transformations permettent en fait de relier les distances et les temps mesurés par un observateur à celles mesurées par un autre observateur en mouvement par rapport au premier.

 

Ainsi, considérons un train passant à la vitesse v devant un observateur à un instant t=0. Soit K le repère par rapport à l'observateur et K' celui par rapport à un voyageur assis.

 

A l'instant t=0, nous avons donc, t=t' et x=x'. D'après la physique « Galiléenne », le train se déplaçant dans le sens des x positifs, on aurait : x=x'+v.t

Or, les choses ne sont pas si simples, et les formules exactes de transformations de Lorentz-Fitzgerald » sont :

x=(x'+v.t').y

t=(t'+v.x' /c²).y

où y est l'inverse de la racine carrée de (1-v²/c²)

 

De ces formules, on obtient celle de composition des vitesses. En effet, les vitesses ne s'additionnent pas simplement comme on le croyait dans la physique « Galiléenne » .

 

Ainsi, la vitesse V par rapport au sol d'un voyageur marchant à 5km/h dans un train se déplaçant à 100km/h n'est pas de 105km/h mais doit répondre à une formule un peu plus compliquée : V=(v+w)/(1+v*w/c²) avec v : vitesse du voyageur, w : vitesse du train et c : vitesse de la lumière.

 

Pour des vitesses faibles comme celle d'un train ou d'une personne, la différence est si faible que les formules galiléennes sont une très bonne approximation.

 

L'effet de non-addition des vitesses ne se fait ressentir qu'à partir de vitesses au moins égales à 10% de celle de la lumière (soit environ 30000km/s, soit 108 000 000 de km/h), ce qui est déjà considérable.

 

 

amicalement

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Avec les nouvelles équations, il devient facile de mesurer dans un contexte de relativité restreinte la dilatation du temps.

 

Très heureux que ce soit enfin facile...mathématiquement; mais voyons ça réellement:

 

à une vitesse proche de celle de la lumière, vous observez le temps s'écouler plus lentement

 

La théorie de la relativité interdit de dépasser la vitesse de la lumière, vitesse pour laquelle la durée devient infinie

 

Dire que la durée devient infinie est équivalent de dire que le temps s'arrête.

 

Donc, si je regarde une étoile située à 10 année-lumières, et que le photon venant de l'étoile qui parvient à mes yeux, voyage à la vitesse de la lumière, c'est dire que pour moi, l'observateur de ce photon, le temps est arrêté puisque c'est pour l'observateur que plus l'objet observé s'approche de la vitesse de la lumière, plus le temps, selon l'observateur , est ralentit.

 

Question; le temps est donc arrêté pour moi; est-ce que je vois toujours un seul et même photon ou est-ce qu'il arrive des photons continuellement sur ma rétine? Est-ce que je suis figé sur place ou si je peux aller manger un Big Mack? :rolleyes:

 

Amicalement

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Bonjour à tous

Il y a une petite erreur à corriger :

(texte cité)c ² dt² - dx² - dy²- dz² = c² ds²

Il y a un "c²" en trop. On a

c² dt² - dx² - dy² - dz² = ds²

 

Pour répondre à Elie, ton temps n'est pas arrêté pour toi mais pour celui qui t'observe du haut d'un photon, pour peu que ça puisse avoir une signification physique. Pour le photon, les événements émission et absorption sont confondus -d'ailleurs le ds² = 0 dans le cas des photons, on dit qu'ils parcourent des géodésiques de longueur nulle-. Pour toi, ces événements ne sont pas confondus, il n'y a plus simultanéité.

Je sais pas si ça répond à la question.

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Si tu es en un état inertiel Elie, ton temps d'écoulement sera à un maximum et celle du photon à un minimum. Pour toi, le photon est aussi vieux à 10 m de toi qu'à 0 m (ok, tu peux pas le voir à 10 m, mais bon :) ). Comme te l'as dit Gaétan ^^ . Après tout, les photons qui t'entourre présentement n'ont pas de temps selon toi et tu peux écrire tes contestations quand même ;) .

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Hey bien, bien que cela n'ait aucun sens physique, le photon, par rapport à lui-même, a un temps, puisqu'il est inertiel et immobile selon lui (quelle philosophie :p ). Les 10 A-L ne valent rien, puisque la contraction des longueurs (l'=l.(1- v²/c²)^½) rend la distance nulle. Le temps extérieur ne s'écoule plus...

 

En fait, il y a un problème là-dedans: non seulement le photon n'a aucune conscience, mais en plus, ce devrait être l'Univers qui se déplace à c, ce qui est impossible étant donné sa masse. Morale: il est absurde de se placer dans la peau d'un photon :) .

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En fait, il y a un problème là-dedans: non seulement le photon n'a aucune conscience, mais en plus, ce devrait être l'Univers qui se déplace à c, ce qui est impossible étant donné sa masse. Morale: il est absurde de se placer dans la peau d'un photon

 

Et voilà! La conscience du photon. Difficile d'échapper à son conditionnement philosophicoreligieux. :rolleyes:

 

Et s'ensuit une morale en plus. :laughing: Mais est-il plus absurde de se placer dans la peau d'un photon que de se placer dans la peau de l'univers qui se déplace? Ou encore d'un atome d'hydrogène qui fusionne à un autre atome?

L'univers ne peut pas de déplacer puisqu'il n'existe pas d'autre "place" que lui-même où il pourrait aller. L'univers comprend tout l'espace qui existe.

 

Autre chose: l'univers n'a pas de masse autre que les 5% de matière qu'il contient qui, en fait sont une accumulation de petites masses (relativement à l'univers). L'univers lui-même n'a pas de masse; mais il contient de petits volumes qui ont une masse. Ces petits volume plus ou moins distribués dans l'espace universel sont massifs parce qu'ils sont imprégné d'un mouvement de contraction sur eux-même créant des accrétions d'énergie devenant matière. Le reste de l'espace universel est imprégné d'un mouvement contraire, c'est à dire d'expansion.

 

le photon, par rapport à lui-même, a un temps, puisqu'il est inertiel et immobile selon lui (quelle philosophie

 

Ce n'est pas de la philosophie, c'est la réalité; tout corps en mouvement qui devient "unité de base" de mesure devient "immobile" relativement au reste. Lui est immobile et tout le reste se déplace plus ou moins rapidement par rapport à lui. C'est assez simple à comprendre. Mais si je me considère immobile, je ne peux pas dire que le temps extérieur ne s'écoule plus, car il s'écoule quand même. Donc gros problème avec les formules mathématiques pour représenter la réalité telle qu'elle est vraiment.

 

Amicalement

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Tu ne sembles même pas bien comprendre les principes de relativité restreinte pour dire ça... ni même de mécanique quantique... Pas que je sois mieux, mais du moins, je n'utilise pas ton "humour" sarcastique pour répondre comme s'il s'agissait d'une évidence, évidence que souvent les théories sur lesquelles tu "prends base" pour tes réflexions n'approuvent pas du tout.

 

Le photon n'est pas un référentiel dans sa description usuelle. Personne ne peut prendre place pour un photon et c'est d'essayer désespérément de le faire qui tient de la philosophicoreligieux. Le photon ne devrait pas avoir masse, ce qui implique un déplacement absolu (dans le sens d'identique pour tout référentiel) de 299 792 458 m/s. L'Univers, que se soit dans un intégralité ou bien dans ses composants locaux, est massif et ne pourrait pas aller à la vitesse de la célérité. Est-ce assez clair ou non?

 

Tu parles de ton inversement de sens d'expansion. Mais quel est le lien avec la dilatation temporelle!?! Tu ne peux pas dire que l'Univers est constitué de simplement 5% de matière; tu prends un élément d'une étude et tu laisses le reste! Tu accepte ce qui te tente et laisse ce qui ne te tente pas, alors que la logique des plus éminents individus dans le domaine fait des liens entre ces deux éléments qui te sont contradictoires.

 

Ma philosophie, celle que j'ai écrite, c'était dans le sens de me mettre dans le contexte d'un photon. Ta réalité est erronée, sauf si, pour une fois (ce qui ne te tuerais pas, sinon tant pis), tu pouvais expliquer clairement dans une logique qui peut-être partagée au lieu de simplement postuler.

 

Si je disais que l'idée des zeitons pouvait régler le problème de la masse manquante avec une topologie semblant être, dans la mesure de nos expériences actuelles, euclidien; simplement cette affirmation. Pas pire? Non, je n'ai aucun moyen actuellement de le postuler. Et si je demeure avec cette idée sans pouvoir la valider aux yeux des forumeurs de Webastro, cela n'aurait aucun intérêt.

 

Si je te disais que j'ai eu une idée qui pourrait expliquer clairement et, sans avoir encore élaboré vraiment le sujet, de façon logique ta similitude entre expansion et gravitation. Aller, je prône la Bonne Nouvelle. Postuler, c'est quelque chose, démontrer, s'en est une autre...

 

Universus

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Le photon ne devrait pas avoir masse, ce qui implique un déplacement absolu (dans le sens d'identique pour tout référentiel) de 299 792 458 m/s.

 

S'il n'a pas de masse c'est donc qu'il est probablement entraîné par l'expansion universelle et comme il est sans masse, il possède probablement la même vitesse que cette expansion. Non?

 

L'Univers, que se soit dans un intégralité ou bien dans ses composants locaux, est massif et ne pourrait pas aller à la vitesse de la célérité. Est-ce assez clair ou non?

 

Que tu l'affirmes, c'est très clair; par contre que ce soit vrai ne l'est pas du tout. Pour que ce le soit, il faudra que tu me donnes la masse de l'espace vide entre les galaxies et toute la matière qui totalise 5% de l'univers. Sinon ton affirmation est un acte de Foi en des spéculations. De toute façon comment concevoir l'espace vide ayant une masse et un photon n'en ayant pas?

 

 

 

Tu parles de ton inversement de sens d'expansion. Mais quel est le lien avec la dilatation temporelle!?!

 

Le lien est le "mouvement"; ça fait deux mois que je te l'explique! D'ailleurs, Einstein l'a déjà expliqué bien avant moi; mais lui parle de vitesse; qui est évidemment relié au mouvement; enfin j'espère que cela t'est accessible conceptuellement.

 

Tu ne peux pas dire que l'Univers est constitué de simplement 5% de matière; tu prends un élément d'une étude et tu laisses le reste!

 

Ce n'est pas moi qui dit que la matière ne compte que pour 5% de l'univers; et tu le sais très bien. Le reste, que je laisse tomber, ce sont des spéculations basées sur la force d'attraction qui devrait ralentir l'expansion et qui, c'est prouvé, ne le fait pas du tout.

 

Tu accepte ce qui te tente et laisse ce qui ne te tente pas, alors que la logique des plus éminents individus dans le domaine fait des liens entre ces deux éléments qui te sont contradictoires.

 

J'accepte ce qui est prouvé et je rejette ce qui ne l'est pas et surtout ce qui est prouvé inexact. Quant aux "éminents individus " dont tu parles, on les "éminera" lorsque leurs explications seront prouvées et basées autre chose de que spéculations sur des erreurs. Pour l'instant, ton idée de particule temporelle est aussi valable que leur instanton ou leur graviton; mon éminent ami.

 

Je postule??? Disons que je postule que le plasma originel se comporte comme un liquide et je stipule que si un vide se présente dans un liquide, celui-ci remplit ce vide le plus rapidement possible. C'est ça le postulat que je propose. Si tu n'es pas d'accord, que veux-tu que je fasse de plus. Tu dis : "NON, je ne suis pas d'accord!" et nous ne sommes pas plus mauvais ami pour ça. Il est superflu de dire que "le photon n'a pas de conscience"; c'est une forme de ridiculisation. D'autant plus qu'on n'en sait absolument rien. :laughing:

 

Amicalement

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Salut tout le monde (et les autres aussi).

Je suis désolé de demander ça mais Elie, pourrais tu m'expliquer ta théorie en détail (ce qui doit etre fait sur les 10 et 12 pages précédantes des 2 derniers sujets, mais je dois dire que lire 22 pages ne m'inspire pas beaucoup), merci d'avance.

Et universus, tu pourrais, de même, m'expliquer ton idée de particule temporelle ? (ça c'est pour que je sois certain de ce dont tu parles, si c'est bien ce que je penses, j'ai bien des choses à dire dessus ^^)

Ciao

 

P.S. : faut restons calme les amis, restons calme

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Acte de Foi en des spéculations? Ce que tu dis sont des spéculations, comparer en son intégralité un gaz ionisé à un fluide à une époque datant de l'ère de Planck et avant.

 

Einstein était de ceux qui prônait l'immobilité à la mobilité, essayant d'expliquer le monde dans une certaine immobilité. Je vois pas vraiment où tu peux t'identifier à lui, toi qui est plus du côté d'Héraclite. Le temps, il voulait l'éliminer de la physique. Moi, je veux le garder et l'expliquer jusqu'à la limite de la connaissance humaine si possible.

 

La cosmologie est une science très jeune et on ne peut pas se fier à cent pourcent au interprétation. La tienne n'est pas plus valable, surtout qu'étant basée sur de maigres lectures pas toujours des plus actuelles.

 

Je n'aime pas spéculation, mais hypothèse. Le graviton a été prévu faible avant son existence dans l'esprit des Hommes, il n'est pas tort d'avoir de la difficulté à le détecter, tout comme de l'identifier comme cause d'une gravitation quantique. Après tout, l'idée du graviton vient de la RG à prime abord.

 

L'instanton est une supposition pour l'ère de Planck dans un modèle inflationnaire. L'expansion est possiblement une mauvaise interprétation de cet éloignement des amas galactiques, qui sait. Toi? Laisse-moi en douter.

 

Le zeiton n'est encore qu'une idée que pour moi, j'y travaille du mieux que mes connaissances actuelles me le permettrent, essayant de comprendre les phénomènes précis du temps restreint, général et quantique. J'ai confiance en cette vision, c'est tout ce qui compte. Sauf que j'expose mon idée et n'essais pas de ridiculer ceux qui pourraient avoir une idée divergeante de la mienne sur ce sujet.

 

C'est justement qu'on ne sait pas si un photon a une conscience et de laisser penser qu'il pourrait en avoir une qui est ridicule et théologique. Cela n'a rien ne diminutif.

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Salut Sangui :)

 

Bon, cette particule temporelle, c'est pas une mince affaire pour l'interprétation, ça, c'est une évidence. Essayer d'expliquer un phénomène aussi abstrait que le temps peut soit faire prétendre pour Dieu ou une très forte estime de soi; je ne suis pas croyant :) et l'idée de la gravitation quantique à boucles m'encourage à poursuivre mon idée de quantifier le temps :p . Ce que je veux dire par ce paragraphe, c'est que l'idée est jeune, sûrement avec des failles dûes à une toute jeune compréhension de la physique moderne, et que l'idée peut déplaire, c'est sûr, mais tout de même... :) je ne sais que dire de plus :). Alors, un bref résumé.

 

Avant de connaître l'astrophysique et l'espace-temps, je me suis questionner sur un temps absolu newtonien à travers l'Univers, une particule qui donnerait le temps et qui voyagerait plus vite que c. Depuis, j'en ai appris et l'idée m'est revenue. Sauf qu'elle a une certaine promesse, une certaine explication quantique des phénomènes relativistes relatifs au temps.

 

Il y a plusieurs phénomènes à prendre en compte, ce qui empêche toute personne ayant déjà penser à matérialiser le temps à le faire. Sauf qu'on s'attaque à une base de la nature :) et qu'il est probable de faire face à des nouveautés conceptuelles. Une particule sans vitesse, puisque le temps ne peut s'appliquer à lui-même. Quoique le sens de vitesse a changé, puisque le temps fait la vitesse et que la vitesse fait le temps.

 

Il y aurait le temps quantique restreint décrivant, à partir des intéractions quantiques, les effets relativistes restreints surtout propres au macroscopique.

Il y aurait le temps quantique général décrivant, à partir toujours d'intéractions quantiques, les effets relativistes généraux à l'échelle macroscopique surtout.

Il y aurait aussi le temps purement quantique, qui décrirait l'intéraction temporelle et les phénomènes de temps si contre-intuitifs qu'on retrouve à cette échelle microscopique.

 

Bien que mon développement ait évolué depuis, je décris mon raisonnement à partir de la page 3 ou 4 de ce sujet.

 

Universus

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(texte cité)

S'il n'a pas de masse c'est donc qu'il est probablement entraîné par l'expansion universelle et comme il est sans masse' date=' [u']il possède probablement la même vitesse que cette expansion[/u]. Non?

Non. Cet argument t' as convaincu ? :mdr:

 

Ce n'est pas moi qui dit que la matière ne compte que pour 5% de l'univers; et tu le sais très bien.

En effet, ce sont les cosmologistes, et ce résultat provient d' un modèle qu' on appelle le Big Bang (pour faire vendre). Ce modèle s' appuie sur une théorie qu' on appelle relativité générale

 

Le reste, que je laisse tomber, ce sont des spéculations basées sur la force d'attraction qui devrait ralentir l'expansion et qui, c'est prouvé, ne le fait pas du tout.

Le reste, que tu laisse tomber, ce sont d' autres résultats de la théorie de la relativité générale appliquée au modèle du Big Bang. Ni plus, ni moins valables que ceux que tu accepte. Un (certain) nombre d' observations indirectes confirment ce modèle théorique . Ca ne constitue pas une preuve.

 

J'accepte ce qui est prouvé et je rejette ce qui ne l'est pas et surtout ce qui est prouvé inexact.

Non, tu accepte et rejette (au gré de tes préférences) des sous ensemble des résultats obtenus en appliquant la théorie de la relativité générale au modèle du Big Bang, qui est ce que les cosmologistes ont actuellement de plus solide en guise de représentation de l' Univers à grande échelle. La notion de preuve n' a rien à voir là dedans.

 

A+

--

Pascal.

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En faite je ne sais plus ce que je voulais dire dessus, j'aurais du réagir beaucoup plus vite...

Enfin je sais toujours que Feynman a développé une théorie sur l'évolution des particules dans le temps (en les considérant comme les "ombres" d'une seule et même superparticule considéré dans un espace a plus de dimension que celui où nous sommes (je suis en train d'essayer de me rappeller ce que je pouvais bien diable avoir a dire).

C'est incoyablement frustrant...

Cela dit on peut matérialisé cette superparticule dans un surcorps de R^4 par une intéraction, de même qu'on la fait pour la gravitation (en gros). En tout cas ca aurait du sens mais bonne chance pour le rendre "suportable" au yeux des mortels ^^ (perso je trouve plus simple de manipulé le concepte de superparticule et mathématiquement ça doit etre grosso modo la même chose à mettre en équation)

 

Je redemande a Elie de m'expliquer sa théorie (vu la taille de ma précédante réponse, j'ai peur qu'elle passe bien inaperçue), merci d'avance.

 

Ciao

 

P.S. : il y a une "faille" quand meme, une accélération constante à 1g vers un trou noir, en passant le 2eme horizon, l'objet arrive à "la fin de l'univers", et pourtant lui il est toujours la alors que l'univers n'est plus que "vide" et froid. (enfin en y réfléchissant c'est pas une faille, ça traduit juste un comportement asymptotique de la dite superpaticule, j'ai rien dit [je vous fais par de mes réflexion en tant réel : sympas non ? ^^] ) (je laisse le p.s. car sinon je ne sais pas quoi y mettre)

P.S.2 : "S'il n'a pas de masse c'est donc qu'il est probablement entraîné par l'expansion universelle et comme il est sans masse, il possède probablement la même vitesse que cette expansion. Non?", clairement non.

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Ce que tu dis sont des spéculations, comparer en son intégralité un gaz ionisé à un fluide à une époque datant de l'ère de Planck

 

et on ne peut pas se fier à cent pourcent au interprétation. La tienne n'est pas plus valable, surtout qu'étant basée sur de maigres lectures pas toujours des plus actuelles.

 

Un plasma se comportant comme une liquide, tiré de lectures pas toujours des plus actuelles????

 

Fait une recherche sur le plasma quark/gluons et essaie de voir il y a combien de siècle que ce fut réalisé. Et essaie de vérifier s'il se comporte comme un liquide.

 

D'accord pour la notion d'hypothèse; mais une fois l'hypothèse établie, on passe aux spéculations.

 

Non. Cet argument t' as convaincu ?

 

Non parce que tu te sers toujours du même argument. :lol:

 

Sangui, ma théorie est assez simple:

 

Au début de l'univers, précisément à partir de 10^-43 sec, l'univers de l'époque, autrement dit tout l'espace existant, est "habité" par un plasma qui se comporte comme un fluide et qui a une densité incroyable. Ce plasma est animé d'un mouvement expansioniste (dans tous les sens vers l'extérieur). Dans ce "liquide très dense" apparaît tout à coup une particule virtuelle extrêmement moins dense (d'ailleurs, virtuel signifie apparaît et aussitôt disparaît). Ce volume virtuel moins dense est rapidement comblé par le "liquide" (plasma). C'est à ce moment-là, à l'intérieur de ce volume, que le sens du mouvement expansionniste "dans tous les sens" est transformé dans un mouvement contraire "dans un seul sens" c'est à dire: vers le centre du volume virtuel en question. Ce sens du mouvement reste imprégné localement dans un univers qui continue son mouvement continuel expansif. Mais le volume en question, à cause de l'inversion du mouvement qui lui est interne, ne réponds plus à l'expansion tout comme une galaxie ne répond pas à l'expansion de l'univers. De plus, ce volume en mouvement expansif inversé, constitue une déformation dans le sens expansif, deviendra éventuellement une déformation de l'espace provoquée par une accrétion d'énergie qui , finalement deviendra de la matière. C'est là, grosso modo, ma proposition.

 

Quel est le cheminement d'un corps, disons une particule, qui fonce vers un trou noir. Qu'arrive-t-il lorsqu'elle traverse le premier horizon, puis le second?

 

Il continu de voyager en ligne droite tout en suivant la déformation de la géométrie de l'espace. Tout comme toi qui creuse un trou vers le centre de la Terre et que, lorsque tu dépasses ce centre, tu dois te mettre à creuser vers le haut en grimpant sur la déformation géométrique de l'espace, jusqu'en Australie.

 

 

Amicalement

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bonsoir tout monde :lol:

 

pour repondre à élie;

tu as raison pour le plasma originel ;)

La création d’un tel plasma nécessite une température minimale de 1010 K (ou encore 300 MeV[1]) et une densité d’énergie supérieure à 3 GeV/fm3 ; en comparaison, la densité d’énergie à l’intérieur d’un noyau atomique « froid » est de l’ordre de 0,17 GeV/fm3. ;)mais le reste de ta citation , je l' ai pas trop bien compris :question:

 

merçi et aurevoir

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Imagine que nous avons un grand volume d'eau, disons une rivière qui coule vers la mer. Tout à coup, un magicien apparaît au centre du volume d'eau et disparaît aussitôt (un magicien virtuel quoi!)

 

Lorsque le magicien disparaît, il se cré un vide et l'eau qui entoure ce vide se précipite pour le combler. Et ce, même l'eau qui se trouve, du côté du sens du courant, de l'autre côté du vide. Cette eau, pour un instant, change de direction et se dirige vers le centre du volume vide même si l'instant auparavant elle se dirigeait en sens contraire vers la mer. C'est la même chose pour le plasma originel.

 

P.S.2 : "S'il n'a pas de masse c'est donc qu'il est probablement entraîné par l'expansion universelle et comme il est sans masse, il possède probablement la même vitesse que cette expansion. Non?", clairement non.

 

Dans ce cas, il faudra expliquer comment il se fait qu'un photon voyage à la vitesse de 300,000 km/sec et expliqué par quoi il est entraîné ou propulsé.

 

Je reviens sur une explication d'ArthurDent au sujetdu 5% de matière dans l'univers:

 

En effet, ce sont les cosmologistes, et ce résultat provient d' un modèle qu' on appelle le Big Bang (pour faire vendre). Ce modèle s' appuie sur une théorie qu' on appelle relativité générale

 

Heureusement que nous avons les cosmologistes avec la théorie appelée la relativité générale pour hypothétiser le 5% de matière universelle. Par contre, il semble que puisque tout ça est basé sur une théorie, l'existence de la Terre et des planètes ainsi que les étoiles que l'on voit n'est qu'hypothétique puisqu'elles sont inclus dans le 5% de matière de l'univers. Et comme cette matière existe, on la voit, c'est que la rg est exacte donc que les données sur la matière sombre non baryonique sont incontournables CQFD. :mdr:

 

Amicalement

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