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Tutoriel LRVB sous IRIS


star62

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Bonjour,

 

Ayant chercher et rechercher sur Google des tutos LRGB CP sous IRIS, je n'ai pas trouvé grand chose !

 

Comme je ne dois pas être le seul à me poser cette question sur le LRGB ?

 

Comme je dois passer à cette technique LRGB sous IRIS dès le beau temps !

 

J'ai donc décidé de faire un tutoriel avec le peu de connaissances que j'ai sur le sujet (pratique = o)

 

Je précise qu'il est en mode "manuel" donc "pas à pas" et pas de "prétraitement automatique" pour mieux comprendre ce que l'on fait surtout quand on est débutants.

 

Je n'ai pas mis les photos dans le texte pour l'instant !

 

Je vous le soumet donc et pouvoir en discuter !

 

Si les spécialistes du LRGB peuvent intervenir et le corriger si je suis dans l'erreur !

Cela sera profitable à tous le monde !

 

--------------------------------------------------------------------------

 

TRAITEMENT CIEL PROFOND LRVB AVEC IRIS

 

 

ACQUISITION :

 

Première opération :

 

Il faut que le dossier d'enregistrement des images brutes (FIT) de la CCD vers le PC soit :

 

c:\nouveau dossier\

 

 

Deuxième opération :

 

Avec la caméra CCD ATIK 16 IC-S et une ROUE A FILTRES effectuez une acquisition des images en nombre impair :

 

Il est à noter que toutes les images doivent être prises à la même température, y compris les images d’offset.

Une différence de température lors de la prise des images ajoutera du bruit à l’image résultante et diminuera sa qualité.

 

Pendant l’acquisition les images partent dans c:\nouveau dossier

 

Toutes vos brutes, offsets, darks et flats sont donc dans un même répertoire sur votre disque dur.

 

 

Par exemple nous disposons de 7 groupes de fichiers :

 

- 27 brutes (L) format .fit

- 11 brutes ® format .fit

- 11 brutes (V) format .fit

- 11 brutes ( format .fit

- 9 offsets (o) format .fit

- 15 darks (d) format .fit

- 9 flats (f) format .fit

 

 

Troisième opération :

 

Après la séquence d’acquisition :

 

1)- Avant de convertir vos images, classez-les dans des dossiers, par type :

(images brutes, offset, dark, flat), en veillant à bien éliminer les images qui présenteraient des défauts importants de suivi ou de bougé.

 

2)- La première chose à faire est de sauvegarder toutes les images (images brutes, offsets, darks, flats).

En effet, une mauvaise manipulation sur le disque dur est vite arrivée.

 

3)- Il faut toujours travailler sur une copie des images originales.

En effet, une mauvaise manipulation est vite arrivée.

 

4)- Renommer toutes les images.

En effet le logiciel IRIS demande à ce que les images soient numérotées sans compléter les index avec des zéros.

Il faut par exemple que la première image soit nommée M31-1.fit et non pas M31-01.fit.

On peut le regretter car les images n’apparaissent pas dans l’ordre de leur index dans l’explorateur de fichiers Windows, mais c’est comme ça.

 

Nota :

Avec un capteur N&B, il est préférable d’appeler les images brutes = (L : pour Luminance).

 

 

Quatrième opération :

 

Configuration d’IRIS :

Ensuite il faut que IRIS récupère les images de la séance d’acquisition pour pouvoir les traitées dans le chemin du répertoire de travail.

Donc vous allez maintenant régler IRIS sur ce répertoire.

 

On définit le chemin du répertoire de travail car c’est là que les images vont être stockées.

Définir le répertoire de travail : Fichier > Réglages (Ctrl + R)

Donc la encore c:\nouveau dossier\

Il faut aussi cocher la case FIT

Afin de mener à bien la transformation du format des images, il faut

temporairement changer le format par défaut d’Iris et déclarer le format FITS dans la boîte de dialogue des réglages.

 

 

 

 

A noter que ces deux réglages n’auront pas à être réalisés à nouveau lors du lancement suivant d’IRIS (ces réglages sont mémorisés par le logiciel).

 

Nota :

Le chemin et le nouveau dossier est renommée avant chaque nouvelle soirée d'acquisition (par exemple: Orion 24/12/2010)

 

 

 

Cinquième opération :

 

Conversion des images, offsets, darks, flats au format de travail d’IRIS (.pic) :

 

Avec IRIS, il vaut mieux travailler avec le format PIC (le format natif des images manipulées par IRIS) car ce logiciel ne sait pas travailler avec des images FITS où les pixels sont codés sur 16 bits entre 0 et 65535.

En effet, les images PIC utilisent une dynamique de 0 à 32767 (ou plus exactement -32768 à 32767 mais les niveaux négatifs ne sont généralement pas utilisés).

Il faudra donc au préalable convertir nos images au format PIC.

 

Avant de pouvoir passer au prétraitement des images, il faut auparavant convertir toutes les images FITS au format PIC de manière à ne pas altérer leur dynamique au moment du chargement des images FITS.

En effet , si l’on charge directement une image FITS codée sur 16 bits, IRIS tronquera toutes les intensités supérieures à 32767 ce qui résultera en une perte d’informations.

Durant ce processus, nous allons modifier les images.

Attention donc de travailler sur une copie des images brutes !

 

 

Procédure :

 

Il faut tout d'abord transformer les images au format de travail d'IRIS, grâce à la commande "Sélectionner des fichiers" du menu "Fichier" en sélectionnant le format d'acquisition et en donnant un nom à chacune des différentes séries (images, offset, dark, flat) :

 

 

 

1) Fichier "offset " :

 

- On sélectionne d'abord le fichier "offset" et on fait un glisser-déposer dans l'encadré "sélection d'une liste d'images" d'IRIS.

 

- cliquez sur "création de la liste"

 

Il suffit alors de cliquer sur « Création de la liste » pour que Iris charge la liste d'images en mémoire :

 

 

Une fois les images chargées, cliquez sur « Fermer » pour revenir à la fenêtre principale d'Iris.

 

 

2) Fichier "dark " :

 

- On sélectionne d'abord le fichier "dark" et on fait un glisser-déposer dans l'encadré "sélection d'une liste d'images" d'IRIS.

 

- cliquez sur "création de la liste"

 

Il suffit alors de cliquer sur « Création de la liste » pour que Iris charge la liste d'images en mémoire :

 

Une fois les images chargées, cliquez sur « Fermer » pour revenir à la fenêtre principale d'Iris.

 

3) Fichier "flat " :

 

- On sélectionne d'abord le fichier "flat" et on fait un glisser-déposer dans l'encadré "sélection d'une liste d'images" d'IRIS.

 

- cliquez sur "création de la liste"

 

Il suffit alors de cliquer sur « Création de la liste » pour que Iris charge la liste d'images en mémoire :

 

 

Une fois les images chargées, cliquez sur « Fermer » pour revenir à la fenêtre principale d'Iris.

 

4) Fichier "images " :

 

- On sélectionne d'abord le fichier "images" et on fait un glisser-déposer dans l'encadré "sélection d'une liste d'images" d'IRIS.

 

- cliquez sur "création de la liste"

 

Il suffit alors de cliquer sur « Création de la liste » pour que Iris charge la liste d'images en mémoire :

 

Une fois les images chargées, cliquez sur « Fermer » pour revenir à la fenêtre principale d'Iris.

 

Il ne faut pas oublier maintenant de changer à nouveau le format par défaut (PIC) dans la boîte de dialogue des réglages sans quoi les images PIC ne pourront pas être chargées dans IRIS.

Les images FITS peuvent maintenant être effacées sans problème du disque et on ne dispose maintenant plus que des images au format PIC.

 

Sixième opération :

 

PRETRAITEMENT :

 

Voici quelques remarques préliminaires importantes :

 

Toujours travailler avec une copie, ne jamais travailler avec l’original, car une mauvaise manipulation est toujours possible par l’utilisateur.

Après chaque manipulation importante, toujours la sauvegarder, ceci permettra de pouvoir revenir en arrière en cas d’une mauvaise manipulation dans la suivante.

 

Principe :

 

Le prétraitement consiste à transformer les images brutes de l’objet que l’on cherche à capturer selon la formule suivante :

 

Prétraitement = (image brute – offset) – (dark – offset) / (flat – offset)

 

Le prétraitement s'achèvera avec la registration de l'ensemble de chacune des images et son addition.

 

Procédure :

 

Nota :

Nous allons effectuez le « Prétraitement » en mode « manuel »

 

Réalisez ensuite :

 

- Offset maître

- Dark maître

- Flat maître

 

Nota :

Les « offset maître », « dark maître », et « flat-field maître » sont marqués dans IRIS : « carte offset », « carte dark » et « carte flat » :

 

Allez dans le menu "Prétraitement":

 

1)- "Faire un offset" :

 

 

Remplissez les champs de la manière suivante :

 

- Nom générique : nom que vous avez donné à vos images converties : "o"

- Nombre d’images : nombre d’images d’offset converties : 9

 

N’oubliez pas de la sauvegarder :

 

 

2)- "Faire un dark" :

 

Remplissez les champs de la manière suivante :

 

- Nom générique : nom que vous avez donné à vos images converties : "d"

- Image d’offset : nom de l’image de l’offset maître : "o"

- Nombre d’images : nombre d’images de dark converties : 15

- Méthode : idéalement, si chacun des darks possède un temps de pose strictement identique, cochez Médiane, mais si d’un dark à l’autre les temps de pose varient de quelques secondes, il est préférable de choisir de faire une Moyenne.

 

N’oubliez pas de la sauvegarder :

 

 

3)- "Faire un flat-field" :

 

 

 

 

Remplissez les champs de la manière suivante :

 

- Nom générique : nom que vous avez donné à vos images converties : "f"

- Image d’offset : nom de l’image de l’offset maître : "o"

- Valeur de normalisation : valeur habituellement comprise entre 5000 et 25000 (attention, de ne

pas dépasser 32767, qui est la dynamique maximale d’IRIS).

- Nombre d’images : nombre d’images de flat converties : 9

 

N’oubliez pas de la sauvegarder :

 

Donc étant donné que l'on a fini par le dossier image, on doit voir la dernière image s'afficher sur IRIS.

 

Septième opération :

 

Détection de la carte des pixels chauds :

 

Il peut être intéressant de supprimer de toutes les images les points chauds qui correspondent aux pixels et de les remplacer par une moyenne des valeurs des pixels voisins.

Pour cela, on extrait de l’image de dark maître une liste des pixels

chauds qu’IRIS peut générer automatiquement et qui sera utilisée durant le prétraitement.

On parle alors de retouche cosmétique (d’où le nom de fichier cosme utilisé plus loin).

 

On commence par charger l’image de dark maître qui a été produite précédemment.

Pour cela, on lance la ligne de commande :

 

load Dark

 

- Sur le dark maître :

1 on exécute la fonction « stat »

2 on prend la valeur moyenne et on l’additionne à (16 X sigma)

find_hot cosme moyenne + (16 X sigma)

Exemple ==> find_hot cosme : 1055.1

3 Cela donne le nombre de pixels chauds au plus juste : xxx

 

La création de la carte des points chauds se fait en lançant la commande :

 

find_hot cosme 100 (ou la valeur xxx)

 

Nota :

cosme est le nom du fichier qui sera créé et qui contiendra la liste des points chauds (le fichier créé dans le répertoire courant

s’appellera cosme.lst ) et 100 est le seuil de détection des pixels chauds.

On utilise ici la valeur 100, ce qui correspond à une valeur suffisante étant donné le niveau du fond de l’image de dark maître (autour de 5 ADU).

Il est conseillé d’utiliser une valeur qui fournisse en sortie un nombre de points chauds inférieur à 500.

IRIS reporte alors dans la fenêtre de sortie le nombre de points chauds

trouvé dans l’image de dark maître.

 

Le fichier cosme.lst sera utilisé pendant la phase de prétraitement pour améliorer la qualité des images contenant l’objet observé.

 

 

Huitième opération :

 

On revient dans " Prétraitement " et on continue la procédure suivante :

 

Pour les 4 couches L, R, V, B :

 

-"Soustraire l'offset"

-"Soustraire le dark"

-"Diviser par le flat-field"

 

NOTA :

 

LUMINANCE : nommée I

ROUGE : nommée R

VERTE : nommée V

BLEUE : nommée B

 

 

Procédure :

 

COUCHE LUMINANCE :

 

- "Soustraire l'offset"

 

Lorsque l'on commence la soustraction de l'offset on le nomme "I" en entrée et disons "J" en sortie puisqu'il va reprendre toutes les images et leur soustraire d'abord l'offset.

 

- "Soustraire le dark"

 

Lorsque l'on commence la soustraction du dark on le nomme "J" en entrée et disons "K" en sortie puisqu'il va reprendre toutes les images et leur soustraire d'abord l'offset.

 

- "Diviser par le flat-field"

 

Lorsque l'on commence la division du flat on le nomme "K" en entrée et disons "KK" en sortie puisqu'il va reprendre toutes les images et leur soustraire d'abord l'offset.

 

 

COUCHE ROUGE :

 

- "Soustraire l'offset"

 

Lorsque l'on commence la soustraction de l'offset on le nomme "RI" en entrée et disons " RJ" en sortie puisqu'il va reprendre toutes les images et leur soustraire d'abord l'offset.

 

- "Soustraire le dark"

 

Lorsque l'on commence la soustraction du dark on le nomme "RJ" en entrée et disons "RK" en sortie puisqu'il va reprendre toutes les images et leur soustraire d'abord l'offset.

 

- "Diviser par le flat-field"

 

Lorsque l'on commence la division du flat on le nomme "RK" en entrée et disons "RR" en sortie puisqu'il va reprendre toutes les images et leur soustraire d'abord l'offset.

COUCHE VERTE :

 

- "Soustraire l'offset"

 

Lorsque l'on commence la soustraction de l'offset on le nomme "VI" en entrée et disons "VJ" en sortie puisqu'il va reprendre toutes les images et leur soustraire d'abord l'offset.

 

 

- "Soustraire le dark"

 

Lorsque l'on commence la soustraction du dark on le nomme "VJ" en entrée et disons "VK" en sortie puisqu'il va reprendre toutes les images et leur soustraire d'abord l'offset.

 

 

- "Diviser par le flat-field"

 

Lorsque l'on commence la division du flat on le nomme "VK" en entrée et disons "VV" en sortie puisqu'il va reprendre toutes les images et leur soustraire d'abord l'offset.

 

 

COUCHE BLEUE :

 

- "Soustraire l'offset"

 

Lorsque l'on commence la soustraction de l'offset on le nomme "BI" en entrée et disons "BJ" en sortie puisqu'il va reprendre toutes les images et leur soustraire d'abord l'offset.

 

 

- "Soustraire le dark"

 

Lorsque l'on commence la soustraction du dark on le nomme "BJ" en entrée et disons "BK" en sortie puisqu'il va reprendre toutes les images et leur soustraire d'abord l'offset.

 

- "Diviser par le flat-field"

 

Lorsque l'on commence la division du flat on le nomme "BK" en entrée et disons "BB" en sortie puisqu'il va reprendre toutes les images et leur soustraire d'abord l'offset.

 

 

Voilà les offsets, darks, flats des 4 couches ont été soustraits et divisés.

 

 

Neuvième opération :

 

Bon après avoir prétraité les images L, R, V, B avec les offsets, darks, flats !

 

On passe maintenant au chapitre "Traitement" et "Registration des images stellaires".

 

Principe :

 

On exécute la même opération pour les couches "L" "R" "V" "B" en partant au moment de la soustraction de l'offset par exemple de "L" pour luminance, "R" pour rouge, "V" pour vert et "B" pour bleu.

Pour la luminance on part de "I".

N'oubliez pas de renseigner à chaque fois le générique d'entrée et le générique de sortie.

 

Procédure :

 

Pour la couche Luminance :

 

Générique d'entrée "KK" et générique de sortie "KKK"

On renseigne le nombre d'images et on coche "appariement global" puis « ok ».

 

Ceci est pour la couche luminance qui est nommée en dernier "KKK".

 

On sauve :

 

>save KKK

 

Pour la couche Rouge :

 

Générique d'entrée "RR" et générique de sortie "RRR"

On renseigne le nombre d'images et on coche "appariement global" puis « ok ».

 

Ceci est pour la couche rouge qui est nommée en dernier "RRR".

 

On sauve :

 

>save RRR

 

 

Pour la couche verte :

 

Générique d'entrée "VV" et générique de sortie "VVV"

On renseigne le nombre d'images et on coche "appariement global" puis « ok ».

 

Ceci est pour la couche verte qui est nommée en dernier "VVV".

 

On sauve :

 

>save VVV

 

 

Pour la couche bleue :

 

Générique d'entrée "BB" et générique de sortie "BBB"

On renseigne le nombre d'images et on coche "appariement global" puis « ok ».

 

Ceci est pour la couche bleue qui est nommée en dernier "BBB".

 

On sauve :

 

>save BBB

 

Donc nous avons nos 4 couches sauvegardées :

 

KKK pour "L"

RRR pour "R"

VVV pour "V"

BBB pour "B"

 

Nota important :

Il faut absolument garder sur un disque dur une copie de la sauvegarde de ses images LRVB avant le recadrage (registration) au cas où on voudrait ajouter des poses futures.

 

On renomme les 4 couches L, R, V, B pour les alignées entre elles :

 

Procédure :

 

La boîte de commande est déjà ouverte et on tape les commandes suivantes :

 

>load KKK

>save z1

>load RRR

>save z2

>load VVV

>save z3

>load BBB

>save z4

 

 

Voilà on a renommé les 4 couches :

 

Luminance : z1

Rouge : z2

Verte : z3

Bleue : z4

 

 

Dixième opération :

 

On revient sur "Traitement" et "Registration des images stellaires" :

 

On va aligner (registration) les 4 couches z1, z2, z3, z4 (LRV entre elles :

 

Générique d'entrée "z" et générique de sortie "w"

On renseigne le nombre d'images : 4

On coche "appariement global" puis « ok ».

 

Les 4 couches z1, z2, z3, z4 (LRV sont alignées

 

Elles se nomment maintenant :

 

L : w1

R : w2

V : w3

B : w4

 

On peut passer à la partie LRVB :

 

On ouvre (L) RGB du menu « Visualisation » et on recrée l’image couleurs :

 

On inscrit :

 

Luminance : "w1"

Rouge : "w2"

Vert : "w3"

Bleu : "w4"

On coche « Luminance » la couche de référence.

On tape "Appliquer" :

 

Les images se superposent directement sans les régler par le pavé numérique !

Et voilà tout est rassemblé pile poil.

 

Il n'y a plus qu'à l'enregistrer :

 

On sauve l'image dans la boite de commande :

 

>save LRVB

 

Nota :

On peut aussi sauver les images de LRVB avant le recadrage au cas où on voudrait ajouter des poses futures.

 

 

TUTO pas terminer................

 

 

--------------------------------------------------------------------------

 

Voilà

 

Cordialement à tous.

 

star62

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bonjour

 

pour la partie LRVB sous iris ( dixième opération ) , la dynamique des différentes images doit être accordée sinon on obtient vite du "andy warhol"

 

j'en parlais sur ce fil :

 

http://www.webastro.net/forum/showthread.php?t=65428

 

pour finir , je crois que la majorité utilise photoshop pour faire l'assemblage des 4 couches qui donnent le LRVB final , précisément parceque c'est plus facile de régler le niveau de chaque image avec des tirettes et l'outil courbe qu'avec les boites de dialogues addition ou soustraction ...

 

bon courage

 

Gg

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pour finir , je crois que la majorité utilise photoshop pour faire l'assemblage des 4 couches qui donnent le LRVB final , précisément parceque c'est plus facile de régler le niveau de chaque image avec des tirettes et l'outil courbe qu'avec les boites de dialogues addition ou soustraction ...

 

De toute façon les deux se complètent !!!

 

Iris pour le côté "astro pur", et toshop pour l'assemblage et le traitement final ;)

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Bonjour pascvale13,

 

OUI les flats copie de ton tuto n'en ayant pas encore sous la main !:rolleyes:

J'en mettrai des perso plus tard !

Comme je débute et n'ayant pas encore fait d'acquisitions cela est temporaire !

 

Je l'ai mis pour vérifications et que les personnes puisses en discuter si il y à des coquilles où des erreurs !

 

Ah par le tien pour le LRVB :) je n'en ai jamais trouvé :cry:

 

Donc j'ai décider d'en faire un "pas à pas" pour aider tous les astrams qui galère comme moi ! :)

Le mien sera donc du domaine public ! :)

 

Cordialement.

 

star62

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